Ce site présente "les Émanants", toutes les formes et manifestations mystérieuses de la Nature, encore inexpliquées par la science, au travers de photographies, vidéos, et articles.
(Nous ne faisons partie d'aucun mouvement, qu'il soit religieux, sectaire ou politique. Nous déclinons toute responsabilité en ce qui concerne les textes qui sont à titre d'informations sur ce site)
Une nouvelle planète de la taille de la Terre vient d'être découverte, et ce monde potentiellement habitable, le plus proche de nous, orbite autour d'une étoile « calme » et propice à la vie.
Découverte à seulement 11 années-lumière de notre planète, Ross 128b fait le tour d'une petite et faible étoile appelée naine rouge. Les naines rouges parsèment le cosmos et représentent 70 % des étoiles de la galaxie ; la plupart des étoiles les plus proches de nous sont des naines rouges.
En se basant sur le nombre de planètes découvertes au cours des dernières années, les astronomes estiment qu'environ une étoile naine rouge sur trois a au moins une planète dans son orbite.
Techniquement, la planète semblable à la Terre la plus proche est Proxima b, en orbite autour d'une naine rouge appelée Proxima Centauri située à 4.25 années-lumière de nous.
Mais les jeunes et impétueuses étoiles comme Proxima Centauri imposent leur fureur stellaire aux planètes qui ont le malheur de leur tourner autour. Proxima Centauri a seulement cinq milliards d'années et continue très certainement à projeter des violents rayons stérilisants sur sa planète.
Par contraste, l'étoile hôte de Ross 128b est plus mature, et après sept milliards d'années d'existence, sa rotation a considérablement ralenti. Cela signifie que sa planète a de meilleures chances de pouvoir abriter la vie à sa surface.
LE FEU ET LA FUREUR
Les astronomes ont découvert Ross 128b grâce au High Accuracy Radial velocity Planet Searcher (en français « Chercheur de planètes par vitesses radiales de haute précision ») ou HARPS, un un spectrographe échelle alimenté par fibres depuis le foyer Cassegrain à l'observatoire de La Silla au Chili. Il est destiné principalement à la recherche d'exoplanètes par l'observation de l'intensité lumineuse des étoiles et des subtils mouvements gravitationnels provoqués par la planète en orbite autour de l'étoile.
Après 12 ans d'observation de l'intensité lumineuse de l'étoile et des mouvements alentours, l'équipe de recherche a annoncé mercredi 15 novembre qu'un tremblement faible mais régulier avait été observé en rotation autour de l'astre. Cette secousse cosmique est provoquée par une planète 30 % plus large que la Terre qui attire légèrement l'étoile à elle, comme le rapporte les auteur de l'étude publiée par le journal Astronomy & Astrophysics. « Il n'y a pas eu un moment "Eureka" où nous nous serions dit "super, nous avons découvert une planète" » raconte l'auteur principal de l'étude, Xavier Bonfils, de l'université de Grenoble. « Nous avons cumulé les données glanées au fil des années et seulement après nous avons constaté un signal persistant et significatif. »
Bien qu'elle soit 20 fois plus proche de son étoile que la Terre ne l'est du soleil, Ross 128b orbite à une distance suffisante pour avoir développé ou pour développer une atmosphère semblable à l'atmosphère terrestre, et de l'eau sous forme liquide si les conditions atmosphériques sont favorables.
« Certaines simulations [informatiques] estiment que la planète est suffisamment proche de son étoile pour avoir perdu son atmosphère. D'autres simulations au contraire font l'hypothèse que la planète aurait pu développer des nuages pour réfléchir les radiations et éviter la surchauffe. Dans ce scénario, l'eau pourrait être à l'état liquide à la surface de la planète » estime Xavier Bonfils.
« Avant de tirer des conclusions hâtives, nous devons collecter davantage de données. »
Si l'on considère le deuxième scénario, cela signifierait-il que Ross 128b pourrait abriter la vie ? Considérer son étoile comme "calme" est certainement vrai mais sans doute un peu fallacieux, selon Ed Guinan, astronome à l'université de Villanova qui a étudié le système Proxima Centauri.
L'effet tunnel quantique pour générer de l'électricité
Des chercheurs ont découvert le moyen de récupérer l’énergie de la Terre en transformant l’excès de rayonnement infrarouge et la chaleur perdue, en électricité que nous pourrions utiliser.
Le concept implique l’effet tunnel (quantum tunnelling) et la clé de l’idée est une antenne spécialement conçue qui peut détecter les surplus ou la chaleur infrarouge sous forme d’ondes électromagnétiques à haute fréquence, transformant ces signaux en charge directe.
En réalité, il y a beaucoup d’énergie gaspillée bêtement sur Terre : la plus grande partie de la lumière du Soleil qui frappe la planète, est absorbée par les surfaces, les océans et notre atmosphère. Cela conduit à un réchauffement qui lui-même provoque une fuite constante du rayonnement infrarouge, que certains estiment à des millions de gigawatts par seconde. Comme les longueurs d’onde infrarouges sont extrêmement courtes, afin de pouvoir les exploiter, il nous faut des antennes vraiment minuscules.
Selon l’équipe internationale de chercheurs à l’origine de la nouvelle étude, c’est l’effet tunnel qui pourrait permettre la percée nécessaire dans le domaine : « Il n’existe actuellement pas de diode dans le commerce qui puisse fonctionner à une telle fréquence », explique Atif Shamim, chercheur principal de l’étude, à l’Université de Science et de Technologie du Roi Abdullah (KAUST), en Arabie Saoudite. « C’est pourquoi nous nous sommes tournés vers l’effet tunnel », ajoute-t-il.
L’effet tunnel fait référence au phénomène de la mécanique quantique où une particule passe à travers une barrière qu’elle ne peut normalement pas surmonter (car elle ne possède pas suffisamment d’énergie pour le faire). L’un des exemples utilisés le plus souvent pour illustrer ce concept, est celui d’une balle roulant et remontant une colline : en physique classique, la balle a besoin d’une certaine quantité d’énergie pour pouvoir remonter la colline et passer de l’autre côté. Mais en physique quantique, avec l’effet tunnel, la balle peut traverser la colline avec moins d’énergie grâce à l’incertitude de position, qui est au cœur de tout phénomène quantique. Comment et en quoi cela peut-il aider à la construction d’antennes nanométriques ? Cela permet aux électrons d’être déplacés à travers une petite barrière, grâce à un dispositif spécifique, comme une diode MIM (Metal-Insulator-Metal), transformant les ondes infrarouges en courant électrique.
Les scientifiques ont pu créer une nouvelle nanoantenne en forme de nœud papillon, en intercalant un film isolant mince entre deux bras métalliques légèrement recouverts d’or et de titane, créant de ce fait un dispositif capable de générer des champs électriques intenses, nécessaires pour le bon fonctionnement de la nanoantenne. « La partie la plus difficile était le chevauchement à l’échelle nanométrique des deux bras de l’antenne, qui nécessitait un alignement très précis. Néanmoins, en combinant des astuces avec les outils avancés de l’usine de nanofabrication de KAUST, nous avons y sommes parvenus », explique l’un des chercheurs, Gaurav Jayaswal, de KAUST.
La nouvelle diode MIM a été capable de capturer avec succès le rayonnement infrarouge avec une tension appliquée nulle, de sorte qu’elle ne s’allume que lorsque cela est nécessaire. Tandis que les panneaux solaires conventionnels ne peuvent récolter qu’une partie du spectre de la lumière visible, être en mesure de capter tout l’excès de rayonnement infrarouge représenterait un changement révolutionnaire dans le domaine de la production d’énergie.
De plus, contrairement aux centrales solaires, ces véritables cueilleurs d’énergie pourraient fonctionner 24 heures sur 24, quel que soit la météo. D’autres scientifiques travaillent actuellement sur le même problème, mais sous différents angles d’attaque.
Pour le moment, il ne s’agit que d’une étape supplémentaire franchie avec succès, dans le domaine de la recherche de solutions, et de nombreux défis techniques restent à relever. Par exemple, actuellement, l’antenne n’est pas très économe en énergie. Mais, « ce n’est que le début – une preuve de concept », explique Shamim. Sur le long terme, et si la suite des recherches est concluante, alors cette technologie pourrait faire une énorme différence : « Nous pourrions connecter des millions de ces appareils pour augmenter la production d’électricité », ajoute le chercheur.
Un livre en espagnol sur les ovnis et l'Armée de l'Air Mexicaine !
Trois sphères en acier sont tombées au Pérou
La scène s’est déroulée samedi dernier dans la région de Puno, une région située dans la partie sud-est du pays et plus précisément sur le haut plateau de Collao, à environ quatre mille mètres d’altitude.
Les habitants de la ville de Larancahuani étaient en train de vaquer à leurs occupations lorsque trois éclats lumineux sont apparus dans le ciel avant de tomber lourdement au sol.
Intriguées, plusieurs personnes ont monté une expédition afin de retrouver ces étranges objets. Elles ont découvert pas moins de trois boules en acier, des boules mesurant environ un mètre de diamètre et reposant dans des cratères causés par leur chute.
Les autorités péruviennes ont ouvert une enquête et plusieurs scientifiques ont examiné les boules, sans pour autant parvenir à déterminer leur nature. Très vite, des rumeurs ont commencé à circuler, des rumeurs faisant inévitablement allusion à des artefacts extraterrestres.
Des rumeurs renforcées par l’apparition d’une boule de feu dans le ciel quelques minutes avant la chute de ces étranges objets.
Des artefacts extraterrestres… ou de simples réservoirs de carburant ?...
Le dossier du mois : L’énigme des momies à trois doigts découvertes au Pérou
Le dossier du mois : L’énigme des momies à trois doigts découvertes au Pérou. Comment ne pas parler des momies de Nazca et de Thierry Jamin dans ce premier numéro ? Nous pensons que malgré la polémique et le risque de fraude qui plane encore sur ce dossier, il est potentiellement de nature à changer la face du monde, ou en tout cas la manière dont nous le percevons.
Une autre momie de petite taille appelée "Luisa" est examinée par l'Université d'ICA, elle a aussi un implant pectoral et des "oeufs" comme la momie Josefina....à quoi pouvait bien servir cet "implant" ? (Crédit photos Face Book) - Voir aussi cette PAGE
Luisa et Josefina
La suite de cette découverte après la conférence à LIMA au Congrès de la République le 19 novembre 2018.
Tous les résultats en détails sur le site de ALIEN PROJECT
Résumé des caractéristiques générales du Reptile Humanoïde
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne Taille : environ 60 cm taille adulte.
Les spécimens étudiés présentent la même morphologie, excepté le nombre de côtes et Josefina qui présente des œufs en gestation.
Photos : Victoria, Alberto, Josefina
Datation C14 :de 791 ans ± 30 ans (années 1200 ap JC) Corps harmonique dans toutes les parties. • Structures à physionomie de compatibilité. • Intégration anatomique de forme anthropomorphique. • Intégrité structurelle compatible et continue. • un spécimen biologique fonctionnel dans son anatomie et physionomie de forme naturelle • crâne d'une seule pièce. • avec des cavités pour organes spécifiques Corps conservés dans la Terre de Diatomée (corps desséchés) avec peau apparente et porosité, couleur grise, avec des protubérances. Peau kératinisée (squamule) Ces corps possèdent leurs organes internes Présence d’articulations
LES MAINS ET LES PIEDS :
Main tridactyle : La main est formée d'un os carpien et de trois doigts comprenant 3 phalanges, terminés par des griffes plates. Pas d’os du métacarpe, pas de paume à la main.
Cette caractéristique tridactyle (3 doigts) de la main en pronation qui ne peut pas fonctionner en supination est une caractéristique des théropodes (dinosaures éteints). L'ongle occupe 90 % de la longueur de la phalange distale (alors qu'elle n'est que de 45-50 % pour l'humain). Corrélation anatomique - connexions d'interférence - structure carpienne - un seul os à l’avant bras - articulations carpiennes - articulations inter-phalangiennes - cartilage inter-articulaire phalangien - structure osseuse creuse - circuit vasculaire – articulations harmoniques - articulations (cartilage articulaire) - structure tendineuse palmaire.
Pied tridactyle : Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges terminées par des griffes plates.
L'épiphyse inférieure de l'os de la jambe est rétrécie dans sa partie médiane et sert de plante du pied à côté d'un os creux, on note l'absence d'os propre au pied. La morphologie du pied de ce spécimen rappelle celle de l'oiseau appelé Casuariidae (Casoar).
Le pied est formé d'un seul os avec une cavité en son centre (Dr. G Dmitriy Vladislàvovich)
LA TÊTE :
Crâne : Tête macrocéphale allongée en arrière de forme ovoïdale plus grosse à l’avant et se terminant presque en pointe à l’arrière, complétée par trois arêtes ou crêtes au-dessus de la tête. Taille de la tête : Il y a une relation entre la longueur de la tête comparée au corps appelée "canon" pour les espèces de caractéristique reptilienne, dans le cas des reptiles humanoïdes, le canon est de 8,2/8,3 têtes. Le condyle occipital est prononcé. Pas de poils - Pas de septum nasal - Pas d’oreille - Cou possiblement rétractile
Le crâne du reptile humanoïde dans son périmètre de la base est plus grand que celui de nombreuses espèces de mammifères.
La région buccale est composée de deux plaques osseuses articulées en charnières, il existe des trous de sortie des nerfs oculaires, le bassin orbital n’est pas profond. Il a des sutures crâniennes Les plus grandes lignes de suture se trouvent à l'arrière, et dans la partie avant uniquement sur la zone après le viscérocrâne. À la base du crâne, nous identifions deux sutures situés entre le foramen magnum et l’atlas situé derrière. Crane à morphologie unique (Yeux, nez) - La cavité nasale est très petite, c’est une cavité de 3mm de profondeur. (Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich). On observe une paire de condyles occipitaux prononcés (Jose Rios)
Physionomie anthropomorphique : Cavité nasale et orale fonctionnelles - Grandes cavités orbitales avec champ de vision supérieur à 180 degrés - Fosses nasales - Pas de pavillon auriculaire - Cavité buccale sans dent plus petite en taille - Structures de la cavité orale avec fonction de charnière - Fonction de déglutition - Voie digestive d’avant en arrière vers le corps vertébral - Base du crâne avec support central - Cou et corps vertébraux cervicaux - Disques intervertébraux larges - Voie de déglutition entre les espaces.
Support central du crâne : Paquet vasculaire et nerveux visible avec des voies différentes - Corrélation entre les orifices crâniens avec entrée et sortie neurovasculaires. Base de crâne : orifices de trajet digestif - Corps vertébral de support avec condyles (atlas) Orifices de paquets neurovasculaires - Orifice de foramen magnum - Os creux - Cavité crânienne avec contenu - cavité buccale avec trajet
Pneumatisation : Pneumatisation de l'occipital Cela permet un crâne léger, car le cerveau est gros (tête macrocéphale).
Le crâne du spécimen de tridactyle est pneumatisé car il comporte des trous et des espaces vides dans l'os et est composé de feuilles très minces qui en allègent le poids, ce qui favorise un cerveau énorme par rapport à sa petite taille de 60 cm. de cet être.
Ouvertures : Le crâne a des trous qui permettent l’entrée et la sortie des enveloppes vasculaires et des faisceaux nerveux, ce qui rend une anatomie fonctionnelle impossible à reproduire artificiellement.
On en dénombre 3 situées dans la partie postérieure de l'orbite oculaire, au quart de la partie antérieure du crâne, dans la région temporale, scientifiquement parlant, cela ne correspond à aucune identification connue. Dans divers groupes d'animaux, cette caractéristique est présente, mais avec seulement jusqu'à deux ouvertures. Il n'y a pas de système de mastication.
Bulle tympanique : "Au sujet de la partie interne de ces crânes, nous pouvons identifier ce qui pourrait être une possible bulle tympanique. Elle en présente une paire sur les côtés du crâne qui se situe dans le quart de la région antérieure et adjacente à la zone du viscérocrâne." (Dr. Jose de la Cruz Rios Lopez) (La densité est telle qu'au début sur les scanners nous avions pensé à des implants temporaux.)
Cerveau : Il est réduit de 15% par rapport à sa taille originale. Il est située dans l'occipital, en raison de la position couchée du corps.
Foramen Magnum de forme rectangulaire de 1 cm de largeur, alors que les espèces terrestres l'ont circulaire ou quasi-circulaire. Sa localisation est située dans la deuxième fosse crânienne, c’est-à-dire au centre de la base du crâne et non sur le plancher arrière comme chez l’Homo Sapiens ou le gorille.
Ouverture buccale : C'est une ouverture de 15 mm de longueur, sans lèvres, sans dents ni muscles pour la mastication. L’être se nourrit par aspiration de liquides.
Orifice alimentaire : Derrière l'ouverture buccale se trouve dans la partie inférieure, une structure semblable à un palais dur possédant un très petit orifice où la nourriture est avalée. Il s’alimente par des liquides - Pas de dentitions - Mais un système évolué de déglutition La déglutition passe par un canal derrière la colonne vertébrale
LE CORPS :
Reproduction : Pas de glande mammaire - Sexe gonochorique (mâle et femelle) Dimorphisme sexuel - le mâle présente des membres légèrement plus longs et le tronc légèrement plus petit que la femelle et la partie centrale de la clavicule est protubérante chez le mâle. Ouverture cloacale transversale entre les jambes pour les mâles et les femelles. Reproduction qui semble être est de type ovipare. (L'embryon commence son développement après la ponte).
On note la présence de 3 œufs de taille variable (27, 34 et 25 mm) et dont la forme est symétrique, caractéristique des reptiles. Ainsi qu’un quatrième œufs en formation. À l'intérieur, des conglomérats sont observés dans un état de calcification, possiblement des embryons.. Le système reproducteur clairement identifié est constitué d'un cloaque, d'un vagin et d'un col de l'utérus. Dans les corps vertébraux, il existe une séparation ou une angulation qui est une réponse physiologique au processus de gestation. Quelque chose qui se produit naturellement dans un processus de gestation. Le corps change et adapte sa structure pour recevoir ce processus de gestation et il est clair que les corps vertébraux changent de position et élargissent l'espace intervertébral. Il existe une relation harmonieuse et fonctionnelle dans ce processus de gestation.
Furcula : L'union des clavicules s'appelle la furcula, cette caractéristique est présente dans ces spécimens.
Les théropodes (dinosaures disparus) et leurs descendants ont cette structure similaire, où les deux clavicules sont fusionnées pour former un seul os. Un os comme l'omoplate forme la cage thoracique avec une clavicule soudée (furcula ou fourchette) Certains spécimens ont la furcula proéminente et d’autres pas. Cela indique peut-être une différence de sexe, mais cela n’est pas certain car cette espèce est inconnue.
Paquet neuro-vasculaire : Entre les vertèbres de la région scapulaire, 3 paquets neuro-vasculaires sont intercalés, l'un d'eux sortant derrière la vertèbre cervicale, puis s’entrelacent entre la 3e et la 4e vertèbre.
Tandis que deux d'entre eux à l'avant sont insérés dans le canal médullaire de la même région scapulaire. Les corps vertébraux, au lieu d'être situés dans la partie postérieure, sont situés dans la partie médiane de l'organisme.
Os creux : Les os ont une cavité creuse, ce qui donne une structure légère en même temps qu’une grande résistance. Cette caractéristique anatomique est la même que celle des théropodes (dinosaures éteints) et des oiseaux, leurs descendants.
Les os creux du squelette sont une caractéristique impossible à trouver chez aucun mammifère connu. Les vertèbres sont également creuses et ne correspondent à aucune caractéristique d'un mammifère terrestre vivant. C’est la même chose avec les mains, les pieds, les ligaments, les caractéristiques spécifiques du crâne (pneumatisation, etc.).
Vertèbres creuses : Les vertèbres sont creuses, tout comme les os de ces spécimens. Un exemple similaire est trouvé avec le Mamenquisaurus (dinosaure), qui avait les vertèbres creuses dans le cou.
Colonne vertébrale : Elle se compose de 31 vertèbres :
1 atlas, 4 cervicales, 7 scapulaires, 14 côtes, 3 pelviennes et 2 sacrées. Les individus analysés ont 11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes (sauf Albert qui a 8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes) - les côtes sont circulaires et creuses.
Ces spécimens ont un nombre de paires de côtes différent :
JOSEFINA et VICTORIA : 11 paires de côtes dont 2 flottantes LA FAMILLIA : 10 paires de côtes dont 2 flottantes ALBERTO : 8 paires de côtes dont 2 flottantes
On note au moins 5 types différents de vertèbres.
Les os du bassin sont soutenus par les deux dernières vertèbres qui forment le sacrum. Démarche plantigrade bipède
Au sujet des côtes du reptile humanoïde, on peut identifier deux types :
1 - l'une en forme d'anneau, complètement fermé, et dont les côtes sont de forme rectangulaire, dans toute la région du tronc. 2 - de forme ouverte et flottantes localisées dans la zone abdominale. Les vertèbres dorsales sont présentes sur tous les spécimens examinés.
Pneumatisation thoracique - côtes horizontales et creuses - corrélation anatomique harmonique de l’amplitude gestationnelle. Corps vertébraux centraux, colonne vertébrale positionnée au centre du corps (non pas à l’arrière du tronc comme chez l’humain), et grand espace dans l'apophyse supérieure - La Clavicule continue sans attache au sternum - Large espace thoracique avec 3 structures organiques - Thorax avec des structures de paquets vasculaires et digestifs retro et intra vertébraux - Graisse dorsale (platisma) musculaire - Côtes horizontales et espaces complets - Disques intervertébraux. Cavité thoracique avec paquet vasculaire - côtes horizontales - Articulation de la hanche (os ilium) - Corrélation de l'union avec le membre inférieur - Surface articulaire à la tête du fémur - Sac de Mesentery pour le confinement abdominal - articulation du coude .
Pneumatisation vertébrale ( Crédit : J. de la Cruz Rios)
Sacrum : Il y a une structure à la fin de la colonne vertébrale formée par deux vertèbres sacrées, qui, par le biais du processus épineux, se joint derrière chaque os indépendant qui forme la hanche ou le pelvis.
On sait que les Herrerasauridae (dinosaures saurischiens) n’avaient que deux vertèbres sacrées.
Système squelettique : La structure osseuse est parfaitement articulée.
Il a un os large comme un omoplate, joint à 7 vertèbres qui forment la cage thoracique. Les clavicules sont fusionnées pour former la furcula. Il n'y a qu'un os à l’avant-bras, pareil pour la jambe. 3 doigts, 3 phalanges aux mains avec des griffes plates et 3 phalanges aux pieds.
Un os pour l’avant-bras et pareil pour la jambe. Pas de rotule, pas de genou, pas de radius ni cubitus, ni tibia ni péroné. Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire. Pas d’os carpien mais un os en forme de demi-lune au poignet, qui fait office d’articulation pour la flexion et l’extension entre l’avant-bras et les doigts.
Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire, sans structure pelvienne comme chez l'homme. Les côtes ont une forme horizontale, elles sont creuses et complètes, c'est-à-dire qu'elles ne s'unissent pas au sternum, si ce n'est qu'elles vont d'un côté à l'autre.
LES OS SONT CREUX (Voir page 6 les planches sur Josefina)
La peau : Biologie de type reptilienne identique sur tous les spécimens de 60 cm environ, ainsi que sur Maria.
Photos : Peau de Victoria
A gauche : peau de Maria la grande momie de 1m70 - (voir pages précédentes) - A droite : peau de Victoria
Conclusion
"CETTE ESPÈCE N'APPARTIENT PAS À LA FAMILLE DES HOMINIDÉS, À L'ORDRE DES PRIMATES NI À LA FAMILLE DES MAMMIFÈRES, SES CARACTÉRISTIQUES SONT CELLES D'UN REPTILE À FORME HUMAINE "
Les êtres de la Nazca de trois doigts de 60 cm., Pourraient être un descendant évolutif des théropodes (dinosaures éteints il y a environ 65 millions d'années). Jusqu'à présent, certains individus sont compatibles avec ce groupe :
FÚRCULA - Peau kératinisée - MAIN EN PRONATION - TRIDACTYLE (TROIS DOIGTS) - ŒUFS - Traits reptiliens - OS CREUX ET PNEUMATISATIONS (José de la Cruz Rios)
CONCLUSION (pour Josefina) :
1.- Les études des images ont permis d’identifier des structures osseuses qui ont une relation anatomique harmonieuse et fonctionnelle entre elles, ce qui permet de déterminer une mobilité de type organique dans le spécimen analysé.
2.- Grâce à l’étude des images, il a été possible d'identifier des structures similaires dans leur physionomie et les organes ainsi que leurs composants, qui ont une similitude avec les trajets vasculaires, le tube digestif, le système reproducteur, mais qui ont des particularités qui les différencient de ce qui a été décrit et connu dans l'anatomie humaine et ressemble à d'autres espèces qui à leur tour sont différentes entre elles.
3.- En étudiant les images et leur reconstruction en trois dimensions, on a pu identifier que l’anatomie osseuse ainsi que les structures ovoïdes (4 œufs) (pour l’individu Josefina) et l’anatomie légère (peau, graisse, muscles, organes, vaisseaux sang, cavité buccale, tube digestif, système reproducteur, oviducte) et les structures articulaires (muscles, tendons, ligaments et cartilages) ont une relation directe entre leur position et leurs trajet, ce qui démontre leur authenticité et leur fonctionnalité organique qui est unique et non répétitive entre individus. Ceci indique la viabilité et la faisabilité d'être une entité d'une nouvelle espèce ou bien encore inconnue avec une origine évolutive biologique unique et différente de ce qui est décrit ou connu dans l'espèce humaine ou dans tout autre espèce.
4.- Les résultats de l’ADN confirment qu’il n’a aucune relation directe avec aucun organisme de type animal connu ou décrit à ce jour. Une correspondance entre 30 % et 33 % d’ADN avec l’homo sapiens. Donc différent à 70 %. Cette distinction et différenciation de 70 % fait que cette espèce est unique, inestimable et non reproductible, et qu’elle mérite une étude et une analyse scientifique plus poussée.
5.- Les résultats du carbone 14 (C14) ont une période de datation approximative impliquant une origine taxonomique distincte de ce qui est connu ou décrit dans les espèces terrestres déjà étudiées et référencées par la science.
Datations
Résultats Adn et C14 (Maria, Victoria, Mains seules, cerveau seul)
D’après les analyses des scientifiques :
Dr Jose de la Cruz Rios Lopez ( Biologiste - Secrétariat de la Santé - Campeche - Recherches en microbiologie - Mexique) Dr Jose de Jesus Zalce Benitez (Mexique) Docteur Expert en Médecine Légale – médecin légiste et anthropologue légiste de l'Institut des sciences médico-légales du Mexique (INACIF) Chef de médecine légale du Secrétariat de la Marine et des Forces Armées du Mexique. Diplômé de l’École Nationale d’Anthropologie et d’Histoire (Sipaz). Dr Raymundo Salas Alfaro (Spécialiste en Radiologie et scanners - Pérou) Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich et Dr Korotkov (Université de St-Petersburg, Russie) Dr Clara Martinez - Biochimiste expérimentale - Enseignante chez DIP – Université de Genève Salvador Angel Romero Martinez - Bio Informaticien, Lab Abraxas (Mexique)
Nouvelles analyses : message sur Fbook de Jois Mantilla, le 14-04-2019
Nous venons de recevoir une autre étude et rapport CONCLUANT concernant l' ADN de "Victoria", un des êtres tridactyles de 60 cm. trouvé à Nazca. Je peux seulement dire qu'après une analyse stricte, il est de nouveau confirmé qu'il s'agit d'une nouvelle espèce qui jusqu'à présent n'avait pas été signalée par la science !. Il s'agit d'une étude QUANTITATIVE, numérique, mathématique et IRRÉFUTABLE réalisée dans des super-ordinateurs et des logiciels de pointe en génétique. CE NE SONT PAS DES OPINIONS, C'EST DE LA SCIENCE. Lien : dna-tridactilos/taxonom
ADN : 69 % INCLASSABLE - 8 % homo-sapiens
Reconstitution du possible aspect des Reptiles Humanoïdes
CHEZ LES OISEAUX, LE TIBIA ET LE PÉRONÉ tendent à fusionner et l'on pense que dans le futur cela pourrait devenir un seul os. comme on peut l'observer sur les êtres à trois doigts de Nazca. Lorsque nous examinons les membres postérieurs de tous les oiseaux, c’est-à-dire les pattes, et leur partie supérieure, nous trouvons le fémur qui est ancré à la hanche et, en bas, où nous nous attendons à trouver un tibia et un péroné indépendants, ils apparaissent dans un os semi-fixé l'un à l'autre, conférant à cet os une morphologie intermédiaire, ce qui donne à penser que, dans le futur, et après un bon nombre d'années d’évolution, il deviendra un os unique, simplifiant ainsi l’anatomie des pattes des oiseaux.
Deux autres têtes momifiées dans la diatomite avec les mêmes caractéristique
Type : Humanoïde – Espèce : Reptilienne Pas de cheveux ni de poils Grands yeux en amande Pas de pavillon auriculaire ni de conduit auditif. Mais une oreille moyenne et interne (cochlée) Pas de dents - Ouverture occipitale située au milieu de la base du crâne (Foramen magnum)
Analyse de VICTORIA (voir les détails de sa peau plus haut)
Type : Humanoïde Espèce : Reptilienne Genre : Possiblement mâle Taille : 56,00 cm Datation : entre 800 et 1100 ans (entre 919 et 1219 env. ap JC) Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges Doigts terminés par des griffes aplaties - mains en position de pronation Présence d’articulations 11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes Corps très bien conservé, avec peau apparente et porosité, couleur brune Cou possiblement rétractile
Trouvée en position assise et sans tête, les membres inférieurs et supérieurs à demi pliés. Pas de poils - Pas de cloison nasale - Pas d’oreille Pas de glande mammaire Pas de rotule, ni de genou - Pas de radius, ni de cubitus, ni d'os carpien Pas de tibia ni de péroné Locomotion plantigrade bipède (Pour plus de détails, voir la fiche générale sur les « Reptiles humanoïdes »)
Analyse de MARIA
Taille : 1,68 M Espèce : JAMIN PALPANENSIS Genre : femelle - Maria est une femelle car elle n'a pas de chromosome Y (masculin) - son ADN est "XX". Age probable : entre 40 et 45 ans Période de vie : 1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C. Trouvée en position fœtale, conservée dans de la Diatomite (terre de Diatomée). Son âge est estimé entre 40 et 45 ans à cause des sutures fusionnées et du mauvais état de sa dentition, de sa lésion cavitaire pulmonaire, et de l’écrasement vertébral de la septième vertèbre dorsale, en conséquence de quoi la mort serait une mort "naturelle".
On peut dire que Maria est de sexe féminin grâce aux mamelons détectés et à son bassin gynécoïde.. La capacité crânienne est de 19% supérieure à celle de l'humain, et la présence de trois doigts aux mains et aux pieds avec cinq phalanges
Corps très bien conservé, avec peau apparente de couleur grise Absence de cheveux et de poils - Absence de pavillon auriculaire - Grands yeux, petit nez Mains et pieds de 3 doigts - La main fait 20 cm de long - Doigts et orteils avec 5 phalanges Des empreintes digitales linéaires, horizontales - Présence d'articulations - Toutes les grandes articulations, comme celle des épaules, des coudes, des chevilles, sont intactes, complètement intactes - Sutures soudées - Mauvais état dentaire Les organes de cette "momie" se trouvent à l'intérieur du corps ainsi que le cerveau. Apparemment le corps a été momifié en utilisant des infusions et / ou des huiles à base de plantes, le corps a été recouvert d'un matériau à teneur en silice (Terre de Diatomée).
Description
Les mains : Articulation radio-carpienne et 5 phalanges, lesquelles possèdent toujours leurs capsules entre chaque intra-articulaire. Articulation radio-carpienne avec les 8 os qui forment le carpe. Nous avons sur la main droite le scaphoïde, le semi-lunaire, le pyramidale, le pisiforme nous allons le voir après et sur la seconde file il y a le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l'os crochu (os hamatum). Nous pouvons voir que sur les deux dernières phalanges du doigt inférieur qu’il y a une séparation. Ce n'est pas qu'il y ait eu une manipulation, cette partie a été brisée, le doigt a été cassé. La main gauche n'a pas souffert, nous voyons les capsules articulaires intactes et la corrélation entre chaque joint articulaire sont parfaites. La main gauche fait 20 cm.. La main droite 20,127 cm
Main droite
Main gauche
Coussinets et empreintes digitales horizontales
Les pieds : 5 phalanges aussi aux pieds. Longueur des pieds : le gauche : 22,773 cm et le droit : 22,055cm. La plante du pied fait 7 cm On voit le tibia, le péroné, l'astragale, le calcanéum, le cuboïde, et les os du métatarse. Mais le calcanéum au niveau du talon est très particulier, le tendon d'Achille est intégré dans l'os astragale, alors que chez l'humain le tendon est fixé sur le calcanéum. Pas de voûte plantaire. Os calcanéum sans tubulure. Les trois dernières phalanges des pieds sont très spéciales. Elles sont de petite taille et de forme irrégulière. La dernière phalange comporte un coussinet arrondi de 1,2 cm de longueur, avec des empreintes digitales droites et non circulaires comme chez l'humain. La dernière phalange est recourbée à 90°. Empreintes digitales aux mains et aux pieds. On voit une séparation de 9 mm entre les doigts des mains et des pieds de Maria, cela peut lui permettre un mouvement de pronation (vers l'intérieur) avec le doigt central (comme avec notre pouce). Il lui manque la phalange du doigt central du pied gauche. Il a aussi été cassé. Les phalanges distales sont adaptées de manière évolutive en étant positionnées à angle droit à 90 ° vers le bas, avec des "patins" aux extrémités d'environ 1,2 cm. de diamètre, ils servent de support et d'amortissement aux longs doigts pour le processus de la marche bipède, évitant ainsi le taraudage des doigts au sol, ils présentent des rainures et / ou empreintes digitales horizontales. La différence entre les pieds de l'Homo Sapiens et ceux de la momie Maria ne réside pas seulement dans la présence des trois orteils, mais aussi dans la longueur de ses phalanges ainsi que du calcanéum qui chez Maria est très gros et ne dispose pas de l’apophyse du calcanéum.
Comparaison de la morphologie du pieds d'un Humain et de celui de Maria
Capacité crânienne :
1650 cm3, alors que chez l'humain c'est de 1400 cm3 - soit 19 % plus grande que l'humain - Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales. Restes de l’encéphale encore à l’intérieur de la cavité crânienne. Le degré de conservation est tel que si nous mettons du côté droit une image, nous voyons qu'au centre il y a une division qui s'appelle la faux du cerveau (falx cerebri), qui est une partie de la dure-mère. La dure-mère est une membrane très fine qui sépare le lobe gauche du lobe droit, et à la moitié elle sépare l'encéphale du cervelet. Elle est parfaitement conservée.
La tête : Les globes oculaires très grands mais en les mesurant nous voyons que c’est une orbite tout à fait normale. Elle mesure 41mm, ce qui est normal. Les dents sont en mauvais état mais toujours là. La troisième molaire indique qu'il s'agit d’un individu âgé. Déplacement de la mandibule vers l'avant. C'est une subluxation de l'articulation temporo-mandibulaire droite, qui s'est déplacée de plus ou moins 9 mm, ceci par effet de la gravité, ce qui signifie que cette luxation est post-mortem. La normalité serait qu'elle s'imbrique bien dans la cavité de l'os temporal.
Colonne vertébrale :
12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
Mais la colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain. Fracture au niveau de D7 (une fracture par écrasement avec une réaction sclérotique, ce qui indique qu'après cette fracture Maria a continué à vivre), et hernie discale L3/L4 et L4/L5 se référant aux vertèbres lombaires. C'est ce qu'on appelle une discopathie ou douleur discale. Lésion pulmonaire cavitaire Bassin ginécoïde - Traces de possibles mamelons et d’une cicatrice ombilicale. Elle a un larynx, une trachée, un cœur et le diaphragme. Les articulations des épaules, des genoux et des hanches, elles n'ont pas été manipulées. On compte 7 vertèbres cervicales, 12 dorsales. 5 lombaires et 4 ou 5 formant le sacrum coccyx qui ne sont pas représentées à cause de la détérioration des os.
Dans la cavité abdomino-pelvienne la seule chose qui subsiste sont des restes momifiés d'intestins et les fameux coprolithes. Les coprolithes sont des excréments desséchés, pétrifiés. En faisant un examen de ces coprolithes nous pourrions savoir de quoi s'alimentait Maria.
Partie intestinale de Maria, intestins et coprolithes
Le système reproducteur est manquant, peut-être à cause de sa position assise qui aurait détérioré cette partie, ou bien comme l'a suggéré le Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich, un animal aurait pu l'arracher post-mortem (traces de blessures causées par de longues griffes dans le bas du dos – voir photo ci-dessous).
Possibles mamelons
Les os : la densité a été mesurée en unités "Scan field" (ou Hounsfield ) pour voir que toutes les structures étudiées correspondent bien à des os, qui sont plus ou moins entre 1200 et 1400 unités Scan field .
Os creux comme les autres entités de 60 cm
Peau de Maria : La peau de Maria a les mêmes caractéristiques que celle de Victoria et des autres entités de 60 cm, de couleur grise avec des protubérances, de type reptilien.
PIEDS DE MARIA PIEDS D'UN HUMAIN
Datation C14
1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C.
Analyses ADN
Biotecmol - Homo Sapiens - 33,6% PhD SK / Biotecmol - Homo Sapiens - 33,68% Bactéries et autres génomes – 18,42% - Non classifié - 47,90% Recherche réalisée en juillet 2018 sur NCBI sur la base des fichiers Fastq fournis par Biotecmol.
Université de St Petersbourg Homo Sapiens – 23,8% Non classifié – 76,2%
Conclusions
Plusieurs tests au Carbone 14 ont donné à Maria un âge de 1750 ans (+ - 30 ans) – soit 269 ap J.C.
Tous les scientifiques ont confirmé qu'ils n'avaient pu déceler aucun indice de fraude et qu'il s'agissait bien d'une entité biologique ayant vécu. Si une manipulation (ou fraude) avait eu lieu il aurait fallu qu'elle ait été pratiquée il y a plus de 1750 ans et même ainsi ils auraient dû trouver des "marques" de ces "opérations" sur les Scanners qui révèlent le moindre minuscule détail de suture, même si c'était fait avec un produit chimique ou en microchirurgie.
Les professionnels qui ont examiné le corps de "Maria" ont recensé plusieurs anomalies par rapport au corps humain :
1- Les mains et les pieds sont tridactyles, ils possèdent trois doigts à chaque main et trois "orteils" à chaque pied. 2- de plus les doigts des mains possèdent cinq phalanges, à l'instar de l'humain qui n'en a que trois et deux au pouce. 3- Les mains sont plus larges que les nôtres et leurs os sont beaucoup plus robustes. Absence d'os métacarpien, paume formée uniquement par des carpes. Les mains font 20 cm de longueur.
4- Les ongles de "Maria" couvrent près de 90% de la dernière phalange alors que chez l'humain l'ongle ne couvre qu’environ 50% de la phalange. Les doigts possèdent des empreintes digitales.
5- La dernière phalange des "orteils" des pieds est recourbée à 90° vers le bas et c'est sur cet appui et celui du talon que reposait le bipède. Absence de métatarse. Longueurs : plante du pied = 7cm ; phalanges = 6cm, 5cm, 3cm, 1cm et 1cm. Longueur des orteils = 16 cm. Longueur totale du pied (plante et orteils) = 23cm.
6- Ces extrémités recourbées des "orteils" possèdent des "coussinets" (diamètre 1,5cm) avec des empreintes digitales différentes des nôtres, elles sont en lignes presque horizontales (très légèrement courbées) et non pas en spirale.
7- Le crâne de "Maria" est plus allongé que le nôtre et ne présente aucune marque d'une élongation provoquée (comme lorsque, appliqué sur des enfants, dans certaines traditions pré-Incas à l'aide de planchettes et de ruban pour les plaquer et permettre ainsi à la boite crânienne de se développer vers le haut) car cette pratique laisserait inévitablement des marques sur le crâne ou tout au moins une planification de certaines parties, alors que chez "Maria" son crâne présente une parfaite harmonie dans sa courbure.
8- Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales.
9- La colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain.
10- Elle présente 12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
11- La peau qui apparaît au niveau du coude ne présente pas les caractéristiques de celle d'un humain.
12- Absence de cheveux et de poils.
13- Absence de pavillon auriculaire mais présence du canal auditif avec oreille moyenne et cochlée.
14- Présence de tétons, mais on ne voit pas l’ombilic.
15- Orbites oculaires de 5cm. Nez très fin, plus petit que chez l'humain. Grosses lèvres, plus grosses que chez l'humain. Taille de la face 31 cm.
ANALYSE d'ALBERT
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne Genre : Mâle Taille : 60,50 cm Anatomie identique aux autres individus de 60 cm environ (voir description du Reptile Humanoïde) Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges Présence d’articulations 8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes Spécimen en croissance Possiblement atteint d’une maladie osseuse Présence d’un implant métallique biocompatible, insérée à la hanche droite (Greffe autologue d’après les radios du Dr Salas Alfaro) Cou possiblement rétractile
La base de la tête du Reptile humanoïde, le long de sa partie centrale est droite avec une réduction vers la région occipitale, il possède un foramen magnum de forme rectangulaire, légèrement en arrière du centre. Il est possible d'observer une structure qui correspond à la cochlée et à l'oreille moyenne, situé dans le tiers antérieur, que l'on peut apprécier dans toutes les têtes des spécimens analysés.
Peau d’Alberto
L'implant de la hanche
La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d’argent. La composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec les compositions-type répertoriées pour des objets d’époque précolombienne conçus à partir d’un alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que l’objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d’alliage cuivre-argent par battage à froid, technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d’époque précolombienne.
Concernant la biocompatibilité d’un implant conçu à partir d’un tel alliage, compte-tenu de l’activité chimique du cuivre et de l’argent selon le contexte (pH, …), les conséquences histologiques sur un organisme vivant seraient incertaines et requiert l’avis d’un spécialiste. Source : the-alien-project.com LC-Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf- Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation Novembre 2018
Les examens pratiqués sur les momies ont été effectués ou/et étudiés par :
Dr. Raymundo Salas Alfaro; Dr. Edson Salazar; Dr. Julio Espero Torres; Dr. David Hermosa Gongo; Dr. Ramiro Hermoza Rosell et le Dr. Renan Ramirez Vargas; médecins, chirurgiens et radiologues de Cusco au Pérou; Dr Jose de Jesus Zalce Benitez, expert en Médecine légale, Diplômé de l'École Nationale d'Anthropologie et d'Histoire (Sipaz), Chef du Département de Médecine légale de la Marine Nationale Mexicaine; et Jose de la Cruz Rios, Biologiste au Secrétariat de la Santé de Campeche au Mexique; Dr. M.K Jesse, médecin radiologue à l'Université Colorado Hospital aux USA; Natalia Zaloznaja, Chef de l'Imagerie Médicale à l'Institut Médical MIBS; ainsi que le Dr. Konstantin Korotkov, Professeur à l'Université de Saint Pétersbourg, Président de l'Union Internationale de Médecine et de Bioelectrographie appliquée, tous deux résidents de Russie.
LES IMPLANTS retrouvés sur les momies
SYNTHÈSE DE L'ANALYSE DES RAPPORTS INGEMMET par Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation Novembre 2018
Composition concordant avec un objet d’époque précolombienne Présence d’oxydation et d’altération prouvant son ancienneté.
L’échantillon analysé est composé à 85 % de cuivre Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne. Avec présence d'oxydation et d'altération attestant son ancienneté. Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits de l'implant pectoral de Josephina, parmi lesquels trois sont prélevés pour les analyses effectuées, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. En complément, une cartographie en EDS des éléments carbone, oxygène, silicium, soufre, chlore, calcium et cuivre est réalisée sur un des trois fragments. Cet échantillon est composé en majorité de cuivre métallique (85% massique en moyenne pour les zones les plus pures), dont l'altération partielle est observée à travers la formation de produit d'oxydation comme la cuprite ou la ténorite, ou de minéraux d'altération comme l'atacamite ou la brochantite. Ce cuivre contient par ailleurs des impuretés (fer, soufre, ...), qui pourraient être caractéristiques du minerai dont a été extrait le cuivre utilisé pour la conception de l'implant. Ces impuretés pourraient également donner des indications quant au mode d'extraction employé, notamment à travers la présence de soufre (extraction possible à partir de sulfures type chalcocite). Les concentrations de soufre et de chlore caractéristiques des produits d'altération observés tels que l'atacamite pourraient indiquer une altération ayant opérée dans un lieu à l'atmosphère riche en chlore et/ou en soufre, tels qu'un environnement côtier ou volcanique, ou dans un environnement pollué (usine, gaz d'échappement). On observe également pour cet échantillon une signature chimique minérale (carbonate, silicates, sels), qui peut être la conséquence d'un apport exogène (gangue qui enveloppe l'implant) ou de cristallisations in situ à la faveur de certaines conditions. Dans le contexte d'étude, cet échantillon est tout à fait concordant en termes de composition chimique (cuivre dont la pureté – perfectible - est tout à fait compatible avec les méthodes de raffinage connues et accessibles à l'époque) avec un objet d'époque précolombienne. Par ailleurs, les produits d'oxydation et d'altération observés mettent en jeu des processus lents et contribuent ainsi à corroborer l'ancienneté de l'objet dont est extrait l'échantillon, sous réserve que celui-ci n'ait été exposé à un environnement très agressif (pollution atmosphérique). La signature minérale observée irait également dans ce sens, en cas de cristallisation in situ (processus lent). Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
2 - Implant métallique annulaire d'une main tridactyle .
16% de chrome 5% de carbone 78 % de fer Ne correspond pas à un objet d'époque précolombienne : civilisations ne maîtrisant pas l'extraction et le travail du fer.
Cet échantillon est un fragment extrait d'un implant annulaire prélevé sur la main tridactyle remise par Paul Ronceros à l'institut INKARI-CUSCO, effectués avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire est également réalisée sur une zone de ce fragment.
Cet échantillon est composé d'un alliage fer-carbone (moyenne 78% de fer pour 5% de carbone) riche en chrome (moyenne 16%), cependant l'analyse EDS ne permet pas de trancher entre un acier (inoxydable) ou une fonte (blanche). On note que si cet alliage ne contient pas de nickel dans sa composition intrinsèque, on le détecte par contre très localement sur une des zones d'analyse dans une concentration presque pure (moyenne 85%), ce qui indiquerait l'existence d'une couche de passivation au nickel pour cet échantillon (hypothèse à considérer en dehors d'un possible apport exogène, avec la pollution par les outils ayant servi à l'extraction, par exemple). Nous aurions donc pour cet échantillon un acier ou une fonte, peut-être recouvert en surface d'une couche de nickel, plausiblement déposé par galvanoplastie (bain chimique ou électrolytique). On observe également une signature chimique minérale pour cet échantillon, qui est probablement d'origine exogène (gangue minérale).
Dans le contexte d'étude (en dehors des considérations de compositions élémentaires : acier ou fonte, galvanoplastie au nickel, etc.), le plus gros "problème" que pose cet échantillon est qu'il n'existe pas à ce jour parmi les objets manufacturés d'époque précolombienne répertoriés, d'objets constitués d'alliage à base de fer. La principale raison est purement technique : les civilisations de cette époque ne maîtrisaient pas les techniques requises pour l'extraction et le travail du fer. L'unique alternative pour expliquer cette "anomalie" dans l'hypothèse d'un objet élaboré par une civilisation précolombienne serait la conception de l'objet source dont est extrait l'échantillon à partir de fer natif d'origine météoritique (observé dans d'autres civilisations antiques), de composition chimique équivalente.
60% d'or 30% d'argent 10% de cuivre Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne. Alliage connu sous le nom de tumbaga.
Cet échantillon est composé majoritairement d'un alliage or-argent (et dans une moindre mesure, cuivre), dans une proportion moyenne d'environ 60% d'or pour 30% d'argent (environ 10% de cuivre), hors hypothèse sur éventuelle technique de manufacture de l'objet source (voir ci-après). On observe la présence d'autres éléments comme notamment le fer présent sous forme d'inclusion si on se réfère à la cartographie élémentaire, ce qui pourrait être une indication quant à la source de l'alliage utilisé pour la fabrication de l'objet dont est extrait l'échantillon 04 : il pourrait s'agir d'un alliage or-argent natif, ce qui est compatible avec la minéralogie péruvienne. Il est par ailleurs possible qu'une technique de finition type « dorure par appauvrissement » ait été appliquée à l'objet, auquel cas les valeurs des concentrations massiques mesurées ne seraient que représentatives de la proche surface de l'échantillon et l'alliage probablement proportionnellement plus riche en cuivre (type tumbaga). On retrouve ici également une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), conséquence soit d'un apport exogène (gangue minérale qui enveloppe l'échantillon), ou de cristallisations in situ (processus lents à la faveur de certaines conditions qui témoignerait de l'ancienneté de l'objet source).
Dans le contexte d'étude, cet alliage or-argent est tout à fait concordant en termes de composition avec les alliages utilisés à l'époque précolombienne. La présence d'impuretés tel que le fer en inclusion va également dans ce sens, plausible indicateur de l'utilisation d'un alliage or-argent natif pour la conception de l'objet, en l'absence de procédés complètement maîtrisés par les métallurgiste précolombien pour l'élaboration de ce type d'alliage. Il est également plausible qu'une finition type "dorure par appauvrissement" ait été appliqué à l'objet source de l'échantillon, dont l'alliage serait alors un alliage or-argent-cuivre caractéristique de nombreux objets d'époque précolombienne et significativement plus riche en cuivre en proportion massique, le tumbaga. Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits d'un implant (en forme de disque) d'une des mains tridactyles. Trois fragments sont prélevés de cet échantillon pour les analyses. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
4 - Implant métallique de la hanche d'Alberto
50% d'argent 25% de cuivre Concordant avec les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne.
Cet échantillon est un fragment extrait de l'implant de la hanche droite d'Alberto, qui a la géométrie d'un disque si l'on se réfère aux photographies, radiographies et scanners disponibles effectués, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire (chlore, cuivre, argent) est également présentée en introduction.
Cet échantillon est constitué d'un alliage cuivre-argent, dans un rapport de proportion massique allant d'environ 10% de cuivre pour 90% d'argent à 10% d'argent pour 80% de cuivre, selon la zone analysée. La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d'argent. Ces disparités sont conditionnées par plusieurs facteurs, dont les principaux sont la composition de l'alliage utilisé pour la fabrication de la pièce (rapport cuivre/argent qui va favoriser certaines microstructures), la méthode de manufacture utilisée (coulage, battage à froid, finition de la pièce, etc.) conjointement à l'orientation de l'échantillon lors des analyses (conditionnée elle aussi par son extraction de l'objet source). On retrouve encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), qui pourrait par ailleurs être aussi d'origine organique du fait des éléments mis en jeu, notamment avec le phosphore qui entre dans la composition des os. Dans le contexte d'étude, la composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne conçus à partir d'un alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que l'objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d'alliage cuivre-argent par battage à froid, technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d'époque précolombienne. Concernant la biocompatibilité d'un implant conçu à partir d'un tel alliage, compte-tenu de l'activité chimique du cuivre et de l'argent selon le contexte (pH, ...), les conséquences histologiques sur un organisme vivant seraient incertaines et requiert l'avis d'un spécialiste. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
Note: L'implant n'est pas bio-compatible avec l'humain, mais rappelons-nous que nous avons à faire à une autre espèce que l'Homo sapiens, cela demande donc des examens plus approfondis avant de tirer des conclusions.
5 - Objet métallique sous forme de croix
73% d'or
18% de cuivre 7% d'argent Alliage caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, le tumbaga.
Cet échantillon se compose de deux fragments extraits d'un objet métallique en forme de croix.Cet échantillon présente la composition chimique d'un alliage or-cuivre (avec un peu d'argent, de 5 à 7% massique en moyenne), appelé tumbaga. Le rapport de concentration massique moyen or/cuivre varie d'environ 8% de cuivre pour 85% d'or à 26% de cuivre pour 65% d'or, selon les zones analysées. Les analyses montrent encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates), possiblement induites par une pollution exogène. Discussion des résultats dans le contexte d'étude Dans le contexte d'étude, l'alliage or-cuivre(-argent) qui compose cet échantillon est caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, il porte le nom de tumbaga. De nombreux objets élaborés à partir de cet alliage ont été répertoriés. Il est par ailleurs intéressant de noter que les disparités de mesure de concentration seraient la conséquence d'une technique de finition d'objets élaborés en tumbaga, la dorure par appauvrissement, technique régulièrement mise en œuvre par les métallurgistes de l'époque précolombienne afin d'embellir les objets conçus. L'hypothèse de l'application de cette technique sur cet objet est en outre corroborée par la texture de surface poreuse des zones non altérées, texture poreuse observable sur l'image MEB réalisée en contraste topographique. Cet échantillon présente donc de nombreux indices qui attestent d'une plausible origine antique. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
6 – Roche
Roche sédimentaire de type grès. Présence possible de diatomées. Concordant avec la géologie du Pérou.
Remarques complémentaires
En ce qui concerne l'ensemble des échantillons métalliques, on peut souligner qu'aucune trace d'arsenic (As) n'est mesurée, d'après les microanalyses chimiques en EDS. Ceci peut être un indicateur important quant à l'origine des objets dans le contexte d'étude (époque précolombienne) : l'arsenic, utilisé pour la première fois par la culture Moche, était parfois adjoint en tant que durcisseur dans les alliages, on le retrouvera de ce fait dans plusieurs objets d'époque précolombienne. On note aussi que cet élément peut être présent ou absent des minerais sources servant à l'élaboration des alliages utilisés, ce qui peut être un lien quant aux lieux d'origines des minerais servant à concevoir les alliages (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú), conjointement à la culture ayant conçu les objets, outre les méthodes d'extraction des minerais et de fabrication mises en œuvre. La même observation peut être faite pour l'élément étain Sn, pour lequel aucune trace n'a été détectée au cours des microanalyses élémentaires des différents échantillons métalliques. Ce métal, utilisé pour la fabrication du bronze (alliage cuivre-étain), n'a été utilisé significativement par les civilisations précolombiennes qu'à partir de la fin de la culture Moche/début de la culture Inca (soit il y a environ 1400 ans), sur la base des analyses de compositions chimiques disponibles et effectuées sur plusieurs objets répertoriés datant de ces époques (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú). L'étain dans les alliages antérieurs à cette période n'est présent qu'à titre d'impureté (en source des minerais utilisés). Cet indicateur, l'absence d'étain dans les différents échantillons métalliques analysés, peut être un indicateur fort quant à la période de fabrication des objets sources correspondants dans le contexte d'étude (civilisations précolombiennes). Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
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PAGE 1 : Les début de l'affaire, premières photos des momies.
"La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"
Mexique : découverte de la plus grande grotte sous-marine du monde
L'exploration de la grotte pourrait apporter un éclairage nouveau sur l'antique civilisation Maya [Capture Youtube]
En connectant deux réseaux de cavernes connus des chercheurs, une équipe de plongeurs a découvert ce qui serait la plus vaste grotte sous-marine de la planète.
Une équipe de chercheurs du Gran Acuifero Maya (GAM), un projet consacré à l'étude et à la préservation des eaux souterraines de la péninsule du Yucatán (sud-est du Mexique), a pu identifier cette cavité, qui s'étale sur près de 347 km de galeries et de cavernes, après des mois d'exploration d'un labyrinthe de canaux sous-marins, selon un communiqué relayé par Reuters.
Un objet flottant apparent a fait se questionner un travailleur de la gare dans le nord de la Chine sur l'existence de la vie extraterrestre.
L'employé a dit avoir remarqué un étrange clignotement dans le ciel au-dessus de la gare de Dayangqi dans la préfecture de Daxing'anling dans la province du Heilongjiang la semaine dernière.
Il a prétendu qu'il était le seul témoin car il n'y avait pas de passagers ou de personnel autour du 6 janvier.
Il est allé vérifier les images de la caméra de surveillance et a remarqué un objet volant apparaissant à proximité d'un lampadaire et au-dessus des voies.
Il a dit que l'objet était «comme une méduse» ou «un disque».
«Ce n'est pas l'éclair de lumière d'une lampe, elle n'est apparue qu'une seconde et elle a disparu», a-t-il déclaré.
Nigel Watson, auteur du Manuel des enquêtes sur les ovnis (Haynes), a déclaré à MailOnline que l'objet «semble assez mignon pour être dans un film de science-fiction pour enfants».
«C'est peut-être une lumière distante qui provoque une réflexion de la lentille lui donnant une apparence de méduse», a-t-il expliqué.
Un chercheur polonais tente de déchiffrer un texte unique de l'île de Pâques 25 artéfacts avec des inscriptions rongo-rongo ont été conservés jusqu'à notre époque. Le rongo-rongo est un système de signes que l'on ne trouve que sur l'Île de Pâques; aucun autre peuple polynésien n'a inventé l'écriture.
"Il y a de nombreux indices qui laissent penser que l'Île de Pâques est l'un de ces rares endroits dans le monde où l'écriture a été inventée indépendamment d'autres systèmes de notations. La raison pour laquelle elle été créé dans un lieu aussi isolé reste un mystère" rapport le Dr Rafal Wieczorek de la faculté de chimie à l'Université de Varsovie. Déchiffrer les signes est d'autant plus difficile que seulement quelques personnes dans le monde y travaillent, et pas à temps plein. En effet, pour tous les intervenants, il s'agit d'un projet parallèle.
"Afin de faire avancer les choses, il est nécessaire de mettre en place une équipe de recherche qui se concentrerait uniquement dessus" estime le Dr Wieczorek. Spécialiste en astrobiologie, il a rejoint il y a quelques années le groupe international qui cherche à déchiffre le rongo-rongo. Il admet qu'il consacre de plus en plus de temps à cette passion; il est d'ailleurs l'auteur de plusieurs articles sur le rongo-rongo publiés dans des revues scientifiques.
Malgré de nombreux points d'interrogation, les chercheurs qui se sont penchés sur la mystérieuse écriture ont établi plusieurs faits.
Tout d'abord, on sait que le rongo-rongo était utilisé par l'aristocratie vivant sur l'île, ce n'était pas une écriture utilisée dans la vie quotidienne.
Ensuite, les phrases se lisent dans le système inverse du boustrophédon (le boustrophédon désigne une écriture dont le sens de lecture change alternativement d'une ligne sur l'autre): le support devait être tourné pendant la lecture.
Comment cela a-t-il pu être déterminé alors que l'écriture n'a pas encore été déchiffrée ?
"Les séquences de caractères se répètent sur plusieurs tablettes. Dans certains cas, ils vont à la ligne de texte suivante, et dans d'autres, ils continuent sur une ligne." explique le chercheur.
Il y a plusieurs indications montrant que le rongo-rongo peut être lu de manière similaire aux hiéroglyphes égyptiens. Dans ce système, l'écriture est basée sur des logogrammes (des signes représentant ce qu'ils décrivent ou des mots métaphoriquement liés), des phonogrammes (caractère écrit qui est la transcription arbitraire d'un son) et des déterminants (symboles qui clarifient la signification du mot précédent écrit phonétiquement).Contrairement aux hiéroglyphes égyptiens, où il y en a à peu près 1000, le rongo-rongo en comprend beaucoup moins. Les chercheurs estiment leur nombre à tout juste 600.
Parmi eux, il y a des signes dépeignant des personnages humains avec des bras démesurément longs dans diverses poses, mais aussi des animaux, tels que des oiseaux, des poissons, des requins, des souris et des rats.
Il y a aussi un grand groupe d'environ 200 caractères simples qui sont difficiles à identifier. Ils ressemblent à des outils ou des armes.
Il reste cependant encore beaucoup de points d'interrogation.
Le séquençage du génome d'un fossile humain d'il y a 11 500 ans
Il est mort âgé de six semaines il y a 11 500 ans, mais il a beaucoup à dire. L'analyse de l'ADN du fossile d'un bébé trouvé en Alaska a permis de préciser comment les premiers humains sont arrivés sur le continent américain, selon une étude publiée mercredi.
Les restes de la petite fille ont été découverts en 2013 au parc archéologique Upward Sun River en Alaska. Le bébé a été baptisé Xach'itee'aanenh t'eede gaay, ou "le petit de l'aube", par la communauté indigène locale. Pour les scientifiques, c'est USR1, en référence à l'endroit où il a été trouvé.
Elle avait été enterrée à côté d'une jeune fille encore plus jeune, qui a également été étudiée par l'équipe scientifique composée de chercheurs des universités de Copenhague, Cambridge et Alaska.
Une grande partie de la communauté scientifique s'accorde à estimer que les premiers humains qui ont marché sur le sol du continent américain appartenaient à des groupes venus d'Asie à la fin de la dernière période glaciaire (Pléistocène supérieur).
À ce moment de la glaciation, le niveau des océans avait chuté et un pont terrestre correspondant au détroit de Béring actuel permettait de passer de la Sibérie à l'Alaska.
Mais il y a encore beaucoup de questions sur la date d'arrivée de ces populations et sur la façon dont elles ont occupé le continent américain.
L'équipe de chercheurs, dont le travail a été publié dans la revue Nature, a réussi à séquencer le génome complet du bébé USR1.
Ils ne pouvaient cependant pas séquencer celui du nouveau-né en raison du manque d'échantillons d'ADN. Mais les analyses génétiques ont permis de montrer que les deux filles étaient apparentées et étaient probablement les premières.
Le "petit de l'aube" a donné une grande surprise aux enquêteurs: son patrimoine génétique ne correspond pas aux deux branches connues des premiers Amérindiens (appelés du "nord" et du "sud").
Les scientifiques ont découvert qu'il appartenait à un groupe jusqu'alors inconnu, qu'ils ont appelé "vieux Beringuians".
"Nous ne savions pas que cette population existait", explique Ben Potter, professeur d'anthropologie à l'Université de l'Alaska à Fairbanks.
D'autres analyses nous ont permis de fournir "le premier test génétique direct selon lequel les ancêtres des Amérindiens proviennent tous de la même population arrivée par un seul mouvement migratoire" durant l'ère glaciaire, selon l'étude.
Cette vague de migration aurait pu avoir lieu il y a plus de 20 mille ans, a indiqué l'université de Cambridge dans un communiqué.
Des archéologues de l'Université hébraïque ont trouvé une nouvelle grotte ayant contenu par le passé des rouleaux de la mer Morte. C'est renversant ! Cela faisait 20 ans que j'attendais une telle nouvelle !", avoue, encore sous le choc, Mireille Belis, historienne et archéologue à l'Ecole biblique et archéologique française (EBAF) de Jérusalem. L'annonce de la découverte d'une douzième grotte " à manuscrits " dans une falaise située à l'ouest de Qumran dans le désert de Judée a laissé en effet tous les spécialistes sans voix. Car ce sont précisément dans ces grottes, situées en Cisjordanie à une douzaine de kilomètres au sud de Jéricho, qu'avaient été mis au jour les célèbres rouleaux de la mer Morte entre 1947 et 1956. L'une des plus grandes découvertes archéologiques du XXe siècle. C'est le quotidien The Times of Israël qui a annoncé cette découverte dans sa parution du 8 février 2017, cette nouvelle cavité venant d'être identifiée par des chercheurs de l'Université Hébraïque et l'Autorité israélienne des antiquités (IAA). Malheureusement, celle-ci avait déjà été repérée par des pilleurs qui l'ont vidée de son contenu, comme l'attestent deux manches de pioche abandonnés sur place dans les années 1950. Il ne reste donc rien a priori des inestimables vestiges qu'elle devait contenir, si ce n'est un fragment de parchemin. Celui-ci apparaît vierge mais devrait néanmoins être soumis à une analyse multi-spectrale.
Grâce à des analyses ADN, des scientifiques découvrent qu’un changement fondamental a eu lieu en Europe il y a près de 15 000 ans – les chasseurs-cueilleurs qui peuplaient le continent ont en effet été remplacés par un groupe ethnique qui venait d’une autre région du globe. Cette découverte pourrait ainsi dévoiler un chapitre encore méconnu de l’histoire de l’humanité.
Des scientifiques appartenant à l’institut Max Planck, en Allemagne, ont mené une recherche approfondie sur l’ADN issu d’ossements et de dents ayant appartenu à des individus qui vivaient en Europe entre le Pléistocène supérieur et l’Holocène inférieur, soit une durée qui s’étale sur près de 30 000 ans. Les chercheurs ont ainsi travaillé sur les génomes de près de 35 chasseurs-cueilleurs ayant vécu en France, en Belgique, en Italie, en Allemagne, en Roumanie et en République tchèque.
La comparaison des échantillons d’ADN prélevés sur les restes de ces différents individus indique d’ailleurs clairement qu’ils partageaient tous un patrimoine génétique commun. Cependant, les caractéristiques génétiques dont ils disposent sont absentes de l’ADN des Européens modernes… L’haplogroupe M auquel ils appartiennent n’est en effet plus représenté aujourd’hui parmi les populations qui occupent le Vieux Continent !
Johannes Krause, qui travaille au sein du célèbre institut, a déclaré : « Nous avons mis au jour un chapitre complètement inconnu de l’histoire de l’humanité : un changement majeur dans la population européenne à la fin de la dernière période glaciaire. »
Auparavant, les scientifiques pensaient que les populations non africaines s’étaient dispersées progressivement à travers la planète au cours de l’histoire. Néanmoins, la découverte des chercheurs de l’institut Max Planck – grâce aux analyses ADN poussées ayant été menées sur plusieurs ossements – remet complètement en question cette théorie. Elle suggère que toutes les populations non africaines se seraient en fait rapidement disséminées, sur un laps de temps très court et à partir d’un seul et même groupe, il y a environ 50 000 ans.
Les scientifiques estiment également que ces éléments les mettent sur la piste d’une découverte encore plus importante : il y a environ 14 500 ans, après la fin de la dernière période glaciaire, le groupe ethnique qui peuplait alors l’Europe connut une modification majeure et particulièrement brutale.(...)
l’esprit existe comme un champ connecté au cerveau
La relation entre l’esprit et le cerveau est un mystère au centre de la façon dont nous comprenons notre existence même en tant qu’êtres sensibles. Certains disent que l’esprit est une fonction du cerveau – la conscience est le produit des neurones en action. Mais certains s’efforcent de comprendre scientifiquement l’existence d’un esprit indépendant du cerveau, ou du moins dans une certaine mesure séparé du cerveau.
La revue scientifique NeuroQuantology, évaluée par ses pairs, rassemble les neurosciences et la physique quantique. Une interface que certains scientifiques ont utilisée pour explorer cette relation fondamentale entre l’esprit et le cerveau.
Un article publié dans l’édition de septembre 2017 de NeuroQuantology passe en revue et développe les théories actuelles de la conscience issues de cette rencontre entre la neuroscience et la physique quantique.
Dr. Dirk KF Meijer, professeur à l’Université de Groningen aux Pays-Bas, émet l’hypothèse que la conscience réside dans un champ entourant le cerveau. Ce champ est dans une autre dimension. Il partage des informations avec le cerveau grâce à l’intrication quantique, entre autres méthodes. Et il a certaines similitudes avec un trou noir.
Ce champ peut être capable de capter des informations provenant du champ magnétique terrestre, de l’énergie sombre et d’autres sources. Il « transmet ensuite des vagues d’informations dans le tissu cérébral, qui joue un rôle dans le traitement de l’information consciente et subconsciente à grande vitesse », écrit Dirk.
En d’autres termes, « l’esprit » est un champ qui existe autour du cerveau ; il capte les informations provenant de l’extérieur du cerveau et les lui communique dans un processus extrêmement rapide.
Il a décrit ce champ alternativement comme « un champ holographique structuré », un « espace de travail mental réceptif », un « domaine métacognitif » et « l’espace mémoire global de l’individu ». Les fonctions extrêmement rapides du cerveau suggèrent qu’il traite l’information à travers un mécanisme encore non révélé. Il y a un mystère non résolu en neuroscience appelé « problème de liaison ». Différentes parties du cerveau sont responsables de différentes choses : certaines parties travaillent sur le traitement de la couleur, d’autres sur le traitement du son, etc. Mais, d’une manière ou d’une autre, tout se présente comme une perception unifiée ou une conscience.
L’information se réunit et interagit dans le cerveau plus rapidement que ne peut l’expliquer notre compréhension actuelle des transmissions neuronales dans le cerveau. Il semble donc que l’esprit ne soit pas juste des neurones en action dans le cerveau.
Les neuroscientifiques sont toujours à la recherche d’un mécanisme pour cette « liaison » des parties disparates du traitement de l’information du cerveau. Dirk s’est tourné vers l’intrication quantique et le tunneling pour une partie de la réponse.
L’intrication quantique est un phénomène dans lequel les particules semblent être connectées sur de grandes distances. Lorsque des actions sont effectuées sur l’une des particules, des changements correspondants sont observés simultanément sur les autres.
Le tunneling quantique est un phénomène dans lequel une particule passe à travers une barrière qu’elle ne devrait pas pouvoir traverser selon la physique classique.
Ces phénomènes quantiques permettent des processus si rapides qu’ils ne peuvent pas être expliqués avec la physique classique. Ainsi, ils peuvent aider à expliquer les processus mentaux subconscients ultra-rapides.
Les principes de la physique quantique peuvent expliquer comment l’esprit traite l’information.
Si « l’esprit » ou le champ mental pouvait interagir avec le cerveau de cette façon, cela pourrait être une étape vers l’explication de la rapidité des processus mentaux.
Dirk utilise également la nature onde-particule de la matière en physique quantique pour expliquer la relation entre le champ mental et le cerveau. Essentiellement, ce principe soutient que les électrons et les photons existent sous la forme d’ondes, mais peuvent aussi se comporter comme des particules. En quelque sorte, ils sont à la fois des ondes et des particules.
De même, Dirk a dit que le champ mental est à la fois non matériel et en même temps une partie physique du cerveau. « L’espace de travail mental proposé est considéré comme immatériel, mais par rapport au cerveau individuel, il entretient une relation double onde/particule selon les principes de physiques quantiques. Il est directement dépendant de la physiologie du cerveau mais non réductible à celle-ci. »
L’esprit et le cerveau, selon Dirk, sont connectés. Ils sont unifiés, mais séparés. Un tel paradoxe apparent est caractéristique de la physique quantique.
L’esprit peut résider dans une autre dimension spatiale. Dirk émet l’hypothèse que le champ mental est dans une autre dimension: « Nous ne pouvons pas percevoir directement cet aspect informationnel d’une quatrième dimension spatiale … qui ne peut être observée dans notre monde 3D, mais qui peut être mathématiquement dérivée. »
Il a précisé que cette quatrième dimension spatiale n’est pas le temps (le temps est communément décrit comme la « quatrième dimension »). Il s’agit plutôt d’un concept d’espace-temps qui comprend quatre dimensions spatiales, plus le temps (une « structure espace-temps 4 + 1 »).
Il a cité des études qui ont suggéré que ce concept de dimensions pourrait réconcilier les pièces manquantes entre la physique traditionnelle et la physique quantique qui affligent les scientifiques d’aujourd’hui.
L’esprit existerait dans la quatrième dimension spatiale.
L’esprit pourrait être comme un trou noir.
Dirk envisage une sorte d’écran ou de frontière entre le monde extérieur et le champ mental individuel. Il compare cette limite à l’horizon des événements d’un trou noir.
« On suppose que l’information entrant dans un trou noir de l’extérieur n’est pas perdue, mais est plutôt projetée sur son écran extérieur, appelé l’horizon des événements », a écrit Dirk.
« La conscience est un mélange entre une singularité (trou noir) et l’espace dans le cerveau. L’horizon des événements sépare un modèle mental de réalité a usage interne dans chaque individu de tout ce qui existe en dehors de lui. Pourtant, il est connecté à une « matrice d’information universelle ».
Dirk a décrit par courrier électronique comment cette « frontière holographique dynamique » recueille des informations à l’intérieur du cerveau ainsi que des « champs d’information dans lesquels notre cerveau baigne en permanence. » Il a dit: « De cette manière, il est implicitement connecté à une matrice d’information universelle. »
La structure du champ mental hypothétique pourrait prendre la forme d’un tore.
La forme géométrique connue sous le nom de tore est bien adaptée à la nature et aux fonctions que Dirk attribue au domaine mental.
Un tore est décrit par le dictionnaire Larousse comme une « Surface engendrée par la révolution d’un cercle autour d’une droite, non diamétrale, de son plan ».
Dirk a présenté diverses raisons dans les théories de la physique de choisir cette forme pour son champ mental hypothétique. Une raison est liée à une théorie de la façon dont l’activité électrique oscille dans le cerveau.
Ces rythmes ont été comparés à des caractéristiques microscopiques de l’univers, telles que celles décrites par String Theory. Dirk les a décrits comme des « mouvements de tore multidimensionnels ».
La structure du tore se retrouve dans la physique du microscopique au macroscopique des trous noirs et de l’univers dans son ensemble, explique Dirk . Il pourrait être l’instrument de l’intégration dynamique de l’information dans l’esprit et le cerveau.
Dirk parle des implications plus larges pour la philosophie des relations esprit-matière.
Dirk a écrit : « Notre article, peut directement contribuer à une réponse à la fameuse question du scientifique cognitif et philosophe David Chalmers : comment quelque chose d’immatériel comme l’expérience subjective et la conscience de soi peuvent-ils surgir d’un cerveau matériel ? »
La capacité du champ mental à capter l’information d’autres domaines, telle que la conçoit Dirk, pourrait aussi expliquer certains phénomènes anormaux, tels que la perception extrasensorielle, a-t-il noté.
Selon lui, « la conscience peut être considérée comme la pierre angulaire la plus fondamentale de la nature et par conséquent est présente à tous les niveaux du tissu de la réalité. »
Depuis que la physique quantique a vu le jour, les scientifiques ont exploré sa capacité à expliquer la conscience. Le travail de Dirk s’inscrit dans cette exploration.
Une autre théorie appelée « réduction objective orchestrée », a été développée par le physicien Sir Roger Penrose et l’anesthésiste Dr Stuart Hameroff. Sur son site Web, Hameroff décrit la théorie : « … cela suggère que la conscience provient des vibrations quantiques dans les polymères protéiques appelés microtubules à l’intérieur des neurones du cerveau. »
Comme Dirk, Roger et Stuart ont dit qu’il existe un lien entre les processus biomoléculaires du cerveau et la structure de base de l’univers. Ils ont également appelé à un changement majeur dans la façon dont les scientifiques perçoivent la conscience.
Stuart a déclaré dans une interview avec le blog Singularity : « La plupart des scientifiques ne peuvent pas expliquer la conscience dans le cerveau, donc ils ne peuvent pas dire que la conscience hors du cerveau est impossible. »
Mise à jour : Le Dr Dirk Meijer a fourni à The Epoch Times une mise à jour de son article, précisant que le tunneling quantique et l’enchevêtrement ne sont pas les méthodes les plus probables de transfert d’information entre le champ mental et le cerveau. Il a été montré que ces deux phénomènes ne fournissent qu’une corrélation entre deux particules, pas nécessairement un transfert d’information (bien que cela puisse s’avérer le cas avec d’autres recherches).
La résonance d’onde quantique est un mécanisme plus probable de traitement de l’information extrêmement rapide dans le cerveau. Cela signifie qu’au lieu d’envoyer des signaux entre les neurones dans le cerveau, un modèle d’onde qui englobe tous les neurones, ainsi que le champ mental, transmet l’information instantanément.
Imaginez une onde de vibration qui monte et descend d’une manière cohérente et qui traverse tout votre cerveau et même à l’extérieur. Ce modèle communique des informations qui peuvent être comprises par les récepteurs vibratoires dans votre cerveau. Tout cela se passe dans une dimension et à un niveau microscopiques qui n’est pas directement perceptible à travers l’instrumentation scientifique conventionnelle à notre disposition aujourd’hui, mais qui peut être déduite à travers la modélisation physique et mathématique.
Des chercheurs révèlent l’existence d’une nouvelle espèce de dinosaure qui vivait dans la région de la Mongolie. De la même famille que les vélociraptors, les données physiologiques de l’animal interpellent les scientifiques. Un animal tellement extraordinaire que les experts pensaient au début qu’il s’agissait d’un faux.
Des pattes de vélociraptor, un cou de cygne et des ailes de pingouin : des chercheurs révèlent l’existence d’une nouvelle espèce de raptors « très très bizarre », aussi à l’aise sur terre que dans l’eau, une première pour un dinosaure.
« Il faut imaginer un mélange entre un vélociraptor, une autruche et un cygne avec un museau de crocodile et des ailes de pingouin », décrit Paul Tafforeau, paléontologue au Synchrotron européen de Grenoble (ESRF), coauteur de l’étude. « Il fait un peu extraterrestre », ajoute le chercheur.
Le surprenant petit prédateur, nommé « Halszka » pour Halszkaraptor escuilliei, vivait en Mongolie au Crétacé, il y a environ 72 millions d’années, selon une étude publiée mercredi dans Nature.
« Halszka » appartient à la famille des droméosaures, dont il partage la lignée avec le Vélociraptor, le prédateur effrayant des films Jurassic Park. Il en a la queue, mais dans une version plus courte, et les pattes arrière. « Des pattes de bipède capables de courir », précise le chercheur.
Il en a aussi hérité la fameuse « griffe tueuse », une griffe de la patte arrière très développée qui permet à tous les droméosaures d’égorger leurs proies.
Un animal aussi à l’aise sur l’eau que dans l’eau
Plus étrange : ce petit dinosaure d’un mètre vingt environ possédait aussi certaines caractéristiques de prédateurs aquatiques : des dents et un museau de crocodile et un très long cou ressemblant à celui du cygne.
Selon les chercheurs, l’animal, en embuscade, le repliait en S puis le projetait très rapidement, bouche ouverte, au passage des poissons. Source : .ouest-france
Claire Severac avait écrit un nouveau livre, avant son décès, intitulé "crime alimentaire organisé, leurs poisons vous entrainent à la mort" Ce livre est sorti le 6 décembre.Il sera uniquement disponible sur elieetmado
Nous avons fait aveuglement confiance à travers le temps aux industries agro-alimentaires dans l’idée qu’ils prendraient soin de notre santé. Hippocrate enseignait déjà dans les années 300 av JC que : « nous sommes ce que nous mangeons », ce qui laisse rêveur devant les chiffres des maladies du XXI siècle. A ce jour, mourons-nous de notre belle mort ou en grande partie de ce que nous ingérons ? De la graine à l’assiette, à combien de produits chimiques et de manipulation génétique les cultures sont-elles sujettes ? Alors sommes-nous obligés de manger cette soupe chimique sciemment préparée par le cartel agro-alimentaire pour nous diriger ensuite dans celui des laboratoires pharmaceutiques ? Claire attire notre attention sur ce qu’il nous faut éviter et ce qu’il est préférable de manger. Elle ne voulait pas croire que nos capacités à nous questionner soient à jamais détruites par cette chimie. Le changement des habitudes est à la portée de tous. Prenons du recul, déterrerons la vérité pour l’amour de nos enfants et de nos proches. Un esprit sain dans un corps sain n’a jamais été aussi vrai. D’aussi petite que je me souvienne, j’ai toujours admiré ma mère. C’était « une vieille âme » qui aimait inconditionnellement sa famille, ses amis et les gens.Sa personnalité, son être intérieur ne laissaient personne indifférent, elle ne laissait rien ni personne être un obstacle à ce qu’elle voulait accomplir.« Sang basque ne saurait mentir », passionnée et enflammée, honnête et fidèle, aimante avant tout, elle a commencé sa première enquête et n’a pas pu revenir en arrière.Comme beaucoup de lanceurs d’alertes, elle a choisi de ne pas se taire malgré les risques ; informer au péril de sa vie.Par ce dernier livre, nous voulons lui rendre hommage et remercier tous ses lecteurs, tous ceux qui l’ont suivi dans ses interviews et ses conférences. Comme on dit si bien en anglais « make it count! » : Faites en sorte que ce ne soit pas pour rien !
L'Antarctique n'a pas toujours été une terre de glace. Des scientifiques de l'université du Wisconsin à Milwaukee ont en effet découvert les vestiges d'une flore impressionnante en plein cœur du continent blanc. Des fossiles qui dateraient de plus de 280 millions d'années, comme le rapporte le site Live Science. Il y a 252 millions d'années, l'extinction Permien-Trias a bouleversé l'état de la planète. L'émission massive de gazs à effet de serre par les volcans a entraîné une augmentation brutale des températures, donc un changement des climats terrestres, et a considérablement acidifié les océans. Ainsi, plus de 95% des espèces présentes sur Terre à l'époque ont disparu.
Le paléoécologiste Erik Gulbranson et son équipe de chercheurs se sont donc rendus en Antarctique pour observer les effets de cette exctinction sur la nature des continents. Au cours de leurs explorations, ils ont fini par trouver les fossiles d'une forêt datant d'avant ce bouleversement.
Avant cette extinction, le genre de plantes dominant en Antarctique était les Glossopteris, explique Erik Gulbranson à Live Science. Éteinte depuis, cette espèce pouvait mesurer de 20 à 40 mètres de haut et était présente massivement dans l'hémisphère Sud. À cette époque, les forêts n'étaient donc pas très diversifiées en terme de faune, et chacune des espèces avait un rôle bien particulier à jouer dans la survie des autres. Le chercheur se demande donc pourquoi ces plantes robustes n'ont pas survécu à l'extinction.
Cette découverte est très importante, puisqu'il s'agit là d'un "moyen de voir l'avant, le pendant et l'après-extinction", explique Erik Gulbranson. Ces 13 restes d'arbres fossilisés pourraient donc permettre d'avoir une idée un peu plus précise des conséquences de l'extinction et de leur chronologie.
Erik Gulbranson et son équipe de chercheurs retourneront en Antarctique de la fin du mois de novembre à janvier 2018 pour continuer leurs travaux et "mieux comprendre comment les gaz à effet de serre et les changements climatiques ont pu affecter la vie sur Terre".
On a observé pour la première fois un astéroïde venu de l'extérieur du système solaire. Sa forme très allongée, comme un cigare, est aussi une curiosité
Le 19 octobre, le télescope Pan-STARRS installé à Hawaï a repéré un petit astre se mouvant particulièrement vite dans le ciel noir. On l’a d’abord pris pour une comète, mais après une observation attentive lorsqu’il a contourné le Soleil, il s’est avéré qu’il ne dégageait pas de gaz – c’était donc un «bête» astéroïde, un gros rocher long de 400 mètres.
A gauche, première observation d'Oumuamua par Pan-STARRS1 le 19 octobre 2017 (au centre du cercle rouge). A droite, image de l'Observatoire Canada-France-Hawaï ne montrant aucune trace de coma (l'enveloppe nébuleuse qui entoure les comètes).A gauche, première observation d’Oumuamua par Pan-STARRS1 (au centre du cercle). A droite, image de l’Observatoire Canada-France-Hawaï ne montrant aucune trace de coma (l’enveloppe nébuleuse qui entoure les comètes) et permettant de conclure qu’il s’agit d’un astéroïde. (Karen Meech et al., 2017)
Mais l’étude de sa trajectoire a révélé une belle surprise, raconte l’Observatoire européen austral (ESO) : «Les calculs d’orbite ont révélé, sans aucun doute possible, que ce corps ne venait pas du système solaire, comme tous les autres astéroïdes et comètes observés jusqu’ici.» Les astéroïdes que l’on a l’habitude d’observer viennent parfois de la ceinture d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, parfois de l’orbite même de Jupiter, ou bien encore de la ceinture de Kuiper, tout là-bas derrière Neptune… Mais 1I/2017 U1 (c’est son petit numéro d’identité), au contraire, «provenait du milieu interstellaire», c’est-à-dire le vide entre les différents systèmes planétaires et étoiles qui peuplent la Voie lactée.
Les astronomes l’ont baptisé Oumuamua – un nom hawaïen qui suggère que «l’objet est comme un messager venu du passé lointain pour nous rencontrer», explique l’Union astronomique internationale, qui valide les noms d’astres. Car «"ou" veut dire "rencontrer, entrer en contact", et "mua", syllabe doublée pour l’emphase, signifie "à l’avance".»
Et ce n’est pas tout. Les astronomes hawaïens ont noté que l’astéroïde tournait sur lui-même en 7,3 heures, et que sa luminosité variait d’un facteur dix. «Cette variation inhabituelle signifie que l’objet est très allongé, environ dix fois plus long que large, avec une forme complexe, alambiquée», décrypte Karen Meech, qui dirige l’équipe. Et «il est d’un rouge sombre, comme les objets venant des confins du système solaire».
Les résultats de l’observation ont été publiés dans une lettre de la revue Nature, et un artiste a tenté de tirer un portrait d’Oumuamua en plein mouvement, visible dans la vidéo ci-dessus.
Selon l’ESO, il doit passer près du Soleil un astéroïde interstellaire par an, mais ils sont trop faiblement lumineux pour qu’on les ait repérés avant aujourd’hui. Grâce à la nouvelle génération de télescopes, on en verra sans doute davantage. Alors qu’ils tentent toujours d’observer Oumuamua qui s’éloigne à toute allure, pour calculer d’où il vient et où il se dirige exactement dans la galaxie, les astronomes d’Hawaï pensent déjà au prochain caillou vagabond qu’ils surprendront dans notre voisinage. Source : liberation
Un groupe de recherches de hauts-fonctionnaires et scientifiques
L'ancien leader du groupe Blink-182, Tom DeLonge, a révélé de manière sensationnelle qu’une équipe d’anciens initiés du ministère américain de la Défense et de la CIA avec qui il travaille tenterait secrètement d’essayer de prouver que des extraterrestres ont visité la terre.
Les ufologues du monde entier ont été stupéfaits par cette nouvelle qu'ils qualifient comme "sans précédent".
Alejandro Rojas, responsable du média ufologique américain OpenMindsTV, a déclaré : « Une équipe comme celle-ci qui se réunit pour trouver des réponses à la question des ovnis demeure sans précédent et leurs commentaires montrent qu'ils sont sérieux ».
« Quelque chose d'extraordinaire est sur le point d'être révélé », écrit Leslie Kean dans le Huffington Post.
« Des anciens hauts fonctionnaires et scientifiques très expérimentés, toujours restés dans l'ombre, ont décidé de se mettre en lumière. »
« L'équipe comprend un vétéran, directeur des opérations de l'ICA, un directeur du programme Lockheed Martin, un ancien sous-secrétaire adjoint à la Défense et du renseignement ; un haut responsable du renseignement du Département de la Défense ayant dirigé un programme d'identification des menaces au Pentagone et axé sur les technologies aériennes non identifiées. »
M. DeLonge a révélé à l'équipe, lors d'un événement filmé en direct dans le cadre du lancement de sa nouvelle organisation, qu’ils font tous partie de la "Stars Academy of Arts and Science".
L'équipe affirme qu'elle « fera progresser la recherche sur les phénomènes inexpliqués ».
DeLonge a déclaré dés le lancement : « C'est pourquoi je suis ici, c'est pourquoi ils sont là, nous allons apporter nos connaissances au monde ».
L'organisme est financé par les citoyens pour leurs recherches et a déjà amassé plus de 300.000 $ de la part de sympathisants, selon son site Web.
Chris Mellon, qui a servi en tant que sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement pour deux administrations, fait aussi partie de cette organisation.
« Cette équipe possède les compétences nécessaires pour traiter des informations dont d'autres se détournent. L’objectif est de les mettre à profit de la nation et du monde ».
Jim Semivan aurait servi pendant 25 ans à la CIA et faisait partie du service clandestin de la CIA.
Il est le vice-président des opérations de Stars Academy.
Il a déclaré : « À l'âge de 65 ans, il me semble qu'il est temps que je fasse ce que je peux pour découvrir ce qui se cache derrière ce mystère, c'est la grande question, qu'est-ce que tout cela veut dire et quelle est la part de réalité ? »
« Il me reste peut-être 15 ans à vivre, et c'est ce que je veux faire. Quand j'ai eu un contact avec Tom, j'ai découvert qu'il ressentait la même chose. »
« La nature est incroyablement grande et cette sorte d'exploration nous permet d'atteindre et de toucher le divin. Je veux m'approcher et le comprendre. C'est une quête.
En Egypte, une gigantesque cavité de plus de 30 mètres de long a été détectée et confirmée de manière irréfutable au cœur de la pyramide de Kheops par la mission ScanPyramids. Une découverte publiée ce 2 novembre 2017 dans la revue Nature.C'est la plus grande découverte réalisée dans Kheops depuis le Moyen Age !", s'exclame Mehdi Tayoubi. Et nous sommes loin d'un effet d'annonce. Dans un article publié par la revue Nature ce jeudi 2 novembre 2017, la mission internationale ScanPyramids, dont il est le co-directeur, annonce en effet la détection d'une gigantesque cavité au cœur de la pyramide de Kheops. Située juste au–dessus de la grande galerie, entre 60 et 70 mètres de hauteur, elle affiche une section et une taille comparables à cette majestueuse structure architecturale, avec 30 mètres de long minimum.
ScanPyramids a été lancée en 2015 par l'Institut HIP et l'Université du Caire. Son objectif : sonder de manière non destructive les grands monuments funéraires de la 4e dynastie. Ceci notamment grâce à une technologie de pointe, la muographie, qui permet de " radiographier " les monuments à l'aide de particules cosmiques. Cette approche a déjà abouti à deux découvertes en 2016. Une cavité d'environ 9 m2 située sur l'arête nord-est de la pyramide, repérée par des télescopes déployés à l'extérieur par le CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives). Et une autre, située derrière les chevrons monumentaux visibles sur la face Nord de la pyramide, " photographiée " depuis l'intérieur par des films enduits d'une émulsion chimique mis au point par l'équipe du professeur Morishima de l'université de Nagoya (Japon).
Ces résultats encourageants ont convaincu ScanPyramids de déployer plus largement ses dispositifs. Et c'est à nouveau grâce aux plaques à émulsion des Japonais qu'a été visualisé l'énorme vide baptisé ScanPyramids Big Void (SP-BV). Les plaques ont été positionnées dans la chambre dite de la Reine, à la fois sur le sol et dans une niche au fond de la pièce, de manière à " observer " sous deux angles le massif de pierres au-dessus d'elles. Exposés aux muons durant plusieurs campagnes successives de 49 à 74 jours, les films ont ensuite été développés et analysés à l'université de Nagoya. Est alors apparue sur les écrans des scientifiques une image stupéfiante : une ligne matérialisant un excès de muons quasiment identique à celle qui signale la grande galerie. Nous avions déjà aperçu ce vide lors de tests menés courant 2016, confie Mehdi Tayoubi. Mais il semblait tellement énorme que nous voulions le vérifier grâce à d'avantage de données". Le résultat a dépassé leurs attentes ! Les plaques japonaises ont “vu” SP-BV avec un taux de certitude supérieur à 5 sigma. Autrement dit, la probabilité que les observations soient dues au hasard est de 1 sur 3,5 millions. Ce qui correspond au standard des découvertes en physique des particules. découvertes en physique des particules.
L'équipe, pourtant, veut aller plus loin. Un deuxième dispositif est mis en œuvre : le scintillateur à muons du KEK (High Energy Accelerator Research Organization), équivalent japonais du CEA, positionné dans la chambre dite de la Reine durant plus de 200 jours. Nouvelle confirmation à 5 sigma ! Mais les points de vue d'observation à l'intérieur de la pyramide sont trop limités pour réaliser une triangulation précise. "C'est alors que nous avons fait un pari, raconte Mehdi Tayoubi. Le CEA disposait toujours de 2 télescopes sur le terrain, déployés en direction des arêtes. Il leur restait seulement deux mois d'autonomie en gaz. Nous nous sommes dit que si le vide que nous avions observé était si important qu'il le semblait, ils pourraient le voir depuis l'extérieur."
Publié aux Etats-Unis en 1999, "Passeport pour le cosmos" est le second livre de John Mack, professeur de psychiatre à la faculté de médecine de Havard décédé en 2004, sur le thème des abductions alien – ces controversés "Enlèvements extraterrestres", appellation réductrice comme on le verra. Il y partage le fruit de dix ans de recherche et de réflexion au contact de deux cents témoins, aux expériences bouleversantes et cependant inexplicables à l'aune des connaissances scientifiques actuelles. Son livre précédent, Abduction (1994), fut un best-seller et un livre essentiel dans la recherche sur les OVNI et les rencontres (très) rapprochées. Il faisait entrer ce sujet sulfureux dans de prestigieux cercles académiques (Harvard, MIT). Les "expérienceurs" sont ces individus de tous âges, professions, cultures (ce dernier point s'avérera essentiel), aux récits abracadabrants mais terriblement similaires et cohérents : entraînés par des créatures humanoïdes en quelque "lieu" étrange où une forme de communication prend place – dont un message écologique qui, aujourd'hui, demeure, on ne peut plus pertinent. D'abord sceptique, Mack accueillit ces témoignages avec une grande ouverture d'esprit mais aussi de coeur, pour découvrir que ces personnes ne souffraient d'aucune pathologie mentale, et qu'au-delà de la dimension littérale et physique des récits, existe une dimension symbolique, métaphorique et spirituelle, dont la lecture semble à Mack bien plus intéressante pour tenter de comprendre le phénomène.
Vingt ans d'enquêtes parmi les tribus indiennes d'Amérique sur leurs rencontres avec des extraterrestres
Selon les partisans de la théorie des anciens astronautes, des extraterrestres ont secrètement voyagé sur Terre pendant des milliers d'années. Ce livre de la chercheuse américain Ardy Sixkiller Clarke recueille une sélection de témoignages directs de contacts avec des extraterrestres par des amérindiens résidant sur les réserves américaines. Les récits choisis sont tirés de plus de vingt années d enquêtes de terrain et de déplacements de l auteur sur les territoires des réserves, aux quatre coins des Etats-Unis et du Canada, en marge de ses activités pour l Université d Etat du Montana. Ardy Sixkiller est retraitée, et vit avec son époux, Sioux Lakota, et ses deux chats, au c ur des Montagnes Rocheuses, au Montana.
La découverte de dents âgées de 9,7 millions d'années a laissé les archéologues allemands pantois, car elles semblent appartenir à une espèce qui est apparue sur notre planète plusieurs millions d'années plus tard.
Un groupe d'archéologues allemands a découvert dans l'ancien lit du Rhin des dents âgées de 9,7 millions d'années. Elles appartiendraient à un australopithecus afarensis, dont la dépouille n'avait jamais été découverte auparavant en Europe, annonce la Deutsche Welle.
Le chef du groupe d'archéologues, Herbert Lutz, a déclaré que la découverte avait été faite il y a un an, mais que les chercheurs ne pouvaient l'annoncer qu'après avoir obtenu une confirmation de l'âge. Ce sont les restes d'une espèce disparue d'équidé retrouvés près des dents en question qui ont aidé les chercheurs à déterminer leur âge.
Des Vikings musulmans? Découverte stupéfiante d’archéologues suédois
Les chercheurs soulignent qu'auparavant, aucuns restes de cette espèce d'Hominidé n'avaient été retrouvés en Europe et en Asie. L'australopithecus afansis le plus connu est Lucy, dont les restes ont été découverts en Ethiopie. Lucy est cadette de 4 millions d'ans de cette nouvelle découverte.
«Il s'agit d'un énorme succès, mais aussi d'une grande énigme», a déclaré Lutz au sujet de cette nouvelle. Selon lui, après avoir été étudiées, les dents seront remises au musée d'histoire naturelle de la ville de Mainz.
Des archéologues sous-marins font appel à des intuitifs pour réaliser leurs fouilles et l'étude des objets trouvés (artefacts) en Méditerranée.
A quelque jours de la "Journée de l'intuition", Alexis Champion, fondateur et directeur d'Iris Intuition à Paris, nous explique comment les facultés de perception se mettent au service de ces spécialistes. Paris Match. Des archéologues sous-marins ont sollicité votre organisme* pour les aider à mener leurs recherches. Qu’attendaient ces spécialistes des civilisations anciennes des capacités intuitives? Alexis Champion. Basés près de Nice, les archéologues et plongeurs d’Anao font chaque année des fouilles en Méditerranée. Leur association est mandatée par le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) pour réaliser ces prospections. Pour eux, il s’agissait d’utiliser cet outil pour valider ou invalider leurs hypothèses de travail, et surtout générer des pistes auxquelles ils n’avaient pas encore pensé. "Aidez-nous à trouver plus rapidement ; à découvrir de nouveaux objets", telle était leur demande. Nous les aidons dans l’étude des artefacts trouvés et dans la recherche de nouveaux objets. Nous avons commencé par nous "apprivoiser" à travers l’étude d’un petit cruchon qu’ils possédaient déjà et sur lequel nous ne savions rien. Ils présupposaient que l’artefact était assez ancien. "Racontez-nous la vie de l’objet." Nous l'avons décrit, précisé son époque, son lieu de fabrication, ses utilisations… Les données intuitives que nous leur avons fournies les ont tellement intéressés que nous avons tous décidé d’aller plus loin. Ca a été tellement percutant pour eux que le musée de Menton où se trouve le cruchon est devenu partenaire du projet.
Comment définit-on l’intuition ? C’est la capacité à produire une connaissance, soit par le ressenti soit par la pensée, sans utiliser le raisonnement, sans faire de lien logique entre quoi que ce soit. Sans déduire, notamment. C’est la perception d’une information. L'intuition est toujours plus rapide que le raisonnement.
“ L'histoire de l'archéologie intuitive a près d'un siècle! ”
Existe-t-il des travaux précurseurs en archéologie intuitive ? L’archéologie est probablement le domaine où l’intuition a été utilisée le plus tôt, à l’époque moderne. Des travaux ont démarré dès les années 30 en France et en Pologne, puis dans les années 60, 70 aux Etats-Unis, au Canada… L’intuition au service de l’archéologie a une histoire de près d’un siècle ! Les publications existent en Europe et en Amérique du Nord. Notre méthode de travail se base sur ces protocoles auxquels nous avons apporté des améliorations grâce aux outils informatiques d’analyse des données.
Vous avez poursuivi ce partenariat avec les archéologues en les aidant à localiser des zones de fouilles… Comment procédiez-vous ? Les archéologues souhaitaient retrouver certains types d’objets (une épave de telle époque, une arme…) sur une zone qu’ils avaient définie, susceptible de les contenir. Les intuitifs travaillent complètement en aveugle. Moins on en sait mieux c’est, cela évite les interprétations. En l’occurrence, nous ne savions pas si les objets recherchés se situaient sur le périmètre défini par les archéologues et nous ne connaissions rien de la zone. Nous savions juste qu’elle était rectangulaire. Nous pouvions ainsi la représenter sur une feuille blanche et positionner les objets perçus intuitivement. Ensuite, les archéologues ont utilisé la feuille comme un calque à rapporter sur leur carte.
En amont de leurs fouilles, quel genre d’informations leur transmettez-vous? Nous décrivons les objets recherchés. Nous indiquons des repères (environnement, roches, algues…) sur lesquels les archéologues peuvent se baser quand ils sont en surface pour savoir où plonger, et quand ils sont sous l’eau, afin de localiser la zone où se situe l’artefact. Ils ont déjà pu valider des informations que nous leur avons données. Maintenant c'est à eux de palmer et de faire la prospection détaillée. Nous referons quelques sessions intuitives pour leur donner des informations complémentaires. C'est un projet qui va s'étirer sur deux ou trois ans car nous avons fourni des centaines de pages de données et que la zone est assez grande.
Vous couronnez le mélange des genres alors qu'un des membres de votre équipe d'intuitifs accompagne les plongeurs lors de l'exploration… Oui et c’est une première mondiale! Nous avons la chance énorme de compter parmi nous, Marie-Estelle Couval, intuitive, plonge avec les archéologues d'Anao. Comme les autres intuitifs, elle fait en amont le travail de recherche intuitive en bureau et, au moment de la prospection, elle accompagne les archéologues d'Anao. Pour nous, le principal intérêt du projet est cette véritable montée en compétence dans le domaine de l'intuition. Comment fait-on dans un milieu aqueux pour gérer le ressenti corporel intuitif? C’est très complexe car le milieu sous-marin est très hostile, notamment pour l’intuition. Personne ne l’avait jamais fait. Nous n’en sommes qu’au début, mais nous avons déjà obtenu des résultats intéressants. Qu'entendez-vous par ressenti corporel intuitif ? Comment le corps traduit-il une intuition? Naturellement, ça se produit de façon assez commune chez tout le monde, avec toutefois des variantes selon les individus. C'est comme pour le langage : on sait tous parler mais chacun s’exprime avec son propre style. Le corps va "parler" pour exprimer les perceptions intuitives : une sensation de chaleur dans la main, des picotements, un mouvement réflexe… A l’air libre, ce n’est pas toujours évident de prendre conscience, par exemple, de picotements dans la main à tel moment et pas à un autre… Mais dans l'eau, c'est un défi! Surtout au mois de novembre et avec des vagues…
“ Nous faisons gagner du temps aux archéologues ”
Quelle est la prochaine étape de votre collaboration avec les plongeurs et archéologues? En octobre, ils vont procéder à une découpe du sol sous-marin pour fouiller en profondeur. L’idée est de creuser le plus profondément possible sur une zone définie et d’étudier les différentes strates (sédimentation, artefacts…). Nous interviendrons en amont. Par la pensée, nous allons nous enfoncer dans la zone et décrire les différentes strates (artefacts, types de matière). Nous pourrons ressentir par exemple, si la zone à creuser contient des sédiments et/ou des restes d’objets. Le fait de percevoir des artefacts peut leur être utile quand ils les trouvent en mauvais état. Si nous percevons par exemple qu'il s'agit de vestiges d'un bateau génois, cela peut leur faire gagner du temps quand ils tomberont dessus. Ils peuvent déjà faire l'analyse de cette hypothèse avant d'en avoir la confirmation.
Vous intervenez en amont et à distance. L'intuition ne connaît pas les frontières de l'espace et du temps? Si l'on se base sur les décennies de recherches sur le sujet, que ce soit en laboratoire ou dans la pratique, rien n'indique aujourd'hui que notre capacité de percevoir intuitivement puisse être bloquée par les paramètres de temps et d'espace, ou par un obstacle matériel. Par exemple, le fait qu'un artefact soit enfoui dans le sol n'altère en rien notre capacité à le percevoir. Depuis un siècle, la physique théorique nous apprend que l'univers est par nature non-local. Le temps et l'espace n'existent pas fondamentalement. L’univers fonctionnant comme ça, l’être humain aussi puisqu’il en fait partie. Notre capacité de conscience, une partie de qui nous sommes, n'est pas attachée à un espace et un temps donné.
Des scientifiques viennent de réaliser le tout premier appel vidéo international encrypté de manière quantiqueLe président Chunli Bai de l’Académie chinoise des sciences à Pékin, a eu une réunion intéressante avec le président Anton Zeilinger, de l’Académie autrichienne des sciences, à Vienne. Bien que séparés par quelques 7400 kilomètres, ils étaient certains qu’aucun invité intrusif ne puisse accéder à leur conversation, grâce au « simple » fait que leur visioconférence était encryptée de façon quantique.
Il y a de cela quelques mois seulement, la Chine réalisait un énorme pas en avant dans le domaine de la communication quantique, en utilisant un satellite appelé Micius pour transmettre des photons enchevêtrés sur une distance record.
De toute évidence, les chercheurs de l’Académie des sciences ont été très occupés ces derniers mois à adapter ce test à quelque chose de plus pratique, permettant de transmettre et de décrypter des données quantiques chiffrées, sous la forme d’une visioconférence. Un moment historique : « L’échange d’informations chiffrées quantiques sur les distances intercontinentales confirme le potentiel des technologies de communication quantique, issues de la recherche fondamentale », a déclaré Zeilinger. « C’est une étape très importante, pour se diriger vers un Internet quantique mondial et sécurisé », a-t-il ajouté.
Nous ne sommes pas entièrement certains de ce qui a été dit lors de l’appel vidéo, pour la simple et bonne raison que nous n’y avons pas été invités. De toute manière, même si qui que ce soit avait essayé de « pirater » la conversation, l’encryptage quantique aurait rendu la tâche impossible à réaliser.
De ce fait, nous ne pouvons que supposer ce qui a été dit, peut-être que les présidents ont discuté en détails de la manière dont la physique quantique peut révolutionner le monde ? Peut-être qu’ils ont discuté du satellite Micius, qui orbite à quelques 500 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre, et de comment il permet d’envoyer un flux de photons jusqu’aux stations terrestres située en Chine et en Europe ? Possible…
En effet, les photons de ce flux vidéo étaient polarisés, ce qui les faisait agir comme un code binaire (une suite de 1 et de 0). En d’autres termes, ces véritables codes de photons (aléatoires et enchevêtrés) agissaient comme des clés uniques, qui étaient utilisées pour sécuriser les données transmises par chaque côté.
Selon les règles de la mécanique quantique, les particules existent dans un état flou de probabilités. Une particule ne devient « réelle » que lorsqu’elle fait partie de la chaîne d’outils que nous utilisons pour mesurer les particules (et cela inclut notre propre cerveau).
Les stations réceptrices (en Europe et en Chine) pourraient donc chacune observer leur « clé » de photons (avec des 1 et des 0) et dans le processus, les voir se transformer en une clé probable à partir de n’importe quelle combinaison existante. Et en même temps, la séquence du satellite Micius devenait elle-même une véritable clé. Si les clés correspondaient, chaque « côté » pouvait alors affirmer que personne d’autre n’avait accès à l’appel (ce qui était le cas).
Si un récepteur externe avait saisi l’un de ces photons « descendant » du satellite Micius et en lisait le code, puis le remplaçait, alors la nouvelle clé ne correspondrait pas à celle originellement envoyée par Micius, et les scientifiques se rendraient donc compte que les données ne seraient plus sécurisées.
Il y aura sans doute d’autres appels de ce type à l’avenir, que nous pourrons analyser davantage. Pour l’instant, la communication quantique se limite à générer de telles clés, sans transmettre de grandes quantités de données. Mais de nouvelles recherches émergent, afin de trouver et mettre en place de meilleurs moyens de transmettre un plus grand volume de données via des flux de communication quantique, en utilisant plus que de simples états binaires.
Dans tous les cas, la communication quantique est à présent une réalité et ce, grâce à plus d’un siècle de perspicacité dans le domaine de cette application formidable. Et nous sommes certains qu’il ne s’agit que du début !