• Les réseaux vitaux de la terre.

     Mystères des ovnis

    LES RÉSEAUX VITAUX DE LA TERRE ET LES OVNIS

    Les réseaux vitaux de la terre

    Extraits d'après les recherches du Dr Alain Boudet

    (source : spirit-science

    Résumé: La Terre est parcourue par un ensemble de flux énergétiques organisés en plusieurs grilles superposées et connectées, qui couvrent la terre de leur maillage aux caractéristiques précises. La structure des grilles est sous-tendue par des formes géométriques simples, les polyèdres réguliers ou solides de Platon.

    Dès les années 1930, plusieurs investigateurs et géobiologues ont contribué de façon souvent indépendante à découvrir ces réseaux. Ils se sont appuyés sur un faisceau d'indices tels que les anomalies magnétiques et géophysiques, la radiesthésie et les apparitions d'OVNIs. Les nœuds de ces réseaux présentent des énergies telluriques et cosmiques particulières qui en ont fait des centres de rayonnement religieux, philosophique et artistique des civilisations anciennes.

    La redécouverte contemporaine de la structure du réseau énergétique planétaire a été le fruit de l'apport successif de plusieurs investigateurs, dont nous allons maintenant relater les recherches au cours du 20e siècle.

    Les lignes orthoténiques d'Aimé Michel

    L'idée de l'existence d'une grille planétaire a émergé à peu près à la même époque en plusieurs endroits de la planète. Dès les années 1950, Aimé Michel a été amené à proposer l'existence de lignes de force à la surface de la terre, idée qui lui est venue par l'examen des apparitions d'OVNIs en France. Dans cette analyse, on ne s'occupe pas de savoir quelles sont la nature et l'identité des OVNIs, ni quelles sont leurs intentions. On constate seulement la présence d'un objet inconnu, c'est-à-dire non identifié par ses caractéristiques.

     

     Aimé Michel (1919-1992) s'était engagé dans la résistance pendant la seconde guerre mondiale, puis avait été embauché en 1944 à la RDF (Radio Diffusion Française qui deviendra l'ORTF). Il y a d'abord travaillé comme ingénieur du son, ensuite dans la recherche au contact de Pierre Schaeffer, un pionnier de la musique concrète.

    En 1954, de nombreuses observations d'OVNIs sont signalées dans toute la France. Pendant cinq semaines environ, de la mi-septembre au 20 octobre, les journaux français mais aussi européens publient chaque jour de nombreux témoignages. Aimé Michel porte attention au lieu de leur apparition. Il publie ses réflexions dans son livre Mystérieux Objets Célestes (Arthaud 1958), avec le concours de Jacques Bergier. Il y expose sa théorie de l'orthoténie selon laquelle les apparitions d'OVNIs survenant dans la même période de 24 h sont localisées sur des lignes droites. Il forge le mot orthoténie, du grec orthoteneis, qui signifie en ligne droite.

    Par exemple, le 15 octobre 1954, on rapporte 8 observations: une à Southend en Angleterre, une à Calais, une à Aire-sur-la-Lys, une sur la Nationale 68 entre Niffer et Kembs (frontière franco-allemande), une à l’embouchure du Pô, une à l’est de Paris, une sur la Nationale 7 au sud de Montargis, une enfin à Fouesnant, près de Quimper. Si l’on joint l’observation italienne à celle de la Nationale 68, cette ligne droite embroche très exactement, à 400 kilomètres de là, l’observation d'Aire-sur-la-Lys, puis celle de Calais, puis celle de Southend. Longueur de la ligne: 1'100 kilomètres. Cinq observations se trouvent rigoureusement alignées sur cette longue distance.

      Apparitions d'OVNIs en France le 7 octobre 1954

    LES RESEAUX VITAUX DE LA TERRE ET LES OVNIS

     Source: Les soucoupes volantes, Jacques Pottier, 1975 Merci à Jérôme Beau   En-dessous à droite: Grand cercle sur une sphère: Prenez une balle et posez un élastique de petite taille. Il forme un cercle (en bleu pointillé). Si vous l'enfoncez, il s'étire en un cercle plus grand jusqu'à arriver à un maximum, le grand cercle (bleu continu). C'est l'équateur, mais on peut en faire plusieurs dans toutes les directions (en jaune, en noir). La caractéristique d'un grand cercle est d'avoir son centre confondu avec celui de la sphère.  

    LES RESEAUX VITAUX DE LA TERRE ET LES OVNIS 

          Prenons un autre jour, le 24 septembre. Neuf observations ce jour-là. Sur les neuf, six se trouvent sur une même droite allant de Bayonne à Vichy (la ligne BaVic). Un an environ après la parution du livre où j'exposais ces faits étranges, Jacques Bergier me signala une observation de ce même 24 septembre 1954 et qui m'avait échappé. Elle était signalée dans un numéro du Parisien Libéré de la fin du mois et reprise de la presse portugaise. Ce même 24 septembre, donc, il y avait eu au Portugal une dixième observation: une "soucoupe" vue par un paysan près d'un petit village de la sierra de Gardunha, non loin de la frontière espagnole.

        

    Quand je pointai ce lieu d'observation sur la carte, j'eus la stupeur de constater qu'il se situait très exactement sur le prolongement de "Bavic", vers le sud-ouest. "Bavic" ne comptait donc pas six observations sur neuf, mais bien sept sur dix, et la probabilité pour que le hasard seul en fût cause devenait pratiquement nulle. Une nuit, coup sur coup, deux observations me furent signalées à Tulle et à Brive. Ces observations se situaient encore sur "BAVIC". Mais cette fois, plus de deux ans s'étaient écoulés depuis la vague de 1954. Coïncidence? Ou indice d'une piste nouvelle? Je repris mes dossiers et constatai que pendant la seule vague de 1954, un bon nombre d'autres observations se situaient également sur "Bavic". Parfois même - par exemple à Dôle, dans le Jura - on notait sur cette ligne plusieurs retours à des dates différentes. D'où la question: certaines lignes ne seraient-elles pas permanentes? N'ordonneraient-elles pas de façon chronique le phénomène soucoupe dans son ensemble? (Extrait de: Oui, il y a un problème soucoupes volantes! Aimé Michel, revue Planète n°10 mai-juin 1963).

    Avec l'appui de chercheurs réputés comme David Saunders et Jacques Vallée aux USA, Michel étend ses observations aux USA et à d'autres pays et constate que les lignes d'apparitions d'OVNIs sont des portions de grands cercles du globe terrestre;

    Depuis les événements de 1954, cinq autres vagues d'observations s'étaient succédées dans le monde, toutes plus ou moins semblables à la vague européenne: une aux États-Unis, une dans les provinces septentrionales du Brésil et au Vénézuela, une en République Argentine, une en Nouvelle-Zélande et une en Nouvelle Guinée orientale. Les surfaces où ces vagues s'étaient développées présentaient généralement une extension assez restreinte. La plus vaste, aux États-Unis, semblait concentrée sur les États du nord-est, dans la région des Grands Lacs. Sur une mappemonde, elles se présentaient sous la forme de taches assez bien délimitées. Je pris donc la ligne européenne la plus suggestive et la plus riche, qui était précisément "Bavic"...

    Le grand cercle déterminé par l’alignement Bayonne-Vichy survole successivement le Portugal, les Provinces septentrionales du Brésil, la République Argentine, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Guinée orientale, Formose et le continent Eurasiatique. Sur six des vagues survenues depuis 1954, inclusivement, cinq sont donc embrochées par cet énigmatique grand cercle découvert à la seule lumière des observations françaises de 1954! (Michel, œuvre citée)

     

    Aimé Michel n'est pas le seul à s'être intéressé aux caractéristiques de vols des OVNIs. Dans une publication intitulée Skyways and Landmarks (Routes aériennes et bornes terrestres, 1961), Tony Wedd, ex-pilote de la Royal Air Force britannique, avance que les OVNIs se déplacent le long de lignes de force magnétiques qui relient les sites anciens.

    Bruce Cathie (né en 1930), alors qu'il était en activité comme pilote aéronautique en Nouvelle-Zélande, a non seulement été lui-même témoin d'apparitions d'OVNIs, mais il recueillait également les témoignages de ses collègues. Contrairement à lui, ils ne souhaitaient pas en faire état publiquement, de peur que cela nuise à leur réputation.

    Au fil du temps, Cathie a constaté que les OVNIs apparaissaient en Nouvelle-Zélande avec une certaine régularité. Fasciné par cette régularité, il décide d'y consacrer du temps pour recueillir des informations et consulter les dossiers disponibles en Nouvelle-Zélande. Il reporte la localisation des événements sur la carte et constate qu'ils se placent sur un quadrillage nord-sud, est-ouest. 

    Voici ce que dit Cathie : En utilisant des unités de 30 minutes d'arc en latitude nord-sud (il précisera: selon un axe incliné de 006° par rapport à l'horizontale), et 30 minutes d'arc en longitude est-ouest (plus précisément à 276°), sur ma carte Mercator, j'ai trouvé un quadrillage dans lequel s'ajustaient un grand nombre de rapports d'OVNIs. J'avais abouti à une carte dans laquelle 16 positions d'OVNIs stables et 17 d'OVNIs en mouvement étaient placées sur les intersections et des lignes... J'avais une bonne preuve que la Nouvelle-Zélande et peut-être le monde entier était systématiquement couvert d'une sorte d'un système de grille. Par la suite, il subdivisa cette grille en 4, soit des intervalles de 7,5 minutes d'arc nord-sud et est-ouest (environ 13,9 km).

    Cela semble suggérer que les OVNIs utilisent ces lignes comme système de navigation. La division en 360° représenterait la structure des lignes de force magnétiques.

     

    Ivan Sanderson (1911 – 1973) était biologiste aux États-Unis, mais en plus il s'intéressait à l'étude des phénomènes étranges, tels que l'abominable homme des neiges et a créé la Society for the Investigation of the Unexplained. Il a également apporté une contribution à l'étude de la grille planétaire dans un article publié en 1972 dans Saga magazine: Les 12 vignes du diable autour du monde.

    Il y rapporte les résultats de ses investigations sur les zones d'anomalies terrestres: anomalies magnétiques, aberrations énergétiques, distorsions du temps, disparitions de bateaux et d'avions et autres phénomènes étranges. Pour amasser les données et en faire l'analyse statistique, il tire profit des méthodes modernes électroniques de collecte.

    Il met en évidence 12 zones d'anomalie. Le plus étonnant est qu'elles sont équidistantes et disposées de façon régulière autour du globe. Deux d'entre elles sont les pôles et les 10 autres zones sont réparties de part et d'autre de l'équateur.

    La zone qui arrive en premier dans le classement de ces statistiques est la région connue comme le triangle des Bermudes, à l'est de Miami (Bahamas).

     La Mer du diable, à l'est du Japon (point 14 de la grille B-H, 26° 34' N 139° 12' E), située entre les îles Iwo Jima et Marcus, constitue une deuxième zone remarquable de distorsions, où des avions et navires ont été portés disparus Une autre est localisée près de Hawaï (point 16 de la grille B-H, 26° 34' N 148° 48' W), une zone d'activité volcanique intense.

    Une autre est localisée près de Hawaï (point 16 de la grille B-H, 26° 34' N 148° 48' W), une zone d'activité volcanique intenseSanderson rapporte le récit d'un pilote dont les instruments de guidance et de communication ne fonctionnaient plus dans cette zone, et se sont remis à fonctionner une fois sortis de la zone, une panne sur une étendue de 560 km, donc pendant au moins une demi-heure peut-être une heure. Mais la tour de contrôle n'a enregistré aucune interruption, comme si la traversée avait duré une seconde. C'est une zone de distorsion du temps. 

     

     LES RESEAUX VITAUX DE LA TERRE ET LES OVNIS

    12 vortex de Sanderson D'après bibliotecapleyades

    La terre, un grand cristal ?

    Les résultats de Sanderson ont été repris et développés par un groupe de trois scientifiques russes: Nikolai Goncharov est historien, Valery Makarov est un spécialiste en électronique, Vyacheslav Morozov est un ingénieur en bâtiment. Ils ajoutent de nouveaux points sur la grille qui tiennent compte des activités électromagnétiques et thermiques: anomalies magnétiques et gravitationnelles, zones de fractures sismiques, crêtes de relief sous-marin, zones de climat extrême, vols d'oiseaux migrateurs, sites de cités antiques. 

    Ils arrivent ainsi à un total de 62 points qui incluent les 12 lieux déjà identifiés par Sanderson. En 1973, ils énoncent leurs conclusions dans un article intitulé La terre est-elle un gigantesque cristal? publié dans le journal des sciences soviétiques Khimiya i Zhizn (Chimie et Vie). Le journaliste et écrivain américain Christopher Bird les fait connaitre dans un article de New Age Journal paru en mai 1975, intitulé Planetary Grid. Ils y présentent un réseau géométrique dessiné sur une mappemonde.

    Ce réseau régulier montre qu'une structure géométrique est associée à la sphère terrestre, soit qu'elle lui soit superposée, soit qu'elle la sous-tend. Elle est l'empreinte visible d'une matrice d'énergie implantée dans la terre.(...) 

    Goncharov, Makarov et Morozov se sont aperçus que les lieux mis en évidence sont placés aux sommets de deux polyèdres qui font de la terre un vaste cristal. Les triangles sont les faces d'un icosaèdre et les pentagones sont les faces d'un dodécaèdre L'icosaèdre et le dodécaèdre sont deux des cinq volumes (ou solides) de Platon. Platon avait explicitement fait référence à ces polyèdres comme symboles des éléments qui constituent le corps humain et la terre. Ce concept est probablement très ancien. Kepler a également tenté de le remettre en honneur en l'appliquant au système solaire.

    Actuellement, ils sont plutôt connus en géométrie comme étant les seuls polyèdres réguliers convexes. On dit qu'un polyèdre est régulier lorsque ses faces sont régulières et égales et ses angles égaux. Convexe signifie qu'ils n'ont pas de creux, à l'inverse d'un polyèdre étoilé. Ces polyèdres sont inscriptibles dans une sphère.

    Les 3 autres solides de Platon sont l'octaèdre et le tétraèdre, qui comme l'icosaèdre sont faits de triangles, et le cube, fait de carrés.

    Or justement, nous trouvons aussi ces trois solides de Platon comme partie intégrante de la grille terrestre.

    Selon Carl Munck, les coordonnées géodésiques des monuments antiques sont inscrites sous forme codée dans le monument lui-même. Le code est assez complexe et ses règles semblent la résurgence d'une science ancienne, la guématrie, dont les formes les plus élaborées ont été perdues et qui restent à redécouvrir.

    Selon ce décodage, les longitudes sont fixées par rapport à un méridien zéro qui n'était pas celui de Greenwich comme aujourd'hui, mais un méridien qui traverse la grande pyramide de Guizeh. Les longitudes anciennes sont déduites des longitudes actuelles en enlevant 31°.

    La grande pyramide était considérée comme le point central de la terre. Géographiquement, si on trace des grands cercles passant par elle, et orientés dans n'importe quelle direction, ils traversent plus de terres qu'on ne peut le faire en aucun autre endroit. C'est le centre de gravité des terres émergées. Énergétiquement, le lieu concentre de grands flux d'énergie terrestre. Selon W. Becker , la grande pyramide est construite sur un point d'énergie très puissant où se croisent les lignes du tétraèdre, du cube, de l'octaèdre, du dodécaèdre et de l'icosaèdre.

     

    Les niveaux multidimensionnels des grilles

    Notre découverte des résilles de métaux illustre le fait que plusieurs réseaux, plusieurs grilles coexistent et s'interpénètrent. Chacune porte une énergie différente et a donc une fonction spécifique.

    Il y a des grandes grilles qui sont les conduits vitaux principaux de la terre. Ces grandes mailles sont divisées en mailles plus petites, elles-mêmes sous-divisées en mailles encore plus petites dessinant un treillis plus fin. Il y a des grilles dans des grilles, selon une hiérarchie d'échelle qu'on peut qualifier de fractale. 

    On peut comparer cette imbrication de réseaux aux réseaux vitaux du corps humain. Le système sanguin est fortement couplé au réseau respiratoire, au système lymphathique et au système nerveux, par exemple. Il est lui-même constitué de gros vaisseaux principaux, qui se ramifient en vaisseaux plus fins, et encore jusqu'aux vaisseaux capillaires extrêmement fins. 

    Par ailleurs, le corps humain est fait de la superposition d'au moins 5 corps énergétiques de niveaux vibratoires différents: corps physique, vital, émotionnel, mental et spirituel (voir article Chakras et corps subtils). Il en est de même pour la Terre. Elle a ses propres corps énergétiques. Ainsi la comparaison entre le corps humain et le corps de la Terre n'est pas qu'une image commode. Il est une réalité: corps humain et corps terrestre sont constitués selon des structures semblables. Chacun des corps de la Terre est parcouru de son propre système circulatoire: c'est une grille. 

    La superposition multidimensionnelle des grilles a par exemple été décrite par Richard Leviton (Leys lines and the meaning of Adam). Selon sa vision, une certaine forme de structure énergétique s'est mise en place dans les premiers temps de l'existence de la Terre, en relation avec l'apparition de la vie biologique. La structure d'origine était faite de lignes droites reliant des vortex énergétiques en forme de dômes posés à la surface de la terre. Ces lignes étaient doubles, l'une portant la vibration de l'or et l'autre celle de l'argent. Ces lignes montaient aussi verticalement d'une certaine façon pour se rejoindre en un point particulier de la Terre, son nombril en quelque sorte. Ce nombril pourrait être Avebury en Angleterre. Il est intéressant de remarquer que d'autres lieux sur la planète ont été nommés nombril, comme Delphes en Grèce ou Cuzco au Pérou. 

    Levinton distingue 4 grilles de niveaux vibratoires différents, correspondant aux corps énergétiques de la Terre, localisées en surface ou dans l'atmosphère, jusqu'à environ 3 km d'altitude. L'une d'elle est faite de 15 grands cercles entourant la terre au-dessus de sa surface, déterminant 62 points de croisement et 120 triangles. La ligne de ley St-Michael en Angleterre en fait partie (voir article précédent). Elle ne se limite pas à l'Angleterre, elle fait le tour de la Terre. Une autre grille, souvent parallèle à la précédente, inclut une multitude de dômes secondaires, au total 1746 dômes qui sont devenus des lieux potentiels de menhirs, de centres mégalithiques ou de temples. Chaque dôme était porteur des codes de lumière nécessaires pour créer la vie. 

    Les grilles évoluent

    Ainsi, les flux vitaux de la terre sont répartis selon un système de grilles géométriques multidimensionnelles dont la structure repose sur une combinaison de polyèdres inscrits dans la sphère terrestre, les solides de Platon et leur dérivés fractals.

     

    Toutefois, ces géométries ne sont pas immuables. Les grilles sont vivantes et comme tout être vivant, elles respirent et évoluent. Leur évolution est liée à l'évolution de la terre et de l'humanité. Selon Levinton, chaque changement majeur dans l'évolution de la vie biologique et humaine a été accompagné d'un changement de la structure des grilles, par exemple au moment de l'apparition de l'homme sur Terre. Selon d'autres auteurs, d'importantes modifications des grilles ont marqué le début de l'expérience humaine de la dualité, c'est-à-dire la coupure de l'homme avec son être divin intérieur et avec les hiérarchies célestes.

     

    Or nous voilà à nouveau confrontés à de fortes modifications des grilles qui ont des répercussions troublantes sur nos corps et nos esprits, ainsi que sur la géologie. Nous approfondirons cet aspect dans la troisième partie de cette série, en tentant de répondre aux questions: qui a mis en place ces réseaux et ces centres sacrés et dans quel but ?

     Alain BOUDET

    Dr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignant

     (source : spirit-science)  

     

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