• Darwin : le Dogme s'effondre

    Mystères de la terre

    Darwin : le Dogme s'effondre   

    A SAVOIR :

    Il existe deux datations quand on parle des temps « anciens, celle « d’avant J.C. » (avant Jésus Christ), pour ce qui est de la vie de tous les jours.

    Et celle moins connue de la Préhistoire et d’Avant (soit « Before Present »), qui démarre en 1950, et qui sert de référence, car c’est l’année où l’on commença à dater avec la technique du  carbone 14.

    Il y a donc deux mille ans d’écart entre les années « av. J.C. » et les années « B.P ».

    Bon à savoir quand on lit un article sur la préhistoire !

     

    Darwin : le Dogme s'effondre    

    Avec le cent cinquantième anniversaire de la publication de l’Origine des Espèces, s’est rouverte la grande messe célébrant la lumière faite sur l’origine de la vie, des espèces et de l’homme. La théorie de Charles Darwin est aujourd’hui adoptée de façon définitive par l’ensemble de la communauté scientifique comme vérité établie et connaît une notoriété sans précédent. Il est,en effet, difficile de faire face à un tel consensus, une telle unanimité ! Et pourtant, pour quiconque capable d’un minimum d’honnêteté intellectuelle, les faiblesses du modèle darwinien sautent littéralement aux yeux. De plus en plus de scientifiques, écartés pour leur intégrité, soutiennent que ce modèle dans son ensemble contredit les bases les plus élémentaires de la génétique telle que nous la comprenons aujourd’hui. La force explicative contenue dans la théorie de l’origine des espèces incombe d’avantage à la nécessité que l’homme a de combler le vide relatif à ses origines, qu’à la pertinence du scénario darwinien en lui même, sinon comment expliquer qu’une théorie à peine soutenable scientifiquement a pu accéder au statut de vérité inexpugnable...

    Nous nous sommes satisfaits d’une explication qui répond de manière bancale à la question

    « d’où viens-je ? »

    pour justifier un modèle matérialiste expansionniste, gommant au passage les questions essentielles, tout en consacrant la supériorité de la lignée humaine sur les autres espèces. 

    Au final, le darwinisme trouve ses meilleures justifications dans les domaines psychologique, politico-social ou chez ses adversaires religieux, à l’instar d’un dogme idéologique. Mais certainement pas dans la sciences paléontologique ou biologique. Cet article mine cruellement les fondations d’une identité humaine se concevant encore comme le résultat le plus abouti du règne vivant mais, ce faisant, offre une argutie permettant l’ouverture à une troisième voie : l’exogenèse.

    (Exogénèse : Théorie qui situe l’Origine de l’Homme en provenance de l’extérieur de la Terre soit des Etoiles, voir les théories de Zecharia Sitchin,  d’Anton Parks,  des Tsalagis (Cherokees) qui semblent eux aussi fonder leur provenance d'ancêtres venus des Pléiades. (Cf "Sagesse amérindienne, traditions et enseignements des Indiens Cherokee" Dhyani Ywahoo Ed Le Jour1994(, des Dogons du Mali (qui la situe provenant de Sirius) ). 

    Différentes recherches et études mettent à mal le modèle darwinien, comme par exemple la découverte de l’enfant de Turkana, du nom de ce grand lac salé du Kenya, dont le parc national est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Découvert en 1984 et daté de 1,6 millions d’années, c’est l’un des fossiles les plus vieux et les plus complets appartenant a l’homme. 

    Les études ont montré qu’il s’agit d’un enfant de douze ans environ, dont la taille est déjà 1,60 m et qu’il aurait dépassé les 1,80 m à l’âge adulte.

    Pourquoi l’enfant de Turkana est-il exceptionnel ?

    Parce que les spécialistes lui trouvent une morphologie semblable à celle des Masaï d’aujourd’hui et que, malgré son ancienneté, il n’a rien d’un singe... 

    Retrouver un squelette aussi ancien si proche de l’homme moderne jette un doute sérieux sur notre ascendance australopithèque, et donc sur ce que de plus en plus de scientifiques considèrent aujourd’hui comme le « roman darwinien de l’évolution », à savoir le singe qui serait descendu de l’arbre et se serait progressivement redressé dans la savane, avant de commencer à fabriquer des outils... 

    L’une des découvertes des traces de l’homme qui devrait bouleverser tout autant sinon plus la vision darwinienne de l’évolution des hominidés, c’est un squelette (partiel) trouvé en Espagne en 1995 lors de fouilles archéologiques dans la grotte de Gran Dolina dans la région d’Atapuerca (nord de l’Espagne). Les analysent montrent qu’il appartenait à un enfant de douze ans et qu’il était vieux d’au moins 800 000 ans. 

    En décembre 1996, le magazine Discover donne une longue relation de cette découverte, en expliquant que la datation fut aussi confirmée sur le plan géologique : les mesures révélèrent en effet une polarité négative, ce qui renvoie à l’époque avant la dernière inversion du champs magnétique terrestre, soit il y a 780 000 ans.  

    Discover se fait un malin plaisir de rappeler que peu de temps auparavant, le magazine Nature, la référence des références, de tendance darwinienne marquée, avait publié le commentaire qu’aucun squelette de 500 000 ans ou plus ne serait jamais découvert en Europe, car elle ne pouvait être alors qu’une terre vierge de tout peuplement... 

    Discover rapporte le témoignage de Juan Luis Arsuaga Ferreras, à la tête de l’équipe de fouilles « Nous nous attendions à nous trouver face à une chose grossière et enflée, quelque chose de primitif, mais ce que nous trouvâmes était un visage totalement moderne ». Il s’agissait donc là d’une nouvelle espèce, qui fut baptisée Homo Antecessor. D’autres découvertes furent effectuées ultérieurement sur le site, dont un petit fragment de mâchoire d’hominidé daté de 1,1 à 1,2 millions d’années grâce à la proximité d’outils en pierre et d’ossements d’animaux. 

    Homo Antecessor est donc beaucoup plus ancien que l’homme de Neandertal et modifie totalement la vision du peuplement de l’Europe. Pourtant, malgré son ancienneté, il ne fut jamais annoncé triomphalement comme le « chaînon manquant »... Normal, il n’a rien d’un singe. 

     - Autre découverte incroyable mettant a mal le dogme darwinien, et exposé au musée de Glen Rose au Texas, où le matériel fossile est particulièrement riche et examiné avec beaucoup d’attention. Son directeur et fondateur est le Dr Carl Baugh, théologien, philosophe et archéologue de formation. Il a découvert une quinzaine de dinosaures, co-découvert en Amérique du sud une ammonite unique, et à ses campagnes de fouilles participent des scientifiques de la NASA, dont il est un conférencier régulièrement invité. L’objet en question, The London Artifact, est découvert en juin 1934 prés d’une cascade aux environs de London, au Texas, par Max Hahn. Remarquant du bois dépassant de la roche, lui et des membres de sa famille le dégagent à l’aide d’un burin et d’un marteau. Pour vérifier qu’il s’agit bien de métal, il pratique une petite encoche avec une lime dans un coin biseauté : apparaît alors du métal brillant. L’entaille est toujours visible, mais le fer n’a pas rouillé depuis, soit plus de soixante-quinze ans après la découverte.   

    Baptisé "The London Artifact", le marteau découvert en 1934 au Texas mesure 

    prés de 25 cm pour environ 2,5 cm de diamètre. Datant au moins de cent millions

    d'année, il témoigne d'un procédé de fabrication inconnue. 

    Le Dr Zilmer, ingénieur allemand de formation, membre de l’Académie des sciences de New York, auteur du livre « L’erreur de Darwin », nous en dit un peu plus sur l’objet en question :  

    « Cet outil antique présente une forme simple,

    presque comme un marteau de maçon, usuel en Allemagne »explique t-il. 

    « Le manche a subit une pétrification cristalline, il est dur et sa structure est intacte. On peut constater que la partir intérieure, partiellement poreuse, a été transformé en charbon. La combinaison de la carbonisation et de la pétrification ne peuvent être expliquées scientifiquement. Je ne connais aucune pièce similaire dans le monde entier. (...) Une conservation dans une eau courante est absolument nécessaire pour une pétrification cristalline, alors que pour la genèse de carbone poreux, on pourrait supposer une chaleur extrême. Malgré toutes nos prouesses techniques, nous ne sommes pas capable de produire un manche de bois pétrifié contenant dans sa partie intérieure du charbon devenue poreux. Ce marteau ne peut être expliqué par notre science scolaire, parce que le bois pétrifié, et par conséquent cet outil antique doivent, selon la conception du monde admise, être au moins vieux de 140 millions d’années. Des microscopes électroniques perfectionnés ont servi à examiner la structure et la composition de l’acier avec lequel la tête du marteau a été fabriquée. Le résultat des examens a été à la fois mystérieux et énigmatique, car il est apparu que la tête du marteau était composé à 96,6 % constituée de fer, à 2,6 % de chlore et à 0,74 % de souffre... C’est incroyable, ce matériel se compose de fer presque absolument pur ! »

    De plus, on peut voir que l’ensemble du marteau était autrefois complètement enveloppé par un grès massif, et l’est toujours partiellement. Une partie du métal a établi une liaison chimique avec le matériel rocheux environnant. Il en découle obligatoirement que le marteau fossile doit être apparu avant la genèse du matériel rocheux ! L’âge de la roche est estimé par les géologues à au moins 140, voir même 400 millions d’années. »   

    Le moins que l’on puisse dire sur cet objet incroyable, c’est qu’il pose problème dans la représentation bien martelée de l’évolution et du modèle darwinien. Il devient de plus en plus difficile de gober la fable de notre ancêtre australopithèque qui s’est lentement redressé... Nous pourrions déjà conclure que nous n’avions pas besoin de nous redresser, car nous nous sommes toujours tenus debout ? 

    Source : Le Darwinisme, envers d’une théorie de Jean François Moreel, éd. François-     

                 Xavier de Guibert.  (truthinmotion.over-blog.com )

                L’Erreur de Darwin de Hans-Joachim Zillmer, éd. Le jardin des livres, 2009 

                truthinmotion.over-blog.com/ ( Creation Evidence Museum online )

      

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