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Des visiteurs à trois doigts...(page 1)
Des visiteurs à trois doigts...(page N°1)
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Des gravures rupestres et des pétroglyphes retrouvés dans le monde entier, et datant de milliers d'années représentent des êtres ayant 3- 4-ou 5 doigts. Ces êtres ont-ils existé et existent-ils encore ? Ont-ils vécu avec les autochtones ?
Représentation d'êtres à trois Doigts
Alto Allegre - Brésil
Colombie
La piedra de Oriwari Prov de Satipo - Perou
Patajen Pérou
Culture Chan Chan - Pérou
Culture Chimu - Pérou - 1000-1460 AD
PARACAS - PEROU - 700-400 av JC
Des Etres à 3 doigts peints en Russie il y a 5000 ans !
Des experts sont déroutés après avoir découvert des peintures rupestres, qui auraient été peintes il y a environ 5 000 ans à l'âge du bronze. Ces motifs semblent avoir été conçus par des personnes qui avaient une compréhension et des connaissances sophistiquées sur l’univers, bien avant que la civilisation moderne n’émerge. Ces œuvres, découvertes près du village de Karakol, dans la République de l'Altaï, en Russie, montrent des figures extraterrestresavec des cornes rondes et des plumes sur la tête. Elles ont été trouvées en 1985 et, contrairement à la croyance populaire, elles sont loin d’être des peintures simplistes réalisés par des hommes des cavernes. Elles sont étonnamment complexes par leur nature et leur contenu. Elles sont même colorés en rouge, blanc et noir. Elles ont été trouvées pour la première fois dans un village éloigné de Sibérie et ont révélé le merveilleux talent des artistes préhistoriques. Des scientifiques de l'Institut Kurchatov basé à Moscou, le principal centre de recherche et de développement sur l'énergie nucléaire en Russie, ont déclaré que les couleurs rouges fascinent particulièrement les experts. On pense que les teintes rouges ont été créées avec de l'argile. Celles-ci présentent un intérêt particulier pour les scientifiques car il semble que les artistes qui peignaient les tombes d'il y a 5000 ans étaient extrêmement bien informés et comprenaient comment effectuer des réactions chimiques afin de créer des tons très précis en faisant varier les processus de chauffage. Cela est considéré comme une technique assez avancée qui, à l'époque, n'aurait pas pu être connue.
Roman Senin, responsable du département de recherche sur le synchrotron à l'Institut Kurchatov, a déclaré avoir été en mesure de déterminer la composition graduelle des pigments, qui correspond en gros à la structure du réseau cristallin de différents grains du colorant. C'est en faisant cela que les chercheurs ont pu déterminer que tous les échantillons n'étaient pas complètement naturels. Ils étaient en réalité le produit final du traitement thermique. Par conséquent, cela conclut que ces premiers artistes chauffaient les matériaux à une température très spécifique afin d'obtenir les tons et nuances de couleurs souhaités. Source : .disclose.tv
Cotundo - Équateur
Las Labradas - Mexique
Atabeyra déité de la fertilité - Grenade - Caraïbes
Culture Arawak - Guadeloupe
Vénus de Chanapata - Cusco (Pérou)
DESSINS sur des pîerres DE PAMPACOLCA (Pérou)
Argentine - des êtres avec des antennes...
Equateur - Cantón Archidona, Provincia de Napo
Pérou
Paracas - Pérou
Museo Larco Lima Pérou
Teotihuacan - Mexique
Musée art précolombien de Santiago du Chili
Statue de MORROP - Chiclayo - Pérou
La ville péruvienne de Chiclayo, également connue sous le nom de "Capitale de l'Amitié" a un monument vraiment étrange dédié à l'ancien dieu Morrop le reptilien. Dans la quatrième plus grande ville du Pérou, il y a une grande statue. L'œuvre d'art est destinée à montrer la divinité Morrop et a été construite en tenant compte des anciennes descriptions du dieu reptilien.Il y a 2000 ans, la région du nord du Pérou était habitée par le peuple Moche, une civilisation riche d'une culture et d'une mythologie qui continuent de nous dérouter jusqu'à ce jour. Par exemple, la statue du dieu décidément reptilien Morrop, l'homme Iguana.
Les Mochicas considéraient l'Iguana Man comme un personnage puissant qui était crucial pour leur descente dans le monde souterrain. Agissant comme un médiateur entre le monde des vivants et des morts, Morrop était également craint et révéré.Compte tenu de tout ce que vous savez sur les reptiliens, ne semble-t-il pas étrange que les Mochicas aient choisi de l'associer au royaume souterrain des morts? Cette association a-t-elle été faite par hasard ou est-ce un indicateur subtil de la vraie nature de Morrop?L'Amérique du Sud regorge de légendes et de représentations de personnages controversés qui s'intégreraient parfaitement dans les théories modernes sur les aliens, les hybrides et leurs relations avec les habitants de la Terre. De Viracocha à Quetzalcoatl, le serpent à plumes, ce continent semble avoir eu sa juste part d'interactions extraterrestres séculaires. Et cela se reflète le mieux dans l'attitude locale envers les extraterrestres et les OVNIS.Comme le diraient beaucoup de nos lecteurs, l'Amérique du Sud est ouverte d'esprit et très réceptive au sujet des visiteurs extraterrestres. Est-ce un résultat direct de leur mode de vie sortant ou simplement parce que leurs ancêtres étaient en contact avec E.TIl s'avère que la sculpture de l'Homme d'Iguane fait partie d'un ensemble plus vaste conçu comme un hommage au riche panthéon des Mochicas. La ville de Chiclayo abrite également des sculptures de Lang Ñam, le crabe anthropomorphe qui gardait l'entrée de la mer et de ses créatures.Source : ufoholic
Le Dieu Viracocha
Pérou
Pérou- (Nasca et Palpa)
Pérou (Palpa)
Temple de Kotosh - Pérou
Une main à 3 doigts et une autre à 5 doigts ! Sur la droite une spirale...(ADN...?)
Dans la zone archéologique monumentale de Kotosh se dresse le Templo de las Manos Cruzadas (le Temple aux mains croisées), situé à 5 kilomètres de Huánuco, sur la rive droite de la rivière Higueras et à droite de la route Huánuco-La Unión.
Chichictara - Pérou - Voir aussi la page sur " Les Êtres fourmis"
Huanchor et Chincha (Pérou)
Nasca
Chincha Pérou (Musée National)
Culture Lambayeque - Pérou
Culture Moche - Pérou
Civilisation Paramongas - Pérou Le Dieu Misky
Trujillo - Pérou
Pérou (Tacna)
Pérou (Tacna)
Pérou (Toro Muerto - Arequipa)
Pérou (Toro Muerto - Arequipa)
Pérou (Toro Muerto - Arequipa)
Poterie Pérou
Chichitara (Pérou)
Artefacts de Jalisco - Mexique
Mexique
Photos des mains momifiées de Nazca (trois doigts ! )
Une gravure trouvée à Nasca - (serait-un implant comme sur la momie Josefina de Nasca - 60 cm de haut ?)
La momie Appellée Maria - Etre tridactyle de 1m70 de hauteur
Recherches sur site par MANU ALTEIRAC
L'endroit est gardé secret par soucis de pérennité, mais d'autres informations seront données par la suite dans un livre courant décembre ou Janvier 2018, et également quelques autres avant cette date....
Museo de la Universidad Nacional - Pérou. - Cultura chancay
Chili
Pérou
Culture WARI
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Culture Nazca Culture Chimu
Ingenio - Nasca - Pérou
HUACHIPA - Valle de Vitor - Arequipa - Pérou
Chinchero -Pérou
Colombie
Las Labradas Mexique
Venezuela - Angosturas
Honduras
Equateur
Ometepe - Nicaragua
ATACAMA - Chili (voir ci-dessous les mêmes figures à Nasca)
et NASCA - Pérou
WILBOR CUEVAS - EQUATEUR
Chili
Argentine
Museo Etnográfico Musoj Ñan La Quiaca Jujuy - Argentine
Colombie
Nine Mile Canyon - Utah (USA)
(3 et 4 doigts)
Anasazis (USA)
Anasasis (USA ) Yokoana (Japon)
Legend Rock - Wyoming (USA)
Little Petroglyph Canyon - Californie
Argentine
Brésil - Minas Gerais
Chili - San Antonio Cafayate
Brésil (4000 ans)
Pérou - (Poteries, textiles anciens, gravures)
Lac Titicaca - Culture Chiripa - Santiago de Huata
Pampacolca - Pérou
Culture Chavin - 900 à 200 av JC
Mexico
Découverte au Mexique
Grottes de Los Casares Guadalajara Espagne
Museo Nacional de Huacho - Pérou
Pérou
Brésil (Sierra Capivara)
Brésil - Serra Capivara
Brésil - Museo de la Colonia Tovar
Maoris
New Zealand
Le Dieu Maori POURANGAHOUA
Art Poliynésien - Lebedinski
Totem Amérindien - USA
North Vancouver - British Columbia
ILE DE PAQUES
ALASKA
Hawaï
Guyane
Mexique - Pierre gravée près de Vera Cruz - voir la page : Pierres gravées inédites
Nunun- divinité lunaire des peuples caraïbes
Mexique - Acapulco -Valedero
Mexique - Sonora
Hidalgo - Mexique
Rio Curbati en Barinas Vénézuela
Cueva de las Maravillas San Pedro de Macoris - Rep Dominicaine
Amazonie - Orénoque
Australie
India - Chhattisgarh, 10 000 ans
Chaturbhujnath- Inde et Pakistan-Western India Circa 3000 BC to 2000 BC
La Déesse Innana-Ishtar (remarquer ses trois doigts de pieds)
Chine - Les Dogus
Hongshan Culture - Chine - Pierre gravée en jade
Dieu du Soleil
Chine Mingjiang falaise peinte
Russie
Serbie
Culture VINCA - (Serbie)
Azerbaïdjan
Pakistan - Harappa (un sceau)
Atacama (Chili)
Vases Mayas (voir le roi Pacal)
L'empreinte de Zappata
La roche (qui appartient au Permien, 299 à 251 millions d’années) a été découverte au Nouveau-Mexique et présente une empreinte humaine, il y a près de 299 millions d’années. Mais il n’y avait pas d’humains sur Terre à ce moment-là, si ?Beaucoup d’auteurs seraient d’accord avec le fait que d’innombrables découvertes qui ont été faites au cours des dernières décennies sur Terre suggèrent que l’histoire telle que nous l’avons enseigné est tout sauf complète.Imaginez si la société a finalement accepté le fait que notre planète ait été habitée par d’innombrables civilisations anciennes dans le passé et que la vie sur la Terre (la vie avancée) existe depuis des millions d’années ?Aujourd’hui, ce n’est qu’une théorie (une supposition sauvage) qui semble être soutenue par plusieurs découvertes «controversées».
L’une d’elles est « l’empreinte Zapata », découverte au Nouveau-Mexique.
Zapata présente une empreinte humaine dans le calcaire permien, analysée par le paléontologue Jerry MacDonald qui a découvert des empreintes fossiles préservées dans les strates du Permien.L’empreinte énigmatique a été étudiée par le Dr Don Patton qui prétend que la roche permienne du Nouveau-Mexique contient une véritable empreinte humaine.Selon Genesispark.com, le Dr Don Patton a tenté de découper cette empreinte de la roche. Patton rapporte avoir personnellement vu une photographie de quatre empreintes pratiquement identiques à quelques centaines de mètres de l’empreinte de Zapata.La partie controversée, bien sûr, est l’âge de la roche où l’empreinte a été laissée : la période permienne qui a duré de 299 à 251 millions d’années.Curieusement, le Permien (avec le Paléozoïque) s’est terminé par l’événement d’extinction Permien-Trias, la plus grande extinction de masse de l’histoire de la Terre, où près de 90% des espèces marines et 70% des espèces terrestres sont mortes.Quoi qu’il en soit, en revenant à l’empreinte curieuse, il y en a beaucoup qui croient que ce n’est pas réel, car elle présente plusieurs «caractéristiques non naturelles».
Don Patton avec la soi-disant « empreinte Zapata »
Comme l’a noté l’auteur Glen J. Kuban, l’empreinte controversée montre certaines caractéristiques qui ne sont pas typiques des empreintes humaines authentiques.« Les empreintes fossiles que MacDonald a rassemblées incluent un certain nombre de facteurs que les paléontologues aiment appeler ‘problématique’. Par exemple, une créature à trois doigts a apparemment fait quelques pas, puis a disparu, comme si elle avait décollé pour s’envoler. Nous ne connaissons aucun animal à trois doigts dans le Permien, a déclaré MacDonald. Et il n’y avait pas d’oiseaux. Il y a plusieurs empreintes où les créatures semblent marcher sur leurs pattes postérieures, d’autres qui semblent presque simiennes. » The Smithsonian, Vol.23, juillet 1992, p.70.)Dans le livre « Fossil Facts and Fantasies » de Joe Taylor, l’empreinte « semble être une empreinte féminine, pieds nus ». Taylor affirme qu’elle a été trouvée en 1929 et que « on dit qu’à cette époque, la moitié d’une empreinte était visible sur le rebord portant les deux voies. Le bord de cette corniche s’est érodé. » Taylor ne dit pas où il a appris ces détails, et ne cite aucune littérature, scientifique ou populaire.
L’auteur Jeff A. Benner a déclaré que «la communauté créative reconnaît que l’empreinte est une origine humaine et la preuve que les humains ont existé pendant l’ère des dinosaures».
Source : anguillesousroche
Recherches de Manu Alteirac (avec son autorisation ) - CAMBODGE
Prasat Preah Vihear - près de Angkor - Cambodge
Source : (Manu Alteirac )
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Des empreintes de mains "non-humaines" au Sahara
Lorsque le site de Wadi Sura II a été découvert dans le Sahara oriental en Egypte en 2002, les chercheurs furent abasourdis de trouver des milliers de décorations ayant été peintes sur les parois de l’abri rocheux environ 8 000 ans plus tôt. On y voit non seulement des animaux sauvages, des silhouettes humaines et d’étranges bêtes sans tête (ce qui a valu à l’endroit le surnom de « grotte des bêtes »), mais aussi des centaines d’empreintes de mains humaines, soit plus que dans tout autre site rupestre des roches du Sahara.
Le plus inhabituel était la présence d’empreintes de 13 mains minuscules. Jusqu’à la découverte de Wadi Sura II, des pochoirs des mains et des pieds de jeunes enfants avaient été observés dans l’art rupestre en Australie, mais jamais dans le Sahara. Une scène remarquable et émouvante montre même une paire de « mains de bébé » nichée à l’intérieur des empreintes plus grandes de mains adultes.
Mais voilà quelque chose d’encore plus bizarre : ces petites mains ne sont même pas humaines.
LES RÉPONSES SE CACHENT DANS UN HÔPITAL FRANÇAIS
Wadi Sura II est considéré comme l’un des plus grands sites d’art rupestre du Sahara, même s’il n’a pas la réputation de son voisin Wadi Sura I, la « grotte des nageurs », découvert par le comte hongrois Láslo Almásy en 1933 et popularisé dans le film « Le Patient anglais ».
De telles empreintes de mains de jeunes enfants n’avaient jamais été observées auparavant dans l’art rupestre du Sahara.
L’anthropologue Emmanuelle Honoré, de l’Institut McDonald de recherche archéologique décrit avoir été « choquée » par la forme de ces minuscules empreintes de mains lorsqu’elle les a vu pour la première fois à Wadi Sura II en 2006. « Elles étaient bien plus petites que des mains de bébés humains, et les doigts étaient trop long, » se souvient-elle.
Honoré a décidé de comparer les mensurations de ces empreintes avec celles de nouveau-nés humains (entre 37 et 41 semaines d’âge gestationnel). Comme celles du site étaient minuscules, elle a aussi mesuré la taille des mains de bébés nés prématurément (de 26 à 36 semaines d’âge gestationnel).
Pour ce faire, l’anthropologue a formé une équipe composée de chercheurs en médecine pour récolter les données infantiles dans l’unité néonatale d’un hôpital français. « Si j’étais allée à un hôpital en disant simplement ‘Bonjour, j’étudie l’art rupestre. Vous avez des bébés pour moi ?’, ils m’auraient prise pour une folle et m’auraient jetée dehors, » rigole-t-elle.
Les résultats, qui ont été publiés, montre qu’il y a très peu de chance pour que les « mains de bébés » dans la grotte des bêtes soient humaines.
LES DÉFIS DE L'INTERPRÉTATION
Si les empreintes ne sont pas humaines, alors que sont-elles ? La position des petites mains et de leurs doigts varient d’une trace à l’autre, ce qui pousse les chercheurs à penser qu’elles étaient flexibles et articulées. Ils ont donc mis de côté la théorie d’un pochoir fait en un matériau rigide tel que du bois ou de l’argile.
Les parois de Wadi Sura II sont recouvertes de centaines de pochoirs de mains, ainsi que d'images représentants des hommes, des animaux sauvages et d'étranges bêtes sans tête.
Honoré a premièrement pensé à des pattes de singes, mais les proportions étaient aussi mauvaises. Ses collègues du Muséum d’histoire naturelle de Paris lui ont alors suggéré d’examiner des reptiles.
Pour l’instant, les exemples aux proportions les plus proches des « mains de bébé » sont les pattes avant de varans ou de jeunes crocodiles. (L’étude de la théorie des crocodiles est encore en cours.) Les varans vivent encore dans la région de nos jours, et sont considérés comme des créatures protectrices par les tribus nomades locales.
La révélation que les minuscules empreintes de mains de Wadi Sura II ne sont pas d’origine humaine a extrêmement surpris les experts de l’art rupestre du Sahara. « Le pochoir de figures animales est plutôt quelque chose que l’on voit en Australie ou en Amérique du Sud, » explique Honoré.
Les empreintes de pieds d’animaux de Wadi Sura II semblent non seulement avoir été faites au pochoir à l’intérieur des empreintes de mains humaines, mais aussi sous forme de frise à l’instar des mains humaines. Elles ont toutes été réalisées au pochoir à la même époque et avec le même pigment. En revanche, il est impossible de dire si le pied d’un animal vivant a été pressé contre la paroi de l’abri, ou si l’artiste (ou les artistes) a préféré l’option plus simple et moins dangereuse d’utiliser un membre fraîchement coupé.
Honoré préfère ne pas trop spéculer sur ce que signifient les empreintes non-humaines. « Nous avons cette conception moderne que les humains n’appartiennent pas à la nature, » dit-elle. « Mais dans cette grande collection d’images, on détecte que les humains font en fait partie du grand monde de la nature. C’est un vrai défi pour nous autres chercheurs que d’interpréter ces images puisque notre culture est complètement différente [de celle qui en est à l’origine]. »
En tout cas, les nombreux parents des bébés qui ont participé à la recherche attendent avec impatience d’en savoir plus sur les révélations de ces peintures rupestres. « Ils étaient très enthousiastes à l’idée de savoir que leurs nouveau-nés pouvaient faire une telle contribution à la science, » dit-elle.
Source : nationalgeographic
Deux momies étranges
Temple de Daijoin, dans la ville d’Usa (préfecture d’Oita). Japon
On remarquera les 3 doigts !
Temple Rakanji, le "démon" était appelé le Oni-no-ko. Japon.
(momie détruite pendant la guerre)
Asakura 1750
Représentation d'un "Kapa" - Japon - Voir creatures/japon-
Culture Jomon - Japon
Japon, Período Yayoi
Chine - dessin ancien
Chattisgarh - INDE
Lourde (France) stèle
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Le peuple des étoiles (Star People)
Amérindiens et visiteurs de l'espace
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