• Le chat, un animal mystérieux

    Conscience animale 

    Le chat, un animal mystérieux

    Le chat, un animal mystérieux

    Le chat défie toutes les lois de la gravité.

    Des scientifiques américains ont levé le voile sur le secret de la technique des félins pour laper élégamment l'eau ou le lait sans jamais se souiller les babines. A l'aide de vidéos grande vitesse, ils ont découvert que ces félins utilisaient à la perfection l'équilibre entre deux forces de la physique, la gravité et l'inertie. On savait déjà que pour boire, les chats étendent leur langue vers le bol et la courbent à son extrémité pour lui donner la forme d'une louche. Avec cette étude, on découvre que seule l'extrémité de la langue du chat touche le liquide lui permettant de laper quatre fois en une seconde.

    Ce mécanisme prodigieux pourrait inspirer la robotique afin d'aller récupérer des liquides difficilement accessibles comme le pétrole lors d'une marée noire.

    (source :actualites/vie-pratique)

    Mon chat qui a l'habitude de dormir précisément à cet endroit ressent certainement les énergies des minéraux !

    Le chat, un animal mystérieux

    Le chat a-t'il un sixième sens? 

    Sixième sens pourquoi ?

    Il existe, nous le savons, cinq sens principaux : la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût et le toucher. Mais on en connaît bien d'autres, celui de l'équilibre par exemple. On rapporte donc au "sixième sens" tous les pouvoirs étranges que semblent posséder de nombreux animaux : orientation, télépathie, prémonition, etc.
    Bien sûr, certaines capacités qui paraissaient jadis incroyables ont été en grande partie expliquées, notamment l'orientation des oiseaux et autres animaux migrateurs. Mais certaines échappent toujours à notre entendement. A ceux qui veulent demeurer fidèles aux lois et aux principes de la science "classique", s'opposent les parapsychologues, qui n'hésitent pas à invoquer des pouvoirs, des forces mystérieuses.

    À la recherche de son maître :

    Pour le chat, le premier phénomène qui, de ce point de vue vient à l'esprit, est le retour au maître.
    Périodiquement, la grande presse nous rapporte l'étonnante aventure d'un chat qui a -ou qui aurait- parcouru des centaines de kilomètres pour retrouver son maître.

    Les exemples foisonnent :

    * En avril 1977, un chat nommé Pompon réapparaît chez ses maîtres à Fontainebleau. Il était parti, semble-t-il, de Sanary, dans le Var, à plus de 900 kilomètres, deux ans plus tôt.

    * En 1978, Minouche s'échappe de la voiture de ses maîtres, près de Vierzon. Onze mois plus tard, il arrive au domicile de ceux-ci, à Dôle qui se trouve à plus de 400 kilomètres de distance. Il est amaigri et ses griffes sont usées.

    * En Australie, un chat aurait parcouru 2400 kilomètres pour retrouver la maison de ses maîtres : ceux-ci l'avait perdu alors qu'ils campaient. "Il était afreusement maigre et sentait très mauvais. Lorsque je l'appelais par son nom, ses yeux s'éclairèrent et il se mit à ronronner", raconte le maître. Ces faits sont d'autant plus remarquables que le chat n'est guère amateur de longues marches.

    * Avec Sugar, nous allons encore davantage nous enfoncer dans le mystère. Son histoire est restée célèbre. Ce Persan vivait en Californie avec ses maîtres, lesquels déménagèrent pour l'Oklahoma. Après plusieurs heures de route, ils s'aperçurent qu'il avait disparu de l'arrière de la voiture; il avait sauté par la vitre ouverte. La famille ne sachant à quel endroit il s'était échappé, continua sa route et atteignit l'Oklahoma. Quatorze mois plus tard, alors qu'ils se trouvent chez eux, les anciens propriétaires de Sugar ont la stupéfaction de le voir entrer par la fenêtre de la cuisine. Il saute alors sur l'épaule de sa maîtresse qui le reconnaît catégoriquement. Aucun doute n'est possible : l'animal qui vient de réapparaître a bien à l'articulation de la hanche une excroissance osseuse qui identifie Sugar. Celui-ci, en dépit de longueur du tajet accompli (environ 2500 kilomètres) est apparamment en bon état.

    * Dans le livre de Jean Prieur, L'Ame des animaux (Laffont, 1986), l'auteur cite l'étonnante aventure d'Amado. Certes, cette chatte ne parcourut que 25 kilomètres... Un tel exploit n'en paraîtra pas moins extraordinaire lorsqu'on saura qu'Amado était aveugle. Elle appartenait à une vieille fermière de Provence qui, croyant sa fin arrivée, la confia à une amie qui habitait à 25 kilomètres de distance, sur l'autre rive du Rhône. Une quinzaine de jours plus tard, l'ancienne maîtresse d'Amado entend des gémissement devant sa porte. Elle ouvre et reconnaît sa chatte, en pîteux état, très amaigrie, crottée, les pattes en sang. Comment cette chatte aveugle avait-elle pu retrouver son chemin? D'autant qu'à cet endroit, sur 20 kilomètres du Rhône, il n'existe qu'un seul pont.


    Il faut admettre que le retour au maître est bien une réalité. Le cas le plus fréquent est celui où le chat retrouve son maître dans un lieu où il a déjà été, par exemple son ancien domicile. On peut alors avancer un début d'explication. Le chat veut retrouver ses propriétaires. Il est poussé par la faim, par l'inquiétude et surtout, par l'attachement qu'il leur manifeste. Ensuite, grâce à un procédé mystérieux, il trouve la direction approximative qu'il doit emprunter.

    Dès lors, il utilise semble t-il la méthode des essais et des erreurs : il progresse à l'aide de relais visuels, olfactifs, acoustiques ou autres. Il recherche un bruit connu (carillon d'une cloche par exemple), les odeurs familières, les chemins qu'il a déjà pris. Autrement dit, il fait jouer sa mémoire associative. De repère en indice, revenant s'il le faut , sur ses pas, il finit par arriver au but... si, du moins, celui-ci n'est pas trop éloigné. Si la distance est plus importante, on ne comprend pas. Et l'on comprend encore moins si le chat, tel Sugar, rejoint son maître en un lieu où il n'a jamais été.

    Chats-médiums :

    C'est alors que d'audacieuses explications sont proposées, que l'on imagine un sens inconnu, le "psi rampant". Certains n'ont pas craint de parler de chats-médiums. Il faut reconnaître que bien des ondes que nous utilisons aujourd'hui étaient inconnues de nos ancêtres. Swedenborg (1688 - 1772) le théosophe suédois disait que les animaux étaient des "boussoles vivantes", gouvernées par "des sphères absolument inconnues de l'homme".

    N'existerait-il pas une télépathie entre le chat et son maître, ou bien entre le chat et certaines personnes qui, involontairement, guideraient le chat perdu en émettant des vibrations qu'il percevrait ? Les anciens Egyptiens croyaient déjà en une telle télépathie. On lit sur un papyrus découvert à Saqqarah : "Lorsque tu penses, il [le chat] t'entend même si tes lèvres ne bougent point et si ta bouche ne prononce aucun mot. Il lit en toi avec le regard des dieux". Au Moyen Age, les sorcières sont accusées de communiquer par télépathie avec leurs chats.

    Certains chercheurs modernes ont essayé de prouver la réalité de la télépathie entre l'homme et l'animal. Le Docteur Karlis Osis, de la Société américaine de recherche psychique, estime avoir montré qu'un chat peut être influencé par télépathie. Voici sa méthode : un chat doit choisir entre deux coupelles de nourriture placées aux extrémités d'une boîte en forme de T; l'observateur essaie, par tranmission de pensée, de faire choisir au chat une coupelle plutôt que l'autre, et il y réussit dans la plupart des cas. Un certain degré de transmission de pensée entre l'homme et le chat s'est donc dégagé de cette expérience.

    Pour sa part, un chercheur allemand, H. Schmidt, a imaginé un dispositif susceptible de mettre en évidence l'existence d'une certaine psychokinèse chez les animaux. Il faut rappeler que la psychokinèse est l'action du cerveau sur la matière.
    Ce dispositif est contitué par un "générateur de hasard" qui envoie, au hasard, du courant dans l'une ou l'autre de deux lampes à infrarouge, sans que que l'on puisse prévoir celle qui s'allumera. Au total, sur un certain temps, elle s'allument un même nombre de fois.
    L'une de ces lampes est placée dans une enceinte où il ne fait pas spécialement chaud, et on y introduit un chat (cette expérience n'est pas cruelle). Le générateur va alors se détraquer. La lampe située dans l'enceinte où se trouve le chat s'allume plus souvent que l'autre, comme si le psychisme de l'animal -son désir de chaleur- avait une influence sur le fonctionnement du générateur
    Dès que le chat est enlevé de l'enceinte, tout redevient normal : les deux lampes s'allument de nouveau au même rythme. Les pouvoirs du chat diminuent au bout de six jours. On a donné à ses étranges capacités le nom d'effet Schmidt.

    MONSIEUR MÉTÉO ou la Météorologie féline :

    Les gens qui ne connaissent rien aux chats savent que l'animal qui passe sa patte derrière l'oreille annonce la pluie! Une croyance qui cache une réalité : le chat est réellement doué pour prévoir divers phénomènes naturels...

    Il est bon de dire que la grenouille est l'animal de prédilection des météorologues. Mais le chat ne se contente pas de grimper ou de descendre d'une petite échelle quand la pression atmosphérique se modifie. Aux dires de ceux qui l'ont observé au cours des siècles passées, il possède tout une gamme de postures qui permettent de déterminer le temps qu'il fera. 

    S'il ronronne, se frotte le museau, fait de tous petits yeux, il va faire beau temps
    S'il est nerveux, le vent approche
    S'il éternue, c'est signe de pluie
    S'il s'approche de la cheminée, il annonce le mauvais temps et pour peu qu'il présente son postérieur au foyer, gare à la neige
    Si un chat fait sa toilette et qu'il passe la patte sur son oreille, c'est que la pluie est proche ou alors la tempête, du moins, en principe, bien sûr.


    Avant un coup de vent, le chat devient nerveux, parce que alors pense-t-on la fourrure de l'animal se charge en électricité pendant qu'il court : les petites décharges qui se produisent quand il touche un objet ont pour effet de l'exciter. En même temps, il fait ses griffes sur les tissus, grimpe aux rideaux. Encore mieux, lorsqu'il gratte le plancher, il fixe la direction du vent.

    On peut dire que nos ancêtres ne manquaient pas d'imagination, et qu'ils devaient passer des heures à regarder leurs chats changer de position au gré des variations climatiques. Il y a bien sûr une bonne dose de fantaisie là-dedans, qui côtoie la logique : il semble évident que le chat se rapproche d'une source de chaleur quand le température de la pièce refroidit ! Mais que penser de cette patte derrière l'oreille annonçant la pluie, quand on sait que notre ami inclut presque systématiquement ce geste dans sa toilette ? Bien sûr, nous habitons un pays où il pleut souvent!

    Plus étonnante est la faculté du chat de pressentir des phénomènes violents, comme l'orage, le cyclone, la tempête, le tremblement de terre ou l'éruption volcanique. Les scientifiques reconnaissent, dans ce domaine, l'authenticité des témoignages recueillis, tout en avouant ne pas encore posséder les clés de ces prémonitions félines. 

    Les chats, de part leur grande sensibilité à l'augmentation de la charge d'électricité statique, aux variations brusques du champ magnétique, à l'accroissement des vibrations du sol, sont vraisemblablement capable de détecter, bien avant nous, certaines catastrophes naturelles. On a vu détaler des chats hors de maisons dans les minutes qui précédaient un tremblement de terre, d'autres miauler pour rentrer avant qu'un seul nuage annonce un violent orage. Sans doute gagnerions-nous à être plus à l'écoute de ce que les chats ont à nous dire. Mais je suis bien certain que vous le faites déjà!

    Il y a à prendre et à laisser dans cette météorologie féline. Mais il faut dire qu'elle a le mérite d'exister et d'être pittoresque.

    La fin programmée ou le temps de la mort :

    Le chat annonce-t-il sa mort ? Là encore, des observations, il est vrai plus ou moins valables ont été faites.
    On trouve mort un chat qui, le soir précédent, a réclamé avec insistance une caresse. Ou alors, il est allé, pendant plusieurs heures, se réfugier sous un meuble, se cacher à la cave ou au fond du jardin. Le philosophe russe Nicolas Berdiaeff raconte que son chat Mourry, sentant sa fin proche, se traîna dans la chambre d'une personne elle-même très gravement malade, sauta sur son lit et mourut quelques instant plus tard.

    Le chat ressentirait aussi la mort prochaine d'un être humain. Dans les hôpitaux, on assure que les chats vont sur les lits des malades qui succomberont le lendemain. Récemment, à Paris, un chat dont le maître était à l'hôpital se mit à hurler et à s'agiter vers 3 heures du matin. Or son maître mourrait au même moment... Il refusa obstinément, par la suite, d'entrer dans la chambre qu'il occupait.

    Il y a quelques années la presse a abondamment parlé d'un chat qui ne voulait plus quitter la tombe de son maître au cimetère de Thouars dans les Deux-Sèvres.

    Dans le comportement du chat qui vit dans un univers complètement différent du nôtre, il nous reste encore à résoudre bien des mystères.  

    (source : sauval

    Un des compagnons favoris de l'homme 

    Il existe un doute quant à la domesticité du chat sur ce qui l’a conduit à devenir aujourd’hui l’un des compagnons favoris de l’homme, comptant ainsi au rang du petit nombre d’animaux qui ont le privilège de vivre à l’intérieur des maisons.

    Le mystère qui entoure le chat vient autant des superstitions et mythes sur les félins que de la personnalité indépendante de cet animal parfois difficile à comprendre… 

    Domestication ancienne

    Le chat, contrairement aux autres animaux domestiques, a choisi de lui-même de rester aux côtés des humains. Il n’a pas été domestiqué de manière sélective.

    Des spécialistes estiment que les premiers chats ont été probablement attirés vers les villages et les camps d’humains depuis leurs forêts natales, en raison du nombre de rongeurs et autres petits animaux de proie qui étaient attirés par les habitations humaines.

    Ces chats, encore sauvages, seraient progressivement devenus plus « calmes et détendus » dans l’environnement humain. Les chatons nés dans les villages auraient été habitués dès leur naissance au contact humain ou, tout au moins, à la présence humaine. Une fois que les hommes comprirent la formidable aptitude du chat à maîtriser la prolifération des rongeurs, leur avenir était tracé : ils étaient là pour rester…

    Différentes indications archéologiques montrent que les relations humain-chat ont été continues depuis des milliers d’années. Sur les sites de sépultures isolées, dans les îles de la Méditerranée, on a ainsi trouvé des squelettes de chats, souris et humains, tous retrouvés dans le même lieu !

    Si les souris ont pu atteindre l’île en se cachant dans les paquets de nourriture et d’autres fournitures, la seule manière qui rend plausible la présence de chats sur ces mêmes îles est qu’ils aient été amenés sur l’île par les marins et les colons. Il est probable que ces îles éloignées eussent été littéralement envahies de rongeurs sans la présence de ces chats importés.

    La première culture à domestiquer et à transformer les chats en compagnon d’intérieur a été la civilisation égyptienne. Ce processus commença il y a près de 4000 ans. Les fermiers et commerçants égyptiens nourrirent alors les chats pour les inciter à rester à proximité, contrôlant ainsi par ce biais la population de rongeurs dans les surfaces de stockage de nourriture.

    À partir de ce timide début de domestication, le chat atteignit bientôt un pic d’importance dans la culture des Égyptiens.

    On les adorait alors  en tant qu’incarnation terrestre des dieux et déesses de la chasse et de la fertilité. Les chats étaient libres de circuler parmi les habitations et un site de sépulture sacré leur était même consacré, le Temple à Bubastis, où les chats étaient momifiés et conservés selon la coutume de ces temps anciens. La mort d’un chat dans une maison mettait toute la  famille en deuil.

    Des lois interdisant la mise à mort des chats sous peine de mort sont restées en vigueur pendant plusieurs centaines d’années dans les villes égyptiennes. Les chats africains étaient également domestiqués et traités avec révérence et respect de par leur valeur symbolique.

    Les chats étaient également utilisés comme monnaie d’échange entre différentes cultures. À l’origine ils étaient les animaux de compagnie et compagnons des seuls commerçants les plus riches.

    En raison de la grande capacité de reproduction des chats, cette valeur d’animal symbole de richesse n’a pas perduré puisque le nombre de chats a rapidement augmenté dans de nombreux ports et villes de l’hinterland jusqu’à ce qu’ils deviennent une nuisance pour la population humaine.

    Aujourd’hui encore, plusieurs villes dans du monde ont toujours des problèmes avec l’énorme population de chats sauvages qui s’y sont installés.

    L’élevage sélectif de chats pour produire des races différentes et reconnaissables devint fréquent à l’époque moderne. Cependant, la grande majorité des chats domestiques de la terre ne sont pas de race pure, seuls 5 % de la population domestique totale appartient à une race reconnue. Les autres chats sauvages ou domestiques sont généralement classés en deux catégories, les chats à poils courts domestiques et les chats à longs poils domestiques.

    La PERSONNALITÉ du chat

    Des poèmes, des livres, des jeux, des anecdotes et même des recherches scientifiques ont été réalisées sur la personnalité du chat. Il y a également plusieurs différentes expressions qui ont un rapport avec la personnalité du chat telles que « le miaulement », les « chatteries », ou l’expression « les chiens ne font pas des chats ». Bien que tous les chats aient une personnalité différente et unique, ils ont également des traits généraux communs à l’espèce.

    À l’identique des chiens et des autres animaux de compagnie, les chats tendent à présenter plus de similarités que de différences avec les autres individus de leur race. Cependant, chaque chat est un individu unique.

    Ainsi, les chatons provenant de la même portée peuvent parfois arriver, une fois développés, à manifester des personnalités vraiment différentes. En règle générale, la plupart des chats manifestent de l’affection et de l’amour pour les gens qu’ils connaissent, et tolèrent rarement ceux qu’ils ne connaissent pas.    

    Certains chats sont bien sûr également très sociables, ouverts et accueillants envers les nouvelles personnes entrantes dans leur environnement. Par ailleurs, les chats peuvent très facilement accepter d’autres animaux domestiques, tels que les chiens ou d’autres chats et savent s’entendre avec les enfants de la maison. Les chattes en particulier, spécialement lorsqu’elles sont stérilisées encore jeunes, tendent à mieux s’entendre avec les autres chats, alors que les mâles sont souvent plus agressifs.

    Une bonne partie de la personnalité des chats dépend du type de socialisation et d’interaction qu’ils entretiennent avec les gens lorsqu’ils sont chatons. Plus ils reçoivent d’attention et plus ils sont à l’aise tôt avec les humains, plus il est probable qu’ils réagissent ainsi une fois arrivés à maturité.

    Généralement, la personnalité du chat est définie comme distante, ce qui pourrait avoir une connotation un peu négative. En réalité, les chats sont juste un peu plus indépendants que les chiens et les autres animaux de compagnie.

    Il est certain que les chats prennent plaisir à passer du temps avec les humains, mais ce sont les chats et eux seuls qui décident de la modalité de cette relation !

    Relations chat-humain

    Certaines personnes sont plus attirées par les chats et leurs traits de personnalité tandis que d’autres se sentent plus proches des chiens, oiseaux et parfois même d’animaux de compagnie inhabituels…

    Indépendamment du fait que vous aimiez ou non les chats, il est difficile de ne pas admirer leur manière furtive de circuler, leurs capacités athlétiques impressionnantes aussi bien que leur beauté et leur grâce.

    Les relations chat-humain ou humain-chat existent de manière continue depuis des siècles. Actuellement, les chats domestiques sont les animaux de compagnie les plus populaires dans le monde et on les rencontre dans presque toutes les parties du monde.

    On compte aujourd’hui pas loin de 9 millions de chats en France contre 8 millions de chiens, cette tendance aux petits félins serait la même dans le reste du monde, où l’on compterait plus de 400 millions de chats (officiellement).

    Avec le développement de chats « exotiques » résultats d’élevages sélectifs tant pour des caractéristiques de couleur, que de pelage ou même de tempéraments spécifiques, la mode des chats en tant qu’animaux de compagnie continue de se répandre.

    De plus, la petite taille des chats et leur facilité d’entretien contribuent à faire d’eux des animaux de compagnie privilégiés pour la vie en appartement ou en maison, aussi bien dans les villes qu’à la campagne.

    (source : boostez-votre-vie

     

      

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