•  La pyramide du Kazakhstan

    Des archéologues ont mis au jour un mystérieux mausolée millénaire, recueillant des ossements humains et divers objets plus ou moins identifiés. Il s'agit d'une trouvaille majeure pour un pays qui recèle encore de nombreux trésors antiques.

    À plus de 6000 kilomètres du plateau égyptien de Gizeh et de ces célèbres pyramides, dans la région de Karaganda en plein centre du Kazakhstan, une équipe archéologique a mis au jour les vestiges d'un mausolée antique.

    Selon les chercheurs Igor Kukushkin et Viktor Novozhenov, à la tête de l'équipe envoyé par le Saryarka Archaeological Institute de la Karaganda State University, le bâtiment aurait été érigé il y a plus de 3000 ou 3500 ans. La structure de l'édifice, constitué de cinq murs montant graduellement vers le centre du socle, indique clairement la forme de la pyramide.

    Sosie du complexe de Djéser

    Rapidement, les spécialistes y ont vu le sosie du complexe funéraire de Djéser, en Égypte. Ce tombeau du pharaon éponyme est aujourd'hui considéré comme la plus vieille pyramide du monde, ayant été construite près de 2600 ans avant notre ère.
    La pyramide de Karaganda fut donc - d'après les premières datations - conçue bien après le site de Djéser, et dans des mesures beaucoup moins imposantes. Le mausolée mesure 2 mètres de haut, et est long de 14 sur 15 mètres; quand l'architecture de Djéser est haute de 62 mètres pour un socle de 121 sur 109 mètres.
    Viktor Novozhenov précise que la pyramide a été construite de «pierre, de terre, et fut fortifiée par des dalles sur la façade extérieure». Quant à l'infrastructure interne, les fouilles du site ont révélé une chambre funéraire destinée à un chef d'une tribu locale, au sommet de l'édifice; alors que les quartiers inférieurs étaient réservés à la famille du patriarche.

    Si la chambre du défunt semble avoir été pillée, les tombes exhumées ont dégagé des restes humains, différentes poteries, quelques objets de bronze comme un couteau, des pointes de flèche ou des aiguilles, ainsi que d'autres objets non identifiés. Ces découvertes feront l'effet d'une datation plus précise et d'analyses poussées.

    Source : .lefigaro.

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  • LES PLUS BEAUX ARBRES

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    Japon - Glycines

    Un érable Japonais

    Arbres à mangues sous l'eau

     VOIR AUSSI LA PAGE des arbres les plus vieux du monde

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  • Des formes de vie en Antarctique

    Des formes de vies mystérieuses retrouvées dans des grottes chaudes creusées dans la glace par les volcans en Antarctique ? Non, il ne s’agit pas d’un film de science-fiction, mais bien d’une découverte scientifique inédite. Selon des chercheurs australiens, ces grottes mystérieuses abriteraient des écosystèmes complexes, dans lesquels vivraient des espèces animales et végétales encore inconnues.Des chercheurs de l’Université nationale australienne ont effectué des recherches autour du mont Erebus, un volcan actif de l’île de Ross, située au coeur de l’Atlantique. Les conclusions de l’étude, parues dans la revue Polar Biology, révèlent que ce volcan est à l’origine d’un système de grottes chaudes contenues à l’intérieur même des glaciers. Résultat : les analyses des échantillons de sol ont révélé différentes traces d’ADN provenant d’algues, de mousses et de petits invertébrés. Des animaux ou des végétaux identifiés ailleurs sur l’Antarctique. Mais, ce n’est pas tout. Certains ADN découverts sur les lieux sont simplement inconnus. Plus précisément, certaines des séquences d’ADN n’ont pas été entièrement identifiées.

    L’équipe de Ceridwen Fraser, de l’École de l’environnement et de la société Fenner de l’Université nationale australienne, qui a enquêté sur des cavernes de l’île Ross, rêve déjà à une vie secrète sous les glaciers :


    « Les résultats de cette étude nous donnent un aperçu attirant de ce qui pourrait vivre sous la glace en Antarctique – il pourrait même y avoir de nouvelles espèces d’animaux et de plantes. »

    Source : positivr.

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  • Des traces d'hominidés inconnus en Crète

     

    29 mystérieuses empreintes fossilisées datant de 5,7 millions d’années ont été découvertes en Crète. Il pourrait s’agir ici des plus anciennes traces d’hominidés connues. La question suscite encore des débats, mais si la nouvelle venait à se confirmer, il nous faudrait alors complètement repenser nos origines.

    En 2002, des empreintes de pas ont été découvertes dans la région de Trachilos, près de la ville de Kissamos en Crète. Après avoir passé le site au peigne fin, les chercheurs ont à ce jour dénombré 29 traces au total mesurant entre 9,9 et 22,3 cm de longueur. Le séquencement et l’écartement des traces de pas indiquent qu’elles sont l’œuvre d’un ou plusieurs bipèdes. Pour les chercheurs, « les nouvelles empreintes de Trachilos ont une forme indubitablement humaine », notamment au niveau des orteils : « le gros orteil est semblable à celui du pied humain en terme de forme, de taille et de position, il est également associé à une protubérance distincte au niveau du talon (calcaneum) qui n’est jamais présente chez les autres primates », écrivent les chercheurs. En bref, la forme des empreintes indique donc sans ambiguïté qu’elles appartiennent à un ou plusieurs hominidés précoces. Mais alors, qui a fait ces traces ?

    Les empreintes ont été datées en étudiant les strates sédimentaires environnantes. Il y a environ 5,6 millions d’années, à la fin du Miocène, toute la Méditerranée s’est desséchée. Cet assèchement s’est matérialisé par une couche plus claire facilement identifiable dans la stratigraphie. Les traces de pas de Trachilos étant juste en dessous, celles-ci ont donc été datées à environ – 5,7 millions d’années. Au moment où les traces de Trachilos ont été faites, la Crète n’était pas une île et ne s’était pas encore détachée de ce qui allait devenir la Grèce. Il était alors tout à fait possible de venir « à pied » dans cette région du monde à l’époque asséchée. Or, jusqu’à présent, tous les hominidés plus anciens que deux millions d’années étaient situés en Afrique, mais avec la découverte de ces empreintes de pas, il semblerait donc que certains se soient déployés très tôt autour du bassin méditerranéen tout en continuant de se développer et d’évoluer sur le continent africain.

    Conscient que cette étude bouscule quelque peu le scénario de l’évolution de l’homme, Per Ahlberg, l’un des auteurs de l’étude, a notamment déclaré que « la question est maintenant de savoir si la communauté de recherche sur les origines de l’homme accepte des empreintes fossiles comme une preuve concluante de la présence d’homininés en Crète au Miocène. Cette découverte conteste le récit établi de l’évolution humaine précoce et est susceptible de générer beaucoup de débats ». Certains paléoanthropologues restent en effet très perplexes quant à la base de la structure de ces empreintes qui ne sont malheureusement pas d’une qualité suffisante pour que le débat soit tranché définitivement.

    Source : sciencepost

    Les évolutionnistes sont devant une controverse, avec la découverte d'empreintes fossilisées "similaires aux humains" prétendument faites il y a 5,7 millions d'années à trachilos, sur l'île méditerranéenne de Crète.

    Pourquoi la controverse ? Parce que, selon le scénario évolutionnaire, à ce moment-là nos ancêtres humains ne se trouvaient qu'en Afrique, ils avaient des pieds comme ceux des singes, mais ils n'ont été que dans la position verticale beaucoup plus tard dans l'histoire ; il y a environ 3,6 millions d'années.

    Les empreintes ont été trouvées en 2002 par l'auteur principal de l'étude, Gérard Gierliński. En 2017, les deux surfaces avec des empreintes ont été examinées au laser pour produire une image 3 d, et un moulage en silicone a également été fait. Plusieurs mesures ont également été effectuées. Les chercheurs ont conclu que les empreintes ont été faites par un hominidé et ont noté que le responsable des empreintes n'avait pas de griffes et était bipède, plantígrado, pentadáctilo et fortement entaxónico.

    Pour le profane, cela signifie que le plus probable est que les empreintes ont été faites par des pieds humains que par n'importe quelle autre créature.

    Cela signifie que ou les calendriers scientifiques précédents sont incorrects, et les scientifiques ont présenté des théories et des études incomplètes, ou la théorie de l'Afrique à l'extérieur doit être très reconsidérée.

    En effet, depuis que les scientifiques ont découvert les fossiles de australopithèque en Afrique au cours du 20 ème siècle, on croyait que la lignée humaine pourrait être détectée jusqu'à un endroit spécifique.

    De plus, les récentes découvertes fossiles (aussi en Afrique), y compris les traces bien connues de laetoli de 3,7 millions d'années de Tanzanie, qui montrent des pieds humains et de la locomotion, ont beaucoup aidé l'idée que les humains primitifs ne se sont pas seulement ont L'Afrique. Mais il est resté isolé pendant plusieurs millions d'années avant de se disperser pour l'Europe et l'Asie.

    Cependant, la découverte des empreintes en Crète renverse complètement cette idée simple, suggérant qu'il y a une complexité beaucoup plus grande en jeu. Ce qui rend cela controversé est l'âge et l'emplacement des impressions

    Cette découverte défie le récit établi de la première évolution humaine et produira probablement beaucoup de débat. Si la communauté de recherche d'origines humaines accepte des empreintes fossiles en tant que preuve concluante de la présence d'hominidés au miocène de Crète, on ne sait pas encore.



      empreintes bien préservées. (a - c) les trois empreintes les plus bien préservées de la surface b2, chacune montrée comme une photo (gauche), balayage de la surface du laser (milieu) et balayage avec interprétation (droite). A été faite par un pied gauche, b et c par pieds droits. Barres d'échelle, 5 cm 1-5 dénote le numéro du chiffre ; ba, impression de balle ; lui, heel impression.

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  • Vikings et Amérindiens se seraient rencontrés sur le Nouveau Monde


    La mise au jour d’objets inédits semble témoigner d’une rencontre entre Vikings et Amérindiens. Un pan méconnu de l’histoire, récemment mis en lumière par une archéologue canadienne. Les fibres avaient quelque chose de bizarre. Elles ne cadraient pas. Patricia Sutherland le repéra tout de suite : elles avaient un aspect étrangement duveteux, d’une grande douceur au toucher.

    Ces brins de cordage provenaient d’un village abandonné, à la pointe septentrionale de l’île de Baffin, au Canada. Bien au-delà du cercle polaire et au nord de la baie d’Hudson, des chasseurs indigènes s’étaient réchauffés là, il y a quelque 700 ans, en se servant de lampes à huile de phoque.

    Dans les années 1980, un missionnaire catholique s’était lui aussi interrogé sur ces brins soyeux après avoir exhumé des centaines d’objets fragiles de ces mêmes ruines. Le cordage, constitué de poils courts provenant de la fourrure d’un lièvre arctique, n’avait absolument rien à voir avec les tendons que les chasseurs de l’Arctique torsadaient pour confectionner des cordes.

    Comment était-il arrivé là ? La réponse échappant au vieux prêtre, il enferma les brins dans des caisses avec le reste de ses trouvailles et les remit au Musée canadien des civilisations situé à Gatineau, au Québec.

    Les années passèrent. En 1999, Patricia Sutherland, une archéologue spécialiste de l’Arctique travaillant au musée, glissa les brins sous un microscope et vit que quelqu’un avait tissé les poils courts en un fil doux. Pourtant, les hommes préhistoriques de l’île de Baffin n’étaient ni des fileurs ni des tisserands ; ils cousaient leurs vêtements dans du cuir ou de la fourrure.

    D’où pouvait bien venir ce fil ? Des années plus tôt, alors qu’elle participait à la mise au jour d’une ferme viking au Groenland, Sutherland avait vu ses collègues découvrir des fils similaires sur le plancher d’une salle de tissage.

    Elle téléphona à un archéologue au Danemark. Quelques semaines plus tard, une spécialiste des textiles vikings l’informa que les brins canadiens étaient en tout point identiques aux fils confectionnés par les femmes scandinaves au Groenland. « J’étais totalement abasourdie », se souvient l’archéologue.

    Source : nationalgeographic.

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  • La momie dorée du Maître Ci Xian

    Une « momie dorée » vieille de 1000 ans avec des os et le cerveau parfaitement préservés étonne les experts

    Le corps momifié du maître bouddhiste Ci Xian, vieux de 1000 ans, s’est révélé avoir un squelette composé d’os « en bonne santé » ainsi qu’un cerveau complet, a révélé une tomodensitométrie le 8 juillet. Le scanner a été observé par des médecins, des médias aussi bien que des moines.
    Selon le Dr. Wu Yongqing, « nous pouvons voir que ses os sont en aussi bonne santé qu’une personne normale. »

    « Le visage, les dents, les côtes, la colonne vertébrale et toutes les articulations sont complets. »

    « C’est incroyable de voir cela. »

    Le cerveau du maître Ci est resté relativement bien préservé. Normalement, les cerveaux des corps momifiés sèchent et rétrécissent.
    Selon le maître Du du temple Dinghui, les maîtres moines sont capables de sentir le moment de leur mort, et disent à leurs disciples s’ils souhaitent ou non être momifiés.

    Il est considéré que si le niveau spirituel atteint par un moine ou un maître a atteint un certain niveau, certains types d’énergie s’accumulent alors dans le corps de la personne, le préservant
    Les restes du maître Ci Xian ont été préservés après sa mort, mais étaient perdus jusque dans les années 1970 lorsque son corps a été découvert à l’intérieur d’une grotte.

    Durant sa vie, le maître Xian a voyagé d’Inde au royaume de Khitan (une région étant maintenant dans le Nord-Est de la Chine) afin de promouvoir le bouddhisme. Là-bas, le roi a qualifié Ci de maître bouddhiste national de Khitan.

    Ses restes ont été vénérés dans le temple Dinghui à Wu’an depuis 2011.
     maître Ci Xian est connu pour avoir traduit dix soutras majeurs en chinois ; certains ont été gravés dans la pierre et peuvent encore être vus aujourd’hui.

    Source : epochtimes

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  • Des  empreintes "non-humaines" dans le Sahara

     

    Lorsque le site de Wadi Sura II a été découvert dans le Sahara oriental en Egypte en 2002, les chercheurs furent abasourdis de trouver des milliers de décorations ayant été peintes sur les parois de l’abri rocheux environ 8 000 ans plus tôt. On y voit non seulement des animaux sauvages, des silhouettes humaines et d’étranges bêtes sans tête (ce qui a valu à l’endroit le surnom de « grotte des bêtes »), mais aussi des centaines d’empreintes de mains humaines, soit plus que dans tout autre site rupestre des roches du Sahara.

    Le plus inhabituel était la présence d’empreintes de 13 mains minuscules. Jusqu’à la découverte de Wadi Sura II, des pochoirs des mains et des pieds de jeunes enfants avaient été observés dans l’art rupestre en Australie, mais jamais dans le Sahara. Une scène remarquable et émouvante montre même une paire de « mains de bébé » nichée à l’intérieur des empreintes plus grandes de mains adultes.

    Mais voilà quelque chose d’encore plus bizarre : ces petites mains ne sont même pas humaines. 

    LES RÉPONSES SE CACHENT DANS UN HÔPITAL FRANÇAIS

    Wadi Sura II est considéré comme l’un des plus grands sites d’art rupestre du Sahara, même s’il n’a pas la réputation de son voisin Wadi Sura I, la « grotte des nageurs », découvert par le comte hongrois Láslo Almásy en 1933 et popularisé dans le film « Le Patient anglais ».

    De telles empreintes de mains de jeunes enfants n’avaient jamais été observées auparavant dans l’art rupestre du Sahara.

    L’anthropologue Emmanuelle Honoré, de l’Institut McDonald de recherche archéologique décrit avoir été « choquée » par la forme de ces minuscules empreintes de mains lorsqu’elle les a vu pour la première fois à Wadi Sura II en 2006. « Elles étaient bien plus petites que des mains de bébés humains, et les doigts étaient trop long, » se souvient-elle.

    Honoré a décidé de comparer les mensurations de ces empreintes avec celles de nouveau-nés humains (entre 37 et 41 semaines d’âge gestationnel). Comme celles du site étaient minuscules, elle a aussi mesuré la taille des mains de bébés nés prématurément (de 26 à 36 semaines d’âge gestationnel).

    Pour ce faire, l’anthropologue a formé une équipe composée de chercheurs en médecine pour récolter les données infantiles dans l’unité néonatale d’un hôpital français. « Si j’étais allée à un hôpital en disant simplement ‘Bonjour, j’étudie l’art rupestre. Vous avez des bébés pour moi ?’, ils m’auraient prise pour une folle et m’auraient jetée dehors, » rigole-t-elle.

    Les résultats, qui ont été publiés, montre qu’il y a très peu de chance pour que les « mains de bébés » dans la grotte des bêtes soient humaines. 

    LES DÉFIS DE L'INTERPRÉTATION

    Si les empreintes ne sont pas humaines, alors que sont-elles ? La position des petites mains et de leurs doigts varient d’une trace à l’autre, ce qui pousse les chercheurs à penser qu’elles étaient flexibles et articulées. Ils ont donc mis de côté la théorie d’un pochoir fait en un matériau rigide tel que du bois ou de l’argile.

    Les parois de Wadi Sura II sont recouvertes de centaines de pochoirs de mains, ainsi que d'images représentants des hommes, des animaux sauvages et d'étranges bêtes sans tête.

    Honoré a premièrement pensé à des pattes de singes, mais les proportions étaient aussi mauvaises. Ses collègues du Muséum d’histoire naturelle de Paris lui ont alors suggéré d’examiner des reptiles.

    Pour l’instant, les exemples aux proportions les plus proches des « mains de bébé » sont les pattes avant de varans ou de jeunes crocodiles. (L’étude de la théorie des crocodiles est encore en cours.) Les varans vivent encore dans la région de nos jours, et sont considérés comme des créatures protectrices par les tribus nomades locales.

    La révélation que les minuscules empreintes de mains de Wadi Sura II ne sont pas d’origine humaine a extrêmement surpris les experts de l’art rupestre du Sahara. « Le pochoir de figures animales est plutôt quelque chose que l’on voit en Australie ou en Amérique du Sud, » explique Honoré.

    Les empreintes de pieds d’animaux de Wadi Sura II semblent non seulement avoir été faites au pochoir à l’intérieur des empreintes de mains humaines, mais aussi sous forme de frise à l’instar des mains humaines. Elles ont toutes été réalisées au pochoir à la même époque et avec le même pigment. En revanche, il est impossible de dire si le pied d’un animal vivant a été pressé contre la paroi de l’abri, ou si l’artiste (ou les artistes) a préféré l’option plus simple et moins dangereuse d’utiliser un membre fraîchement coupé.

    Honoré préfère ne pas trop spéculer sur ce que signifient les empreintes non-humaines. « Nous avons cette conception moderne que les humains n’appartiennent pas à la nature, » dit-elle. « Mais dans cette grande collection d’images, on détecte que les humains font en fait partie du grand monde de la nature. C’est un vrai défi pour nous autres chercheurs que d’interpréter ces images puisque notre culture est complètement différente [de celle qui en est à l’origine]. »

    En tout cas, les nombreux parents des bébés qui ont participé à la recherche attendent avec impatience d’en savoir plus sur les révélations de ces peintures rupestres. « Ils étaient très enthousiastes à l’idée de savoir que leurs nouveau-nés pouvaient faire une telle contribution à la science, » dit-elle.

    Source : .nationalgeographic.

     

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  • Les secrets de la rivière (Inde)

    Pour la première fois dans l’histoire, une combinaison de sécheresse et de surconsommation de l’eau a poussé la rivière en Inde, la rivière Shamalaà Karnataka jusqu’à ses derniers retranchements, révélant ainsi sur le rivage des secrets qui ont choqué la communauté archéologique.La rivière a révélé la présence de milliers de Lingas de Shiva qui ont été sculptés il y a très longtemps sur le lit de la rivière.Le lieu qui porte le nom de « Sahasralinga » (Mille Lingas de Shiva en Sanskrit) est devenu un site de pèlerinage extrêmement populaire et des milliers de gens rendent désormais visitent à Sahasralinga pour prier le dieu Shiva. Les Lingas de Shiva ou ‘Lingam’ sont une représentation de la divinité Hindou Shiva, et sont présents dans tous les lieux de culte et temples hindous.Sahasralinga est situé près de Sirsi, dans l’état de Karnataka et c’est l’un des plus beaux endroits du pays, qui représente le pouvoir de la divinité et les énergies positives. Les innombrables lingas de Shiva découvert à cause de la sécheresse sont une preuve qu’il y a de nombreux endroits sur cette planète qui recèlent beaucoup de secrets de nos ancêtres, des secrets qui lentement mais sûrement, émergent à la surface. Nous pouvons ainsi respecter et rendre hommage à leur tradition et la valeur historique.

    Source : lesavoirperdudesanciens

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  • Une découverte à Petra en Jordanie

    Grâce à des drones et des images satellite, des chercheurs américains ont mis au jour une plate-forme d'une surface de plus de 2.700 m2, à 800 mètres au sud du plus célèbre temple de Petra, la Khazneh (le Trésor), dans le sud de la Jordanie. Une découverte jugée «immense et unique» lundi par la ministre du Tourisme et des antiquités Lina Annab.

    Les chercheurs estiment que cette structure aujourd'hui enfouie sous le sable a pu être utilisée pour des cérémonies religieuses ou des fêtes, selon leur étude publiée dans le Bulletin des écoles américaines de recherche orientale.

    Relancer le tourisme

    Située entre la mer Rouge et la mer Morte, l'immense cité antique de Petra a été taillée dans du roc rosé il y a quelque 2000 ans par les Nabatéens. Elle a été élue Merveille du monde en 2007. Des fouilles devraient être entreprises à l'endroit désigné par les chercheurs, ont indiqué des responsables jordaniens sans fixer de date. «Cette découverte inédite doit être suivie d'un travail intensif de fouilles et d'analyse», a précisé Mohamed al-Nawafleh, le chef de l'Agence de développement et de tourisme de Petra.

    Les autorités jordaniennes espèrent que cette découverte contribuera à relancer le tourisme à Petra, dont la fréquentation par des visiteurs étrangers a quasiment été divisée par trois en cinq ans, passant de près de 900.000 en 2010 à 315.000 en 2015, selon les chiffres du ministère du Tourisme. Elle souffre de la désaffection des pays arabes par les touristes étrangers.

    Source : leparisien -de-petra-13-06-2016-5880301.php

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  • Des hiéroglyphes vieux de 3250 ans av. JC

    Dans la ville d'El Kab en Égypte, un groupe de chercheurs américains a fait une trouvaille tout à fait surprenante : dans les vestiges de cette cité antique, se trouvent des traces témoignant des premières écritures égyptiennes vieilles de plus de 5.000 ans. C’est une découverte qui en dit long sur l’Histoire des civilisations passées. Une équipe de chercheurs de l’Université de Yale (Etats-Unis), accompagnée d’un groupe du ministère des Antiquités égyptiennes et des Musées royaux d’art et d’histoire de Bruxelles (Belgique) a fait une somptueuse trouvaille sur la rive droite du Nil. Tout près du village d'Al-Khawi, à 60 kilomètres au sud de la ville égyptienne Louxor, les archéologues se sont trouvés face à d’exceptionnelles falaises recouvertes de "proto-hiéroglyphes" auparavant inconnus. Autrement dit, d'écritures égyptiennes qui auraient précédé les véritables hiéroglyphes que l'on connait, remontant à environ 5.200 ans. On pourrait même qualifier ces gravures rocheuses comme étant "certaines des premières étapes de l'écriture hiéroglyphique", a expliqué dans un communiqué John Coleman Darnell, chercheur à l’Université de Yale et initiateur des recherches menées dans le cadre du Elkab Desert Survey Project.

    Source : maxisciences
     

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  • Des traces d'engins inconnus sur le sol

     L’univers est rempli de mystères qui remettent en question notre savoir actuel. Dans la série « Au-delà de la science », Epoch Times rapporte des récits à propos de ces phénomènes et théories qui posent un défi à nos connaissances actuelles. Sont-ils vrais ? Peuvent-ils permettre de futures découvertes et nouvelles compréhensions de notre univers ? À vous de décider.

    Une controverse d’un genre nouveau a été récemment lancée à propos de traces suggérant des sillons laissés par des véhicules d’un temps ancien, dans la vallée Phrygienne de Turquie.

    Le Dr Alexander Koltypin, géologue et directeur scientifique en sciences naturelles à l’International Independent Université de Moscou de l’Écologie et de politologie, affirme sérieusement que ces dernières seraient l’oeuvre d’une  » race inconnue « , et auraient été laissées depuis 12 ou 14 millions d’années.

    Après avoir terminé ses recherches sur le site d’Anatolia, le chercheur a relevé d’étranges sillons, décrits au MailOnline comme   » des ornières pétrifiées dans des roches de tuffeaux, effectuées à partir de cendres volcaniques compactées « .

    Ces pistes qui serpentent à travers le paysage de la vallée de Phrygie remontent à différentes périodes historiques, d’après les descriptions académiques qui en sont faites. Les premières d’entre elles ont dû être réalisées au cours de l’Empire Hittite ( vers 1600 av.J-C à 1178 ap.J-C ).

    Les mystérieuses traces de la vallée phrygienne de Turquie. (Alexander Koltypin/Dopotopa.com)
    Le temps passant, ces « chemins » ont été profondément marqués après leur utilisation par les Phrygiens, les Grecs et par les armées d’Alexandre le Grand. D’après Culture Routes, un organisme de tourisme turc, celles ci servaient de réseaux routiers pour les romains.

    Alexander Koltypin suggèrent que les pistes ont été creusées par des véhicules. Cependant, l’hypothèse d’attelages, charrettes ou petits chars ne concorde pas avec les observations du scientifique. Au lieu de cela, M.Koltypin pense à des véhicules  » lourds, énormes, antédiluviens et tout-terrains « . Et pour compléter le tableau, provenant d’une civilisation inconnue.

    Les géologues affirment que les ornières sont préhistoriques, à en juger par l’altération des roches et les fissures observées. « La méthode permettant de préciser l’âge des roches volcaniques est très bien étudiée et travaillée », rapporte le scientifique.

    Ce dernier note que la distance entre chaque paire de piste reste constante, et que celle ci correspond quasi exactement à l’intervalle entre les roues des véhicules modernes. Cependant, ces pistes sont bien trop profondes pour nos voitures et autres véhicules actuels, ce qui soulève de nouvelles questions.

    Source : epochtimes

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  • Une moto roule toute seule sur l'A4, près de Paris !

    Une vidéo amateur montre une moto… sans motard filant sur l'autoroute A4 près de Paris.
    Une scène surréaliste... Celle à laquelle un automobiliste dit avoir assisté, images à l'appui, le 28 mai dernier sur l'A4, à hauteur de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), en direction de Paris. De retour d'un week-end, Eddy (*), 35 ans, roule sur l'autoroute au volant de sa voiture lorsqu'il aperçoit, dans son rétroviseur, une moto circulant un peu trop près de la glissière de sécurité. En ralentissant, il s'est aperçu, estomaqué, que la moto en question… n'avait pas de pilote !
    «J'ai demandé à un ami qui était avec moi de prendre mon téléphone et de filmer», raconte-t-il. Sur la vidéo, on distingue parfaitement le deux-roues filant… sans motard. Une moto fantôme. Une explication est avancée par un spécialiste des deux-roues : «Le pilote est sans doute tombé, et au regard de la moto, avec un centre de gravité très bas, elle a pu continuer sa route, c’est possible», raconte au Parisien Jean-Pierre Goy, cascadeur moto, qui a notamment fait la doublure de James Bond au cinéma. «C’est étrange, mais elle peut rouler ainsi 500 à 600 mètres. J’ai déjà vu des motos rouler de la sorte même plus longtemps, notamment avec le régulateur de vitesse bloqué», explique-t-il, devant une image de cette drôle de scène sur l’A4. 

    Le hic ? D'après nos informations, aucune trace de motard accidenté à cet endroit précis n'a été signalée et aucune intervention n'a eu lieu sur cette portion d'autoroute ce jour-là. Le mystère reste entier.

    Voir la vidéo sur le lien ci-dessous...

    Source : .leparisien.fr

     

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  • Une étude sur l'ADN des Pharaons !

    Les Égyptiens modernes partagent plus de leur patrimoine génétique avec les Africains subsahariens que les Égyptiens anciens. Ces derniers se sont révélés plus proches des personnes qui vivaient à la même époque au Proche-Orient. C’est ce qu’a révélé l’analyse ADN de momies vieilles de plusieurs milliers d’années, réalisée par une équipe de chercheurs internationale et dont les résultats ont été publiés le 30 mai dans Nature Communications.

    On a longtemps pensé que les momies égyptiennes ne pouvaient receler aucune trace d’ADN, du fait du climat sec de la région ou des produits chimiques utilisés pour la momification. “En 2010, une équipe avait analysé l’ADN prélevé sur 16 momies royales, mais la méthode utilisée n’était pas très bonne et ne permettait pas de distinguer l’ADN des momies de l’ADN moderne qui aurait pu le contaminer au fil des ans”, rappelle The Verge.

    Cette fois, les chercheurs sont parvenus à séquencer le génome de 90 momies grâce à du matériel génétique prélevé dans les os et les dents et non dans les tissus mous. Science s’enthousiasme :

    Ces résultats changent la donne, et grâce à eux les scientifiques peuvent explorer pour la première fois le patrimoine génétique des Égyptiens de l’Antiquité – lequel, étonnamment, a été fort peu modifié par des siècles d’invasions.”

    Les découvertes archéologiques et les documents historiques suggèrent des liens étroits entre l’Égypte et les pays du Levant, mais “c’est très bien que cette étude fournisse les preuves empiriques qui viennent maintenant étayer cette hypothèse sur le plan génétique”, indique à Nature Omer Gokcumen, anthropologue à l’université d’État de New York à Buffalo, qui n’a pas participé à l’étude.
    Ces nouvelles données ne permettent cependant pas d’expliquer pourquoi les Égyptiens de l’Antiquité étaient si proches des habitants du Proche-Orient. “Était-ce le résultat de migrations ou les chasseurs-cueilleurs du nord de l’Afrique à l’âge de pierre étaient-ils génétiquement similaires à ceux du Levant ?” interroge Nature. “Il est encore trop tôt pour le dire, répond Johannes Krause, paléogénéticien à l’Institut Max-Planck, en Allemagne, qui a participé aux travaux, mais il y a désormais de meilleures chances d’avoir des réponses
    C’est un premier aperçu de l’histoire génétique de l’Égypte. Mais ce n’est qu’un début.”

    Source : courrierinternational.

     

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  • Une découverte archéologique au Pérou (Huaca Prieta -Vallée de Chicama)

    Il y a plusieurs mois, des archéologues péruviens ont obtenu la permission d’excaver le sol sur lequel se trouve la pyramide de Huaca Prieta, l’une des plus grandes et anciennes structures connues d’Amérique du Sud. Cette fouille, menée dans le but d'en apprendre davantage sur le mode de vie des premiers habitants du continent, s’est avérée nettement plus payante que ce qui était espéré au départ. Les artéfacts déterrés par les chercheurs, dont plusieurs sont en très bon état, représenteraient la plus ancienne preuve de vie humaine en Amérique du Sud. Effectivement, quelques objets retrouvés sous la pyramide de Huaca Prieta datent de l’an 13 000 av. J.-C., ce qui en fait les plus anciennes traces d'hominidé au sud du Panama.


    Une excavation complexe

    Pour mettre la main sur ses premiers artéfacts de qualité, l'équipe de recherche a dû creuser plus de 31 mètres sous la mégastruture. Passé cette marque, l'équipe a finalement découvert des traces de feu de camp, des os d’animaux, des outils rudimentaires en pierre, des restes de nourritures, des textiles et des paniers ornementaux. Selon les experts qui les ont datés, ces objets auraient plus de 15 000 ans.À peine quelques mois après cette découverte majeure, les archéologues et historiens sont déjà arrivés à mieux comprendre et documenter le mode de vie de ces fondateurs. D'ailleurs, la présence de plusieurs artéfacts au même endroit laisse présager que le site de la pyramide Huaca Prieta n'était pas simplement un lieu de passage. Des hominidés s'y seraient installés pendant des milliers d’années, contrairement à ce que l’on pouvait penser auparavant.

    Source : .sciencevirale

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  • Un réseau de tunnels de 12000 ans qui s’étend de l’Écosse à la Turquie 


    Dans toute l’Europe, il existe un nombre incalculable de tunnels qui s’étendent, mais les archéologues viennent de découvrir l’un des tunnels souterrains les plus avancés et les plus compétents en 12 000 ans.

    Personne ne sait vraiment pourquoi, mais il y a 12 000 ans, un peuple ancien a commencé à creuser des tunnels massifs pour relier les continents, ils sont tout simplement fascinants
    Ces tunnels s’étendent de l’Écosse à la Turquie et font 4500 kilomètres.Des questions ont été soulevées comme: étaient-ils utilisés comme tombes ou pour des rituels religieux? Ou l’homme antique les a-t-il créés pour se protéger d’une catastrophe ?

    Les archéologues allemands Dr. Heinrich Kush croient que ces tunnels ont été utilisés comme des autoroutes modernes pour permettre aux gens de voyager. Ces tunnels existent encore aujourd’hui en Europe.Il n’y a pas d’explications définies pour ces tunnels qui satisfont les chercheurs. Les tunnels sont conçus pour donner la voie aux églises et aux cimetières historiques et ont été construits par des gens qui savaient exactement ce qu’ils faisaient.Des experts ont également noté qu’un tel travail de tunnel est pour protéger les gens des dangers du monde extérieur pour se déplacer librement pendant la guerre. Un monde sous le monde.Le tunnel prouve que l’homme ancien n’était pas seulement intéressé par la chasse, mais également par l’ingénierie et depuis très longtemps.

    Source : espritsciencemetaphysiques.

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  • Une cité perdue au Honduras

    Une expédition dans la jungle hondurienne est revenue avec la bouleversante découverte d’une cité perdue inviolée, issue d’une culture mystérieuse. L’équipe a été attirée vers cette région isolée et inhabitée par de vieilles rumeurs qui indiquaient l’emplacement d’une « cité blanche », également connue dans la légende sous le nom de « cité du dieu singe ».

    Des archéologues ont observé et cartographié de grandes places, des terrassements, des monticules et des pyramides de terre appartenant à une culture qui a prospéré il y a mille ans, avant de disparaître. L’équipe a également découvert un remarquable endroit caché où reposaient des sculptures en pierre, que personne n’a touchées depuis l’abandon de la cité.

    Contrairement aux Mayas, cette civilisation disparue a été très peu étudiée et reste quasiment inconnue. Les archéologues ne savent même pas comment la nommer.

    Christopher Fisher, un archéologue spécialisé dans la Mésoamérique de l’université d’État du Colorado et membre de l’équipe de recherche, a déclaré que l’aspect pur et inviolé du site était « incroyablement rare. » Il estime que la cachette, située sous la base de la pyramide, était probablement destinée aux offrandes.

    « C’est exceptionnel que rien n’ait été dérangé, » a affirmé Fisher. « Cacher de tels objets de valeur est le signe d’une pratique rituelle importante. » Les 52 plus beaux objets sortaient du sol. Manifestement, beaucoup sont encore ensevelis, probablement à côté de tombeaux. Ces découvertes comprennent des sièges cérémoniels (appelés metates) ainsi que des récipients finement gravés ornés de serpents, de figures zoomorphiques et de vautours.

    L’objet le plus frappant sorti du sol est une tête que Fisher pense être « un jaguar-garou», qui pourrait représenter un shaman dans un état spirituel transformé. D’après une autre hypothèse, la pièce serait liée aux jeux de balles rituels propres aux civilisations précolombiennes en Mésoamérique.

    « La figure semble porter un casque, » affirme Fisher. Oscar Neil Cruz, un des membres de l’équipe, archéologue et chef à l’Institut hondurien d’anthropologie et d’histoire (IHAH) pense que les objets datent de 1000 à 1400 ans après J.-C.

    Les objets ont été étudiés, mais pas tirés du sol. Pour protéger le site d’éventuels pillards, son emplacement reste secret.

    Source : nationalgeographic

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  • Un géoglyphe en Russie

    Un énorme géoglyphe en forme d’animal a récemment été découvert en Russie, dans les montagnes de l'Oural, au nord du Kazakhstan. Selon les experts, le motif pourrait être le prédécesseur des fameuses figures de Nazca du Pérou. Étendu sur près de 275 mètres de long, soit deux terrains de football, une figure tracée à même le sol a été découverte près du lac Zjuratkul situé dans les montagnes de l’Oural, en Russie. Le géoglyphe représente un animal, un cerf ou un wapiti, avec un museau allongé, quatre jambes et deux ramures sur la tête. Pour apprécier le dessin dans son intégralité, il faut se rendre sur la crête la plus proche. C’est toutefois à partir d’images satellites que celui-ci a été découvert pour la première fois.A l’époque, les chercheurs avertis par un homme, Alexander Shestakov, ont envoyé un hydravion et une équipe en parapente pour étudier la structure. "Lorsqu’on l’a examinée pour la première fois, celle-ci était blanche, légèrement brillante sur un fond d’herbe verte" explique à LiveScience Stanislav Grigoriev, chercheur à l’Academy of Sciences Institute of History & Archaeology de Russie. Aujourd’hui, la construction est recouverte par une légère couche de terre liée aux travaux d’excavation.Les travaux de terrain, conduits par l’archéologue et son équipe, ont débuté l’été dernier. Des analyses approfondies ont alors permis d’en savoir plus sur la composition du glyphe et quand celui-ci a été réalisé. Selon les experts, la figure serait le fruit d’une "culture mégalithique". Une hypothèse encouragée par la présence de centaines de sites mégalithiques situés à proximité, dans l'Oural. Les observations indiquent qu’il s’agit d’une structure assez élaborée avec de grosses pierres sur les bords et des plus petites à l’intérieur.

    Source : maxisciences

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  • Une empreinte géante de dinosaure en Bolivie


    Une gigantesque empreinte de dinosaure, d'environ 1,2 m, a été retrouvée en Bolivie par un guide touristique local au hasard d'une randonnée. Elle appartiendrait à un carnivore éteint depuis 70 millions d'années. Impressionnante découverte en Bolivie en début de semaine. Grover Marquina, guide touristique en Bolivie, a repéré lors d'une randonnée sur le cratère de Maragua une étrange forme au sol. L'empreinte profondément marquée dans la roche ne serait autre que celle d'un Aberlisaurus, un dinosaure carnivore.

    Source : ouest-france

     

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  • Les géoglyphes d'Amazonie 

    D'énormes figures géométriques ont été retrouvées dans la forêt amazonienne, sans que l’on sache à quoi étaient véritablement destinées ces constructions utilisées entre 2000 et 650 avant nos jours.Circulaires, quadrangulaires, avec fossés ou surélevés… des centaines de mystérieux enclos ont été découverts dans la forêt amazonienne, au Brésil. Imposants, constitués de tranchées atteignant parfois jusqu'à 11m de large, et une profondeur de 4m, 450 de ces étranges terrassements de 100m à 300m de diamètre, ont été retrouvés ces dernières années, disséminés sur plus de 13 000 km2 dans l'état de l'Acre, en Amazonie occidentale. Effet collatéral de la déforestation, ces formations jusque-là inconnues qui intriguent tant les spécialistes avaient pendant des siècles été dissimulées sous la canopée émeraude, englouties sous le couvert végétal. Mises au jour par les déboisements modernes, des survols aériens et l'utilisation de drones en ont révélé l'existence à une équipe de chercheurs anglo-brésiliens. Dans un article publié dans les Comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), Jennifer Watling, du Musée d'archéologie et d'Ethnographie de l'Université de Sao Paulo (Brésil), anthropologue à l'origine de cette publication, revient ainsi sur l'analyse de deux de ces sites. Il s'agit de " Jaco Sé " et " Fazenda Colorada " dévoilés à la faveur des récents défrichages. En raison de leur ampleur au sol, les scientifiques ont décidé de qualifier de " géoglyphes " ces créations même si elles n'ont rien à voir avec les célèbres figures de Nazca (Pérou) et du Chili auxquelles sont habituellement attribués ces termes.

    Source : .sciencesetavenir.

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    Dans le tombeau de Jésus, les appareils de mesure tombent en panne !

    La professeur Antonia Moropoulou a participé à la restauration de la tombe de Jésus, à Jérusalem, en octobre 2016. Lors de cette ouverture historique de la sépulture, pour la première fois depuis deux siècles, elle raconte avoir assisté à un phénomène «que l'on ne peut expliquer».
    C'est une scène digne d'Indiana Jones. Elle a été relatée dans l'émission 13h15 le dimanche, diffusée surFrance 2le dimanche 26 mars. Au début de l'été 2016, des experts ont entrepris une restauration historique du tombeau de Jésus, à l'intérieur de l'église du Saint-Sépulcre de Jérusalem, là où la tradition affirme que le Christ a été enseveli. Les travaux visent à réparer, renforcer et protéger la structure en assez mauvais état.Le 26 octobre 2016, la sépulture doit être ouverte pour la toute première fois depuis deux cents ans pour restauration. Les experts veulent la protéger du mortier qui a été injecté pour remplacer les joints usés d'une vieille maçonnerie. La professeur Antonia Moropoulou, ingénieure-chimiste, raconte aux journalistes de France 2 les coulisses de cet événement historique. «Nous avons mis à jour les différentes couches de l'histoire, nous avons vu cette maçonnerie historique qui englobe la pierre sacrée», explique-t-elle.

    Une expérience spirituelle

    L'équipe de Mme Moropoulou essaie d'explorer la cavité de la pierre sainte avec des appareils mesurant la résonance électromagnétique. Ces trois engins ultramodernes tombent alors immédiatement en panne. La raison du dysfonctionnement reste aujourd'hui un mystère. «Je ne peux vous en dire plus, confie la scientifique. Il y a parfois des phénomènes qu'on ne peut expliquer». Elle conclut avec philosophie: «C'est une tombe vivante, la tombe du Christ. Je crois que tout le monde peut comprendre qu'il y a des choses naturelles qui peuvent perturber les champs électromagnétiques. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle l'on croit ou l'on pense, en fait partie».La journaliste française Marie-Armelle Beaulieu, qui a eu l'occasion d'inspecter la tombe une fois ouverte, affirme avoir eu une expérience spirituelle, alors «qu'il n'y a rien à voir». «Scientifiquement, il n'y a aucune preuve que ce soit le véritable tombeau du Christ. Mais l'autre hémisphère de mon cerveau est... spirituellement complètement shooté! C'est devenu une drogue, un moment très fort», se souvient la rédactrice en chef du magazine Terre Sainte, qui consacre un numéro sur l'ouverture du tombeau.

    Après neuf mois de restauration, les travaux sont désormais finis et la structure métallique a été retirée de la sainte sépulture. Le site a été inauguré officiellement le mercredi 22 mars, avant de rouvrir au public.

    Source : lefigaro.

     

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  • Une pyramide de 3 700 ans découverte « en bon état » en EGYPTE


    Elle a traversé les siècles. Une pyramide vieille de 3 700 ans a été découverte à une quarantaine de kilomètre au sud du Caire, dans la nécropole de Dahchour. Les premiers vestiges de l’édifice mis au jour sont bien conservés même si les fouilles n'en sont qu'à leur début.Les vestiges d’une pyramide vieille de 3 700 ans ont été découverts « en bon état » en Égypte sur le site archéologique de Dahchour près du Caire, a annoncé lundi le ministère des Antiquités.La petite pyramide, datant de la XIIIe dynastie (1 802-1 640 avant J.-C.) a été retrouvée dans la nécropole de Dahchour, au sud du Caire, « en bon état de conservation », précise un communiqué du ministère.

     Hiéroglyphes et blocs de pierre

    Les archéologues égyptiens ont ainsi découvert « un corridor conduisant à l’intérieur de la pyramide, prolongé par une rampe, et l’entrée d’une pièce », selon le texte.« L’équipe va poursuivre les fouilles sur le site pour mettre à jour le reste » de la pyramide, poursuit le communiqué. Les archéologues ont notamment retrouvé un petit bloc en albâtre noirci, affichant des inscriptions en hiéroglyphes, ainsi qu’un linteau de granit et des blocs de pierre qui permettent d’en savoir plus sur « l’architecture interne de la pyramide ».Les fouilles sont encore à leurs débuts et la taille de la pyramide n’a pas pu encore être établie. Sur les photos fournises par le ministère, on peut voir des blocs de pierres et le début du corridor.La découverte a été effectuée près de la pyramide rhomboïdale de Dahchour, construite par le Pharaon Snéfrou, fondateur de la IVe dynastie (2 600 avant J.-C.) et père du pharaon Khéops, qui a lui-même donné son nom à l’une des plus célèbres pyramides égyptiennes, sur le plateau de Guizeh.

    Source : .ouest-france

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  • Des nuages très insolites !

    En Afrique du Sud, dimanche, les internautes ont sorti leurs appareils photos pour capter ces images de nuages qui font penser à des Ovnis.

    2016-2-insolite

    Une invasion d’extraterrestres ? Pas du tout, simplement des nuages lenticulaires. N’empêche que la scène qui s’est déroulée dimanche au-dessus de la ville de Cape Town (Afrique du Sud) a inspiré les photographes amateurs et les internautes, comme le souligne le Huffington Post.

    2016-2-insolite

    Ce phénomène, aussi exceptionnel soit-il, reste donc naturel. Pas étonnant que certains les aient comparé à des Ovni puisque la définition de Wikipédia dit d’eux qu’ils sont « une des espèces d’altocumulus stationnaire en forme de profil d’aile d’avion qu’on retrouve en aval du sommet des montagnes sous le vent », avant d’ajouter : « Selon les conditions, il y a souvent un empilement de plusieurs exemplaires formants une pile d’assiettes. »

    Source : ouest-france

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  • Les pyramides de chine filmées par un drone

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  • De l'orichalque en Sicile...

    Selon un quotidien italien, une équipe d'archéologues a découvert au large de la ville de Gela en Sicile, 47 lingots composés d'orichalque, le métal légendaire associé à l'Atlantide. Deux casques et des amphores ont également été mis au jour. Plus de 2.000 ans après, le mythe de l'Atlantide continue d'intriguer à travers le monde. Et il suffit d'une simple découverte pour remettre la légende sur le devant de la scène. C'est ce que vient de révéler le quotidien italien Corriere del Mezzogiorno. Début février, des plongeurs de la police financière de Palerme ont en effet réalisé une remarquable trouvaille archéologique au large de la Sicile.
    A quelque 300 mètres des côtes, au large de la ville de Gela, ils ont remonté des profondeurs 47 lingots faits d'un matériau très particulier : de l'orichalque. Décrit dans de nombreux textes antiques, ce métal rare proviendrait, selon le philosophe grec Platon, de l’île légendaire d’Atlantide. D'où l'intérêt suscité par la découverte.

    Source : maxisciences

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  • Les pyramides de chine filmées par un drone

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  • Des nouveaux rouleaux de la Mer Morte

    Des archéologues ont annoncé la découverte d'une nouvelle grotte contenant des manuscrits de la mer Morte à proximité de Qumran dans le désert de Judée. C'est la douzième grotte répertoriée mais les manuscrits qui s'y trouvaient ont malheureusement disparu. Les manuscrits de la mer Morte sont souvent considérés comme la plus grande découverte archéologique du XXe siècle. Écrits en hébreu, en araméen et en grec, ils ont été mis au jour entre 1947 et 1956 dans des grottes situées à proximité du site de Qumran dans le désert de Judée. Jusqu'ici, onze grottes contenant de nombreux fragments avaient pu être identifiées. Une liste qui vient de s'allonger grâce à une nouvelle découverte. Dans le cadre d'une opération menée en collaboration avec l'Autorité des antiquités d'Israël, des archéologues ont en effet mis au jour une douzième grotte ayant contenu des rouleaux de la mer Morte. Une belle surprise pour les spécialistes. Malheureusement, aucun nouveau parchemin n'a pu y être trouvé. Seules des jarres brisées et des morceaux de textile y ont été mis en évidence. Une grotte déjà pillée L'équipe pense que la grotte a été pillée depuis longtemps, probablement pendant les années 1950 après la découverte des autres manuscrits. Une théorie attestée par la présence de deux pioches dans la grotte. "Aucun rouleau n'a été trouvé. Nous avons 'seulement' trouvé un morceau de parchemin enroulé dans un pot et prêt à être écrit", a expliqué Oren Gutfeld, archéologue de l'Institut d'Archéologie de l'Université hébraïque de Jérusalem. "Ces trouvailles indiquent sans doute possible que la grotte contenait des rouleaux qui ont été volés", a affirmé ce spécialiste qui dirige les fouilles. Les manuscrits de la mer Morte ont été rédigés entre le IIIe et le Ier siècle avant notre ère et contiennent notamment des copies de textes de la Bible hébraïque. Au total, quelque 870 rouleaux ont pu être reconstitués à partir des fragments découverts. Toutefois, on ignore la raison exacte pour laquelle ils ont été cachés dans des grottes.

    Source :   maxisciences

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