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Bases secrètes humaines.
Les bases secrètes humaines et E.T.
Des bases secrètes existeraient un peu partout dans le monde, souvent liées aux phénomènes ovnis, leurs observations restent toujours très difficiles, voici le témoignage de ufotopsecre , à vous de juger sur la véracité de ces récits qui semblent pourtant avoir été bien vécus.
Dulce
En 1969, la base fut construite au Nord-Ouest de Dulce avec un accord entre la CIA et les extraterrestres. La base est prétendument située dans la Réserve Indienne Apache Jicarilla. L’entrée est sur le Mont Archuleta (ou Archuleta Mesa). La base se fournit en eau et électricité grâce à la rivière Navajo, et rejette l’eau sale dans la même rivière. Le Gouvernement U.S. occupe les plus haut niveaux de la base souterraine, et les extraterrestres contrôlent les niveaux les plus bas.
Révélation de Phil SchneiderJe voudrais d'abord vous répéter que les États-Unis sont vraiment une belle nation. J'ai voyagé dans plus de 70 pays différents et je n'ai pas le souvenir d'une contrée qui possède la beauté des États-Unis et le charme de ses habitants.
Afin de vous livrer un aperçu de mes acquis, sachez que j'ai démarré mes études dans une école polytechnique (ndtr : école d'ingénieurs). J'ai donc consacré la moitié de ma formation à ce champ d'étude et j'ai construit ma réputation autant en tant que géologue qu'en tant qu'ingénieur en génie civil avec des spécialisations, dans les domaines militaire et aérospatial. J'ai participé à la construction de deux bases d'importance majeure aux États-Unis dont l'une au moins a acquis une certaine notoriété dans ce que l'on appelle " le Nouvel Ordre Mondial ". Il s'agit ici de la base de Dulce au Nouveau-Mexique.
En 1979, j'ai été impliqué dans une fusillade avec des extra-terrestres de type " humanoïdes " et je fus l'un des seuls rescapés de cet incident. Et je suis sans doute le seul survivant que vous entendrez jamais s'exprimer à ce sujet. Deux autres rescapés se trouvent être aujourd'hui sous étroite surveillance. Je suis le dernier à avoir connaissance des dossiers détaillés de l'opération dans son ensemble. Un total de 66 agents de sécurité, membres du FBI, bérets noirs et consort sont morts au cours de cette fusillade et j'étais là.
Tout d'abord, sachez qu'une bonne partie de ce que je vais vous dire va être assez choquant. Et probablement totalement incroyable. Et donc, je vous demanderai de faire preuve d'une certaine ouverture d'esprit. De plus, vous êtes libre de faire vos propre recherches. Je sais que la loi sur la liberté de l'information (ndtr: freedom for information act est une loi qui permet à tout citoyen américain d'exiger la " déclassification " de documents secrets du gouvernement au terme d'une procédure assez fastidieuse) est peu de chose mais elle est ce que l'on a fait de mieux.
Une bibliothèque administrative locale est un bon endroit pour surveiller les anales parlementaires (ndtr : compte rendu des séances de questions-réponses du Congrès fédéral américain et des commissions d'enquête parlementaire où furent examiner bon nombre de dossiers relatifs aux abus de la CIA et de l'administration). C'est donc en s'évertuant à faire des recherches que l'on restera vigilant et ferme à l'égard de ce pays.
Bases militaires de grandes profondeurs et projets occultes
J'aime mieux mon pays que ma propre vie et si je m'expose ici au péril de ma vie, ce n'est pas sans raison car je crois en ce que je fais. La première partie de cet exposé concerne les bases militaires de grande profondeur et la question des budgets occultes. Les budgets occultes sont des budgets frappés par définition du sceau du secret et qui " pompent " près de 25% du PNB (produit national brut) des Etats-Unis. Ces budgets de l'ombre consomment annuellement près de 1,25 trillion de dollars et se voient à tout le moins attribués à des programmes occultes, secrets comme ceux des bases militaires de grande profondeur. A ce jour, il y aurait plus de 129 installations souterraines de ce type aux États-Unis.
Ils ont construits ces bases sans relâches, jour et nuit et ce, depuis le début des années 40. Et certaines d'entre elles furent même construites bien avant cette période. Ces bases consistent en fait en de grandes villes souterraines reliées entre elles par des trains à lévitation magnétique à grande vitesse dont l'allure de croisière dépasse les Mach 2 (plus de 2000 Km/h). Plusieurs ouvrages ont été consacrés à ces sujets. Mon ami Al Bielek possède d'ailleurs mon dernier exemplaire.Richard Sauder, architecte diplômé, a risqué sa vie en parlant de ces questions. Il a travaillé avec bon nombre d'agences gouvernementales dans le domaine des bases militaires souterraines de grande profondeur. Rien qu'en Idaho, là où vous vivez, il n'y a pas moins de 11 installations de ce genre.
La profondeur moyenne de ces bases est de plus d'un mile (plus de 1500 mètres) et il s'agit en fait de véritables villes souterraines. En terme de volume, il s'agit d'installations allant de 2,66 à 4,25 mile cube (entre 4 et 6 kilomètre cube).Ils ont des machines de forage au laser capable de creuser un tunnel de 7 miles (plus de 10km) de longueur en une journée. Ces " projets occultes " court-circuitent l'autorité du Congrès et sont donc totalement illégaux. Et aujourd'hui, le fonctionnement même du Nouvel Ordre Mondial repose sur l'existence de ces bases. Si j'avais eu connaissance de l'implication du Nouvel Ordre Mondial dans ce projet à l'époque où j'y travaillais, je n'y aurais jamais collaboré. On m'a plus que trompé.
Développement technologiques militaires impliquant des intérêts allemands en matière de technologies hyperspatiales et plus...
Fondamentalement, pour une année " calendrier " qui s'écoule, correspond un bon de 44,5 années en terme de progrès technologiques. C'est pour cela qu'il est plus aisé de comprendre le fait que dès 1943, ILS étaient capables de créer un vaisseau qui pouvait littéralement disparaître à un point et apparaître à un autre grâce à l'usage d'une technologie basée sur l'utilisation de tubes sous vide. Mon père, Otto Oskar Schneider a combattu pendant la guerre dans les deux camps (ndtr : US et Allemand).
Au départ, il était capitaine à bord d'un U Boat (ndtr : sous-marin allemand) pour être par la suite capturé et rapatrié aux États-Unis. Il fut impliqué dans différents projets comme celui de la bombe atomique, la bombe à hydrogène, l'expérience de Philadelphie (ndtr : projet présumé ayant pour but de créer un navire invisible aux radars et qui aurait débouché "par accident " sur les voyages temporelles dont le premier acte se déroula sur un navire, le USS Eldrige en 1943). Il fut l'inventeur d'une caméra à grande vitesse qui filma les premières expériences nucléaires s'étant déroulée sur l'atoll de Bikini le 12 juillet 1946.J'ai les clichés originaux de ces tests et ces photos montrent un Ovni survolant à grande vitesse l'endroit où se trouvait la bombe. A cette époque, la région de Bikini était véritablement " infesté " par des apparitions d'Ovnis, tout particulièrement sous la mer et les populations indigènes voyaient leur bétail victime de mutilations. Et c'est également à cette époque que le Général Mc Arthur estima que le prochain conflit se ferait avec des êtres extraterrestres provenant d'autres univers.
Quoi qu'il en soit, c'est mon père qui effectua avec certains théoriciens les travaux préparatifs de l'expérience de Philadelphie ainsi que d'autres projets. Qu'est ce que cela à comme rapport avec moi ? Rien si ce n'est le fait que c'est cet homme qui était mon père. Je ne peux approuver ce qu'il a fait mais d'un autre côté, je ne peux m'empêcher de me dire qu'il avait pas mal de cran en venant ici. Il était détesté en Allemagne. Il y avait paraît-il une récompense de 1 million de dollars payable en or pour quiconque le tuerait. Et bien entendu, ils n'y sont pas parvenus. Revenons donc à notre sujet, celui des bases souterraines de grande profondeur.
La fusillade à la base de Dulce
En 1954, sous la férule de l'administration Eisenhower, le gouvernement fédéral décida de contourner la Constitution américaine et de signer un traité avec des entités extraterrestres. Ce traité fut baptisé le " traité Greada de 1954 " dont les accords prévoient que les extraterrestres signataires avaient le droit d'enlever quelques têtes de bétail ou de tester leurs techniques d'implant sur quelques êtres humains, étant entendu qu'ils avaient l'obligation de rendre des compte sur les expériences menées contre les personnes impliquées dans l'affaire.
Petit à petit, les extraterrestres ne respectèrent plus les termes du traité jusqu'au moment où ils décidèrent tout simplement de faire ce que bon leur semblait. Telle était d'ailleurs la situation en 1979. Et c'est à cette époque que survint presque accidentellement la fusillade de Dulce. J'étais occupé à construire des installations annexes à la base militaire de grande profondeur de Dulce qui se révèle sans doute être la base la plus profonde. Elle s'étale sur plus de 7 niveaux, atteignant une profondeur de 2,5 miles (plus de 4km).
A cette époque, nous étions occupés à creuser 4 profondes excavations distinctes dans le désert. Nous avions l'intention de les relier les unes aux autres et de faire exploser de larges portions en une fois de terre pour ce faire. Mon travail consistait à descendre dans ces forages pour prélever des échantillons de terre afin de déterminer le type d'explosif qu'il convenait d'utiliser. Alors que je descendais dans le site des travaux, nous nous trouvâmes confrontés à un grand nombre d'entités extraterrestres aux cœur d'une immense caverne, des extraterrestres connus sous l'appellation de Grands Gris (ndtr : Large Greys en opposition aux short greys ou Petits Gris, humanoïde de type X Files de petite taille).
Je tirai sur deux d'entre eux. A cet instant, il devait bien y avoir une trentaine de personnes impliquées dans cette affaire. Près de 40 autres entités vinrent en renfort après le début de l'incident et tous furent tués. Nous étions tombés par hasard sur une importante base extraterrestre. Plus tard, nous découvrîmes en fait que ces entités extraterrestres vivaient sur notre planète depuis longtemps, peut-être des millions d'années. Ceci peut sans doute expliqué pas mal de choses au sujet des théories relatives aux " anciens astronautes ".Quoi qu'il en soit, je fus blessé à la poitrine par l'une de leurs armes qui se révélaient être une sorte de boîtier qu'ils arboraient sur le corps, une arme qui me troua littéralement le corps et m'infligea une belle dose de radiations au cobalt. J'ai eu le cancer à cause de ça.
Je ne m'intéressai réellement aux technologies relatives aux Ovnis qu'à partir du moment où je commençai à travailler sur le site de l'aire 51 situé au nord de Las Vegas. Au terme d'un délai de plus de deux années passées à récupérer de l'incident de Dulce, je recommençai donc à travailler pour différentes firmes comme Morrisson and Knudson, EG&G etc.…. Sur le site de l'Area 51, ils testaient différents types de vaisseaux extraterrestres bien spécifiques. Combien de personnes sont familiarisés avec l'affaire Bob Lazar ? Il s'agissait en fait d'un physicien dont le travail consistait à appréhender le mode de propulsion de certains de ces vaisseaux.
Autres révélationsÀ la fin de 1979, Thomas C. ne pouvait plus faire face à stupéfiante réalité à laquelle il était confronté. Officier chargé de hautes questions de sécurité sur la base commune extraterrestres/gouvernement américain de Dulce, il avait appris et assisté à des choses perturbatrices. Après un grand tiraillement intérieur, il s'était décidé à déserter l'établissement en emmenant divers éléments.
Muni d'un petit appareil, il prit plus de 30 photos dans différentes zones du complexe multi-niveaux. Il rassembla des documents et s'empara d'une bande vidéo sécurité dans le Centre de Contrôle montrant différents vues de labos, de couloirs, d'aliens et du personnel gouvernemental américain. Puis, coupant l'alarme et le système de caméra dans une des 100 sorties vers la surface, il quitta les installations avec les photos, la vidéo et des documents. Il cacha les originaux après en avoir fait un jeu de cinq copies.Thomas était prêt à entrer à la clandestinité. Mais, quand il alla récupérer sa femme et son fils, il était attendu par des agents du gouvernement en fourgonnette. Sa femme son enfant avaient été enlevés. Il avait été trahi par K. Lomas (un collège). Les agents voulaient ce que Thomas avait pris dans la base en échange de sa femme et de son fils. Quand ce lui est devenu évident qu'ils seraient utilisés dans des expériences biologiques et n'allaient pas lui être restitués sains et saufs, il décida de disparaître. Cela se passait il y a plus de 10 ans. Comment Thomas as t-il été impliqué dans toute cette intrigue secrète ?
Thomas qui a maintenant 50 ans, reçut une formation top secrète en photographie dans une installation souterraine en Virginie Occidentale alors qu'il avait environ 25 ans. Pendant sept ans il a travaillé dans la photographie de sécurité de haut niveau dans l'Armée de l'air. En 1971, il quitta ce travail pour entrer à la Rand Corp à Santa Monica en Californie. En 1977 il a été muté dans les installations de Dulce. Il a acheté une maison à Santa Fe, au Nouveau Mexique et travaillait du lundi au vendredi. Il se rendait à son travail au moyen d'une profonde canalisation souterraine équipée d'une navette en forme de tube.
A cette époque, il avait un compagnon de recherche qui travaillait dans la sécurité à Santa Fe (Nouv. Mex.) et faisait des investigations personnelles sur les apparitions d'Ovnis, les mutilations animales, les groupes maçonniques et de sorcellerie dans le secteur. En 1979, un ami commun vint à Santa Fe leur rendre visite à tous les deux. Le visiteur prit connaissance des photos, de la bande vidéo et des documents sur la Base Dulce. On en fit des dessins qui circulèrent ensuite dans la communauté urologique sous l'appellation de "Dossiers Dulce"
Selon Thomas il y avait plus de 18 000 petits "gris" dans les installations de Dulce. Il y a aussi vu des humanoïdes reptiliens. Un de ses collègues est tombé nez à nez avec un reptoïde d'un mètre quatre vingt qui s'était matérialisé dans sa maison. Le reptoïde s'est montré intéressé par des cartes murales montrant les résultats de recherches aux Nouveau Mexique et dans le Colorado. Elles étaient constellées d'épingles colorées et de marqueurs indiquant les sites de mutilations animales, les cavernes, les emplacements de haute activité d'Ovnis, des trajectoires aérienne habituelles, des sites d'enlèvement, des ruines antiques et des localisations présumées de bases souterraines extraterrestres.
Les installations multicouches de Dulce comportent un NOYAU CENTRAL contrôlé par des forces de l'ordre. Le niveau de sécurité s'accroît au fur et à mesure que l'on descend dans les profondeurs. Thomas avait le niveau d'autorisation ULTRA-7. Il connaissait les 7 degrés mais il est possible qu'il y en ait eu d'autres. On suppose que les extraterrestres occupent les niveaux 5, 6 et 7, le 5 étant celui des logements. La seule inscription en langue anglaise se trouve dans le couloir de la station de la navette-tube et indique "vers Los Alamos". Il existe des liaisons de Dulce vers des installations à Page en Arizona puis vers une base souterraine au-dessous du Secteur 51 au Nevada. Dulce est également relié à des établissements en dessous de Taos, Nouveau Mexique; Dati (N.M.); Colorado Springs, Colorado; Creed, Colorado; Sandia' puis à Carlsbad, Nouveau Mexique. Il semble qu'il existe un vaste réseau souterrain de connections sous les États Unis constituant un système global de tunnels et de citées souterraines.
Dans la Base de Dulce, la plupart des inscriptions sur des portes et dans les couloirs sont dans une langue extraterrestre ou dans un système symbolique universel compris par les deux cultures. Thomas a déclaré qu'à partir du second niveau tout le monde se dénude, est pesé et se voit attribuer un uniforme. Les visiteurs ont un uniforme blanc cassé composé d'une combinaison zippée. Le poids de la personne est enregistré chaque jour sur une carte d'identification informatisée. Chaque changement de poids est contrôlé et au-dessus d'un 1.5 kilos un examen physique et une radio sont exigés.
On trouve des balances fixées au sol sous les portes d'accès à toutes les zones sensibles. Le personnel insère sa carte d'accès dans une fente de la porte et tape son code d'accès. Pour que la porte s'ouvre, le poids et code doivent correspondre à ce qui est enregistré sur la carte. En cas de désaccord la sécurité est immédiatement appelée. Personne n'est autorisé à transporter quoi que ce soit. Toutes les fournitures sont acheminées par convoyeur et passées aux rayons X. Le retour d'une zone sensible s'effectue dans les mêmes conditions.
Tous les ascenseurs fonctionnent magnétiquement, ils ne comportent pas de câbles. Le système magnétique se trouve dans les murs du puits, il n'y a aucune commande électrique classique. Tout est contrôle par des procédés magnétiques avancés, y compris l'éclairage. Il n'y a aucune ampoule électrique ordinaire et les tunnels sont illuminés par des dispositifs fluorescents à émissions larges bande . Dans certains profonds tunnels on utilise une sorte de pentoxyde phosphoreux pour l'éclairage temporaire. Pour des raisons inconnues les aliens ne pénètrent pas dans ces zones.
Au niveau 1 se trouve le garage pour la maintenance de la surface.
Le niveau 2 héberge les trains, les navettes, des foreuses et la maintenance des disques.
Dans le niveau 4 on fait des recherches sur l'aura humaine, et également sur tous les aspects de télépathie, l'hypnose et des rêves. Thomas dit qu'ils savent comment séparer le corps bio plasmique du corps physique pour placer la matrice-d'énergie-vitale d'une entité extraterrestre dans un corps humain après avoir enlevé la matrice-d'énergie-vitale spirituelle de l'homme.
Le niveau 6 est surnommé "le Hall du Cauchemar." On y trouve les laboratoires de génétique où des expériences sont menées sur des poissons, des phoques, des oiseaux et les souris dont on altère énormément la forme originale. Là, se trouvent des humains à plusieurs bras et à plusieurs jambes, diverses cages et cuves contenant des créatures ressemblant à des chauve souris de plus de deux mètres. Les extraterrestres ont énormément enseigné aux humains en matière de génétique, des choses à la fois utiles et dangereuses.
Les gris et les reptoïdes sont éminemment analytiques et très orientés vers la technologie. Ils ont été en guerre dans le passé avec des humains de type nordiques provenant d'autres civilisations spatiales et il est possible qu'ils fassent étape ici en vue d'un conflit futur. Fous d'informatique et de bio-ingénierie ils sont poussés à mener d'irresponsables expériences sans égard pour ce nous considérons être moral et empathique vis à vis d'autres êtres vivants.
Les principales organisations gouvernementales impliquées dans la cartographie génétique humaine, le "Projet Génome", sont le Ministère de l’Énergie (largement présent sur le Site d'Essai du Nevada); l'Institut national de la Santé; la Fondation Nationale pour la Science; L'Institut Médical Howard Huges; et, bien sûr, les laboratoires souterrains de Dulce qui sont qui sont dirigés par le Department of Defense (DOD, Ministère de la défense). Thomas avait révélé que le chef des expérimentations génétiques pour Los Alamos et Dulce était Larry Deaven.
Selon Thomas, l'extraterrestre androgyne se reproduit par parthénogenèse. A Dulce la forme la plus courante est celle du fractionnement embryonnaire. Chaque embryon se divise en 6 à 9 "cunne" individuels (prononcer counet), c'est-à-dire des enfants de mêmes parents. La nourriture nécessaire à la croissance du cunne consiste en une "formule" habituellement composée de plasma, de deoxyhemoglobine, d'albumine, de lysozyme, d'une solution électro-positive, de liquide amniotique et autre. Le terme de "génome" est utilisé pour décrire la totalité des chromosomes uniques à un organisme particulier (ou d'une cellule de cet organisme), par opposition au génotype, qui est l'information contenue dans ces chromosomes. Les gènes humains sont situés à des emplacements chromosomiques spécifiques. Leur décryptage constitue un ambitieux projet qui prendra des années et nécessitera énormément de ressources informatiques.
La BIOTECHNOLOGIE extraterrestre et humaine est-elle destinée à nous soigner et à nous rendre service ou bien à nous contrôler et nous dominer ? Pourquoi les personnes enlevées par des Ovnis ont-elles été utilisées dans des expériences génétiques? C'est au moment où Thomas a vu des humains en cage au niveau 7 de la base de Dulce que les choses on atteint un summum pour lui. Des milliers d'êtres humains, des restes de mixture humaine, des embryons d'humanoïdes conservés en chambre froide rangées après rangées. "J'ai souvent rencontré des humains en cages, ils étaient d'habitude hébétés ou drogués mais parfois ils criaient et suppliaient qu'on les aide", disait volontiers Thomas.
On nous avait dit que ces personnes étaient irrémédiablement folles et employées pour des tests à hauts risques de médicaments destinées à guérir la folie. On nous avait recommandés de ne jamais leur parler. Au début on avait cru à cette histoire. Finalement en 1978 un petit groupe d'ouvriers a découvert la vérité. Et c'est la que les guerres de Dulce ont commencé."
Plus récemment encore, une équipe de chercheurs est montée jusqu'à Archuleta Mesa pour procéder à des sondages sonores du sous-sol. Une première analyse par ordinateur semble y indiquer la présence de cavités profondes. Pendant combien de temps cette zone du nouveau Mexique connue des initiés sous le nom de section 'D' restera t-elle impénétrable et muette? A jamais?Source : Phil Schneider & Paul Bennewitz
Pine Gap, Australie
La base de Pine Gap, comme on l'appelle communément, porte officiellement le nom de Joint Defence Space Research Facility (base conjointe de recherches spatiales de défense). Toutefois, les Australiens, eux, disent "Pine Gap". La base de Pine Gap a eu plusieurs fonctions. A l'origine, elle a servi à la recherche et au développement de la technologie spatiale de défense. La responsabilité première de la base revenait à la U.S. Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) située au USA.
Au cours des premières étapes d'implantation de Pine Gap, le Directeur de la DARPA était Stephen J. Lukasik. Les membres-clés de son personnel étaient : 1) Kent Kresa, adjoint spécial pour la technologie de guerre sous-marine et directeur de la technologie tactique, 2) Lawrence G. Roberts, directeur des techniques de traitement des informations, 3) Eric H. Willis, directeur de la recherche de surveillance nucléaire, 4) David E. Mann, directeur de la technologie stratégique et 5) le lieutenant colonel Austin W. Kibler, directeur de la division de recherche sur les ressources humaines.
Tapie dans une petite vallée au pied des montagnes, au sud de la chaîne de Macdonnell, à environ 19 km en avion du centre de l'Australie, se trouve l'une des merveilles du monde moderne. Les entrées de surface apparentes de cette retraite supertechnologique se situent par 23 degrés 48 min sud sur 133 degrés 43 min est. C'est en Australie, l'une des trois plus importantes bases ultra-secrètes que finance le gouvernement des États-Unis.Pine Gap est installée sur ce que l'on croit être le puits d'eau le plus profond et le plus droit qui fut jamais foré en Australie. Il a une profondeur d'au moins 8.535 mètres (8,5 km).
Ce puits pourrait aussi servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité à très basse fréquence. Etant donné que Pine Gap mène apparemment des recherches autant sur la haute atmosphère que sur le sous-sol, il est très probable, à moins que ce ne soit pour une autre raison, que l'antenne du puits serve à syntoniser un énorme champ d'onde stationnaire autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait facilement être syntonisé sur des fréquences allant de, disons 9000 cycles par secondes à 14.336 cycles par secondes ou hertz, soit suffisamment pour produire un champ résonnant électrique à une altitude de 400 km.On a aussi entendu dire que Pine Gap possédait une centrale nucléaire très grande pour alimenter son énorme émetteur-récepteur. Au nombre des autres projets que la rumeur a fait circuler, citons des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie... utilisés probablement dans de nouvelles méthodes de production d'énergie, un rayon de la mort, ou canon à plasma et même des émissions spécialisées d'énergie servant à recharger les sous-marins électriques loin dans l'océan Indien. Il est à peu près certain que les premières versions de l'émetteur-récepteur à très basse fréquence de Pine Gap, près de la Baie d'Exmouth en Australie, servait et sert encore à la transmission de courants électriques sous-marins très puissants aux sous-marins américains qui remorquent de longues antennes derrière eux. On sait, aussi, que l'électricité transmise de cette manière peut être suffisamment puissante pour recharger les batteries de bord à haute tension appelées cellules d'emmagasinage de plasma dynamique.
Le Nation Review, un journal national australien, disait certaines choses intéressantes sur Pine Gap, dans son numéro du 17 et 23 mai 1974 :
"La base de recherche de Pine Gap, près d'Alice Springs, a réussi à tenir secret jusqu'à ce jour l'un des projets de recherches les plus incroyables du monde.
Les Etats-Unis mènent des recherches continues sur la propulsion électromagnétique (PEM) à Pine Gap depuis sa création en 1966.Nixon (ancient président des Etats-Unis) annonçait que 1975 était la date cible pour le parachèvement du projet. A ce moment, cette réalisation devait estomper la crise du pétrole.
Des défauts de dernière minute dans la conception et le fonctionnement des véhicules PEM auraient probablement repoussé la date de quatre autres années (note de l'auteur)
Pour des raisons de sécurité, le projet PEM comprenait des clés hypnotiques et post-hypnotiques implantées chez le personnel avant qu'il ne soit reçu dans le projet. Il est fort probable, toutefois, que cette technique ait été remplacée, à présent que l'on sait que l'un des effets secondaires du LSD et d'autres hallucinogènes est justement d'affaiblir partiellement les effets hypnotiques.Selon beaucoup de témoins oculaires, des disques blancs d'environ 9 mètres de diamètre portant les inscriptions "U.S. Air Force" ont été livrés en Australie dans de gros avions militaires... qui ont atterri à l'un ou l'autre des deux aéroports qui desservent Pine Gap. D'autres témoins disent avoir vu ces mêmes avions décharger une quantité phénoménale de meubles modernes, de nourriture et d'autres provisions que l'on s'attendrait ordinairement à voir dans un hôtel "rupin". Se pourrait-il que près de la très évidente base Pine Gap il y ait une ville souterraine construite sur plusieurs niveaux ?...
Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu'il est convenu d'appeler un abri destiné à recevoir le personnel-clé des Etats-Unis en cas de catastrophes météorologique naturelle ou d'attaque nucléaire à l'échelle mondiale dont le nom de code serait Noah's Ark (l'arche de Noé)?...Sait-on jamais...
Si quelqu'un doute du degré de surveillance orbital qu'il est possible d'atteindre aujourd'hui, un communiqué de presse de 1973 sur les autres fonctions de Pine Gap devrait le convaincre. Le communiqué indiquait que Pine Gap et sa station soeur, Guam, entretenaient des satellites photographiques dans le cadre de ce qui fut appelé Operation Big Bird (opération grand oiseau).
Chacun de ces "oiseaux" pesait 9 tonnes, mesurait 16 mètres de longueur sur 3 mètres de largeurs, pouvait balayer la surface entière de la terre toutes les 24 heures et pouvait modifier son altitude sur 160 à 320 km pour prendre des photos rapprochées de secteurs intéressants. Chaque fois que le centre de contrôle demandait à "l'oiseau" de prendre une vue rapprochée ou une photographie à haute résolution d'une zone stratégique donnée, il utilisait un énorme appareil Perkin-Elmer pour prendre une photographie à basse altitude de l'objectif. Les photos que l'on tirait étaient tellement claires que des objets de quelque 30 cm de largeur étaient identifiables.
Les "oiseaux", de même que les premiers satellites du programme 647, utilisaient des capteurs à infra-rouges et des films. Il est à peu près certain que les russes ont des systèmes équivalents en opération. Big Brother nous regarde...
Au Transvaal, en Afrique du Sud, se trouve une station similaire à Pine Gap. Mais il est difficile d'obtenir des renseignements à son sujet. La plupart des employés qui y travaillent se font passer pour des employés consulaires américains. Cependant, un personnel consulaire de 1200 personnes, c'est pour le moins excessif. Comment s'appelle cette station ?... est-ce Krugersdorp ou Koedespoort...? Cet endroit aurait aussi un lien avec une autre station de TBF (très basses fréquences) au pôle Sud. L'opération Deep Freeze (opération surgelé)?... n'est-ce pas une étrange coïncidence que les deux grilles dont parlait le capitaine Bruce Cathie (dans son ouvrage intitulé : Harmonic 695) aient des pôles situés au pôle Sud aussi?...
Certains des principaux entrepreneurs et fournisseurs de Pine Gap ont été Collins Radio, Ling-Tempco-Vought (L.T.V.), tous deux du Texas, McMahon Construction et I.B.M.
Le bruit court aussi qu'au fond du puits, sous la base, des super systèmes informatiques IBM reposeraient sur une plate-forme.L'existence d'un émetteur-récepteur d'énergie à TBF et des machines volantes électriques n'est pas si difficile à croire. On se souviendra que L.T.V. est une société aérospatiale qui constitue un conglomérat de filiales dans la fabrication d'appareils électroniques et d'avions. IBM a aussi, il y a longtemps, mis au point des ordinateurs géants comportant des unités de mémoire principale cristallines et refroidies à l'extrême. Ces ordinateurs sont capables de reconnaître la voix et des formes visuelles. La capacité de leur mémoire principale serait supérieure à 2 milliards d'octets (caractères)! N'est-il pas possible qu'il y ait certains secrets que le gouvernement invisible de la Terre ait cachés à ses sujets?...
Il faut se rappeler qu'il y avait plus de 100.000 personnes qui travaillaient au Projet Manhattan pour produire la première bombe atomique. Ce secret a-t-il filtré pour aider les Japonais?...
La pointe d'un compas placée sur Pine gap et l'autre s'étendant jusqu'à Perth, formera, lorsque l'on trace le cercle, un cercle autour de l'Australie qui passe par les secteurs suivants : Perth, l'émetteur-récepteur TBF d'Exmouth, Brisbane, Canberra, Sydney, Melbourne (le long de la péninsule de Mornington et une zone un peu au large du Cap Otway entre le cap et l'île King.
Soit dit en passant, Darwin et Adelaïde tombent sur un cercle autour de Pine Gap dont le rayon est de quelque 1200 km et des poussières alors que la zone dont il était question plus haut donne un rayon d'un peu plus de 1900 km. Le ministère des Transports (qui s'appelait ministère de l'Aviation civile auparavant) enregistre Pine Gap comme R233 sur les cartes de navigation pour cette zone. R233 est un espace aérien limité réservé à la recherche spatiale (c'est-à-dire, ne volez pas dans la zone indiquée sur la carte). L'espace R233 est un cercle d'un rayon de cinq milles miles marins dont le centre est Pine gap.Etranges spirales et lignes à l'intersection de Hatt Rd (entrée à Pine Gap) et Stuart Hwy.
Révélations
Le Dr steven Greer eu le témoignage d'une personne ayant travaillé dans un projet top secret, avoua que lors d'un transfert en hélicoptère à Pine Gap, il vécut une expérience tout à fait inhabituelle, le flanc de la colline d'apparence normale, s'ouvrit comme s'il s'agissait d'un hologramme.
L'appareil pénétra profondément jusqu’à un endroit où se trouvaient d'énormes Ovnis de fabrication humaine dont certains étaient de formes triangulaires.L' A.U.T.E.C
Le centre d’évaluation et de tests sous-marins de l’Atlantique (AUTEC – Atlantic Undersea Test and Evaluation Center) est situé en plein cœur du triangle des Bermudes. Il est utilisé en grande partie par l’armée. Sa mission est inconnue du grand public.
Une base secrète
Le centre de recherche est situé à 280 km au sud-est de West Palm Beach (Floride), sur l’île d’Andros. Il couvre aussi une zone appelé la « langue de l’océan » : il s’agit d’un profond ravin océanique des Bahamas, séparant l’île d’Andros et la Nouvelle Providence. A cet endroit, la profondeur de l’océan varie de 3 mètres (le long de la côte de l’île d’Andros) à près de 2000 mètres sur une distance de seulement 150 km.
Le centre s’étend sur 250 hectares sur Terre, mais dispose d’une superficie impressionnante de 430 000 hectares dans l’océan. La base est dotée d’un système de sécurité très performant, et son accès est très restreint. Bien entendu, aucun film ni photo n’est autorisé sur place.
L’AUTEC est parfois assimilé à l’équivalent sous-marin de la base 51 de l’armée américaine (une base secrète où le gouvernement aurait fait des études sur les extra-terrestres, et où certains témoins affirment avoir vu des OVNI). Au sein même de l’AUTEC, des anomalies électromagnétiques auraient pu être reproduites, ce qui n’est pas sans danger pour les navires et aéronefs environnants.
Plus troublant encore : de mystérieux engins ont été aperçus à plusieurs reprises dans les environs de l’AUTEC. Les témoins décrivent des engins effectuant des mouvements inhabituels : virages très serrés, accélérations incroyablement rapides, … Un témoin raconte avoir été à 3 km d’un objet inanimé qui flottait sur l’eau. Il croyait voire une baleine. Il s’est ensuite approché à 800 mètres. L’objet brillait étrangement, et ressemblait plutôt à engin futuriste. Soudain, l’engin décolla et s’éloigna au dessus de l’eau à une vitesse incroyablement élevée, puis disparut sous l’eau.
Les activités mystérieuses de cette base sous-marine secrète ont soulevé beaucoup de questions dans le clan des chercheurs enquêtant sur les disparitions du triangle des Bermudes.
Les trous bleus
Les marins qui naviguent dans les eaux peu profondes des Bahamas ont souvent la surprise de voir soudain disparaître le sable blanc du fond de la mer dans ce qui apparaît comme un trou d’un bleu intense. Dépassant parfois 100 mètres de profondeur, ces trous bleus sont en fait des grottes sous-marines formées il y a environ 18 000 ans. On les trouve surtout dans l’archipel des Bahamas.Des courants extrêmement puissants se forment et donnent naissance à des tourbillons dangereux pour les plongeurs. Ces tourbillons peuvent même faire couler de petits bateaux.
Le plongeur Rob Palmer pensait que ces trous étaient des points de transit pour les OVNI qui venaient d’une autre dimension. Ses enquêtes l’on mené de plus en plus près de la base de l’AUTEC, où ces trous bleus sont présents en très grands nombres.
Ces installations sont : Groom Lage (Area 51) au Nevada; Dugway Proving Ground en Utah, Cheyenne Moutain (Space Command) dans le Colorado et White Mountain en Arizona. Quant aux lieux où il ne s'agit pas d'activités normales et quotidiennes: les laboratoires Lawrence Livermore, les bases d'El Toro, de China Lake Naval Air Stations et la base de l'Air Force d'Edwards en Californie. En Floride, les bases d'Englin, de Mc Dill et de Maxwell AFb (Air Force Base) qui servent les Space Centers à Cap Canaveral et Kennedy et enfin dans le Maine, la base de Loring AFb.
Surfing; Pouvez-vous nous en dire plus à propos des événements au quotidien qui se dérouleraient à Cheyenne Mountain?
Maynard: Tout d'abord, je voudrais que vous compreniez un petit peu de l'arrière-plan de ce qui se passe à Cheyenne Mountain, ce qui donnera au lecteur une image concrète de ce dont nous parlons lorsque nous évoquons "des contacts quotidiens".
Il y a longtemps, il y avait une organisation appelée Space Command, il y avait également le Norad (North American Air Defense Command, le centre de commandement de la défense aérienne nord-américaine) qui a été déployé pour protéger le continent nord-américain de toute attaque. Il s'agissait de la raison principale pour laquelle on a construit le complexe de Cheyenne Mountain. Le but principal de cette organisation mixte americano-canadienne était de soutenir le SAC , le Strategic Air Command et le programme de défense aérienne par missiles (Missile Air Defense Program).
Au fil du temps, la surveillance par satellite a été incorporée dans la structure de commandement d'une l'organisation moins connue appelée NRO, le National Reconnaissance Office, le bureau national de reconnaissance. Le NRO est typiquement une organisation constituée pour les opérations occultes (Black Ops type organisation). C'était la tâche de la NRO d'obtenir de l'information via le système Ariel et/ou l'imagerie par satellite. Au fil de l'accroissement exponentiel de l'activité spatiale dans le processus, une autre structure de commandement a été installée pour prendre en charge ces activités de façon autonome. C'est cette structure qui a été baptisée le Space Command.
C'est du ressort et de la responsabilité du Space Command de maintenir un flux consistant et ininterrompu de données à propos des activités au quotidien sur terre et dans le proche espace des véhicules spatiaux entrant dans notre atmosphère. Cette structure de commandement est soutenue conjointement par toutes les organisations militaires aussi bien que par la Nasa et par différentes firmes privées du complexe militaro-industriel tels que Hugues, EG&G and Dryden et SAC.
Toutes ces organisations fournissent de l'argent; de la force de travail et des activités de soutien. Jusqu'à un certain degré, il s'agit d'un processus conjoint dans lequel le NRO s'avère être à la base une opération dirigée par l'Air Force et soutenu par tous les commandements militaires. Les 3 organisations, le NRO, le Norad et le Space Command sont directement soutenues opérationnellement par la NSA, la National Security Agency (Agence nationale de sécurité chargée en autre du contrôle des communications) et en retour, elles fournissent à la NSA des informations.
Le Space Command agit comme un contrôleur de trafic aérien pour toutes les activités au-dessus et autour du territoire américain. J'ai œuvré en matière de collecte d'informations pour corroborer mes allégations concernant ces contacts quotidiens.
Ces dernières années, il y a eu une série d'incidents avérés ou présumés qui pourraient indiquer l'existence de contacts avec des Ovnis ou des extraterrestres sur une base quotidienne. Même si ces incidents sont au mieux suspects, on relève dans chaque incident une série de facteurs sans rapport les uns avec les autres et qui résonnent de façon familière. Après avoir minutieusement examiné chacun de ces incidents (que je ne me sens pas à l'aise de nommer en ce moment) et dans la poursuite de mes recherches ininterrompues, j'ai noté des similitudes et des schémas de désinformations qui ont été utilisés de façon à ce que les gens se moquent des faits qui ont été rapportés. Après avoir mis en œuvre mes connaissances en matière de désinformation, j'ai commencé à percevoir la vérité derrière chacun de ces incidents. Cela m'a poussé à accroître mes propres recherches qui se sont poursuivies jusqu'à aujourd'hui et n'impliquent pas seulement le complexe de Cheyenne Mountain. J'espère bientôt avoir un document prêt à être publié plus tard cet automne ou cet hiver avec les résultats de ce que j'ai découvert.
Puerto rico, une île sous haute surveillance
"Ce petit pays est le théatre de si fréquents événements inhabituels qu'on y a instauré une journée nationale ovni"
Introduction:
Dans cet article nous allons tenter de vous décrire la situation spectaculaire que vivent au niveau ufologique les habitants de l’île de Puerto Rico, territoire hispanique des Etats-Unis. Cette île de 959 km carrés, avec ses îlots attenants, située à l’est de la République Dominicaine, entre la mer Caraïbe et l’Océan Atlantique (18,15 N, 66,30 W), connaît des événements sans pareil dans le monde au niveau des observations d’ovnis. Cette situation étant à peu de chose près complètement méconnue en France, nous avons souhaité prendre des contacts sur place auprès de groupes d’ufologues qui sont au coeur de la tourmente depuis maintenant plusieurs années. Avec le temps, la confiance s’est instaurée, et ces chercheurs courageux, ces enquêteurs de terrain sont peu à peu devenus nos amis. Beaucoup de spécialistes penchent pour l’existence de vastes bases aliens sous-marines et souterraines dans et autour de Puerto Rico. Vous allez à présent découvrir l’ampleur du phénomène et entrer progressivement dans cette zone de turbulence ufologique unique au monde. Vous verrez que le nombre d’incidents observés par la police, les officiels et l’armée apporte une crédibilité énorme à cette thèse de la présence alien sur l’île.
Comme nous le verrons lors de la lecture de cet article, il se déroule sur Puerto Rico une quantité impressionnante d’incidents étranges : des atterrissages d’ovnis observés sur les terrains de la Navy ; des révélations extraordinaires faites par le personnel de Sécurité de la Navy, affirmant sans sourciller, la présence d’ovnis et d’aliens sur l’île de Vieques ; une éventuelle activité en commun, peut-être, selon les Portoricains, un programme secret de contacts de militaires et d’aliens ; des combats parfois observés entre des jets américains survolant l’île et des ovnis ; des zones terrestres aux changements électromagnétiques plus que curieux. Pour vous parler de tout cela, et parce que pour nous, le sérieux des sources compte plus que tout, nous avons choisi de citer la plupart du temps le journaliste et ufologue mondialement connu : Jorge Martin, de Puerto Rico, lequel nous a aimablement autorisé à nous référer à son remarquable et courageux travail. Il est très important pour le lecteur de langue française de se rendre compte de la situation que vit au jour le jour ce petit état car elle est très symptomatique d’une accélération généralisée d’étranges phénomènes et de leur importance.
Vous verrez, cela ne laisse pas indifférent…un public averti en vaut deux, n’est-il pas vrai ? Sachez que le sensationnalisme n’est pas notre motivation, au contraire. Seule la quête de vérité nous intéresse. À ce propos, nous avons déjà eu à maintes reprises l’occasion de refuser des documents classifiés extraordinaires, qui nous étaient présentés par d’étranges intermédiaires, comme des preuves ; nous avons refusé aussi de nombreux témoignages à faire se dresser les cheveux sur la tête, simplement par un souci d’exigence et d’honnêteté vis à vis de nos lecteurs. Une petite enquête, voire même quelques coups de téléphone permettent en général de mettre en lumière la fragilité des témoignages, et de réduire à néant l’authenticité ou du moins l’importance de certains documents que nous avons pu recevoir… Il nous arrive cependant de faire des erreurs, et d’étaler même notre ignorance, nos faiblesses, et notre incompétence dans certaines affaires, mais nous essayons en tout cas de résister toujours aux sirènes du “merveilleux à tous les étages” afin de ne pas sombrer dans le “n’importe quoi” qui nous attend à chaque virage et nous tend la main avec son sourire séduisant et son cortège de vérités déguisées.
Nous avons affiché la même réserve avec ces dossiers de Puerto Rico, mais nous vous les présentons aujourd’hui car ils offrent une garantie d’authenticité et un taux de crédibilité inégalable. Il est d’ailleurs parfaitement scandaleux que nos médias ne relaient pas une situation qui perdure depuis longtemps, s’aggravant exponentiellement depuis cinq ans environ. Que ferions-nous si tout cela se passait chez nous ? Et comme me le faisait remarquer un ami : que ferons-nous le jour où peut-être cela se passera chez nous ?
Récits et histoire ufologique de l'île
Un rapport scientifique.
Le Dr Mark Carlotto a rendu public récemment un rapport scientifique sur les nombreuses anomalies apparaissant sur les vidéos des missions de la navette spatiale STS-48 et STS-8O. Ce qui attire notre attention dans ce rapport c’est que le Dr Carlotto nous parle d’une anomalie (dénommée F-1), consistant en un large objet lumineux, dont l’origine viendrait selon lui, d’une zone à l’est de Puerto Rico, en mer, localisée à un point précis, au sud de l’île de Vieques. L’objet d’une taille conséquente, filmé par la navette, serait sorti de la mer à cet endroit puis serait monté dans l’atmosphère et aux parages de la navette aurait viré sur la gauche pour disparaître.
Or il se trouve que de très nombreuses observations d’ovnis ont été faites dans la région. De nombreux témoignages enregistrés depuis plus de cinq ans et rapportés par la Police d’État de Puerto Rico, ainsi que par la Police municipale de Vieques, le personnel de la Navy et des employés et officiels du gouvernement municipal, viendraient justement entre autres de cet endroit. Ce rapport scientifique du Dr Mark Carlotto confirme donc depuis une observation de l’espace ce qu’ont vu des centaines de témoins depuis plusieurs années. À savoir de gros objets lumineux sortant et entrant dans les eaux de Puerto Rico, toujours dans les mêmes zones. Mais un autre événement de taille allait mettre le feu aux poudres dans l’île…
L’Ordre Spécial Secret du Président Clinton.
Tout d’abord, pour bien comprendre la situation de la région de Puerto Rico, quelques informations s’imposent pour le lecteur de langue française : l’île de Vieques (Lat 18,13°N, Long 65,40°W, 34 Km de long sur 5 Km de large, habitants : 10.000) est depuis 62 ans coupée en trois zones : deux zones sont inaccessibles aux habitants. La partie Est, qui sert de zone de tirs, bombardements expérimentaux et essais de nouvelles armes pour la Marine de Guerre des USA, et la zone Ouest, qui sert de zone militaire réservée avec installations radars. Seule la partie médiane est habitée et tous les week-ends de nombreux Portoricains y viennent pour profiter des belles plages et des beaux paysages. Depuis plusieurs années, comme vous pouvez vous l’imaginer, un mouvement pacifique civil important s’est créé pour demander l’arrêt des tirs dangereux pour la santé des habitants et la restitution des terres de l’île à ces derniers pour un usage civil plus concordant avec la joliesse d’une petite île très touristique des Caraïbes. Il existe aussi un mouvement pro-indépendantiste qui se greffe aisément là-dessus (Vieques fut annexée en 1854 à Puerto Rico).
Or le 4 mai 2000 pendant une importante manifestation totalement pacifique, protestant contre la prolifération de pollutions et de maladies graves suite aux tirs en cours sur l’île, à la surprise générale (cela ne s’était jamais produit) plusieurs civils furent arrêtés. Peu de temps après, un embargo fut réalisé par les bateaux des garde-côtes US de Vieques tout autour de l’île, bloquant ainsi les pêcheurs, les empêchant totalement de sortir en mer pour gagner leur subsistance. Tout cela mit en émoi la population mise sous une pression insupportable. C’est alors que pendant une émission radio à Puerto Rico (“Crossfire”, “Feux croisés”) un analyste : Carlos Gallà osa demander sur quels ordres les garde-côtes US avaient agi, car normalement ce n’est pas à eux de prendre une telle initiative, celle de bloquer toute une population sur son île.
La tension était telle que l’on apprit rapidement pendant l’émission que les garde-côtes avaient agi sous un ordre classifié du Président Clinton lui-même déclarant la zone de Vieques, territoire américain, je vous le rappelle, une : “…zone de rébellion.” Les analystes rétorquèrent que cela n’avait aucun sens. Il s’agissait d’une manifestation parfaitement civile et pacifique laquelle se déroulait dans le plus grand calme. (Il y en avait déjà eu bien d’autres auparavant). Poussés dans leurs retranchements et sous la pression du public, on apprit alors que ce fameux ordre secret du Président Clinton avait été publié sous les dispositions du US National Security Act et disait que la situation en cours à Vieques : “…affectait dangereusement les relations des Etats-Unis avec une autre nation, une puissance étrangère et que c’était très dangereux pour les intérêts de sécurité nationale des Etats-Unis.” Oui, vous avez bien lu !…
L’analyste demanda immédiatement de quelle nation il s’agissait, car une telle justification pour un tel ordre n’avait aucun sens ! Sans le savoir, il avait posé le doigt sur un point très sensible, un point aux implications majeures... La vérité c’est qu’aucune des nations participant aux exercices militaires avec l’US Navy sur et autour de Vieques ne représentent un danger pour les Etats-Unis. Alors ? Quelle est donc cette mystérieuse “puissance étrangère”?! Pour les journalistes et analystes Portoricains, cette mystérieuse puissance étrangère pourrait bien être une référence à une civilisation alien vivant en partie, selon beaucoup de témoignages, dans des zones souterraines à “El Yunque”, dans la région Est de Puerto Rico et sous la mer autour de Vieques et aussi au large des côtes Ouest de Puerto Rico. Nous vous en reparlerons en détails dans de prochains articles. Voici en attendant quelques exemples en faveur de cette thèse :
Il s’agit des témoignages du Directeur de la Police Municipale de Vieques, l’officier Wilfredo Feliciano. La première de ses observations eut lieu pendant l’été 1997 autour de 21 h. Le Directeur roulait sur la route 997 qui va d’Esperanza au secteur d’Isabel II. Quand il arriva à l’intersection de Marta’s Alley, il perçut une intense lumière jaune suspendue sans mouvement dans le ciel. Intrigué, il gara sa voiture sur le côté gauche de la chaussée pour mieux observer cette lumière parfaitement inhabituelle. Il déclara : “- C’était vraiment un très gros triangle, complètement nimbé d’une lumière jaune très brillante. Il était à peu près à 500 pieds au dessus du terrain de Camp Garcia (terrain militaire). Pour l’altitude je me basais sur l’observation d’arbres voisins. Ce qui m’intrigua le plus c’est que cet objet était comme suspendu juste au dessus d’une piste d’atterrissage de la US Navy qui y fait décoller et atterrir beaucoup d’avions…et que cet objet était un Ovni. Or il n’y avait pas d’exercices militaires à ce moment là, aussi que faisait cet objet, ce triangle de lumière au dessus de la piste ? Pensant que j’étais en train d’observer quelque chose que je n’étais pas censé voir, j’ai quitté l’endroit rapidement. Mais j’ai réalisé depuis lors que quelque chose d’étrange se passait sur les terrains contrôlés par la Navy.”
“Quelques jours plus tard, ma femme m’a dit avoir vu exactement le même type d’objet suspendu exactement au dessus du même endroit à Camp Garcia. Le week-end suivant en allant chez sa mère nous avons vu un autre de ces triangles. À ce moment là nos fils étaient avec nous dans la voiture et ils l’ont vu aussi.” L’officier et sa famille ont observé l’objet à une distance de 2 miles et même à cette distance ils ont décrit un objet de très grande dimension. Wilfredo Feliciano a confié à l’équipe de J. Martin qu’une partie de ses fonctions à la police municipale était de patrouiller à l’Ouest de Vieques qui est sous contrôle de la Marine US. Il a eu souvent l’occasion d’observer des ovnis extrêmement brillants émergeant de la mer dans le secteur de Puntas Arenas et volant à très grande vitesse dans le ciel nocturne. Ces objets viraient souvent dans le ciel avec de brusques angles à 90°. Il fut témoin de cela à de nombreuses reprises et c’était toujours entre 21h et 23h et parfois vers 2h et 3h du matin. Les ovnis surgissaient de la mer, à un point juste au milieu entre Punta Arenas et la station navale Roosvelt Roads à Ceiba.
De grandes soucoupes absorbent à leur bord de l’eau de mer.
Le témoin Carlos Zenon est un pêcheur de Vieques impliqué dans le mouvement pacifique civil contre les bases militaires et leurs polygones de tirs sur l’île. Aussi bien lui que ses deux fils ont subi des périodes d’incarcération dans les prisons fédérales US à Puerto Rico pour leur engagement à cette cause. Ce témoin est connu pour son sérieux et franc-parler par toute la communauté de l’île. Voici les propos qu’il a tenus aux enquêteurs de J. Martin : “Ces événements ne sont pas nouveaux à Vieques. Une fois en 1996 alors que je pêchais avec d’autres à environ 2 miles au Sud d’Esperanza, il était 21 h quand nous avons soudain observés quelque chose d’inattendu. Nous avons vu plusieurs lumières très brillantes en forme de sphères sortant du sommet de Cerro Ventana (une montagne localisée au sud de Vieques).
Ces globes lumineux bleus blancs ont tourné autour de la colline puis se sont dirigés vers la mer plein Sud passant juste au-dessus de nous. Ils ont fait plusieurs cercles rapides et des angles à 90°. On pouvait entendre un léger sifflement provenant d’eux, pratiquement inaudible. Ensuite ils sont retournés vers Playa Grande et Cerro Ventana, zones contrôlées par l’US Navy et ils ont disparu dans la montagne. C’était comme s’ils avaient traversé le flanc de la montagne…Mais l’événement le plus impressionnant est survenu une autre nuit. Nous avons en effet rencontré un énorme objet alors que nous étions en train de pêcher au large. J’étais avec Anibal Corcino et son père et nous venions juste de quitter La Esperanza. Je ne me suis pas aperçu de la présence de l’objet de suite car j’étais le capitaine et en charge du gouvernail. Anibal et son père l’ont vu immédiatement et ils se sont mis à hurler. Je me suis retourné et j’ai vu cet énorme engin. Il venait de la mer près des lagons de Playa Grande, au Sud où la Navy a ses systèmes radars ROTHR (Radar Over The Horizon) installés. Et il se rapprochait de nous en volant. C’était un extraordinaire vaisseau, énorme, avec plein de lumières tout autour. C’était une soucoupe volante, un navire en forme de disque, mais vraiment immense de taille. Il était à une certaine distance de nous mais il était très visible à cause de sa taille et de ses lumières jaunes, bleues et rouges. Mais le plus incroyable c’était que cet objet prenait de l’eau de la mer.
L’eau à la surface de la mer faisait de petits tourbillons comme lorsque l’eau bout. Et l’eau montait en une colonne tourbillonnante à bord de l’ovni. Nous étions tous impressionnés. C’était la première fois de ma vie que je voyais une chose pareille. De là où nous étions le vaisseau semblait avoir à peu près 12 à 15 mètres de diamètre et nous étions à 2 Km de lui. Cela peut vous donner une petite idée de sa taille.Ce qui nous a le plus impressionné, c’est qu’il aspirait l’eau de la mer et que cette eau tourbillonnait comme dans un mixer. Une colonne de lumière verte assez violente, comme un puissant spot venait de dessous l’objet. Il y avait un trou là dessous d’où venait le rayon lumineux qui descendait verticalement.
Ensuite l’ovni s’est envolé vers l’Ouest à une vitesse fantastique et il a disparu en quelques secondes. J’ai gardé le silence jusqu’à maintenant car les gens peuvent douter de ce que vous racontez au sujet de telles choses. Ce n’est pas tout le monde qui a l’opportunité de voir un de ces navires, particulièrement un énorme comme celui que nous avons vu. Mes fils et moi-même avons été emprisonnés seulement parce que nous protestions pacifiquement au sujet de ce qu’ils font à Vieques. Je sais que les agences gouvernementales ont manipulé l’opinion publique, les gens qui n’ont pas été témoins de tout cela. Ils essaient de leur faire croire que le phénomène ovni n’existe pas. Ils font des campagnes pour nous discréditer et nous ridiculiser pour ainsi nuire à la cause que nous poursuivons, celle de la fin des bombardements dangereux sur notre petite île encore habitée. Mais les gens de Vieques me connaissent et ils savent que tout ce que je fais est basé sur mes convictions et mes principes. Ils savent que je n’aime pas la publicité et que je ne suis pas du genre qui invente puisque cela pourrait nuire à la cause que je défends. Nous avons enduré beaucoup de sacrifices pour cette cause. Il est temps que l’on discute de ces sujets. La Navy utilise des armes chimiques et biologiques sur l’île habitée de Vieques.Or l’utilisation de telles armes est interdite près des zones habitées. Ils ont nié cela récemment alors que la chose était confirmée par des documents du Pentagone. Ils ont utilisé aussi des munitions avec de l’uranium appauvri et l’ont ensuite nié jusqu’à ce que ce soit aussi prouvé. Comment les croire maintenant ? Après tout ce que nous avons vu ici. Finalement, ils sont parfaitement capables d’entretenir des relations avec les ovnis et de vouloir garder le secret. Peut-être que si des journalistes et des groupes de plus en plus nombreux se mettent à en parler et à révéler tout cela, petit à petit la Navy sera forcée d’en parler et de s’expliquer.”
Collaboration Navy/Alien ?
D’autres personnes ont vu ce type de vaisseau, aussi bien à l’Est qu’à l’Ouest de Vieques. Si nous analysons plus profondément cette situation, force est de constater que ces zones sont contrôlées par l’US Navy.
Et la Navy n’a jamais dénoncé cette situation. Apparemment ils doivent savoir de quoi il s’agit, puisqu’ils ne semblent pas prêter attention à la présence de ces objets. Par conséquent nous sommes en droit de nous demander s’il n’y aurait pas une sorte de coopération entre les occupants de ces vaisseaux et les gens de la Navy. Cela reste difficile à prouver car c’est une situation très complexe. En tout cas il faut se demander pourquoi la Navy qui est là depuis 62 ans ne dénonce pas ses faits. D’autres questions viennent légitimement à l’esprit. Pourquoi la Navy a-t-elle obligé les habitants de Vieques à quitter leur terre pour venir s’installer au centre de l’île sur une toute petite portion de terre ? La Navy contrôle désormais à la fois les portions Est et Ouest de Vieques où il y a de grandes étendues inhabitées et des zones restreintes contenant des collines, des plages où personne n’a le droit d’aller. Si des choses arrivent dans ces zones et si la Navy est impliquée là-dedans, la jouissance de ces terrains où personne n’a accès depuis longtemps est très pratique pour eux. Parce que personne ne peut savoir ce qui s’y passe et ce qu’ils y font vraiment. Il se peut également que la Marine étudie secrètement les prototypes d’une technologie avancée d’origine alien dans la zone de Vieques. Qui sait ? Cette situation est très sérieuse.Nous allons voir par la suite de nombreux autres exemples plus frappants les uns que les autres. J. Martin nous apprend encore un fait qui renforce le secret sur Vieques : à présent la Navy vient de stopper totalement ses manoeuvres et bombardements sur l’île. À l’exception d’une petite portion à l’Ouest de Vieques, tous ces terrains passent désormais sous la propriété d’un Département du Ministère de l’Intérieur. Or ce département sera sous le contrôle de l’Agence de Pêche et Vie Sauvage. Ce Département place le secteur de Camp Garcia, les polygones de tirs, Playa Grande où se trouvent les systèmes radar ROTHOR et le lagon Kiani sous secteur : Refuge Naturel.
C’est une bonne chose me direz-vous ? Pas du tout ! Cela signifie que l’accès de ces zones pour des raisons soi-disant écologiques (ne pas transporter de la terre d’ailleurs avec ses semelles par exemple, pour ne pas troubler l’écosystème… et ainsi vous n’avez même pas le droit de vous approcher à pied ! Et comme écosystème on fait mieux, imaginez un terrain multi bombardé !) est désormais encore plus restrictif qu’à l’époque des zones militaires. C’est très pratique ! D’une pierre deux coups : non seulement on interdit formellement l’accès à cette zone, mais en plus on coupe l’herbe sous le pied de tout le monde, et surtout sous le pied de ceux qui criaient le plus fort, les protecteurs de la nature qui n’ont plus désormais qu’à se taire !… Et malheur à ceux qui oseraient contrevenir à l’interdit, car ils auraient désormais contre eux l’opinion publique, cette force puissante, dont l’histoire nous a appris qu’elle était si facile à mener par le bout du nez.
Le 1er juin à 22 h un disque d’aspect métallique avec deux sphères lumineuses blanches à chaque extrémité fut observé dans le ciel par les mêmes nombreux témoins de la zone de Betances à Cabo Rojo, juste en face de la Lagune de Cartagena, puis il disparut dans le mont Bermeja au loin. Il revint par trois fois ensuite au-dessus de la Lagune. Que venait donc chercher cet ovni ? Où que voulait-il signaler à la population environnante ?
Une des nombreuses témoins : Madame Rosa Acosta raconta comment cet ovni resta stationnaire, complètement immobile au-dessus de la lagune pendant 15 mn, juste avant de s’élever brusquement et de disparaître derrière dans le mont Bermeja.
D’autres survols d’ovnis s’ensuivirent les semaines et mois suivants. Ce fut aussi le début d’une vague d’explosions souterraines et de tremblements dans toute la zone et même jusqu’à l’île de Vieques dont je vous ai déjà parlé. Les plongeurs de grande profondeur pendant des jours entendirent comme des explosions sourdes venant de sous la mer. Pendant plusieurs mois, ils observèrent qu’à une certaine profondeur la visibilité était moindre que d’habitude car : “Il y avait une grande quantité de particules étranges en suspension dans l’eau de mer”. Un instructeur de plongée à La Parguerra raconta que tandis qu’il descendait en grande profondeur non sans avoir installé une corde avec des paliers et des réservoirs à certaine distance pour la remontée, il aperçut un gros poisson et le visa avec son pistolet harpon. Le poisson se débattit et comme il était très fort il entraîna dangereusement vers le bas le plongeur qui n’arrivait pas à se débarrasser de la corde attachée à son poignet le reliant à son harpon fiché dans l’animal.
Il entraîna immanquablement le plongeur verticalement vers une fosse marine de plusieurs milliers de pieds de profondeur. Il finit par réussir à couper la corde avec son coutelas. Il vit le poisson continuer sa descente avec le harpon, puis soudain il vit comment celui-ci fut comme happé et se retrouva collé à la paroi lisse du rocher. Comme si le roc était un gigantesque aimant… Le métal du harpon avait été aimanté par la paroi… Or selon les plongeurs de grande profondeur qui connaissent bien la zone, il y aurait au-delà de 200 pieds vers le bas, à cet endroit, dans cet à-pic plongeant très profond verticalement (plusieurs milliers de pieds), une énorme entrée, comme une grotte sous-marine mais plutôt rectangulaire. Cependant aucun d’entre eux n’a jamais osé explorer si bas, de crainte également des puissants courants sous-marins qui sévissent dans cette zone. C’est aussi dans cette zone de très grande profondeur que les pêcheurs ont vu fréquemment de gros bateaux avec des grues et des garde-côtes qui faisaient descendre à cet endroit de très gros tubes métalliques.
Ils racontaient aux pêcheurs que c’était pour déstaliniser l’eau de mer. Mais des ingénieurs interrogés n’y ont pas cru une seconde. Ce serait bien plutôt l’installation de bases sous-marines. La technologie de telles bases est connue depuis au moins les années soixante. Alors quoi ? La Marine serait en train de construire des bases sous-marines à cet endroit ? Pourquoi pas, mais alors quel rapport y a-t-il avec le grand nombre d’observation d’ovnis ? Pour les spécialistes sur place, ce serait plutôt une tentative de pénétrer dans des bases déjà existantes, des bases qui pourraient être aliens, d’où la grande quantité d’ovnis sortant et entrant dans la mer dans certaines zones très précises. Nous aurons l’occasion dans les articles suivants de vous faire part de nombreux autres faits avérés allant dans ce sens et encore davantage…
Mr Victor Ayala Salgado, Mme Modesta Santos, ainsi que leurs amis, familles et voisins vivant à “La Hueca”, la zone habitée la plus proche du radar ROTHR de Vieques, observent et témoignent tous du même phénomène. Depuis la construction du radar, régulièrement entre 21h et 2H du matin, ils voient en effet arriver du Nord de grosses lumières ovales bleues qui volent sur un plan horizontal. Ces lumières survolent les montagnes et soudain en s’approchant du radar changent de direction et virent à 90%. En général elles disparaissent dans le lagon de Playa Grande, et parfois même dans la mer juste devant le radar. Ces témoins affirment que ces lumières sont énormes. Elles mesurent entre 4 et 6 mètres de diamètre. Ils les voient passer au-dessus de leurs toits et peuvent s’en faire une idée bien précise. Beaucoup de rapports similaires affluent sur la table du journaliste et ufologue Jorge Martin. Certains de ces témoignages proviennent de gens travaillant à la sécurité du radar.
Parmi ces témoignages, il y a celui de Mr Angel de Léon, un officier des Forces Armées et de la Garde Nationale U.S. à la retraite. Cet homme raconte qu’en juin 1999, des amis universitaires de Vieques l’invitèrent à aller voir un étrange phénomène qui se produisait régulièrement à côté du radar. “Nous avons monté un camp sur une montagne proche du radar, rapporte l’officier à la retraite. Tard dans la nuit nous avons vu un groupe de lumières venant du sommet d’une pente du comont Ventana et qui ont survolé la mer. Ces lumières dansaient dans le ciel. Elles ont tourné plusieurs fois à gauche puis à droite et elles ont disparu. J’étais paralysé… Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. J’ai dit à mes amis que tout ça avait peut-être un rapport avec l’installation radar. C’était peut-être des fusées éclairantes. Mais juste à ce moment-là, trois autres lumières sont apparues et elles sont restées suspendues, stationnaires juste devant notre camp. Ces lumières étaient beaucoup plus grosses, plus brillantes et plus proches que les précédentes. Soudain elles ont bougé et elles ont formés un triangle, puis elles ont descendu vers le radar. Nous avons couru vers le site mais une fois arrivés, nous n’avons rien trouvé. Elles avaient disparu, il n’y avait plus rien à voir.”
Poussés par la peur de ce qu’ils observaient et par un légitime besoin d’en informer la population, plusieurs membres de la Navy et du personnel civil de sécurité du ROTHR ont pris contact avec Jorge Martin. Ils n’avaient plus grand chose à perdre de toute façon. Depuis qu’ils avaient eu le malheur d’écrire dans leur rapport qu’ils avaient vu “quelque chose”, ils subissaient une campagne de discrédit et un harcèlement systématique au sein de leurs unités. Ils pressentaient leurs renvois imminents et leur remplacement par un personnel de haute sécurité plus habilité au secret. C’est ainsi que notre ami Jorge Martin fit la connaissance de Reynaldo Calzada. Cet officier a travaillé durant trente ans comme superviseur des gardes de sécurité dans les bases de la Marine U.S. à Vieques. Il a été témoin de plusieurs incidents.
En avril 2001, vers 14h00, alors qu’il était en charge de la sécurité du ROTHR à Vieques, Playa Grande, il a vu sur le moniteur n°6 de ses écrans de contrôle, quelque chose de vraiment étrange. Ce moniteur pointait sur une partie du lagon quand il a vu apparaître un très gros objet circulaire métallique avec un dôme sur le dessus. Ce “vaisseau” volait dans le ciel ensoleillé et parfaitement clair. Reynaldo Calzada a essayé de zoomer mais l’objet allait tellement vite qu’il avait déjà le plus grand mal à le suivre d’un écran à l’autre. Non seulement la marge de manœuvre des caméras est très limitée, mais de plus l’engin semblait faire de brusques bonds. Finalement il a disparu. Comme le stipule le règlement, Reynaldo Calzada a fait un rapport de l’incident à son supérieur, lequel en a aussitôt informé sa hiérarchie, la Société Raytheon et les responsables de la Navy.
Des hommes se sont alors rendus dans les locaux de la sécurité. Ils ont réquisitionné la cassette vidéo qui contenait les images de l’Ovni. Ils l’ont mise dans une enveloppe spéciale avec des scellés et un sceau plus gros que le sceau habituel. Puis ils ont identifié le pli avec une série de chiffres sur le côté avant de l’emporter… L’officier Calzada a expliqué à Jorge Martin que c’était une procédure classique pour ce genre d’images “special data” et que ces gens ne parlaient jamais de ces incidents avec les témoins de la base et du radar. Ils s’entretenaient seulement entre eux dans une salle de conférence rigoureusement fermée et que rien ne filtrait jamais de leur réunion.
D’autres officiers ont confirmé ses propos. Le garde Angel Luis Mercado a raconté un fait similaire qui s’est produit une nuit d’août 2000, alors qu’il surveillait les écrans de contrôle du radar. Un énorme disque argenté avec plusieurs hublots est apparu sur un écran. Il est resté stationnaire durant une bonne dizaine de minutes au dessus du radar. Des gens de la base de Roosvelt Roads sont arrivés dans la salle de contrôle et ils ont pris la cassette. Une autre nuit, en octobre 2000, plusieurs gardes de sécurité ont observé vers 2H30 du matin un autre incident. Cette nuit-là, ils étaient plusieurs à observer les écrans des caméras de surveillance tandis que d’autres gardes étaient en patrouille à l’extérieur. Sur les écrans est soudain apparu un grand objet en forme d’ovale lumineux, juste au-dessus de la grille d’entrée de l’installation radar. Passé l’instant de surprise, les hommes devant les moniteurs ont aussitôt alerté leur collègue qui se trouvait au plus près de la grille. C’est Mr Peralta qui était de faction ce soir-là. Il a vu l’objet qui était à moins de 120 mètres de lui. Voici ce qu’il racontera à Jorge Martin : « C’était comme si l’objet était capable de se rendre invisible si on l’observait sous un certain angle. C’était étrange à voir. D’un seul coup, une coupure de courant s’est abattue sur tout le site du radar rendant les choses encore plus bizarres. L’objet s’est déplacé en silence vers la droite et il est resté suspendu pendant plusieurs minutes entre le radar, le lagon et le Col Pirata. Puis il a redémarré et il s’est dirigé vers la mer, le Sud, vers La Poza del Sur »
L’incident a été entièrement enregistré par le système de sécurité vidéo, branché sur le réseau de secours. Puis des hommes du personnel de Roosvelt Roads sont arrivés sur place et ils ont emporté la cassette. Apparemment, ces gens-là ne veulent pas que ça se sache.” En février 2000, un autre garde de sécurité qui était dehors après la tombée de la nuit a entendu un son étrange, comme un bourdonnement. Quand il a regardé en l’air il a vu “un très grand disque volant avec un dôme, complètement illuminé d’une lumière bleue très forte”. Il l’a vu descendre entre le radar, le lagon de Playa Grande et le Mont Ventana. Il a appelé à l’aide mais pendant ce temps-là le disque est parti vers le bas du mont Ventana. Il a atterri là-bas avant de disparaître. Deux autres gardes, interviewés par notre ami ufologue ont affirmé : “C’était comme si la terre prenait feu, comme si l’objet était si brûlant que quand il a touché le sol il a causé un feu. Nous avons dû appeler les pompiers pour contrôler l’incendie.”
Deux jours plus tard, les gardes ont vécu un évènement encore plus spectaculaire… C’est une femme qui patrouillait dans la zone. Elle a vu bouger des arbustes, entendu des bruissements et des marmonnements.
Elle s’est donc approchée pour se rendre compte de ce qui se passait lorsqu’une petite silhouette est brusquement sortie des buissons. La créature avait la taille d’un enfant avec une grosse tête et de grands yeux noirs. La garde a eu très peur d’autant que la petite créature s’est précipitée sur elle. Elle ne s’est pas arrêtée et finalement elle lui est littéralement passée à travers le corps. La garde a sorti son arme et elle a tiré à plusieurs reprises sur la silhouette. Celle-ci a continué comme si de rien n’était. Elle est passée sur les câbles de très haut voltage de l’installation sans aucun dommage. Puis elle a disparu dans les arbustes de l’autre côté.
Peut-être croyez-vous nager en plein film de science-fiction ou d’horreur mais pas du tout, l’incident entier et les tirs de la femme ont été connus de toute la population de Vieques. Évidemment, les autorités ont déclaré : “qu’un maraudeur l’avait attaqué”. Des recherches ont été menées dans la zone mais elles n’ont rien donné. La garde a été sanctionnée par des officiers de la Navy, pour “usage inconsidéré” de son arme.
Des ordres inquiétants
Le personnel du radar s’accorde à dire que souvent, entre 2h et 3h du matin, ils reçoivent des ordres stricts les obligeant à rester enfermés à l’intérieur des bureaux de la sécurité. Ceux qui sont dehors doivent alors rester à la grille d’entrée, avec l’interdiction la plus totale de bouger, quoi qu’ils puissent voir, sentir, entendre, ou quoi qu’il puisse se produire dans l’enceinte de l’installation. En général, c’est tout de suite après de tels ordres qu’ils voient apparaître ces grandes lumières ovales qui viennent atterrir sur le site. Certains gardes disent également avoir aperçu d’étranges petites silhouettes qui se mettent à courir en direction des arbustes, vers le Mont Ventana. Les gardes précisent aussi qu’on leur interdit de rapporter de ce qu’ils voient. Ils ne peuvent même pas en discuter entre eux.
Les menaces font en sorte que le silence peut durer plusieurs jours après tel ou tel incident... Les hommes ne savent pas s’il ne s’agit pas de tests psychologiques, et si ces apparitions ne sont pas destinées à les éprouver et à tester leur loyauté. Cependant les faits sont tellement nombreux et si énormes que le mur du silence est régulièrement brisé. Il est un autre détail sur lequel les gardes s’accordent. Ces “lumières” ont la capacité presque à chaque fois de neutraliser l’électricité du site. En outre, des sections de la grille de sécurité et de la barrière anticyclone entourant le vaste site se sont retrouvées bizarrement fondues. Comme les habitants ont commencé à jaser à propos de ces lumières et à se poser de sérieuses questions, le commandant de la Station Navale Roosvelt Roads, l’Amiral Kevin Green a fait une déclaration. Pour détourner le problème, il a mis l’accent sur les détériorations des grilles en accusant les militantes anti-bases d’être à l’origine de ces dégradations. Mais au lieu de rassurer la population, cette accusation absurde n’a fait qu’augmenter la peur de la population. De fait, les gens ignoraient jusque-là que les grilles avaient fondu. Et ils ont fait automatiquement le rapprochement avec la présence des ovnis.
Témoignages des habitants
De nombreux témoignages émanent d’habitants de Vieques qui ont eu l’occasion de voir fréquemment des ovnis du côté de ce fameux Mont Ventana. Ce fut le cas de Mr Jorge Colon et de toute sa famille, le 24 juin 2001 à 14h30. Certains résidents ont fini par organiser une expédition au sommet de cette montagne à la végétation luxuriante. Ils ont découvert là-bas l’entrée d’une grotte qui descend verticalement très profondément. Ceux qui ont osé s’aventurer à l’intérieur de la fosse et exploré une partie du tunnel ont parlé d’un “grondement métallique” provenant des profondeurs.
Un événement exceptionnel.Ce jour ensoleillé de la fête des Pères de juin 2001, Mr José Chino Rosa et sa femme se promenaient tranquillement à cheval sur la plage de Playa Grande. Il devait être entre 14h et 15h lorsqu’en arrivant à la hauteur des grilles de l’installation radar, ils ont été témoins d’un événement indescriptible.
Ils ont soudain entendu une très forte explosion et juste au-dessus des antennes radar, le ciel bleu clair s’est déchiré, formant comme une ouverture. De ce “trou” a surgi une très grosse boule grise de lumière ou d’énergie qui est allée frapper une des antennes ! Les chevaux se sont emballés et la dame a été jetée à terre par son cheval. Dans la chute, elle s’est fracturée le genou. Son mari et un autre témoin, Mr Paul Delerme, l’ont emmenée en urgence à l’hôpital de Vieques. Mr Delerme avait lui aussi assisté à toute la scène, avec sa femme, depuis sa voiture garée un peu plus loin. Les témoins ont d’abord pensé à du tonnerre ou à une décharge, mais le temps était magnifique et le ciel sans un seul nuage.
Monsieur Delerme a décrit l’événement dans ces termes : “Depuis notre voiture, nous avons vu tout d’un coup le ciel devenir très brillant au dessus des antennes…et le ciel s’est ouvert littéralement. Une grande cavité verticale est apparue et, à travers, on pouvait voir un autre ciel d’un bleu intense. Ensuite quelque chose en est sortie avec un bruit d’explosion. C’était très étrange car le ciel était clair et le temps magnifique ce jour-là. Une ouverture verticale est apparue, puis ça s’est ouvert un peu plus sur les bords en s’approfondissant. C’est comme si on voyait un autre ciel dans cette ouverture, au-delà du ciel normal, un infini, un autre espace. C’était impressionnant…”
Peu à peu les enquêteurs ont découvert que d’autres gens dignes de foi à Vieques avaient assisté à ce genre d’événement au dessus de ce radar toujours. Les témoignages ont rapidement afflué, et la population a commencé à entendre parler de porte inter dimensionnel et de trou de vers. Les gens se sont mis à dévaliser les librairies à la recherche de livres de scientifiques comme le physicien Paul Halpern “Cosmic Wormholes” (1993), Kip Thorne, Michael Morris, Ulvi Yurtse. Beaucoup se sont plongés dans les ouvrages des émules de David Bohm.
Que penser de toutes ces informations ? Il semble en tout cas que l’équation Radar ROTHR/HAARP système et visites d’ovnis font se poser beaucoup de questions à toute la population de l’île. Nous verrons dans d’autres articles que c’est une équation intéressante qui touche bien d’autres radars sur la grande île. Nous verrons à cette occasion qu’il y a pléthore d’observations d’objets et aussi de petites créatures. “La grande question que se posent les experts à Puerto Rico, nous dit Jorge Martin, ce n’est pas de savoir si tout ceci est vrai ou pas. Nous avons largement dépassé ce stade, alors que les ovnis sont visibles partout par des milliers de personnes en même temps, jusqu’au Costa Rica. Non, c’est plutôt de savoir : est-ce que la Navy et la société constructrice des radars sont découvert ces phénomènes par accident ou est-ce que ces événements ont été provoqués volontairement et dans quel but ?”
En effet d’après les experts, le dispositif ROTHR/HAARP, couplé avec des systèmes Doppler déjà présents sur l’île, pourrait bien interférer sur le système de navigation de certains ovnis et les “obliger” à aller sur certains sites. D’autres pensent que les installations couplées ensemble permettent une recherche sur la réalisation d’ouvertures inter dimensionnelles… Qui sait exactement ce qui se passe là-bas ?...
Selon les défenseurs du ROTHR, ce radar est essentiel car :
1) Il permet de suivre et de pourchasser les avions du trafic de la drogue et couvre les pays producteurs de drogue. Ainsi il permet l’interception de trafiquants et de contrebandiers.
2) Il permet l’application de la loi en envoyant des informations au centre opérationnel de Chesapeake, Virginia, puis au centre de la Task Force de Key West où les douanes, le FBI, etc., sont prévenus, ce qui leur permet de procéder à des arrestations et saisies.
3) Même si ce système de deux radars n’est pas aussi efficace qu’il pourrait l’être, il a joué un rôle non négligeable dans la saisie de cocaïne. Et il rend la vie difficile aux narcotrafiquants qui utilisent la route des cieux au-dessus de Puerto-Rico pour rejoindre les États-Unis.
4) Il n’y a aucun impact négatif sur la santé des gens car l’installation est en règle avec les normes en vigueur. À Fort Allen de plus, comme c’est un récepteur il n’y a pas d’émission d’énergie, l’antenne est seulement réceptrice.
(Source : le Puerto Rico Herald et le San Juan Star, du 12 mars 1997)
Comme nous vous l’avons déjà expliqué l’île de Vieques était encore il y a peu, aux deux tiers, une base militaire inaccessible au public. De fait, les 9.000 habitants cantonnés dans le centre de l’île souffraient de cette situation pour toutes sortes de raisons. L’une d’elle, et pas des moindres, tenait au fait que les parties de l’île réservées à l’armée étaient très proches des zones habitées. Or, en dépit d’une dangereuse promiscuité, ces terrains militaires servaient de zone d’essai de bombardements. Cela entraînait naturellement des nuisances susceptibles de mettre en danger la santé même de la population. Le décor une fois dressé, nous allons à présent vous faire part du témoignage (un parmi tant d’autres recueillis par notre ami Jorge Martin) de Monsieur Ismael Camacho. Durant 28 ans, cet homme a été garde de sécurité et superviseur au Poste d’Observation n°1 de la Navy au Cerro Matias. En plus de ses fonctions de surveillance et de sécurité, il était également en charge des communications téléphoniques pendant les exercices de bombardements. Voici ce qu’il raconte.
1er témoignage de Mr Camacho
“Cette nuit d’été 1982, aux alentours de 22h30, des essais de bombardements avaient lieu sur la zone. J’étais à mon poste, en compagnie d’autres gardes et de plusieurs officiers de la Navy. Il y avait toujours deux officiers de la Navy US présents lors de tels exercices, un capitaine et un lieutenant. Il y avait aussi du personnel de La Compagnie Raytheon pour coordonner les services du radar, ainsi que quelques hommes en civil. Bref, plusieurs jets de la Navy procédaient à des bombardements sur le champ de tir cette nuit-là. Et puis soudain, une lumière vive est apparue haut dans le ciel juste au-dessus du lagoon Anones. Elle était circulaire et large avec plusieurs lumières de différentes couleurs tout autour. C’était complètement silencieux. Puis, nous avons vu un rayon de lumière bleue sortir du dessous en colonne lumineuse. Ce rayon est descendu jusqu’au lagon. Inutile de vous dire que la présence de cet objet totalement inattendu nous a tous surpris. L’engin avait plusieurs fenêtres dans sa partie médiane avec une série de lumières de différentes couleurs, jaunes, bleues. Des tons rougeâtres étaient visibles en rotation à l’intérieur. Certaines lumières d’un vert très brillant étaient plus constants que d’autres. L’objet ressemblait à une soucoupe avec un dôme vert argenté très lumineux. Comme il continuait de descendre, les officiers de la Navy ont stoppé toutes les opérations en cours. Les jets sont restés dans la zone en faisant de grands cercles, surveillant apparemment la situation. L’objet s’est alors immobilisé juste au-dessus de la surface du Lagoon Anones. On a pu l’observer durant une bonne demi-heure. Enfin, à 23 heures, ses lumières les plus grosses se sont brusquement éteints, laissant juste les petites lumières colorées allumées en rotation à l’intérieur.
À ce moment-là les officiers de la Navy nous ont ordonné d’arrêter notre travail, de signer nos cartes et de quitter les lieux. Plus tard, lorsqu’ils nous ont laissé rentrer chez nous, ils nous ont dit de ne parler à personne de ce que nous avions vu cette nuit-là. C’était Top Secret et classifié. Ils ont ordonné aussi aux jets de retourner sur leurs porte-avions. C’est vraiment étonnant. Les officiers de la Navy auraient dû demander du soutien au porte-avion ou à la base de Roosvelt Roads pour essayer au moins de déterminer la nature et les motivations de cet intrus exceptionnel.
En général, lorsqu’on repère un intrus dans la zone, une alerte est donnée et les avions de chasse interviennent pour ’intercepter. C’est une procédure classique de sécurité que j’ai pu observer plusieurs fois. Or, cette nuit-là les officiers de la Navy sont restés étrangement calmes. Ce comportement m’incite à penser qu’ils savaient ce à quoi ils étaient confrontés. Ils semblaient savoir à quoi correspondait cet engin et j’ai même l’impression qu’ils avaient peut-être établi une communication avec ceux qui le pilotaient. L’objet a finalement atterri sur la rive droite du Lagoon Anones qui est au centre du site de bombardement. Comme il faisait nuit et que nous étions à environ deux miles du Cerro Matias, nous n’avons pas pu voir si quelqu’un est entré ou sorti de l’engin. Nous n’avions pas de jumelles et nous n’avions pas le droit de monter dans les tourelles d’observation. En fait les seuls à posséder des jumelles, des jumelles à infrarouge, c’était les officiers de la Navy. S’il y a eu du mouvement là-bas, autour de l’engin, ils ont dû le voir. Tout ce que je sais, c’est qu’on ne nous a jamais expliqué pourquoi nous n’avions pas le droit d’utiliser ces jumelles à infrarouge. Tout cela, et notamment leur comportement face à une telle situation, semble indiquer que ces hommes savaient que ce genre de “choses” arrivait ou pouvait arriver dans cette zone.
Une chose est sûre, l’engin était énorme. Nous étions à une distance de trois kilomètres et même à cette distance il semblait faire 10 à 15 mètres de diamètre. Il était donc très grand. Je dois dire que sa taille m’a beaucoup impressionné. Nous ne savons pas si les officiers sont descendus jusqu’à l’objet. Evidemment, quand nous sommes revenus au travail le lendemain matin, l’ovni n’était plus là. Nous avons voulu faire un tour sur le lieu de l’atterrissage mais des hauts gradés de la Navy présents nous l’ont interdit. Nous nous sommes donc abstenus par peur des représailles car nous risquions vraiment de perdre notre travail. Du coup, nous n’avons même pas osé poser des questions sur l’incident. Il est notoire que la Navy n’aime pas les gens bavards et qui posent des questions. Au moment d’être engagés, nous avions signé des clauses de confidentialité vis-àvis de tout ce que nous pourrions voir pendant nos heures de travail. Si vous posiez des questions, ils vous harcelaient et pouvaient vous renvoyer. Aussi nous n’avons pas dit un mot et nous avons tout gardé pour nous. Nous ne discutions de cet évènement qu’entre nous et nous attendions pour cela que les officiers soient absents.”
2me témoignage de Mr Camacho
Lors d’une autre rencontre, Mr Camacho confie à Jorge Martin qu’il a ététémoin d’un autre événement extraordinaire se déroulant au Cerro Matias. Ce matin-là, il était avec son collègue, le père du maire de Vieques, l’Honorable Damasco Serrano. Les deux hommes ont vu un curieux objet se déplaçant très vite à la surface de la mer. Intrigués, ils ont pris un véhicule et se sont rendus à El Yayi aussi vite qu’ils ont pu. Cette hauteur représentait un poste d’observation idéal. “C’était quelque chose de très rapide sur la surface de l’eau, raconte Mr Camacho. Nous n’avons pas pu l’identifier. Ce n’était ni un bateau, ni un sousmarin, rien de ce que l’on connaît. Cela semblait transparent, comme si c’était composé d’une matière cristalline ou translucide. Cela ne faisait aucun bruit. Nous n’avons pu voir aucun équipage à l’intérieur et l’engin ne laissait aucune trace derrière lui. Finalement il a disparu vers l’Est. Je ne peux écarter la possibilité d’une sorte de prototype marin de la Navy, ou d’une sorte de nouvelle arme en test. C’était peut-être même un vaisseau furtif. Mais pour moi cela n’avait rien à voir avec tout ça. C’était quelque chose que je ne peux toujours pas expliquer.” Quelques jours plus tard, un matin vers 9 heures, Mr Camacho conduisait le camion citerne vide d’eau depuis le Cerro Matias. Il devait le remplir en contrebas au Camp Garcia puis revenir. A un endroit nommé Cerro Tamarindo, il a vu quelque chose qui a traversé la route à grande vitesse. “Cela avait une forme humanoïde, semilumineuse d’environ 1m 80. Il avait une tête, des bras, des jambes. Il a traversé la route très vite de droite à gauche et il est entré dans des buissons. Mais ce qui est étrange, c’est que vous pouviez le voir bouger très vite par séquences fragmentées, un peu comme lorsque vous voyez des mouvements affectés par une lumière stroboscopique, cette sorte d’effet... Quand j’ai vu cela, je suis vite parti ne sachant pas trop ce que je risquais. Une fois au Camp Garcia j’ai rempli la citerne d’eau et puis je suis retourné au Cerro Matias. Sur le chemin du retour, je me suis arrêté là où j’avais vu la créature et j’ai regardé partout.
Je suis finalement tombé sur une zone de buissons écrasés de façon circulaire, comme si quelque chose de lourd s’était posé là. Il n’y avait pas de traces menant au cercle ou en sortant. Ce qui avait écrasé les buissons ne pouvait venir que du ciel. Avais-je surpris quelque chose en passant la première fois avec mon camion ? Plus tard, je suis revenu sur place avec un de mes collègues, Pablo Delerme. Ensemble nous avons examiné le cercle de buissons écrasés. Mais nous n’avons rien trouvé d’autre.”
Il faut savoir que Mr Camacho est un vétéran de la Guerre du Golfe. Lors d’un autre entretien avec notre ami journaliste et chercheur Jorge Martin, il a prétendu avoir vu à plusieurs reprises, depuis ce Poste d’observation n°1, de nombreux globes de lumière blanche, venant du ciel et atterrissant au lagoon de Puerto Diablo. D’autres personnes ont pu corroborer son témoignage car à chaque fois, il se trouvait en compagnie de plusieurs collègues. Ces globes de lumière restent visibles d’une demi-heure à une heure entière, grossissant puis rapetissant jusqu’à disparaître. À chaque fois, les consignes sont très claires. Ordre est donné au personnel de la Navy de ne pas regarder ces choses que l’on présente comme des expériences laser. Mais personne n’y croit, pas même les ingénieurs… Mr Camacho est très loin d’être le seul à rapporter de tels témoignages. Jorge Martin en a d’ailleurs recueillis des centaines uniquement pour cette zone, que ce soit au sujet d’observations d’ovnis ou pour rapporter la rencontre avec d’étranges créatures circulant dans la jungle. Certains cas sont réputés très sérieux. Il y a notamment le cas de Mr Reynaldo Calzada qui a été superviseur des gardes de sécurité des bases de la Navy à Vieques pendant 30 ans. Il y a aussi ceux de Mr Regalado Pérez, de Gerardo Santiago et de bien d’autres. Nous aurons l’occasion d’y revenir. Sachez que cela n’arrive pas seulement dans la petite île de Vieques mais bien un peu partout dans la plus grande île de Puerto Rico. Ainsi, par exemple, existe-t-il des témoignages similaires ayant pour décor le grand observatoire astronomique d’Arecibo, observatoire qui appartient à l’université de Cornell.
Ovni au-dessus d’Arécibo
Ainsi, il y a le témoignage de l’officier Pedro Pérez en 2005. Cet homme affirme avoir vu pendant qu’il conduisait sa voiture sur la route 635 “…un artefact volant très bizarre…” qui sortait de la zone du Radio Observatoire d’Arecibo et se dirigeait vers le village de Lares. Pedro Pérez était en compagnie de son fils. Tous deux ont vu un grand objet silencieux suspendu dans le ciel dans la partie Sud de l’Observatoire. Ce qui est extraordinaire, c’est que l’objet était parfaite ment lisse, une énorme boule métallique argentée, sans aucune structure visible, fixe et sans mouvements dans le ciel. Au bout d’un moment, l’anomalie a repris sa route… Un autre officier, José Vélez, déclare qu’il est fréquent de voir des sphères lumineuses légèrement bleuâtres s’approcher de l’Observatoire. Elles restent stationnaires au-dessus de la zone, diminuant et augmentant leurs tailles. José Vélez pense que ces modifications apparentes sont dues à des effets d’optique et qu’en fait les objets s’approchent ou s’éloignent. Selon lui il s’agit forcément d’ovnis. En fait, il a définitivement renoncé à leur trouver une explication. Tout ce qu’il pense savoir, reconnaît-il, c’est que ces lumières agissent et se comportent sous le contrôle d’une intelligence.
Enfin, il est important que vous sachiez la chose suivante. En dépit du fait que les scientifiques de l’Observatoire continuent de nier l’existence du phénomène Ovnis, un mémo interne officiel, en date d’Octobre 1991, émanant de l’Agence de Défense Civile de l’État de Puerto Rico, aujourd’hui appelée Agence pour la Supervision des Urgences (Agencia para el Manejo de Emergencias) et qui avait alors pour Directeur le Colonel José A. M. Nolla, signalait clairement que “du personnel du Radio Observatoire était en train de participer à une étude secrète menée par différentes agences militaires et de sécurité ainsi que par différentes agences de l’état, en relation avec le taux élevé d’événements de type Ovnis ayant affecté l’île.” Ce mémo souligne même emphatiquement que ce qui se passait à Puerto Rico est “…quelque chose de véritable…” “era algo verdadero.”
Apparemment ce “quelque chose” continue !
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