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Les émanants de l'espace
LES ÉMANANTS DE L'ESPACE
un nouveau cliché du télescope spatial Hubble a été révélé. On y voit le visage d'un monstre spatial. Il s'agit de la collision entre deux galaxies de taille très similaire.
(source : numerama)
La formation céleste en forme de smiley
Hubble, le télescope de la NASA et de l’ESA, a repéré une forme bien connue dans le ciel: un smiley au milieu des étoiles!
Photo: NASA
Une nébuleuse moins sympathique !
Qu’est-ce qui est lumineux, qui sourit et qui se trouve à des années-lumière de la Terre?
Réponse: une configuration céleste en forme de smiley. Déniché par le télescope spatial de la NASA, "Hubble", cet amas de galaxies, aura fait sourire plus d’un curieux. Portant le doux nom de DSS J1038+4849, cette organisation lumineuse résulte de la combinaison d’un groupe d’étoiles et de lentilles gravitationnelles.
Étrange forme humaine sur la nébuleuse d'Orion
La grande nébuleuse d'Orion est une des nébuleuses les plus brillantes du ciel, et peut être observée facilement à l'oeil nu. Elle fut découverte par Nicholas Peiresc en 1610 (auparavant, elle n'était cataloguée que comme une étoile - Theta Orionis). Il y a un certain nombre d'autres nébuleuses (moins brillantes) qui entourent celle d'Orion, et beaucoup d'étoiles en formation dans cette région du ciel.
Quelques photos d'émanants de l'espace trouvés sur le site : hastronoo
Une forme appelée "La Main de Dieu" photographiée par la NASA !
La nébuleuse - tête de sorcière
La main tendue vers l'infini - Pulsar
une drôle de créature - nébuleuse du Cône
La nébuleuse d'Orion, aussi connue sous le nom de M42 est l'un des objets les plus faciles à observer. Dans la constellation d'Orion, l'hiver, il est situé dans la « ceinture », juste en dessous du « baudrier ». Le baudrier ressemble à une larme tombant vers l'horizon. En pointant un télescope, une lunette ou encore une bonne paire de jumelles, la nébuleuse apparaît. Un faible grossissement (entre 30 et 60 fois) permet de l'observer dans son ensemble. Un grossissement plus important, de l'ordre de 100 à 200 fois permet d'observer les étoiles qui la composent, notamment quatre qui forment l'amas du Trapèze.
Toutefois, nous pouvons observer en plus quelques petits détails inattendus sur la photographie inversée vers le bas de la nébuleuse d'Orion sur le site de la NASA, une forme humaine apparait soudainement. Des agrandissements de la vidéo sur YouTube nous démontrent clairement une physionomie expressive, un visage, une poitrine, une épaule. Semble-t-il que le cosmos démontre une grande quantité d'étonnantes formes du corps humain ? Est-ce par un hasard ou sommes-nous représentés par un grand artisan aux pouvoirs remarquables ?
(Source: ovni-quebec)
Une formation stellaire ressemblant à une main humaine
photographié par la NASA
(source: area51)
De nouvelles photographies libérées par la NASA ont capturé des images d’une formation stellaire vaste ressemblant à une main humaine arrivant à travers l’espace. L’Observatoire Chandra de la NASA a capturé cette image en-forme-de-de-mains d’une nébuleuse de Rayons X.
L’image, prise par le télescope basé à l’Observatoire Chandra de la NASA, montre une nébuleuse de Rayons X à 150 années lumière à travers l’espace. Il montre ce qui ressemble à des doigts bleus fantomatiques, le pouce et le petit doigt clairement discernables de l’index, de l’annulaire et du majeur s’étirant dans un nuage étincelant de flammes rouge. NASA déclare que le phénomène est causé par un jeune et puissant pulsar connu sous le pnom plus prosaïque de PSR B1509-58. “Le pulsar est une étoile à neutrons qui tourne rapidement et qui vomit l’énergie dans l’espace tout autour pour créer le complexe et les structures fascinantes, en incluant celui qui ressemble à une grande main cosmique,” déclare laNASA . L’Agence spatiale dit que B1509, créé par une étoile effondrée est un des générateurs électromagnétiques les plus puissants dans la Galaxie. La nébuleuse est formée par un torrent d’électrons et d’ions émis par le phénomène de 1,700 ans.
Les structures semblables aux doigts sont apparemment provoquées “en stimulant des nœuds de matière dans un nuage adjacent du gaz,” selon la NASA . Le scientifique de la NASA Patrick Slane a dit à CNN que lui et ses collègues astronomes se sont plus intéressés à la formation de la nébuleuse qu’à son apparence semblable à la main.
(source : paranormalnews)
Qu'est-ce qu'une nébuleuse ?
Du latin 'nebula' (nuage), nuages de gaz et de poussières au milieu des étoiles, les nébuleuses sont à la fois des pouponnières actives et des cimetières d'étoiles. Ces splendeurs du ciel sont éclairées par les étoiles qu'elles contiennent ou par les étoiles proches situées derrière elles. Ce sont les plus belles images d'astronomie que l'on puisse obtenir actuellement.
Les nébuleuses nous font admirer dans le champ du télescope de merveilleuses agglomérations d'étoiles et de gaz inondant le ciel. Plus le télescope est puissant plus les images sont splendides et colorées. Seules des longues poses dévoileront la palette entière des couleurs en particulier l'étonnante couleur rose de l'hydrogène. William Hershel découvrit les nébuleuses obscures, nuages de gaz et de poussières sans étoile, trop denses pour laisser passer la lumière des étoiles situées derrière. note : ESA (Agence Spatiale Européenne), ESO (European Southern Observatory, organisation Européenne pour des Recherches Astronomiques dans l'Hémisphère Austral. NGC (New General Catalogue) est l'un des catalogues les plus connus dans le domaine de l'astronomie amateur avec le catalogue Messier. *
En une seule image toutes les splendeurs de la constellation d’Orion : (de gauche à droite) la Nébuleuse de la Flamme et ses chenaux sombres (NGC 2024), la Tête de Cheval ou Barnard 33, NGC 1977 (mauve et bleue) et la Nébuleuse d’Orion ou M 42 (rouge orangé à droite au centre).
N81 est un nuage de gaz rougeoyant, qui abrite de jeunes et brillantes étoiles. Le rougeoiement de cette nébuleuse est le résultat du rayonnement ultraviolet émis par ses deux étoiles les plus brillantes, 300 000 fois plus lumineuses que le Soleil. N 81 se trouve dans le Petit Nuage de Magellan, lui-même petite galaxie satellite de la Voie Lactée.
Les étoiles récentes et massives à l'intérieur de N 81 perdent leur matière très rapidement, créant de puissants vents solaires et des ondes de choc perforant le cocon de la nébuleuse extérieure. Les deux étoiles les plus lumineuses vues sur l'image de Hubble sous la forme d'une paire très rapprochée près du centre de N 81 émettent de fortes radiations ultraviolettes, rendant la nébuleuse fluorescente. Les images envoyées par Hubble montrent "qu'un amas d'étoiles massives jeunes est en train de détruire son cocon natal. Le Petit Nuage de Magellan (PNM), nommé d'après le nom de l'explorateur Ferdinand Magellan, se trouve à 200 000 années-lumière et n'est visible que depuis l'hémisphère sud de la Terre. N 81 est la 81ème nébuleuse cataloguée dans une étude sur le PNM conduite par l'astronome Karl Henize en 1950, qui par la suite vola dans la Navette spatiale en temps qu'astronaute. L'image présentée est une représentation couleur de données obtenues en septembre 1997 avec la caméra WFPC2 de Hubble.
La Nébuleuse de la Tarentule
est une gigantesque usine de fabrication d'étoiles. C’est la plus grande nébuleuse d'émission connue. Située à une distance d'environ 170 000 années-lumière, elle peut être observée dans la constellation de la Dorade dans le ciel austral. Elle appartient à l'une des galaxies voisines de la Voie Lactée, le Grand Nuage de Magellan. La Nébuleuse de la Tarentule contient plus d'un demi million de fois la masse du Soleil, ce vaste et flamboyant nuage accueille certaines des étoiles les plus massives connues. La nébuleuse doit son nom à la disposition de ses secteurs les plus lumineux qui ressemblent en quelque sorte aux pattes d'une araignée. Elles s'étendent depuis un "corps" central où un amas d'étoiles chaudes (appelé R136) illumine et structure la nébuleuse. Le nom Tarentule, est celui d'une des plus grandes araignées terrestre. Il a été choisi en raison des proportions colossales de la nébuleuse en effet, elle mesure presque 1000 années-lumière de large et s'étend sur plus d'un tiers de degré, soit approximativement la taille de la pleine lune. Si la nébuleuse de la tarentule se situait dans notre propre galaxie, à la distance d'une autre pépinière stellaire, la Nébuleuse d'Orion (distante de seulement 1500 années-lumière), elle couvrirait un quart du ciel et serait visible même en plein jour.
Les astronomes ont réalisé cette mosaïque de quatre images pour obtenir une vue couvrant un degré carré. Chaque image individuelle contenant 64 millions de pixels, la mosaïque résultante contient 256 millions de pixels. L'image est basée sur des données collectées à travers quatre filtres, dont deux qui tracent l'hydrogène (en rouge) et l'oxygène (en vert). La prédominance du vert dans l'image de la Tarentule résulte de la présence des étoiles les plus jeunes et les plus chaudes dans cette région. Nébuleuse de la Tarentule ESO : Photo réalisée le 21 décembre 2006.
La nébuleuse du Papillon
ou NGC 2346, se situe à environ 2 100 années lumière de la Terre dans la direction de la constellation de la Licorne. Ce sont les derniers instants d'un spectaculaire système d'étoiles binaires que l'on voit sur la photo ci-contre au centre de la nébuleuse. Ces deux étoiles sont si proches qu'elles orbitent l'une autour de l'autre en 16 jours. Même avec Hubble, la paire d'étoiles ne peut pas être vue en tant que deux composantes séparées. Les astronomes pensent qu'une des étoiles, en évoluant s'est développée pour devenir une géante rouge et a littéralement absorbé son compagnon.
Les étoiles ont tournoyé ensemble en spirale et la plupart des couches externes de la géante rouge ont été éjectées dans un disque bipolaire dense qui entoure maintenant l'étoile centrale. La nébuleuse est également riche en nuages de poussières, dont certains forment de longues stries sombres qui pointent loin de l'étoile centrale. Le télescope spatial Hubble a capturé cette image de la nébuleuse planétaire en forme "d'aile de papillon", NGC 2346.
* La nébuleuse du papillon vue par le télescope spatial Hubble. Les grappes lumineuses du ciel nocturne sont souvent nommées par des noms de fleurs ou d'insectes. crédit NASA .
La nébuleuse de la Tête de Cheval
(officiellement connue sous le nom de Barnard 33 ou IC434 est une nébuleuse sombre dans la constellation d'Orion. La nébuleuse se trouve juste en dessous de Alnitak (ζ Ori), l'étoile la plus à l'est de la ceinture d'Orion. Cette nébuleuse, située à 1500 années-lumière a été découverte pour la première fois en 1888 sur une plaque photographique prise à l'observatoire du Harvard College. Elle est facilement reconnaissable par la forme en tête de cheval qui lui a donné son nom. La nébuleuse de la tête de cheval fait partie d'un grand nuage noir moléculaire. En effet, derrière la nébuleuse se trouve de l'hydrogène qui, ionisé par l'étoile brillante proche Sigma Orionis, donne une couleur rouge. L'obscurité de la tête de cheval est causée par la présence d'un nuage dense de gaz et de poussière.
Cette dernière absorbe fortement le rayonnement visible émis par le gaz ionisé d'arrière plan (rouge sur la photo). À la base de la tête, on trouve de jeunes étoiles en cours de formation. * La nébuleuse de la Tête de cheval est une des nébuleuses la plus facilement identifiable grâce à sa forme inhabituelle.
La nébuleuse du Crabe
ou M1 est le résultat caractéristique d'une explosion d'étoile ou les restes de matière visible de l'explosion d'une supernova. Cette supernova a explosé en 1054, observée par plusieurs astronomes d'Extrême-Orient de juillet 1054 à avril 1056. Ces filaments mystérieux, sont non seulement extrêmement complexes, mais semblent avoir moins de masse que la supernova originale et une vitesse plus élevée que prévu. Elle est située à une distance d'environ 2 kiloparsecs soit 6 300 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Taureau. La nébuleuse a un diamètre de 11 années-lumière et sa vitesse d'expansion est de 1 500 km/s. C'est le premier objet astronomique à avoir été identifié à une explosion de supernova. En plein centre de la nébuleuse se trouve un pulsar, c'est-à-dire une étoile à neutrons tout aussi massive que le Soleil mais avec seulement la taille d'une petite ville.
Le Pulsar du Crabe tourne sur lui-même à la vitesse de 30 fois par seconde. Il rayonne environ 200 000 fois plus d'énergie que le Soleil et ceci dans une gamme de fréquence extrêmement vaste. Une supernova est le phénomène visible, directement issus de l'explosion cataclysmique d'une étoile qui aboutit à sa destruction totale et donc à la mort de l'étoile.
Cette explosion s'accompagne d'une augmentation gigantesque de sa luminosité vue de la Terre, qui peut durer jusqu'à plusieurs semaines et même plusieurs mois. Elle est visible en plein jour et la nuit, elle peut être aussi brillante que la lune et même donner une ombre aux objets. Une supernova apparait donc souvent comme une étoile nouvelle, d'où son nom, nova. Les supernovae sont des évènements rares dans notre voie lactée, environ une à trois par siècle, par contre à l'échelle de l'univers, on en observe tous les jours.
C'est lors de son explosion en supernova que l'étoile libère les éléments chimiques qu'elle a synthétisé au cours de son existence et lors de l'explosion elle-même. L'onde de choc de la supernova favorise la formation de nouvelles étoiles en accélérant la contraction de régions de gaz et de poussières du milieu interstellaire. Les novas, à la différence des supernovas sont issues des explosions thermonucléaires qui provoquent une destruction partielle de l'étoile en expulsant une partie de sa surface dans l'espace interstellaire.
* La nébuleuse du Crabe ou M1 est le résultat caractéristique d'une explosion d'étoile. La mort d'une étoile peut être douce ou violente, cela dépend de sa masse. Image prise par le télescope spatial Hubble.
IC 1396 s'étend sur des centaines d'années-lumière, c'est une nébuleuse d'émission composée d'un mélange rougeoyant de gaz cosmique et de nuages de poussières interstellaires froides et sombres. Les étoiles en formation dans cette région, sont seulement à environ 3000 années-lumière de la Terre. Cette photographie particulièrement colorée de la région est un composite d'images numériques enregistrées à travers des filtres à bande étroite. Les filtres bloquent effectivement l'essentiel de la lumière, mais véhiculent les longueurs d'ondes caractéristiques des atomes rougeoyants de la nébuleuse. En fait, dans le jeu de couleurs utilisées sur cette image, il est facile de retracer quelques-uns des éléments qui contribuent à l'émission d'IC 1396. L'émission des atomes de soufre est indiquée en rouge, celle des atomes d'hydrogène en vert, et de l'oxygène en bleu. Ce magnifique résultat est plus beau mais très différent de ce que l'œil pourrait voir. IC 1396 se situe dans le haut et loin de la constellation de Céphée. La forme intrigante sombre à l'intérieur d'IC 1396, qui serpente de droite à gauche au centre, c'est la nébuleuse de la trompe d'éléphant, elle est située juste à droite du centre de la nébuleuse.
Cette trompe d’éléphant cosmique fait plus de 20 années-lumière de long. Elle est constituée de sombres nuages cosmiques en forme de vrille contenant la matière première pour la formation des étoiles. En son sein, se cachent des protoétoiles énergétiques qui dévorent la poussière environnante. IC 1396 couvre une grande région du ciel, d'environ 5 degrés. Le centre de la nébuleuse est ici éclairé par une brillante étoile centrale.
* L'immense nébuleuse IC 1396. Le complexe peu brillant, IC 1396 couvre une vaste région du ciel, à peu près 5°, ce qui correspond, à peu près à la taille de 10 pleine Lune.
Richard Crisp
(source : astronoo)
“Nous observons deux brins entrelacés l’un autour de l’autre comme dans une molécule d’ADN” a déclaré Mark Morris, un professeur UCLA d’astronomie et principal auteur du rapport. “Personne n’a jamais rien observé de tel dans la sphère cosmique. La plupart des nébuleuses sont soit des galaxies spirales pleines d’étoiles soit des conglomérats amorphes de poussière et de gaz.
Ce que nous voyons indique un haut degré d’ordre.” Les chercheurs pensent que le champ magnétique au centre de notre galaxie a produit cette nébuleuse en forme de double hélice. “Nous savons que le coeur galactique possède un champ magnétique intense qui est hautement structuré et que les lignes du champ magnétique sont orientées de façon perpendiculaire au plan de notre galaxie”, expliqua Morris. “Si vous prenez ces lignes de champ magnétique et que vous les torsadez à leur base, cela envoie une vague de torsion sur toute leur longueur…” Ce qui crée la vague de torsion est précisément inconnu.
Quelles que soient les dynamiques qui y sont impliquées, les astronomes observent avec leurs meilleurs instruments matériels un événement objectif dans l’espace cosmique, au cœur de la galaxie.Ainsi que vous le constatez, tout est construit selon un système parfait qui n’est pas forcément reconnaissable au premier coup d’oeil mais qui devient évident si l’on regarde de plus près. La vie elle-même est soumise comme le microcosme et le macrocosme à des lois parfaites. Ces lois, nous les trouvons partout dans notre système solaire, dans les cellules du sang, dans l’électricité et dans le magnétisme.
Et puisque la matière est maintenue et déterminée par des forces électromagnétiques, nous les hommes, qui sommes aussi matière, sommes soumis à ces lois.Cela ne vous a-t-il pas frappé qu’une étoile ne quitte jamais « par hasard » son orbite, qu’une cellule sanguine n’aille pas à contre-courant de la circulation sanguine ou qu’une fleur d’été ne fleurisse jamais, par hasard, en hiver ? Avez-vous déjà entendu dire qu’un électron quitte, par hasard, l’orbite qu’il décrit autour du noyau de l’atome ? Toute matière est composée de 105 élànents fondamentaux formés, eux aussi, de neutrons, de protons et d’électrons dont les mouvements sont absolument parfaits et rythmiques. Pourquoi donc seul l’homme devrait-il être exposé aux « hasards » alors que toute vie en nous et autour de nous est soumise à un rythme régulier ? Le hasard n’existe pas ! Il y a une loi pour chaque événement. Certes, nous ne reconnaissons pas toujours cette loi du premier coup d’oeil. Mais cela ne nous autorise pas à nier son existence. Les pierres tombaient déjà bien avant que nous soit connue la loi de la pesanteur. L’homme est la copie fidèle de l’Univers macrocosmique. C’est pourquoi il est écrit au-dessus de l’oracle de Delphes :
« Homme, connais-toi toi-même, alors tu connaîtras Dieu »Le champ magnétique humain tournant sur lui-même a exactement l’aspect de notre Galaxie .
(source : rustyjames et consciencequantique)
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