• L'éclair de lumière du Saint Suaire

    Mystères humains
      

    Une énergie électromagnétique
     Le Saint Suaire de Turin reste une énigme et conserve son côté fascinant, l'empreinte aurait été créée par une sorte d'éclair de lumière ! 

    L'éclair de lumière du Saint Suaire 

    Pour la nouvelle étude, les chercheurs italiens de la ville de Frascati ont essayé d’identifier les processus «physiques et chimiques» à l’origine de la coloration très particulière de l’image du Christ sur le suaire selon le Telegraph. Ils en concluent que pour obtenir de telles couleurs,

    on ne peut utiliser que des lasers ultraviolets, technologie dont on ne disposait clairement pas au Moyen Age. 

    Selon eux, l’image de l’homme barbu ne peut avoir été créée que par«une certaine forme d’énergie électromagnétique (comme un éclair de lumière à faible longueur d’onde)».  Pour le site d’information MSNBC cette théorie du flash va conforter ceux qui pensent que cette énigmatique image est apparue miraculeusement au moment de la Résurrection du Christ. Elle confirme en tout cas les résultats d'une autre étude réalisée entre 1978 et 1981 par des scientifiques américains, pour qui le visage ne peut pas avoir été peint. 

    Plus troublant encore, une analyse des pollens trouvés sur le tissu sacré menée par Max Frei, criminologue à Zurich, et confirmée par d’autres experts, indique qu’ils proviendraient à 80% du Moyent-Orient selon Henri Tincq…(source : slate

    Le visage naturel
      
    figure 6
    figure 6
    figure 7
    figure 7

     Les nombreuses blessures qui apparaissent sur l’image tridimensionnelle du visage en altèrent la beauté, et suggèrent la physionomie d’un homme pas très jeune, alors que les historiens évaluent l’âge du Christ à 35-40 ans. D’autre part la définition élevée de l’image tridimensionnelle du visage permet d’entrevoir les traits naturels de l’Homme du Suaire.On a donc estimé qu’il était très intéressant de tenter de nettoyer cette image des blessures et des traces de sang. En procédant aux filtrages opportuns, on a pu éliminer les traces des tortures sans altérer les traits au-dessous. L’image obtenue est celle de la figure 6, où les traits du visage apparaissent avec une grande netteté. C’est l’unique image tridimensionnelle du visage naturel de l’Homme du Suaire qui ait été obtenue sans procédés artificiels.Il faut remarquer que le léger flou de l’image est la preuve que l’élaboration réalisée est le fruit de filtrages numériques ayant comme effet collatéral un effet brouillard.Il faut bien insister sur ce point : l’information contenue dans la figure 6 est exclusivement celle qui se trouve dans l’image originale du Suaire, nettoyée du contenu dû aux blessures.Les élaborations effectuées n’ont introduit aucune information « ajoutée », raison pour laquelle l’image obtenue doit être considérée comme très proche de l’aspect du vrai visage de l’Homme du Suaire avant qu’il ne subisse la torture et le crucifiement. Les différences résiduelles sont probablement dues à une tuméfaction générale du visage et à la rigidité de la mort. La figure 7 montre que le filtrage a conservé l’aspect tridimensionnel, et que les traumas dus aux blessures sont restés en évidence ; si l’Homme du Suaire avait été âgé, le filtrage n’aurait pas pu éliminer complètement les rides dues à la vieillesse. 
    fig.1
    fig.1
    fig.2
    fig.2

     
    On constate la négativité de l’image en observant la pellicule utilisée pour la photographier : sur le négatif apparaît en effet une image où les clairs-obscurs sont complètement inversés, et où, évidemment, se produit une transposition spatiale qui intervertit la partie gauche et la partie droite. Les taches de sang aussi apparaissent claires, mais il faut se souvenir qu’elles sont en positif sur le tissu, puisque par nature elles sont sombres. A partir du négatif on obtient ensuite les épreuves photographiques, qui reproduisent l’image sous son aspect original. La figure 1 montre le positif et le négatif du visage du Suaire, tels qu’ils apparaissent sur la photo officielle prise par Giuseppe Enrie en 1931.
    En observant l’image positive du visage (fig. 1 à droite) on remarque par exemple d’évidentes empreintes sombres correspondant à la région des pommettes, tandis que sur la partie gauche du front il y a une grosse tache de sang, sombre, en forme de « 3 » renversé ; sur le négatif de la photographie (fig. 2 à gauche) les empreintes des pommettes deviennent claires, de même que la tache de sang qui prend la forme d’un « 3 », cette fois sur la partie droite du front, par l’effet de la transposition spatiale.
    Il faut remarquer que si le Suaire était un artéfact, l’« artiste » aurait dû peindre l’image d’un homme en négatif ; ce qui n’est pas naturel, et certainement ne pouvait être réalisé au Moyen Âge, époque où l’on ne connaissait pas les principes de la photographie, née vers 1850.
    La différence de tonalité entre les valeurs claires et les valeurs sombres du positif photographique est tellement ténue que l’œil ne réussit à percevoir que globalement les traits d’un visage humain, tandis que les détails ne sont pas facilement discernables ni intelligibles. Dans cette image sont évidentes des taches sombres de dimensions réduites, réparties au hasard, mais regroupées surtout dans les zones claires où l’empreinte est plus faible ; ces taches sont dues selon toute probabilité aux vicissitudes subies par le Linceul au cours des siècles. Par contre, les lignes horizontales et verticales que l’on entrevoit sur l’image doivent être dues surtout à la trame du tissu et aux plis de la toile.
     
     
     
     
    Ces « parasitages », en plus d’altérer la qualité de l’image,  représentent aussi un obstacle si l’on veut ensuite l’analyser par ordinateur. Comme il a été dit plus haut, l’observation de l’image montre bien que les empreintes associées à des zones anatomiques en relief, comme par exemple la pyramide nasale et les joues, ont une tonalité sombre, alors qu’elles sont claires ailleurs, comme par exemple les zones orbitaires et maxillaires. L’image représente donc un visage où la répartition de la luminosité est exactement opposée à ce que nous percevons dans la réalité : dans la réalité en effet nous percevons les parties plus saillantes avec des tonalités plus claires que les parties plus en creux.
    Dans le négatif photographique par contre il est évident que les clairs-obscurs sont complètement inversés, et que se produit la transposition spatiale. Ainsi le tissu de couleur claire apparaît sombre, tandis que les taches correspondant à des zones anatomiques en relief deviennent claires avec des nuances d’intensité qui traduisent la curvilinéarité du visage humain. Le négatif photographique de la toile du suaire représente donc la photo en positif d’un homme comme nous pourrions l’observer s’il était en face de nous.
    La figure 2 représente, à gauche, l’image du visage numérisée, pour pouvoir être traitée informatiquement, avec le résultat que l’on voit à droite. L’image numérique a été obtenue à l’aide d’une caméra de télévision et d’un dispositif de prélèvement de données qui a converti l’information lumineuse d’une diapositive 24x36, reproduisant la photographie officielle de Giuseppe Enrie (1931), en une image bidimensionnelle de résolution 512x512, avec 256 niveaux de gris.
    Afin d’éliminer les bruits présents dans l’image on a utilisé un filtre « médian » qui analyse les pixels au centre d’une fenêtre carrée et en remplace la valeur de luminance si elle n’est pas cohérente avec la moyenne des valeurs à l’intérieur de cette fenêtre. Dans la partie droite de la figure 2 on observe que l’application d’un filtre médian sur le négatif photographique du visage de l’homme du Suaire fait disparaître le bruit et rend plus net le contenu de l’image.Le résultat obtenu présente en outre un contraste élevé et un remarquable rapport signal/bruit utile pour les traitements auxquels on voudrait soumettre l’image. 
     
    La tridimensionnalité 
    fig. 3
    fig. 3
    fig.4
    fig.4

     L’étude de la présence d’information tridimensionnelle dans des images a commencé avec le traitement d’images provenant de satellites artificiels. C’est dans les années 70 que les scientifiques de la NASA parvinrent à obtenir des photographies tridimensionnelles de corps célestes : chose possible dans la mesure où ces corps sont à une distance permettant de rendre perceptible la différence d’intensité lumineuse de leurs images.Dans les photographies ordinaires, par contre, il n’y a pas d’information tridimensionnelle : en effet le processus photographique est tel qu’on ne peut pas mettre les objets photographiés en relation directe avec la distance qui les sépare de l’appareil.
    L’analyse et le traitement tridimensionnels ne sont possibles que quand l’éclairage reçu par l’objet dépend de sa distance ; si ce n’est pas le cas, pour obtenir une photo en relief il faut au moins deux photographies du même objet,  prises de deux points séparés par une distance connue (c’est le cas de la photographie stéréoscopique).C’est pourquoi, lorsqu’on traite des photographies normales de personnes pour obtenir des reliefs verticaux, on a d’importantes distorsions.Paul Vignon, professeur de biologie à l’Institut Catholique de Paris, fut le premier à remarquer, en 1902, que l’intensité de l’image du Suaire semblait varier en raison inverse de la distance entre la toile et le corps : plus le corps a été proche de la toile, plus l’image s’est assombrie.  A l’époque de Vignon, il n’y avait aucun moyen de vérifier cette hypothèse.En 1977 les chercheurs de l’U.S. Air Force Academy, Eric J. Jumper et John Jackson, effectuèrent cette vérification à l’aide d’un analyseur VP-8 qui transforma, sur la base d’une loi hyperbolique, les nuances d’intensité de l’image en niveaux de relief vertical : c’est ainsi que l’on obtint l’image tridimensionnelle du corps et en particulier du visage.Le professeur Giovanni Tamburelli, de l’Université de Turin, assistant en mai 1978 à une conférence sur le Suaire, resta assez perplexe devant les images obtenues par Jumper et Jackson, qui par rapport à l’image bidimensionnelle d’origine avaient une définition moins bonne. Il créa alors, à Turin, un groupe de recherche qui commença les études informatiques sur le Suaire.
    Les premiers résultats furent obtenus dès l’été 1978, et durant les années suivantes ils furent continuellement mis à jour et élargis grâce à de nouvelles études, qui se poursuivent encore même après la mort de Tamburelli (1990), et sont menées par une équipe du Département d’informatique de l’Université de Turin, sous la direction du professeur Nello Balossino. Dans le traitement numérique tridimensionnel on a supposé que le linceul présentait une courbure appropriée, autrement dit qu’il prenait la forme d’une surface courbe régulière avec une certaine inclinaison entre le nez et le front, et qu’il était au contact des points du corps présentant la plus forte intensité lumineuse.La distance entre le corps et la toile a été évaluée selon une ligne verticale, en partant de la considération que le corps était en position étendue sur le dos.L’hypothèse formulée est qu’à la formation d’un pixel de l’image ont contribué tous les pixels d’une région intégrant le point qui se trouve en correspondance directe avec le pixel de l’image.
    La loi de transformation adoptée se base sur le développement en série de Mac Laurin, où on a modifié opportunément les coefficients, de manière à obtenir définition de l’image la plus élevée possible. Pour effectuer le traitement tridimensionnel on est parti de l’image présentée à droite de la figure 2 ; le résultat obtenu est présenté dans la figure 3 où, étonnamment, apparaissent un relief partout régulier et une définition assez élevée.On a donné une inclinaison à l’image pour exploiter au maximum la physiologie de la vision : en effet, l’aspect tridimensionnel d’une structure apparaît mieux s’il y a des lignes de fuite simulant des développements en perspective.Le traitement de l’image du corps a été effectué avec la même technique que pour le visage. Avant toute chose on a traité l’image bidimensionnelle de manière à éliminer le plus possible les bruits. Ensuite de quoi on a introduit le relief selon une loi de compromis différente de celle qui avait valu pour le visage, vu la répartition différente du sang dans les parties restantes du corps. On verra dans la figure 4 la représentation tridimensionnelle de la partie frontale du corps.L’origine tridimensionnelle de l’image du Suaire a donc été pleinement confirmée : le relief et la définition des détails sont impressionnants autant sous l’aspect humain que sous l’aspect scientifique. 
    Les deux traitements informatiques du visage et du corps sont très importants parce qu’ils ont permis de relever de nombreux détails qui dans les images bidimensionnelles d’origine ne sont pas visibles ou restent douteux. On peut en effet lire sur le Suaire, avec le secours des données fournies par le traitement informatique, presque toutes les tortures subies par l’Homme du Suaire, tortures qui a posteriori s’avèrent parfaitement comparables avec celles qu’a subies Jésus Christ et qu’ont décrites les évangiles.Le fait que certains détails n’aient pu être mis en évidence qu’après le traitement tridimensionnel exclut toute possibilité d’intervention manuelle dans la formation de l’image du Suaire. Il est en effet inconcevable que des détails significatifs, invisibles à l’œil nu, et visibles seulement après traitement informatique, aient pu être insérés artificiellement dans l’image.
    (source : sindone)
     

    Les lettres autour du visage

    En 1979, Pierre Ugolotti suppose la présence de lettres en hébreu, latin et grec autour du visage de l’homme du linceul. Ces traces non visibles à l'œil nu et extrêmement ténues sont confirmées en 1998 par André Marion (1) docteur en physique nucléaire, expert en traitement d’images et ingénieur au CNRS. Il y trouve notamment :
    - sur la gauche du visage les mots latin IN NECEM, sous le menton un N dédoublé qui rappelle les deux N de IN NECEM signifiant “ tu iras à la mort”
    - sur la droite du visage la mot grec ΡΕΖΩ "accomplir un sacrifice", ainsi que les lettres grecques Ψ, Σ, K I A qui pourrait signifier (ce n’est qu’une hypothèse) en 2 mots "ombre de visage" ou "visage à peine visible"
    - sur la gauche du visage les lettres latines SB “Signum Baldinii” qui sont supposées être le sceau de Baudoin roi de Jérusalem
    - un ensemble de lettres pour le mot grec ΝΑΖΑΡΕΝΟΣ pour "le nazaréen" mais encore une fois les lettres sont peu visibles et la traduction est contestée .
    - Des lettres grecques Α∆Αµ évoquent le mot "ADAM", sous le menton les lettres ΗΣΟΥ seraient un ensemble composé du mot “Jésus”
    - sur le front les 2 lettres IC comme sur les icônes byzantines qui représentent la première et la dernière lettre de IHEOYC "Jésus". Ces lettres sont invisibles à l'oeil nu. On ne connaît ni leur date d'inscription ni comment elles y ont été inscrites. En août 2008, durant la conférence dans l'Ohio, Petrus Soons présenta ses travaux sur l'image holographique du linceul qu'il traita à partir des photos prisent par Giuseppe Enrie en 1931. Ses travaux lui permirent de mettre en évidence beaucoup de détails concernant l'image. Voici ce qu'il découvrit grâce à cette méthode :

    Sous la barbe de l'homme du linceul, au niveau de son cou, P. Soons découvrit la forme d'un objet oval d'environ 11,5 cm x 5 cm, avec en relief sur cet objet 3 lettres en Hébreux ou Araméen. Ces lettres sont :
    AYIN - ALEPH - NUN

    Après quelques recherches linguistiques, il traduit le mot araméen par " L'agneau ". Cette traduction reste à confirmer. Il constata ensuite que selon les conditions d'éclairage et de prise de vues des photos du linceul faites par différents photographes au cours des années, apparaissait le contour de l'objet ovale et avec pour certaines l'ombre des 3 lettres. En août 2009, Thierry Castex met à jour son site (5) et fait part de ses découvertes utilisant une autre méthode que celle de Marion et Soons. Ils retrouvent des lettres qu'André Marion avait confirmé dont le mot ΡΕΖΩ et IN NECEM. Il trouve également d'autres mots dont il fera part dans une prochaine mise à jour de son site. Il ne confirme pas pour l'instant les lettres de Soons mais les recherches de Thierry Castex ne font que commencer.

    Conclusion :
    Les lettres autour du visage de l'homme du linceul de Turin semblent donc bien existées car elles ont été découverte par différents scientifiques utilisant des méthodes différentes.
    Les mots retrouvés sont parfois datés de quelques siècles après JC, mais leur traduction pose parfois quelques soucis. Certains mots sont écrits en grec, latin, araméen ou hébreux.

    Ce que l'on ne sait toujours pas :
    - Qui a écrit ces lettres ?
    - De quand datent-elles ?
    - Mais surtout, on ne connaît pas leur nature (encre, brûlure du lin ...).

    Les recherches continuent....

    La tridimensionnalité de l'image

    La tridimensionnalité de l'image du linceul de Turin. C'est l'une des propriétés les plus extraordinaires du linceul de Turin. Elle a été découverte, tout au moins dans toute son ampleur, en 1976 lorsque deux scientifiques de la NASA, Jumper et Jackson utilisèrent un logiciel de la NASA, le VP8, qui permet de représenter en 3 dimensions un objet en fonction de l'intensité lumineuse de chaque point de cet objet. Avec ce logiciel, plus une zone de l'image analysée est claire, plus elle apparaîtra en relief, « haute » sur l'écran et réciproquement.

    Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que dans la réalité il n'y a pas nécessairement corrélation entre hauteur topographique (relief réel) et quantité de lumière renvoyée: une zone réfléchissant beaucoup la lumière au fond d'un ravin (un lac par exemple) apparaîtra en relief (en hauteur) avec le VP8 ce qui ne correspondra pas à la réalité. Autrement dit, le VP8 ne restituera le véritable relief en 3D d’un objet que si, et seulement si, l’intensité lumineuse de l’image 2D en chaque point est fonction de la topographie réelle de l’objet photographié. Si on analyse, comme cela a été fait de nombreuses fois des peintures ou même des photographies à l'aide du VP8, on obtient immanquablement une image plus ou moins déformée. Pourquoi ? Pour donner un effet de relief à son tableau, un peintre jouera sur les ombres et les lumières c'est à dire imaginera (ou reproduira ce qu'il voit s'il travaille avec un modèle) une source de lumière externe.

    Les parties en relief d'un visage par exemple seront représentées comme plus claires que les creux et il y aura une ombre portée. Ceci donne une illusion de réalisme mais une illusion seulement. Si cette peinture est ensuite analysée au VP8, l'ombre portée du nez par exemple sera traduite par un creux. Autrement dit, la toile (en 2 dimensions) du peintre ne porte pas l'information tridimensionnelle réelle de son modèle. Il en est de même pour une photographie et pour tout objet tridimensionnel reproduit sur un plan (photo, dessin, peinture etc.). Fondamentalement, ceci traduit le fait que tout objet du monde réel n'est vu que parce qu'il est éclairé par une source lumineuse extérieure.

    (source : linceul-turin

     Article de Patrick Martin

    De nombreux livres ont été publiés ainsi que de nombreux  documentaires diffusés sur le suaire de Turin.Peut-être avez-vous déjà lu un livre sorti en librairie, début 2009,éditeur'docteur Angélique', intitulé "Le linceul de Turin, "Et vous , qui dîtes-vous que je suis?" Les dernières découvertes qui pourraient tout changer de Sébastien Cataldo et Thibault Heimburger,

    Parmi tous les indices mentionnés dans le livre, les chercheurs ont mis au jour une découverte capitale qui remet radicalement en cause la validité de la datation au carbone 14. L'échantillon, prélevé en 1988, au bord inférieur gauche, ne fait pas partie du linceul original et est un patch médiéval.(voir les photos  du linceul, aux pages 185 et suivantes)

    Le linceul porte toutes les marques d'un homme crucifié et flagellé. Il n'y a aucune trace de peinture. Il y a quelques années , des scientifiques américains avaient lancé un défi et offert une forte récompense à toute personne ayant réussi une copie parfaite du linceul. Il n'y eut que de pâles et naïves reproductions.Autre indice troublant est que les clous sont situés sur les poignets , à hauteur du nerf médian, d'où le pouce replié et non pas sur les paumes. Des médecins légistes avaient pratiqué des crucifixions sur des cadavres en plantant des clous sur les paumes. Résultat: les paumes  s'arrachent et le corps tombe de la croix. Ce qui n'est pas le cas lorsque les clous sont fixés au poignets. Des inscriptions ont été découvertes sur le linceul: le nazaréen... et le plus troublant, ce qui prouve de manière irréfutable l'authenticité du suaire est que des empreintes de leptons, pièces romaines, à l'effigie de l'empereur Tibère,datant du premier siècle de notre ère, ont été découvertes à hauteur des yeux. Ce qui fait voler en éclat les conclusions des partisans d'un faux médiéval. Si un faussaire avait peint l'image d'un homme crucifié, il aurait copié la représentation d'un Christ en croix avec les clous sur les paumes;ce qui ne fut pas le cas.Sans compter la tridimensionnalité de l'image., la photo prise par l'avocat Secondo Pia , en 1898, où, chose très curieuse, il obtint un positif à partir d'un négatif.Il s'agit d'une image acheiropoïète, c'est à dire non faite par les mains d'un peintre.

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