• L'énigme des Bolas du Costa Rica

    Lieux énigmatiques
     

    L'énigme des bolas du Costa Rica

    Sphères de granit

    Les sphères mégalithiques du Costa Rica sont des boules de pierre ou pétrosphères, souvent de gabbro, une sorte de granit, qui ont été découvertes à différents endroits de la jungle du Costa Rica, on en compte environ 300 exemplaires de différentes tailles mais les plus grosses atteignent un poids de 16 tonnes pour un diamètre de 2,5 mètres. Localement, elles sont appelées Las Bolas.

    La quasi-perfection de leur forme, l'éloignement parfois d'environ 100 km des premières carrières possibles d'où elles pourraient provenir, la difficulté de leur datation, des moyens inconnus employés pour les confectionner et leur isolation d'un contexte archéologique certain en font une véritable énigme mégalithique.

    Rattachées plus certainement à la période précolombienne, une datation incertaine les rattacheraient à la culture Aguas Buenas, entre 200 av.J.C. et 600 de notre ère. Le mystère qui les entoure donne lieu à de nombreuses interprétations ésotériques ou mystérieuses plus ou moins farfelue, cet aspect est notamment exploité dans les livres écrits par l'explorateur suisse Erich von Däniken. Pourtant, des recherches apportent aujourd'hui une idée de leur fabrication sous un angle beaucoup plus sérieux.

    D'autre exemples de pétrosphères ont été retrouvées à travers le monde, soit d'origine naturelle, soit taillées et sculptées comme les exemples retrouvés en Écosse et datant de l'Âge du bronze. Mais aucune n'atteignent le gigantisme de celles du Costa Rica.

     Historique

    Les premières boules furent découvertes à l'occasion d'un défrichage dans les années 1930. Les premières études scientifiques sur les sphères furent publiées en 1943 dans American Antiquity, attirant l'attention du Docteur Samuel Lothrop du Peabody Museum à l' université Harvard. En 1948, ce dernier, avec sa femme, tenta de fouiller un site archéologique inconnu dans le Nord du Costa Rica[2] où il découvrit d'autres boules, mais le gouvernement du Costa Rica et des troubles politiques empéchèrent la continuation des fouilles.


    (source : wikipedia)

    Le mystère des sphères parfaites.

    Par DRAGON

    Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules, certaines peuvent peser jusqu'a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.
    On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de toute évidence elles seraient ouvres de la main de l'homme et l'on se demande encore comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusque leur position actuelle.
    On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio, le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre "Les fils du soleil" a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut. Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes.

    Pierres exposées au Musée du Costa-Rica.
    Dans le petit Etat du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d'une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !
    Le célèbre explorateur suisse Erich von Däniken nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisent sous le soleil.

    Sphères de Granit de 2,15 mètres de diamètre photographiée par Eric von Däniken.
    Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-il de galets géants qui auraient roulés dans le lit d'une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?
    Erich von Däniken précise qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa à un certain moment d'aller plus loin.
    Ensuite après une heure de marche, assisté d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer". Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

    Plusieurs possibilitésSoit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisqu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là, pour une raison incompréhensible.
    Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous plonge, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
    Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution. L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant : "La Lune clé de La Bible" paru chez l'éditeur "Julliard" en 1968 et en collection de poche "J'ai lu" (n°208) en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.

    Une sphère de 12 tonnes.
    ExplicationsAujourd'hui, on n'a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que quel que soit leur diamètre aucune d'entre elles ne présente la moindre irrégularité. La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriqués, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 mètres de diamètre qui représente environ une aire de 5 mètres carrés et un volume de 8 mètres cubes, dans une roche aussi dure que le granit, qu'à l'aide de machines-outils programmables perfectionnées.
    Il nous reste à découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus à réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.
    Les archéologues réfutent cette interprétation, d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent à conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.
    ConclusionEn 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée : "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."
    Voilà donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont déjà pour nous un inconcevable mystère.

    (source : paranormal)

    DES AUTRES SPHERES EN BOSNIE

    L'énigme des "Bolas" du Costa Rica

    Décidément le Bosnie semble pleine de surprise, en effet après l'affaire des pyramides un nouveau mystère archéologique a été mis à jour, en effet une étrange sphère géante a été découvert près de la ville de Zavidovici.

     Cette nouvelle découverte a été fait très récemment, le diamètre de cette boule de pierre est d'environ un mètre cinquante et, d'après les premières analyses, elle contiendrait une importante quantité de fer.

     Pour l'archéologue Semir Osmanagic ce bloc de roche aurait été sculpté par l'homme par une ancienne civilisation qui daterait de plus de mille cinq cent ans. Le professeur Osmanagic est connu pour ses études sur les pyramides de Bosnie. L'existence d'autres rochers sculptés ayant la même forme est attesté par des documents anciens, mais il semble que la plupart ait été détruite. En effet une légende locale racontait que chaque sphère contenait en son centre de l'or, les habitants de la régions les auraient détruits dans l'espoir d'y retrouver du métal précieux.

     L'archéologue a réussi à recevoir une subvention du gouvernement Bosniaque au grand damne de beaucoup de chercheur. En effet même si pour eux il existe des restes anciens dans la forêt il est peu probable que ces vestiges appartiennes a des civilisations encore inconnues. Pour eux il s'agirait de ruines romaines ou datant de l'âge de bronze. D'autres personnes, dont le professeur OSmanagic, pensent qu'il pourrait très bien s'agir d'un civilisation très ancienne, peut être datant de plus de douze mille ans et apparenté à celle qui a construit les pyramides qui aurait été découvertes.

     Ces structures pourraient aussi faire penser aux sphères du Costa Rica.

     Si pour le moment le doute subsiste toujours quant à l'authenticité des pyramides de Bosnie, cette sphère pourrait donner à certain la preuve qu'une ancienne civilisation avancé ai vécu dans la région. Pour le moment toute ces découvertes restent très controversé. D'un côté les partisans de l'existence d'une civilisation inconnue ferait tout pour démontrer leurs théories au point de vouloir faire un événement énorme à chaque découverte. De l'autre côté, les sceptiques préfèrent ignorer toute les découvertes de peur, sans doute, de voir certaines hypothèses sur l'histoire des civilisations changer du tout au tout. Comme souvent le manque d'objectivité des différentes parties fait plus de tort que de bien à ces vestiges...

    Source : sott.net

      

    "La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"