La famille de trodons aurait pu donner cela...
Le dinosaure qui aurait pu produire un être vivant de type presque « humain »
Contrairement à la version de l’évolution selon laquelle le moteur serait le progrès continu et linéaire, comme l’ont fort bien expliqué Stephen Jay Gould et David Raup, entre autres, seule la malchance a éliminé les dinosaures et leurs semblables. Et pourtant, ils dominaient depuis plus de 100 MA le monde vivant. On a même postulé que le sténonychosaure, découvert au Canada en 1967, possédait des facultés étonnantes et que son cerveau était anormalement développé. D’autres petits dinosaures bipèdes carnivores évoluaient d’une manière très favorable vers l’intelligence.
B. Werber : « Parmi la foule des dinosaures divers qui peuplaient la Terre il y a soixante-cinq millions d’années, une espèce particulière marchait sur deux pattes, possédait notre taille et un cerveau occupant pratiquement autant de place que le nôtre : le sténonychosaure.
Alors que notre ancêtre ne ressemblait qu’à une musaraigne, les sténonychosaures étaient vraiment des animaux très évolués. Ces bipèdes aux allures de kangourou à peau de lézard avaient des yeux en forme de soucoupes capables de voir devant et derrière (avouons de ce gadget nous manques). Grâce à une sensibilité oculaire extraordinaire, ils pouvaient chasser même à la tombée de la nuit. Ils possédaient des griffes rétractables comme les chats, de longs doigts et de longs orteils aux capacités de préhension étonnantes. Ils pouvaient par exemple saisir un caillou et le jeter.
Les professeurs canadiens Dale Russel et R. Seguin (Ottawa), qui ont étudié les sténonychosaures, pensent qu’ils disposaient d’une capacité d’analyse de l’environnement exceptionnelle, surpassant celle de toutes les autres espèces de l’époque et leur permettant d’être dominants malgré leur taille réduite.
Un squelette de Sténonychosaure, trouvé dans l’Alberta (Canada) en 1967, confirme que ces reptiles avaient des zones d’activité cérébrale très différentes des autres dinosaures. Comme nous, ils avaient le cervelet et le bulbe rachidien anormalement développés. Ils pouvaient comprendre, réfléchir, mettre au point une stratégie de chasse, même en groupe.
Bien sûr, par son allure générale, le sténonychosaure ressemblait davantage à un kangourou .. mais, selon Russel et Seguin, si les dinosaures n’avaient pas disparu, ce serait probablement cet animal qui aurait développé la vie sociale et la technologie…
A un petit accident écologique près, ce reptile aurait très bien pu conduire des voitures, bâtir des gratte-ciel et inventer la télévision. Et nous, malheureux primates retardataires, n’aurions plus eu de place que dans les zoos, les laboratoires et les cirques »
C’est le dinosaure le plus « cérébralisé » de tous. Sa boîte crânienne, comparée à la taille de son corps, est la plus grande jamais découverte.
Son cerveau était plus grand que celui d’un émeu. Après avoir comparé la taille de son cerveau à celle d’un mammifère moderne, les scientifiques pensent que Stenonychosaurus était aussi intelligent qu’un opossum. Et il pouvait encore évoluer...
Le sténonychosaure (Stenonychosaurus) a été nommé par C.M. Sternberg en 1932 d’après un pied, un fragment de main et quelques vertèbres caudales du Crétacé supérieur d’Alberta. Un détail anatomique intéressant consiste en une énorme griffe sur le deuxième orteil, caractéristique des déinonychosaures. Sternberg classifia à l’origine le sténonychosaure parmi les coeluridés, une famille de théropodes. Plus tard (en 1951), il spécula que puisque le sténonychosaure avait un pied fort unusuel et que le Troödon avait des dents tout aussi inhabituelles, ils devaient être apparentés. À l’époque, aucun spécimen comparable n’était disponible pour tester la validité de l’idée.
Un squelette de sténonychosaure plus complet a été décrit par Dale Russell en 1969, squelette qui forma la fondation scientifique de sa célèbre sculpture grandeur nature de sténonychosaure et de son descendent humanoïde fictif, le "dinosoroïde". Le sténonychosaure devint un théropode bien connu dans les années 1980, quand les pieds et la boîte crânienne ont été décrits en détail - l’animal est même parfois considéré comme étant le "dinosaure le plus intelligent". P.J. Currie, dans sa révision des troodontidés connus en 1987, a reclassé Stenonychosaurus inequalis comme étant synonyme de Troodon formosus. Cette synonymie a largement été adoptée par les autres paléontologistes et c’est ainsi que tous les spécimens connus sous le nom de Stenonychosaurus sont maintenant désignés sous le nom de Troodon dans la littérature scientifique récente. Parmi les autres genres transférés dans le genre Troodon, on trouve Pectinodon, Polyodontosaurus. Avec Stenonychosaurus, tous ces noms peuvent fort bien désigner autant de genres valides que ne former qu’un seul et même animal. Des recherches plus approfondies pourront faire la lumière sur la question.
Ils ont des caractères crâniens très développés : de grandes orbites, permettants une vison diurne et nocturne, avec une vision dirigée presque à 360 ° au vu de la position de ces dernières. De plus, il dispose d’un rapport volume crânien sur volume total impressionnant, un des plus important parmi les dinosaures, ce qui en fait un dinosaure capable d’intelligence poussée. De plus, tout comme ce qui caractérise les Hommes des autre Hominidés, le Sténonichosaure possédait une organisation du cerveau différente, et que l’on pourrait justement comparer à celle de l’Homme par certains côtés.
En outre, la forme de sa caisse de résonance et des os de son cou laisse à penser que si l’évolution s’était poursuivie, il aurait été possible de voir émerger un proto-langage chez ces animaux, bien qu’on soit presque sûr qu’ils aient été capables de communiquer.
Ainsi, ces dinosaures seraient devenus l’espèce dominante si un banal accident astronomique n’était pas survenu il y 65 M d’années...
A lire : "Nouvelle encyclopédie du savoir relatif et absolu" de Bernard Werber
(source : matierevolution)
Que serait devenue notre planète ?
Etude du cas "Gyneco-Obstetrique Parnet"
Que serait devenue notre planète si les dinosaures n’avaient pas disparu ?
Voici une question qui a trituré les méninges de plus d’un archéologue et préhistorien. Pour certains, l’Homme n’aurait jamais pu se développer dans un milieu aussi hostile et se serait contenté de survivre menant une existence proche de celle des autres mammifères. Pour d’autres, l’espèce humaine aurait tout simplement disparu, anéantie par ce grand prédateur.
Tout ceci parait fort intéressant et pourrait sans nul doute suscité un long débat sur des forums d’archéologie, alors pourquoi poser cette question sur la page du CAMRA.
Eh bien la réponse est simple. Elle nous vient des célèbres fables du poète Jean de La Fontaine. Ce dernier véhiculait ses idées moralistes à travers ses poèmes en s’inspirant des animaux de la jungle. À notre place, La Fontaine aurait surement choisi les animaux du jurassique pour conter la fabuleuse histoire de la médecine algérienne.
En effet, comment ne pas se référer au dinosaure lorsqu’on veut décrire le comportement de ce vieux chef de service de gynécologie de l’hôpital Parnet, qui à l’approche de la quatre vingtaine s’applique jour et nuit à chasser, harceler et à « dévorer » son personnel médical et paramédical.
Voici son histoire :
Nous sommes à la fin du crétacé, entre 80 et 70 millions d’années avant J.C. Ce chef de service de gynécologie-obstétrique, que nous appellerons vélociraptor pour ne pas citer de nom, a excellé depuis maintenant plusieurs décennies dans le domaine de la tyrannie et du harcèlement moral. Afin d’assoir son autorité et pour continuer à régner sans partage sur le monde des Hommes, ce dinosaure a commencé par négliger toute formation et enseignement sur territoire, puis il à trouvé l’ingénieuse idée de recruter sans concours et sans aucune compétence spécialisée sa jeune fille médecin généraliste afin de semer la terreur dans son service. Si le vélociraptor, ce dinosaure bipède et carnivore est connu pour être un prédateur rapide et habile, la jeune vélociraptor femelle est encore plus grand et plus dangereux prédateur. Avec de puissantes mâchoires portant 80 dents acérées, cette dernière fut nommée chef d’unité de son papa au vu et au su de tout le monde. Mais ce n’est pas fini, et c’est là que l’histoire est intéressante : au lieu de se faire toute petite, cette dernière ne manqua pas de s’approprier la salle d’échographie de son cher papa et d’injurier (sans aucune métaphore) et d'harceler le personnel médical et paramédical.
Ces derniers se sont donc révoltés et ont organisé une mutinerie sans précédent. Fabriquant des lances à l’extrémité en pierre taillée, les infirmières, sages-femmes, résidents, assistants et maitres-assistants ont décidé de clamer haut et fort leur mécontentement en cessant toute activité au sein de leur service afin d’attirer l’attention des « responsables » et de chasser ces prédateurs de leur territoire. Après un long combat à la fois protestataire et médiatique, exemple de solidarité et de noblesse, conforté par un inébranlable soutien syndical, les Hommes pensaient avoir achevé leurs prédateurs.
Mais c’était sans compter l’intervention du plus grand carnivore terrestre de tous les temps le « Tyrannosaure Rex » Pour ne pas citer de nom, ce dernier règne sans partage sur la plus haute institution de la santé et de la réforme hospitalière.
Tyrannosaurus signifie « lézard tyran ». Ce n’est pas un mythe, la solidarité entre tyrans est infaillible. En effet, malgré la commission d’enquête menée par sa propre institution, le grand T. Rex s’est déplacé en personne pour afficher son soutien indéfectible au vélociraptor le qualifiant de légitime et de souverain sur son propre territoire. Compatissant avec les animaux de son espèce, ce dernier lui proposa de prendre un congé de 30 jours au cours desquels l’espèce humaine se démobiliserait et renoncerait à continuer la lutte. Mais le vélociraptor déclina gentiment cette offre et se contenta de prendre 3 jours de congé pour régler d’autres affaires plus urgentes.
La logique voudrait qu’à partir d’un certain âge, l’expérience de la vie et la pratique de la science confère sagesse et humilité. Il semble que ces qualificatifs soient loin d’être attribué à ces dinosaures du crétacé qui ne prodigue ni formation à leurs cadets, ni soins à leur patients laissant de coté la noblesse de leur profession et usant de toutes les malversations pour instaurer l’autocratie et la se constituer une dynastie d’usurpateurs et de tyrans mettant en péril le fonctionnement du service et le travail accomplie par une grande dame qui nous a quitté il y a de cela quelques années laissant à sa mort l’un des plus grands service de gynécologie d’Algérie et dont le nom évoquait autrefois respect, compétence et formation.
Dans notre cher pays où les tyrans sont confortés dans leurs fonctions et où le citoyen et le jeune médecin sont les otages de ces vieux dinosaures du crétacé. Un profond sentiment d’injustice, de désarroi et de ras-le-bol rempli les cœurs.
« Que serait devenue notre planète si les dinosaures n’avaient pas disparu ? ». Forts de notre expérience, nous pouvons affirmer que l’Homme ne peut en aucun cas se développer ou survivre avec ses vieux mammifères qui en plus de la force et de la puissance conférés par leurs titres ont également développé cet instinct de solidarité qui leur permet de chasser en groupe et d’être incontestablement l’espèce dominante du jurassique.
Au terme de notre article une autre question nous parait aussi importante que la première : pourquoi le grand T. Rex est allé au secours du vélociraptor alors qu’il aurait pu tout simplement le mettre à la retraite reflétant un pseudo sentiment de justice ?
Eh bien la réponse est simple, il est inconcevable pour monsieur Rex de mettre en évidence le talon d’Achille des dinosaures qui montrerait la voie aux autres Hommes victimes de l’oppression à travers le territoire national et d’ouvrir la brèche qui permettra à l’Homme de vaincre puis d’exterminer l’espèce des dinosaures.
Tôt ou tard l’astéroïde qui a provoqué la disparition des dinosaures il y a des millions d’années frappera de nouveau la planète terre. Les dinosaures qui se croyaient maitres de la planète terre ont aujourd’hui disparu.
L’Homme n’était pas contemporain du dinosaure à l’âge du crétacé. Ce dernier pouvait donc régner sans partage sur les autres animaux. Au 3ème millénaire les choses sont différentes. Par son intelligence et sa persévérance, l’Homme a dominé les éléments qui l’entourent et s’est imposé comme étant l’espèce dominante de la planète terre.
Nous pouvons conclure notre article en disant que l’intelligence, la solidarité et la persévérance sont les astéroïdes qui libéreront l’espèce Humaine.
(source : facebook)
Reptile humanoïde
Les reptiles humanoïdes sont des créatures représentées comme des reptiles à l'allure humaine. Ils sont connus sous différents noms : reptiliens, reptoïdes, dinosauroïdes, hommes-lézards, saurials, reptites, draconiens, voire dragons.
Le reptile humanoïde est une figure qui se retrouve dans différents mythes et légendes, ainsi que dans la culture populaire. Certains partisans de la théorie du complot pensent que ces créatures existent bel et bien et qu'elles œuvrent dans l'ombre dans le but de manipuler l'espèce humaine.
Mythologie
On retrouve des reptiles humanoïdes dans les différents mythes et légendes, par exemple l’histoire de la fée Mélusine. Ce sont souvent des créatures mi-humain et mi-serpent. On rencontre aussi des formes de dragons humanoïdes dans les cultures asiatiques. Bien que créature fantastique, le dragon est considéré comme un reptile. Les serpents, dragons ou autres noms pour désigner un même genre, ont toujours désigné des êtres de pouvoir (des dieux) ou des initiateurs, apportant quelque chose à l'homme présupposé inférieur ou soumis.
Science
Une théorie scientifique émise en 1982 par le paléontologue Dale Russell, basée sur sa découverte, du premier crâne de sténonychosaure, évoque les reptiles humanoïdes, appelés aussi les dinosauroïdes. Selon sa théorie, l'espèce dominante sur la planèteTerre aurait été une évolution des dinosaures, et non les humains (des mammifères), si les dinosaures n’avaient pas disparu.
Ufologie
Brad Steiger est le premier ufologue à avoir parlé des extraterrestres de type reptilien dans son livre les Soucoupes Volantes sont hostiles en 1967.
Anton Parks a décrit la genèse des reptiliens Annunakis dans ses livres. Ils auraient fondé la civilisation de Sumer. R.A. Boulay le rejoint dans son analyse.
(source : wikipedia)
Reptiliens, reptoïdes, dinosauroïdes, hommes-lézards, saurials, reptites, draconiens :
autant de termes apparentés qui servent à désigner des créatures similaires, mi-hommes mi-reptiles.
À l'heure actuelle, aucune preuve de l'existence présente ou passée de lézards humanoïdes n'a été découverte. Cependant, bien que la réalité des reptiliens soit rarement admise même dans les milieux du paranormal, de nombreuses théories existent à leur sujet.
Une espèce extraterrestre venue conquérir la Terre ?
Pour David Icke, les reptiliens appartiennent à une race extraterrestre venue du système solaire Alpha Draconis. Depuis le début de l'Histoire, ils manipuleraient l'évolution des sociétés humaines et les mèneraient actuellement vers l'établissement d'un nouvel ordre mondial.
Les reptiliens décrits par Icke se nourrissent de sang et d'émotions négatives. Grâce à des manipulations génétiques, ils seraient aujourd'hui devenus des hybrides de lézards et d'être humains et peuvent altérer leur apparence : ainsi, la plupart des chefs d'état et des familles puissantes seraient en fait des reptiliens déguisés. Charlemagne, Lady Diana, les présidents des États-Unis, les Rothschilds et les Rockfellers sont apparentés selon David Icke et cachent au monde entier leur apparence réelle : celle de lézards humanoïdes de deux mètres de haut.
John Rhodes : des espèces terriennes
Selon John Rhodes, l'origine des reptiliens n'est pas à chercher dans l'espace mais bien sur la Terre. Résultat d'une évolution parallèle des lézards, les reptiliens feraient partie des milliers d'espèces animales inconnues que l'être humain n'a pas encore découvert. Ils vivraient en Antarctique et dans des zones difficiles d'accès, mal connues de l'homme, ainsi que sous la terre?, ce qui ferait d'eux des intraterrestres.
Selon lui, il existe au moins trois types de reptiliens :
- Les reptoïdes, reptiles humanoïdes de 1m65 à 2m75. Dotés de longs bras à quatre doigts dont un pouce opposable et de petites griffes émoussées, ils n'ont ni tétons, ni nombril, ni lèvres : leur peau est recouverte d'écailles brun-vert, plus petites au niveau de leurs mains, de leur abdomen et de leur visage afin de permettre davantage de flexibilité. Leurs yeux aux pupilles verticales sont soit noirs soit blancs. Leurs oreilles ne sont que des trous et leur nez, deux fentes formant un "V". Ils n'ont pas de pilosité, mais certains d'entre eux ont des épines sous le menton, similaires à celles de certains lézards dits « barbus ». Certains reptoïdes ont une queue et d'autre pas. Des informations plus détaillées sur l'anatomie des reptoïdes et notamment sur leurs parties génitales est disponible sur le site de John Rhodes, dont le lien est repris ci-dessous
Les reptoïdes classiques, les draco et un exemple d'hybride reptilien.
Images créées par Kay Ford pour reptoid.com, site de John Rhodes
- Les reptoïdes "Draco", plus grands (de 2,15 à 3,65 mètres) et moins souvent observés, seraient selon Rhodes plus haut placés dans la hiérarchie reptilienne. Ils se distinguent principalement des autres reptoïdes par le fait qu'ils ont des cornes, une corpulence plus athlétique et des ailes, composées de longs appendices osseux reliés par une peau tannée brun sombre, qui leur permettent de voler. Pour John Rhodes, le Mothman serait en fait un reptoïde draco : son cou replié vers le bas amènerait sa tête au niveau de son torse, ce qui cadre avec la position des yeux du mothman.
- les Draco Prime semblent être au-dessus des Draco dans la hiérarchie reptilienne et s'en distinguent par leurs écailles de couleur blanche.
John Rhodes fait également allusion à l'existence de petits gris et d'hybrides gris/reptiliens, se présentant sous la forme de reptiliens de petite taille à la tête et aux yeux disproportionnés.
Dale Russell et le dinosauroïde
En 1982, le paléontologue Dale Russell a imaginé en quoi les dinosaures auraient pu évoluer s'ils n'avaient pas connu une extinction massive, il y a 65 millions d'années. Pour Russell, une espèce telle que le troödon, un prédateur bipède au cerveau exceptionnellement grand doté de "doigts" semi-préhensiles, aurait pu évoluer en créature humanoïde.
Sculptures d'un troödon et de son descendant imaginaire, le dinosauroïde, réalisées par Russell.
Bien que proche en apparence de l'être humain, cette créature aurait conservé des caractéristiques de reptiles, que l'on retrouve chez les reptiliens de Icke ou de Rhodes, comme l'absence de glandes mammaires ou d'organes génitaux externes. Russell imaginait toutefois son dinosauroïde comme doté d'un nombril, la présence d'un placenta favorisant selon lui le développement d'un cerveau de grande taille.
Certains paléontologues ont cependant critiqué cette expérience de pensée, jugeant le dinosauroïde "trop humain". Selon eux, un reptile intelligent descendant du Troödon aurait plus vraisemblablement conservé un corps plus proche de celui de son ancêtre, une queue, une posture plus horizontale et aurait plus vraisemblablement manipulé des objets avec son museau et ses pattes postérieures à la manière d'un oiseau plutôt qu'avec des mains comme celles dont Russell a doté son dinosauroïde. Le dinosauroïde est cependant utilisé comme argument par John Rhodes pour soutenir l'existence hypothétique de ses "reptoïdes".
Origines
L'origine des spéculations sur l'existence des reptiliens est peut-être à chercher dans les nombreuses religions et mythes dans lesquels des lézards apparaissent. Ainsi, David Icke soutient que les nombreux reptiles et dragons qui occupent une place prépondérante dans les religions orientales ont été inspirés par les reptiliens, tandis que les autres religions ont été créées par les reptiliens eux-mêmes afin de manipuler les êtres humains plus aisément.
(source : paranormal-encyclopedie)
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