• L'énigme du "Mary Celeste"

    Mystères des ovnis

    L'énigme du bateau "Mary Celeste"

    C’EST UN O.V.N.I. QUI AURAIT ATTAQUÉ LE MARY CÉLESTE

    UNE DES PLUS EXTRAORDINAIRES ÉNIGMES DE LA MER  

    Le plus extraordinaire mystère maritime de tout les temps, celui du « Mary Céleste »,

    va t’-il être percé au bout de 136 ans.

    L'énigme du "Mary Celeste" 

    Une nouvelle hypothèse, bien qu’audacieuse, vient d’être versée à son dossier déjà volumineux.

    On se souvient, ou on ne se souvient pas, qu’en 1872, le voilier commercial britannique, « Mary Céleste », a été aperçu par l’équipage d’un autre cargo le « Dei Gratia », non loin des Açores.

    La mer était d’un calme total et la façon dont le Mary Céleste flottait, visiblement sans direction définie, avait quelque chose d’anormal et d’insolite.

    N’ayant pas répondu aux signaux, les marins du Dei Gratia sont montés à bord  du Mary Céleste pour y trouver un spectacle digne du premier chapitre d’un roman policier : une table avec des bols de thé à moitié vidés, encore tout à fait refroidis, des pipes, presque tièdes posées sur des cendriers et du linge à sécher sur les cordes, mais pas âme qui vive.

    Mieux qu’un vaisseau fantôme.

    Toutes les cabines, tous les recoins du navire ont été fouillés, sans résultat.

     

    LA CARGAISON ÉTAIT INTACTE 

    La nouvelle de la découverte de ce bateau mystérieusement abandonné s’est répandue rapidement dans le monde entier.

    Une enquête fut immédiatement ouverte, les policiers les plus ingénieux se sont penchés sur l’énigme, sans résultat.

    On avait pensé tout naturellement à un acte de piraterie, ce qui était assez fréquent à l’époque, mais cette hypothèse s’est rapidement démentie d’elle-même, puisque toute la cargaison, quinze cents tonneaux d’alcool pur, était intacte dans les cales.

    Drôles de pirates qui n’auraient pas touché à ces fûts. 

    Le Mary Céleste portait quelques traces comme s’il était entré en collision avec une embarcation.

    A côté de ces traces, provenant probablement d’objets aigus, comme l’éperon d’un navire, on à découvert également des tâches brunes, de même d’ailleurs que sur l’épée du capitaine, qui était restée dans la cabine.

    Enfin, troisième fait pour épaissir le mystère : la femme et la fille du capitaine s’étaient trouvées à bord et une grande partie de leurs vêtement et linges, ainsi que tous les papiers officiels, plus chronomètres, et sextants, ont été emportés.

    Par qui, où  et pourquoi ? Ce qui était plus extraordinaire et plus inexplicable encore était  que tout avait dû se passer en quelques minutes. Or, si l’équipage s’était révolté, par exemple ou un commando (comme on dirait aujourd’hui) y était passé, leurs canots n’auraient pas pu s’éloigner et disparaitre si rapidement puisque les marins du « Dei Gratia » avaient scruté l’horizon avec des longues vues, sans avoir aperçu quoi que ce soit.

    Hystérie collective ? Des traces de lutte. Un ou deux corps auraient dû  être retrouvés. Rien.

    Les soupçons se portèrent alors sur les hommes du Dei Gratia, qui auraient attaqué eux-mêmes le Mary Céleste, auraient massacré son équipage, pris leur argent et objets de valeur, et inventé l’histoire, pour avoir droit ensuite au butin, car tout navire abandonné appartient à celui qui le découvre.

    L’enquête, avec expertises, a duré non moins de quatorze ans.

    C’est seulement en 1886 qu’un rapport officiel fut publié pour innocenter Morehose, le capitaine du Dei Gratia, et ses hommes, en établissant notamment que les tâches brunes découvert n’étaient pas du sang, et d’ailleurs a rien de connue.

    Conclusion qui fut loin d’avoir convaincu tout le monde. La preuve : des dizaines de livres, pièces de théâtre, études et même un film furent consacrés depuis au mystère, qui lui, était resté entier.

    Aujourd’hui, encore des chercheurs consacrent toujours des études sur ce mystère.

    Depuis cet événement d’autres cas semblables se sont déroulés dans ce secteur, dans les mêmes conditions, surtout des bateaux de tourismes, passagers volatilisés et rien de disparus.

    La goélette hollandaise Hermania fut trouvée en 1849

    Le Jammes B.  Chester le 28 févrierv1855

    Le Zebrina octobre 1917

    Le navire Joyita octobre 1955

    Le yacht Balero de 17 mètres avec 8 personnes en 2002, le bateau retrouvé vide, uniquement de ses passagers.

    L’on pourrait en ajouter encore des quantités.

    Un ancien capitaine de la marine marchande des U.S.A. Richard T. Jackson, qui c’est consacré à l’étude de la venue sur terre des êtres extraterrestres, des O.V.N.I. croit avoir trouvé la clé de l’énigme.

    D’après ses études se serait un OVNI est son équipage aurait amerri près du Mary Céleste ce jour fatidique, ses occupants y auraient fait irruption et, ils ont enlevés l’équipage tout entier, pour des recherches sur le genre humain qui nous dépasse, le linge féminin a du être un élément important pour eux, encore une question.

    D’autre indices : pourquoi des papiers, le chronomètre et le sextant du navire, il ne faut pas oublier que le sextant est en rapport avec les étoiles, qui auraient intéressé les passagers de l’OVNI.

    C’est une explication comme les autres, qu’on ne peut évidemment rejeter à priori.

    Certains font cependant remarquer que depuis plus de 50 ans, et même plus de visiteurs de l’espace  sont aperçu en divers points du monde, est des enlèvements  sont effectués, et que notre Ordre Mondiale, ferme les yeux, pour éviter toute panique.

    Quoi qu’il en soit, la supposition ne peut être rejetée.

    Mais les vérifications, l’examen notamment des traces sur le flanc du bateau, ainsi que les étranges traces brunes, vérifications qui auraient pu être faites à l’époque, ne sont hélas plus possible aujourd’hui, mais il reste toujours les nouveaux cas, mais cela reste Top Secret, comme toujours ?

    Je pense qu’il nous reste un travail immense à faire pour comprendre tout ce qui dépasse notre entendement. 

    Sources : Paul Begg, Into Thin Air, p. 88-117; Greshomm Bradford,  The Secret of

                     Mary Céleste; Jay Robert Nash, Among the Missing, p. 134-137. 

                                                               Courton le bas le 13 mars 2008-03-13 

                                                                                           Claude BURKEL

    Les énigmes de la mer

    (envoyé par Patrick Martin)

    Dans les annales des disparitions en mer, le nom de la Mary Celeste est resté célèbre. Cette énigme qui n’a toujours pas été résolue contribue largement à entretenir le mythe des vaisseaux fantômes.
    L’histoire de la marine fourmille de mystères semblables à celui de la Mary Celeste. Des dizaines de navires ont été ainsi abandonnés, soudainement et sans raison apparente, par des équipages que l’on n’a jamais revus.

    La découverte de la Mary Celeste

    Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal.
    Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste.

    Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt. 
    Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur.

    A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans.

    Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes.
    Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.

    Des indices insuffisants

    Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu.
    La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles.

    La Mary Celeste

    Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale.
    Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes.

    Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches.

    Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.

    Autopsie d’une disparition

    Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires.
    Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel.
    Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille.

    Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots.

    Le Commandant Benjamin Briggs

    Cependant, les armateurs soulignent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau.
    En outre, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle.
    Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.

    Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu.

    La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes.
    De nombreuses solutions ont été proposées, de l’attaque d’un poulpe géant à l’intervention de nos amis extraterrestres.

    Une pieuvre géante attaquant un navire (illustration de 1809, Paris). Certains ont prétendu que la même chose était arrivée à la Mary Celeste

    La Mary Celeste s’est échouée une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.

    D’autres vaisseaux fantômes

    En 1840, un navire français, la Rosalie, est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.

    En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.

    En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.

    En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivres.

    En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS.

    Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires modernes connaissent encore ce type d’aventure.
    Nous n’avons aucune explication sérieuse pour expliquer ces abandons. L’absence totale de trace de lutte ou de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. La mer n’a toujours pas fini de nous fasciner.

     

     

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