• Dr J.J Charbonier - témoignage

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    Docteur Jean Jacques CHARBONIER

    Témoignage du Dr J.J Charbonier

    Le Dr Jean-Jacques Charbonier, est né le 16 mai 1956 à Saint-Gaudens,  médecin anesthésiste réanimateur français, connu pour ses recensions de témoignages validant  l'hypothèse de vie après la mort, l'expérience de mort imminente et l'existence d'une conscience indépendante de l'activité neuronale. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, anime régulièrement des conférences et participe à diverses émissions de radio et de télévision. 

    Date: Mercredi 3 novembre 2010, 15h47 -  Un témoignage pour notre site !

    " Merci beaucoup pour votre travail qui contribue à faire évoluer les consciences sur d'autres réalités.  La physique quantique nous rappelle qu'il existe une infinité de réalités dont les perceptions sont étroitement dépendantes des observations qui lui sont destinées. Les transes chamaniques, les états médiumniques, les  expériences de mort imminente ou l'observation des photos présentées sur ce site sont autant d'ouvertures spirituelles sur ces mondes invisibles. À nous de savoir les approcher de façon intuitive et sans préjugé."

     Dr Jean-Jacques Charbonier   

    Les livres du Dr Charbonier !

        Contacter nos défunts - L'au-delà en question - 7 Bonnes raisons de croire à l'au-delà

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    Le site du Dr Charbonier : jean-jacques.charbonier 

    Témoignage du Dr J.J Charbonier

    2015 - Une thèse sur les EMI ! 

     

     Témoignage du Dr J.J Charbonier 

    Le FIGARO MAGAZINE en parle, les 23 et 24 novembre 2012 !

    Témoignage du Dr J.J Charbonier  Témoignage du Dr J.J Charbonier

    INTERVIEW

    Médecin anesthésiste-réanimateur, Jean-Jacques Charbonier publie Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà . Philippe Presles, médecin, auteur de Tout ce qui n'intéressait pas Freud , est un spécialiste de la conscience.

    Le Figaro Magazine - En quoi les expériences de mort imminente (EMI), rapportées par des témoins a priori crédibles, interrogent la science?

    Jean-Jacques Charbonier - Ce qui m'interpelle le plus, ce sont les cas de personnes en état de mort clinique capables de percevoir ce qui se passe autour d'elles et même à distance, alors que dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque il n'y a plus d'activité électrique du cerveau décelable au niveau de l'électroencéphalogramme. Il faut se poser une question: la conscience peut-elle survivre à la mort de notre cerveau? Et si oui, d'où viennent ces informations que ramènent ceux qui ont vécu des EMI.

    Philippe Presles - Il existe des situations proches de celles des EMI, ce sont les expériences d'hyperconscience. Dans ces moments précis de nos vies, le temps se ralentit, le bruit s'estompe, la perception de soi peut disparaître alors que l'on acquiert une faculté de vision très détaillée de son environnement. On peut aussi entendre une voix. Cela arrive dans des accidents de la route. Mais ces situations d'hyperconscience sont aussi vécues par les soldats au combat, les sportifs de haut niveau ou les concertistes en phase de concentration intense. J'ai pu recueillir des témoignages assez fort et troublants sur ce point.

    Les EMI ne seraient-elles qu'une interprétation différente d'informations contenues dans notre cerveau?

    J.-J. Charbonier - Je ne crois pas. L'information ne vient pas toujours de notre cerveau. Prenons l'histoire de Pierre Jovanovic. Il est sur une route à Los Angeles et, brusquement, il entend une voix qui lui dit: «Il faut plonger en avant.» Il le fait et une balle traverse le pare-brise et vient se loger dans son siège. Il existe des centaines de témoignages similaires. Et je ne compte pas les gens qui n'osent pas les raconter de peur de passer pour des hurluberlus.

    P. Presles - La perception d'une voix se produit aussi en état d'hyperconscience. Cela m'est arrivé alors que je m'électrocutais. J'ai entendu ma voix me disant: «Tes jambes fonctionnent, cours dans la pièce à côté.» Ça m'a sauvé la vie. L'aptitude de faire vivre en soi un autre soi-même est propre à la conscience. Ensuite, certains témoignages ne s'expliquent pas encore, notamment les phénomènes de prémonition.

    La science refuserait-elle d'admettre qu'elle se trompe quand elle affirme que notre conscience meurt avec nous?

    P. Presles - Il est faux de dire que la science ne s'intéresse pas à ces phénomènes. On a découvert, par exemple, qu'en stimulant une zone du cerveau temporo-pariétal, on peut provoquer des vécus de décorporation (sortie de son propre corps, ndlr), ce qui correspond souvent à la première phase des EMI. Les témoignages d'expériences extraordinaires sont recueillis et étudiés de plus en plus sérieusement.

    J.-J. Charbonier - La majorité des scientifiques sont curieux, mais dès qu'un phénomène les dérange, ils l'écartent. La théorie qui consiste à dire que le cerveau est un organe qui fabrique de la conscience n'est pas valable à mes yeux car elle n'intègre pas les expériences de mort provisoire et les phénomènes connexes, la médiumnité, la prémonition, la télépathie, les intuitions... Je propose une théorie, celle d'une conscience analytique reliée à nos cinq sens qui nous permet de nous situer dans le temps et dans l'espace. Mais cette conscience analytique fait un tel bruit qu'elle empêche notre conscience intuitive de nous parler... La conscience analytique s'efface avec la mort de notre cerveau et cela débloque tout.

    Témoignage du Dr J.J Charbonier

    Mais soyons clair, cette conscience intuitive qui survivrait à la mort et ferait partie d'un tout, ça s'appelle l'âme, et ce tout, l'au-delà. C'est un discours religieux?

    J.-J. Charbonier - Je crois qu'il ne faut pas confondre avec le religieux. Je pense qu'il existe des champs de conscience universelle, composés de consciences ayant existé sur cette planète et venant de l'au-delà, et puis nos consciences intuitives que nous sommes rarement capables d'entendre.

    P. Presles - N'allons pas trop vite. Si quelqu'un est effectivement mort cliniquement et qu'il «ressuscite», il y a deux hypothèses. La première, que la personne a effectivement ressuscité, et nous sommes dans le spirituel. La seconde, qu'elle n'était pas vraiment morte, que ces cellules ont continués à fonctionner suivant un mode que nous ne sommes pas encore capables de mesurer. A ce stade, il faut rester ouvert mais rigoureux.

    Tout cela s'expliquerait-il par une grande méconnaissance du fonctionnement de notre cerveau?

    P. Presles - Cette connaissance augmente mais reste faible par rapport à son immensité. Aujourd'hui, on peut dire que la complexité du cerveau humain est comparable à celle de l'Univers et ce que nous savons de l'Univers est formidable mais très limité.

    J.-J. Charbonier - Je suis d'accord. Mais je persiste à dire que des témoignages prouvent que l'information n'est pas toujours stockée dans le cerveau. Le cas de Pamela Reynolds est très intéressant. Cette femme se fait opérer d'un anévrisme du cerveau. Les médecins arrêtent sa circulation cérébrale pendant plusieurs minutes et refroidissent son cerveau à 15,5 °C, température à laquelle aucun échange biochimique entre deux neurones n'est possible. Tous les temps opératoires sont rigoureusement notés pendant l'opération. À son réveil, Pamela Reynolds décrit toute son intervention, raconte les conversations, décrit les instruments du chirurgien... Elle n'a pas pu enregistrer ça avec son cerveau puisqu'il ne fonctionnait plus. Nous avons là une preuve scientifique, me semble-t-il.

    P. Presles - En pratique, le cerveau de Pamela Reynolds a toujours été vivant et il n'a jamais arrêté de fonctionner. L'hypothèse qu'à cette température le cerveau fonctionne d'une manière différente ne peut pas être écartée. Une expérience japonaise avec une guenon chimpanzé est assez intéressante sur les niveaux de conscience. On lui présente dix chiffres, qu'elle voit quelques dizaines de secondes. On efface les dix chiffres et elle doit les repositionner. Etrangement, elle le fait sans erreur.

    Des enfants qu'on soumet au même test n'arrivent à retrouver que quelques chiffres et les adultes sont très vites bloqués. Cela illustre que la conscience est une véritable surcouche de traitement d'informations. Cette surcouche nous permet d'analyser, d'approfondir, de nous projeter dans le passé et dans l'avenir, mais cela nous coupe aussi de beaucoup de perceptions. Dans les situations extrêmes, cette surcouche pourrait être amoindrie, nous ouvrant à nouveau à des perceptions intuitives, comme celles des animaux, par exemple.

    La science, un jour, pourra- t-elle prouver l'existence d'un au-delà? 

    J.-J. Charbonier - Peut-être. A condition qu'on dépasse la science matérialiste qui domine aujourd'hui le débat scientifique.

    P. Presles - Je réponds aussi peut-être, mais je n'aime pas opposer le matérialisme à une autre forme de science. J'aime l'approche de Descartes, le réductionnisme. Tant qu'on ne comprend pas un phénomène global, on le divise en sous-phénomènes jusqu'à ce qu'on en cerne un. Et ainsi de suite. Face aux questions que nous avons évoquées, il faut recueillir le maximum d'informations et définir rigoureusement les expériences pour espérer y voir clair un jour.

    Source :  lefigaro 

      LA MORT : Où est LE POINT DE NON RETOUR ?

    (de la page facebook du Dr J.J. Charbonier)

     Peut-être, dans l'avenir avec la physique quantique ......  Personne jusqu’ici n’a pu dire et détecter avec précision le moment du passage précis de la vie à la mort.  La mort commence son process us lorsque les électrons se retirent du corps par la corde d’argent et le corps perd toute lumière animatrice. A quel moment se produit la « rupture » ? Là il n’y a aucun retour en arrière.  La physique quantique fait de grands progrès.  Puisque l’on peut photographier maintenant des photons que l’on peut les emprisonner, détecter et photographier des électrons, il devrait être possible de mettre des malades en fin de vie en observation et par un système de microscope électronique capable de photographier le rayon électronique de lumière de vie, constater à partir de quel moment il n’y a plus que du noir, moment où la lumière est éteinte et la mort est avérée. Les morts enterrés vivants ont été nombreux de par le passé, moins actuellement, mais encore puisqu’une NDE prolongée risque de retrouver la personne dans l’inconfortable position d’une petite caisse faite de quatre planches.  C’est la raison pour laquelle il est très recommandé de ne jamais enterrer une personne avant au moins 72h de mort avérée.   

     Le photon est le grain élémentaire de lumière, particule omniprésente et véhicule universel de l’information. Il n’est en général observable qu’en s’annihilant. Ainsi l’œil, comme la plupart des récepteurs de lumière, absorbe irréversiblement le rayonnement qu’il détecte. On peut dire que l’information portée par les photons est détruite au fur et à mesure qu’elle est enregistrée. On peut certes voir le même objet classique aussi souvent qu’on le veut, mais ce sont à chaque fois de nouveaux photons qui véhiculent son image vers notre œil. Détruire les photons pour les mesurer n’est cependant pas une nécessité imposée par la nature. En exploitant une méthode non-destructive de mesure, une équipe du Laboratoire Kastler Brossel (ENS / UPMC / CNRS / Collège de France) a pu observer des centaines de fois un seul et même photon piégé dans une boîte. Après un intervalle de temps perceptible qui peut atteindre une demi-seconde, le grain de lumière finit par s’échapper, de façon imprévisible et soudaine, réalisant un saut quantique. On suit ainsi pour la première fois « en direct » l’histoire de la vie et de la mort de photons individuels.  

    SERGE HAROCHE  

    Médaille d’or 2009 du CNRS : physicien et explorateur du monde quantique  

    La vidéo ci-dessous :

    Conférence du Docteur Jean-jacques Charbonier De récentes études démontrent que croire en l'existence de l'au-delà stimule les défenses immunitaires, améliore le pronostic des maladies liées au stress, et augmente l'espérance de vie. Et si nous avions d'ores et déjà en notre possession suffisamment d'éléments rationnels et scientifiques pour pouvoir prétendre que l'au-delà existe ? Et si ces preuves étaient au nombre de sept ? Sept phénomènes déroutants et difficilement contestables ? Et si après la vision de cette conférence vous n'étiez plus tout à fait comme avant ? C'est le pari ambitieux que fait le docteur Charbonier en exposant de façon claire les sept bonnes raisons de croire en l'au-delà. Son explication, fait voler en éclat tous les arguments classiques des sceptiques et des détracteurs, sera sans nul doute d'un puissant réconfort pour celles et ceux qui sont dans la douleur du deuil ou angoissés par la mort. 

     

     

     ...Ils sont médecins, chirurgiens, urgentistes, infirmiers, anesthésistes ou simples soignants, et pour la première fois dans ce livre ils ont enfin osé parler de leurs expériences hors du commun avec ce que certains nomment « l’au-delà »…

    A la lumière de témoignages authentiques et stupéfiants et de sa longue expérience auprès des comateux et des mourants, l’auteur brise l’omerta régnant dans le milieu médical. Il nous fait partager le fruit de ses recherches sur la mort, la maladie et les guérisons dites « miraculeuses » en affirmant l’existence et la survie de la conscience après la mort.

    Mais Jean-Jacques Charbonier insiste aussi sur la nécessité de prendre en considération l’existence d’un monde invisible, clé essentielle selon lui pour soigner différemment et rester en bonne santé : en intégrant la dimension spirituelle et en acceptant de nous ouvrir à une autre réalité, nous pouvons développer notre capacité « d’auto-guérison »... 

    C’est ce que révèle ce livre ! 

    La médecine face à l'au-delà

    dr charbonnier   

          

     

    LE NOUVEAU FILM SUR LES NDE :

    "AFTERLIFE, LA VIE APRES LA VIE"

      Témoignage du Dr J.J Charbonier

     " La Vie après la Vie", film réalisé par Paul Perry, Jupiter Communications (Octobre 2012) 

    "Au-delà" : Quand nos croyances basculent

    Pourquoi certaines personnes ayant frôlé la mort parlent aussi assurément d'un « Au-delà » ? Qu’en pense le corps médical ? Deux spécialistes dans ce domaine apportent des réponses à ces questions dans le documentaire « After Life ».

    © Jupiter-Films Dans notre société, parler de la mort n’'est pas facile. Envisager qu(’il puisse y avoir une fin, se préparer à « perdre » un être cher et à vivre « sans » sont autant d'’éventualités effrayantes auxquelles la plupart d’'entre nous refusent de penser. Pourtant, une question, vieille comme le monde, nous a tous traversé l’'esprit un jour : que se passe t'’il une fois que l’'on meurt ? « Je crois que quand on meurt, c'’est comme une bougie qui s’'éteint, les gens décèdent et l'’esprit ne peut survivre hors du corps. » Interrogées au hasard dans la rue au sujet de la mort et de l’'au-delà, plusieurs personnes témoignent dans le documentaire « After Life » et font part de leurs croyances personnelles. Il y a celles pour qui ne rien pouvoir envisager après la vie est difficilement concevable : « Je pense que notre âme est une force puissante, chargée d’'émotions, et je ne peux pas croire que quand nous mourons, tout est terminé. » Pour d'’autres personnes, en revanche, l'’idée même d'’un au-delà semble inimaginable : « Je crois qu'’il n’'y a rien. Les gens meurent et après c'’est fini. Je ne pense pas qu'’il y ait d’ascension mystique... ». Comment savoir ce qui nous attend ?

    L’au-delà, la preuve par l’'expérience ?

    Si les nombreuses références religieuses évoquant les notions de Paradis et de réincarnation font partie de notre culture et de notre système de croyances, d’'autres éléments beaucoup plus troublants persuadent définitivement certaines personnes de l'’existence d'un au-delà, comme les expériences de mort imminente (EMI). Ce phénomène peut survenir lorsqu’'une personne frôle la mort comme lors d'’un accident de voiture, d'’une opération, d'’une maladie grave, d’'un arrêt cardiaque, mais pas seulement. Un danger psychique ou physique, une chute ou une peur conséquente n’'entraînant pas de conséquence physique peuvent également déclencher une EMI.

    Pendant quelques instants, ces personnes accèdent à un autre monde, une autre réalité. C'’est ce qui est arrivé à Martha. En 1974, au cours d’'une sortie en ski nautique, s'’étant accroché le bras à la corde, Martha a été traînée sous l'’eau et a bien failli se noyer « Je me suis retrouvée dans un tunnel obscur. Il y avait des fleurs magnifiques et des couleurs que l’'on ne voit pas sur Terre. J’'avais toujours un corps, mais ce n’'était pas mon corps physique. C’'était comme un corps de lumière. Je me suis retrouvée dans l’'Univers au milieu des étoiles et des galaxies et cela m’'a paru normal, comme si j’'étais chez moi. Et puis, je me suis retrouvée dans mon corps. Je n'’ai pas eu de discussion, ni d'’argument avec qui que ce soit. Je n’'ai pas eu le choix. Je ne savais pas du tout comment réagir à cette expérience. Cela s'’est passé un an avant que ne soient publiés les premiers ouvrages sur les EMI. Je ne savais pas ce que c'’était et quand je l’'ai dit à ma famille, ils ont refusé de croire que j'’avais vécu ça. Ça leur faisait peur et ils ne voulaient pas l’'entendre. » Cette expérience, profondément marquante, modifie souvent la façon de percevoir la mort et les croyances à son sujet. Comme l'’explique Martha : « Ce qui ressort de mon expérience d’'EMI, c'’est que, depuis, je me sens beaucoup plus en phase avec ce qu'’il y a de l’'autre côté, avec le ciel, avec cette énergie là. Je n'’ai absolument plus peur de la mort. » Plusieurs études indiquent qu’'en moyenne, 4% de la population vivrait ce genre d’'expériences. Pour la France, cela concernerait environ 2, 5 millions de personnes. Qui sont-elles ? Comment les croire et surtout quels éléments permettent de penser que ces expériences ne sont pas le fruit d’'hallucinations ?

    Source et suite : inrees 

     

      Sur ce sujet :

    Le Dr Jean-Jacques Charbonier et les NDE. 

    NDE, expérience de mort imminente

    Eben Alexander et la NDE

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