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L'énergie des alphabets
L’ENERGIE DES ALPHABETSD’après le livre de Serge Fitz « Le Monde des réalités vibratoires » Ed. Vega.
Les alphabets des différentes civilisations sont porteurs de forces spirituelles et culturelles de leur histoire. Il est intéressant de les comparer pour réaliser qu’un même message dans ces systèmes d’écriture n’a pas le même impact. Ce sont des ondes porteuses dont l’intensité varie de manière fort importante d’un alphabet à un autre, comme le montre les descriptif ci-dessous (valeurs indicatives en unités Angström) – voir » introduction aux mesures vibratoires en bas de page ») :
- Français : 400 000
- Japonais : 300 000
- Hébreux : 450 000
- Chinois : 420 000
- Tibétain : 3 960 000 env.
- Grec : 210 000
- Ethiopien : 1 800 000
- Kmer : 10 000
- Géorgien : 700 000
- Arabe : 3 000 000 env.
- Cyrillique : 100 500
Un alphabet particulièrement jeune comme le cyrillique (mille ans) vibre à un niveau très bas si on le compare à l’alphabet grec, au géorgien, et surtout à l’éthiopien ou au tibétain. Chaque alphabet véhicule un message énergétique qui soutient sa culture mais l’enferme dans un passé révolu. C’est donc à la fois une prodigieuse richesse et une forme de conditionnement…
Visuellement et graphiquement parlant, ces différents alphabets donnent également des impressions (dans tous les sens du terme) différentes.
L’alphabet japonais paraît frêle, léger, aérien, manquant de construction et d’assise.
L’alphabet hébreux est caractérisé par des traits horizontaux bien ancré (encré) dans la matière. La forme carrée prédomine. La multiplicité des traits verticaux traduit le rapport avec le divin. Il y a une impression générale de solidité.
L’alphabet chinois paraît marqué par le tracé descendant. La construction en forme de croisillons est très présente dans une légère complexité. Les traits en forme de toit et les verticales dominent, traduisant un rapport juste avec le ciel, tout en aménageant de multiples rapports avec la terre par la multiplicité des traits horizontaux.
L’alphabet tibétain offre un équilibre saisissant entre les verticales et les horizontales. Une impression de clarté et d’espace se dégage de l’ensemble.
L’alphabet grec paraît centré, carré, équilibré, raisonnable, remplissant pleinement l’espace. Il ressemble à une épure d’architecture.
L’alphabet éthiopien paraît dans sa forme d’ensemble descendre du ciel. Les caractères s’évasent vers le bas. Le trait est massif, solide, avec quelques fantaisies.
L’alphabet arabe est tout en cursives latérales avec de nombreuses envolées. Le trait est simple, linéaire, fin, presque immatériel. Les latéralités s’équilibrent avec quelques verticalités. Le mouvement est très présent. Il se dégage une impression de rythme. Il est très calligraphique.
L’alphabet cyrillique paraît massif avec ses caractères à trois pieds. La verticalité domine. Les lettres sont joufflues et quelque peu naïves. Le rapport ciel/terre se manifeste par le sens de l’espace.
Chaque mettre d’un alphabet possède son niveau vibratoire propre, son onde de forme, et donc son lien avec le zodiaque. Si l’on étudie les lettres hébraïques, on s’aperçoit qu’elles se déroulent suivant un ordre logique calqué sur le zodiaque. Tout se passe comme si un faisceau de lumière ou une étoile était en train de parcourir le zodiaque, insérant au passage devant chaque signe une lettre et y puisant une énergie spécifique en fonction du travail à faire sur le plan de la transmission. Certaines lettres sont dotées d’une énergie importante ; celle de la première est maximale. D’autres vibrent très bas.
Toutes les lettres sont d’autre part associées à des angulations particulières. Prononcées dans un temple, ces lettres vont entrer en résonance de manière spécifique avec les formes architecturales qui lui correspondent. Chaque forme va répercuter les lettres écrites (niveau graphique) ou prononcées (niveau sonore). L’édifice se met à « parler ». On comprendra que dans de tels lieux les sonorisations révèlent d’une grande incompréhension du sens de l’édifice religieux.
Assemblées en mantra, les lettres constituent les « clefs » d’ouverture des chakras. Ces mantras vibrent en tant que mots suivant des niveaux allant de 13 000 à 70 000 angströms.
Les mantras en tant sue sons,, ont la faculté d’éveiller et d’ouvrir certains champs de conscience. Le mantra aum, met le corps physique en résonance avec les énergies divines. Il est donc intéressant de constater qu’il vibre à 1 120 000 angströms, domaine vibratoire des avatars de la divinité. Les textes sacrés (Bible, Coran, Talmud vibrent à 200 000 angströms.)
L’Alphabet hébreu et ses symboles
Les 22 Arcanes de la Kabbale – par Georges Lahy (Virya)
Les vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu sont le support de nombreux aspects de la contemplation mystique, car elles constituent un intermédiaire reflétant la réalité de la totalité de l’existence. Les lettres sont des univers réduits en un symboles, chacune contient la quintessence de l’énergie universelle. Leurs prononciation, écriture, ou contemplation libèrent de puissantes forces qui entrent en résonance avec les degrés les plus profonds de la conscience, et parlent directement à notre âme.
Les lettres hébraïques ne sont pas, uniquement, des instruments permettant d’inscrire des idées sur une feuille de papier, ce sont, avant tout, des concepts précis, contenant les principes essentiels de la Création. Chaque lettre correspond à un nombre d’après sa position, à un idéogramme d’après sa forme initiale et à un symbole d’après les liens qu’elle entretient avec son idéogramme et les autres lettres. L’alphabet hébreu est le révélateur des qualités et des degrés divins qu’il contient symboliquement.
“L’Alphabet Hébreu et ses symboles”, après avoir montré l’origine de l’alphabet hébreu et ses fondements mystiques, révèle les mystères de chaque lettre, à l’aide des textes fondamentaux de la Kabbale : Autioth de Rabbi Akiva, Séfer haBahir, Séfer haZohar, Séfer Yetsirah. Chaque lettre y fait l’objet d’une étude détaillée et très traditionnelle. Tous les textes cités sont traduits par l’auteur.
Ce livre est un manuel indispensable pour tous ceux qui étudient la Kabbale, mais également pour ceux qui sont intéressés par le symbolisme et l’origine des alphabets.
Source : virya.free.fr/
LES RUNES
Ainsi, les runes norroises (ou scandinaves) constituent un alphabet magique servant à la fois à l’écriture courante et à la divination.
L’Alphabet Runique, dérivé de l’alphabet grec et romain, utilisé, a eu plusieurs versions depuis sa création. Sur le plan étymologique, « run « , dans l’ancien langage nordique, signifiait : l’écriture secrète. Puis de « roun « , en vieil anglais, cette appellation a évolué pour devenir « rune « , qui signifie : « secret murmuré « .
L’Alphabet Runique, le plus connu, est le Futhark, qui comporte 24 runes ou caractères + une rune blanche (Rune d’Odin) – cette dernière ne faisant pas partie du Futhark et ne sert qu’en Magie divinatoire.
A l’origine l’Elder Futhark est un ensemble de codes traditionnels ou caractères Magiques (galdr) à travers lesquels des informations peuvent circuler entre les mondes matériels et immatériels.
Hérité de la nuit des temps, l’oracle runique s’exprime par des signes mystérieux inscrits sur des pierres ou des petits galets. Les premières Runes apparaissent en des temps très reculés. Les Nordiques, les scandinaves, les germains et les Celtes les ont utilisées, entre le Ive et le XIIe Siècle. Mais, les atlantes en faisaient déjà usage dans une forme sûrement différente de celle actuellement connue ou enseignée par Freegh aux Goths.
En les tirant et les interprétant, les prêtres nordiques consultaient ainsi les Dieux pour apporter des réponses aux questions que l’existence ou pour des aspirations beaucoup plus spirituelles. Souvent on faisait appel aux prêtres la veille d’une bataille pour connaître l’issue de cette dernière et demander conseil et avis aux Dieux… (Odin, Frey, Hagel, Thor, Tyr…).
Les Runes étaient gravées sur des matériaux vivants : du bois, de la pierre, ou du métal. Gravées sur les épées, ou autres armes, les runes étaient censées améliorer leur efficacité en invoquant la protection d’Ódin.
Les oghams – à l’inverse des runes norroises ne servent qu’à la magie (malédictions efficaces tant que le support écrit subsiste) et à la divination ( les oghams sont gravées sur des baguettes d’if et jetées).
A l’époque, la difficulté de lecture de l’écriture ogamique rend impossible l’élaboration de texte de grande longueur. Les sons transcris par les différentes lettres montrent que l’alphabet ogamique fut calqué sur l’alphabet latin.
Au début de l’époque chrétienne, les oghams ne sont plus utilisés que pour les tombes afin de fixer éternellement la demeure du défunt. Malheureusement, nous n’avons presque rien retrouvé des techniques d’utilisation des ogam. Les runes sont au nombre de 24, plus une rune « blanche ».
Source : angelsplace.perso.sfr.fr/
GEOBIOLOGIE
Introduction aux mesures vibratoires
Notre univers entier est rempli des champs d’énergie et de vibrations. Nous et l'environnement dans lequel nous vivons/travaillons, sommes constamment affectés par les vibrations de chacun, puisque nos pensées ne sont que de l’énergie et des vibrations. En vérifiant certains paramètres, la qualité de n'importe quel lieu peut être mesurée, à savoir son niveau vibratoire, son magnétisme ambiant, les relevés de sa forme spectrale, et le rapport entre l'Univers et les énergies terrestres. Tous ces niveaux de mesures peuvent être obtenus en utilisant un pendule associé à des graphiques.
Vibrations de base
Les vibrations (énergie) de n'importe quel endroit peuvent être mesurées en termes d'unités Bovis. Cette unité porte le nom d'Antoine Bovis, en souvenir des découvertes réalisées par ce chercheur dans le domaine de la radiesthésie.
L'unité Bovis indique la vitalité d'un endroit ou d'un objet, de la nourriture ou de la santé d'une personne.
Au cours de ses recherches, Alfred Bovis (1871-1947) avait établi que toute matière vivante contenait une certaine vitalité qui pouvait être mesurée en Angströms. Il découvrit qu'il en était de même pour mesurer le taux vibratoire des lieux où il se trouvait. Son échelle est devenue une référence en radiesthésie, où l'on mesure en unités Bovis (unités qui sont donc équivalentes aux Angströms).
L’échelle inventée par Bovis, est donc en relation avec des perceptions subtiles de l'ordre de l'Angström, mesure la longueur d'onde de particules de lumière invisible, ou les Bio photons.
Selon les mesures qui datent du siècle dernier, la vibration moyenne de la Terre était estimée à 6 500 unités. Ce niveau a augmenté il y a quelques années pour se situer à 10 000 unités. Aujourd'hui, la vibration moyenne est estimée à 12 000 B. Un endroit qui mesure 12 000 Bovis est donc considéré comme étant neutre : il ne prend, ni donne de l'énergie aux êtres vivants qu'y se trouvent à cet emplacement.
A la verticale de certains endroits où se trouvent des croisements de courants d'eau ou des failles souterraines, j'ai mesuré des niveaux en unités Bovis très négatifs.
En revanche, après un nettoyage énergétique, le niveau d'une maison peut aller jusqu’à 60 000 Bovis.
Source : geobiology
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