• La photo et les visages de Jésus

    Mystères humains

    Les visages de Jésus

    La photo de Jésus vivant et les visages du Christ   La photo de Jésus vivant et les visages du Christ

    (photos : diecezja-torun - deuspai)

    La photo de Jésus vivant, une énigme...! 

    L’explication de Daniel Meurois :
    “Voici une photo assez rare qui m'a été communiquée, il y a quelques temps et on m'en a raconté l'histoire. Je ne sais pas de quand elle date exactement, mais, elle a été prise il y a un bon nombre d'années, c'est sûr. Jusqu'à présent, elle avait circulé d'une façon underground, mais, je crois que le temps est venu où il faut la diffuser le plus possible. Elle aurait été prise par un touriste qui s'était rendu à Jérusalem et qui a photographié le mur des lamentations. Or, quand il a développé sa pellicule, à la place du mur des lamentations, c'est cette image qui est apparue sur la photo.

    Lorsqu'on m'a montré celle-ci pour la première fois, on m'a demandé si ça me disait quelque chose et là, j'ai fait un bond et répondu :"Oui ! C'est le Maître Jésus avec Joseph d'Arimathie et l'apôtre Thaddée. C'est de cette façon-là que je les vois dans les annales akashiques."   

    La photo de Jésus vivant

    La Photographie de Jésus, avec l’apôtre Thaddée et Joseph d’Arimathie

    (source de la photo : pierre.souchier)

     J'en conclu que c'est une photo qui a été transmise par voie divine et par je ne sais quel miracle, à cette personne pour que, progressivement, elle commence à être divulguée. La photo est un peu abîmée mais toujours est-il que c'est véritablement les visages tels que je les vois, lorsque je fais mes plongées dans les annales akashiques. Je peux donc dire, que ce sont bien les visages de Jésus, de Joseph d'Arimathie et de l'apôtre Thaddée.

    Lorsqu'on m'a mis cette photo dans les mains pour la première fois, j'ai été bouleversé, parce que c'était la première fois que je voyais sur papier ce que je vois de façon extra-corporelle.

    Il y a un détail sur cette photo qu'aucun tricheur ou un peintre n'aurait réussi à imaginer. Autour de la tête de Jésus, il y a une espèce de lanière... ce n'est pas un bandeau car celui-ci repasserait devant le front, or, ici, ce n'est pas le cas. En fait, c'est une sorte de diadème métallique cerclé d'un petit cordon de cuir que le Maître Jésus mettait parfois sur l'arrière de ses cheveux, lorsqu'il y avait du vent. De le retrouver, là, sur cette photo est tout à fait exceptionnel.

    A propos de l'apôtre Thaddée, il est plus connu dans la tradition occidentale sous le nom de Jude. Il est surtout connu sous le nom de Thaddée parmi le peuple Arménien où il est allé enseigner les premières années suivant le départ du Maître.”

    Daniel Meurois

    “Heureux ceux qui croient sans voir” disait le Christ

    (source : Pierre souchier

    Il existe un tableau du peintre allemand Johannes Raphael WEHLE (1848-1936) !  La photo ressemble beaucoup au tableau, ce qui pourrait nous faire penser que la photo est un arrangement graphique du tableau. Toutefois, ce tableau est également étrange, rare sont les représentations de Jesus avec ses apôtres, marchant tranquillement d'une façon tout à fait naturelle, aussi on pourrait penser que l'artiste a eu une sorte de vision en peignant cette scène, comme un flash mediumnique et par la suite a retransmis cette vision. Pourquoi pas ? Ceci expliquerait l'attirance incroyable qu'émet cette image. Donc, le mystère n'est pas résolu !

    La photo et les visages de Jésus

    Une autre réflexion ICI : marie.roca

    Le Voile de Manoppello 

     Volto-Santo 01.jpg 

    Le voile de Manoppello est une image de Jésus-Christ imprimée sur un byssus, un voile de 17,5 x 24 cm, à l'origine plus grand. Cette relique d'origine inconnue est arrivée à Manoppello en 1506, apportée par un pèlerin inconnu, qui a disparu sans laisser de traces immédiatement après la livraison au père Giacomo Antonio Leonelli. Il est conservé au sanctuaire de Manoppello (Pescara) dans les Abruzzes, à 90 km de Rome. Cette image aurait servi de modèle pour les représentations ultérieures de la Sainte Face. Benoît XVI a rendu visite au sanctuaire le 1er septembre 2006. 

    En 1999, le jésuite Heinrich Pfeiffer déclara avoir découvert dans un monastère capucin le voile de Véronique, au lieu dit Manoppello, en Italie. Dans une conférence de presse à Rome, il déclara également que cet objet était gardé secrètement dans ce monastère en question depuis 1660, mais en réalité Pfeiffer avait déjà mentionné le voile bien avant la date de sa découverte supposée en 1999.

    La tradition veut qu'en 1508, le docteur Leonelli obtint le voile d'un pèlerin anonyme, puis qu'il devint une possession de famille jusqu'en 1608, date à laquelle il passa de main en main pour finir dans le monastère des capucins à Manoppello, comme don provenant de la famille De Fabritiis. Cette tradition a été documentée en partie par le père Donato DaBomba.

    Heinrich Pfeiffer propose sa théorie personnelle : le voile de Manoppello et celui dit de Véronique (appelé « veronica ») ne seraient qu'un et unique objet, volé au Vatican en 1506 à Rome. Il déclare également que le voile daterait du temps de Jésus et qu'il aurait été placé directement sur le corps de ce dernier, l'image ayant été formée sur le tissu, toujours selon Pfeiffer, par des phénomènes paranormaux. Pfeiffer propose également toute une liste de divers lieux de transit au Moyen Orient et en Europe jusqu'aux dates avancées par la tradition populaire de l'acquisition du voile. Nombre d'historiens contestent fermement ces déclarations en soulignant que le voile de Manoppello n'aurait aucun lien avec Rome et ne daterait pas du premier siècle après J.-C., mais serait vraisemblablement produit au XVIe siècle.

    Le vendredi premier septembre 2006, le Saint Père Benoît XVI s'est rendu dans les Abbruzes, au sanctuaire de la Sainte Face. Le pape a réalisé ce pèlerinage pour le cinquième centenaire de l'arrivée du voile à Manoppello.

    Description du linge

    Le voile mesure 17,5 x 24 cm. Le textile serait tissé en fibre de byssus (ou soie marine), un matériau fort prisé depuis l'antiquité et toujours aujourd'hui puisque le mollusque bivalve produisant ces fibres, la grande nacre, est en voie de disparition en Méditerranée, où il est endémique. C'est un filament opalescent très fin, brun doré.

    Études

    Le professeur Giulio Fanti, de l'université de Padoue, qui a étudié le voile en 2001, a révélé que « la microscopie montre des substances colorées de remplissage dans divers détails anatomiques ».

    D'autres sont enclins à penser que l'image serait acheiropoïète — non fabriquée par la main de l'homme —, hypothèse supposant une origine divine. Saverio Gaeta, auteur d'un livre sur le voile, affirme que ce qui semble être des pigments et ceci uniquement dans les petites zones du voile, peut-être dû à « une retouche faite par une personne au Moyen Âge, afin d'accroître l'intensité de l'aspect ». Selon le professeur Don Vittori de l'université de Bari, ayant réalisé en1997 un examen avec ultraviolet, les fibres du voile ne présentent aucun type de couleur, les observations microscopiques montrant que cette relique n'est ni peinte ni tissée avec des fibres colorées. Avec des techniques photographiques du zoom numérique, l'image serait identique des deux côtés du voile.

    Roberto Falcinelli, dans un article de Héra (septembre 2005), a écrit qu'il est « incroyable comment nous continuons à dire et à écrire que sur le voile il ne se trouve aucune trace de pigment lorsque, au lieu de cela, une simple observation microscopique, montre clairement le contraire ». Son avis est qu'il s'agit d'une œuvre picturale du début du xvie siècle.

    Description de l'image

    La description de l'image montre sur les deux côtés du voile le visage d'un homme encadré de cheveux avec du sang. Le visage a les yeux ouverts et représente une personne vivante. Le visage est tracé avec précision dans les traits des cheveux et dans les détails. La coloration est intense avec des nuances sur le brun. Les lèvres sont légèrement rosées.

    Le front est haut, encadré de cheveux tombant sur les épaules avec des boucles. Les yeux sont bruns et regardent intensément de côté et vers le haut, laissant entrevoir le blanc de l'iris. L'homme porte une moustache clairsemée et une barbe divisée en deux parties.

    Le visage est asymétrique, contusionné, avec un côté enflé. Le front et les lèvres sont mouchetés de rose, évoquant autant de plaies. La joue droite paraît enflée. Le nez est tuméfié est semble cassé. Les narines sont inégales. La barbe est partiellement arrachée par endroits.

    Des taches se distinguent et pourraient être interprétées comme du sang, en particulier près de la bouche et du nez.

    Le saint voile et le linceul

    Sur le linceul de Turin et le voile de Manoppello sont inscrites les plaies du visage contusionné, le front et les lèvres mouchetés de rose évoquant autant de plaies, l'enflure de la joue droite, le nez semblant cassé au niveau du cartilage, la barbe partiellement arrachée par endroits, les minuscules taches de sang dues aux épines. Le nez mesure dans les deux cas environ huit centimètres. La barbe se divise en deux petites pointes, la partie gauche est plus fournie que la droite.

    Le prêtre Enrico Sammarco et sœur Blandina Paschalis Schlömer ont émis l'hypothèse selon laquelle le visage du suaire de Turin et celui du voile de Manoppello seraient identiques, chose hautement contestée par la majorité des experts en la matière.

    Les autres images

    Selon la tradition, l'image du visage du Christ se serait aussi imprimée durant son chemin de croix sur le voile de sainte Véronique. Cette légende pourrait prendre sa source lorsque le voile était exposé à la dévotion des pèlerins à Rome. Le voile était appelé la veronica (c'est-à-dire la vraie icône). La légende de Véronique permettait d'expliquer la formation de l'image.

    Une autre légende rapporte que le roi Abgar d'Édesse fit faire le portrait de Jésus, ce qui est rapporté par saint Jean Damascène : ce qui est appelé l'« Image d'Édesse » ou Mandylion :

    «  Un récit nous est parvenu par une ancienne tradition, je veux parler d'Abgar, souverain d'Édesse. Enflammé d'amour divin par la renommée du Seigneur, il envoya des messagers pour demander sa visite. Au cas où il s'y refuserait, il ordonna à un peintre d'exécuter son portrait. Sachant cela, celui qui connaît tout et peut tout, prit le tissu et le posa sur son visage ; il y imprima sa propre physionomie. Tout cela est conservé jusqu'à maintenant. »

    «  Abgar régnait sur la ville d'Édesse ; il envoya un peintre pour tracer l'image ressemblante du Seigneur ; comme le peintre ne le pouvait pas en raison de l'éclat resplendissant du visage, le Seigneur lui-même appliqua un vêtement à son propre visage divin et vivifiant, il y imprima sa représentation, et il l'envoya à Abgar qui la désirait. »

    — Jean Damascène, Traité des images (750)

    Cette légende prend sa source dans la conversion du roi d'Édesse, Abgar IX, surnommé Abgar le Grand, entre l'an 180 et 192. Septimius Severus devient empereur de Rome en l'an 193. Avec l'intensification des persécutions romaines contre les chrétiens, la discipline du secret est utilisée. Elle consiste à utiliser un langage codé pour les initiés.

    Le saint voile et le linceul de Turin superposés 

    D'autres visages du Christ

    Il n'est pas de notre ressort de prendre ici position pour ou contre telle ou telle apparition, telle ou telle peinture ou photo miraculeuse. Nous en rendons simplement compte, parce que ces témoignages existent, et cadrent tout à fait avec le sujet de notre présente étude.
    Comme d'usage en pareille circonstance, il semble donc important de préciser que conformément au Décret d'Urbain VIII, nous n'attribuons aux faits relatés sur cette page qu'une valeur de crédibilité strictement humaine, sans préjuger des décisions de l'Eglise en ce domaine.

    Cette expression de Jésus, qui fut largement répandue autrefois, avant la guerre de 1914-1918, par le guérisseur parisien Saltzman, est due à un artiste hongrois du nom de Semiechen, qui a eu la possibilité de réaliser ce portrait à la suite d'une vision dont il fut gratifié.
    Philippe Encausse, in "Le Maitre Philippe de Lyon", Editions Traditionnelles, 11° édition, 1990.
    Le 63 Porta Angelica, à Rome, est la résidence officielle de l'archevêque Emmanuel Milingo. C'est ici qu'en août 1987 Jésus apparaît à une femme kenyanne, Anna Ali, aujourd'hui soeur de l'ordre de l'Union Pieuse des Soeurs de Jésus, le Bon Berger, un ordre fondé par l'archevêque Milingo. Jésus permit à Soeur Anna de prendre Sa photographie à plusieurs reprises, et au cours des révélations qui ont suivi, lui a donné les raisons pour lesquels Il se rendait visible aujourd'hui. A noter l'extrême ressemblance de cette photographie et de la peinture qui précède.

    Cette image du visage de Jésus de Nazareth est apparue miraculeusement pendant que l'on photographiait la remise d'un calice dans le tabernacle d'une église espagnole saccagée durant la guerre civile (1936-39).
    Lien vers "Image de Jésus"

    Cette image a une origine semblable à la précédente. Une femme de Mexico offrit un tabernacle à une nouvelle église. Pour en avoir un souvenir, elle le photographia. Après le développement du film apparut ce portrait. Le Padre Pio certifiait qu'il est la véritable Face de Jésus.
    Au cours d'un pélerinage en Terre Sainte, en octobre 1982, Jackie Haas, originaire de Pensylvanie, prend avec un Instamatic Kodak de nombreux clichés. Parmi les photos développées se trouve ce portrait, qu'elle n'a pas pris elle-même. Après enquête approfondie, elle en vient à penser qu'il s'agit là d'un cadeau du Ciel, lui permettant de mieux faire connaître le Christ. Elle ne prétend pas que la photo soit miraculeuse, mais la paix qu'elle apporte à des milliers de gens est, dit-elle, "le miracle" qui en ressort.


    Reproduction du tableau peint en 1934 par Eugène Kazmierowski, sur les indications de Soeur Faustine Kowalska, à qui le Christ a demandé la réalisation de ce tableau : "Peins une image pareille à ce modèle et signe : "Jésus, j'ai confiance en toi". Je désire que cette image soit vénérée tout d'abord dans votre chapelle, puis dans le monde entier. Je promets à ceux qui la vénéreront qu'ils ne périront pas. Je leur promets dès ce monde la victoire sur l'ennemi, mais surtout à l'heure de la mort. Je les défendrai moi-même, comme ma gloire." (Journal de Soeur Faustine, 47)

    Image obtenue par les ingénieurs de la Nasa en 1978, à partir du Visage du Suaire de Turin.
    Photo miraculeuse obtenue par Frère Elie des Apôtres de Dieu, en Italie, en 2002.
    Beaucoup, voyant Frère Elie parler "seul", lui demandaient : "A qui parles-tu ? Que vois-tu ?" Frère Elie, las de ces demandes, en référa à Jésus. Celui-ci l'envoya photographier un mur blanc dans une église. Elie y prit 36 photos. Toutes sortirent blanches, à l'exception de cet unique cliché.

    (source : spiritualite-chretienne

     

    Qui était Jésus ?

    JESUS, marié et deux enfants

     C’est en tout cas la thèse d’un manuscrit vieux de presque 1.500 ans, mis au jour par la British Library et bientôt publié dans un livre.

    Et si Dan Brown, auteur du best-seller mondial et néanmoins contestable Da Vinci Code avait raison? Un nouveau livre, qui sort ce mois-ci aux Etats-Unis, jette un pavé dans la mare du christianisme: Lost Gospel («l'évangile perdu»), du professeur Barrie Wilson et de l’écrivain Simcha Jacobovic, affirme que Jésus s’est marié avec Marie-Madeleine et qu’ils auraient eu ensemble deux enfants.

    Selon le Sunday Times, qui détaille les premières révélations des deux auteurs, «le livre, qui pourrait apparaître comme de la fiction, est basé sur un ancien manuscrit jusque-là gardé par la British Library» et traduit de l'araméen. 

    Selon le livre, le rôle de Marie-Madeleine aurait donc été bien plus important que ce que l'on pouvait croire. Jusque-là, comme l’explique The Independent, «de nombreux experts ont minimisé son rôle de figure biblique mais, selon les traducteurs de ce nouvel évangile, elle a eu une signification beaucoup plus importante qu'on ne le pensait». Dans son Evangile, Luc la considérait même comme une «femme du pêché».

    Mais Lost Gospel n’est pas le premier à sous-entendre ou à affirmer que Jésus avait une famille, rappelle The Independent. «Nikos Kazantzakis dans son livre de 1953 La dernière tentation du Christ (porté au cinéma par Martin Scorsese en 1988, NDLR), et plus récemment Dan Brown dans le Da Vinci Code ont fait les même allégations.»
    Depuis des années, cette version de la vie de Jésus alimente de nombreuses spéculations, comme en mai dernier, lorsqu’un vieux papyrus, qui affirmait que Jésus avait eu une femme, a été contesté par de nombreux chercheurs. Jerry Pattengale, directeur exécutif de la Green Scholars Initiative, l’expliquait alors au  Wall Street Journal:
    «En septembre 2012, le professeur de la Harvard Divinity School a annoncé la découverte d’un manuscrit d’un texte en copte (ancien égyptien) sur un fragment de papyrus qui contenait la phrase: "Jésus leur a dit, 'Ma femme'..." […] Il apparaît aujourd’hui quasiment avec certitude que l’histoire du Jésus-était-marié était éloignée de la réalité.»Néanmoins, comme l’explique le Sunday Times, le livre contiendrait d’autres révélations sur la vie de Jésus.
    «Le livre clame également qu’il y a eu un complot jusque-là inconnu contre Jésus lorsque qu’il avait 20 ans et une tentative d’assassinat sur Marie-Madeleine et ses enfants. […] Il décrit également les connexions supposées entre Jésus et de grandes figures politiques de l’Empire romain comme l’Empereur Tibère.»

    Une conférence se tiendra mercredi 12 novembre en présence des deux auteurs, qui devraient donner plus de détails sur leur travail, dont les noms des deux enfants supposés de Jésus.

    Source : slate

    Le mariage de Jésus est relancé par un document où Jésus parle de "sa femme" !

     

    Un morceau jusqu'ici inconnu d'un papyrus écrit en ancien copte

    pourrait relancer un vieux débat au sein de la chrétienté :

    Jésus était-il marié ?

    "Et Jésus leur a dit : 'Ma femme (...)'", dit la phrase découverte par Karen King, professeur à la Harvard Divinity School à Cambridge dans le Massachusetts, sur ce fragment d'évangile du IVe siècle de la taille d'une carte de crédit, rapporte le New York Times.

      "La tradition chrétienne a longtemps considéré que Jésus n'était pas marié, même si aucun élément historique n'existe pour étayer ce fait, déclare la chercheuse dans un communiqué publié par Harvard. Ce nouvel évangile ne prouve pas que Jésus était marié, mais il nous dit que l'ensemble de la question était soulevée dans le cadre de débats enflammés sur sa sexualité et sur son mariage."   

    Le document demande encore à être authentifié. Le fragment appartient à un collectionneur privé qui a contacté King afin qu'elle l'aide à le traduire et l'analyser. Il aurait été découvert en Egypte ou peut-être en Syrie.Selon Karen King, c'est vers 200 après J.-C. que l'on a commencé à affirmer, via le théologien Clément d'Alexandrie, que Jésus n'était pas marié. "Ce fragment suggère que d'autres chrétiens de la période affirmaient qu'il était marié", a déclaré la chercheuse. L'analyse du document sera publiée dans la révue théologique d'Harvard en janvier 2013.

    Source : lemonde

    Jésus avec Marie Madeleine (Eglise de Kilmore en Ecosse)

     La photo de Jésus vivant

    Une autre représentation de Marie-Madeleine "enceinte" à la cathédrale de Chartres

    La photo de Jésus vivant 

     Le Chronoviseur du père Pellegrino Ernetti

      Le père bénédictin Pellegrino Ernetti, appelé plus simplement don Ernetti (Rocca Santo Stefano, 1925 – Île de San Giorgio Maggiore, 1994), était un musicologue, moine et exorciste italien. Il aurait été aussi physicien et inventeur d'une sorte d'appareil à remonter le temps, qui aurait disparu sans avoir jamais fait l'objet d'une publication scientifique.  

    Don Ernetti est surtout connu pour avoir affirmé qu'il pouvait capter des voix provenant de personnes décédées, parfois depuis des siècles, au moyen d'un appareil de son invention qu'il appelait « chronoviseur ».

    Il raconta comment, grâce à son « chronoviseur », il aurait pu entendre la représentation de Thyeste, tragédie perdue d'Ennius jouée en l'an 169 av. J.-C., et l'aurait enregistrée.

    Mais cet enregistrement, qui, s'il était authentifié, apporterait une contribution remarquable à la connaissance de l'œuvre d'Ennius, n'a encore jamais été communiqué au public et l'on n'a aucune preuve qu'il ait jamais existé.  

    En outre, une philologue américaine, le Dr. Katherine Owen Eldred de l’Université de Princeton, qui a pris connaissance de ce texte, retranscrit par le professeur Giuseppe Marasca, de Jesi près d'Ancône, et qui l’a traduit en anglais en appendice du livre de Pierre Krassa sur le Chronoviseur, affirme que don Ernetti aurait écrit la tragédie lui-même.

    Mais ces récits ne s'arrêtent pas à cette tragédie d’Ennius. Ernetti aurait déclaré également avoir pu, grâce à son appareil, être témoin de la fougue déclamatoire de Cicéron devant le Sénat Romain en 63 avant J.-C.,expérience dont il aurait dit qu'elle avait été pour lui pleine d’émotion et qu’il aurait décrite ainsi : « Ses gestes, l’intonation de sa voix, quelle puissance il y avait là ! Quel fantastique talent oratoire ! »

    Il est dommage que les philologues ne puissent toujours pas écouter ces enregistrements.

    Un prêtre français, diplômé de la Sorbonne, le père François Brune, a écrit un livre à succès autour des travaux de ce savant italien peu académique. Il s'agit d'une enquête menée sur le ton d'un roman policier où le narrateur parcourt l'Europe à la recherche de la mystérieuse machine à remonter dans le temps. Phénomène toujours apte à fasciner les esprits comme l'affaire des fantômes du Trianon.

    Les spéculations sur l'existence du fameux appareil et son emplacement ont encore intéressé quelques journalistes après la publication du livre du père Brune. On aurait perdu la trace du «chronoviseur» après la mort de don Ernetti. Selon Daniela Ghio, journaliste locale de Vénétie, le « chronoviseur » serait actuellement caché dans les caves du Vatican.

    Des affirmations analogues ont été faites vers la même époque par les frères Judica-Cordiglia de Turin, qui prétendaient capter, à l'aide d'appareils de radio très développés, des voix venues de l'espace, et notamment des cris de douleur et de souffrance qu'ils attribuaient à des cosmonautes soviétiques qui auraient disparu lors de missions secrètes. Les autorités soviétiques ont toujours nié ces allégations.

    (source : wikipedia

     

    Une des plus fameuses paréidolies photographiques, où l'on voit une tête christique apparaître, alors qu'il s'agit en réalité d'un bébé coiffé d’un chapeau, simplement assis sur les genoux de son père, le tout sur fond de nature.

    La photo de Jésus vivant

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