• Le formidable destin d'Elizabeth Klarer,

    Spiritualité et bien être 

    Le formidable destin de ELIZABETH KLARER 

    Le formidable destin d'Elizabeth Klarer,      Le formidable destin d'Elizabeth Klarer,

    Elizabeth                                    Akon

     

    19 juillet 2012   L’étrange destin d’Elizabeth Klarer

    (Ere Nouvelle - Olivier de Rouvroy) 

    Parmi les grandes aventurières qui inspirèrent les hommes à travers les siècles, la mystérieuse et fascinante sud-africaine Elizabeth Klarer est peut-être celle dont le destin fut le plus étrange. Elle naquit en 1910 à Mooi River, dans la province reculée du Natal et passa son enfance dans une ferme isolée où elle apprit très jeune et de façon totalement autodidacte à communiquer avec les Zoulous et à parler leur langue. Puis ses parents l’envoyèrent en Angleterre pour y faire ses études. Elle manifesta bien vite de stupéfiantes aptitudes dans les disciplines les plus variées : à l’âge de 20 ans, elle jouait à la perfection de plusieurs instruments de musique, était capable de piloter des gros avions et avait déjà atteint la notoriété en tant qu’environnementaliste.

    Durant la seconde guerre mondiale, elle travailla à la fois au décodage de certains messages cryptés de l’état-major allemand pour le compte de l’armée britannique et à un programme de recherche ufologique financé par le gouvernement sud-africain. En 1955 et 1956, une soucoupe volante survola à plusieurs reprises sa ferme au Natal, où elle était retournée s’installer après la guerre, et en 1957, alors qu’elle  effectuait une randonnée sur le haut plateau de Cathkin Peak, dans la région de Drakensberg, elle se retrouva nez à nez avec un grand être blond et de noble prestance qu’elle connaissait déjà pour l’avoir vu, au cours de l’un de ses flashs médiumniques, en train de piloter la soucoupe qui avait survolé sa maison l’année précédente.

    Il se présenta à elle sous le nom d’Akon et lui indiqua qu’il venait de Méton, une planète appartenant au système de Proxima du Centaure. Celui qui allait devenir le père de l’un de ses trois enfants l’invita alors à le suivre à bord de son engin. Puis elle disparut totalement de notre monde durant près d’un an.  

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    À son retour sur la Terre, elle était enceinte de quatre mois. Durant les semaines qui suivirent, elle ne cessa d’être harcelée, car une personne indélicate de son entourage avait transmis des informations sur son mystérieux voyage à la fois à la CIA et aux services secrets russes. Ces derniers voulaient absolument s’emparer du futur enfant des étoiles qu’elle portait en elle. Ils essayèrent même de la kidnapper, mais elle parvint de justesse à leur échapper. Elle avait appris à communiquer tétépathiquement avec les Métoniens et demanda alors à Akon de revenir la chercher ; puis elle accoucha de leur enfant, Ayling, sur la planète Méton. Mais elle avait du mal à s’acclimater aux vibrations élevées du champ magnétique de cette lointaine planète, et dut finalement se résoudre à revenir définitivement sur la Terre.

    Akon et son fils demeurèrent cependant en contact avec elle sous forme de rencontres télépathiques et de matérialisations holographiques jusqu’à son départ définitif en 1994. Tous les épisodes de sa vie sont retranscrits dans son livre Beyond the Light Barrier (Au-delà de la Barrière de Lumière) qui n’a malheureusement jamais été traduit en français.

    Depuis son retour sur la Terre, le Département britannique de la Défense a toujours manifesté un intérêt particulier pour les expériences d'Elizabeth Klarer et son histoire a attiré l'attention des gouvernements de plusieurs autres pays, en particulier ceux des États-Unis, de l’Allemagne et de la Russie.

    En 1975, elle fut applaudie à Wiesbaden par un groupe de scientifiques représentant 22 nations après avoir donné une conférence sur les propriétés de la lumière. Elle prononça d’autres discours qui suscitèrent également l’enthousiasme, aussi bien aux Nations Unies qu’à la Chambre des Lords. Elle avait commencé la rédaction d’un second livre intitulé Les Fichiers de la Gravité avant d’être emportée par une longue maladie en 1994. Son histoire continue aujourd’hui de faire rêver et d’inspirer de nombreux spiritualistes tout en demeurant un mystère, voire une énigme dérangeante pour certains esprits cartésiens étriqués. 

    Le formidable destin d'Elizabeth Klarer,  

    Question : Pouvez-vous nous décrire la soucoupe qui vous avait emmenée jusqu’à la planète Méton ?  

     Elizabeth Klarer : Elle était parfaitement circulaire et son diamètre était d’environ 6 mètres, avec une coque très large et un dôme aplati en son centre avec des hublots tout autour . Elle projetait un éclat argenté, qui ne provenait pas d’une réflexion de la lumière du Soleil, mais de son propre rayonnement. Lorsque ce type de vaisseau prend de la vitesse, le rayonnement s’intensifie et tout se met à briller et à scintiller. L'intérieur était splendide et éclairé d’une lumière douce et agréable dont on ne percevait pas la source. Les murs changeaient de couleur lorsque le système était mis sous tension, ils passaient du rose au jaune, puis au vert et au bleu.  

    Question : Y a-t-il une raison à cela ?  

     Elizabeth Klarer : Les soucoupes ont la possibilité de s’immobiliser dans l’espace ou au contraire de se déplacer quasi-instantanément d’un point à un autre de la trame universelle. Leur vitesse de déplacement est associée à des changements de fréquences qui ont une incidence sur leur structure chromatique. Les vaisseaux-mères fonctionnent suivant le même principe et irradient également de merveilleuses couleurs.

     Question : De combien de personnes était composé l’équipage de la soucoupe à bord de laquelle vous avez voyagé ? 

      Elizabeth Klarer : Ils étaient deux et ils étaient tous les deux astrophysiciens, mais l’un des deux était également biologiste ; il s’intéressait principalement à la faune et à la flore des planètes habitées qu’ils visitaient.  

     Question : Pouvez-vous nous donner des informations sur les techniques et matériaux utilisés pour construire ces vaisseaux ?  

    Elizabeth Klarer : Les vaisseaux sont créés dans l’espace par condensation de flux énergétiques. Puis ils sont ramenés jusqu’à la surface de la planète dont ils dépendent au moment de la finition intérieure. Mais l’essentiel du fuselage est formé dans l’espace de manière à optimiser sa conductivité énergétique.  

    Question : Un métal particulier est-il utilisé pour la construction ?  

    Elizabeth Klarer : Non cela n’a rien à voir avec du métal. Au niveau de l’aspect extérieur, cela ferait plutôt penser à de la porcelaine très fine. Mais la seule substance entrant dans la composition des vaisseaux est la lumière.  

    Question : Combien leur faut-il de temps pour construire un vaisseau ?  

    Elizabeth Klarer : Pour créer le fuselage complet, il leur faut l’équivalent d’environ 15 minutes de temps terrestre, le temps d’harmoniser leurs vibrations à celle de l’entité du futur vaisseau. Il est alors créé virtuellement. Il faut ensuite une quinzaine de jours pour le matérialiser complètement à partir de l'énergie cosmique naturelle.  

    Question :  Pourriez-vous nous dire quelques mots concernant le vaisseau-mère où vous avez voyagé ?  

    Elizabeth Klarer : C’est un immense vaisseau-cargo pouvant contenir environ 24 soucoupes ; chacune est prévue pour transporter deux personnes. Il avait la forme d’un cigare, mais son aspect variait en fonction de la lumière. Sous certains angles, il semblait même presque circulaire. Ces vaisseaux sont de véritables villes. Certains font plus de dix kilomètres de long et contiennent non seulement des maisons, mais des arbres, des fleurs et des lacs magnifiques. La plupart transportent des soucoupes qui servent en général de navettes, mais certaines de ces soucoupes ne sont que des hologrammes destinées à habituer les Terriens à l’existence des extraterrestres. Quand le vaisseau arrive à proximité d’une planète, il se positionne généralement en orbite géostationnaire à environ 1500 kilomètres de la surface. Il fonctionne en totale autarcie et peut accueillir au moins 5000 passagers. L’énergie auto-produite par le vaisseau suffit à la croissance et à la maturation des végétaux dont ils se nourrissent, à l’exclusion de tout aliment carné.  

    Question :  Peut-on voir ce qui se passe à l’extérieur du vaisseau depuis l’intérieur ?  

    Elizabeth Klarer : Non seulement on peut tout voir y compris à travers des obstacles solides et zoomer sur n’importe quel point de l’espace sans altérer la qualité des images, mais on peut obtenir le même résultat au niveau du son.  

    Question :  Les vaisseaux ont-ils de l’armement à leur bord ?   Elizabeth Klarer : Non, ils sont seulement équipés de déflecteurs qui leur permettent, en cas de nécessité, d’immobiliser d’éventuels projectiles, y compris des missiles.  

     Question :  Les membres de l’équipage du vaisseau-mère à bord duquel vous avez voyagé viennent-ils tous de Méton ?  

     Elizabeth Klarer : Ils appartiennent tous à la Fédération des Planètes qui regroupe la plupart des planètes et des lunes habitées de notre système solaire. Mais d’autres planètes sont actuellement en cours d’aménagement, notamment dans le système de Véga, en vue d’y accueillir des humains. 

      Question :  Comment sont les habitants de Méton par rapport aux Terriens ?  

    Elizabeth Klarer : Ils sont plus grands, plus beaux, plus évolués et plus pacifiques. Ils se vêtissent et se nourrissent de manière beaucoup plus simple et naturelle que nous, et ils vivent bien plus longtemps : jusqu’à plusieurs centaines d’années. Proxima du Centaure ne produit aucun rayonnement susceptible de brûler la peau ou de perturber le fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi les Métoniens se contentent de vêtements de soie légers et agréables. Tout est gratuit et il existe des "fermes à soie" où chacun se sert librement selon ses goûts. Tout ce qui est nécessaire à la vie est disponible en abondance et il n’y a ni argent ni troc.   

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    Question :  À quoi ressemble la planète elle-même ?  

     Elizabeth Klarer : Elle est légèrement plus grande que la Terre, recouverte de vastes mers, et les terres sont toutes des îles ; il n’y a pas de continents. Le climat est merveilleusement doux et la luminosité agréable. La végétation est luxuriante et les Éléments ne provoquent jamais de catastrophes ni de cataclysmes. Ils sont totalement sous contrôle des habitants qui ont des milliers d’années d’avance sur nous non seulement au niveau technologique mais surtout au niveau spirituel.  

     Question :  Pouvez-vous nous décrire l’organisation politique et sociale sur Méton ?  

    Elizabeth Klarer : Il n'y a ni lois ni argent ni système politique, car tout repose sur l’harmonie, le partage et la fraternité. Il n’y a ni criminels ni délinquants. Les Métoniens sont des êtres extrêmement doux, gentils et hospitaliers. Leurs maisons sont belles, lumineuses et construites à l’aide d’un matériau transparent qui les rend particulièrement confortables et accueillantes. Les médecins se consacrent exclusivement à des activités d’étude ou de recherche sur d’autres planètes, car il n’y a pas de malades chez eux. Ils n’ont pas d’ennemis et il n’y a aucun prédateur sur Méton. Leur principale préoccupation est que tout soit beau autour d’eux. Ils ont un sens artistique inné. Leur musique et leurs peintures sont merveilleuses. Ils affectionnent particulièrement les jardins fleuris, les papillons et les oiseaux avec lesquels ils communiquent télépathiquement. (...)

    Suite Ici : erenouvelle 

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    Livres d'Olivier de Rouvroy (Site "Ere Nouvelle") 

     D’extraordinaires révélations d’autres grands contactés actuels ou du siècle passé.

    Ils ont pour noms George Adamski, Howard Menger, George Hunt Williamson, Orfeo Angelucci, Dino Kraspedon, Eugenio Siragusa, Pierre Monnet, Billy Meier, Jean Miguères, José Trigueirinho, Miriam Delicado, Jim Sparks, Alex Collier, Jean-Paul Appel-Guéry, Lou Baldin et Sheldan Nidle.

    La plupart d’entre eux n’ont pas hésité à sacrifier leur carrière, leur réputation, le confort douillet de leur vie familiale, acceptant souvent d’être ridiculisés, traînés dans la boue, menacés, parfois même torturés, afin que la vérité sur la question des extraterrestres puisse enfin être dévoilée.

    Leurs témoignages concordent tous et projettent un nouvel éclairage sur la grande opération que les membres dispersés de notre famille galactique mettent en ce moment même et conjointement en place afin de se manifester massivement sur la Terre et de nous aider à y instaurer notre future civilisation, la civilisation de l’Âge d’Or.

    erenouvelle/

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