-
Grégory Mutombo, éveilleur de conscience
GREGORY MUTOMBO, éveilleur de conscience
"La Symphonie des Âmes"
"Lorsque nous avons tout appris, puis tout oublié.
Tout possédé, puis tout perdu.
Tout tenu, puis tout lâché.
Voici que l'esprit, sans s'annoncer,
Frappe à notre porte, et nous demande de sortir..." G. MutomboGregory Mutombo porte depuis l'enfance une spiritualité qui, parce qu'elle préfigure son besoin impérieux d'unité et d'absolu, le singularise. Animé par la volonté de voir derrière les voiles, il se plonge très tôt dans une quête de la Connaissance. Celle-ci passe, au tout début de son adolescence, par une exploration vibrante de ce que l'on nommait alors la parapsychologie.
A partir de 1993, à l'âge de 19 ans, il suit différents enseignements à Paris, Nice et Londres sur les corps et soins énergétiques, les états modifiés de conscience, la cosmogonie, l'écriture inspirée, les vortex de la Terre, la paneurythmie et la chromologie. Etant musicien, il s'initie parallèlement à la musicothérapie et à diverses techniques psychomusicales.
En 1995, il part pour un périple pédestre dans les montagnes bulgares, autour des sept lacs de Rila, région imprégnée des vibrations de Omraam Mikhaël Aivanhov et de Peter Deunov, dont il avait déjà approché l'essence via la paneurythmie. Il se retrouve face à lui-même dans cette nature essentielle qui lui parle sans discontinuer, de jour comme de nuit. Quelques semaines plus tard, en réponse à une sorte d'injonction intérieure qui s'est imposée à lui au cours d'une longue méditation nocturne, il s'engage dans l'armée, concevant rapidement que ce chemin, par son intensité, sa diversité, sa densité et ses exigences sera riche en initiations.
C'est alors le début d'un parcours, d'un voyage de 18 années dans le monde. Dans un certain monde. Il part tout d'abord près de 9 mois en Afrique, sa première affectation, entre Sénégal et Mauritanie, avant de retrouver la France pour occuper un poste à responsabilité. On lui confie une quarantaine de personnes alors qu'il n'a que 22 ans. Ensuite, pour se rapprocher des populations civiles, il choisit de changer d'uniforme et entre en 1998 dans la gendarmerie mobile, celle que, paradoxalement, personne ne voit. Il est rapidement envoyé dans les Comores puis en Amazonie, pour des périodes de plusieurs mois. En parallèle de ses missions, il écrit deux romans initiatiques : La stratégie de l'orphelin (1999) puis La corde d'argent (2000), publiés à compte d'auteur.
En 2003, appelé à de plus hautes fonctions, il intègre l'Ecole des Officiers de la gendarmerie d'où il sort major de promotion, comme à chacune de ses précédentes scolarités militaires. Cette régularité suscite l'intérêt du magazine Paris-Match qui lui consacre un article en juillet 2006. Pendant ses deux années de formation, parce que la compassion et le refus de juger sont profondément inscrits en lui, il publie un essai Les enfants-soldats en Afrique subsaharienne : conversion de victimes en bourreaux et obtient un diplôme de 3ème cycle de l'université de Paris-II portant sur l'analyse et la compréhension des comportements criminels
En 2006, il est envoyé plusieurs mois dans diverses îles d'Océanie où il est grièvement blessé en cherchant à apaiser de très vives tensions entre tribus. Rétabli en 2007, il lui est demandé de se rendre seul pour quatre mois en Centrafrique pour instruire l'unité d'intervention nationale et la conduire à agir dans un plus grand respect de la vie. En 2008, à la tête d'un peloton, il retourne pour trois mois en Amazonie afin de lutter contre les ravages de l'orpaillage clandestin. La même année, de nouveau dans le cadre d'une mission solitaire, il est envoyé pour quatre mois en Guinée afin d'y former quatre mille jeunes gens aux rudiments du maintien de la paix. Il y oeuvre dans des conditions particulièrement difficiles puisque son lieu d'enseignement se situe à la frontière avec le Sierra Leone, précisément dans le camp de réfugiés qui avait inspiré deux ans plus tôt le décor final du fim "Blood diamond" avec Leonardo Di Caprio.
Chef de plus de cent vingt personnes à partir de 2009, il cherche, en développant un style de commandement en adéquation avec sa vérité intérieure et son essence, à se dévêtir des oripeaux psychologiques qui conditionnent nombre de ses frères d'armes. Bien que s'appuyant sur une nécessaire rigueur et un sens affirmé de l'organisation sans lesquels toute volonté n'est que voeu pieu, il écoute ses subordonnés, les soutient, les guide et, surtout, leur dit l'amour qu'il leur porte. Ce qui, indubitablement, bouscule certaines coutumes.En 2011, désigné avec son unité pour repartir vers les Comores, il y séjourne trois mois et est de nouveau confronté au spectacle édifiant d'une humanité en détresse.
Partagé, de par les circonstances, entre sa vision spirituelle, sa soif de lumière et ce qu'il vit au quotidien, il conçoit sa connexion aux dimensions supérieures comme un atout salvateur. Au fil des missions qui rythment ses jours, il apprend alors autant de la solitude, de la mort, de la notion de service, d'obéissance, d'abnégation, de sacrifice ultime que de ces précieux instants de grâce qui, parfois, placent en apnée les champs de bataille et touchent le coeur même des plus belliqueux. Ni juge ni bourreau mais observateur éclairé de l'ombre - qu'il sait être de la lumière en gestation - il chemine en silence, avec compassion et une volonté farouche de voir derrière les voiles de la violence.
En fin d'année 2012, après une difficile mission de six mois en Afghanistan, il sait que ce long parcours initiatique touche à son terme. De fait, il se ré-approprie progressivement cette Connaissance de laquelle il ne s'est jamais coupé puis renoue avec ses perceptions extra-sensorielles, ses capacités médiumniques de clairvoyance et de clairaudience. Conscient de la puissance d'ancrage, de guidance et de discernement que cette précédente tranche de vie lui a conférée, il s'engage depuis, avec une détermination absolue, dans le service aux autres, dans le service au bien commun.Au travers de stages, conférences, séminaires et consultations individuelles, ce sont aujourd'hui des milliers de personnes qui ont vu, entendu et senti Gregory se pencher sur leur âme pour y lire entre les lignes, pour les aider à y déraciner leurs peurs et leurs peines.
Source : lasymphoniedesames
KARMA ET LIENS KARMIQUES
Du point de vue des dimensions supérieures qui ne sont pas tributaires de l'espace-temps, l'humanité est déjà libérée de son karma puisque celui-ci n'existe pas dans la Loi de l'Un, mais uniquement dans les densités inférieures de dualité. Sauf que l'humanité est à peine en train de débuter son processus d'émergence de la Conscience du Soi supérieur. Seuls les êtres ayant totalement accepté le processus et intégré leur Soi supérieur se sont libérés de leur karma. Ils sont alors en mesure d'évoluer dans la Conscience de 5ème dimension et même au-delà. Du point de vue de l'humanité, le karma collectif n'est donc pas encore résolu. Cette idée séduisante est en vérité un concept erroné, fruit d'une interprétation hâtive qui tend en outre à déresponsabiliser chacun sur le chemin de l'éveil.
Prenons l'exemple d'une rencontre entre deux personnes. Lorsque celle-ci déclenche une réaction émotionnelle ou un sentiment, c'est qu'il y a une reconnaissance karmique déclenchée par l'interaction de leurs corps énergétiques. Souvent connoté négativement dans la psyché humaine, le karma est simplement un lien avec une personne, un évènement, un lieu qui permet de laisser remonter une ou des émotions que l'âme demande de conscientiser. Il peut s'agir de crainte, de jalousie, de rancœur, de colère ou aussi de joie, de plaisir, d'attirance. Il est à chaque fois question soit d'attraction, soit de répulsion. Cela démontre tout simplement que la relation à l'autre, à l'évènement ou au lieu ne vibre pas dans l'équilibre, puisque la circonstance énergétique en corrélation avec l'évènement, c'est-à-dire la mémoire cellulaire ne vibre pas encore au point zéro dans l'ADN.
Comment, hormis par un accès à nos annales akashiques, pouvons-nous nous libérer de nos schémas karmiques ?
Il s'agit déjà de s'observer dans sa vie quotidienne, en famille, au travail, dans la relation avec toute personne qui entre dans son environnement. Face à autrui, il y a lieu de porter le regard sur son propre comportement et celui de l'autre, puis de s'interroger à chaque instant sur la nature de son rôle vis-à-vis de celui-ci ? Qu'est-ce que je ressens ? En ai-je peur ? Ai-je envie de l'éviter ? Me provoque-t-il mal au ventre ? Ressens-je de la colère ? Me sens-je rejeté ? Incompris ? À sa merci ? Est-ce que j'arrive à lui dire « non » ? Suis-je souvent en quête d'une approbation ou d'un aval pour prendre une décision ?... Puis-je alors envisager que je génère une énergie de victime, de soumission par rapport à cette personne ?
Peut-être aussi suis-je confronté à des personnes qui m'évitent, qui ont peur de moi, qui s'opposent à mes idées, qui me renvoient leur colère. Suis-je de ceux qui ont pour habitude de contrôler et surveiller les agissements d'autrui ? De se mêler de leurs affaires ? Suis-je de ceux à qui l'on fait toujours référence, à qui l'on présente des requêtes, des demandes, des autorisations en tout genre ? Puis-je alors envisager que je génère une énergie de persécuteur, de contrôle sur l'autre ?
Peut-être aussi fais-je partie de ceux qui ressentent toujours la nécessité de protéger ou d'aider l'autre, de soulager ses souffrances, de se porter à son secours, à son service ? Puis-je alors concevoir que je génère une énergie de sauveur dans le but de me faire aimer, de ne pas déplaire, d'éviter le rejet ou l'affrontement et qu'il peut s'agir là d'un comportement de fuite, de déni de moi-même, afin d'éviter de contacter mes propres souffrances ?
Le rôle du sauveur intègre toujours l'une des deux polarités. Ainsi l'on peut se retrouver dans le rôle de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur. Dans les deux cas, les rôles sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulée poussant inconsciemment à agir ainsi, afin d'alléger, par un acte subconscient, la responsabilité karmique de sa lignée originelle, dominante ou soumise.
Ces sentiments incitent à se substituer et à s'immiscer dans la problématique de l'autre. Contrairement au dogme judéo-chrétien, ils ne sont absolument pas une énergie d'amour, puisqu'ils empêchent l'autre de toucher sa propre responsabilité dans la situation qu'il génère lui-même.
Ce n'est que lorsqu'on se libère de ces sentiments détournés, issus de la dualité de 3ème dimension, que peut naître véritablement en soi la compassion. Celle-ci étant une énergie d'amour réelle et équilibrée, elle nous autorise à nous retirer complètement du jeu du karma de l'autre pour uniquement l'accompagner par la vibration de neutralité, la vibration au point zéro qui émane de nos champs énergétiques.
Afin de résilier nos rôles karmiques, il s'agit donc avant tout de les conscientiser car nous attirons et manifestons toutes nos expériences uniquement à travers les vibrations de nos corps énergétiques
Source : lasymphoniedesames
La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos ne souhaiterait plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"