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Les mystérieuses cuves de Saqqarah
Le Sérapéum de Saqqarah
Le Sérapéum de Saqqarah est l’un des lieux les plus énigmatiques de Saqqarah, depuis sa découverte en 1850, le Sérapéum de Saqqarah a été un endroit époustouflant rempli de mystère.
A quoi pouvaient bien servir ces cuves ?
La preuve ultime d’une Technologie ancienne perdue créé avant le temps des Égyptiens dynastiques. À l’ intérieur d’un système de tunnels creusé dans la roche calcaire dans le désert d’Égypte, plus de 20 boîtes de granite d’Assouan sont une véritable énigme. Certains disent avoir été les lieux de sépulture des taureaux prisés, leur fonction réelle est beaucoup plus intéressante.
Depuis que les gens se sont tournés vers l’étude de la culture égyptienne antique et leurs réalisations à travers des milliers d’années, nous avons été laissés surpris par tout ce que les cultures anciennes ont été en mesure d’atteindre il y a des milliers d’années.
Une énorme quantité de preuves s’accumulent en soutenant l’idée que nos ancêtres avaient en leur possession, il y a des milliers d’années une technologie que nous ne pouvons que rêver aujourd’hui.Mesures des cuves (voir la vidéo ci-dessous)
Cette technologie a permis aux cultures anciennes comme les Égyptiens qui à pu coupé, transporté, empiler et placer des blocs de pierre pesant jusqu’à 100 tonnes.
Les érudits courants nous disent que cela a été réalisé par des bâtons et des pierres. Cependant, les endroits comme le Sérapéum de Saqqarah racontent une histoire DIFFÉRENTE.
Ce majestueux labyrinthe antique abrite 25 pierres mégalithiques, pesant entre 70 et 100 tonnes. L’existence de ces blocs massifs de pierre est la preuve ultime que les constructeurs de ces «boîtes» incroyables possédaient des connaissances incroyables dans des domaines tels que la géométrie et les mathématiques, et a eu la technologie nécessaire pour façonner, couper, le transport et la placer dans la position des blocs énormes de pierre.
Certains croient que les boîtes massives ont été utilisées comme des chambres funéraires, d’autres comme l’auteur et l’explorateur Brien Foerster suggère la vérité derrière le Sérapéum est au-delà fascinante et n’a rien à voir avec de prétendues chambres funéraires pour les taureaux.
Nous savons que les boîtes ne sont pas des lieux de sépulture des taureaux.
Il convient de mentionner que, lorsque le Sérapéum de Saqqarah a été découvert, certaines des boîtes massives ont été ouvertes avec la poudre à canon, seulement pour trouver à l’intérieur de ces boîtes géantes qui était vides.
Les chercheurs ne savent pas ce qu’elle était réellement leur but est maintenant comment ces boîtes géantes ont été assemblées il y a des milliers d’années.
Fait intéressant, la plupart de ces boîtes sont faites de granit, une roche extrêmement dur exploité à une carrière située à environ 800 kilomètres de Saqqarah tandis que d’autres boîtes ont été faites à partir d’un matériau encore plus dur, a était trouvé encore plus loin de Saqqarah.
Cela nous fait poser la question; quel type de technologie a été utilisée dans le passé lointain pour couper précisément, la forme, le transport, et la place dans la position des blocs de pierre qui pèsent jusqu’à 100 tonnes ?
Est-il possible que les connaissances et la technologie, aient en fait pu provenir des étoiles que de nombreux théoriciens des anciens astronautes suggèrent ? Ou sommes-nous en manque de quelque chose dans l’histoire, un moment extrêmement important dans l’histoire ancienne négligée par les chercheurs traditionnels, un moment qui pourraient expliquer la connaissance et la capacité des civilisations anciennes, comme les égyptien ?
Brien Foerster l’illustre:
Pour comprendre cela, nous devons regarder en arrière dans l’ histoire à une période appelée pré-Egypte pharaonique .
Dans l’ Egypte ancienne, bien avant le premier «mortel» Pharaon connu comme Menes-Narmer a régné sur les terres de l’ Égypte il y avait d’ autres rois, dieux et » ceux qui sont venus d’ en haut » qui a régné sur la terre connue sous le nom Egypte aujourd’hui.
Cette fois dans l’histoire, la période pré-pharaonique reste un grand mystère pour la plupart des savants et égyptologue, principalement parce qu’ils ne peuvent pas accepter que ce qui est écrite, car il va directement à l’encontre des croyances de la plupart des historiens, des archéologues et égyptologues. (source : complotiste)à l’époque de Ramsès II, cette longue allée était découverte et tout au long de ses 80m, de chaque côté, on pouvait s’arrêter prier et donner des offrandes dans les multiples chapelles couvertes d’ex-voto qui la bordaient.
Le temple qui surplombait ces sépultures est maintenant entièrement en ruine, mais grâce aux fondations, on estime qu’avec colonnes, pylônes, pronaos, et naos, il devait mesurer près de 300 mètres de côté,.
On trouve à l’entrée du Serapeum, sépultures des taureaux sacrés APIS.Sur la gauche, nous passons à côté d’une de ces immenses cuves de granite que l’on a essayé de sortir de nos jours, mais même avec les moyens modernes, ce fut impossible !
Dans ces longs couloirs, creusés a même la roche se trouve en effet 24 sarcophages de granite dans lesquelles étaient inhumés les taureaux sacrés.
De taille exceptionnelle, rien d’autre au monde ne ressemble à cette nécropole.On dit que c’est sous Amenhotep III vers 1380 avant notre ère, que fut inauguré cette immense sépulture et on en trouve les rites funéraires encore sous le règne des Ptolémés, d’où le nom grec de Sérapéum.
Le culte du taureau sacré remonte bien avant l’époque Pharaonique, puisqu’on en trouve trace dans les cavernes préhistoriques comme à Qurta près de Kom Ombo spécifiquement a Assouan en haute Égypte.
On le vénérait déjà à l’époque de Narmer, l’unificateur des deux Égypte vers 3200 ans avant notre ère.
Pendant une bonne partie de l’Égypte antique, Apis est considéré comme la manifestation vivante du Dieu Ptah, le démiurge, le créateur.
Le jeune taureau n’était pas choisi au hasard, les critères de choix étaient très précis, le taureau Apis était noir et n’avait de blanc qu’une tache en forme de triangle sur le front, une tache blanche en forme de vautour sur le dos et les poils de la queue doublés.
A sa mort, son esprit se réincarnait en un autre jeune taureau que les grands prêtres partait rechercher dans tout le pays.Quand l’Egyptologue Français Auguste Mariette, fort des écrits de Strabon et Hérodote, découvre cette nécropole en 1851, sa stupeur est grande, car au tout début de l’allée processionnelle, il découvre un large hémicycle contenant douze statues grandeur nature des plus grand philosophes et poètes Grecs. (Que l’on peut voir aujourd’hui pour partie sur le site et les autres au Musée égyptien du Caire).
Tous les tombeaux ont été pillés au cours des siècles passés, seul un était resté intact.
Il semblait que c’est Mariette qui fit une large brèche dans celui-ci (à l’explosif dit-on).
On y découvrit une momie intacte (détruite aujourd’hui) ainsi que de nombreux objets et bijoux princiers, un masque d’or et des amulettes portant le cartouche du pharaon Khaemouaset.Ces immenses sarcophages en granite d’Assouan ou en basalte, pèsent entre 60 et 80 tonnes, même près de 100 tonnes pour l’un d’eux.
Rien qu’un couvercle pèse à lui seul 25 à 30 tonnes.On y déposait le corps de l’Apis qui avait été momifié durant 70 jours, comme pour un pharaon.
Il était recouvert de bandelette de lin et se présentait en position de sphinx avec les pattes avant repliées.
Deux de ces momies seraient encore au musée de l’agriculture du Caire.Difficile de croire que ces énormes sarcophages aux angles et arrêtes si droits intérieurs comme extérieurs aient été faits par des burins en bronze, des marteaux ou des boules de diorite….
Chaque tombeau était constitué d’une descenderie débouchant sur une chambre funéraire avec pour deux cas, des chambres annexes.
Tourte ces cuves immenses ne portent aucune trace, sauf deux d’entre elle.
Mais le trait imprécis des hiéroglyphes ne semble pas dater même de la 18 ème dynastie.
On peut y lire certains écrits à la fois d’Amasis 26 ème dynastie, Cambyse 27 ème dynastie et Khababach, 333 avant notre ère.Dans le petit souterrain, d’autre taureaux furent entrées, mais dans des sarcophages en bois qui n’ont pas survécu à leur découverte et dont il ne reste que peu de traces aujourd’hui.
Ceux- ci dateraient effectivement de la 18ème dynastie.
L’un de ces sarcophages portait encore la trace du sarcophage de Toutankhamon et un autre, celui d’Horemheb dernier pharaon de la 18ème dynastie.Quelle utilisation incroyable faisait-on de ces immense sépultures, le Serapeum de Saqqarah reste toujours une énigme.(Texte : Gérard Chareyre) (source : egypteabir)
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