• Les livres interdits

    Découvertes extraordinaires

    Les livres interdits

    Les livres interdits

    Il a toujours existé dans l'histoire humaine des livres frappés d'interdit, pour des raisons d'ordre religieux, scientifique ou autre. Il existe également la catégorie des livres de pouvoir, soit des volumes qui apporteraient à leurs détenteurs une telle science ésotérique qu'ils pourraient devenir les maîtres du monde. Imaginons que de tels volumes tombent en de mauvaises mains ! Plusieurs croient en l'existence du fameux nécronomicon, livre de magie noire recouvert de peau humaine. Il existe effectivement des livres recouverts de peau humaine, jadis les cadavres des suppliciés étaient écorchés et la peau tannée servait de couverture. On a également retrouvé de vieilles pièces de monnaie enveloppées dans un vêtement de peau humaine en 1902. Mais le nécronomicon n'est en fait qu'oeuvre d'imagination selon son auteur  H.P. Lovecraft qui a toujours vigoureusement démenti son existence.

    Mais d'autres affirment l'existence de tels volumes. Tel John Dee, né en 1527 et mort en 1608 et qui aurait fait des rencontres étonnantes. Il aurait d'abord découvert un manuscrit qui serait la Sténographie de Trithème, livre interdit et dangereux.

    Dee en aurait poursuivi l'étude jusqu'à ce que se produisent des faits curieux. Entre autre une rencontre avec un être surhumain, entouré de lumière. Cet être lui aurait laissé un miroir noir que l'on peut admirer aujourd'hui au British Museum et qui est en fait un morceau d'anthracite poli. Par ce miroir John dee aurait pu converser avec des gens d'autres mondes, ces conversations furent notées et publiées par Dee. D'autres manuscrits inédits de ce même auteur se trouveraient actuellement au British Museum.

    Les êtres contactés auraient parlé la langue énochienne et on peut noter dans les écrits de Dee une langue complète, avec un alphabet et une grammaire.

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    Certains textes présenteraient des sciences mathématiques plus avancés qu'à l'époque où ils furent écrits. Ayant de la difficulté à noter en même temps qu'à parler avec les "entités", Dee s'adjoignit deux assistants qui en fait furent de fieffés escrocs. Suite aux actions de ceux-ci,Dee fut donc déconsidéré et mourut dans la misère. Cependant ses écrits restent fort intéressants, bien que plusieurs furent détruits par ordre des autorités et aujourd'hui, on parle d'écrits pouvant révéler de fabuleuses découvertes.

    On parle également du manuscrit de Voynich, indéchiffrable, il se présente comme un volume de 15 cm par 27 cm , 28 pages semblent manquantes. L'écriture inconnue semble de caractère médiéval, le manuscrit est enluminé de petites femmes nues, de diagrammes, de couleur bleu, jaune, rouge, brun et vert. Apparu en 1666 à l'Université de Pragues, tous les scientifiques de l'époque, spécialistes des écritures, échouent à le déchiffrer.

    En 1912, il est acheté et amené aux Etats-Unis où là encore personne n'arrive à en faire la lecture. On y voit entre autre les dessins de 400 plantes imaginaires. Les archives du Vatican ouvrent leurs portes aux chercheurs, afin de permettre l'accès à des références pouvant faciliter le décryptage du manuscrit, sans succès. L'auteur de ce manuscrit ne serait autre que Robert Bacon et c'est le professeur William Romaine Newbold, spécialiste en linguistique et cryptographie qui découvrira une clé permettant de comprendre le manuscrit.

    Il prétend que les connaissances de Bacon exprimées dans le document dépassent de loin celles de son époque. Cependant, personne n'arrive à reproduire le langage découvert par Newbold et celui-ci se fait de plus en plus vague. Le professeur mourra en 1926 et c'est un collègue et ami qui publiera les résultats de ses travaux. Mais d'autres spécialistes s'insurgent contre les conclusions du professeur et finalement le manuscrit retombera das l'oubli.

    Cependant certains croient que le professeur aurait reçu des menaces c'est pourquoi il a reculé devant ses affirmations d'avoir découvert le langage codé. Pour certains, le manuscrit Voynich provient d'une civilisation extraterrestre ou terrienne, mais disparue. Il s'agit là d'un livre qui devait faire partie de ceux que l'on voue à la destruction.

    En 1880, un clergyman anglais, le révérend Woodford découvrira chez un marchand de livres d'occasions le manuscrit Mathers. Celui-ci est également codé mais de façon plutôt simpliste. Il serait lié à certaines sociétés secrètes. Le déchiffrement du manuscrit aurait mené à la rédaction de plusieurs documents magiques sombres et dangereux.

    En découlera une société que beaucoup connaissent, appelée la Golden Dawn. On y fera des initiations mystiques en se référant au document écrit, supposément dans la langue énochienne. Pratiquant toujours les fameux rituels, la société attirera des êtres peu recommandables tel le mage noir Aleister Crowley. Bon nombre de scandales entourera tous ces gens et leur pouvoir réel ou non est fort discuté, il est possible qu'un certain mystère les entourant ait donné lieu à la popagation de légendes urbaines leur donnant un pouvoir fort peu démontré

    Il existerait également un livre dont la lecture rend fou: Excalibur, du nom de la célèbre épée du roi Arthur. Ce livre aurait été en possession du célèbre Ron Hubbard, père de la dianétique et de la scientologie si décriée. La dianétique serait à la fois une sorte de psychanalyse autant qu'une forme de méditation, bref elle serait efficace pour "nettoyer" l'esprit humain et l'amener vers de meilleures performances. Hubbard rassembla des souvenirs de vies antérieures qui selon lui proviennent d'une grande civilisation galactique qui aurait jadis colonisé la terre.

     Il fit de ses souvenirs un livre: Excalibur. Jusqu'à présent, selon les rumeurs, tout ceux ayant lu ce volume seraient devenus fous et finirent internés. Il est fort probable que le tout ne soit qu'une légende urbaine tout autant que le fut l'existence de Hubbard à la fin de sa vie , en effet qu'il fut encore vivant ou décédé fut un sujet débattu pendant plusieurs années.

    Parmi les documents étranges citons un ouvrage intitulé; "Au sujet du faisceau de lumière dans le ciel", qui était fort probablement un livre concernant les ovnis et fut écrit par un dénommé Démétrios de Phalère vers les années 400 av J.-C. Il aurait écrit ce volume à Thèbes après avoir été exilé par son gouvernement et serait devenu le premier directeur de la bibliothèque d'Alexandrie. De plus, Bérose, un prêtre babylonien aurait laissé le récit d'une rencontre avec des extraterrestres, les Apkallus, êtres ressemblant à des poissons vivant dans des scaphandres et ayant apporté aux hommes les premières connaissances scientifiques.

    Qu'y a-t-il de vrai dans la réalité ou les écrits de tous ces volumes fameux ? Sont-ils aussi irréels que le fameux nécronomicon de Poe ? Seuls quelques initiés le savent probablement, mais si vous faites un tour chez un marchand de livres usagés... ouvrez l'oeil... au cas où !

    (source : sciences interdites)

      

    Livres maudits : les textes tibétains anciens

    Livres maudits : les textes tibétains anciens

    Depuis les temps anciens, des hommes ont tendance à penser que les œuvres qui renferment les informations surles civilisations antiques sont d’origine extraterrestre.

    C’est le voyageur Apollonios de Tyane a transmis cette croyance dans les pays occidentaux. Cet homme aurait vu de ses propres yeux le livre, apporté en Inde de la planète Vénus, qui à la fin du XVIIIe siècle s’appelait le Livre de Dzyan. Ce livre a causé beaucoup de problèmes à Helena Blavatsky, qui en a publié des extraits dans sa Doctrine Secrète.

    Comment a-t-elle su que ce livre existait ? Pendant son voyage en Egypte, Helena Blavatsky, l’une des fondatrices de la Société théosophique, a rencontré un magicien d’origine copte, qui lui a parlé de l’existence d’un livre dangereux, qui est conservé dans un monastère tibétain. Selon lui, le Livre de Dzyan dévoile le mystère de la construction de l’Univers et jette la lumière sur la création de l’ordre mondial. Les sages tibétains auraient reçu ces connaissances depuis la planète Vénus, disait-il. Ces connaissances viendraient d’une intelligence supérieure, ou de la part des extraterrestres. Le mage a appris à Helena Blavatsky à déchiffrer les choses lire grâce à la clairvoyance.

    Après cette visite au Caire, la jeune femme a senti des transformations miraculeuses dans son esprit. Elle a acquis des connaissances extraordinaires dans divers domaines de la science, ce qui lui a permis d’écrire plusieurs livres, comme La Doctrine Secrète ou Isis Dévoilée.

    Mais après avoir reçu ce livre en Inde, Blavatsky a commencé à recevoir des menaces. Des inconnus lui demandaient de rendre le Livre de Dzyan. Ils exigeaient de détruire les notes qu’elle avait faites en le lisant. L’auteur des lettres que recevait constamment la spécialiste de théosophie, la menaçait de maladie grave. Blavatsky n’a pas réagi à ces menaces, et est tombée malade. Elle n’a pu guérir qu’au bout de trois ans, lors d’un voyage en Inde, où des médecins locaux l’ont soigné. Mais en 1871 un autre malheur est arrivé. Le bateau Eunomia, à bord duquel elle se trouvait lors d’une mission en Egypte, a explosé. Presque tous les passagers du navire sont morts, mais Helena Blavatsky a survécu à cette catastrophe.

    De retour à Londres, Blavatsky voulait présenter au grand public le Livre de Dzyan. Mais pendant cette tentative de présentation, un inconnu a tenté de la tuer. Le suspect a été arrêté, et lors de l’interrogatoire, il a affirmé qu’il avait été manipulé à distance. Et lorsque le mystérieux livre disparut du coffre-fort de son hôtel, Blavatsky s’est rendue compte qu’un complot s’organisait contre elle. Lorsqu’en 1875, elle a organisé la Société Théosophique, chargée d’étudier toutes les religions et les doctrines philosophiques du monde, l’une des missions de cette société fut la recherche du Livre de Dzyan.

    Quelques dizaines d’années plus tard, la fondatrice de la Société théosophique a réussi à mettre la main sur une copie du livre, écrite dans une langue inconnue. Elle a réussi à le traduire et à le publier en 1915 à San-Diego, à la maison d’édition Hermetic Publishing Company. La communauté scientifique a vivement critiqué cette publication et a organisé une véritable campagne pour discréditer les travaux de Blavatsky, indiquant que ses recherches « induisaient en erreur ». La spécialiste de la théosophie ne s’est jamais remise de cette persécution.

    L’édition de 1915 de ce livre est actuellement conservée à la bibliothèque du Congrès des Etats-Unis à Washington. Mais le mystère persiste : ce livre contient-il vraiment des connaissances précieuses qui permettent de lire des livres à distance et qui rapporte l’essence des traditions spirituelles anciennes ? /N (source : sputniknews)

      

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