Vous pourrez trouvez des photos d'émanants sur le livre
Que sont les Lutins devenus ? Les Sylphes, les Ondines, les Gnomes, les Elfes et les Dévas ?
Étaient-ils juste sortis de l’imaginaire des poètes ?
Sont-ils repartis aux oubliettes dans notre monde matérialiste, où le subtil n’a pas sa place ?
Notre monde a dû expérimenter la densification, mais nous sommes à l’heure de la remontée vers un monde plus lumineux. C’est pourquoi, de plus en plus, les êtres de la nature petits et grands se manifestent et nous convient à coopérer avec eux pour un monde meilleur où tous les règnes œuvreront ensemble.
Anne Givaudan, spécialiste des voyages dans les mondes subtils nous entraîne dans un étonnant périple au cœur d’une réalité que nous ne faisons que redécouvrir aujourd’hui : celle des êtres de la Nature. Les messages qu’ils lui confient et qui touchent chacun de nous, contribuent à un renouveau incontournable pour la planète et ceux qui l’habitent. Ce livre est illustré de nombreux dessins et de photos de ces êtres d’un monde de plus en plus tangible et visible à nos yeux d’humains.
Notre avis: Pour rencontrer les fées, il faut une large ouverture d’esprit. Mais attention à ne pas laisser votre coeur et votre pensée trop ouverts quand même. C’est un peu l’impression que j’ai eue en lisant les premières pages de ce livre et en sursautant une fois de plus à l’évocation d’une personne imaginaire, mentionnée comme référence réelle… La lecture s’est ensuite poursuivie sur la présentation d’êtres de la Nature tantôt issus de l’expérience Findhorn, tantôt de la théosophie et autres mouvements philosophiques nés aux 19 et 20e siècles.
On y croise surtout l’influence de Bordeaux Szekely, qui a étudié les Esséniens et prôné une philosophie proche de la leur (un peu moins sévère quand-même) et de Mickhaël Aïvanhov, disciple de Peter Deunov (le fondateur de la Fraternité Blanche Universelle, concept repris et élargi depuis les théories théosophiques de Blavatsky).
Le tout relié aux fées, ondines, elfes, salamandres de l’incontournable Paracelse. L’auteure nous fait part de ses expériences et de témoignages recueillis ci et là, lors de ses voyages. En cela, l’élément intéressant du livre ressort: ce sentiment de partage universel des rencontres avec les esprits de la nature.
Juste dommage que notre société occidentale qui a oublié le lien fort entre matière et esprit, corps et âme tente de redécouvrir celui-ci par des théories et pratiques bien souvent trop compliquées. Pourquoi absolument vouloir renforcer cette séparation par une thématique entourée de mystère, de secret quand il n’y en a pas ? Quand autrefois, dans les mêmes lieux, nos grands-parents offraient tout naturellement leurs mercis aux invisibles sans y ajouter tant de mystère ? Notons toutefois qu’à plusieurs reprises, l’auteure insiste sur le fait que les êtres de la nature vaquent à leurs occupations, ne se soucient pas de l’homme comme leur priorité. Une notion que l’on partage volontiers.
Quant au reste…
l’interrogation demeure.
(source : peuple-feerique)
Une photo du lutteur grec (culturebox) et celle de l'émanant
Une otarie de pierre
Une belle photo avec des personnages
Ours en peluche souriant