• L'île mythique d'Avalon

    Surnaturel et fantastique

    L'île mythique d'Avalon et la recherche du St Graal

    L’Île Féerique, Mystique et Magique

    L'île mythique d'Avalon

    Avalon (en gaulois « la pommeraie ») est, dans la Légende arthurienne, une île mythologique. La fée Morgane en est la reine.

    Ile sacrée sur laquelle vivent les prêtresses de Ceridwen. On ne peut s'y rendre qu'après avoir été initié à certains secrets : il faut, entre autres, savoir appeler la barque, mais également savoir s'y rendre à pied, au travers de marais labyrinthiques. Le commun des mortels voit, en lieu et place d'Avalon, "l'Ile aux Moines", abritant un monastère et servant de lieu de retraite.

    L'île magique est entourée de brumes et en son centre se dresse une haute montagne. A son sommet, un cercle de pierre se dresse vers le ciel, prêt à recevoir les offrandes et catalyser les incantations.

    C’est un lieu de toute beauté, de Paix et de quiétude absolue. C’est là entre autre que l’on peux trouver Morgane, Viviane, Merlin ainsi que leur fidèles et loyaux Acolytes, ainsi que prêtresse de la Déesse et les druides …

    C’est ici que Morgane soigna sont frère le Haut Roi Arthur grièvement blessé… où se dernier finit par y être enterré …C’est aussi en Avalon que réside l’esprit magique de la Dame du Lac (dont la lignée s’arrêta à Morgane, dite la « la Fée » qui succédât à Viviane), qui personnifie l’idéal de la Sagesse de la Connaissance, elle était ce que les chevaliers et les hommes alors vénéraient le plus : L’incarnation de la Vertu et de l’Honneur, de la Fidélité et de la Fraternité.

    (source : coeurdebretagne)

    L'île mythique d'Avalon 

            Historiquement parlant, il n’y a pas de Tradition Avalonienne. C’est une tradition bardique, donc orale, née quelques siècles avant Jésus-Christ, aux époques celtiques et païennes, au temps où les Romains étaient encore au pouvoir. Aucune date précise ne peut être prononcée et les informations véridiques ne sont qu’hypothétiques, étant donné le travail acharné des anciens prêtres chrétiens pour en faire disparaître toute trace. Avalon était au départ l’île mystique que les prêtresses de la déesse celte Cerridwen avaient élu comme domicile et lieu de culte, puis, peu à peu, une religion et une philosophie propre à cette île s’est mise en marche, Avalon commençant à avoir ses propres traditions et sa propre sagesse, qui nous rappelle celle des druides, dont leur tradition a profondément inspiré celle de l’Île Sacrée.
            La Tradition Avalonienne s’inspire donc des traditions ancestrales et druidiques, mais aussi du Mabinogi ou Mabinogion, conte gallois épique composé de quatre branches principales. Chacune des cinq déesses majeures du cycle des saisons vénérées à Avalon y sont nommées. La philosophie Avalonienne est simple, mais elle apporte à l’esprit beaucoup plus que bien d’autres religions et traditions. Elle est basée sur le culte des énergies féminines, en communion avec celles des mâles. Les Prêtresses et les Druides de cette île vénéraient certes une Déesse et un Dieu, la seule et véritable religion pour eux était en fait la Nature et la Terre. Le choix de divinités n’étant que symbolique, la Grande Déesse ainsi que le Dieu Cornu ne sont qu’une représentation du Cycle des Saisons, de la Grande Roue de la Terre et de l’égalité entre les deux sexes, aucun n’étant supérieur à l’autre. leur tradition s’exprime et s’apprends avec l’expérience et le vécu, et non dans les livres. De nos jours comme autrefois, nous devenons Bardes, Druides ou Prêtresses en expérimentant la vie et en entrant en étroite communication avec la nature, afin de mieux comprendre l’univers et de trouver sa propre sagesse. Avalon n’est qu’une branche parmi tant d’autres de l’arbre éternel, celui de la connaissance des anciens, celles des peuples celtes et païens. Toutefois, cette tradition est simple en soi, et il ne suffit que d’écouter ses voix intérieures afin de trouver une harmonie avec le monde nous entourant et de comprendre les énergies à l’œuvre dans la nature.

    L'île mythique d'Avalon

            Avalon, cette île légendaire où Viviane ou Dame du Lac, reçu son enseignement de prêtresse, où Morgane dite la fée, fut initiée aux Mystères Avaloniens avant de devenir Morgane d’Avalon, la Grande Prêtresse, tel sa mère, Ygerne, et sa tante, Viviane. Sans Avalon, Arthur ne serait probablement jamais devenu roi, étant donné que son épée de puissance, Excalibur, provenait de ce lieu sacré. Il y a tant de choses à dire sur cette belle religion celtique, mais si peu d’informations s’offrent à nous. Tant de choses à dire sur cette tradition qui aidé à la formation de la Wicca… Nous ne pouvons nous fier que sur la véridicité les textes anciens écrits par les romains, relatant de cette île magique, où se rassemblaient druides et prêtresses, sur d’anciens poèmes et chants celtes, relatant d’Avalon et de la Déesse Mère, du culte druidique et des divinités celtiques, ainsi que sur de peu nombreux textes médiévaux. Aujourd’hui, cette religion a pour ainsi dire disparu et ne vit que grâce aux contes arthuriens. Les archéologues ont pu retrouver sur les sites de Glastonbury quelques traces de cette tradition et quelques objets de culte, mais sans plus. Encore de nos jours, des rituels Avaloniens et druidiques sont exécutés sur ces lieux bénis des dieux et de la Déesse, remémorant les anciens rites et faisant renaître l’Ancienne Religion.

            Druides et prêtresse cohabitent sur cette île, et, peu à peu, on vénèrent celle que l’on nomme la Déesse et celui qui est appelé le Dieu Cornu. Ces deux entités sont la représentation de l’égalité entre l’homme et la femme, qu’aucun des deux sexes n’est inférieur à l’autre. Ils sont aussi des personnifications de la nature, de la lune, du soleil, de l’univers, ses astres, de la Terre et des saisons. Ils sont partout dans la nature, s’exprimant à travers arbres et rivières, et non dans un ciel lointain, au milieu des nuages. Cette tradition est aussi l’histoire d’une longue guerre entre les païens et les chrétiens, que je tenterai d’expliquer au mieux dans ce livre. Et maintenant, que les brumes pour vous se lèvent et que se dresse sous vos yeux les sentiers mystérieux et inexplorés d’Avalon…

    L'île mythique d'Avalon

            On s’accorde pour dire que les prêtresses jouent un rôle primordial et clé dans la Tradition Avalonienne. Elles sont au départ des femmes comme les autres, vivant au village ou dans la ville, qu’elles soient paysannes ou alors de jeunes nobles, une fois qu’elles choisissent sciemment et sans y a voir été poussé cette voie, elle portent le titre de Femme d’Avalon et ensuite, prêtresse. Elles ne sont pas supérieures les unes entre les autres. Toutes sont égalent et ne sont plus considérées comme avant. Ce titre n’est pas désigné légèrement et sans réflexion, Il faut des années avant d’obtenir ce titre qui n’est pas employé futilement. Jour après jour, toutes les leçons seront importantes et le temps sera long avant que la Dame d’Avalon devienne Prêtresse. C’est un engagement intérieur et un accroissement des forces personnelles, en communion avec la nature et la subtilité des messages qu’envoient la Déesse, qui n’est qu’une représentation psychique et non physique de la Terre, des arbres, de la féminité, de la lune, du ciel, de l’univers, de la magie.       

    Les prêtresses

            Aucune femme ne peut se prétendre prêtresse d’Avalon sans en être une réellement, cette charge est trop lourde, personne ne peut passer rapidement la porte séparant le monde Avalonien de celui des hommes. Une telle initiation et un tel engagement envers les déités celtiques entraîne beaucoup de changements et de déclenchements personnels et concrets. Une est identifiée au titre de prêtresse de la Déesse par ses actions et sa présence d’être et ce changement intérieur et ce voyage initiatique au cœur des anciennes croyances celtiques et païennes est enclenché par la volonté et l’engagement de la transformation de l’individu, par le débarras de l’ego et la certitude personnelle envers la nature. Tenir un tel rôle, s’est aussi s’engager à transmettre, à préserver et à défendre la tradition druidique et le Savoir des Ancêtres.

            Une prêtresse d’Avalon est guidée par elle-même, et non par les dieux. Les déités certes l’accompagnent, mais sont complémentaires à la force de sa personnalité de la prêtresse. Longs et tortueux sont les sentiers Avaloniens, mais clairs et lumineux ils deviennent si ont sais bien regarder. Toute la sagesse d’Avalon est cachée dans la nature et si la Dame d’Avalon désire réellement atteinte le titre de prêtresse, elle seule sera capable de mener son souhait à terme.

            Être prêtresse, c’est plonger la tête la première dans un tourbillon de magie et de féerie, afin de lever le brumes et de redécouvrir la Sagesse ancienne et de replonger dans les racines antiques des Mystères des Druides et de la magie celtique. Consacrer sa vie comme prêtresse d'Avalon est u don de soi incomparable. Il faudra pour celle qui désire le devenir, oublier tout ce qu,elle aura recu comme enseignement jusqu'à ce jour, s'oublier elle, ses attentes, ses désirs et surtout, se débarasser de son égocentrisme. Tant qu'elle l'aura avec elle, elle sera incapable de lever les brumes d'Avalon...

            Si vous êtes appelée à devenir prêtresse, ne vous réjouissez pas.
            Vous devrez, dans un premier temps, entreprendre une formation longue et difficile, qui ne sera pas sans douleur parfois…

            Vous ne verrez probablement jamais vos plus grands professeurs.

            Vous devrez apprendre à être forte dans vos plus grands moments de faiblesse.

            Et à la fin vous aurez augmenté vos connaissances et vous ne pourrez plus passer outre.

            Vous serez seule dans vos plus grands moments de pouvoir, et personne ne le saura jamais.

            Les leçons ne se terminent jamais même lorsque la vie touche à sa fin.

            Ne choisissez pas cette voie avec légèreté, vous devez vous tourner vers elle et la regarder en face, savoir ce qui est sur le point d’arriver, et l’accepter, car, pour vous, il n’en existe pas d’autre.

            Mais si vous êtes appelée et que vous choisissez sciemment cette voie, chaque leçon sera à portée de main. Vous n’aurez jamais à faire face à des difficultés que vous ne pouvez pas supporter. Vous trouverez toujours l’aide dont vous avez besoin. Vous trouverez la force lorsque vous serez faible. Et la douleur, que vous rencontrerez sera le don terrible du plus grand des professeurs. Si vous pouvez toujours rire de vous, alors la vie suivra son cours comme elle le doit.

    (source : sanctuairelunaire) Tiré de «Priestess», Glastonbury Unique Publications, 1987.

    L'île mythique d'Avalon

       

     

    Le Saint Graal - les différents lieux

    Le terme Graal, devenu récemment l'objet principal d'une vaste production littéraire entre le romain policier et la divulgation ésotérique, dérive du latin médiéval Gradalis, vocable qui indique une tasse, un vase, un calice, un bassin. Il s'agit d'objets de modeste valeur mais d'ample signification symbolique, tous en effet exprime l'idée de quelque chose qui "contient", concept intimement lier à l'élément féminin qui s'exprime dans la figure de la Grande Mère.

    Dans la tradition chrétienne il y a deux conteneurs sacrés ; le premier, connu de tous notamment par sa forme caractéristique, est le Calice de l'Eucharistie, le second, en revanche, peut-être moins connu, est la Vierge Marie elle-même, décrite comme Vas spirituale, vas honorabile, vas insigne devotionis, c'est-à-dire "vase spirituel, vase de l'honneur, vase unique de dévotion". Ce rapprochement ne devrait pas étonné plus que cela, le vase en effet est le symbole même du sein maternel, dans lequel la divinité s'est incarnée pour se manifester aux hommes.

    Le développement ce que qu'on connait actuellement comme "cycle" du Graal a été retracé en détails par la recherche histiographique : le noyau proviendrait d'une légende orale gothique, dérivée de certains récit folkloriques pré-chrétiens et transcrite sous forme de romain entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle.

    A la fin du XIIe siècle, Chrétien de Troyes, introduit dans la déjà vaste littérature concernant les gestes du Roi Arthur, le mythe du Vase Sacré, le Saint Graal ; nous ne savons pas exactement quelle raison poussa l'auteur sur cette voie, probablement qu'il existait déjà une tradition "souterraine" concernant le Graal ou alors, mais les deux hypothèses deviennent au fond un seul et même indice, Chrétien décida de réecrire les mythes celtiques.

    Quelque soit l'explication, le Saint Graal entra d'autorité à faire partie de l'inconscient collectif et surtout, il devint une chose avec le Roi Arthur et ses Chevaliers de la Table Ronde ; Avec le temps le Graal perdu ses connotations antiques et son origine paienne pour devenir le symbole même du cycle arthurien.

    Le Roi Arthur et le Saint Graal

    Le Graal arthurien, ou l'image qui est restée dans l'imagination et dans la tradition populaire, trouve une ample description aux alentours de 1190 dans l'oeuvre "Perceval le Gallois ou le Comte du Graal", successivement, en l'espace de 20 ans seulement, son personnage et ses attributs sont déjà parfaitement caractérisés.

    Dans le château du "Roi Pêcheur" le chevalier Parsifal assiste à une procession qui se déroule à côté de la table ou sera servi le repas. En premier lieu passe un jeune homme qui tient en main une lance ensanglantée, suivit de deux jeune avec un candélabre et fermant la marche une demoiselle avec entre les main le Saint Graal, un objet d'or pur sur lequel sont serties les pierres les plus précieuses et les plus rares qu'on ai vu.

    Arrêtons nous un moment sur le terme Graal justement ; il s'agit en réalité d'un vocable déjà en désuétude à l'époque ou est écrit le texte, mais ce n'est pas uniquement cela qui le rend différent de l'acceptation commune avec laquelle il est aujourd'hui désigné ; il ne s'git aps d'un objet unique, il fait partie d'une série de "reliques" aux pouvoirs mystiques et il ne présente aucune association avec le sang du Christ.

    Cette association ne fut reportée qu'ensuite, dans l'oeuvre de "Josph d'Arimathie - Le Roman de l'Estoire dou Graal", un texte qui bien que suivant le cycle arthurien, ne fait aucune référence au célèbre Roi. L'oeuvre est écrite par Robert de Boron aux alentours de 1202, et le Graal fut identifié comme le calice de la Dernière Cène, le même calice dans lequel Joseph d'Arimathie avait recueilli le sang du Christ crucifié.

    Représentation de la table ronde

    Représentation de la Table Ronde

    Encore une fois le texte est ambigu mai, surtout, dense de mystère : le Graal est mentionné avec ce nom une seule fois et, chose encore plus étrange, on se réfère à la Coupe Sacrée comme quelque chose de préexistant aux faits eux-mêmes, un objet qui existait déjà,qui possédait déjà une histoire bien précise et importante, un objet qui justement à cause de ses qualités intrasèques fut choisi par Joseph d'Arimathie comme approprié pour contenir le sang du Christ. Nous ne nous trouvons donc pas face à une relique chrétienne mais à quelque chose de bien plus ancien, un objet aux pouvoirs particuliers et terribles, au point que l'auteur lui-même se limite à de brèves allusions mais se garde bien d'approfondir la question.

    Cette même oeuvre est poursuivie et intégrée par un anonyme du XIIIe siècle ; dans "Le Grand Graal" nous trouvons de nouvons éléments utiles pour délimiter la figure du Saint Graal : il est totalement ou en partie associé à un livre écrit par Jésus lui-même et sa lecture n'est réservée qu'à ceux qui se trouve en odeur de sainteté.

    Divers chevaliers entreprirent la recherche du Graal dans les récits annexes du cycle arthurien ; certain d'entre eux eurent du succès comme Perceval ou Galahad ; mais nombreux sont ceux qui faillirent, un exemple pour tous fut Lancelot, qui ne réussit pas à cause de son impuretée due à son amour pour la femme d'Arthur.

    Toujours en citant l'oeuvre de Wolfram, le Graal fut mit à l'abri au château de Munsalvaesche ou Montsalvat, et fut confié à Titurel, le premier roi du Graal. Certains chercheurs sont convaincus que le lieu dans lequel le Graal fut mit en sureté est le monastère de Monserrat, en Catalogne.

    Monastère de Montserrat

    Le Monastère de Montserrat

    La légende du Graal est transmise également part les récits populaires gallois, dont le Mabinogion, le plus vieux manuscrit ayant survécut (XIIIe siècle). Il existe aussi un poème anglais Sir Percyvelle du XVe siècle. Ensuite les légende du roi Arthur et du Graal furent reliées au XVe siècle par Thomas Malory dans Le Morte d'Arthur (aussi appelé Le Morte Darthur) qui donna au corpus de la légende sa forme classique.

    Références historiques

    Pour chercher à donner un ordre et une consistance aux références historiques autour du Saint Graal, du moins jusqu'où cela est rendu possible par la documentation existante, nous devons nous référer aux récits rapportés par les Evangiles synoptiques, et plus exactement à ceux attribués à Mathieu, Marc et Luc. Durant la Dernière Cène "Jésus prit le pain, le rompi, le donna à ses disciokes et dit : prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps offert en sacrifice pour vous ; puis il prit le calice, rendit les grâces, le donna à ses disciples et dit : buvez-en tous, parce que ceci est mon sang de l'alliance verser pour tous en rémission des péchés". Le jour suivant, connu comme le Vendredi de la Passion, s'accomplit l'extrême sacrifice et Jésus fut crucifié. Tout de suite après la déposition de la croix, un de ses disciples, Joseph d'Arimathie, l'enveloppe dans un linceul et le transporte dans une tombe qu'il avait fait construire pour sa famille.

    Ce qui est interessant ici concerne l'ajout qui apparait dans certains récits su cycle du Graal concernant un évènnement qui n'est mentionné ni dans les Evangiles canoniques ni dans les apocryphes : durant la préparation du corps de Jésus pour la sépulture, et plus exactement durant son nettoyage, quelques gouttes de sang sortirrent de la blessure inférieur du flanc, c'est à dire de la plaie laissée par le coup de lance du Centurion Longin afin de s'assurer la mort effective du condamné ; Joseph recueilli le sang dans la coupe employée pour la consécration du vin durant la Dernière Cène.

    Quittant la Palestine suite aux persécutions, Joseph d'Arimathie se réfugia en bretagne portant avec lui le Saint Graal, et la tradition veut que la précieuse relique soit restée en ce lieu pendant environ 5 siècles, confiée aux prêtre de l'église Aquae Sulis. Au VI siècle, sous la menace d'une guerre, ont décida d'amener le Graal dans un lieu plus sûr ; le choix tomba sur Rome et sur le Pape mais le prêtre chargé du transport fut contraint de s'arrêtr près de l'Île Comacina, à cause de l'invasion des Lombards.

    La victorieuse résistance contre l'armée lombarde fut attribuée aux facultés miraculeuses du graal et une église fut érigée en son honneur ; successivement on décida de caché le calice dans un coin perdu situé dans le Val Codera, et à partir de ce moment on en perdit définitivement la trace.

    Le Roi Pêcheur : légende et tradition archaïque du Graal

    Le récit du Roi Pêcheur, partie intrigante de l'histoire du Graal, surtout pour ses références ésotériques, se concentre sur le personnage d'un roi boiteux, dont la blessure à la jambe rend la terre stérile. Le chevalier qui cherche le Graal rencontre le roi pêcheur et est invité à une fête au château. C'est justement au cours de cette fête, comme nous l'avons déjà décrit, que se présente le Graal chargé de toute ses valeurs mystiques et de ses symboles ésotériques. L'histoire du Roi pêcheur et du Sait Graal est par la suite incorporée au cycle arthurien. En principe le récit du roi pêcheur faisait référence seulement à un épisode inséré avant l'arrivée de Perceval à Camelot, pour ensuite évoluer dans une explicite recherche du Graal de la part des 12 chevaliers de la Table Ronde.

    C'est de la rencontre de tous ces éléments que naissent les différentes traditions et interprétations sur le Saint Graal : selon certaine légende, les Mérovingiens, les premiers rois des Francs, étaient les descendants directs de Jésus, et ils héritèrent donc de son sang, le sang real.

    Bien que cette thématique particulière, ait récemment éveiller un remarquable tapage suite au roman à succès "Da Vinci Code", il s'agit en réalité de thèmes déjà amplement utilisé, débatu et divulgué par le passé.

    Parmi ceux qui s'intéressèrent à cette mystérieuse affaire il suffit de citr les célèbre Baigent, Leigh et Lincoln, auteur de The Holy Blood and the Holy Grail (Le mystère du Graal, édité en 1982), ou bien Umberto Eco avec son roman Le pendule de Foucault. Pour les faits divers les auteurs du Mystère du Graal, basé sur des recherche posthume de Henry Lincoln, ont tenté de dénoncé Dan Brown pour délit de plagiat, mais ils ont perdus la cause.

    Nombreuses sont les traditions ésotériques qui ont rapproché le Graal du symbolisme antique de la Connaissance, de la Sagesse, de la Tradition Archaïque ou Primordiale. En ce sens le Graal représenterait la "Parole Perdue" autrement dit cette connaissance qui était propre à Adam est qui est symbolisée par l'Arbre de la Vie. En suivant cette logique, la tradition ésotérique occidentale retrace une histoire du Graal différence de celle exposée jusqu'à présent : le calice, en réalité un diamant, serait tombé du front de Lucifer, perdu par Adam, récupéré par Seth et perdu à nouveau, sauvé durant le déluge par Noé et sucessivement utilisé par Melchisedek pour bénir Abraham et Sarah.

    Encore une fois le Graal revient à Moïse, donc aux Patriarches, pour ensuite disparaître définitivement ; la tradition veut qu'il fut retrouvé par une femme, Véronique dite Thérapie, qui le confia à Jésus Christ pour célébrer la Dernière Cène. Beaucoup de ces informations sont vérifiables dans les Visions de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich.

    Mais il existe une autre hypothèse, fascinante et controversée, qui ferait remonté le Graal aux anciens mythes égyptiens et l'identifierait à un des attributs de la Déesse Maat, attribut par la suite intégré dans le cadre des traditions judéo-chrétiennes.

    A la recherche du Graal

    Pour des motifs assez évident le Graal est apporter en Angleterre ; il s'agissait au fond de la terre du Roi Arthur, sur laquelle étaient nés les mythes et les légendes concernant ses exploits, c'était donc le lieu idéal à partir duquel aurait découler toutes les histoires axée autour du Calice Sacré.

    Dans ce cas aussi tradition, légende et mythe se rencontre et nombreuses sont les versions qui voudrait avaliser l'hypothèse d'un fil très fin qui lierait l'Angleterre et ses antiques traditions païennes avec le Christianisme à peine né. Un de ces récit identifie le graal comme un ouvrage que possédait déjà les Celtes, un objet druidique pour être exact, qui à la mort de jésus fut rapporté en Angleterre par Joseph d'Arimathie.

    Arrivé en Angleterre Joseph confie la coupe à un étrange personnage nommé "Riche Pêcheur" ou "Roi Pêcheur", un gardien qui fut un temps rassasia un grand nombre de personnes avec un seul poisson, comme dans le miracle conté par les Evangiles.

    Il existent de nombreuses version relatives à cet épisode, dans chacune d'entre elles le Roi Pêcheur a des noms différents, tous reliables aux traditions hébreuses ; nous le retrouvons ainsi sous le nom de Hebron ou Bron, beau-frère de Joseph d'Arimathie et grand-père, oncle ou cousin de Parsifal ; dans d'autre récit le Roi Pêcheur est au contraire Anfortas, dont la fille sera la mère du tout aussi célèbre Prêtre Petit-Jean.

    Encore une fois le temps enlève toutes les traces, après quelques siècles déjà personne ne se souvient plus du Roi Pêcheur et les traces du Saint Graal sont perdues ; à ce moment là de nombreuses légendes naissent et notamment celle qui est le plus connues de la malédiction qui frappe le pays en provocant un état de dévastation physique et spirituelle, c'est sans doute celle qui laisse entrevoir la réalité, une réalité faite de temps obscures, d'obscurantisme cléricale et de luttes religieuses, tous des faits douloureux qui éloignent le Graal de la vue des hommes.

    Pour annuler cette malédiction, il faut retrouver le grral ; c'est lintuition de Merlin ; il commence la célèbre recherche, ce chemin initiatique qui de symbole du travail intérieur de l'humanité entière et de son besoin de se retrouver.

    Après diverses épreuves Perceval retrouve le Château du Graal mais, arrivé à face à la Relique Sacrée, son coeur vacille et le calice, encore une fois, se soustrait à la vue des hommes.

    Ce n'est qu'après une longue période de méditation que Parsifal parviendra à retrouver le Graal, à mettre fin à la malédiction et à reporter la relique dans le Règne du Prêtre Petit Jean.

    Toutes ces péripéties sont racontées dans "Les Quêtes du Saint Graal", roman d'auteur anonyme de 1220. Une version de 1885 veut en revanche que Joseph d'Arimathie cache le Graal dans le Chalice Well, à Glastonbury ; cette nouvelle a engendré de nombreuse hypothèse qui font de cette église le centre de mystérieux évènnement et d'inquiétants secrets.

    Enfin il reste la tradition qui veut que le Saint Graal soit intimement lier aux Chevaliers Croisés et à la Terre Sainte.

    En suivant toujours ce qui est raconté dans la "Matière de Bretagne", autour de 540, le Graal fut rapporté au Moyen-Orient ; et pendant des siècles on eut plus aucune nouvelle de la Relique, du moins jusqu'à l'ère des Croisades. A partir de l'an 1095 et au-delà, de nombreux Chevaliers Chrétiens se rendirent en Terre Sainte, car il était important de sauvegarder la sécurité des pèlerins, mais le mirage de fabuleuses richesses poussa aussi les hommes à entreprendre une lutte sans trève au nom de Dieu.

    L'affluence de tant d'occidentaux sur une terre d'anciennes traditions mystiques et aux profondes significations ésotériques, permis un contact direct entre les deux civilisations, les traditions se confrontèrent et quelqu'un parla du Graal, un objet aux pouvoirs extraordinaires caché depuis des temps immémoriaux justement en ces lieux.

    les croisades furent donc le moyen qui permis la diffusion de la tradition du Graal en Europe mais il est également plausible qu'ils en eurent possession, le ramenant en terre d'origine et le cachant dans un endroit qui aujourd'hui encore défie le plus humble des pénitents et le plus audacieux des chercheurs.

    Les lieux du Graal

    La recherche du Graal, au-delà de ses caractères mystiques et ésotérique, est devenue désormais une véritable chasse au trésor, une chasse qui énumère des centaines de cartes, d'indications et de livres sur lesquels on peut passer des jours et des jours de patiente étude.

    Les témoignages en relation au mystérieux lieu dans lequel a été cachée la Sainte Reique, commencent déjà au Moyen-Âge et tienne évidemment, non seulement de la période qui les a vu naître, mais aussi de la tradition philosophique et spirituelle de ceux qui les rédigèrent. Nous verrons par la suite, en tentant de faire coexister les anciens indices avec les théories modernes, quels pourraient être les cachette du Graal, laissant au lecteur toutes les conclusion et espérant avoir du quelconque façon chatouiller cet esprit d'aventure et de fantaisir qui amène avec le temps aux grandes découvertes.

    Jérusalem

    Une des sources les plus ancienne inhérente à la recherche du Graal et de sa position, parle d'un calice argenté à deux manches qui était gardé dans un reliquaire d'un chappelle près de Jérusalem, entre la basilique du Golgotha et le Martyre. Cette nouvelle est transmise par une source uniquement, celle en relation avec un pèlerin anglo-saxon du nom de Arkulf, qui vécut au VIIe siècle, et qui affirme avoir vu et touche le calice Sacré. C'est aussi le seul témoignage qui place la Graal en Terre Sainte. Il est cependant important de noter comme une tradition similaire décrit un épisode survenu aux alentours de 670 : Arkulf, évâque de Périguex (serait-ce le même pèlerin que décrit ci-dessus ?), accosta sur les îles Hébrides suite à un naufrage, il fut accueilli par Adamnan, l'auteur de la vie de Saint Colomban et fondateur du Monastère local. Arkulf raconta à son hôte que durant son pèlerinage à Jérusalem il avait réussit à voir et touché le suaire qui enveloppa le corps du Christ après la déposition de la croix, le décrivant comme une longue toile de 8 pieds.

    Il ne fait aucune référence au visage imprimé, il ne spécifie rien d'autre ; que vit en réalité Arkulf ? Le Suaire ou le Saint Graal ? Ou peut-être vit-il un autre objet, un objet qui au fil du temps à changé plusieurs fois de nom et d'aspect ?

    JérusalemConstantinople

    Une copie du Graal serait conservée à Constantinople ! C'est du moins ce qu'affirme une source du XIIIe siècle, et plus exactement le roman de "Titurel le jeune".

    Une copie aurait été voléede l'église du Boucoleon durant la quatrième croisade et portée de Constantinople à Troyes par Garnier de Trainel, dizième évêque de Troyes, en 1204. Des témoins affirment qu'en 1610 la copie était encore à sa place, mais qu'elle disparu durant la période de la Révolution Française.

    Dans ce cas également le doute exprimé en ce qui concerne l'objet décrit par Arkulf devient légitime, car Constantinople était justement célèbre parce qu'elle gardait la Couronne d'Épines, le Suaire et même la Croix du Christ, amenée dans la ville par l'Empereur Bizantin Héraclius en 629. Encor une fois il est légitime de se demander : Que représente exactement la terme Graal ?

    IstanbulGênes

    L'Italie aussi rentre dans les possibles lieux de cachette du Saint Graal ; un de ces lieux pourrait être Gênes, et plus exactement la Cathédrale de Saint Laurent, dans laquelle on conserve une coupe de forme hexagonale connue comme le Bassin Sacré.

    Il s'agit d'un calice de verre égyptien vert que la tradition voudrait taillé dans une émeraude (encore des références aux traditions ésotériques, dans ce cas à l'émeraude de Lucifer).

    Le bassin Sacré

    Le bassin sacré

    Après la conquête de l'Italie par Napoléon, le calice fut amené à paris et à son retour en Italie il se cassa ; de nombreuses hypothèses existent sur son origine, de celle de Guillaume de Tyr qui le veut comme gardien dans une Mosquée à Césarée en 1101, ou bien la tradition espagnoe qui dit qu'il fut découvert par Alphonse VII de Castille durant la prise de la ville d'Alméria en 1147, bataille à laquelle les gênois participèrent également.

    L'identification du Bassin Sacré avec le Saint Graal survient au XIII, dans l'oeuvre de Jacob de Voragine.

    Le port de Gênes

    Valence

    Le Santo Càliz, une coupe d'agathe conservée dans la cathédrale de Valence, serait en réalité le Graal tant convoité.

    L'objet repose sur un support d'époque médiévale et la base est formée d'une coupe de calcédoine renversée, dessus on peut lire un inscription en langue arabe.

    Le Santo Càliz

    Le Santo Càliz

    En 1399, le Sacro Càliz fut donner en cadeau au Roi Martin I d'Aragon par les moines du monastère de San Juan de la Peña ; selon une ancienne tradition il s'agirait du calice que Saint Pierre a ramené à Rome.

    Valence

    Château de Gisors

    La tradition veut que le Graal soit garder dans les souterrains du Château de Gisors, en France, cette hypothèse naît du fait que les Chevaliers du Temple entretenaient d'étroits rapports avec la Secte des Assassins, un groupe à caractère initiatique qui adorait une mystérieuse divinité appelée baphomet. Pour certain chercheurs cette divinité ne serait autre que le Graal lui-même, qui fut confié aux Templiers avant que la Secte ne soit totalement éliminée.

    Suite à ces faits, vers la moitié du XIIe siècle, les Chevaliers Templiers auraient porté le Graal en France, où il se trouverait encore aujourd'hui dans les souterrains du Château de Gisors.

    Il faut ici révélé un fait étrange mais les gardiens du Graal auprès du Château du Roi Pêcheur étaient appelés Templeisen !

    Château Gisors

    Castel del Monte

    Encore une histoire avec des aspects similaires avec celles à peine contées ; en l'an 1190, naît l'Ordre des Chevaliers Teutoniques, qui entrèrent très vite en contact avec les Soufis, une tradition kistique de l'Islam qui tentaient de rejoindre en une seule synergie les trois grandes religions : Juive, Islamique et Chrétienne. C'est à ses contacts que profita l'atmosphère crée par Frédéric II, Empereur Eclairés qui suivait une route de coexistence des religions et un Dieu unique comme point de référence.

    Le Graal, gardé en orient, aurait été confié à Frédéric II justement par les Soufis via les Chevaliers Teutoniques, afin d'être protégé des énorme dégâts provoqués par les Croisades.

    En suivant le fil de cet histoire, le Graal se trouverait à Castel del Monte, la célèbre construction en forme de coupe octogonale, aurait été construite justement pour le garder ; en effet, et très étrangement, Castel del Monte ne fut jamais utilisé, du moins officiellement, pour aucun but, que ce soit civile ou militaire et encore moins comme habitation de l'Empereur.

    Castel del Monte

    Takht-I-Suleiman

    Il existe un filon de recherche pas très connu ou divulgué qui verrait le Roi Arthur comme représentant du Zoroastrisme, une des plus ancienne religion de l'Iran préislamique antique.

    Le principal centre du culte dédié à Zoroastre était Takht-I-Suleiman, un lieu étonnament similaire à la description faite par Wolfram Von Eschenbach du château du Roi Pêcheur.

    Selon les chercheurs qui suivent cette théorie, Takht-I-Suleiman pourrait en réalité être la mythique Sarraz, où on adorait le Feu Royal, d'où venait la Coupe Sacrée et où elle se trouverait aujourd'hui encore.

    Takht-I-Suleiman

    Le château de Montségur

    Le culte de Zoroastre s'étant dispersé, son héritage et certaines de ses doctrines passèrent alors aux mains des Manichéens et ensuite des Cathares ou des Albigeois.

    Ceux-ci étaient arrivés en Europe du Moyen-Orient, traversant la Turquie et les Balcans, et se seraient donc établis en France au XIIe siècle. Leur histoire arriva à son terme en 1244, quand, après une longue persécution de la part de la Papauté et des français, ils furent exterminés dans leur forteresse de Montségur.

    En émettant l'hypothèse que les Cathares avaient apporter le Graal justement à Montségur, ce dernier devrait encore se trouver dans une quelconque cachette impénétrable quelque part dans les environs. Encore uen fois la littérature arthurienne nous offre un point de réflexion, en effet le Château du Graal est appelé "Munsalvaesche", c'est-à-dire "Mont Sauvé" ou "Mont Sûr". Nombreux ont été ceux qui pour différente raisons se sont interessés au château de Montségur, un des derniers fut le colonel des SS Otto Rahn, qui durant les années 30 entreprit des fouille sur ce site, et dans d'autre forteresse cathare, et nous savons tous quelle importance Hitler donnait à ce type de reliques.

    Il faut cependant rappeler que l'histoire des cathares et du château même de Montségur, sont à l'origine d'autre théories encore plus surprenant, même si elles restent cohérentes avec ce qui vient d'être dit.

    On dit de tous côtés que les Cathares ne conservaient pas le Saint Graal, mais le corps de Marie-Madeleine ; cette histoire a été le point de départ de nombreuses entreprise de recherche mais de tout autant d'histoires fantaisistes. Le filon le plus profitable dans le cadre de la rechercher a sûrement été celui inhérent aux faits qui se sont passés dans le petit village de Rennes-le-Château, des faits qui semblent avoir un lien subtil avec les Cathares, la Madeleie et le Château de Montségur. La théorie qui marie ces affaires entre-elles veut que Marie-Madeleine soit la femme de Jésus et la mère de sa lignée royale, le Sang Real ou San Graal ; mais au fond le Graal serait un calice, un conteneur et ne serait-ce pas la fonction du sein maternel ?

    Château de Montségur

    La basilique de Bari

    En l'an 1087, un navire très spécial parti de Turquie, à son commandement il y avait un groupe de marchant, et son chargement était constitué des dépouilles de Saint Nicolas, leur destination : Bari.

    C'est en l'honneur de ces hommes audacieux et du Saint que fut construite une basilique mais une histoire différente se colle à celle à peine racontée, une histoire qui voit dans la translation des dépouille de Saint Nicolas, un simple prétexte pour masquer une découverter bien plus importante, celle du Saint Graal.

    Il ne s'agissait donc pas de simples marchands, mais bien de Chevaliers qui agissaient pour le compte du Pape gregoire VII, qui ne voulait pas rendre plublique la découverte puisqu'il voyait dans le Graal un symbole qui allait au-delà de la religion Chrétienne. Mais pourquoi le Pape décida-t-il de cacher le Graal à Bari s'il le craignait ?

    Sans doute craignit-il que la présence du Calice Sacré en terre de Turqui aurait aidé d'une quelconque façon les Sarrasins, décretant la défaite de l'Empire Byzantin, en plus de nuire à expansion du Christianisme.

    Dans une église déconsacrée de Myr, les marchands/chevaliers prélevèrent certains ossement, qui furent ensuite idientifiés comme ceux du Saint, cette opération de récupération justifia leur présence sur le sol Truc et l'édification de la Basilique de Bari.

    Ce n'est pas par hasard si cette ville avait été choisie comme dernier refuge pour la Coupe Sacrée ; ce serait justement de là que seraient partis les Chevaliers pour la Terre Sainte recevant l'influx bénéfique du Graal et ce même influx aurait protégé Robert Guiscard, Roi Normand des Pouilles et principal allié du pape.

    Sur le portail de la cathédrale, peut-être en souvenir de cet évènnements, on peut encore aujourd'hui voir l'image du Roi Arthur ave un étrange dssin stylisé, peut-être une indication pour trouver la cachette du Saint Graal ?

    Basilique de Bari

    L'Eglise de la Grande Mère de Turin

    Le Saint graal est à Turin ?

    Il pourrait s'agir d'une hypothèse fondée si on veut tenir compte des nombreuses indications qui ferait de la capitale du Piémont un lieu dans lequel repose de Saint Calice.

    Nombreux sont ceux qui soutiennent qu'il est enterré dans les souterrain de l'eglise de la Grande Mère, ou de toute façon que c'est dans cette construction que ce trouveraient les indices pour arriver à la cachette. D'autres soutiennent qu'il est caché dans coupe que la sculpture de la Foi montre au ciel, d'autres encore qu'il est enseveli dans le lieu que l'a sculopture indiquerait du regard, même si cela semble difficile d'indiquer un point exact puisque la sculpture est dépourvue de pupilles.

    Une théorie assez intéressante dépeint le Graal non pas comme un objet mais bien comme un symbole et elle le place encore une fois à Turin ; n'oublions pas que Turin garde également le Saint Suaire et, comme nous l'avons déjà évoquer et comme nous tenterons de le démontrer dans la conclusion, il y a de forte chance qu'il s'agisse du même objet.

    Une étude effectuée par l'Institut Polytechnique de Turin a permis de tracé une trajectoire hypothétique du tout aussi hypothétique regard de la sculpture citée auparavant ; selon cette étude la cachette de la relique serait le Palais de la Ville et l'hypothèse trouverait sa confirmation en observant les calices posés sur la façade de l'édifice. Rien de tout cela n'a jamais été prouvé mais l'idée que le Graal ait peut-être été rapporté par les pèlerins qui se déplaçaient à travers l'Europe durant le Moyen-Âge ou par les Savoies avec le Saint Suaire, justement dans le chef-lieu piémontais reste toujours présente dans l'imagination et dans le désir de ceux qui veulent encore y croire.

    Eglise de la Grande Mère à Turin

    Canada : Oak Island

    Une théorie très fascinante fait du Graal un véritable trésor matériel, plaçant sa cachette dans une petite île canadienne près de Mahone Bay, Oak Island.

    La légende raconte qu'en 1795, Daniel Mc Ginnis (ou Mc Innis) se rendit compte qu'au centre d'une dépression du terrain se trouvait un arbre dont une des branches portait une poulie. C'était une époque où de mystérieuse histoire florissaient concernant l'Île d'Oak, surtout des histoires relatives à des trésors qui s'y trouveraient ; une dépression et une poulie était sûrement des indices concernant quelque chose de caché et vu les histoires qu'on racontait il s'agissait sûrement d'un trésor.

    Il se rendit donc sur le site en compagnie de deux amis, Daniel entreprit une fouille, bien qu'il fut visiblement entravé par les habitants du lieu ; l'entreprise s'arrêta mais la légende perdura. Pendant longtemps, les fouilles entreprise par Mc Ginnis furent cherchée par des explorateur et des chasseurs de trésor jusqu'à ce qu'un certain Simeon Lynds, repris finalement l'oeuvre interrompue.

    En creusant toujours plus profond, on se rendit compte qu'il y avait des couches de bois à intervalle régulier, tous les 10 pieds, et des couches de matériaux non sédimentires ; arrivé à 90 pieds une pierre ouvragée en sorti, avec une gravure jmais déchiffrée. Alors ue le trésor semblait proche, le trou s'inonda et malgré les intervention pour tenter de le restaurer l'entreprise dut s'arrêter.

    De ce jour jusqu'à aujourd'hui, nombreux sont ceux qui ont défié le mystère de l'Île d'Oak mais personne n'est parvenu à en venir à bout ; ce qui semble à première vue très facile se révèe avec le temps un véritable défis, en effet, plus on descend dans le puits plus il est difficile de continuer. Qui a conçu une cachette aussi ingénieuse ? Dans quel but ? Et surtout, pour protéger quoi ?

    De véritable consortium et associations se créerent pour la recherche du "trésor" comme la Oak Island Association ou la Oak Island Eldorado Company jusqu'en 1966 avec la Triton Alliance, mais personne n'eut de résultat probant.

    Un tunnel construit avec un épouvantable effort, rend l'excavation impossible, innondant le site dès qu'on arrive à une certaine profondeur ; cet ingénieux mécanisme ne peut pas être né pour caché quelquechose ayant peu de valeur ; c'est pourquoi nombreux sont ceux qui pense qu'il s'agit du Saint Graal.

    Oak island

    France : Rennes-le-château

    Quand Berenger Saunière, curé fraichement nommé auprès de l'elise de Rennes-le-château, parvient à recueillir les premiers fonds pour les travaux de restauration de certaine partie de sa paroisse, il trouva dans un des deux pilastres qui soutenait l'autel, des parchemins. Personne ne sait exactement ce qu'il y avait dessus, certains pensent même que cette découverte n'a jamais été réelle, mais il reste le fait que peu de temps après, notre curé avait tellement d'argent qu'il put refaire non seulement l'église mais il fit également construire une villa, une tour, un jardin, une fontaine et bien d'autre oeuvre publique au bénéfice de ses paroissiens.

    Quelle était l'origine de cette soudaine et innatendue richesse ? pour quelle raison des hommes influents politiques ou monarches l'honoraient-ils de leur amitié ? Pourquoi le Vatican, à mots couverts, le craignait ? La plupart donne une seule réponse à toutes ces questions, une réponse qui implique la découverte d'un trésor important, tant d'un point de vue matériel que spirituel, un trésor qui donnait la richesse mais aussi le pouvoir sur l'église elle-même, ce trésor serait le Saint Graal, caché par les Cathares et retrouvé par Saunière justement.

    Ce qui est vrai dans cette histoire, difficile de le dire, trop de récits parallèles et trop d'événements obscures, ont contribué à rendre encore plus msytérieux ce qui arriva à Rennes-Le-Château, mais quelque chose se passa et peut-être, qu'aujourd'hui encore, quelque chose est resté caché, en attente du prochain mystère.

    Rennes-Le-Château

    Val Codera - Lombardie

    La Val Codera, en Lombardie, entrait dans la sphère des territoire occupé par la tribu des Aneuniates, noms que l'on pourrait traduire comme peuple des eaux, qui peuplaient la partie finale de la vallée de l'Adda et les basses terres au nord de Colico jusqu'à l'actuelle Saòlaco, où se trouvait la frontière avec la tribu des Bergalei (peuple des monts). Après les première campagne militaire du IIe siècle a.C., la domination romaine se fit plus concrète entre 25 et 15 a.C. et surtout après l'expédiation de Tibère et Drusus, beaux-fils d'Auguste.

    Les Romains, qui occupaient l'Insubrie, voulaient s'assurer le passage vers les territoires alpins, dans la Val Codera la présence romaines est documentée par la découverte d'oeuvres d'art contenant des cendres, ainsi que d'ampoules, vases et monnaies. Toutes ces découvertes ou presque sont l'oeuvre de Don Martin de la Pierre, Curé de Cola, en 1798 ; c'et lui qui retrouva également un calice tasse (scyphos) en pierre, travaillé au tour, retrouvé à nouveau en 1900 et donné à l'historien Buzzetti qui le déposa auprès de la Bibliothèque Laurentienne de Chiavenna. C'est cette découverte qui a justement donné naissance à la légende du Saint Graal perdu dans la Val Codera.

     

    Paysage du Val Codera

    La Chapelle de Rosslyn (Ecosse)

    Construite par Sir William Sinclair, la Chapelle de Rosslyn est citée et ovationnée par de grands personnages et elle est toujours restée au centre de nombreux mystères.

    Durant l'époque de la Réforme, l'édifice fut abandonné et les statues qui la décorait furent cachées mais jamais retrouvées.

    La Rosslyn Chapel, dite aussi Collégiale de Saint Matthieu, est richement décorée de symboles bibliques, maçonniques, païes et appartenants à la tradition des templiers.

    Des éléments décoratifs représentant des scènes de la vie de Jésus se mélangent à des figures humaines, anges, marguerites, roses, lys, étoiles, feuilles, plants de maïs.

    C'est justement le maïs qui représente un des nombreux mystères de Rosslyn car à l'époque de la construction cette plante n'avait pas encore été découverte.

    La légende raconte que Sir William construisit la Chapelle en se servant de Templiers travestis en tailleurs de pierre, les templiers qui avaient échappé aux persécutions de 1307 ; ce compte-rendu a été le support principal à la thèse que le Graal se trouve justement dans les souterrain de l'édifice, quelqu'un soutient qu'ici se cache une marque secrète, qui une fois déchiffrée, révèlerait l'emplacement du Saint Graal ou le célèbre Trésor des Chevaliers Templiers.

    Il existe aussi des partisans de la thèse que Rosslyn serait le point de départ des célèbres "lay lines", lignes d'énergie qui traverseraient la Grande Bretagne et la planète entière, tradition très ancienne et déjà connu en Orient.

    Il y a en outre ceux qui affirme que la Rosslyn Chapel reproduit la structure d'origine du Temple de Salomon à Jérusalem, et, pour le prouver, indiquent comment la Colonne de l'Apprenti, la colonne la plus décorée de toute la chapelle et représentant des personnages de la mythologie nordique, et la Colonne du Maître, représentent les colonnes de Boaz et Joachim situées dans le Temple de Salomon.

    Rosslyn Chapel

    Glastonbury

    Après de longues périgrinations, Joseph d'Arimathie arriva à Glastonbury, où la tradition veut qu'il ait planté sont bâton dans le sol et que ce même bâton se soit miraculeusement transformé en buisson.

    Ceci est une des nombreuses traditions qui lierait Glastonbury au Saint graal ; a vrai dire, l'élément narratif du buisson magique revient dans la littérature locale depuis 1520, l'iditifiant au buisson de Wearyall Hill, qui étrangement fleurissaient deux fois par an : à la période de Noël et au mois de mai.

    Le buisson fut détruit durant la Guerre Civile Britannique, toutefois, certaines de ses pousses furent récupérées et plantées dans les environs. Une équipe de botaniste, en examinant les buissons, conclut que l'espèce n'était pas originaire de Grande Bretagne mais bien du Moyen-orient.

    C'est justement à Glastonbury que Joseph d'Arimathie apporta le Coupe Sacrée et la confia à un groupe de "Gardiens" mal identifié, dont les descendants la garderait encore de nos jour.

    Durant le premier millénaire, certains moines de Glastonbury, déclarèrent avoir retrouver deux ampoules qui auraient été enterrées en même temps que Joseph d'Arimathie et dont il est possible d'admirer la représentation sur les vitraux de l'aglise de Saint John, toujours à Glastonbury. Malheureusement les deux ampoules ne furent jamais exposées au public et il est donc impossible de savoir si elles ont réellement existé.

    La légende la plus populaire en ce qui cocerne les faits survenus en ce lieu de Grande Bretagne, raconte comment Joseph d'Arimathie pris conscience de l'énorme pouvoir de la relique qu'il avait emporté et pour éviter qu'elle ne tombe dans de mauvaises mains, il creusa un puits à l'ombre d'un arbre majestueux et y ensevelit le Graal.

    Il existe en effet, entre les deux collines, un lieu appelé "The Tor" (en anglais, pic ou sommet rocheux) et ce serait le lieu que la tradition populaire a désigné comme "The Chalice Hill" (La Colline du Calice) ; il s'agit effectivement d'un puits connu comme "The Chalice Well" ("Le Puits du Calice").

    The Chalice Well

    The Chalice Well - Le Puits du Calice

    La tradition populaire a probablemetn voulu identifer le Chalice Well avec le puits de Joseph d'Arimathie à cause de la curieuse couleur rougeâtre de l'eau contenue dans ce dernier, colorotion possiblement imputable à la présence massive d'oxyde de fer et associée dans le folklore local au sang de Jésus.

    Curieusement, cette cavité est effectivement liée non pas à une mais bien à deux anciennes coupe : la premiere, en bois d'olivier, fut réellement retrouvée dans le puits il y a quelques siècle mais elle s'avéra être un artefact rituel celtique ; la deuxième coupe fit en revanche l'objet de longue et extuénuante recherche de la part du célèbre occultiste John Dee qui, en 1582, se rendit plusieurs fois à Glastonbury, car il était fermement convaincu que le Puits du Calice était la cachette secrète d'un vase contenant l'élixir d'éternelle jeunesse.

    Il aussi important de préciser que la présence au Ie siècle de Joseph d'Arimathie en Grande Bretagne a été historiquement prouvée, surtout par un document de 1601 qui transmet la transcription de l'arrivée de Joseph à Marseille et de la poursuite de son voyage en Grande-Bretagne.

    D'autre document prouve sa présence en Gaule et ses autres déplacements sur le sol Anglais.

    Suite au schisme de 1535 et aux persécutions anti-cléricales, les moines de Glastonbury décidèrent de déplacer le Graal, en le cacahnt dans le fief de Nanteos Manor, au Pays de Galles ; une ancienne tradition relative à ces faits raconte que, à la mort du dernier des moines, gardiens du Graal, la coupe fut confiée au seigneur du fief.

    Certains chercheurs pensent que ce "Graal", une coupe en bois d'olivier d'environ 15 cm de diamètre, à la mort du dernier seigneur, survenue en 1952, ait été confiée à d'autre personnes et qu'elle repose actuellement dans le coffre d'une banque.

    Colline de Glastonbury

    Aquileia : le Puteum Aureo

    Puteum aureo, le puits doré ou d'or, est une puits légendaire dans lequel auraient été cachés tous les trésors de la ville d'Aquileia sous l'Empire Romain, pour en eviter le pillage de la part d'Attila qui avançait avec ses hordes.

    Le contenu du puits et le puits lui-même n'ont jamais été retrouvés mais les traditions et le légende racontent que le mystère de son emplacement est gardé par les Patriarches d'Aquileia, qui se seraient transmis le secret qui donnait un pouvoir énorme au patriarcat ; toujours selon ces légende, le Saint Graal lui-même, le coupe de la dernière cène du Christ, pourrait se trouver parmi les trésors du puits.

    Les faits qui prouveraient cette théorie sont contenus dans une autre légende qui parle de Joseph d'Arimathie et du Saint Graal ; entre 33 et 40 p.C. Joseph possédait déjà le Saint Graal et il était conscient des pouvoirs qui en dérivaient. La situation des Chrétiens était de plus en plus critique et donc la sienne aussi, vu qu'il avait connu Jésus et qu'il conservait une des reliques les plus puissantes qu'il existe. Entre 40 et 50 p.C. comme une diaspora des Chrétiens persécutés, le lieu choisit par la plupart est justement l'Italie et Joseph s'unit aussi au fugitifs entre 34 et 41 p.C.

    Le lieu choisit pour l'abordage est justement Aquileia, un des port les plus décentrés de la péninsule Italienne avec de possibles "voies de fuites" vers les frontière de l'Empire en cas de nécessité. Arrivé à Aquileia, Joseph d'Arimathie s'occupe immédiatement de cacher le Graal, en vue du fait que ce ne sera pas là sont dernier but et que cet objet est trop précieux pour être transporté sans risques.

    Le Calice reste donc dans la ville ou ses environs, mais où exactement ?

    Ruine d'Aquileia

     (source : terremysterieuse)

     

    "La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"