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Flavio, je viens du soleil
Révélations exceptionnelles d'enfants dits "indigos"
"Je viens du soleil "
par Flavio M.Cabobianco
En 1981 est né en Argentine Flavio M. Cabobianco, qui à l’âge de trois ans a commencé à dire « je viens du Soleil » et à parler sur la relation avec Dieu, la réincarnation, le karma, le temps, l’espace, l’amour, etc.
Le phénomène est d'autant plus surprenant que le jeune garçon n'a reçu aucun enseignement particulier sur les sujets dont il parle.
L'éducation qu'il reçoit de ses parents et la proximité de son frère Marcos - doté lui aussi de facultés particulières - lui permettent d'exprimer librement la conscience qu'il a des mondes spirituels d'où il vient.
A l’âge de huit ans, il écrit un livre, traduit dans toutes les langues :"Je viens du Soleil" avec ses mots et ses dessins d'enfant, il explique avec une vision synthétique des concepts tels que l'organisation de l'Univers avec ses différents plans d'existence. C’est une histoire étonnante écrite pas un enfant hors du commun, éveillé et éveilleur, qui nous emmène dans son univers qui est celui de la Vie et du monde spirituel. Avec une infinie simplicité il nous exprime sa vision du monde et le sens de sa venue sur notre Terre. Il nous rend attentif à ce lien permanent qui est le nôtre entre notre nature terrestre et notre essence divine.
Il annonce : " Des enfants d’un nouveau type sont en train de naître. Ce sont des humains différents, bien que rien ne le laisse supposer. Je suis seulement l’un d’eux, un des premiers. L’humanité est en train de changer. La connexion avec le monde spirituel est plus ouverte. Tous les enfants peuvent à présent se maintenir unis à cette source spirituelle, à leur essence ".
Source : cietmaintenant
Le Livre « Je viens du soleil » de 1999 , Edit.Auréas.
À travers les étonnants témoignages d'enfants Indigo qu'elle a pu recueillir, Sylvie Simon projette une nouvelle et bouleversante lumière sur la relation de l'homme avec Dieu et avec le Cosmos.
« Le coeur est une partie lumineuse du Soleil. Cette partie lumineuse nous donne de la joie, de l'amour, de la paix, de l'abondance, de la santé, de la beauté, de l'harmonie.
Grâce au Soleil, un rayon lumineux va dans le cour de la Terre. Ce cour en cristal distribue à son tour la joie, l'amour, la paix, l'abondance, la santé, la beauté et l'harmonie sur toute la planète, puis dans tout l'univers... » Angélique, 9 ans (28 avril 2000)Dans son livre "Enfants Indigo, une nouvelle conscience planétaire" (Éd. Alphée), Sylvie Simon explique que, lors de la Nouvelle Lune de novembre 1983, une importante concentration de planètes s'est produite entre les constellations du Scorpion et du Sagittaire.
Les enfants influencés astrologiquement par cette concentration (ceux nés entre 1983 et 1997) se comptent par centaines de millions. Ils font partie de la fameuse "vague Indigo", qu'ils ont déclenchée collectivement, même s'ils ne sont pas tous à proprement parler des Indigos, au sens spirituel de ce terme.
La plupart des Indigos sont encore des enfants ou des adolescents. Mais ceux que l'on peut considérer comme leurs précurseurs n'ont pas hésité à se démarquer des gouvernements et des lois obsolètes qui régissent notre société pour le malheur de la planète.
Jusqu'à présent, ces précurseurs étaient des êtres d'exception, ils représentaient un phénomène marginal qui suscitait peu d'éveils de conscience parmi les multitudes. Ils étaient, au mieux, qualifiés d'originaux, au pire de fous, voire de débiles mentaux. Il est heureux que ces êtres singuliers se soient multipliés et qu'une nouvelle génération prenne la relève à notre époque où nous devons choisir entre la survie de la Terre et le pillage quotidien de ses richesses au service d'un "mieux être" totalement aléatoire et illusoire.
L'un des traits caractéristiques communs aux jeunes Indigos est qu'ils ont des idées claires et bien définies sur un certain nombre de sujets, à commencer par les questions les plus philosophiques et les plus métaphysiques.
Il semble, en particulier, que Dieu ne soit pas du tout pour eux un Être lointain, insondable et inaccessible, conformément à l'image qu'en présentent nos religions actuelles.
Voici, à ce sujet, quelques étonnants témoignages d'enfants Indigos recueillis par Sylvie Simon.Dès la naissance, ces enfants exceptionnels - mais qui le sont de moins en moins - affirment qu'ils sont enfants de Dieu. Ils expriment leur compassion pour tout ce qui vit sur Terre, hommes, animaux et plantes, et ne tolèrent ni cruauté, ni injustice. Ils ressentent le besoin d'être en contact avec la nature, de marcher, de respirer, de réfléchir dans la campagne. Ils ne sont pas le moins du monde matérialistes et pensent que leur mission est d'essayer de refaire le monde et de le rendre meilleur.
Ils évoquent fréquemment le Cosmos, les étoiles, la Lumière.
« Je viens du Soleil », déclarait Flavio Cabobianco alors qu'il n'avait que trois ans. Plus tard, à huit ans, il ajouta à ses commentaires qu'il s'agissait non du Soleil physique, mais du Soleil spirituel.
Anna entretenait, elle aussi, de très étroites relations avec Dieu auquel elle s'adressait bien souvent, mais l'idée d'un culte collectif heurtait ses convictions. Lorsque le curé lui demanda pourquoi elle n'allait pas à l'Église, elle lui répondit: « Parce que je sais tout ça. » Elle estimait qu'on pouvait se rendre à l'Église pour apprendre certaines choses, mais qu'une fois qu'on avait compris, il était inutile d'y revenir. « Puisque Dieu est partout, je ne vois pas pourquoi il faudrait se rendre dans un endroit particulier pour lui parler. »
Pour elle, il n'y avait qu'un seul Dieu malgré la différence des lieux de culte, les appellations données aux croyants, les rituels. «Nous jouons tous le même accord, mais avec des noms différents», expliquait-elle.
À neuf ans, née dans une famille catholique, Elga refusait de se confesser: « C'est à Dieu lui-même que je parle de mes péchés, pas au curé qui n'est qu'un homme, et même un homme qui ne connaît pas grand-chose! » Elle disait également: « Le prêtre prétend que seuls les catholiques détiennent la vérité. Ce n'est pas vrai. Tout le monde détient une petite partie de la vérité, mais Dieu seul la détient toute. »
« Dieu est Dieu, quel que soit le nom qu'on lui donne. Mon ami Tahar l'appelle Allah, mais c'est toujours Dieu », constate Kevin (sept ans).
Rébecca tient le même discours: « Il ne peut y avoir différentes religions, il n'y en a qu'une. » Elle partage l'opinion d'Anna et a demandé plusieurs fois, en montrant une église: « Pourquoi les gens ont-ils besoin d'aller dans cette maison ? » Pour elle aussi, Dieu est partout et elle ne voit pas l'utilité de se rendre dans un lieu déterminé pour le rencontrer.
« Je viens d'autres mondes », déclare-t-elle. Elle voit, elle aussi, des anges et des entités, avec ou sans ailes. Elle converse également avec des elfes qui se trouveraient dans les palmiers de sa maison au Portugal.
Tous les Indigos semblent être en rapport avec le monde éthérique. Ils affirment souvent voir des anges ou d'autres créatures célestes auxquels ils s'adressent parfois comme s'ils étaient à côté d'eux.Rodd parle souvent des anges qu'il aperçoit depuis qu'il est âgé de dix-huit mois, et les décrit avec précision.
Lorsque Carlotta était toute petite, elle faisait souvent allusion à un moine en robe safran avec lequel elle bavardait. Comme cette habitude ne passa pas en grandissant et qu'à neuf ans elle conversait encore avec cet être invisible, ses parents l'amenèrent voir un psychiatre qui ordonna des calmants. Carlotta n'en fit plus jamais mention, mais elle ne pardonna pas à ses parents leur manque de confiance en elle. Lorsqu'elle devint adulte, elle rencontra un voyant qui lui confirma qu'elle avait pour guide un lama tibétain.
À peine âgé de quatre ans, Marcos Cabobianco expliquait à son tour: « Les anges n'ont ni ailes, ni pieds, parfois ils jouent avec moi. Ils font des cercles dans l'air, des cercles de lumière. Ils ont comme un manteau blanc, brillant. Quand je suis avec eux, moi aussi je peux flotter, mais nous n'avons pas besoin d'ailes. Nous flottons parce que nous sommes liés à l'air. »
Par contre, certains enfants prétendent qu'ils utilisent des "ailes" pour s'envoler vers d'autres mondes. Quoi qu'il en soit, nombre d'entre eux affirment qu'ils sont capables de sortir de leur corps pour aller se promener dans le cosmos et visiter des planètes lointaines.
Flavio disait souvent qu'au cours de la journée il était fatigué car la nuit il voyageait sur d'autres planètes. « Mon travail pendant que je dors est d'être un "informateur". Je transmets à des êtres d'autres mondes, par télépathie, des enseignements sur la Terre. Tout leur paraît très étonnant. »
Flavio rencontra d'autres enfants qui lui confièrent qu'ils étaient venus sur terre pour faire le même travail que lui. « Notre mission est d'aider au changement. La Terre est en train de commencer à être moins physique, plus spirituelle. Certains disent que je vais me fermer au spirituel quand je serai plus grand, mais je ne le crois pas. Je sais que je ne peux rien oublier de ce qui est mon essence. »
Par la suite, à l'âge de neuf ans, il donna plus de précisions: « Avant de naître, je voyais tout, j'avais toutes les perspectives. Ma vision n'avait pas de limites, parce que je n'avais pas d'yeux physiques. C'était la première fois que j'étais aussi proche d'une planète aussi dense. Je m'étais préparé en passant par d'autres planètes où j'avais pu m'entraîner à cette dimension physique. C'était comme apprendre à écrire dans l'air sans utiliser de crayon. Mais ceci était une expérience très différente, très rare : j'allais avoir un corps de matière. J'apportais avec moi quelques données de base pour pouvoir être ici: oui et non, temps et espace. Ce monde est un monde d'opposition. »
Cependant Flavio se plaignait alors que la télépathie, la transmission directe par ondes mentales, ne fonctionne pas bien à cause de la densité de la Terre. « De plus, dans des lieux différents, on utilise des sons différents pour dire la même chose. C'est très compliqué. En outre, existe la gravité, qui est le poids qui nous maintient sur la Terre. Il faut faire des efforts pour se déplacer; on est comme aplati et l'on ne peut pas voler. On peut seulement voler en rêves ou avec les ondes de la pensée. »
De son côté, à cinq ans, Anna signalait: « Ton âme, elle va pas loin le jour, parce qu'elle s'arrête à ce que tu vois. La nuit, c'est mieux. Ça étire ton âme jusqu'aux étoiles. Et ça, c'est très très loin. La nuit, rien ne t'empêche de sortir. C'est comme tes oreilles. Le jour il y a tellement de bruit que tu n'entends rien. »
Ces nouveaux enfants, spirituellement plus éveillés que ceux des générations précédentes, semblent posséder une conscience très différente de la nôtre. L'arrivée de cette nouvelle génération est liée à l'évolution de la conscience humaine et ces êtres du futur sont encore en décalage, car il: se sont incarnés sur une planète dont les habitants, du moins ceux des pays dits "évolués", fonctionnent encore comme à l'époque où la science leur enseignait qu'ils étaient le centre du monde, arrivés sur la Terre par le plus grand des "hasards". Évidemment, pour cette science, la conscience n'est qu'un produit du cerveau, ce que nient en masse les Indigos.
« Les gens devraient devenir plus sages en vieillissant, mais c'est le contraire », déplorait Anna.
À cinq ans, elle remarquait: « Les gens ne peuvent aimer que le dehors et embrasser le dehors, mais Dieu, il peut aimer le dedans, il peut nous embrasser du dedans. Dieu n'est pas comme nous; nous sommes un peu comme Lui, mais pas beaucoup encore. Dieu connaît les choses et les gens du dedans, et nous, nous les connaissons du dehors. Alors les gens ne peuvent pas parler à Dieu du dehors. On ne peut lui parler que quand on est dedans, du dedans de lui. Tout le monde a un point de vue, le sien, mais Dieu n' en a pas. Dieu a vue sur une infinité de points. »
Déjà, à quatre ans, Flavio Cabobianco disait à sa mère: « Je t'aime parce que nous sommes des petites parties issues de Dieu. Tous les humains sont des petites parties issues de Dieu. Dieu est dans tous les mondes, il est séparé en parties, il est dans tous les lieux, il est aussi dans le vide. »
Cependant, les dogmes sur les concepts du temps, de l'espace, de la matière et de l'énergie dominent encore les réflexions des "rationalistes" qui tirent un tel orgueil de leur esprit cartésien qu'ils se sentent obligés de nier l'existence de tout ce qui pourrait remettre en cause cette vanité d'avoir raison "à tout prix". C'est pourquoi bien des gens n'ont pas pris conscience du changement radical requis par les plus récentes découvertes de la physique quantique, qui ont complètement transformé l'image que nous nous faisions de l'Univers.
II est certain qu'à la lumière de ces découvertes, une multitude de scientifiques de très haut niveau présument désormais que la matière n'est pas "matérielle", que la conscience de l'homme n'est pas émise par son cerveau et que la complexité des êtres vivants est telle qu'il est difficile d'expliquer leur genèse en recourant au seul processus darwinien.
Lorsque Trinh Xuan Thuan parle du finalisme de l'univers, il n'hésite pas à aborder la question de Dieu. « Le domaine de Dieu est celui du mystérieux et de l'invisible, celui de l'infiniment petit et de l'infiniment grand. Ce domaine n'appartient plus aujourd'hui exclusivement au théologien. Il est aussi celui du scientifique. »
L'homme n'est, matériellement parlant, qu'une combinaison de milliards de milliards de particules "inanimées". Pourtant, il vit. C'est bien la preuve qu'un Être suprême a ajouté la vie et la conscience à cette combinaison d'atomes. Le hasard et la sélection naturelle n'ont jamais pu expliquer le passage de l'amibe à l'homme en plusieurs centaines de millions d'années et il existe trop de "chaînons manquants" dans la théorie darwinienne pour répondre aux questions majeures de l'évolution.
Ainsi, le nouvel esprit scientifique ne peut plus écarter avec dédain, comme il l'a fait pendant plusieurs siècles, l'idée d'un Créateur, d'un Grand Architecte, d'une force cosmique pensante, bref, l'idée de Dieu, même si certains s'évertuent à l'appeler autrement.
Actuellement, à l'instar de Protagoras dans les célèbres "Dialogues" de Platon, de nombreux physiciens pensent que « l'homme est la mesure de toutes choses ».
John Wheeler, professeur de physique à Princeton, estime que notre existence en tant qu'individus humains dépendrait, d'une certaine façon, de l'existence de tous les autres observateurs conscients. Par conséquent, l'univers existerait grâce à la conscience collective de tous les observateurs passés, présents et futurs.Anna disait à cinq ans: « Tu sais, ce livre sur les quatre dimensions, je sais où est la quatrième: elle est en dedans de moi. »
À sept ans, Flavio Cabobianco ne se posait pas, lui non plus, de questions à ce sujet; il expliquait simplement: « Nous vivons dans un plan de l'Univers, dans la base d'une espèce de tour, dans la région la plus physique. Mais il existe beaucoup d'autres niveaux et tout est relié. L'Univers est né lorsque Dieu décida de faire une expérience, l'évolution. Nous avons tous un petit univers à l'intérieur.
« Nous pouvons imaginer l'Univers comme une tour avec différents niveaux. Aucun niveau n'est supérieur ou inférieur à l'autre. Il n'y a pas de haut ni de bas, et dans chaque partie est représentée la totalité.
« Le niveau astral est le niveau intermédiaire entre le niveau physique et la Source. C'est un niveau subtil, par où passent les âmes pour retourner à la Source. En mourant, on passe définitivement à ce niveau. Nous pouvons aussi y accéder de notre vivant grâce à un certain type d'ondes mentales ou durant le sommeil. À ce niveau, il y a l'espace mais pas de temps. »
Lorsqu'on lui demandait des précisions sur la Source, il répondait: « Au niveau de la Source, il n'y a ni temps, ni espace. Il n'y a pas de polarités. C'est le point où l'énergie exerce un effet miroir et se reflète à tous les autres niveaux. Elle est tout : le supérieur et l'inférieur, le connu et l'inconnu, le grand et le petit. Il y a d'autres choses que je sais, mais je ne sais pas comment les expliquer. Toutes les âmes, pour aller à n'importe quel niveau, doivent toujours passer par la Source. »
Comme Flavio, Anna se trouvait parfois incapable d'expliquer avec des mots ce qu'elle savait ou voyait. « Je sais bien ce que je vois, mais il y a des gens qui ne voient rien. »
Rébecca (autre enfant Indigo) se sent souvent frustrée par l'incompréhension que lui témoignent les autres enfants. « J'essaie d'expliquer aux autres, mais ils ne comprennent pas. Ça ne sert à rien. »
Nombre d'Indigos se révoltent à l'idée que l'on puisse donner à Dieu, aux anges, aux créatures célestes une apparence humaine. Pour eux, l'âme ne prend pas toujours la même apparence. « Ailleurs que sur la Terre, on n'a pas besoin d'yeux ni d'oreilles pour voir et entendre », déclare Vanessa, quatre ans.
Quant à la notion de Paradis, les Indigos refusent de croire ce qu'on leur enseigne au catéchisme.
« Demander où se trouve le Paradis est une question absurde, ce qui compte, c'est l'idée qu'on se fait de ses habitants. Là où les sens sont parfaits, là est le Paradis », disait Anna.
« Le Paradis n'est pas un lieu, c'est seulement la perfection infinie », précise Nicolas, sept ans.
Les Indigos refusent également le concept d'âme créée à la naissance de chaque individu et de la Rédemption.
Pour Flavio: « L'âme a beaucoup de manifestations dans des dimensions diverses. Mais elle ne peut jamais avoir une autre manifestation dans le même monde. Moi, par exemple, j'ai une manifestation où je dois expliquer à d'autres dimensions plus subtiles, comment est cette planète si matérielle.
« En même temps, sur la Terre, je dois expliquer que le monde subtil existe. C'est pour cela que je suis un "informateur" du niveau missionnaire. Les êtres missionnaires sont ceux qui exercent une influence sur les changements de niveau comme celui que nous sommes en train de vivre maintenant sur la Terre dans cette période. Certains êtres comme moi agissent incarnés dans le plan physique, et d'autres aident à partir d'un plan moins matériel. Ce sont ces derniers que certains appellent des extraterrestres. En réalité, ils ne sont ni inférieurs ni supérieurs à nous, ils sont différents. »
Tous ces propos nous ramènent à la physique actuelle, pour laquelle la notion de "matière inerte" n'a plus de sens. La biosphère elle-même apparaît à présent comme une entité autorégulatrice qui contrôlerait l'environnement physico-chimique. (.)
Actuellement, les physiciens quantiques adoptent le même point de vue et affirment que la réalité ultime, dont dépendent les particules, nous échappera toujours et que nous ne pouvons connaître que ses apparences.
Pour Bernard d'Espagnat, puisque personne ne peut savoir ce que sont les constituants de notre univers lorsqu'ils ne subissent pas notre regard, il restera toujours impossible de décrire le réel en faisant abstraction de celui qui le décrit. L'objet même de la science physique paraît être un "construit" de l'intersubjectivité humaine ou - en d'autres termes - d'une conscience collective.
Espagnat se demande si nous n'assistons pas à une sorte de restauration de l'antique symétrie matière-conscience. Comment pouvons-nous concevoir que les atomes puissent faire partie intégrante d'une structure consciente à un certain moment et d'un objet inerte à un autre moment? À quel stade peut-on parler de conscience en ce qui les concerne? Pour Karl Popper, la conscience est un phénomène émergeant, non des atomes, mais de systèmes supérieurs.
De nombreux scientifiques pensent que la conscience humaine pourrait n'être qu'une expression de la Conscience de l'univers.
Flavio expliquait à cinq ans: « Le un est la vie. Le zéro est le rien. Le zéro n'est aucun nombre, c'est l'infini des nombres. Et tout, le zéro et le un, le plein et le vide, c'est Dieu. » Les vibrations de l'air sont converties en bruits et sons par notre conscience. Le frottement des atomes contre notre peau est ressenti comme une sensation tactile, les substances chimiques nous donnent une sensation de goût ou d'odeur, perçue par notre conscience. Notre volonté et notre esprit donnent des signaux à notre corps physique qui réagit aussitôt.Sans doute avons-nous tant de mal à comprendre la parenté entre l'Esprit et la Matière, parce que nous utilisons des concepts qui appartiennent à un seul aspect du cosmos et que nous les appliquons pour décrire d'autres aspects auxquels ils ne sont pas applicables.
Alors que sa mère lui demandait de ne pas remuer son pied pendant qu'elle l'habillait, Flavio lui répondit: « C'est mon pied mais moi, je ne suis pas mon pied, je ne suis pas mon corps. Je ne suis pas non plus ma tête. Je suis plus que mon corps. Je veux dire que ceci n'est pas la vraie réalité. »
Ces propos nous rappellent étrangement les interrogations de Jean Jaurès dans sa thèse de quatre cent vingt neuf pages intitulée "De la Réalité au monde sensible", qu'il présenta en 1891, à la Faculté des lettres de Paris. « Mon corps est mon corps, mais il n'est pas moi. Or, s'il n'est pas moi, et qu'il soit pourtant uni à moi, mêlé à moi, la situation où je me trouve est équivoque et fausse. D'un côté, cette matière unie à l'esprit est pour lui une servante et une amie; de l'autre côté, elle est une étrangère. Dans quel état contradictoire et incertain va être le monde fait de matière et d'esprit? »
Ce brillant politicien essayait, lui aussi, de définir la frontière entre l'esprit et la matière en posant la question: « Le monde sensible, que nous voyons, que nous touchons, où nous vivons, est-il réel ? » Pour sa part, Rimbaud disait: « Je est un autre. »
De nos jours, une partie de la communauté scientifique est en train d'élaborer d'incroyables théories sur d'autres possibilités spatio-temporelles, les énergies fondamentales, les champs bio-gravitationnels auto-organisateurs, la relation de la conscience avec la pesanteur et la prise en compte de la variable cachée manquante dans l'organisation de la matière. Les structures conventionnelles, qu'elles soient scientifiques, psychologiques, religieuses ou sociologiques, s'écroulent à un rythme accéléré, et il n'est pas pensable que cet événement n'ait pas d'incidence sur la pensée humaine ou, en tout cas, sur la pensée des jeunes générations.
« Les nouveaux êtres ont un centre mental plus grand. Les bébés qui naissent maintenant viennent d'une école plus avancée que Mars, comme le Soleil. Ces âmes nouvelles vont aider à ce que la Terre ne subisse pas un changement trop brusque, à eux tous, ils vont produire des bonnes ondes », disait Flavio Cabobianco lorsqu'il avait six ans.
Deux ans plus tard, il confirmait: « L'humanité est en train de changer. La connexion avec le monde spirituel est plus ouverte. Tous les enfants peuvent à présent se maintenir unis à cette source spirituelle, à leur essence. » Extrait du livre de Sylvie Simon "Enfants Indigo (une nouvelle conscience planétaire)" Éditions Alphée - Octobre 2006 Ère Nouvelle - Janvier 2007
NOTA : Sylvie Simon est également l'auteur de "la Mémoire de l'au-delà" (Éd. Alphée) et de nombreux et passionnants ouvrages sur les phénomènes dits "paranormaux" et l'ésotérisme, ainsi que sur la désinformation en matière de santé et d'écologie.Source : erenouvelle.nous-les-dieux
DU LIBRE ACCOMPLISSEMENT AU CONDITIONNEMENT MEURTRIER, TROIS DESTINS HORS NORME.
Les enfants actuels nous étonnent. Beaucoup semblent inadaptés à notre monde et à nos écoles. On a parlé d’enfants « cerveau droit » dans un monde « cerveau gauche », de rêveurs dans un monde de gens sérieux. Leur avenir dépend bien sûr de la manière dont leur famille et leur entourage les reçoivent et peuvent les comprendre.
Le premier personnage de ce livre, Flavio Cabobianco, a été écouté, compris, encouragé. Son livre, Je viens du soleil, écrit à l’âge de onze ans à Buenos-Aires, est un magnifique message d’amour et d’espoir.
Le deuxième enfant nous emmène dans des mondes magiques : lama Michel, né à São Paulo dans une famille brésilienne, a choisi à douze ans d’être un lama dans la tradition tibétaine.
Quant à Michael au Texas, ses parents ont été dépassés par les événements. Sa trajectoire a été semée de fugues, de répressions et de médicaments psychiatriques. Accusé de meurtre, condamné à mort et exécuté le 1er juillet 2010, il a clamé son innocence pendant les neuf ans qu’il a passés dans les couloirs de la mort.
Ces trois enfants sont réels, et ils sont aussi le symbole des millions d’enfants de notre temps qui reçoivent des médicaments psychiatriques quand leur comportement dérange. Au lieu de tenter de les comprendre, notre société les drogue. Le message de ce livre aux parents et aux médecins est clair : tenter de les comprendre plutôt que de les abrutir !
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