Nature insolite
King Kong a vraiment existé !
Le Gigantopithèque,
ou Gigantopithecus (en grec : singe hominidé géant) est un genre de primate disparu qui a vécu du Miocène supérieur au Pléistocène moyen.
Russell Ciochon, U of Iowa
Mandibule d'un Gigantopithecus blacki.Genre
Le Professeur Friedemann Schrenk avec la dent molaire de
Gigantopithecus blacki
Certains chercheurs lui attribuent une taille de trois mètres ce qui ferait de lui le plus grand anthropoïde ayant jamais existé ; il aurait pesé alors entre 300 et 550 kg. Cependant, il est difficile de se prononcer de façon certaine sur sa taille et sa masse, puisque jusqu'à maintenant tout ce que nous avons de lui sont des fragments de mâchoire et des dents, mais ces éléments dépassent en taille ce que nous voyons chez les anthropoïdes actuels. Jusqu'à maintenant, on a trouvé des restes dans le sud de la Chine, dans le nord de l'Inde du Nord, et aussi au Pakistan. On suppose qu'ils se nourrissaient de bambous, puisqu'on a trouvé certains fossiles à proximité de pandas fossiles, ce qui laisse croire à la présence de grandes étendues de bambous, d'ailleurs les dents de grande taille et les puissantes mâchoires étaient faites pour broyer une nourriture végétale coriace.
Le plus proche parent de Gigantopithecus était probablement le Sivapithèque, beaucoup plus petit, qui vivait dans l'Europe du sud-est, en Asie et en Afrique. Le plus proche parent encore vivant aujourd'hui est l'Orang-outan. Cependant, certains indices désigneraient plutôt le gorille.
En 1935, le paléontologue allemand Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald a découvert dans des pharmacies chinoises les premières dents d'un Gigantopithecus (autrefois on utilisait en Asie de grands os et des pierres pour broyer des feuilles, et on y ajoutait des fossiles réduits en poudre auxquels on donnait le nom d'os de dragon et auxquels on attribuait des vertus curatives). Ces dents étaient presque deux fois plus grandes que celles d'un gorille. En 1956, on a découvert une mâchoire inférieure complète.
On distingue deux espèces : Gigantopithecus blacki en Chine du sud et Gigantopithecus bilaspurensis en Inde du nord. C'est le premier qui est le plus connu.
Le plus grand primate connu, le gigantopithèque, a peuplé les forêts d’Asie durant des millions d’années, du Miocène au Pléistocène, et s’est éteint il y a seulement 100.000 ans, au moment de la dernière glaciation. C’est ce qu’affirment des chercheurs qui pensent avoir découvert la raison de sa disparition : Gigantopithecus était un herbivore de la forêt et aurait mal vécu le refroidissement et l’extension des savanes.
Les fossiles du gigantopithèque ont notamment alimenté le mythe de King Kong, qui a fait tant de mal à l'image du gorille, un herbivore pacifique. © Anton_Ivanov, Shutterstock.com
De quoi se nourrissait le gigantopithèque ? L'information est essentielle pour mieux comprendre la vie et la disparition de cette espèce de primate, la plus grande connue à ce jour. Les scientifiques estiment sa taille maximale entre 1,80 et 3 m, pour un poids de 200 à 500 kg. Ses mensurations sont donc mal connues, du fait de la rareté des fossiles retrouvés, essentiellement des dents. Son régime était végétarien pour certains, carnivores pour d'autres tandis que subsiste l'hypothèse que l'animal se nourrissait exclusivement de bambous, comme les pandas actuels.
Son habitat, en revanche, est mieux cerné : il aimait la forêt. Mais sa masse imposante semble cependant difficilement compatible avec un mode de vie arboricole. Les branches auraient cédé trop souvent... Quant à sa classification, elle le range aujourd'hui parmi les pongidés. Le gigantopithèque serait proche des ancêtres de l'ourang-outang.
Comparaison schématique entre la taille du gigantopithèque et celle d'un humain. L'aspect de l'animal, en revanche, n'est pas connu. On sait seulement que les dents et les quelques os retrouvés le rapprochent des orangs-outangs. © Hervé Bocherens
Sa taille et son aspect (supposés) en ont fait un animal fantasmatique et le voilà dessiné en King Kong ou convoqué pour jouer le rôle du yéti, ce mystérieux anthropoïde himalayen (même si les observations retenues semblent pointer vers un ours). Pour débroussailler ces informations, une équipe allemande de l'université de Tübingen s'est de nouveau penchée sur les meilleurs restes de gigantopithèque : les dents.
Les chercheurs ont rassemblé des spécimens venus de différentes collections et ont procédé à une analyse isotopique du carbone contenu dans l'émail. Ces résultats ont été comparés aux analyses de primates actuels. La conclusion, publiée dans la revue Quaternary International, est que cette composition isotopique est différente de celle des omnivores et de celle des carnivores ; elle est également éloignée de celle des mangeurs de bambous.
Une molaire de Gigantopithecus, issue de la collection Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald, de l’institut Senckenberg, en Allemagne, qui a servi à l’étude. Les fossiles de ce grand singe sont rares et surtout représentés par des dents. L’analyse des isotopes du carbone inclus dans l’émail, en comparaison des primates actuels, permet de connaître, dans une certaine mesure, le régime alimentaire. © Wolfgang Fuhrmannek < class="subheading gamma pb1 pt3" style="text-align: center;">Un grand singe arboricole en mal de forêts
« Nos résultats montrent que ces grands primates ne vivaient que dans la forêt et y trouvaient leur nourriture. Gigantopithecus était exclusivement végétarien et pas spécialisé dans le bambou »,résume Hervé Bocherens, du Centre Senckenberg d'évolution humaine de paléoenvironnement (HEP), à l'université de Tübingen, dans un communiqué de cet établissement.
Cet habitat forestier expliquerait le déclin de ce grand singe (qui était représenté, semble-t-il, par plus d'une espèce), selon les auteurs de l'étude. Cette époque du Pléistocène est marquée par un changement climatique majeur, avec une baisse des températures. Dans les régions asiatiques où ils vivaient, ces grands primates arboricoles ont vu reculer les forêts au profit de la savane. « Avec sa grande taille, Gigantopithecus devait dépendre d'une offre abondante de nourriture », souligne Hervé Bocherens dans le communiqué de l'université. La régression des forêts a fini par avoir eu raison de ces grands animaux.
(source : futura-sciences)
Au 19ème siècle, dans la région des grands lacs africains, aujourd’hui le Rwanda, l’Ouganda et l’est du Congo ex-Zaïre, les explorateurs revenaient fréquemment avec des histoires de géants noirs.
Les descriptions par les indigènes d’êtres velus et gigantesques n’étaient pas sans rappeler celles que l’on fait aujourd’hui des « abominables hommes-des-neiges » dans l’Himalaya. Ainsi, les géants noirs africains étaient réputés s’attaquer aux femmes qu’ils violentaient et finissaient par étouffer dans l’étreinte. Or c’est seulement depuis 1901 que l’on connaît l’identité réelle de ce « monstre ». Il s’agit tout simplement du Gorille de montagne (Gorilla gorilla beringei), doux et végétarien, popularisé par les observations de Dian Fossey et par le film Gorilles dans la brume. Les grands mâles mesurent jusqu’à 2 m, et pèsent entre 140 et 200 kg. Les femelles sont bien plus petites, autour d’1,4 m, et pèsent entre 70 et 110 kg.
Aujourd’hui, ils sont regroupés dans les parcs de la Rwindi des Virunga et de Kahuzi-Biega. On estime leur nombre à moins de 700.Actuellement, des rapports du même type que ceux qui désignaient au 19ème siècle les gorilles comme des géants velus, existent non seulement au Népal et au Tibet (yéti), mais aussi en Malaisie, dans la région du Johor. Ces créatures ne semblent pas agressives.
Le 18 février 2006, la Société de Protection de la Faune Sauvage du Johor, par l’intermédiaire du secrétaire de la Société, Tay Teng Hwa, a déclaré tenir les preuves de l’existence de créatures velues géantes, appelées localement Orang Lenggor, dans les jungles du Johor. Des membres de la Société affirment avoir étudié les créatures pendant 6 ans. Les adultes font entre 10 et 12 pieds de haut, les enfants de 6 à 7 pieds!
En dépit de leur taille et de leur apparence fruste, les créatures étaient timides (sic) et ne montraient aucune agression envers les humains. Pour certains observateurs, à Singapour et en Occident, il pourrait s’agir de bigfoots locaux, possiblement apparentés au légendaire sasquatch nord-américain. Mais d’un point de vue zoologique, ce serait tout aussi intéressant s’il s’agissait d’orangs-outans continentaux… Affaire à suivre, donc!
En tout cas, le précurseur de King Kong – ou le prototype du yéti – comme disent des paléontologues comme Pascal Tassy ou Pascal Picq, a réellement existé.
On possède les restes fossiles d’un singe géant qui vivait dans le sud de la Chine au Pléistocène, il y a près de 500.000 ans. C’est le gigantopithèque (Gigantopithecus blackii), connu par 4 mandibules et quelques centaines de dents. Celles-ci étaient près de deux fois plus grosses que des dents de gorille ! L’étude anatomique suggère un grand singe d’une taille probable de 2,5 m, s’il se tenait debout…
La survivance de ce primate géant n’est nullement invraisemblable… du moins jusqu’à une période récente.
Les paléontologues considéraient généralement que le gigantesque primate avait disparu voici 500.000 ans, mais de nouvelles datations menées par Jack Rink, géochronologiste à l’Université de McMaster (Canada) indiquent que Giganto vivait encore il y a moins de 100.000 ans. Dès lors, il est possible qu’Homo sapiens ait côtoyé le primate… et en a gardé le souvenir sous les traits inquiétants du yéti.
Pour sa disparition, on évoque son régime alimentaire trop spécialisé, à base de bambous, qui lui aurait été fatal.
Les ossements du gigantopithèque en Chine du sud ont été découverts associés à Homo erectus et au grand panda (Ailuropoda melanoleuca), ce dernier vivant toujours dans les forêts de bambous du Sichuan. Aujourd’hui, la Chine compte près de 1500 pandas géants, considérés comme des fossiles vivants. Par ailleurs, il n’a été décrit qu’en 1869, à partir d’une peau et d’un crâne obtenus par un missionnaire français, le père Armand David. Bien que des expéditions se soient succédées aussitôt après, ce n’est qu’en 1936 qu’un exemplaire vivant a fini par être capturé.
Ce qui laisse de l’espoir pour une éventuelle découverte du singe géant!
(source : atlantisforschung)
L’hypothèse Gigantopithèque
par
Cainha
L’image de King Kong debout et au sommet de la provocation Empire State Building, futilement combattre, vague après vague de bi-plans avec coups de feu est iconique, fait encore plus par l’interprétation récente de Peter Jackson. L’idée d’un singe géant, d’une créature mélangeant la force charnelle de l’animal et l’intelligence et l’instabilité émotionnelle de l’homme, a capturé notre imagination depuis plus d’une centaine d’années, depuis les premières rumeurs du gorille de montagne a commencé à dériver de retour de l’obscurité Continent. Que les plus ne sais pas, cependant, c’est que le singe géant de notre imagination est en fait plus effet que la fiction.
En 1935, tout en parcourant l’ensemble-dans-le-mur de pharmacie à Hong Kong, un docteur Ralph von Kœnigswald par hasard sur un élément du commerçant appelé une dent de dragon. Ainsi nommée pour sa taille, la dent apparente était grande en effet, près de palmiers remplissant Kœnigswald, qui tremblait d’excitation. La dent qui semblait être une molaire d’origine des primates, bien que sa seule taille indiquée d’une espèce inconnue.
Et ainsi a commencé l’histoire de blacki Gigantopithèque, dont le nom latin traduit littéralement signifie singe géant. Sept décennies plus tard, le plus grand des primates connues de la science reste encore largement un mystère. A quelques fossilisés mâchoires inférieure et les dents jusqu’à présent trouvé dans une poignée de grottes calcaires de la Chine et le Vietnam paléoanthropologues entraîner les plus de réclamer Giganto subsistaient principalement hors de bambou (un peu comme le Pandaranol géant aujourd’hui), pèse de 800 à 1200 livres, était 8 – 10 mètres de haut (si il est présumé être un quadrupède), et se sont éteints il ya 125000 années.
Giganto et l’histoire du singe géant ne s’arrêtent pas là, cependant. Car il ya d’autres paléoanthropologues, notamment récemment décédé M. Grover Krantz du WSU, qui dissidence. Ils prétendent Gigantopithèque ne s’éteignent, il a migré à travers le nord-puis congelés détroit de Béring en Amérique du Nord pour survivre-un bambou massif qui meurent également presque exterminé les Pandaranols. Krantz et d’autres vont même jusqu’à prétendre qu’ils ont la preuve de leur théorie à l’épreuve que Gigantopithèque est bien vivant sur le continent nord-américain. Comme preuve, ils offrent des siècles de tradition amérindienne documentés décrivant un grand singe bête. En plus de cela, elles pointent vers des milliers de résultats de l’empreinte a récemment enregistré et moulages en plâtre, des milliers de témoins oculaires de vie, et même une demi douzaine de films footages. En fait, la seule preuve manquants de leur théorie est une chair et d’os spécimen type.
Alors pourquoi n’a pas la théorie Krantz et al est fait la une des journaux? Pourquoi ne pas histoire d’amour des médias avec le singe géant embrassé Gigantopithèque et le fit entrer dans la maison chaque américain, la radiodiffusion que le singe géant du mythe est bien vivant dans les forêts d’Amérique du Nord? Vie Kong!
Eh bien, parce que la théorie Gigantopithèque a un problème flagrant. Une grande partie de la preuve pour la théorie est également revendiquée par d’autres pour avoir des preuves pour le Sasquatch ou Bigfoot. Et chacun sait Sasquatch est juste un mythe. Il n’est pas réel. Par conséquent Giganto ne peut certainement pas exister ici, dans les Amériques et donc certainement se sont éteints en Asie il ya 125000 années que la plupart des paléoanthropologues sobres déclarer.
Et pourtant, malgré toute cette flagrante dans la théorie, les rangs de ses partisans augmenter chaque année, comme si elles n’avaient pas été dit que Bigfoot n’était qu’un canular. Pourquoi? Parce que chaque année plus de traces sont trouvées et coulé, plus les témoins oculaires se manifester, et plus les esprits sont ouverts.
King Kong, Bigfoot, Sasquatch, singes géants du mythe et de légende peuvent en effet vivre au-delà de l’écran et les pages des tabloïds. Ils peuvent même peuplent notre réalité propre. Et selon une théorie que nous avons déjà les connaître en tant Gigantopithèque.
(source : pandaranol.pandaran)
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