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Des plantes très bizarres
Des plantes très bizarres
Un monde végétal aux particularités étranges!
Eucalyptus deglupta
Un arc en ciel dans la nature
Connu aussi pour son autre petit nom, l'Eucalyptus arc en ciel, l'arbre est surtout cultivé pour son tronc décoratif. En effet il perd en permanence son écorce lisse qui se détache en fins et longs lambeaux et qui change progressivement de couleur en vieillissant : d'abord d'un vert pâle, elle commence par foncer avant de devenir bleue, violette puis orange et enfin marron.(source : generalkulture)
Source : Jupiter Queen
Chaque couche d’écorce de l’eucalyptus arc-en-ciel est d’une couleur uniforme. Mais, comme l’arbre pèle, on peut voir plusieurs couleurs à la fois ! D’ailleurs le nom scientifique de cette variété est eucalyptus deglupta, du latin degluptere qui signifie peler…Compte tenu de ce phénomène, chaque arbre change continuellement d’aspect et de couleur et aucun spécimen ne ressemble à un autre !
L’eucalyptus arc-en ciel est originaire de quelques îles des Philippines, d’Indonésie, et de Papouasie-Nouvelle Guinée.
Contrairement aux plus de 900 autres variétés d’eucalyptus recensées, celle-ci a la particularité d’être la seule à ne pas produire d’huile essentielle.Source : positivr
Amorphophallusc arsene
Un arôme puissant de viande pourrie!
Amorphophallus est un genre de 170 espèces de plantes tropicales et subtropicales de la famille des Araceae. Ce sont des plantes herbacées tubéreuses.
Ce sont des plantes typiques des basses terres que l'on rencontre de l'Afrique de l'ouest aux îles du Pacifique. On n'en trouve aucune en Amérique bien que l'on y trouve Dracontium, un genre remarquablement similaire bien qu'il ne soit pas proche de Amorphophallus. La plupart des espèces sont endémiques, à aire de distribution réduite, et croissent de préférence sur des sols pertubés dans les forêts «secondaires».
Les plus petites espèces comme les plus grosses croissent à partir d'un tubercule souterrain dont la forme varie largement d'une espèce à l'autre. Le tubercule peut être globuleux comme dans le cas d'Amorphophallus konjac, allongé pour Amophophallus longituberosus ou Amorphophallus macrorhizus ou former un réseau bizarre de racines comme pour Amorphophallus coaetaneus.
Du sommet du tubercule se forme au sommet d'un pétiole une feuille solitaire, qui peut atteindre plusieurs mètres de large chez les plus grandes espèces. Cette feuille qui se développe horizontalement au sommet de son pétiole peut être divisée en de nombreuses folioles. Cette feuille est annuelle.
A maturité, le développement de cette feuille est précédé par la formation d'une inflorescence unique.
Comme chez les autres Araceae, l'inflorescence de ces espèces est constitué d'un spathe qui enveloppe généralement un spadice (un épi de fleurs avec un axe charnu). Le spathe peut avoir différentes couleurs, en général brun-pourpre ou blanc-verdâtre. L'intérieur est tapissé de crêtes ou de verrues retenant les insectes.
À l'aide de nombreux pièges les insectes sont maintenus à l'intérieur du spathe le temps qu'il pollinisent les fleurs femelles. Lorsque les fleurs mâles parviennent à maturité, le jour suivant, elles recouvrent de pollen les insectes qui s'échappent du spathe leur permettant d'aller polliniser une autre fleur.
Les fleurs fécondées donnent des fruits qui sont des baies globuleuses. Elles peuvent être rouges, orange, blanches, blanc et jaune, bleues.
Amorphophallus titanum est l'espèce qui possède la plus grosse inflorescence, celle d'Amorphophallus gigas est plus allongée mais légèrement plus petite.
(source : wikipedia)Hydnora Africana
Le cannibale du désert
La majeure partie de la plante pousse sous terre, en Afrique du sud, sauf la fleur géante et charnue qui émerge au-dessus du sol et émet une odeur d'excréments pour attirer ses pollinisateurs naturels, tels que les bousiers. La fleur agit comme un piège pendant une période brève pour retenir les insectes qui y entrent, les relâchant quand la fleur est complètement ouverte.
Dracaena cinnabari
L'arbre issu d'ailleurs
Le dragonnier de Socotra, que l'on croirait tout droit issu d'une autre planète, produit une résine rouge, appelée sang-dragon. Cette résine faisait déjà l'objet d'un commerce dans le monde antique où elle était utilisée dans la médecine traditionnelle et comme colorant. La résine n'est récoltée qu'une fois par an ; d'où sa grande valeur marchande. Aujourd'hui, ces arbres sont menacés à cause n assèchement général du climat de l'île de Socotra, le seul endroit ou l'on peut les retrouver.(source : generalkulture)
WolffiaDes fleurs sans racines
Les wollfias, sont des plantes aquatiques flottantes appartenant au genre Wolffia, (famille des Lemnacées).
Le nom générique Wolffia a été créé en l'honneur du botaniste allemand Johann Friedric Wolff (1778-1806)Ces plantes ont un appareil végétatif très simplifié, de taille minuscule, constituée par une lamelle verte (fronde) de dimensions réduites (de l'ordre du millimètre, ce qui en fait les plus petites des plantes à fleurs), généralement ovale, flottant à la surface de l'eau, sans racines et portant des fleurs au dessus. Elles sont souvent isolées ou réunies par deux et forment des populations denses à la surface des eaux douces stagnantes.
Ces sont des plantes vivaces se reproduisant végétativement par bourgeonnement de la lame.
Les fleurs, très simplifiées, sont au nombre de deux, l'une fleur pistillée (femelle) et l'autre staminée (mâle).
Les fruits indéhiscents contiennent une seule graine.
(source : wikipedia)Desmodium Gyrans
La plante qui danse
Originaire du sud de l'Asie, cette plante sensitive est surnommée "The Dancing Plant" par les anglophones, en référence au mouvement de ses feuilles. En réalité, pas besoin de mettre de la musique pour la voir danser.Chaque feuille est équipée de deux feuilles plus petites, sur son pétiole. Ces dernières effectuent un mouvement elliptique parfaitement visible, leur permettant de déterminer la meilleure orientation à adopter par les feuilles plus grandes, par rapport au soleil, de façon à recevoir un maximum de lumière. Une fois ceci fait, l'orientation est prise par les feuilles plus grandes, à la manière d'un tournesol qui tourne sa fleur en direction du soleil.
(source : generalkulture)
Dracunculus vulgaris
Produit de la chaleur au niveau au moment de la floraison
Coupe dans un spathe de Dracunculus vulgaris : le spadice porte à la base des fleurs femelles jaunes, surmontées de fleurs mâles noires. La longue partie supérieure du spadice, de couleur pourpre, ne porte pas de fleurs (partie stérile).
De croissance rapide, la plante a une taille de 0,6 à 1,2 m de haut. C'est une plante vivace herbacée à racine tubéreuse dont le feuillage disparaît après la floraison (un géophyte).
Elle présente une grosse tige mouchetée de pourpre avec plusieurs feuilles digitées, pédatiséquées, incurvées, à 9-13 lobes à pétiole engainant. Le limbe est tacheté de blanc le long des nervures qui sont vert clair.
Une unique inflorescence de 30 à 130 cm apparaît au printemps ou au début de l'été suivant le climat. La spathe est rouge pourpre à l'intérieur et verte à l'extérieur ; elle entoure le spadice pourpre presque noir portant les fleurs unisexuées dans la partie inférieure et un long appendice stérile au dessus. La base de la spathe forme une chambre florale contenant les fleurs femelles en bas et les fleurs mâles au dessus.
Comme beaucoup d'aracées, l'inflorescence dégage une odeur de viande en décomposition pour attirer les insectes pollinisateurs, principalement les mouches.
Les fruits sont des baies rouge-orangé à maturité, toxiques.Cette espèce est originaire de l'est de l'Europe méditerranéenne, de l'Albanie à la Crète et la Turquie. Elle est naturalisée plus à l'ouest, notamment en Italie, dans le midi de la France et en Corse, ainsi qu'en Afrique du Nord.
Elle pousse naturellement aussi bien en terrain aride (maquis, garrigue) que sous le couvert de feuillus.Comme beaucoup d'Aracées, le Dracunculus vulgaris produit de la chaleur au niveau de son inflorescence au moment de la floraison par un processus métabolique nommé thermogenèse. Les fleurs femelles sont matures avant les fleurs mâles (protogynie) et sont fécondées par le pollen transporté par des insectes qui pénètrent dans la chambre florale.
L'anthèse se fait sur deux jours :
le début de l'ouverture de la spathe se situe une première nuit quand la température de la chambre florale augmente (3,7 °C de plus que la température ambiante)
le premier jour, l'appendice (extrémité du spadice) dégage de la chaleur et des odeurs
la seconde nuit, la température de la chambre florale augmente à nouveau (8,4°C de plus que la température ambiante), l'appendice n'émet plus de chaleur ni d'odeur
le second jour, la séquence se termine, les insectes s'échappent de la chambre
Le premier jour les odeurs de charogne émises par l'appendice attirent un grand nombre de mouches et de coléoptères qui se posent sur la spathe. Les coléoptères en général glissent et tombent dans la chambre florale et ne peuvent en sortir avant le second jour. S'ils sont porteurs de pollen venant d'une autre fleur, ils assurent une fécondation croisée des fleurs femelles. Celles-ci ne peuvent d'ailleurs être fécondées que ce jour-là. Le lendemain, les insectes, dans leurs efforts pour sortir, se couvrent de pollen que les fleurs mâles ont alors relâché.
L'appendice et la chambre florale s'échauffent de manière différente. Alors que la consommation d'oxygène de l'appendice est directement liée à la température ambiante, pour la chambre florale la relation est inverse. La température de la chambre la seconde nuit est maintenue à 18°C. Pour Seymour & Schultze-Motel2, la production de chaleur de l'appendice est liée seulement à la production d'odeur pour attirer les pollinisateurs, alors que le réchauffement de la chambre florale est directement lié au maintien de l'activité des insectes.
UtilisationLe Dracunculus vulgaris est cultivée pour l'ornement. (source : wikipedia)
Mimosa Pudica,
La plante chatouilleuse
Cette plante tient son nom de sa la particularité à se replier au moindre choc (le vent, la pluie, le toucher...). Il s'agit de l'un des mouvements les plus spectaculaires du règne végétal. Ce mouvement de repli permet de se protéger des intempéries, des prédateurs herbivores. En effet, un rameau replié sur lui-même est moins appétissant et les feuilles sont ainsi moins exposées aux éventuelles dégradations naturelles. Eh oui, les plantes aussi ont des sentiments!
(source : generalkulture)
Rafflesia arnoldii
La plus grande fleur du monde
C'est l'Arum titan (Amorphophaluus titanum (Becc.) Becc. ex Arcang., famille des Araceae) qui est le plus souvent cité comme ayant la plus grande fleur au monde, mais cette fleur est une fausse-fleur, c'est-à-dire une inflorescence condensée reproduisant morphologiquement et fonctionnellement une fleur unique. Les vraies fleurs de l'Arum titan, situées à la base de son spadice, sont en fait très petites, alors que la fleur de Rafflesia arnoldii est réellement gigantesque, la plus grande connue à ce jour. Elle peut en effet atteindre un mètre de diamètre et peser jusqu’à 11 kg.
Rafflesia arnoldii est une plante parasite des lianes tropicales du genre Tetrastigma (famille des Vitaceae). Il s'agit d'un parasite strict, non chlorophyllien, un holoparasite. Elle ne possède ni feuilles ni racines, son appareil végétatif est réduit à des filaments internes aux tissus de la plante-hôte. Les parties aériennes de la plante se résument à sa fleur.
La fleur, charnue, est rouge ocre, cloquée de pustules crémeuses. Elle dégage une forte odeur de charogne qui attire des insectes comme la mouche Chrysomyia megacephala qui assurent la pollinisation, à condition que des fleurs mâles et femelles soient simultanément écloses dans un proche rayon car Rafflesia arnoldii est une plante dioïque.
En dehors de la floraison, la présence de Rafflesia arnoldii est indétectable. Elle se développe pendant un an ou deux dans les tissus de sa plante-hôte et aux dépens de celle-ci, puis apparaît une nodosité qui se craquelle et émerge des tissus de l'hôte, au ras du sol : le bouton floral. Ce dernier grossit pendant plusieurs mois jusqu’à atteindre la taille d’un ballon de basket, puis éclot en répandant une odeur fétide. La fleur ne reste éclose que quelques jours.
Habitat et répartition. On trouve cette plante dans les forêts humides à Sumatra et à Bornéo, en Indonésie.Selaginella lepidophylla
La plante qui ressuscite
Cette plante est nommée aussi La rose de Jericho, en référence à la ville biblique de Jéricho. (cette ville renaissait sans cesse de ses cendres). Tout comme cette ville, cette plante est capable de revenir d'entre les morts. Au contact de l'eau, la plante desséchée va s'ouvrir au bout de quelques heures et progressivement les feuilles desséchées vont reprendre leur couleur verte. Cette capacité lui permet dans son milieu naturel (Le désert du Mexique) de reprendre sa croissance en se réhydratant après une longue période de sécheresse.
Au Mexique, la Rose de Jéricho est vendue comme diurétique. Les femmes boivent l'eau dans laquelle est trempée la plante pour faciliter l'accouchement. Selon la vitesse à laquelle s'épanouit la Rose dans l'eau, elles déduisent si l'accouchement sera facile ou difficile.
(source : generalkulture)
Pachypodium namaquanum
Des pieds épais
Pachypodium namaquanum est une plante vivace, qui croît sous la forme d’un tronc conique rarement ramifié. Le tronc atteint une hauteur de 1,5 à 2 m, d’une base allant jusqu’à 30 cm de large et se réduisant à 9 cm environ à la cime. L’écorce gris-argent, en forme de spirale, est couverte de bosselures, desquelles sortent 3 fortes épines marron clair longues de 7 cm. Les feuilles forment une rosette à la cime du tronc. Elles sont vert pâle, souples, plissées, veloutées, elliptiques ou lancéolées inverses, d’une longueur allant jusqu’à 12 cm et une largeur de 2 à 4 cm.
Les fleurs, répandues au sommet de la plante, sont en forme de gobelet de 2,5 à 5 mm de long et de 8 à 10 mm de large. Leur intérieur est pourpre mat, l’extérieur vert-jaune.
Les fruits atteignent de 2,5 à 4 cm et contiennent des graines ovoïdes de 4 mm.
Répartition et habitatCette espèce est répandue dans le sud de la Namibie, ainsi que dans la région du Cap-du-Nord en Afrique du Sud (Namaqualand).
Elle y pousse sur les pentes rocheuses et sèches entre 300 et 900 mètres d’altitude.
Conservation
Pachypodium namaquanum est listé « en danger » dans la Convention de commerce international des espèces végétales et animales (Convention on the International Trade in Endangered Species of Flora and Fauna)1.
(source : wikipedia)Welwitschia mirabilis
La plante qui peut vivre 2000 ans
Welwitschia mirabilis est la seule espèce du genre Welwitschia et de la famille des Welwitschiacées. Cette plante est considérée comme une espèce panchronique.
Cette plante très particulière des déserts côtiers de Namibie et d'Angola (Désert de Namib) a été nommée en l'honneur du Dr Friedrich Welwitsch qui l'a découverte en 1860.
Elle est constituée de deux grandes feuilles linéaires qui croissent de façon indéfinie dans des sens opposés et dont les extrémités se dilacèrent. Sa longévité est considérable : certains spécimens observés ont entre 1000 et 2000 ans.La Welwitschia pousse à partir d'un tronc court et épais qui comporte uniquement deux feuilles qui croissent continuellement à partir de leur base et une longue et épaisse racine. Les feuilles peuvent atteindre une longueur de 2 à 4 mètres et sont généralement divisées en bandes longitudinales, ce qui peut parfois masquer le fait qu'il n'y a que deux feuilles à l'origine.
L'espèce est dioïque, les plantes mâles et femelles étant distinctes. La pollinisation, à savoir le transfert du pollen des fleurs mâles aux fleurs femelles, semble être réalisée par les insectes attirés par le nectar produit aussi bien par les fleurs mâles que femelles.
Après la germination, les deux feuilles, plus ou moins laciniées par l'âge, correspondent aux cotylédons, la Welwitschia étant une plante néoténique. La croissance continue sur les côtés; cela donne forme à la croissance obconicale de la tige.
L'âge des plantes est difficile à évaluer, mais on pense qu'elles ont une vie extrêmement longue, peut-être 1000 ans ou plus. Certains spécimens pourraient atteindre les 2000 ans.La plus grande Welwitschia connue, surnommée "The Big Welwitschia, atteint 1,40 m de haut et plus de 4 m de diamètre.
Adaptation au climat arideOn pense que la plante absorbe l'eau par le biais de structures particulières de ses feuilles recueillant l'humidité de la rosée qui apparaît dans le désert chaque nuit. Comme adaptation supplémentaire aux conditions arides et aux températures chaudes de la journée (c'est la seule espèce de gymnospermes à agir ainsi), W. mirabilis utilise le métabolisme acide crassulacéen (CAM) qui est un moyen de fixer le carbone par la photosynthèse.
(source : wikipedia )
Colletia paradoxa
La plante "ancre"
Colletia paradoxa, parfois appelé également C. cruciata est un arbuste très ramifié originaire d'Amérique du Sud. (Uruguay, Brésil) Cette espèce est la plus cultivée du genre, en raison de son originalité due à ses fortes épines vert-grisâtre, aplaties et triangulaires, disposées par paires opposées décussées.
Colletia paradoxa est une plante d'apparence étrange. Elle peut être plantée en plein air dans les régions aux gelées faibles (-8°c) dans un sol sec et en plein soleil. Ailleurs il sera cultivé en pot et rentré l'hiver en serre froide.
Attention, cette plante étant armée de forte épines, on évitera de la placer près d'un endroit de passage et à proximité d'aires de jeux d'enfants. Notons que ce Colletia supporte de fortes tailles.
Note - Ce genre est dédié à Philibert Collet (1643-1718), botaniste français.
Cet arbuste porte rarement des feuilles et celles-ci on une durée de vie éphémère et ne sont portées que par les jeunes pousses. Les fortes épines (qui sont en fait des rameaux aplatis) sont longues de 2-4 cm et larges de 1-3 cm et font fonction de feuilles en se chargeant de la photosynthèse.
Les fleurs, très nombreuses, sont solitaires ou disposées en petits glomérules ne comprenant que quelques fleurs. Elles sont situées à la base des épines et sont en forme d'urnes. Longues d'environ 6 mm, elles apparaissent en automne et ont un parfum de miel.
Le fruit est une drupe vert clair, brillante, comprenant 3 loges et d'environ 4-5 mm de diamètre.
Colletia paradoxa requiert les expositions suivantes : lumière,soleil
Colletia demande un sol bien drainé, sec, léger. Pour une culture en pot, on emploiera un mélange composé pour moitié de terre franche et pour moitié de terreau.
Cette plante peut être sujet à des pourritures racinaires en sol trop humide.(source : gardenbreizh)
Bowiea volubilis
La plante aux cheveux
Bowiea volubis est une espèce de plante monocotylédone. Elle est composée d'un bulbe en forme d'oignon sur lequel pousse une longue tige verte qui produit de petites fleurs. C'est la seule espèce actuellement acceptée dans le genre Bowiea
Elle appartient à la famille des Liliaceae selon la classification classique. La classification phylogénétique la place dans la famille des Hyacinthaceae (ou optionnellement dans celle des Asparagaceae).
Elle est originaire d'Afrique du sud (du Zimbabwe, de Tanzanie, du Kenya).
Le nom de cette plante vient du collectionneur anglais James Bowie (1789-1869).Toutes les parties de la plante sont toxiques, à tel point que celle-ci ne possède pas de parasites, même le contact avec la peau est irritant.
Le bulbe peut atteindre 25 cm de diamètre (au bout de plusieurs années)et la plante environ 2,50 m. de haut.
(source : wikipedia.org)
Raoulia eximia
La plante mouton
La « ponga » : fougère argentée considérée comme l'emblème national de la Nouvelle-Zélande ; La « raoulia eximia » : « plante-mouton » car elle ressemble à la laine de cet animal ; Pohutawaka : arbre de Noël de Nouvelle-Zélande avec ses fleurs rouges; cet arbre fleurit surtout sur les côtes ; Forêts de Kauris, arbres au tronc rectiligne. Ces arbres sont malheureusement de plus en plus rares car ils sont utilisés pour réaliser des sculptures ou la construction des maisons ou des bateaux
(source : geo.fr)Nepenthes
La géante carnivore
désigne chez Homère la boisson que Pâris donna à boire à Hélène après son enlèvement pour lui faire oublier son pays natal. Les femmes de la ville égyptienne de Thèbes passaient pour détenir le secret de sa composition. Dans la pharmacologie "moderne", les pilules de népenthès contenaient de la jusquiame, de la myrrhe et de l'opium.
Ce sont des plantes à tige ligneuse de longueur variable (20 cm à 20 m), grimpantes, prenant appui sur un arbre (épiphytes) ou couchées sur le sol1. Les fleurs sont dioïques, petites, groupées en panicules ou en épis terminaux, et sans intérêt par rapport aux feuilles à forme très particulière .
Les feuilles sont alternes, ovales, lancéolées, et leur limbe (prolongement de la nervure de la feuille) vrillé forme à leur extrémité une urne membraneuse ou ascidie surmonté d'un opercule. Les ascidies, qui sont les pièges de la plante, renferment un peu de liquide sucré et acidulé sécrété par leurs parois, sur lequel surnagent quelques cadavres d'insectes. Ce liquide passe encore en Orient pour être efficace contre de nombreuses maladies.
La partie supérieure de l'urne comporte une couche épicuticulaire de cire, organisée autour de stomates modifiés, les lunates cells. Cette cire, organisée en paillettes acérées, possède un fort pouvoir de contamination des systèmes d'adhésion des insectes (les pulvilli). Au contact des pattes d'insectes, cette cire se transforme en une pâte amorphe, qui déstabilise l'insecte et le fait glisser vers la partie digestive.
L'urne est surmontée d'un couvercle (l'opercule) qui fait office de parapluie.
Les fleurs en grappes sont nombreuses et petites et sont généralement de couleur verdâtre ou brune.Nepenthes tentaculata, Mont Kinabalu, Sabah, Malaisie
On retrouve le genre Nepenthes dans la zone intertropicale humide de l'« ancien monde ». Il est présent sur le triangle formé par Madagascar, le Khasi indien (montagnes de l'État du Meghalaya), et la Nouvelle-Calédonie.
Il existe plus de 100 espèces décrites2 et de très nombreux hybrides, naturels et horticoles. Ce sont les îles de Sumatra et de Bornéo qui sont les plus riches en espèces, en particulier endémiques.Les népenthès sont toutes des plantes tropicales poussant à une altitude variant entre le niveau de la mer et 3 250 m (Nepenthes lamii est l'espèce poussant à la plus haute altitude, en Nouvelle-Guinée). La plupart affectionnent les forêts humides et plutôt ouvertes. Certaines espèces comme Nepenthes ampullaria ou Nepenthes bicalcarata aiment les forêts très denses et ombragées, d'autres comme Nepenthes mirabilis ou Nepenthes rafflesiana poussent dans des milieux très ouverts, voire partiellement dégradés. Toutes par contre ont besoin d'une forte hygrométrie. Elles peuvent être terrestres ou épiphytes. Les espèces terrestres poussent dans des sols acides, pauvres en nutriments et souvent gorgés d'eau, comme la plupart des autres plantes carnivores.enthes rajah, Nepenthes villosa, Nepenthes edwardsiana.
(source : wikipedia)
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