• La réincarnation

    Conscience de l'homme

    La réincarnation 

    La réincarnation

    La réincarnation

    Qui sommes-nous ? Que faisons-nous sur Terre ? Quel est le sens de la vie ? Qu'y a-t-il après la mort ? Dieu existe-t-il ?

     Les recherches menées pendant quarante ans par le Dr Michael Newton proposent des réponses bouleversantes à ces éternelles questions ! Et à quantité d'autres :

     L'essence de l'âme, la nature de la mort, les EMI, le monde des esprits, Dieu, la haine, l'amour, les souffrances, l'avenir, les maladies, l'histoire, le temps, l'espace, la terre, le cosmos, les animaux, les prophètes, les cycles biologiques, les civilisations mythiques, les légendes, les phénomènes parapsychiques, les extraterrestres, les apparitions, les fantômes, les anges, le diable, les démons, les religions, l'occultisme, les guérisseurs, etc.

     Non, il ne s'agit pas de nouvelles élucubrations d'un charlatan illuminé, mais d'une véritable enquête scientifique menée auprès de plus de sept mille patients interrogés sous hypnose.

    Tout commence dans les années 1970, lorsqu'un patient souffrant de douleurs persistantes sur le côté, et dont les médecins sont incapables de déterminer la cause, sollicite le Dr Michael Newton, thérapeute américain de formation universitaire spécialisé dans les thérapies de régression. Le Dr Newton remonte jusqu'aux souvenirs d'enfance enfouis dans l'inconscient du patient, sans déceler aucun accident ni trauma. Dans l'impasse, il lui demande alors de revenir directement à l'origine de sa douleur et de lui raconter la première fois où il l'a ressentie.

     Et tout à coup, le patient se met à décrire un champ de bataille en France, sur la Somme, au cours de la première guerre mondiale, dans une division anglaise. Il se voit gisant par terre, dans la boue, complètement perdu et agonisant. Il affirme qu'il vient d'être tué d'un coup de baïonnette au côté droit...
    Le Dr Newton est un scientifique de la “vieille école”, pragmatique et sans religion ni croyance particulière. Sceptique, il demande à son patient de lui décrire l'écusson du bataillon de son uniforme de soldat, l'endroit de la bataille, l'identité de l'ennemi... autant de détails qui s’avèreront historiquement exacts ! Avant de le sortir de son état hypnotique, le thérapeute désensibilise complètement son patient, exactement comme il l'aurait fait avec un enfant de six ans qui se serait blessé avec un couteau de cuisine.

    Le docteur Newton n'en reste pas là... il découvre qu'il peut facilement guérir un certain nombre de ses patients en remontant... dans leurs vies antérieures ! Cartésien et méthodique, Newton recueille des milliers de “dépositions” sous hypnose, les compare, les dissèque, les confronte... et publie un premier livre en 1994 (en français en 2007) :

    “Un autre corps pour mon âme — Souvenirs de voyage dans l’au-delà”
     (republié sous le titre “Souvenirs de l'au-delà”)
    Ce qui se dégage de l'accumulation des témoignages, c'est une incroyable cohérence et le sentiment de voir s'esquisser une plan d'ensemble, un dessein cosmologique dans lequel les âmes humaines ont une place et un rôle. Une fois le livre édité et traduit en plusieurs langues, Newton reçut des lettres de gratitude de lecteurs du monde entier, dont beaucoup se demandaient à quand un second livre, pour recevoir des réponses à de nombreuses interrogations suscitées par leur première lecture. Longtemps réfractaire à cette idée, Newton a finalement accouché d'un nouveau livre approfondissant ses découvertes.

     Voici ce qu'en dit son auteur lui-même :

    “Pour ce second livre, il m'importait de révéler d'avantage des aspects cachés de la route afin d'offrir aux lecteurs une meilleure perspective d'ensemble. J'ai conçu ce livre avec des catégories d'actualité plutôt qu'avec des localisations et un temps progressif. Ainsi, j'ai recoupé les cadres temporels où l'âme se déplace entre les localisations spirituelles afin d'analyser à fond ces expériences. J'ai également essayé d'offrir aux lecteurs une vue sur les éléments de la vie de l'âme depuis différentes perspectives en fonction des cas. Journées dans l'Au-delà est destiné à élargir notre compréhension de l'incroyable sens de l'ordre et de planification qui existent pour le bénéfice des êtres humains. En même temps, mon intention était que cette seconde visite dans les merveilles du monde spirituel soit aussi rafraîchissante pour les voyageurs aguerris qu'agréable pour les voyageurs en herbe.”

    Depuis quelques années, de nombreux thérapeutes des quatre coins du monde appliquent avec succès les méthodes de soin du Dr Newton, qui dispose aujourd'hui d'un institut renommé. Il se peut même qu'il s'en trouve un non loin de chez vous !

    Source : science-et-spiritualite 

    A 3 ans, il se souvient de sa vie passée !

    En début d’année, un petit garçon de 3 ans de la région du plateau du Golan, près de la frontière entre la Syrie et Israël a déclaré avoir été assassiné avec une hache dans sa vie passée. Ok, et alors? Les enfants inventent sans cesse des histoires et ils jouent avec leurs amis imaginaires, n’est-ce pas? Mais voici pourquoi cette histoire devient vraiment étrange.

    Il a ensuite montré aux anciens du village où l’assassin avait enterré son corps, et aussi incroyable que cela puisse paraître ils ont retrouvé le squelette d’un homme à l’endroit qu’il leur avait indiqué. Il leur a également montré où ils pouvaient retrouver l’arme de l’assassin, et après avoir creusé, ils ont bel et bien retrouvé une hache.
    Dans son livre, “Children Who Have Lived Before: Reincarnation Today” [Les enfants qui ont vécu auparavant: Aujourd’hui la Réincarnation, ndlr], le thérapeute allemand Trutz Hardo raconte l’histoire de ce garçon, ainsi que d’autres histoires d’enfants qui semblent se rappeler de leur vie passée avec une exactitude vérifiée. Le Dr. Eli Lasch a été témoin de l’histoire de ce petit garçon, qui est très célèbre pour avoir développé les systèmes médicaux de Gaza dans le cadre d’une opération du gouvernement d’Israël dans les années 60. Le Dr. Lasch, qui est mort en 2009, avait raconté ces événements fascinants à Hardo.

    Le garçon appartenait au groupe ethnique des Druzes, et dans sa culture on accepte la réincarnation en tant que fait. Mais même si on acceptait la réincarnation dans sa culture, son histoire a néanmoins surpris sa communauté.

    Il est né avec une longue tache de naissance rouge sur la tête. C’est précisément ce qu’on s’attend à trouver sur quelqu’un s’il avait subi une blessure mortelle dans sa vie passée. Les Druzes croient vraiment que les taches de naissance sont liées à des traumatismes de vies antérieures. Quand le garçon a commencé à parler, il a raconté à sa famille qu’il avait été tué par un coup de hache sur la tête.
     est de coutume pour les anciens d’emmener un enfant âgé de 3 ans à la maison de sa vie passée, s’il s’en rappelle. Une grande différence avec la culture du monde occidental. Après son arrivée au village, le garçon a été capable de se souvenir de tous les détails du village et du nom de la personne qu’il était dans sa vie antérieure.

    Un village local a déclaré que l’homme dont le garçon prétendait être la réincarnation, avait disparu 4 ans auparavant. Ses amis et sa famille pensaient qu’il s’était aventuré dans un territoire hostile des environs, comme cela arrive parfois.

    Le garçon s’est également rappelé du nom complet de son assassin, et il a confronté l’homme qui l’avait tué dans sa vie passée! Le visage du meurtrier est devenu tout blanc, bien qu’il n’ait pas avoué son crime. Le garçon a ensuite indiqué aux anciens où le corps était enterré. À cet endroit précis, ils ont retrouvé le squelette de l’homme avec une blessure à la tête qui correspondait à la tache de naissance du garçon. Ils ont également retrouvé la hache, l’arme de l’assassin, près du corps.

    Face aux preuves, l’assassin a avoué son crime. Le Dr. Lasch, le seul à ne pas faire partie de la communauté des Druzes, était présent pendant tout le processus. Source : espritsciencemetaphysiques 

         

    A 10 ans, il affirme être la réincarnation de Marty Matin,

    La réincarnation

    Un garçon de 10 ans, qui affirme être la réincarnation de Marty Matin, un éphémère acteur hollywoodien, est parvenu à reconstituer avec précision la vie nébuleuse de l'homme décédé en 1964, il y a plus de 40 ans.
    Dès l'âge de 4 ans, Ryan a commencé à faire des cauchemars. Il confie alors à sa mère "être quelqu'un d'autre." Cette dernière ne tient pas vraiment compte des propos de son fils, malgré ses insomnies qui l'empêchent de vivre sereinement.

    Pourtant, Ryan prétend avoir joué dans un film aux côtés de Mae Wist et avoir dansé à Broadway dans une vie antérieure. Quand sa mère, intriguée, tombe sur un livre de Marty Marin, Ryan en est sûr: c'est lui!

    "Elle tournait les pages du livre et j'ai dit: "c'est moi, c'est celui que j'étais", raconte-t-il dans US Today, pointant une image du film "Nuit après nuit", datant de 1932 avec un certain... Mae West à l'affiche. Marty Martin a fait quelques apparitions discrètes dans des films avant de devenir agent artistique à Hollywood.

    55 détails sur sa vie
    En plus de l'avoir reconnu, Ryan est capable de donner 55 détails sur la vie de Martin, selon le psychiatre Jim Tucker, spécialisé dans les enfants qui prétendent avoir été réincarnés.

    Parmi la description faite par Ryan: la couleur de la voiture de Martin (verte), une description précise de sa maison et de sa piscine, le fait qu'il ait vécu dans une rue avec le mot "rock" (Roxbury Drive à Beverly Hills, en fait), ...

    Pour en avoir le coeur net, la famille de Ryan contacte celle de Marty Martin car il leur était impossible de vérifier par eux-mêmes les détails fournis par l'enfant. Et au final, tout ce qu'il avait dit s'est avéré être correct.

    Au fil des années, Ryan perd peu à peu la mémoire de ce qu'il pense être "sa vie antérieure", un phénomène courant selon Jim Tucker...

    Source : 7sur7 

    La réincarnation 

     Des histoires incroyables !

     Beaucoup de parents prétendent que leurs enfants disent des choses qu’ils ne peuvent expliquer. Les événements passés s’expliquent souvent par les forces observables d'aujourd’hui. Ces phénomènes ont été étudiés par les scientifiques et les psychologues en raison de l’immense quantité des cas qui ont fait surface au cours des dernières décennies.

    Voici 10 étonnantes choses que des enfants ont dit à leurs parents sur ce qu’ils ont retenu des vies passées:

    1. Quand mon fils avait trois ans, il m’a dit ressentir beaucoup d’amour pour son nouveau papa car c’est une personne très gentille. Mon mari est son seul et unique papa. Je lui ai demandé: « Pourquoi? » Il répondit: « Mon ancien papa était vraiment méchant. Il m’a poignardé dans le dos et je suis mort. Mais j’aime vraiment mon nouveau papa, il ne me fera jamais ça ».
    2. Quand j’étais une petite fille, j’ai perdu tout contrôle un jour en voyant un homme à l’épicerie. C’était inhabituel, j’étais généralement calme et bien élevée. Je n’avais jamais eu de problème de mauvaise conduite, mais nous avons dû quitter le magasin ce jour là. Quand ma mère m’a demandé dans la voiture ce qui m’avait pris, je lui ai dit que cet homme m’avait enlevée de ma première mère et m’avait fait dormir dans un sous-sol pendant une longtemps jusqu’à ce que je me réveille avec ma nouvelle maman. Sur le chemin du retour, j’ai alors refusé de m’asseoir sur le siège passager, et je me suis accroupie en dessous de la boîte à gants par peur que ça se reproduise. Cela a vraiment fait paniquer ma mère, étant donné qu’elle est ma vraie mère biologique, donc évidemment ma «première» maman.

    3. Un soir je sortais ma fille de deux ans de son bain, et ma femme et moi lui avons parlé de l’importance d’avoir ses parties intimes propres. Elle répondit sans panache: « Oh, mais je ne laisse personne aller là-bas. Ils ont essayé une nuit. Ils ont fermé la porte à clé et ils ont essayé, mais je ne me suis défendue. Je suis morte et maintenant je suis ici ». Elle a dit cela comme si ce n’était rien.
    Choses étonnantes que les enfants ont dit sur leur vie passée :

    4. « Avant que j’arrive ici, j’avais une sœur non? Elle et mon autre maman sont tellement vieilles maintenant. Elles n’étaient pas blessées lorsque la voiture a brûlé, mais moi si! Mon fils avait 5 ou 6 ans quand il m’a dit ça. J’étais bouche bée.

    5. Quand ma petite sœur était plus jeune, elle avait l’habitude de marcher autour de la maison avec une photo en cadre de mon grand-père dans ses mains et pleurait en disant: «Tu me manques Harvey. » Harvey était mort avant ma naissance. À part cette anecdote commune, ma mère m’a dit qu’elle disait constamment des choses que ma grand-mère Lucie disait.

    6. Quand ma petite sœur a commencé à parler, elle avait l’habitude de dire des choses vraiment inquiétantes. Elle nous racontait souvent comment son ancienne famille mettait des choses à l’intérieur d’elle et la faisait pleurer, mais son ancien papa a fini par la brûler gravement qu’elle était en mesure de nous trouver, sa nouvelle famille. Elle parlait de ce genre de choses entre l’âge de 2 et 4 ans. Elle était beaucoup trop jeune pour avoir été exposée à ce genre de situation, ou n’importe quel adulte n’aurait pu vivre de telles  choses. Ma famille a toujours pensé qu’elle tenait des souvenirs d’une vie antérieure.

    7. Entre l’âge de 2 et 6 ans, mon fils me répétait sans cesse la même histoire sur la façon dont il m’avait choisi pour être sa mère. Il m’a dit être avec un homme en costume et choisir une mère qui l’aiderait à accomplir la mission de son âme. … Nous ne parlions pas de spiritualité … il n’était pas élevé dans un milieu religieux.

    Il décrit cet endroit comme semblable à une épicerie, qu’il était dans une salle lumineuse avec des gens alignés comme des poupées, et là il m’a choisie. L’homme en costume lui a demandé s’il était sûr de son choix, il a répondit oui, et puis il est né.

    Mon fils avait aussi une fascination précoce pour les avions de la Seconde Guerre mondiale. Il était en mesure de les identifier, ainsi que leurs pièces, les régions où ils étaient utilisés, et ainsi de suite. Jusqu’à aujourd’hui, je ne sais pas comment il a obtenu ces informations. Je suis scientifique, son père est mathématicien. Nous l’avons toujours appelé ‘papy’, en raison de son attitude pacifique et sereine. Sans aucun doute, ce gamin est une vieille âme.
    8. Lorsque mon neveu a commencé à vraiment parler, il dit à ma sœur et à son mari qu’il était « très heureux de les avoir choisis ». Et puis il poursuivit en disant qu’avant d’être bébé, il était dans une salle lumineuse et vit beaucoup de personnes, et il « choisit sa mère parce qu’elle avait un joli visage. »

    9. Ma sœur aînée est née l’année ou la mère de mon père est mort. Selon mon père, dès que ma sœur a parlé, elle a dit: «Je suis ta mère ».

    10. Selon ma mère, quand j’étais plus jeune, je lui ai dit que j’étais mort dans un incendie il y a longtemps. Je ne me souviens pas, mais une de mes plus grandes craintes est que ma maison brûle. Être autour d’un feu ouvert me stresse.

    Que pensez-vous de ces cas? Y a-t-il une logique ?

    Source: merci à Epoch Times

    Source : espritsciencemetaphysiques 

    Un film magnifique sur la réincarnation

    L’idée de la réincarnation, est en général, assez controversée en Occident.

    Elle a pris naissance en Inde, il y a plusieurs millénaires. 

    Elle sous-tend toute la pensée religieuse hindoue et, par son incidence, le bouddhisme, elle s'est étendue dans presque toute l'Asie. Sans elle, le yoga n'aurait pas de signification car l'objet de ce dernier et de conduire la libération de la ronde sans fin des naissances et des morts. Le bouddhisme est divisé en plusieurs branches qui confessent toutes la réincarnation de l'âme. 

    Au Tibet, quand on parle de réincarnation, on ne peut s'empêcher penser au Dalaï Lama dont tout le monde a retenu qu'il est l'incarnation actuelle du premier Dalaï Lama. 

    En Grèce au 7ème et 6ème siècle avant Jésus Christ, l'orphisme, doctrine théologique admettaient l'immortalité de l'âme. L'âme impure était soumise à des réincarnations successives.
    La réincarnation était admise par les chrétiens jusqu'en l'an 537 de notre ère. C'est seulement à la suite du concile de Constantinople que cette croyance fut éliminée, mais non totalement interdite, et elle ne fut jamais déclarée anathème. 

    Les livres sacrés de l'Inde, de l’Égypte et de la religion judaïque en font mention.

     

     

    Dans la Bible, il est écrit: 

    " Jésus dit alors: Je vous le dis, en vérité, parmi les enfants des hommes, il ne s'en est pas levé de plus grand que Jean, le Baptiste. Si vous voulez le comprendre, lui-même est Elie qui devait revenir, que celui-là entende, qui a des oreilles pour entendre " (Saint Mathieu, XI, 11-15). 

    Affirmation de Jésus à Nicodème : " En vérité, je te le dis : nul, s'il ne naît à nouveau, ne peut voir le royaume de Dieu " (Saint Jean, III, 3). " Les causes des diversités des vies humaines sont dues aux existences antérieures (Origène, premier livre des Principes). " Il y a nécessité de nature pour l'âme humaine d'être guérie et purifiée lorsqu'elle ne l'a pas été dans sa vie terrestre; la guérison s'opère dans les vies futures " (Saint Grégoire de Nysse). Dans le Zohar : " Toutes les âmes sont soumises aux épreuves de la transmigration ". La Kabale affirme que les renaissances permettent aux hommes de se purifier. 

    Plus près de nous, au 13e siècle, les cathares disaient :

    "Nous sommes venus trop tôt ; nous reviendrons dans 700 ans".

     Mais malgré les preuves qui s'accumulent, la Réincarnation a beaucoup d'adversaires, car, depuis des siècles, on nous a répété qu'on ne disposait que d'une seule vie pour gagner le Paradis, sinon l’Enfer vous ouvrait toutes grandes ses portes. Mais comment parvenir à la perfection en une seule existence ? A ce compte, bien des gens ne pourraient être sauvés. 

    Pourquoi ne pas admettre d'autres vies, d'autres épreuves pour ceux qui ne sont pas encore parfaits, afin de les faire réfléchir davantage, de reconnaître leurs erreurs passées et de leur donner la chance de les corriger ? 

    Comment comprendre des sentiments naissant subitement entre des personnes qui se rencontrent pour la première fois ? ou des répulsions irrésistibles à l'égard de gens que l'on ne connaît pas? Sans parler des impression de " déjà vu "… 

    L'idée d'une transmigration des âmes se retrouve presque en début des temps historiques. L'esprit doit entrer dans un nouveau corps, mais cela se fait petit à petit et n'est achevé qu'à la naissance. Mais certains esprits changent d'avis après coup et craignent tellement la renaissance que cela aboutit parfois à une fausse-couche- ou à un enfant mort-né. Il y a toujours une espérance pour les suicidés, aucune expérience n'est vécue en vain. 

    Aucune loi ne fixe le temps qui s'écoule entre deux incarnations. Cela peut aller de plusieurs siècles à très peu d'années, mais les réincarnations très rapides sont rares. En général, les jeunes enfants de deux à trois ans ont très souvent des réminiscences de leurs vies antérieures. Les souvenirs s'estompent vers sept ou huit ans, lorsque l'enfant est mieux intégré dans la vie terrestre.

     

    Certaines de nos aptitudes peuvent disparaître d'une vie à l'autre, être comme en sommeil, lorsque l'esprit désire en acquérir d'autres. Mais les premières ne disparaissent qu'en apparence et peuvent s'épanouir davantage dans une vie ultérieure. 

    Un esprit attardé peut avoir choisi une famille évoluée dans le but de s'améliorer - ceci constitue une épreuve pour la famille choisie - alors qu'un esprit évolué peut s'incarner dans un cadre déplaisant, même dans un corps infirme, pour subir une épreuve nécessaire et développer des qualités qui lui manquent. 

    La nouvelle incarnation d’une âme sur terre dépend du degré d’évolution acquis dans les vies passées.

     Professeur  lan Stevenson (Psychiatre) 

    Le plus grand spécialiste mondial en matière de réincarnation est sans nul doute le professeur lan Stevenson. Canadien d'origine, il vit aux États-Unis où il enseigne la psychiatrie à l'Université de Virginie. 

    Dans son livre, hélas épuisé, Vingt cas suggérant la réincarnation (Editions Sand), Stevenson souligne que les témoignages de réincarnation sont beaucoup plus fréquents en Asie (Inde, Sri Lanka, Birmanie, Thaïlande), en Afrique de l'Ouest et parmi les tribus indiennes d'Amérique du Nord. Sur ce dernier continent, il a relevé 250 cas chez les Indiens contre 150 seulement chez les « blancs » (à noter qu'il n'a identifié que 30 cas en Europe). 

    Pour Stevenson, la fréquence des cas en Asie est fiée au fait que les hindouistes et les bouddhistes croient en la métempsycose, c'est-à-dire en la transmigration d'une même âme dans plusieurs corps successivement. Stevenson a par ailleurs étudié des cas de phobies (par exemple la peur de l'eau) se manifestant chez les nouveau-nés. Ainsi, des enfants ayant refusé de se baigner dès leur plus jeune âge, lui ont affirmé, dès qu'ils purent parler, être morts noyés. Enfin, Stevenson a longuement travaillé sur les traces de naissance apparaissant sur l'épiderme de bébés: grains de beauté, zones de peau sans pigmentation ou sans pilosité. Il a constaté qu'un tiers des enfants disant se souvenir d'une vie antérieure sont porteurs de traces de naissance qu'ils affirment être des blessures reçues lors de leur vie précédente. Stevenson a pu vérifier le dossier médical des personnes mortes dont les enfants disaient être la réincarnation : dans 20% des cas, il a découvert une concordance parfaite entre les traces de naissance et les blessures. À la demande du professeur Stevenson, le cas d'Engin Sungur est réexaminé par le psychologue Jurgen Keil en 1994. Sur 22 déclarations d'Engin relatives à sa vie précédente, 17 sont exactes et seules 5 n'ont pu être confirmées. 

    Histoire d’Engin Sungur 

    Posté sur une hauteur surplombant le village de Hancagiz en Turquie, le jeune Engin Sungur se tourne vers ses parents et leur dit d'un air pénétré :

    'C'est le village ou nous habitions avant.' Le petit Engin 2 ans a l'air sûr de son fait. Pourtant depuis sa naissance, il a toujours vécu à Tavla, une bourgade située à 4 km environ de Hancagiz. C'est donc la toute première fois qu'il contemple ce paysage. Les Sungur étant de confession musulmane Alevi et donc croyant en la réincarnation réagissent aux propos du bambin avec curiosité.

    Leur petit garçon serait-il en train de leur révéler qu'il habitait Hancagiz au cours d'une vie passée ?

    -'Mais qui es-tu donc demandent les parents'.

    '-Je suis Naif Çiçek répond Engin. 

    Et il se met à leur parler d'événements survenus au cours de sa vie antérieure et notamment de son voyage à Ankara peu de temps avant sa mort. Engin insiste pour que ses parents l'emmènent à Hancagiz. Dans un premier temps, les parents refusent, mais bientôt...

     Peu après, une rencontre va confirmer les révélations de leur fils. Gülhan Çiçek, fille de la famille évoquée par le petit Engin, se rend au lycée de Tavla. Apercevant la fillette, Engin l'interpelle sans hésiter et lui dit :

    'Gülhan, c'est moi ton père'. 

    Comme avant cet incident, il n'y avait jamais eu de contact entre les deux familles, la mère se décide à aller à Hancagiz avec son fils pour y rencontrer la famille Çiçek. A la vue de la veuve de Naif Çiçek, Engin l'appelle 'ma femme' et identifie nommément pas moins de 7 autres membres de la famille. Pressée de question, Engin indique ensuite certaines terres dont il se dit propriétaire. Il décrit également avec précision de quelle façon son fils l'a un jour renversé en passant la marche arrière de son camion. La veuve de Naif va aussi non seulement remarquer que l'enfant s'exprime et se comporte comme un adulte lorsqu'il évoque ses souvenirs mais surtout qu'il ponctue ses propos de gestes de la main comme le faisait son défunt mari. 

    Enfin, peu avant sa mort, en décembre 1979, à l'âge de 54 ans, Naif s'est effectivement rendu à Ankara pour consulter un médecin comme l'affirme Engin.

    Engin qui naîtra près de 3 ans après cette date le 8 octobre 1982… 

    Les manifestations - La xénoglossie  

    Le cas de Svarnlata, née le 2 mars 1948 à Shahpur dans la famille Mishra, souligne, entre autres faits étonnants, Cette aptitude insolite qu'est la xénoglossie, mais aussi la capacité rare de se remémorer plusieurs incarnations antérieures. Vers l'âge de trois ans et demi Svarnlata prétendit avoir vécu auparavant à Katni, une ville située à plusieurs centaines de kilomètres. Sa famille d'alors, à laquelle elle restait d'ailleurs très attachée par la pensée, se nommait " Pathak ".

    Guidé par les affirmations de Svarnlata un enquêteur découvrit ces Pathak et vérifia quelques-unes des informations fournies par la fillette au sujet de ses " parents d'autrefois ". Ils avaient bien perdu une fille, Biya, mais c'était en 1939, dix ans avant la naissance de Svarnlata. Celle-ci se souvenait effectivement qu'après la mort de Biya, dont elle avait habité le corps, elle avait vécu une autre incarnation de 1939 à 1948. Le souvenir de cette réincarnation intermédiaire, qui précède donc sa vie actuelle dans la famille Mishra, est un fait assez rare selon Stevenson. Elle s'appelait alors Kamlesh et habitait à Sylhet, en Assam, où elle serait morte à l'âge de neuf ans. 

    En raison de problèmes géographiques et politiques (Sylhet se trouve maintenant au Bengladesh) aucune enquête ne put être menée sur place afin de vérifier les souvenirs de cette vie antérieure. Ce qui est fort dommage car c'est justement au cours de celle-ci que Svarnlata aurait appris les danses et les chants bengali qu'elle interprétait depuis l'âge de cinq ou six ans. La disposition qu'elle manifestait pour la danse traditionnelle du Bengale, mais aussi pour sa langue, est un fait plutôt insolite puisque les Mishra ignorent tout du bengali et des coutumes propres à cette région. Ils ont toujours vécu au Madhya Pradesh, ainsi que Svarnlata bien sûr, où l'on ne parle que l'hindi. Voici un passage dans lequel Stevenson évoque les inexplicables aptitudes de la jeune fille : 

    Svarnlata chantait et dansait en même temps, l'un n'allant jamais sans l'autre. C'est comme si elle avait appris simultanément chant et danse, ne pouvant les séparer. Le professeur P. Pal le croyait. Lors d'une entrevue avec Svarnlata et sa famille en 1963, il observa " qu'elle avait des difficultés à se souvenir des mots si elle n'exécutait pas les danses. " Elle fut capable de danser et de chanter de la sorte jusqu'en 1971, date à laquelle elle accepta gracieusement de me donner une représentation. Bien qu'incapable de comprendre les paroles, je fus très impressionné par sa voix et par son talent chorégraphique. Son père qui m'accompagnait, déclara que c'était en tout point identique à sa première démonstration, bien des années auparavant. Svarnlata n'avait rien oublié ! Le professeur Pal observa la représentation de manière bien plus approfondie, puisqu'il m'écrivit que " les airs semblaient être justes et les attitudes convenables et séduisantes. " (Svarnlata rejoua trois fois pour lui afin qu'il puisse transcrire les chants).

    Le professeur Pal qui est originaire du Bengale identifia ces chants comme étant du bengali et il apprit, lorsqu'il retourna chez lui au Bengale occidental, que deux d'entre eux provenaient de poèmes de Rabindranath Tagore. Le troisième chant, lui aussi sans conteste en bengali, était un poème mineur inconnu du professeur Pal. 

    Des stigmates inexplicables  

    Quelques-uns des enfants examinés par Stevenson présentaient des marques sur la peau ou étaient affligés de malformations congénitales décrites comme des stigmates en relation avec leur vie passée. Ils étaient supposés correspondre, plus ou moins nettement d'ailleurs, à des blessures, cicatrices ou autres particularités physiques que le parent dont l'enfant se disait la réincarnation aurait présenté de son vivant, voire, s'agissant de blessures mortelles, aux derniers instants de sa vie. 

    Lorsque les stigmates sont visibles dès la naissance n'y a-t-il vraiment d'autre choix que d'invoquer la réincarnation ou, pour les plus sceptiques, le pur hasard ? Ne pourrait-on envisager, dans certains cas, l'hypothèse d'une autosuggestion maternelle, largement inconsciente, d'une grande efficacité sur le foetus ? Il est tentant de conjecturer sur ces questions. Là n'est pas notre propos, mais nous retiendrons malgré tout que les certitudes des proches qui en appellent à la réincarnation d'un parent défunt, arguant de la réalité des stigmates, reposent la plupart du temps sur des éléments discutables. Que ce soit à propos de la localisation de ces marques singulières ou de leur véritable conformité avec celles que portait la personne décédée. 

    Le cas de Ravi Shankar, un petit indien, est néanmoins intéressant car on y trouve nombre d'autres éléments en faveur de l'hypothèse d'une vie antérieure. Stevenson affirme par exemple qu'il fut capable de reconnaître les hommes qui le tuèrent, à l'âge de six ans, lorsqu'il s'appelait Ashok Kumar. Témoignage tout à fait extraordinaire car les vérifications indiquèrent que ses allégations étaient fondées : les faits se déroulèrent exactement de la façon dont il les avait relatés. Il se souvint que ses meurtriers l'exécutèrent à l'arme blanche et, entre autres mutilations, le décapitèrent. 

    Dans son existence actuelle son corps conservait ce qui pouvait apparaître comme un stigmate de cette affreuse blessure : " Sa mère certifia qu'il avait une marque rectiligne en travers du cou, semblable à la cicatrice d'une blessure faite par un grand couteau. Elle déclara s'en être aperçue pour la première fois quand son fils avait trois ou quatre mois. C'était apparemment congénital. Quand Ravi Shankar parlait du meurtre, il attribuait cette trace sur son cou aux blessures du crime. Au fur et à mesure qu'il grandissait, celle-ci changeait de place. En 1964, elle était en haut de son cou, juste au-dessous du menton, et s'était quelque peu estompée. " 

    Le cas de Corliss Chotkin Junior, dont il fut question plus haut, évoque également le phénomène des stigmates. Son grand-oncle, Victor Vincent, avait annoncé à sa nièce, environ un an avant sa propre mort, qu'il reviendrait sous les traits de leur futur enfant. On notera en passant que cet exemple pourrait être interprété dans le cadre de la précédente hypothèse d'une autosuggestion maternelle. 

    " Je vais revenir, je serai votre prochain fils. J'espère que je ne bégaierai pas autant que maintenant. Votre fils aura des cicatrices. " Il enleva alors sa chemise et lui montra une cicatrice dans le dos, provenant d'une opération subie quelques années plus tôt. 

    Dix-huit mois environ après la mort de Victor Vincent sa nièce mettait au monde un garçon, Corliss Chotkin, qui portait effectivement deux marques sur le corps de même forme et, grosso modo, au même emplacement que son grand-oncle décédé. Très tôt, dès qu'il fut en mesure de se faire comprendre, il reconnu et nomma différentes personnes qui composaient l'entourage du vivant de celui-ci. 

    Stevenson ajoute que " Victor Vincent bégayait beaucoup et il avait exprimé le voeu de moins bégayer dans sa nouvelle vie. Corliss bégayait énormément dans sa jeunesse et cela dura jusqu'à ce qu'il suive, à l'âge de dix ans, un traitement avec un orthophoniste. Il n'avait plus de défaut de prononciation lorsque je l'interrogeai. " 

    Enfin, le cas de Wijeratne au Sri Lanka, ne manque d'intriguer lui aussi. Il présente à sa naissance, en 1947, une nette difformité au niveau du thorax et au bras droit ; ce que sa famille interprète comme une conséquence karmique. Dans ce témoignage on relève que la réincarnation intervient assez tardivement, près de 19 ans après le décès, contrairement à la norme énoncée par Stevenson.

    Le père le Wijeratne nota également certaines ressemblances avec son frère défunt, Ratran Hami. Wijeratne avait comme lui le teint mat alors que ses autres frères et soeurs avaient plutôt la peau claire. Son père, observant d'autres similitudes de physionomie entre son fils et son frère, déclara à sa femme : " Mon frère est de retour. " Celle-ci ne semble pas avoir prêté grande attention à cette remarque et aucun des deux ne fit le lien entre la difformité du garçon et Ratran Hami. 

    Vers l'âge de deux ans, deux ans et demi, Wijeratne commença à marcher autour de la maison en parlant tout seul. Son comportement intrigua sa mère qui écouta ses propos. Elle le surprit en train de dire que son bras était difforme parce qu'il avait tué sa femme dans sa vie précédente. Il cita de nombreux détails en rapport avec un crime dont elle n'avait, jusqu'alors, jamais entendu parler. Elle questionna son mari et H. A. Tileratne Hami confirma l'exactitude de ces propos : son jeune frère avait été exécuté en 1928 pour avoir assassiné sa femme. 

    Le père de Wijeratne tenta de dissuader son fils de parler de sa vie antérieure. Pourtant l'enfant persistait, souvent seul, en un sombre monologue, ou se confiait à des personnes qui le questionnaient sur son bras. Il fit un récit circonstancié du meurtre, de l'arrestation et de l'exécution de Ratran Hami, donnant avec réalisme d'abondants détails (...). Selon la mère de Wijeratne, il racontait ses souvenirs par bribes. Elle ne releva pas de circonstances extérieures qui pussent susciter ses récits sur la vie de Ratran Hami. 

    Les Marques de naissance 

    Les Ibos du Nigeria, d’après S. Edelstein, marquent le cadavre d’un enfant mort en lui coupant la dernière phalange du petit doigt. Or, on retrouve ensuite cette mutilation sur des nouveaux nés ! 

    Au Sénégal, on marque de la même manière une oreille. 

    Un indien Tlingit d’Alaska avait une cicatrice sur le flanc droit qu’il prétendait être un coup de lance reçu dans une autre vie, 50 ans auparavant, lors d’un combat entre tribus, et il fut capable de nommer son agresseur. 

    En Thaïlande, on marque souvent le corps d’un défunt pour mieux l’identifier lors d’une réincarnation. 

    On peut évidemment supposer que si cela se passe dans un contexte familial donné, il puisse y avoir une action psychique de la mère sur le foetus. Mais il y a des cas avérés où il n’y a aucun lien familial. Et on sait qu’une marque accidentelle n’est pas génétiquement transmissible ! 

    Depuis l’âge de cinq ans, où elle eut une diphtérie, Mme Smith (pseudonyme donné par son médecin A.G.) rêvait de bûcher et de moine qui la frappait avec une torche enflammée. elle porte depuis sa naissance une marque dans le dos, une cicatrice boursouflée comme celle d’une brûlure. Elle fut traitée de 1962 à 1966. par le docteur A. Guirdham, psychiatre (Université Oxford - Grande Bretagne), qui établit qu’elle était probablement la réincarnation d’une cathare brûlée vive en 1244. Elle fut capable de donner de nombreux détails sur sa communauté, dont certains inconnus à cette date et confirmé ensuite par des recherches ultérieures (les robes bleu foncé des parfaits cathares, par exemple). Il n’a donc pas pu y avoir télépathie pour ces faits historiques révélés après coup. 

    Le numéro de Sciences et Avenir d'août 2006 traite de "L'impression de déjà-vu élucidée".

    Le déjà vu est cette curieuse impression d'avoir déjà été à un certain endroit ou été témoin d'un certain événement.Bien qu'on ait suggéré qu'il s'agit là d'un souvenir d'une existence antérieure, de nombreux indices font penser que le déjà vu est simplement dû à un fonctionnement légèrement irrégulier du cerveau. Il se produit de préférence dans un état de fatigue ou dans certains cas d'épilepsie. Nombre de médecins y voient le résultat d'une décharge électrique non synchronisée dans la partie du cerveau qui est le siège de la mémoire. Le même phénomène a pu être provoqué par la stimulation électrique du cerveau au cours d'une opération.

     Grosso modo, les nouvelles informations doivent être étiquetée "nouvelles" par une partie du cortex rhinal. Ce serait cet "étiquetage" qui ferait parfois défaut, et amènerait l'impression que la scène courante "n'est pas nouvelle" ( a donc été déjà vue ). Malheureusement, cette partie de cerveau traite les informations visuelles; l'article n'explique pas comment étendre cette explication aux impressions similaires ressenties pas des aveugles de naissance. 

    Les vies antérieures sous hypnose  

    La régression hypnotique est un phénomène observé pour la première fois en 1954. Bridie Murphy, une jeune femme d'intérieur américaine, se mit à parler, sous hypnose, comme si elle vivait dans l'Irlande du 19e siècle. Depuis, des hypnothérapeutes comme Arnall Bloxham ont fait «régresser» de nombreux patients à une vie antérieure et ont enregistré les résultats sur magnétophone. Bien qu'il soit parfois étrangement difficile de faire le bilan des données fournies par la régression, beaucoup d'histoires sont remarquablement exactes et parfaitement plausibles. 

    La régression hypnotique dans des vies passées, les souvenirs spontanés de certains enfants, selon lesquels ils auraient été une autre personne, la mémoire lointaine de quelques adultes, des expériences de « déjà vu » sont autant de phénomènes qui indiquent que la réincarnation est quelque chose de possible. Nombreuses sont les personnes qui croient que nous devons nous soumettre à plusieurs vies différentes sur terre, jusqu'à ce que nous ayons atteint la perfection de l'âme. Certains prétendent que tous les êtres ne sont pas réincarnés, mais qu'il nous est impossible de comprendre les règles qui gouvernent le processus de sélection impliqué dans ce phénomène. Le docteur lan Stevenson, de l'université de Virginie, aux États-Unis, a mené une enquête approfondie afin de prouver que la réincarnation existait. Il a réuni des centaines de cas de vies passées et a abouti à la conclusion qu'un « homme rationnel peut croire à la réincarnation, car il en existe des preuves. Source : artchives.samsara 

    Voir aussi :

     Dolores Cannon

    Vies antérieures

      

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