•  La civilisation Egyptienne aurait au minimum 15 000 ans !

    Information de Antoine Gigal (page FBook) : La plus ancienne ville du monde découverte en Egypte!

    Des découvertes archéologiques majeures en Égypte, sont en train de révolutionner toutes les datations jusqu’alors admises concernant les anciennes civilisations. Aux dires des égyptologues, la culture égyptienne aurait commencé il y a 5000 ans environ avant notre ère. Mais voilà que dernièrement, le Directeur général du département de la préhistoire égyptienne, vient de donner un grand coup de pied dans la fourmilière des certitudes. Ses découvertes lui permettent d’affirmer que la civilisation égyptienne aurait au moins 150.000 ans !

    Une histoire aux sources de l’Hermétisme 

    Il n’est pas question ici de préhistoire, mais bien d’Histoire. L’information serait passée inaperçue si ce n’était grâce à la perspicacité d’Antoine Gigal auteure exploratrice en Égypte, qui a écouté l’interview télévisée du docteur Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, et qui a eu la bonne idée d’en faire une vidéo. L’ayant visionnée, mes amis de Tistrya m’en ont fait part aussitôt, tant la découverte vient bousculer toutes les idées reçues en matière de datation.(...)
     

    Ce sont donc les découvertes de Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, qui viennent aujourd’hui jeter un pavé dans la marre. Ses recherches lui ont permis aujourd’hui de prendre la parole, au risque de recevoir l’anathème de ses collèges égyptologues. En effet il vient de démontrer que la civilisation égyptienne n’a pas 5000 ans environ, comme le prétendent les historiens officiels, mais bien 15 000 ans. Et de 15 000 à 500 000 ans  pour des traces de civilisations.
     

    Avec son collègue Mustapha Reis, ils révisent peu à peu toutes les datations proposées par les Occidentaux, et s’aperçoivent que ceux-ci ont une volonté farouche de ramener toujours la chronologie à des dates plus récentes. Dans le centre sud du Sinaï se trouvent neuf complexes d’habitation qu’on appelle Nawamis.

    Le Dr Saad dit, que non loin de là, il a trouvé un site identique dont la datation avoisine les 15 000 ans. Ce serait donc la plus vieille cité du monde. Mais d’après l’éminent chercheur il y aurait également 306 autres sites qui remonteraient à 500 000 ans sur lesquels on a retrouvé des traces de civilisations.

    Ils ont également découvert sur ces habitations, des traces de peintures identiques à celles qu’utilisèrent les pharaons des milliers d’années plus tard.
    Plus extraordinaire encore, ils ont remarqué que ces peuples croyaient aux mêmes dieux que les égyptiens de l’époque dynastique. Ces dieux seraient donc issus d’une antiquité beaucoup plus ancienne que celle présentée dans nos manuels d’Histoire. Ces découvertes archéologiques majeures remettent donc toute la datation en question, et c’est ce que les Dr Saad et Reis s’appliquent à remettre en ordre. Certains scientifiques commencent à sortir des sentiers battus. Tant mieux, car ces découvertes confortent ce que dit l’Histoire antédiluvienne de la planète, précieusement conservée par les Gardiens invisibles de la grande Tradition.

    Source : guillaume-delaage. 

     

    VOIR LA VIDEO ICI

     
    Le Dr Khaled Saad  a déclaré ce matin (22-02-2018) dans un journal égyptien que la civilisation égyptienne n'a plus 7000 ans mais 15000 ans  et avec "des traces de civilisations "de  500 000 ans.  Une ville a été découverte dans le sud Sinaï et les datations actuelles sont toutes à revoir...

     

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  • Un dinosaure "nodosaure " découvert en Alberta


    C'est une pièce exceptionnelle que peuvent découvrir les visiteurs du Royal Tyrrell Museum à Drumheller en Alberta au Canada, le fossile d'un dinosaure vieux de 110 millions d'années. Il s'agit d'un nodosaure, une espèce d'herbivore cuirassé de la famille des ankylosaures que les scientifiques étudient depuis sa découverte en 2011. Ils révéleront le nom exact de cette nouvelle espèce dès que la publication de leurs recherches dans une revue scientifique spécialisée aura eu lieu, explique Le Figaro .

    Ce qui rend la découverte exceptionnelle, c'est son état de conservation, comme si l'animal avait été momifié. Le dinosaure serait mort noyé ou à proximité d'une rivière avant d'être emporté jusqu'à la mer. Une fois là-bas, il a coulé dans une « zone de sédiments très meubles », écrit le quotidien. Son corps recouvert de sable a donc été protégé de l'appétit des créatures marines et entièrement fossilisé. Il n'a ensuite été découvert qu'en 2011, à la faveur des travaux de recherches d'un mineur dans un gisement de sables bitumineux. Après six ans de travail, les paléontologues ont finalement dévoilé le nodosaure.

    Source : .lepoint.fr

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  • Un OVNI au-dessus de l'aéroport de MEXICO

    Le 17 juillet 2017, Angelica Tovar, en attendant de monter à bord de son avion, a pris une photo et, sans s'en rendre compte, elle a également aperçu un objet volant non identifié dans la zone d'embarquement de l'avion ...

    Elle se souvient qu'au moment de faire le cliché, il n'y avait rien d'étrange, seul l'avion qui allait embarquer, elle a réalisé la présence de l'objet mystérieux quelques jours plus tard, lors de la vision de ses images, il y avait un OVNI ...

    Lors de l'analyse de l'image, nous pouvons voir que c'est un objet en forme de disque avec un aspect métallique, rapproché, il peut être vu très clairement.

    Source : tercermilenio





















      


     




     

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  • NASSIM HARAMEIN EN FRANCE ET EN SUISSE EN AVRIL 2018

    VOIR ICI

    "Tout ce qui est considéré comme spirituel ou métaphysique est en général la physique que nous ne comprenons pas encore." – Nassim Haramein

      
    LORS DE CETTE LONGUE CONFÉRENCE DE PLUS DE 3 HEURES, NASSIM HARAMEIN PROPOSE : 

    • Des explications approfondies de sa théorie des champs unifiés 
    • De partager ses dernières recherches et ses développements technologiques 
    • Une Session de questions et réponses
     
    LES DATES DES CONFERENCES  NASSIM HARAMEIN 

    et la page : http://messagesdelanature.ek.la/nassim-haramein-p335731

     

     
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  • UN FILM INSOLITE : 'LA FORME DE L'EAU"

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    Source : You tube

    L'ovni de Marmara, le mieux filmé !

     

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    Ross 128b  : une nouvelle planète !

    Une nouvelle planète de la taille de la Terre vient d'être découverte, et ce monde potentiellement habitable, le plus proche de nous, orbite autour d'une étoile « calme » et propice à la vie.

    Découverte à seulement 11 années-lumière de notre planète, Ross 128b fait le tour d'une petite et faible étoile appelée naine rouge. Les naines rouges parsèment le cosmos et représentent 70 % des étoiles de la galaxie ; la plupart des étoiles les plus proches de nous sont des naines rouges.

    En se basant sur le nombre de planètes découvertes au cours des dernières années, les astronomes estiment qu'environ une étoile naine rouge sur trois a au moins une planète dans son orbite.

     Techniquement, la planète semblable à la Terre la plus proche est Proxima b, en orbite autour d'une naine rouge appelée Proxima Centauri située à 4.25 années-lumière de nous.

    Mais les jeunes et impétueuses étoiles comme Proxima Centauri imposent leur fureur stellaire aux planètes qui ont le malheur de leur tourner autour. Proxima Centauri a seulement cinq milliards d'années et continue très certainement à projeter des violents rayons stérilisants sur sa planète.

    Par contraste, l'étoile hôte de Ross 128b est plus mature, et après sept milliards d'années d'existence, sa rotation a considérablement ralenti. Cela signifie que sa planète a de meilleures chances de pouvoir abriter la vie à sa surface.


    LE FEU ET LA FUREUR

    Les astronomes ont découvert Ross 128b grâce au High Accuracy Radial velocity Planet Searcher (en français « Chercheur de planètes par vitesses radiales de haute précision ») ou HARPS, un un spectrographe échelle alimenté par fibres depuis le foyer Cassegrain à l'observatoire de La Silla au Chili. Il est destiné principalement à la recherche d'exoplanètes par l'observation de l'intensité lumineuse des étoiles et des subtils mouvements gravitationnels provoqués par la planète en orbite autour de l'étoile.

    Après 12 ans d'observation de l'intensité lumineuse de l'étoile et des mouvements alentours, l'équipe de recherche a annoncé mercredi 15 novembre qu'un tremblement faible mais régulier avait été observé en rotation autour de l'astre. Cette secousse cosmique est provoquée par une planète 30 % plus large que la Terre qui attire légèrement l'étoile à elle, comme le rapporte les auteur de l'étude publiée par le journal Astronomy & Astrophysics.
    « Il n'y a pas eu un moment "Eureka" où nous nous serions dit "super, nous avons découvert une planète" » raconte l'auteur principal de l'étude, Xavier Bonfils, de l'université de Grenoble. « Nous avons cumulé les données glanées au fil des années et seulement après nous avons constaté un signal persistant et significatif. »

    Bien qu'elle soit 20 fois plus proche de son étoile que la Terre ne l'est du soleil, Ross 128b orbite à une distance suffisante pour avoir développé ou pour développer une atmosphère semblable à l'atmosphère terrestre, et de l'eau sous forme liquide si les conditions atmosphériques sont favorables.

    « Certaines simulations [informatiques] estiment que la planète est suffisamment proche de son étoile pour avoir perdu son atmosphère. D'autres simulations au contraire font l'hypothèse que la planète aurait pu développer des nuages pour réfléchir les radiations et éviter la surchauffe. Dans ce scénario, l'eau pourrait être à l'état liquide à la surface de la planète » estime Xavier Bonfils.

    « Avant de tirer des conclusions hâtives, nous devons collecter davantage de données. »

    Si l'on considère le deuxième scénario, cela signifierait-il que Ross 128b pourrait abriter la vie ? Considérer son étoile comme "calme" est certainement vrai mais sans doute un peu fallacieux, selon Ed Guinan, astronome à l'université de Villanova qui a étudié le système Proxima Centauri.

    Source : .nationalgeographic.

     

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  • L'effet tunnel quantique pour générer de l'électricité


    Des chercheurs ont découvert le moyen de récupérer l’énergie de la Terre en transformant l’excès de rayonnement infrarouge et la chaleur perdue, en électricité que nous pourrions utiliser.


    Le concept implique l’effet tunnel (quantum tunnelling) et la clé de l’idée est une antenne spécialement conçue qui peut détecter les surplus ou la chaleur infrarouge sous forme d’ondes électromagnétiques à haute fréquence, transformant ces signaux en charge directe.

    En réalité, il y a beaucoup d’énergie gaspillée bêtement sur Terre : la plus grande partie de la lumière du Soleil qui frappe la planète, est absorbée par les surfaces, les océans et notre atmosphère. Cela conduit à un réchauffement qui lui-même provoque une fuite constante du rayonnement infrarouge, que certains estiment à des millions de gigawatts par seconde. Comme les longueurs d’onde infrarouges sont extrêmement courtes, afin de pouvoir les exploiter, il nous faut des antennes vraiment minuscules.

    Selon l’équipe internationale de chercheurs à l’origine de la nouvelle étude, c’est l’effet tunnel qui pourrait permettre la percée nécessaire dans le domaine : « Il n’existe actuellement pas de diode dans le commerce qui puisse fonctionner à une telle fréquence », explique Atif Shamim, chercheur principal de l’étude, à l’Université de Science et de Technologie du Roi Abdullah (KAUST), en Arabie Saoudite. « C’est pourquoi nous nous sommes tournés vers l’effet tunnel », ajoute-t-il.

    L’effet tunnel fait référence au phénomène de la mécanique quantique où une particule passe à travers une barrière qu’elle ne peut normalement pas surmonter (car elle ne possède pas suffisamment d’énergie pour le faire). L’un des exemples utilisés le plus souvent pour illustrer ce concept, est celui d’une balle roulant et remontant une colline : en physique classique, la balle a besoin d’une certaine quantité d’énergie pour pouvoir remonter la colline et passer de l’autre côté. Mais en physique quantique, avec l’effet tunnel, la balle peut traverser la colline avec moins d’énergie grâce à l’incertitude de position, qui est au cœur de tout phénomène quantique.
    Comment et en quoi cela peut-il aider à la construction d’antennes nanométriques ? Cela permet aux électrons d’être déplacés à travers une petite barrière, grâce à un dispositif spécifique, comme une diode MIM (Metal-Insulator-Metal), transformant les ondes infrarouges en courant électrique.

    Les scientifiques ont pu créer une nouvelle nanoantenne en forme de nœud papillon, en intercalant un film isolant mince entre deux bras métalliques légèrement recouverts d’or et de titane, créant de ce fait un dispositif capable de générer des champs électriques intenses, nécessaires pour le bon fonctionnement de la nanoantenne. « La partie la plus difficile était le chevauchement à l’échelle nanométrique des deux bras de l’antenne, qui nécessitait un alignement très précis. Néanmoins, en combinant des astuces avec les outils avancés de l’usine de nanofabrication de KAUST, nous avons y sommes parvenus », explique l’un des chercheurs, Gaurav Jayaswal, de KAUST.

    La nouvelle diode MIM a été capable de capturer avec succès le rayonnement infrarouge avec une tension appliquée nulle, de sorte qu’elle ne s’allume que lorsque cela est nécessaire. Tandis que les panneaux solaires conventionnels ne peuvent récolter qu’une partie du spectre de la lumière visible, être en mesure de capter tout l’excès de rayonnement infrarouge représenterait un changement révolutionnaire dans le domaine de la production d’énergie.

    De plus, contrairement aux centrales solaires, ces véritables cueilleurs d’énergie pourraient fonctionner 24 heures sur 24, quel que soit la météo. D’autres scientifiques travaillent actuellement sur le même problème, mais sous différents angles d’attaque.

    Pour le moment, il ne s’agit que d’une étape supplémentaire franchie avec succès, dans le domaine de la recherche de solutions, et de nombreux défis techniques restent à relever. Par exemple, actuellement, l’antenne n’est pas très économe en énergie. Mais, « ce n’est que le début – une preuve de concept », explique Shamim. Sur le long terme, et si la suite des recherches est concluante, alors cette technologie pourrait faire une énorme différence : « Nous pourrions connecter des millions de ces appareils pour augmenter la production d’électricité », ajoute le chercheur. 

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    Un livre en espagnol sur les ovnis et l'Armée de l'Air Mexicaine !

     

    Trois sphères en acier sont tombées au Pérou

    La scène s’est déroulée samedi dernier dans la région de Puno, une région située dans la partie sud-est du pays et plus précisément sur le haut plateau de Collao, à environ quatre mille mètres d’altitude.

     Les habitants de la ville de Larancahuani étaient en train de vaquer à leurs occupations lorsque trois éclats lumineux sont apparus dans le ciel avant de tomber lourdement au sol.

    Intriguées, plusieurs personnes ont monté une expédition afin de retrouver ces étranges objets. Elles ont découvert pas moins de trois boules en acier, des boules mesurant environ un mètre de diamètre et reposant dans des cratères causés par leur chute.

    Les autorités péruviennes ont ouvert une enquête et plusieurs scientifiques ont examiné les boules, sans pour autant parvenir à déterminer leur nature. Très vite, des rumeurs ont commencé à circuler, des rumeurs faisant inévitablement allusion à des artefacts extraterrestres.

    Des rumeurs renforcées par l’apparition d’une boule de feu dans le ciel quelques minutes avant la chute de ces étranges objets.


    Des artefacts extraterrestres… ou de simples réservoirs de carburant ?... 

    .fredzone.

     

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