En été 1993, une expérience fut conduite dans un jardin potager en Ariège. Des tomates reçurent de la musique 3 minutes par jour (avec un radio cassettes) : transpositions musicales de 6 protéines utilisées pour améliorer leur production.
Les tomates musicales furent deux à trois fois plus nombreuses, 2,5 fois plus grosses.
La protéine anti sécheresse utilisée a permis de ne les arroser que deux fois par semaine au lieu de tous les jours.
Un rendement 20 fois supérieur fut constaté.
Idem pour d’autres légumes…
D’autres applications et expériences furent réalisées depuis.
{Magazine, Nexus, No 2, 05-06/1999}

Des plantes mélomanes

« En juin 1992, Joël Sternheimer, professeur à l’Université européenne de la recherche, a déposé le brevet du « Procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique », une théorie révolutionnaire qui permettrait d’expliquer, entre autres, l’influence de la musique sur des organismes vivants. »
Le physicien Joël Sternheimer a découvert des lois de résonnance harmonique, qui prouvent – scientifiquement – que la musique peut influencer l’épanouissement des êtres vivants.
En travaillant sur le problème de la distribution des masses des particules, il découvrit qu’elles étaient réparties suivant une gamme musicale, la gamme tempérée essentiellement, ce qui indique que dans les fréquences associées à ces particules il existe des harmoniques. Se plongeant dans un long travail théorique en physique quantique, Joël Sternheimer prédit et mit indirectement en évidence l’existence de ce qu’il appelle des ondes d’échelle, qui seraient émises par des particules et notamment, dans les cellules vivantes, par les acides aminés, à des fréquences inaudibles. La présence de ces ondes, dont il calcule les fréquences, expliquerait certaines interactions et comportements des molécules entre elles.
Lorsque les plantes « écoutent » la mélodie appropriée, les ondes acoustiques sont transformées « microphoniquement » en ondes électromagnétiques elles-mêmes sources « d’ondes d’échelle », et elles se mettent à produire la protéine spécifique à cette mélodie. Mais Joël Sternheimer va plus loin. Si l’on connaît la succession de notes correspondant à une protéine, on peut la stimuler ; mais on peut aussi l’inhiber, c’est-à-dire freiner sa fabrication. Il suffit pour cela d’avoir la mélodie opposée. Très schématiquement, si la mélodie qui stimule est dans les graves, celle qui inhibera sera dans les aiguës. Chaque acide aminé possédant son équivalent en note stimulante et en note inhibitrice, on disposera de deux décodages, deux mélodies pour chaque protéine.


Au Japon, la société Gomei-kaisha Takada a déposé un brevet en 1991 sur l’utilisation de certaines musiques censées améliorer la fermentation des levures employées pour la fabrication de sauce-soja et de la célèbre pâte miso.
Durant l’été 1994, qui fut particulièrement chaud, les effets de la musique de la protéine TAS 14, une protéine de résistance de la tomate à la secheresse, isolée en 1990 par trois chercheurs espagnols – J.A. Pintor-Toro, J.A. Godoy et J.M. Pardo (Plant Mol. Biol. vol. 15, page 695) -, furent testés dans une serre en Suisse, avec la participation de Jean Marcel Huber, un industriel, et Castor Egloff, un horticulteur, par une température de 35 à 39 degrés. Trois minutes par jour, du 26 juillet au 11 août 1994, une partie des tomates de la serre a reçu cette musique en plus d’une ration d’eau d’un litre et demi. Le résultat fut spectaculaire. Les feuilles des tomates musicales restaient vertes alors que celles qui n’avaient reçu que de l’eau séchaient. Enthousiasmés et intrigués, Mansour et Ousmane Gueye – un industriel sénégalais et son frère technicien agricole, ont entrepris une expérience similaire en Afrique.

(Source : futurinc.lautre, 15/03/2004, La musique et les plantes}

 

Selon Joël Sternheimer, physicien, chercheur indépendant, les acides aminés, formant une protéine, émettent une onde d’échelle, à une fréquence donnée. Cette fréquence peut être transformée en mélodie. En faisant écouter à un organisme la mélodie spécifique d’une protéine, cela stimulerait sa synthèse – ou l’inhiberait pour une mélodie complémentaire, en « opposition de phase » avec la précédente…

(Source : sciencefrontieres, revue Science Frontières n°56, octobre 2000)  

Par exemple, une expérience a été conduite de juillet à octobre 1996 dans la région sud de Dakar (Sénégal), déstinée à observer et évaluer l’effet, sur plusieurs centaines de plants de tomates cultivés en plein air, de la stimulation épigénétique par résonance d’échelle de la protéine TAS14 anti-sécheresse. Pour une diffusion musicale de 3 minutes par jour, le rendement spécifique des cultures a été multiplié par 20.

(Source : bekkoame)

« La musique de Mozart, de Bach ou de Tchaïkovski a-t-elle une influence sur la qualité du vin ? C’est une hypothèse que des chercheurs de l’université de Florence envisagent sérieusement, après avoir étudié de près l’expérience menée par un viticulteur toscan. Giancarlo Cignozzi, ancien avocat devenu propriétaire viticole, produit le fameux brunello de Montalcino, un vin rouge d’exception apprécié dans le monde entier. Depuis qu’il a sonorisé son vignoble avec des dizaines d’enceintes acoustiques, cet original trouve que sa vigne pousse avec davantage de vigueur. Elle est moins malade que celle de ses voisins, et son raisin mûrit plus vite. »

(Source : lemonde, Le Monde, 29 Septembre 2005)

Giancarlo Cignozzi, propriétaire toscan, s’inspirant d’études chinoises et coréennes portant sur l’impact de la musique sur la croissance des plantes, décide d’adapter les techniques à la culture de sa vigne, qui serait depuis lors moins sensible aux parasites et autres moisissures à un point que l’expérience intéresse désormais la très sérieuse université de Florence.
« En hiver, quand les vignes dorment, j’utilise de la musique sacrée ¬ Haydn, Haendel, La Flûte enchantée de Mozart, un peu de Gluck », a-t-il expliqué au quotidien La Stampa. Et le professeur Stefano Mancuso, spécialiste italien de neurobiologie végétale, rajoute « Les effets de la musique, ou plutôt des fréquences sonores, sur la croissance de la plante sont remarquables. »

{Source : republiquedessens)

La musique de Mozart, de Bach ou de Tchaïkovski a-t-elle une influence sur la qualité du vin ? C’est une hypothèse que des chercheurs de l’université de Florence envisagent sérieusement, après avoir étudié de près l’expérience menée par un viticulteur toscan. Giancarlo Cignozzi, ancien avocat devenu propriétaire viticole, produit le fameux brunello de Montalcino, un vin rouge d’exception apprécié dans le monde entier. Depuis qu’il a sonorisé son vignoble avec des dizaines d’enceintes acoustiques, cet original trouve que sa vigne pousse avec davantage de vigueur. Elle est moins malade que celle de ses voisins, et son raisin mûrit plus vite.
Impressions confirmées par les premiers travaux du professeur Stefano Mancuso, spécialiste italien de neurobiologie végétale, qui a commencé à reproduire en laboratoire les essais en plein champ du viticulteur mélomane : « Les effets de la musique, ou plutôt des fréquences sonores, sur la croissance de la plante sont remarquables. »

(Source :cecicela.typepad, 28.09.05, LE MONDE)

« Depuis que je lui diffuse de la musique, le raisin a gagné en sucre et surtout en arôme », se réjouit le viticulteur Jean-Marie Zerr. Bien sûr, le soleil du mois d’octobre y est pour beaucoup « mais les parcelles sans musique n’atteignent pas la qualité qu’on obtient ici ».
Depuis 2004, ses vignes sont conduites en biodynamie et Jean-Marie Zerr est toujours à la recherche de méthodes naturelles pour stimuler ses cultures. Sentant instinctivement que « les fréquences sonores font réagir les végétaux », il s’intéresse à la musicothérapie pour les plantes. Après des contacts avec une entreprise spécialisée en la matière, il décide de se lancer.
Le temps de s’organiser, d’installer la sonorisation, de se concocter un programme musical, le gros des vendanges est déjà passé ; des parcelles tardives feront donc office de cobayes.
« Je mets la musique dès que les oiseaux se mettent à chanter. Il faut respecter les temps de repos de la nature ». De la musique classique, le rythme du rock ou de la techno ne convenant pas : « le rythme est trop agressif ».
La musique équilibre le sucre et les arômes
En plus des grands classiques, « il y a des mélodies spécifiques pour la vigne, en fonction de ce qu’on veut faire », précise encore le viticulteur en faisant entendre des harmonies assez sommaires, « mais efficaces ». Chaque note a une certaine fréquence qui stimule telle ou telle protéine et les mélodies proposées par les musicothérapeutes pour les plantes visent à développer les systèmes racinaires, à renforcer les défenses naturelles ou à ouvrir les stomates des feuilles pour une meille! ure absorption des traitements (bio en l’occurrence), « ce qui économise du temps et des produits ».

(Source: cecicela.typepad, 30.10.2007, Dernières Nouvelles d’Alsace ) 

     

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