• Des nuages intelligents.

    Mystères de la terre 

     Des nuages intelligents

    Des nuages intelligents

    UNE NOUVELLE HYPOTHÈSE QUI DOIT RÉVOLUTIONNER L’UFOLOGIE MODERNE 

    On classe parmi les « formations globulaires », phénomène atmosphérique qui se produisent quand le Soleil est à la limite d’une masse nuageuse, ce qui cause une illusion d'optique donnant l’impression d’apercevoir un objet globulaire.

    Actuellement, et si l’on excepte les inévitables pseudo-observations qui ne sont que des canulars de m’as-tu-vu, la plupart des observations rejetées par les spécialistes des OVNI concerneraient soit les formations globulaires, soit des amas nuageux de forme bizarre.

    Parhélie magnifique ! photo prise à Saint-Renan près de Brest par Éric

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    Or, cette rigueur scientifique, louable en soi, a sans doute conduit à ne pas tenir suffisamment compte des « choses » ayant la forme de nuages et venant réellement d’autres mondes.

    Un journal américain « le True Flyng Saucers et Ufos Quaterly » a écrit il y a quelques années, une étude approfondie de tous les cas observés de nuages se comportant comme des OVNI. 

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    Certains sont plus que troublants.

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    Une nouvelle hypothèse, étayée sur un ensemble de faits longtemps passés inaperçus, est en train de révolutionner le monde de l’ufologie (sauf en France ?)

    Aujourd’hui, il n’y a pratiquement plus de scientifiques pour nier l’éventualité d’une vie extragalactique. Les missions complexes des sondes, le prouvent et la tentative d’entrer en relation avec des habitants de l’espace a reçu la caution de personnages officiels

    Toutefois, ces extraterrestres que l’on admet comme plus que probables ont-ils la possibilité de venir nous rendre visitent ou, en d’autres termes, les OVNI viennent-ils de l’espace.

     En  l’absence de preuves officielles la question reste ouverte.

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    Parmi des amis a moi, certains nient cette possibilité, s’appuyant sur la fragilité  des témoignages recueillis et arguant du fait qu’il n’y aurait qu’une chance infinitésimale que les extraterrestres choisissent la Terre parmi les milliards de planètes de l’univers.

    Toute fois leurs convictions ne rencontrent pas un assentiment général, car de fortes présomptions permettent de répondre par l’affirmation à la question en suspens.

    La majorité des cas observés concerne soit une émission de vapeur ou de fumée destinée à cacher aux regards humains un engin conventionnel, un peu comme on se sert d’obus fumigènes pour rendre invisibles à l’adversaire des mouvements de troupe, soit une masse gazeuse inconnue faisant partie intégrale du système de propulsion de l’engin.

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    On peut en effet concevoir une enveloppe moléculaire ou gazeuse non soumise à la gravitation qui entraînerait en roulant sur elle-même un esquif spatial placé en sont centre.

    Elle serait en somme pour l’engin inconnu ce qu’est la chenille pour un char d’assaut.

    Toutefois, quelques chercheurs  vont plus loin et se demandent si l’on ne serait pas en présence d’une forme de vie intelligente prenant l’aspect d’une formation nuageuse qui serait en même temps et leur corps et leur engin spatial.

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    Ce genre d’hypothèse, basée sur des éventualités scientifiques, défie l’imagination et il est nécessaire d’échapper à notre mode de pensée habituel pour le concevoir.

    Un peu comme cela se passait quand Einstein commençait à bâtir sa célèbre théorie.

    Un de nos graves défauts est de toujours faire de l’anthropomorphisme, c'est-à-dire tout ramener a la conception de l’être humain.

    Quand on a commencé à parler d’extraterrestres, on a supposé naturellement que les habitants des mondes infinis étaient faits à peu près comme nous, compte tenu des conditions de vie sur les autres planètes.

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    De là les nombreuses descriptions de «  petits hommes verts » et autres élucubrations.

    C’était oublier que la vie organique et la vie intelligente pouvaient revêtir des milliers de formes, bien éloignées des nôtres.

    Qu’est-ce que la vie ? Cette question semble simpliste, mais il est difficile d’y répondre. Pour les biologistes, les caractéristiques de la matière vivante sont de pouvoir réaliser naturellement à une température moyenne et à un degré de Ph, ni acide ni basique des réactions qui demandent en laboratoire des températures élevées  et un milieu soit acide, soit basique. 

    L’analyse chimique de la matière vivante n’est pas satisfaisants, car ses constituants, qu’il s’agisse du carbone, de l’oxygène, de l’hydrogène, de l’azote, des sels minéraux, se trouvent également dans la matière inerte.

    En partant de la définition des biologistes, on juge donc vivante toute combinaison répondant à un certain nombre de critères comme le métabolisme, la croissance, la reproduction et la transformation de l’information, c’est-à-dire une réaction aux stimuli externes.

    Ces définitions sont importantes car l’aventure spatiale a fait naître une nouvelle science, l’exobiologie, ou biologie de l’extérieur et les savants qui s’en occupent vont se trouver dans l’espace confrontés à des problèmes inconnus.

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    La première expérience de grande ampleur pour déceler des traces de vie dans l’espace fut réalisée avec la sonde Viking, lancé à la fin de l’été 1975, et qui au terme de son voyage, s’est posée le 20 juillet 1976 sur la surface de Mars.

    Le principe des essais effectués par l’appareillage automatique de cette sonde consistait à mélanger à un échantillon de sol martien une solution nourrissante pour voir s’il  se produirait une réaction métabolique, donc pour voir si des micro-organismes allaient « manger »  ce qu’on leur donnait. 

    Pour en savoir plus : Dictionnaire visuel des mondes extraterrestres 

    NUAGES NATURELS OU  autre chose...?

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    LA VIE SUR MARS

    Les résultats furent ambigus et n’ont pu être analysés parfaitement.

    Rien ne permet donc de conclure à la présence de vie, rien ne permet non plus de la nier (depuis cela à bien changer ?

    Ce que l’on peut dire, c’est que les résultants suivants nous donnent une forme de vie martienne différente de ce que l’on avait prévu !

    Il existe de nombreuses planètes constituées par une sphère gazeuse d’hydrogène, d’eau d’ammoniac, cette sphère devenant de plus en plus dense au fur et à mesure qu’on s’éloigne des couches supérieures en allant vers le centre. D’autres planètes, comme Jupiter, par exemple, sont plus ou moins fluides, avec un cœur solide entouré d’une masse gazeuse dense formé de méthane et de cristaux d’ammoniac.

    Les spécialistes qui ont étudié quelle forme de vie pouvait subsister sur ces astres en sont arrivés à la conclusion qu’il ne pourrait s’agir que d’être bizarres, sortes d’immenses sacs remplis de gaz, flottants dans les nuages de méthanes et se nourrissant de poussières organiques de l’espace. 

    Pour en donner une idée, on peut les comparer à un troupeau de baleines flottant dans l’océan et filtrant l’eau à travers leurs fanons pour en retirer le plancton. Ces êtres pourraient très bien être dotés d’intelligence, mais ne disposant pas de membres pour transformer leur environnement, ils seraient à tout jamais incapables de bâtir une civilisation fondée sur une technologie, donc dans une autre dimension non matérielle ?

    Cependant, ces êtres en forme de gaz seraient encore des organismes complexes, d’une intelligence supérieure à la nôtre. Des savants à la compétence reconnue par leurs pairs ont fait un pas de plus en postulant l’existence d’une vie totalement différente de nous.

    C’est le cas entre autres des astronomes Woolf et Fred Hoyle.

    Le premier affirme que l’on peut trouver autour de certaines étoiles  une matière interstellaire douée d’intelligence. Sir Fred Hoyle, lui, a imaginé un « nuage noir » composé de la même matière interstellaire, extrêmement diffus, au point que l’on serait en présence d’un « presque vide » pensant et raisonnant.

    Rappelons à ceux qui taxeraient ces hypothèses de rêveries gratuites que Woolf et Hoyle sont de véritables scientifiques.

    Quant aux auteurs de science-fiction, il leur est souvent arrivé de postuler l’existence d’intelligences évoluant en l’absence de corps palpable, dans des conditions proches des hypothèses scientifiques.

    Il est temps que nos fameux ufologues qui écrivent tant de livres, tiennent compte de ces données lorsqu’ils effectuent le recensement et l’analyse des observations d’OVNI.

    Chaque fois qu’apparait dans le ciel une formation nuageuse ayant un aspect insolite, différent des formes habituelles des nuages, et ne se déplaçant pas de la même façon, les témoins doivent noter toutes les caractéristiques et si possible en prendre des photos, car il y a toutes les chances pour qu’il s’agisse d’une manifestation de la vie galactique. 

    Source : Recherches personnelles dans mes dossiers ? 

                                                                                 Courton-le Bas le 15 janvier 2008-01-08 

                                                                                            Claude BURKEL

    Source :  "le guide des chasseurs de nuages" 


    Qu'est-ce qui peut être à l'origine d'un grand trou dans les nuages ? Un tel trou, probablement des centaines de mètres de diamètre, a été photographié le mois dernier depuis une autoroute proche de Mobile, Alabama, aux USA. Très rares, les nuages hole-punch (NDLT : "hole-punch" signifie "trou perforé") tels que celui-ci conservent une part de mystère aux yeux des météorologues. Une hypothèse largement acceptée prétend que le nuage hole-punch est provoqué par des cristaux de glace en chute libre. Les cristaux de glace pourraient provenir de nuages plus hauts ou du passage d'avions.

    Si l'air a juste la bonne température et humidité, les cristaux en chute absorberont l'eau présente dans l'air et grandiront. Pour que cela se produise, l'eau doit être si froide qu'il ne lui manque qu'une surface pour geler dessus. L'humidité perdue par l'air augmente le taux d'évaporation des gouttelettes d'eau du nuage, d'où leur dissipation qui forme le trou. Les cristaux de glace maintenant plus lourds continuent à tomber pour former le nuage plus ténu et vaporeux, genre virga, visible dans et juste sous le trou. L'eau et la glace du virga 15s'évaporent avant d'atteindre le sol.

    traduction réalisée par : Laurent Laveder

    Source : cidehom

     

    • Arc Circumzénithal

    Quand il y a des cirrus ou d'autres nuages de même type et que le ciel est bien ensoleillé, il est aussi possible de voir l'arc circumzénithal au dessus du Soleil centré sur le zénith. Il ressemble à un mini arc en ciel coloré à l'envers avec le rouge vers le Soleil. Il est tangent au grand halo de 46°.

    Le Soleil ne doit être à pas plus de 32° de l'horizon pour voir un arc Circumzénithal soit entre 15° et 25°. Plus le Soleil est proche de l'horizon plus l'arc est lumineux et s'agrandit jusqu'à ce que le Soleil soit à 16° de hauteur. C'est quand le Soleil est à 22° de haut que l'arc Circumzénithal est le plus brillant, puis la luminosité de l'arc baisse.

    Ces arcs sont provoqués par la réfraction de la lumière des cristaux plats. Ils sont assez fréquents et peuvent être visibles 13 fois par ans en Europe.

    Arc circumzénithal pris à Breil-sur-Roya le28/09/2004

    Arc Supralatéral et Infralatéral



    Un arc circumzénithal et un arc supralatéral et le dessus de l'arc Parry.
    Cette photo a été prise avec Canon Powershot G2 digital. 2004 Eva Seidenfaden. 

    Arc Circumhorizontal 

    Quand le Soleil est assez haut dans le ciel (de 32° à 90° de hauteur de l'horizon) un arc circumhorizontal peut être visible sous le Soleil près de l'horizon lors de passage de cirrus. Ces arcs ont la forme inverse à l'arc Circumzénithal, sont assez grands et sont produits par les cristaux plats.

    Ces arcs sont parmi les moins visibles. En Europe, 0.10 arc circumhorizontal sont visibles chaque année. Plus on est en basse latitude plus on a la chance de voir ces arcs. Ils ne peuvent pas être visibles quand on monte au de là de 55° de latitude comme le Soleil est toujours à moins de 57,80° de hauteur. Vers le nord de la France ou en Allemagne à 50° de latitude, l'arc circumhorizontal est visible qu'une fois en été, le Soleil ayant atteint une altitude d'environ de 61°. C'est un des plus rares arcs à ne pas être visible partout sur Terre.

    Un arc circumhorizontal
    avec deux trainées d'avion
    que j'ai pris le 28/05/2004 à
    14h02 à St-Gaudens (31)
    avec un fujifilm S5000

    Arc de Lowitz  

    Un arc Lowitz et d'autre arcs, photographiés à 11h le 26/02/1996
    par Bon Fosbury avec un objectif planaire de 80mm, ayant
    un FOV 38° (diagonale 52°), et un polariseur linéaire dirigé
    radialement vers le Soleil. Les balayages originaux ont
    été masqués pour augmenter les détails faibles.  

    Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences 

    Grâce à une observation fortuite, des météorologues ont enfin trouvé la clé d'une longue énigme : celle de ces étranges « coups de poinçon » dans les nuages, qui apparaissent comme des trous plus ou moins circulaires. Les coupables sont, comme on le pensait, des avions et le mécanisme vient d'être précisé, mettant en jeu la surfusion et démontrant qu'un avion peut laisser derrière lui une traînée de neige.

    Qui donc perce les nuages ? Aussi saugrenue qu'elle puisse paraître, la question est posée. Aux Etats-Unis surtout, des photographes diffusent sur le Web ou dans les journaux des images de sortes de perforations dans la couverture nuageuse, de formes ovoïdes, parfois presque circulaires ou s'approchant de celle d'un stade. Souvent, un nuage filamenteux s'installe dessous. Ces fenêtres s'ouvrent dans des altocumulus (tapis de nuages de l'étage moyen, entre 2.000 et 6.000 mètres) ou plus haut, dans des cirrocumulus.

    Appelées en anglais fallstreak (trouée en traînée) ou hole punch cloud (nuage poinçonné ou nuage en poinçon), ces formations étonnent beaucoup leurs spectateurs, à tel point que leurs images viennent prendre place sur les sites de discussions autour des Ovnis.

    Pour les météorologues aussi, le phénomène est intriguant. Les avions sont accusés mais sans que l'on ait établi jusque-là clairement le phénomène en cause. S'agirait-il d'un phénomène acoustique ? d'un réchauffement local ? d'un phénomène thermodynamique dans les traînées de condensation ?

    Des météorologues américains, notamment du NCAR (National Center for Atmospheric Research), ont eu beaucoup de chance un jour de 2007 alors qu'ils volaient dans un Hercules C130 spécialement équipé, autour de l'aéroport de Denver, pour, justement, effectuer des mesures. Pendant le vol, l'équipe n'a rien remarqué de spécial mais le dépouillement des données a révélé une surprise. Un radar au sol avait repéré une zone de précipitation très localisée, de forme inhabituelle et évoluant rapidement, et ce lorsque leur avion météo était en l'air. Les chercheurs ont alors épluché les images automatiquement enregistrées par les caméras du bord et ont découvert un de ces hole punch clouds au sein d'une couverture d'altocumulus. La vidéo montrait aussi à ce niveau une zone de précipitation neigeuse. Pendant 45 minutes, de la neige est effectivement tombée à cet endroit sur une aire d'environ 30 kilomètres sur quatre. 

     
     
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