• Les déchets de l'espace

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  •  La pyramide du Kazakhstan

    Des archéologues ont mis au jour un mystérieux mausolée millénaire, recueillant des ossements humains et divers objets plus ou moins identifiés. Il s'agit d'une trouvaille majeure pour un pays qui recèle encore de nombreux trésors antiques.

    À plus de 6000 kilomètres du plateau égyptien de Gizeh et de ces célèbres pyramides, dans la région de Karaganda en plein centre du Kazakhstan, une équipe archéologique a mis au jour les vestiges d'un mausolée antique.

    Selon les chercheurs Igor Kukushkin et Viktor Novozhenov, à la tête de l'équipe envoyé par le Saryarka Archaeological Institute de la Karaganda State University, le bâtiment aurait été érigé il y a plus de 3000 ou 3500 ans. La structure de l'édifice, constitué de cinq murs montant graduellement vers le centre du socle, indique clairement la forme de la pyramide.

    Sosie du complexe de Djéser

    Rapidement, les spécialistes y ont vu le sosie du complexe funéraire de Djéser, en Égypte. Ce tombeau du pharaon éponyme est aujourd'hui considéré comme la plus vieille pyramide du monde, ayant été construite près de 2600 ans avant notre ère.
    La pyramide de Karaganda fut donc - d'après les premières datations - conçue bien après le site de Djéser, et dans des mesures beaucoup moins imposantes. Le mausolée mesure 2 mètres de haut, et est long de 14 sur 15 mètres; quand l'architecture de Djéser est haute de 62 mètres pour un socle de 121 sur 109 mètres.
    Viktor Novozhenov précise que la pyramide a été construite de «pierre, de terre, et fut fortifiée par des dalles sur la façade extérieure». Quant à l'infrastructure interne, les fouilles du site ont révélé une chambre funéraire destinée à un chef d'une tribu locale, au sommet de l'édifice; alors que les quartiers inférieurs étaient réservés à la famille du patriarche.

    Si la chambre du défunt semble avoir été pillée, les tombes exhumées ont dégagé des restes humains, différentes poteries, quelques objets de bronze comme un couteau, des pointes de flèche ou des aiguilles, ainsi que d'autres objets non identifiés. Ces découvertes feront l'effet d'une datation plus précise et d'analyses poussées.

    Source : .lefigaro.

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  • Les Waoranis, peuple amazonien

    Un photographe britannique est parti à la rencontre des Waorani, une tribu qui évolue dans la forêt amazonienne en Équateur où elle survit en montant aux arbres et en chassant des singes. Une rencontre dont il a ramené des clichés époustouflants. Avec ses 550 millions d'hectares, la forêt amazonienne est le plus grand réservoir de biodiversité au monde. Elle représente l'habitat de milliers d'espèces différentes, animal comme végétal, mais aussi de tribus qui parviennent encore à vivre à l'écart de la civilisation. C'est le cas des Waorani qui évolue dans la partie équatorienne de l'Amazonie. Selon les estimations, cette tribu compte au moins 2.000 individus divisés en plusieurs communautés et c'est à la rencontre de l'une d'elles qu'est parti le photographe britannique Pete Oxford. "L'une de mes plus grandes joies est de passer du temps avec des personnes qui ne me ressemblent pas", a expliqué l'homme au Daily Mail. En plongeant au cœur de la vie d'une tribu indienne, il n'a pas été déçu.Une technique de chasse bien rodée Les Waorani chassent en utilisant de longues sarbacanes et des lances. Leur principal repas ? Des singes, particulièrement fréquents dans la forêt. Pour les atteindre, les Indiens doivent ainsi grimper aux arbres ou sur de fines lianes jusqu'à pouvoir décocher leurs fléchettes empoisonnées au curare le plus souvent. Malgré le poids imposant de leurs armes et la vivacité de leurs proies, les Waorani ont une technique bien rodée qui leur permet de capturer de nombreux singes comme a pu le constater Pete Oxford. Mais ils se nourrissent également de pécaris, de toucans ainsi que de plantes et d'herbes cueillies par les femmes de la tribu. "Les Indiens Waorani sont un peuple de la forêt très en accord avec leur environnement", a commenté le photographe. D'ailleurs, s'ils chassent parfois le toucan, l'oiseau sert plus souvent d'animal de compagnie pour la tribu. Celle-ci s'interdit en outre de chasser certains animaux comme les cerfs et des prédateurs carnivores comme le jaguar ou l'aigle. Adaptés à leur mode de vie Les Waorani ne sont pas très grands. En revanche, ils ont un corps solide et robuste qui a su s'adapter à leur mode de vie. Pete Oxford a pu observer notamment que certains possédaient des pieds très plats voire dotés de... six orteils. Un phénomène non seulement dû à leur habitude de grimper dans les arbres mais favorisé aussi par leur faible population.Avec seulement quelques milliers d'individus, il est en effet fréquent qu'un homme ait des enfants avec une femme apparentée, ce qui favorise la diffusion de caractéristiques génétiques normalement récessives. Outre la chasse, le photographe a également pu observer les Waorani confectionner des bijoux ou d'autres objets à base d'os, de bois et de plumes. "Je suis tout à fait conscient que lorsque je visite une tribu "étrangère", c'est moi et non eux qui sont étrangers", a noté Pete Oxford. Pourtant, "j'étais accepté et tout ce qui était à eux, ils le partageaient avec moi". Territoire menacéLes Waorani sont l'une des tribus les plus connues d'Amazonie. Notamment parce qu'ils ont dû mené durant de nombreux années un véritable combat pour défendre leur territoire et maintenir leur indépendance. En 1990, le gouvernement équatorien a mis en place la réserve ethnique Waorani de 700.000 hectares au sein du Parc national Yasuni. Ceci n'a toutefois pas empêché la région de susciter les convoitises des compagnies pétrolières qui ont construit plusieurs pipelines à travers le territoire indigène. Des installations qui ont eu des conséquences dramatiques tant au niveau culturel qu'environnemental. "Aujourd'hui, les Waorani font face à un changement radical de leur culture du fait de la proximité de l'exploration pétrolière au sein de leur territoire", a précisé Pete Oxford. Face aux pressions, certaines communautés se sont en effet sédentarisées quand d'autres ont réussi à rester plus ou moins isolées. Une situation loin d'être stable et qui génère même des conflits entre les différents groupes de Waorani. "Au cours de ma vie, le monde a connu une diminution massive des cultures mondiales et de la connaissance indigène", a relevé le photographe."Nous sommes tous homogénéisés sur la même chose. Pour moi, c'est bouleversant et je cherche à documenter le plus de cultures anciennes possible pour la postérité", a-t-il conclu.

    Source : maxisciences.

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  • LES PLUS BEAUX ARBRES

    Lien

    Japon - Glycines

    Un érable Japonais

    Arbres à mangues sous l'eau

     VOIR AUSSI LA PAGE des arbres les plus vieux du monde

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  • Une femme VIKING !

    Des spécialistes ont mené de nouvelles analyses sur le squelette d'un guerrier Viking découvert au XIXe siècle en Suède. Verdict : le guerrier ne serait pas un homme comme on le pense depuis le début mais une femme. Une découverte qui pourrait confirmer les légendes sur le rôle des femmes dans les bataillons Vikings. Quelque part entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe, dans la ville de Birka en Suède, un archéologue du nom d’Hajlmar Stolpe a fait une remarquable découverte : il a mis au jour la tombe d’un véritable guerrier Viking. Une épée, une lance, une hache, deux chevaux et quelques pièces de jeux, le défunt était accompagné de l’attirail du parfait combattant. Le guerrier de la tombe Bj 581 a ainsi supposément été identifié comme un acteur important dans l’environnement militaire du peuple de "pirates scandinaves". Pourtant, le squelette qui remonterait au Xe siècle n'avait visiblement pas révélé tous ses secrets. Contrairement à ce qu'on pense depuis le début, celui-ni n'appartiendrait pas à un homme mais à une femme !Deux chromosomes X mais pas de Y Découverts pour la première fois aux alentours de 1880, le squelette et la tombe ont fait l’objet de récentes analyses. C’est Anna Kjellström, une ostéologue de l’Université de Stockholm, qui a lancé le débat : après avoir mené de nouvelles observations, cette spécialiste a suggéré que les traits morphologiques, notamment les os des joues ainsi que des hanches, ressemblaient davantage à ceux d’une femme que ceux d'un homme. Partant de ce constat, de nouvelles recherches ont dont été lancées sur le squelette. En plus de l’observation très précise des os trouvés, des analyses ADN ont été effectuées. Ce sont elles qu ont permis d'apporter une réponse définitive aux interrogations. La personne qui se trouvait dans cette tombe possédait deux chromosomes X mais pas de chromosome Y, ce qui confirme qu’il s’agit donc bien d’une femme et non d’un homme. "C'est en réalité une femme, d’une trentaine d’années, relativement grande, mesurant environ 1,70 mètre", a commenté Charlotte Hedenstierna-Jonson, archéologue de l’université d’Uppsala et co-auteur de l’étude, publiée dans la revue American Journal of Physical Anthropology. Une découverte aussi surprenante qu'édifiante qui bouscule les théories et les connaissances acquises jusqu’à maintenant sur les Vikings. Pas une Valkyrie mais bien une femme en officier de haut rang Si les légendes scandinaves et la fiction n'hésitent pas à évoquer l'existence de guerrières Vikings, parmi les spécialistes, le doute perdure. "Cette image d’un guerrier mâle dans une société patriarcale a été renforcée par des traditions de recherches et des préconçus contemporains. De ce fait, le sexe biologique de l’individu [de la tombe] a été pris pour acquis", ont indiqué les chercheurs à l'origine de l’étude .Mais les découvertes ne s'arrêtent pas là. En plus de confirmer le sexe du squelette, les chercheurs ont tenté d’établir son rôle au sein de la société. L’ensemble d'objets retrouvé suggère que la personne en question élaborait des tactiques et des stratégies, autrement dit, que cette femme aurait bien pu se monter au statut d’officier de haut rang et, ainsi, mener des troupes entières au combat. "C'est la première confirmation formelle et génétique d'une femme guerrière Viking", a souligné le Professeur Mattias Jakobsson, du département de biologie organique de l'Université d’Uppsala en Suède. "Ce que nous avons étudié n'était pas une Valkyrie (Ndlr : des divinités guerrières retrouvées dans la mythologie nordique) des sagas, mais un chef militaire de la vie réelle, qui était une femme", a ajouté Charlotte Hedenstierna-Jonson.Le plus grand sanctuaire de Scandinavie Le fait que les vestiges aient été retrouvés à Birka semble s’inscrire dans une sorte de suite logique à laquelle l’Histoire se serait accrochée. La vieille ville suédoise, située à quelque 30 kilomètres de Stockholm, aurait constitué un important comptoir commercial du temps des Vikings. Ainsi, la ville pouvait servir de point de départ pour des opérations militaires en direction de l’Europe. Véritable cimetière, près de 3.000 tombes ont été exhumées par les spécialistes du XIXe au XXe siècle, ce qui fait de la zone le plus grand sanctuaire de Scandinavie. Pour autant, si cette preuve semble constituer une avancée majeure quant aux connaissances historiques et à l’évolution du peuple Viking, les auteurs de l’étude ont tout de même émis quelques réserves."Les résultats de cette étude incitent à la prudence quant aux généralisations qui peuvent être énoncées vis-à-vis des ordres sociaux dans les sociétés anciennes", ont-ils relevé. D’autres preuves restent donc encore à apporter pour pouvoir confirmer le rôle des femmes au sein des raids Vikings.

    Source : maxisciences

     

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  • Des formes de vie en Antarctique

    Des formes de vies mystérieuses retrouvées dans des grottes chaudes creusées dans la glace par les volcans en Antarctique ? Non, il ne s’agit pas d’un film de science-fiction, mais bien d’une découverte scientifique inédite. Selon des chercheurs australiens, ces grottes mystérieuses abriteraient des écosystèmes complexes, dans lesquels vivraient des espèces animales et végétales encore inconnues.Des chercheurs de l’Université nationale australienne ont effectué des recherches autour du mont Erebus, un volcan actif de l’île de Ross, située au coeur de l’Atlantique. Les conclusions de l’étude, parues dans la revue Polar Biology, révèlent que ce volcan est à l’origine d’un système de grottes chaudes contenues à l’intérieur même des glaciers. Résultat : les analyses des échantillons de sol ont révélé différentes traces d’ADN provenant d’algues, de mousses et de petits invertébrés. Des animaux ou des végétaux identifiés ailleurs sur l’Antarctique. Mais, ce n’est pas tout. Certains ADN découverts sur les lieux sont simplement inconnus. Plus précisément, certaines des séquences d’ADN n’ont pas été entièrement identifiées.

    L’équipe de Ceridwen Fraser, de l’École de l’environnement et de la société Fenner de l’Université nationale australienne, qui a enquêté sur des cavernes de l’île Ross, rêve déjà à une vie secrète sous les glaciers :


    « Les résultats de cette étude nous donnent un aperçu attirant de ce qui pourrait vivre sous la glace en Antarctique – il pourrait même y avoir de nouvelles espèces d’animaux et de plantes. »

    Source : positivr.

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  • La suite du film "Une vérité qui dérange"

    Dans « Une suite qui dérange » , réalisé par Bonni Cohen et Jon Shenk, Al Gore rappelle que l’humanité est assise sur une bombe à retardement. Les experts du monde entier s’accordent à dire qu’il ne nous reste que dix ans pour inverser le dérèglement climatique et, ainsi, d’éviter une catastrophe planétaire sans précédent. Les changements annoncés sont alarmants : perturbations météorologiques extrêmes, ouragans, inondations, sécheresses, montée des eaux, canicules meurtrières.
    Mais, plutôt que de céder au pessimisme et à la morosité, Al Gore est allé durant 5 ans à la rencontre des actions et des alternatives déjà mises en place à travers les États-Unis et dans le reste du monde afin d’inverser la tendance. Des actions individuelles et locales, mais, surtout, des actions à l’échelle nationale, avec une véritable révolution énergétique en cours, dans un contexte post COP21. À travers ses apparitions publiques, l’objectif d’Al Gore est clair : influencer la politique internationale en matière d’environnement.

    Source : positivr.

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  • Le plus grand télescope du monde en Chine

     Chine - Après une étude de faisabilité de plusieurs années, l'Empire du Milieu a lancé la construction du plus grand radiotélescope mondial, lequel possède une ouverture de 500 mètres de diamètre. Le radiotélescope FAST (pour Five hundred meters Aperture Spherical Telescope), c'est son nom, possèdera une superficie équivalant à celle de trente terrains de football. Construit au sud-ouest de la Chine, dans la province de Guizhou, il siègera au sein d'une dépression naturelle, comme le radiotélescope d'Arecibo, à Porto Rico.
     Il doit surpasser en taille et en performance ce dernier, Arecibo étant à l'heure actuelle le plus grand radiotélescope fixe du monde, avec une antenne principale de 305 mètres de diamètre. Les capacités de FAST devraient également dépasser celles de l'observatoire mobile de Green Bank, le plus grand radiotélescope orientable mondial. En 2013, FAST devrait aider la Chine à atteindre ses objectifs d'utilisation de l'orbite basse et d'exploration robotique et humaine du système solaire. Utilisé comme un radar passif surveillant les satellites, recensant les débris spatiaux et, à plus long terme, communiquant avec les sondes chinoises en mission, il doit renforcer de façon significative les capacités chinoises d'observation du ciel. Enfin, ce radiotélescope record sera bien sûr utilisé pour étudier les sources radio les plus difficiles d'accès de l'Univers et, par la détection et l'étude d'éventuels signaux artificiels, pour aider à la recherche de nouvelles civilisations.

    Source : .maxisciences.
     

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  • L'intuition et la conscience

    En complément de la pensée analytique qui accumule les arguments pour construire un raisonnement, l’intuition jaillit, aidant souvent à prendre une décision. Ce mécanisme inconscient est devenu un objet de recherche pour les neuroscientifiques.
    À la fin des années 1990, une expérience menée par deux grands neurologues, Antonio Damasio et Antoine Bechara, avait fait l’effet d’une petite bombe dans les milieux de la psychologie expérimentale et de la parapsychologie scientifique. Publiée dans la très sérieuse revue américaine Science, elle suggérait que notre inconscient était capable de percevoir un événement avant qu’il se produise. Donc que nous serions tous doués, à notre insu, d’une étrange faculté de prémonition. Pas moins ! Au départ, le but de cette expérience n’avait rien à voir avec l’intuition, et encore moins avec les phénomènes paranormaux. Elle consistait à observer les réactions du système nerveux lorsque nous devons prendre une décision « à risques ». Pour cela, l’équipe du département de médecine de l’université de l’Iowa, aux États-Unis, avait utilisé un dispositif permettant de mesurer les réactions physiologiques à l’aide de deux électrodes placées au bout d’un doigt. La première envoyait un courant électrique très faible ; la seconde captait l’électricité qui passe à travers la peau. Plus on est stressé, plus l’électricité passe, un phénomène tout à fait naturel provoqué par une légère humidification des mains : le stress fait transpirer. À l’inverse, plus on est relaxé et détendu, moins l’électricité passe.

    Deviner une carte gagnante

    Placé devant quatre jeux de cartes, chaque participant recevait une somme d’argent. Chacun des jeux comportait des cartes qui en faisaient gagner et d’autres qui en faisaient perdre. Bien sûr, personne ne pouvait savoir où étaient les mauvaises. Les chercheurs ont constaté un phénomène étrange, qui les a déconcertés : la plupart du temps, lorsque les joueurs étaient sur le point d’en retourner une perdante, ils avaient une réaction électrodermique très marquée juste avant de faire leur choix. Autrement dit, sans aucune possibilité de déduire la présence d’une carte négative par la logique, leur système nerveux s’affolait, réagissait en envoyant un « signal d’alarme », comme si leur esprit était capable de deviner le tirage.

    Conclusion des neurologues : « Ces résultats suggèrent que l’inconscient dirige le comportement avant que la connaissance consciente ne le fasse… Le mécanisme identifié ici est distinct des autres mécanismes neuraux. »

    Source : consciousnews.

     "Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don". – Albert Einstein

    "L’intuition est l’intelligence qui a commis un excès de vitesse". – Henry Bernstein

     

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  • Des traces d'hominidés inconnus en Crète

     

    29 mystérieuses empreintes fossilisées datant de 5,7 millions d’années ont été découvertes en Crète. Il pourrait s’agir ici des plus anciennes traces d’hominidés connues. La question suscite encore des débats, mais si la nouvelle venait à se confirmer, il nous faudrait alors complètement repenser nos origines.

    En 2002, des empreintes de pas ont été découvertes dans la région de Trachilos, près de la ville de Kissamos en Crète. Après avoir passé le site au peigne fin, les chercheurs ont à ce jour dénombré 29 traces au total mesurant entre 9,9 et 22,3 cm de longueur. Le séquencement et l’écartement des traces de pas indiquent qu’elles sont l’œuvre d’un ou plusieurs bipèdes. Pour les chercheurs, « les nouvelles empreintes de Trachilos ont une forme indubitablement humaine », notamment au niveau des orteils : « le gros orteil est semblable à celui du pied humain en terme de forme, de taille et de position, il est également associé à une protubérance distincte au niveau du talon (calcaneum) qui n’est jamais présente chez les autres primates », écrivent les chercheurs. En bref, la forme des empreintes indique donc sans ambiguïté qu’elles appartiennent à un ou plusieurs hominidés précoces. Mais alors, qui a fait ces traces ?

    Les empreintes ont été datées en étudiant les strates sédimentaires environnantes. Il y a environ 5,6 millions d’années, à la fin du Miocène, toute la Méditerranée s’est desséchée. Cet assèchement s’est matérialisé par une couche plus claire facilement identifiable dans la stratigraphie. Les traces de pas de Trachilos étant juste en dessous, celles-ci ont donc été datées à environ – 5,7 millions d’années. Au moment où les traces de Trachilos ont été faites, la Crète n’était pas une île et ne s’était pas encore détachée de ce qui allait devenir la Grèce. Il était alors tout à fait possible de venir « à pied » dans cette région du monde à l’époque asséchée. Or, jusqu’à présent, tous les hominidés plus anciens que deux millions d’années étaient situés en Afrique, mais avec la découverte de ces empreintes de pas, il semblerait donc que certains se soient déployés très tôt autour du bassin méditerranéen tout en continuant de se développer et d’évoluer sur le continent africain.

    Conscient que cette étude bouscule quelque peu le scénario de l’évolution de l’homme, Per Ahlberg, l’un des auteurs de l’étude, a notamment déclaré que « la question est maintenant de savoir si la communauté de recherche sur les origines de l’homme accepte des empreintes fossiles comme une preuve concluante de la présence d’homininés en Crète au Miocène. Cette découverte conteste le récit établi de l’évolution humaine précoce et est susceptible de générer beaucoup de débats ». Certains paléoanthropologues restent en effet très perplexes quant à la base de la structure de ces empreintes qui ne sont malheureusement pas d’une qualité suffisante pour que le débat soit tranché définitivement.

    Source : sciencepost

    Les évolutionnistes sont devant une controverse, avec la découverte d'empreintes fossilisées "similaires aux humains" prétendument faites il y a 5,7 millions d'années à trachilos, sur l'île méditerranéenne de Crète.

    Pourquoi la controverse ? Parce que, selon le scénario évolutionnaire, à ce moment-là nos ancêtres humains ne se trouvaient qu'en Afrique, ils avaient des pieds comme ceux des singes, mais ils n'ont été que dans la position verticale beaucoup plus tard dans l'histoire ; il y a environ 3,6 millions d'années.

    Les empreintes ont été trouvées en 2002 par l'auteur principal de l'étude, Gérard Gierliński. En 2017, les deux surfaces avec des empreintes ont été examinées au laser pour produire une image 3 d, et un moulage en silicone a également été fait. Plusieurs mesures ont également été effectuées. Les chercheurs ont conclu que les empreintes ont été faites par un hominidé et ont noté que le responsable des empreintes n'avait pas de griffes et était bipède, plantígrado, pentadáctilo et fortement entaxónico.

    Pour le profane, cela signifie que le plus probable est que les empreintes ont été faites par des pieds humains que par n'importe quelle autre créature.

    Cela signifie que ou les calendriers scientifiques précédents sont incorrects, et les scientifiques ont présenté des théories et des études incomplètes, ou la théorie de l'Afrique à l'extérieur doit être très reconsidérée.

    En effet, depuis que les scientifiques ont découvert les fossiles de australopithèque en Afrique au cours du 20 ème siècle, on croyait que la lignée humaine pourrait être détectée jusqu'à un endroit spécifique.

    De plus, les récentes découvertes fossiles (aussi en Afrique), y compris les traces bien connues de laetoli de 3,7 millions d'années de Tanzanie, qui montrent des pieds humains et de la locomotion, ont beaucoup aidé l'idée que les humains primitifs ne se sont pas seulement ont L'Afrique. Mais il est resté isolé pendant plusieurs millions d'années avant de se disperser pour l'Europe et l'Asie.

    Cependant, la découverte des empreintes en Crète renverse complètement cette idée simple, suggérant qu'il y a une complexité beaucoup plus grande en jeu. Ce qui rend cela controversé est l'âge et l'emplacement des impressions

    Cette découverte défie le récit établi de la première évolution humaine et produira probablement beaucoup de débat. Si la communauté de recherche d'origines humaines accepte des empreintes fossiles en tant que preuve concluante de la présence d'hominidés au miocène de Crète, on ne sait pas encore.



      empreintes bien préservées. (a - c) les trois empreintes les plus bien préservées de la surface b2, chacune montrée comme une photo (gauche), balayage de la surface du laser (milieu) et balayage avec interprétation (droite). A été faite par un pied gauche, b et c par pieds droits. Barres d'échelle, 5 cm 1-5 dénote le numéro du chiffre ; ba, impression de balle ; lui, heel impression.

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  • Vikings et Amérindiens se seraient rencontrés sur le Nouveau Monde


    La mise au jour d’objets inédits semble témoigner d’une rencontre entre Vikings et Amérindiens. Un pan méconnu de l’histoire, récemment mis en lumière par une archéologue canadienne. Les fibres avaient quelque chose de bizarre. Elles ne cadraient pas. Patricia Sutherland le repéra tout de suite : elles avaient un aspect étrangement duveteux, d’une grande douceur au toucher.

    Ces brins de cordage provenaient d’un village abandonné, à la pointe septentrionale de l’île de Baffin, au Canada. Bien au-delà du cercle polaire et au nord de la baie d’Hudson, des chasseurs indigènes s’étaient réchauffés là, il y a quelque 700 ans, en se servant de lampes à huile de phoque.

    Dans les années 1980, un missionnaire catholique s’était lui aussi interrogé sur ces brins soyeux après avoir exhumé des centaines d’objets fragiles de ces mêmes ruines. Le cordage, constitué de poils courts provenant de la fourrure d’un lièvre arctique, n’avait absolument rien à voir avec les tendons que les chasseurs de l’Arctique torsadaient pour confectionner des cordes.

    Comment était-il arrivé là ? La réponse échappant au vieux prêtre, il enferma les brins dans des caisses avec le reste de ses trouvailles et les remit au Musée canadien des civilisations situé à Gatineau, au Québec.

    Les années passèrent. En 1999, Patricia Sutherland, une archéologue spécialiste de l’Arctique travaillant au musée, glissa les brins sous un microscope et vit que quelqu’un avait tissé les poils courts en un fil doux. Pourtant, les hommes préhistoriques de l’île de Baffin n’étaient ni des fileurs ni des tisserands ; ils cousaient leurs vêtements dans du cuir ou de la fourrure.

    D’où pouvait bien venir ce fil ? Des années plus tôt, alors qu’elle participait à la mise au jour d’une ferme viking au Groenland, Sutherland avait vu ses collègues découvrir des fils similaires sur le plancher d’une salle de tissage.

    Elle téléphona à un archéologue au Danemark. Quelques semaines plus tard, une spécialiste des textiles vikings l’informa que les brins canadiens étaient en tout point identiques aux fils confectionnés par les femmes scandinaves au Groenland. « J’étais totalement abasourdie », se souvient l’archéologue.

    Source : nationalgeographic.

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  •  Les photos de l'Eclipse solaire aux USA le 21 août 2017

    D'autres photos exceptionnelles ICI

     

     

     

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  • Un très beau film !

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  • Des montagnes flottantes sur Pluton

    Pour une si petite planète, Pluton a une surface d’une incroyable diversité où l’on retrouve des glaciers flottants, des reliefs curieusement criblés de cratères, des ciels brumeux et des paysages multicolores. Selon les scientifiques de la mission New Horizons, la lointaine planète naine serait encore plus étrange qu’ils ne l’imaginaient. Elle possèderait notamment des volcans de glace, des montagnes flottantes et des lunes au comportement chaotique.

    Les scientifiques ont dévoilé ce lundi les nouvelles observations obtenues par la sonde New Horizons lors de son survol de Pluton au mois de juillet. Présentées à la réunion annuelle du département de sciences planétaires de l’American Astronomical Society, ces données montrent que Pluton n’est pas ce que l’on pensait.

    L’équipe a reçu une bonne note pour l’exploration, mais une très mauvaise pour sa capacité prévisionnelle, rapporte Alan Stern, chercheur principal de New Horizons. « Le système de Pluton nous déconcerte totalement. » 

    DES VOLCANS DE GLACE

    Deux trous observés à proximité du pôle sud de Pluton pourraient bien être des caldeiras volcaniques de glace. Ces dépressions se trouvent au sommet de deux gigantesques montagnes, le Mont Wright et le Mont Piccard. Les deux montagnes sont hautes de quelques kilomètres et larges d’au moins une centaine de kilomètres, et ont une forme semblable à celle des volcans-boucliers d’Hawaï. Sauf qu’au lieu de lave en fusion, les volcans plutoniens cracheraient de la glace, et éventuellement de l’azote, du monoxyde de carbone, ou encore une bouillie liquide draguée d’un océan enterré.

    Jeff Moore, de l’Ames Research Center de la NASA, a déclaré au cours d’une conférence de présentation que l’équipe n’est pas encore prête à affirmer que ces éléments sont bien des volcans, « mais on [les] en suspecte fortement ».

    Si c’est le cas, ce seraient les premiers volcans à être repérés à l’extrémité du système solaire. Si l’équipe préfère attendre de disposer de données supplémentaires pour confirmer ses découvertes, certains de ses membres en sont déjà bien convaincus.

    « Lorsque vous voyez une grosse montagne avec un trou sur le dessus, ce ne peut être généralement qu’une seule chose », commente Oliver White, également de l’Ames de la NASA. « J’ai du mal à y voir autre chose que des volcans. » 

    DES MONTAGNES FLOTTANTES AU COMPORTEMENT ANARCHIQUE

    Les montagnes plutoniennes pourraient bien se comporter plus comme des icebergs dans l’océan que des montagnes sur Terre. Constitués de glace, ces immenses blocs de matière flottent probablement sur une « mer » de glace d’azote, a révélé Moore. Dans certaines régions, ces montagnes sont aussi grandes que les Rocheuses américaines, mais suffisamment flottantes pour s’élever loin au-dessus des glaces d’azote et de monoxyde de carbone, bien plus denses. « Il se pourrait même les plus hautes montagnes plutoniennes soient simplement en train de flotter », a déclaré Moore lors de sa présentation.

    À proximité du bord occidental du champ de glace connu sous le nom de plaine Spoutnik, des grandes étendues de glace d’eau peuvent se fracturer et se réarranger, produisant ce que Moore appelle un « terrain anarchique ». Des chaînes désordonnées de blocs angulaires, certains longs de 40 kilomètres et hauts de 5 kilomètres, forment des montagnes qui s’étendent de façon chaotique vers la plaine, jeune et lisse. De nouvelles analyses suggèrent que la plaine Spoutnik pourrait être âgée de seulement 10 millions d’années. Autrement dit, « née de la dernière pluie », a commenté Stern. « C’est une importante découverte, que de petites planètes peuvent être actives, sur une échelle gigantesque, des milliards d’années après leur formation. »

    Source : nationalgeographic

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  • La momie dorée du Maître Ci Xian

    Une « momie dorée » vieille de 1000 ans avec des os et le cerveau parfaitement préservés étonne les experts

    Le corps momifié du maître bouddhiste Ci Xian, vieux de 1000 ans, s’est révélé avoir un squelette composé d’os « en bonne santé » ainsi qu’un cerveau complet, a révélé une tomodensitométrie le 8 juillet. Le scanner a été observé par des médecins, des médias aussi bien que des moines.
    Selon le Dr. Wu Yongqing, « nous pouvons voir que ses os sont en aussi bonne santé qu’une personne normale. »

    « Le visage, les dents, les côtes, la colonne vertébrale et toutes les articulations sont complets. »

    « C’est incroyable de voir cela. »

    Le cerveau du maître Ci est resté relativement bien préservé. Normalement, les cerveaux des corps momifiés sèchent et rétrécissent.
    Selon le maître Du du temple Dinghui, les maîtres moines sont capables de sentir le moment de leur mort, et disent à leurs disciples s’ils souhaitent ou non être momifiés.

    Il est considéré que si le niveau spirituel atteint par un moine ou un maître a atteint un certain niveau, certains types d’énergie s’accumulent alors dans le corps de la personne, le préservant
    Les restes du maître Ci Xian ont été préservés après sa mort, mais étaient perdus jusque dans les années 1970 lorsque son corps a été découvert à l’intérieur d’une grotte.

    Durant sa vie, le maître Xian a voyagé d’Inde au royaume de Khitan (une région étant maintenant dans le Nord-Est de la Chine) afin de promouvoir le bouddhisme. Là-bas, le roi a qualifié Ci de maître bouddhiste national de Khitan.

    Ses restes ont été vénérés dans le temple Dinghui à Wu’an depuis 2011.
     maître Ci Xian est connu pour avoir traduit dix soutras majeurs en chinois ; certains ont été gravés dans la pierre et peuvent encore être vus aujourd’hui.

    Source : epochtimes

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  • Des  empreintes "non-humaines" dans le Sahara

     

    Lorsque le site de Wadi Sura II a été découvert dans le Sahara oriental en Egypte en 2002, les chercheurs furent abasourdis de trouver des milliers de décorations ayant été peintes sur les parois de l’abri rocheux environ 8 000 ans plus tôt. On y voit non seulement des animaux sauvages, des silhouettes humaines et d’étranges bêtes sans tête (ce qui a valu à l’endroit le surnom de « grotte des bêtes »), mais aussi des centaines d’empreintes de mains humaines, soit plus que dans tout autre site rupestre des roches du Sahara.

    Le plus inhabituel était la présence d’empreintes de 13 mains minuscules. Jusqu’à la découverte de Wadi Sura II, des pochoirs des mains et des pieds de jeunes enfants avaient été observés dans l’art rupestre en Australie, mais jamais dans le Sahara. Une scène remarquable et émouvante montre même une paire de « mains de bébé » nichée à l’intérieur des empreintes plus grandes de mains adultes.

    Mais voilà quelque chose d’encore plus bizarre : ces petites mains ne sont même pas humaines. 

    LES RÉPONSES SE CACHENT DANS UN HÔPITAL FRANÇAIS

    Wadi Sura II est considéré comme l’un des plus grands sites d’art rupestre du Sahara, même s’il n’a pas la réputation de son voisin Wadi Sura I, la « grotte des nageurs », découvert par le comte hongrois Láslo Almásy en 1933 et popularisé dans le film « Le Patient anglais ».

    De telles empreintes de mains de jeunes enfants n’avaient jamais été observées auparavant dans l’art rupestre du Sahara.

    L’anthropologue Emmanuelle Honoré, de l’Institut McDonald de recherche archéologique décrit avoir été « choquée » par la forme de ces minuscules empreintes de mains lorsqu’elle les a vu pour la première fois à Wadi Sura II en 2006. « Elles étaient bien plus petites que des mains de bébés humains, et les doigts étaient trop long, » se souvient-elle.

    Honoré a décidé de comparer les mensurations de ces empreintes avec celles de nouveau-nés humains (entre 37 et 41 semaines d’âge gestationnel). Comme celles du site étaient minuscules, elle a aussi mesuré la taille des mains de bébés nés prématurément (de 26 à 36 semaines d’âge gestationnel).

    Pour ce faire, l’anthropologue a formé une équipe composée de chercheurs en médecine pour récolter les données infantiles dans l’unité néonatale d’un hôpital français. « Si j’étais allée à un hôpital en disant simplement ‘Bonjour, j’étudie l’art rupestre. Vous avez des bébés pour moi ?’, ils m’auraient prise pour une folle et m’auraient jetée dehors, » rigole-t-elle.

    Les résultats, qui ont été publiés, montre qu’il y a très peu de chance pour que les « mains de bébés » dans la grotte des bêtes soient humaines. 

    LES DÉFIS DE L'INTERPRÉTATION

    Si les empreintes ne sont pas humaines, alors que sont-elles ? La position des petites mains et de leurs doigts varient d’une trace à l’autre, ce qui pousse les chercheurs à penser qu’elles étaient flexibles et articulées. Ils ont donc mis de côté la théorie d’un pochoir fait en un matériau rigide tel que du bois ou de l’argile.

    Les parois de Wadi Sura II sont recouvertes de centaines de pochoirs de mains, ainsi que d'images représentants des hommes, des animaux sauvages et d'étranges bêtes sans tête.

    Honoré a premièrement pensé à des pattes de singes, mais les proportions étaient aussi mauvaises. Ses collègues du Muséum d’histoire naturelle de Paris lui ont alors suggéré d’examiner des reptiles.

    Pour l’instant, les exemples aux proportions les plus proches des « mains de bébé » sont les pattes avant de varans ou de jeunes crocodiles. (L’étude de la théorie des crocodiles est encore en cours.) Les varans vivent encore dans la région de nos jours, et sont considérés comme des créatures protectrices par les tribus nomades locales.

    La révélation que les minuscules empreintes de mains de Wadi Sura II ne sont pas d’origine humaine a extrêmement surpris les experts de l’art rupestre du Sahara. « Le pochoir de figures animales est plutôt quelque chose que l’on voit en Australie ou en Amérique du Sud, » explique Honoré.

    Les empreintes de pieds d’animaux de Wadi Sura II semblent non seulement avoir été faites au pochoir à l’intérieur des empreintes de mains humaines, mais aussi sous forme de frise à l’instar des mains humaines. Elles ont toutes été réalisées au pochoir à la même époque et avec le même pigment. En revanche, il est impossible de dire si le pied d’un animal vivant a été pressé contre la paroi de l’abri, ou si l’artiste (ou les artistes) a préféré l’option plus simple et moins dangereuse d’utiliser un membre fraîchement coupé.

    Honoré préfère ne pas trop spéculer sur ce que signifient les empreintes non-humaines. « Nous avons cette conception moderne que les humains n’appartiennent pas à la nature, » dit-elle. « Mais dans cette grande collection d’images, on détecte que les humains font en fait partie du grand monde de la nature. C’est un vrai défi pour nous autres chercheurs que d’interpréter ces images puisque notre culture est complètement différente [de celle qui en est à l’origine]. »

    En tout cas, les nombreux parents des bébés qui ont participé à la recherche attendent avec impatience d’en savoir plus sur les révélations de ces peintures rupestres. « Ils étaient très enthousiastes à l’idée de savoir que leurs nouveau-nés pouvaient faire une telle contribution à la science, » dit-elle.

    Source : .nationalgeographic.

     

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  • Les secrets de la rivière (Inde)

    Pour la première fois dans l’histoire, une combinaison de sécheresse et de surconsommation de l’eau a poussé la rivière en Inde, la rivière Shamalaà Karnataka jusqu’à ses derniers retranchements, révélant ainsi sur le rivage des secrets qui ont choqué la communauté archéologique.La rivière a révélé la présence de milliers de Lingas de Shiva qui ont été sculptés il y a très longtemps sur le lit de la rivière.Le lieu qui porte le nom de « Sahasralinga » (Mille Lingas de Shiva en Sanskrit) est devenu un site de pèlerinage extrêmement populaire et des milliers de gens rendent désormais visitent à Sahasralinga pour prier le dieu Shiva. Les Lingas de Shiva ou ‘Lingam’ sont une représentation de la divinité Hindou Shiva, et sont présents dans tous les lieux de culte et temples hindous.Sahasralinga est situé près de Sirsi, dans l’état de Karnataka et c’est l’un des plus beaux endroits du pays, qui représente le pouvoir de la divinité et les énergies positives. Les innombrables lingas de Shiva découvert à cause de la sécheresse sont une preuve qu’il y a de nombreux endroits sur cette planète qui recèlent beaucoup de secrets de nos ancêtres, des secrets qui lentement mais sûrement, émergent à la surface. Nous pouvons ainsi respecter et rendre hommage à leur tradition et la valeur historique.

    Source : lesavoirperdudesanciens

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  • Une découverte à Petra en Jordanie

    Grâce à des drones et des images satellite, des chercheurs américains ont mis au jour une plate-forme d'une surface de plus de 2.700 m2, à 800 mètres au sud du plus célèbre temple de Petra, la Khazneh (le Trésor), dans le sud de la Jordanie. Une découverte jugée «immense et unique» lundi par la ministre du Tourisme et des antiquités Lina Annab.

    Les chercheurs estiment que cette structure aujourd'hui enfouie sous le sable a pu être utilisée pour des cérémonies religieuses ou des fêtes, selon leur étude publiée dans le Bulletin des écoles américaines de recherche orientale.

    Relancer le tourisme

    Située entre la mer Rouge et la mer Morte, l'immense cité antique de Petra a été taillée dans du roc rosé il y a quelque 2000 ans par les Nabatéens. Elle a été élue Merveille du monde en 2007. Des fouilles devraient être entreprises à l'endroit désigné par les chercheurs, ont indiqué des responsables jordaniens sans fixer de date. «Cette découverte inédite doit être suivie d'un travail intensif de fouilles et d'analyse», a précisé Mohamed al-Nawafleh, le chef de l'Agence de développement et de tourisme de Petra.

    Les autorités jordaniennes espèrent que cette découverte contribuera à relancer le tourisme à Petra, dont la fréquentation par des visiteurs étrangers a quasiment été divisée par trois en cinq ans, passant de près de 900.000 en 2010 à 315.000 en 2015, selon les chiffres du ministère du Tourisme. Elle souffre de la désaffection des pays arabes par les touristes étrangers.

    Source : leparisien -de-petra-13-06-2016-5880301.php

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  • Un phénomène rare et beau !

    Un phénomène rare appelé « couche d'inversion »dans le grand Canyon. C'est juste beau !!

    Des millions de visiteurs viennent chaque année au parc national du Grand Canyon de l'Arizona, l'une des sept merveilles naturelles du monde et aussi le parc national le plus visité de l'ouest des États-Unis.

    Parfois mais surtout rarement, l'air froid est piégé dans le canyon et surmonté d'une couche d'air chaud, qui, combinée à l'humidité et à la condensation, constitue un phénomène appelé « couche d'inversion ».

    Un phénomène qui ressemble à quelque chose entre les vagues de l'océan et les nuages. Ce jour là, le Grand Canyon est complètement obscurci par le brouillard, ce qui fait que les visiteurs ont l'impression de marcher sur des nuages.

    Source : .idees-de-genie

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  • Des hiéroglyphes vieux de 3250 ans av. JC

    Dans la ville d'El Kab en Égypte, un groupe de chercheurs américains a fait une trouvaille tout à fait surprenante : dans les vestiges de cette cité antique, se trouvent des traces témoignant des premières écritures égyptiennes vieilles de plus de 5.000 ans. C’est une découverte qui en dit long sur l’Histoire des civilisations passées. Une équipe de chercheurs de l’Université de Yale (Etats-Unis), accompagnée d’un groupe du ministère des Antiquités égyptiennes et des Musées royaux d’art et d’histoire de Bruxelles (Belgique) a fait une somptueuse trouvaille sur la rive droite du Nil. Tout près du village d'Al-Khawi, à 60 kilomètres au sud de la ville égyptienne Louxor, les archéologues se sont trouvés face à d’exceptionnelles falaises recouvertes de "proto-hiéroglyphes" auparavant inconnus. Autrement dit, d'écritures égyptiennes qui auraient précédé les véritables hiéroglyphes que l'on connait, remontant à environ 5.200 ans. On pourrait même qualifier ces gravures rocheuses comme étant "certaines des premières étapes de l'écriture hiéroglyphique", a expliqué dans un communiqué John Coleman Darnell, chercheur à l’Université de Yale et initiateur des recherches menées dans le cadre du Elkab Desert Survey Project.

    Source : maxisciences
     

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  • Un pont magnétique existe entre les galaxies

     Pour la toute première fois, des physiciens ont observé un véritable « pont » magnétique géant entre deux galaxies !
    Pour la toute première fois, des scientifiques ont détecté des signes d’un champ magnétique associé à un « pont » géant intergalactique, reliant deux galaxies voisines entre elles.


    Connu sous le nom de courant magellanique (ou courant de Magellan – Magellanic bridge en anglais), ce véritable pont de matière est un énorme courant de gaz neutre, s’étendant sur environ 75’000 années-lumière entre nos deux galaxies voisines, le Petit Nuage de Magellan (SMC) et le Grand Nuage de Magellan (LMC). Et bien que les chercheurs aient déjà prédit l’existence de ce pont, il s’agit de la toute première observation de son champ magnétique. Cette découverte pourrait donc dans un premier temps nous aider à comprendre comment se forment ces gigantesques ponts.

    « Il y avait des indices qui indiquaient que ce champ magnétique pouvait exister, mais personne ne l’avait observé jusqu’à maintenant », explique le chercheur principal, Jane Kaczmarek, de l’Université de Sydney.

    Nos voisins galactiques les plus proches, le LMC et le SMC (voir image ci-dessous) sont respectivement situés à 160’000 et 200’000 années-lumière de la Terre, et sont visibles dans le ciel nocturne austral.
    Le courant magellanique est connu depuis longtemps des chercheurs. Mais jusqu’à présent, nous ne connaissions que très peu le champ magnétique associé à ce pont. L’équipe de scientifiques a démontré que ce champ magnétique nouvellement détecté, représente un millionième de la force du bouclier magnétique protecteur de la Terre. La découverte pourrait donc nous aider à comprendre la manière dont il s’est formé.

    Les scientifiques ont émis deux hypothèses concernant la formation du champ magnétique : il aurait pu être généré à partir du pont une fois que celui-ci s’est formé, ou alors, il aurait été « arraché » aux galaxies naines qui, selon les scientifiques, auraient fusionné et ainsi formé le pont en premier lieu. Si l’idée d’un véritable pont entre les étoiles vous fait penser à de la science-fiction, il faut garder à l’esprit que la majorité l’espace est constitué de différents champs magnétiques.


    « Non seulement les galaxies entières sont magnétiques, mais les fils délicats qui joignent les galaxies sont également magnétiques », explique l’un des chercheurs, Bryan Gaensler de l’Universitée de Toronto. « Partout où nous regardons dans le ciel, nous trouvons du magnétisme », ajoute-t-il.

    La raison pour laquelle les scientifiques ont difficilement pu étudier cette structure par le passé, est le fait que ces types de champs magnétiques cosmiques ne peuvent être observés qu’indirectement, par leur effet sur d’autres structures célestes. Dans ce cas spécifique, des signaux radio provenant de centaines de galaxies très éloignées ont été utilisés pour détecter le champ magnétique associé au courant magellanique.

    Source : trustmyscience

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  • Des traces d'engins inconnus sur le sol

     L’univers est rempli de mystères qui remettent en question notre savoir actuel. Dans la série « Au-delà de la science », Epoch Times rapporte des récits à propos de ces phénomènes et théories qui posent un défi à nos connaissances actuelles. Sont-ils vrais ? Peuvent-ils permettre de futures découvertes et nouvelles compréhensions de notre univers ? À vous de décider.

    Une controverse d’un genre nouveau a été récemment lancée à propos de traces suggérant des sillons laissés par des véhicules d’un temps ancien, dans la vallée Phrygienne de Turquie.

    Le Dr Alexander Koltypin, géologue et directeur scientifique en sciences naturelles à l’International Independent Université de Moscou de l’Écologie et de politologie, affirme sérieusement que ces dernières seraient l’oeuvre d’une  » race inconnue « , et auraient été laissées depuis 12 ou 14 millions d’années.

    Après avoir terminé ses recherches sur le site d’Anatolia, le chercheur a relevé d’étranges sillons, décrits au MailOnline comme   » des ornières pétrifiées dans des roches de tuffeaux, effectuées à partir de cendres volcaniques compactées « .

    Ces pistes qui serpentent à travers le paysage de la vallée de Phrygie remontent à différentes périodes historiques, d’après les descriptions académiques qui en sont faites. Les premières d’entre elles ont dû être réalisées au cours de l’Empire Hittite ( vers 1600 av.J-C à 1178 ap.J-C ).

    Les mystérieuses traces de la vallée phrygienne de Turquie. (Alexander Koltypin/Dopotopa.com)
    Le temps passant, ces « chemins » ont été profondément marqués après leur utilisation par les Phrygiens, les Grecs et par les armées d’Alexandre le Grand. D’après Culture Routes, un organisme de tourisme turc, celles ci servaient de réseaux routiers pour les romains.

    Alexander Koltypin suggèrent que les pistes ont été creusées par des véhicules. Cependant, l’hypothèse d’attelages, charrettes ou petits chars ne concorde pas avec les observations du scientifique. Au lieu de cela, M.Koltypin pense à des véhicules  » lourds, énormes, antédiluviens et tout-terrains « . Et pour compléter le tableau, provenant d’une civilisation inconnue.

    Les géologues affirment que les ornières sont préhistoriques, à en juger par l’altération des roches et les fissures observées. « La méthode permettant de préciser l’âge des roches volcaniques est très bien étudiée et travaillée », rapporte le scientifique.

    Ce dernier note que la distance entre chaque paire de piste reste constante, et que celle ci correspond quasi exactement à l’intervalle entre les roues des véhicules modernes. Cependant, ces pistes sont bien trop profondes pour nos voitures et autres véhicules actuels, ce qui soulève de nouvelles questions.

    Source : epochtimes

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  • Fake ou pas ?

     

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    VALERIAN et la cité des mille planètes

    Le nouveau film de Luc Besson

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  • Une moto roule toute seule sur l'A4, près de Paris !

    Une vidéo amateur montre une moto… sans motard filant sur l'autoroute A4 près de Paris.
    Une scène surréaliste... Celle à laquelle un automobiliste dit avoir assisté, images à l'appui, le 28 mai dernier sur l'A4, à hauteur de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), en direction de Paris. De retour d'un week-end, Eddy (*), 35 ans, roule sur l'autoroute au volant de sa voiture lorsqu'il aperçoit, dans son rétroviseur, une moto circulant un peu trop près de la glissière de sécurité. En ralentissant, il s'est aperçu, estomaqué, que la moto en question… n'avait pas de pilote !
    «J'ai demandé à un ami qui était avec moi de prendre mon téléphone et de filmer», raconte-t-il. Sur la vidéo, on distingue parfaitement le deux-roues filant… sans motard. Une moto fantôme. Une explication est avancée par un spécialiste des deux-roues : «Le pilote est sans doute tombé, et au regard de la moto, avec un centre de gravité très bas, elle a pu continuer sa route, c’est possible», raconte au Parisien Jean-Pierre Goy, cascadeur moto, qui a notamment fait la doublure de James Bond au cinéma. «C’est étrange, mais elle peut rouler ainsi 500 à 600 mètres. J’ai déjà vu des motos rouler de la sorte même plus longtemps, notamment avec le régulateur de vitesse bloqué», explique-t-il, devant une image de cette drôle de scène sur l’A4. 

    Le hic ? D'après nos informations, aucune trace de motard accidenté à cet endroit précis n'a été signalée et aucune intervention n'a eu lieu sur cette portion d'autoroute ce jour-là. Le mystère reste entier.

    Voir la vidéo sur le lien ci-dessous...

    Source : .leparisien.fr

     

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  • Bonjour,

    Cliquer sur ce lien pour consulter la newsletter :

    JUIN 2017

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  • Les déclarations de Robert Bigelow sur les E.T....

    Dans l’émission «60 minutes» sur la chaîne CBS, le milliardaire Robert T. Bigelow, fondateur de Bigelow Aerospace, a assuré que la Terre est visitée par des extraterrestres.
    Robert T. Bigelow, 72 ans, n’est pas un farfelu. Cet entrepreneur américain, né à Las Vegas, a fait fortune dans l’immobilier commercial avant d’investir des centaines de millions de dollars dans la création en 1999 Bigelow Aerospace, son rêve d’enfance. Cette compagnie spatiale privée a notamment développé des modules habitables gonflables testés in situ, arrimés à l’ISS. Les astronautes à bord de la Station Spatiale Internationale ont été chargés d’en tester l’habitabilité. A terme, le grand projet de Robert Bigelow est de créer des stations en orbite pouvant accueillir des touristes de l’espace.
    Mais, c’est un autre type de touristes que l’entrepreneur évoque dans une interview accordée à l’émission «60 minutes» sur la chaîne américaine CBS. Interrogé sur l’hypothèse extraterrestre, Robert T. Bigelow a répondu sans détour : «J’en suis absolument convaincu. Il y a eu et il y a encore une présence extraterrestre sur la Terre. J’ai dépensé des millions et des millions sur cette question, sans doute plus que n’importe qui aux Etats-Unis.» Relancé sur cette confidence par la journaliste Lara Logan, s’inquiétant de savoir s’il ne craignait pas de passer pour un fou, le milliardaire n’a pas cédé un pouce de terrain: «Je m’en fiche. Ça ne change rien à la réalité que je connais.» Quant à la possibilité de croiser des extraterrestres lors de futurs voyages spatiaux lointains, il enfonce le clou : «Il n’y a pas besoin de bouger d’ici. Ils sont déjà là, juste sous notre nez.»

    Cette déclaration tonitruante n’est pourtant pas un scoop. Robert Bigelow n’a jamais fait mystère de son intérêt pour les ovnis et la possibilité que notre planète soit visitée par des civilisations extraterrestres. Il finance depuis des années à coups de millions de dollars le MUFON, la plus grande organisation privée d’enquête sur les observations d’OVNIS.

    Néanmoins, ces propos tenus dans une émission très populaire devant des millions de téléspectateurs et repris par la presse internationale alors que Bigelow Aerospace noue un partenariat crucial pour son avenir avec la NASA posent question. S’agit d’un coup de pub pour ce grand projet ? Ou au contraire utilise-t-il la visibilité offerte par son contrat avec l’Agence spatiale américaine pour donner plus de portée à son discours sur la présence extraterrestre ? Enfin, la NASA, régulièrement accusée de dissimuler des informations sur les ovnis, va-t-elle laisser passer sans réagir les révélations de Robert Bigelow ?

    Source : .parismatch

    Robert Bigelow, 73 ans, PDG de Bigelow Aerospace, est apparu dans la dernière édition de l'actualité CBS Current Program Show de 60 Minutes.

    Mais, pendant le programme, qui a examiné son travail sur le développement de l'engin spatial extensible, qui s'étend dans l'espace et pourraient un jour changer la façon dont les humains vivent et travaillent sans gravité, il a fait une déclaration  sensationnelle.

    Il a décrit une rencontre d'ovnis qu'on faite  ses grands-parents à une date non divulguée alors qu'ils conduisaient sur la route d'un canyon à l'extérieur de Las Vegas.

    Il a dit: "Il a vraiment accéléré et est venu directement face à leur visage et a rempli tout le pare-brise de la voiture.Et il a décollé à angle droit et est parti au loin."

    Il a déclaré à la journaliste Lara Logan qu'il a commencé à avoir un intéreêt obsessionnel  envers les extraterrestres et c'est la raison de son "logo alien" pour Bigelow Aerospace.

    Il a dit qu'il avait eu depuis ses propres «rencontres rapprochées», mais n'a pas donné de détails.

    Le gourou des affaires a également révélé être un abonné à une théorie de conspiration largement répandue selon laquelle le gouvernement des États-Unis et d'autres à travers le monde savent que les extraterrestres sont ici sur Terre et même qu'ils interagissent avec eux, mais tout est caché et gardé secret au grand public par Crainte de l'impact qu'il pourrait avoir sur la religion et la primauté du droit.

    Source : .express.co.uk

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