• Le radar humain

     Mystères humains

    Jean-Louis Crozier alias le radar humain 

    Son surnom : le « radar humain » :

    lui se disait simplement radiesthésiste – magnétiseur.

    Chaque jour, depuis son bureau d’Aubenas, en Ardèche, Jean-Louis Crozier, partait à la recherche de personnes dis­parues en France ou dans le monde.

    Pour ses enquêtes d'un autre type, l'homme se contentait d'une photo d'identité, d'une carte régionale et de son pen­dule.

     Jean-Louis Crozier nous a quitté le 2 janvier 2009.

    Une trentaine de missions par an

    Jean-Louis Crozier : « J'émets une onde char­gée de la fréquence du disparu. Lorsque ma question entre en résonnance avec lui, sa présence est confirmée lorsque le pendule ou ma main survolent un lieu donné sur la carte, explique-t-il. Je ressens alors un écho, un si­gnal, qui fait réagir le pendule ou qui crée une vibration particu­lière dans ma main ».

    Plutôt que de gloser sur le pa­ranormal, Jean-Louis Crozier dé­signe les dossiers de recherches, riches en renseignements, en­voyés par les brigades de gen­darmerie ou les commissariats de police. Le cachet de cire officiel fait foi, même si les autorités détestent avouer qu'elles utilisent les dons de certains « psi » . « Star » incontestée de la recherche de disparus, Jean-Louis Crozier attendait d'être «réquisitionné » ou appelé par des familles désespérées.

    Jean-Louis Crozier : « Il faut être très prudent car un radies­thésiste est responsable de l'es­poir qu'il apporte à une famille dans l'angoisse, comme des re­cherches organisées sur un lieu qu'il indique».              

    Pour chacune de ses vingt à trente missions an­nuelles, il appliquait le tarif unique de 130 euros. Interrogé par les parents de Marion, il a avoué son incapacité, ne pouvant apporter le moindre renseignement sur cette petite fille de 10 ans dispa­rue à Agen il y a maintenant plusieurs années. Il n'a pas réussi non plus à loca­liser Gerry Roufs, le navigateur disparu dans le Vendée Globe Challenge.

    En guise de palmarès, Jean-Louis Crozier tenait une comptabilité minutieuse : 1188 recherches lancées, 259 personnes retrouvées, dont une grande majorité de cadavres, 158 échecs et 771 missions en attente.

     
    Jean-Louis Crozier opèrait à l’aide d’un simple pendule et d’une carte. Il appose son index droit sur la tête du disparu (photo), et il promène sa main gauche au dessus de la carte.

    Jean-Louis Crozier et Pascal T...

    Pascal T… lui, croit ferme­ment aux pouvoirs du radiesthé­siste ardéchois. Forcément, ce vé­térinaire clermontois doit sa vie au petit bonhomme d'Aubenas.

    Randonneur chevronné, il fait une chute dans les montagnes corses, le 9 novembre 1993, et gît isolé avec un traumatisme crânien, des ver­tèbres et un tibia fracturés. Deux jours de recherches effectuées par la gendarmerie ne donne­ront rien.

    Et c'est grâce à la lo­calisation exacte fournie par le radiesthésiste, contacté par Elizabeth T.., sa femme, que le vétérinaire pourra être sauvé le 11 novembre à 16 heures.

    Jean-Louis Crozier, surnommé le« radar humain » etait en France, le plus sollicité des médiums- détectives. Il collaborait très régulièrement avec la gendarmerie.

    Jean-Pierre Girard

    (source : besoindesavoir)

        

     Présentation de la  Radiesthésie     

    La "Radiesthésie est un terme crée en 1920 par l'Abbé français Père Bouly et dérive du latin "Radius" (rayon) et du grecque "Aisthesis" (sensation).
    Le radiesthésiste est capable de percevoir, au moyen d'un pendule, ou d'une baguette, les vibrations d'impulsions et les radiations émises par les choses, les personnes, les animaux, les terrains, etc.….
    Anciennement appelée la Rhabdomancie, la radiesthésie était utilisée seulement pour la recherche des sources d'eaux ou de métaux comme l'or. On s'est ensuite rendu compte que les radiations sont aussi émises par toutes les formes de vie.
    Plus tard on s'est rendu compte que cette "résonance" entre une matière inorganique et l'esprit de l'homme avait une validité extensible à tous les champs. Le terme "Radiesthésie" est donc défini comme l'étude des ondes et des vibrations émises par un corps quelconque.
    La Radiesthésie est donc la pratique, pour la recherche des ondes et des vibrations émises par tous les corps.
    Les  principaux  instruments que  le  "radiesthésiste"  utilise  pour tous  les  types  de  recherches  sont :  les  pendules  de  cristal,  de  quartz, en  bois  ou  métal, et  les  baguettes  rhabdomanciennes  qui  servent  comme  aide  pour  percevoir  les vibrations et les radiations émises par un corps et une personne quelconque.
    Les services rendus par la Radiesthésie, sont multiples. Les phénomènes radiesthésistes ont en effet une explication d'ordre physique: toutes les choses, de l'être vivant à la matière inorganique, émettent des radiations, chacune sur des longueurs d'onde différentes. Ainsi le Radiesthésiste, au moyen de ses Facultés Radiesthésistes, peut capter ces longueurs d'onde ou radiations naturelles pour trouver la présence de ce qu'il est en train de chercher par exemple:  les  maladies,  le  remède,  la  thérapie  ou  l'approche  thérapeutique  le plus approprié à la guérison et pour le traitement holistique, l'eau, l'or, des objets perdus, n'importe quel diagnostic sur les animaux, les terrains, les véhicules, les machines etc.… 

    (source : abc-radiesthesie

         

    Scotland Yard, le FBI et même la CIA utilisent des médiums

    Scotland Yard, le FBI et même la CIA utilisent des médiums

    Depuis longtemps, le FBI ou Scotland Yard ont appris à utiliser les informations fournies par les médiums détectives.

    Des renseignements, qui sont souvent parcellaires.

    « Les policiers sa­vent croiser des informations obtenues par différents mé­diums travaillant séparément », ajoute le Docteur en psychologie, Mario Varvoglis. Ainsi, Scotland Yard a officiellement félicité Nella Jones, une charmante voyante de 64 ans, qui, pendant vingt deux ans, les a aidés à résoudre quelques énigmes criminelles....     

    Des médiums retrouvent les otages américains détenus au Liban

    Aux États-Unis ou en ex-Union soviétique, pays où le pa­ranormal n'est pas synonyme de diablerie, la CIA et le FSB (ex KGB) ont tenté de s'assurer les services des Psi pour les besoins du rensei­gnement et notamment la localisation d’otages.

    L'opération améri­caine STARGATE, entreprise en 1974, a permis de tester un petit groupe de médiums chargés de missions de voyance à distance et de compléter des données fournies par les satellites et les espions.

    En guise de travaux pratiques, qui auront coûté 20 millions de dollars, on leur a de­mandé de localiser : les otages américains détenus au Liban, le général James Dozier pris en otage par les Brigades rouges ita­liennes, Le colonel Kadhafi avant le raid américain en Libye ou des centres de recherche soviétiques, et des missiles Scud perdus pen­dant la guerre du Golfe.

    Selon un rapport officiel de la CIA, 15 % des réponses des sujets psi auraient pu être exploitées.  

    Joseph Mc­Moneagle, l'un des plus cé­lèbres voyants de l'opération Stargate, a déclaré publique­ment avoir participé à près de 450 missions. L'une des plus marquantes reste l'arrestation, en 1980, d'un agent du KGB en Afrique du Sud par la CIA.

    Les espions américains ont demandé au voyant comment l'agent com­muniquait avec les mili­taires soviétiques. Ils ont posé une enveloppe sur le bureau de McMoneagle, sans plus de précision. Sans même connaître l'homme en ques­tion, Joseph McMoneagle a affirmé que l'homme utilisait une calculatrice de poche. Après vérification, la CIA a dé­couvert qu'elle dissimulait une radio à ondes courtes.

    Un français en mission pour la CIA

    En France, Jean-Pierre Gi­rard raconte, dans son livre autobiographique ''Agir sur la matière'' publié aux éditions du Châtelet en 2005, comment la CIA l'a contacté pour différentes mis­sions de renseignement, dont la localisation d'un site d'essais nucléaires en Sibérie ou encore la description d'armes utilisées par les pays du pacte de Var­sovie.

    « Cette coopération, par­fois déguisée en expérience de parapsychologie, se déroulait depuis mon appartement pari­sien ou lors de mes déplace­ments en URSS et dans les pays du pacte de Varsovie, raconte-t-il.

    En général, je disposais d'une couverture : une invita­tion de l'institut de psychotro­nique ou de la Foire de Leipzig. ». Il découvrira que les agents de l'Est utilisaient eux aussi les psi pour percer les se­crets militaires occidentaux.

    Aujourd’hui ce français collabore ponctuellement avec les services publics pour larecherche de personnes disparues.

    (source : besoindesavoir)

     

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