• Les mystérieux tableaux codés.

    Observations et symboles

    Les mystérieux tableaux codés 

    Des messages seraient cachés dans certaines œuvres de Nicolas Poussin et de Léonard de Vinci...

    Les bergers d'Arcadie et l’étrange secret de Nicolas Poussin

            ARCADIE       ARCADIE

    Nicolas peint une première fois ce thème aux alentours de 1628. Ce dernier a certainement connaissance alors du tableau du Guerchin “ Et in Arcadia ego ” qui se trouve dans la collection de la famille Barberini , les protecteurs du peintre. Le tableau n'apparaît que lors de l'inventaire des biens du cardinal Massimi en 1677. Il est possible qu'il en soit le commanditaire. Il est aujourd'hui dans une collection privée à Chatsworth en Angleterre.

       ARCADIE

    Voilà bien un curieux tableau : trois bergers et une bergère devant une tombe, mais chose particulière dans une peinture tous les personnages sont de dos, hormis la bergère légèrement en retrait et de profil. La tombe est de style baroque, le paysage ne montre rien. Que peut-on retenir d'une peinture qui ne montre rien sinon des personnages de dos ?

    Une seule chose : la phrase “ Et in Arcadia ego ”.

    Ce tableau est fait pour que le spectateur, tout comme les bergers, s'arrête sur cette phrase. Nous y reviendrons. 

    Nicolas Poussin naquit le 15 juin 1594 à Villers
    fils et petit-fils de notaire à Soisson
    " Que Poussin, teniers, gardent la clef..."

    Dix ans plus tard Nicolas Poussin récidive sur le thème dans la version du Louvre, si célèbre. Au sujet de cette deuxième version, on ne connaît guère plus de détails sur son commanditaire que pour la première version. On peut supposer qu'elle fut commandée par quelque haut prélat de l'entourage papal, peut être par Francesco Barberini lui-même, car peu après la mort d'Urbain VIII, son frère, la famille Barberini, en disgrâce papale se voit obligée de quitter Rome, et revient en France. Or, on retrouve le tableau dans la collection d'un ingénieur militaire Henri Avice, en France. Louis XIV l'achète en 1685, et le fait placer dans sa chambre à Versailles, emplacement qu'il ne quittera plus jusqu'à la mort du roi. 

    Si un tableau a fait couler beaucoup d'encre dans l'histoire de Rennes, c'est bien les "Bergers d'Arcadie" de Nicolas Poussin.

    ARCADIE 

    Observons attentivement ces deux oeuvres. Dans la première version, Poussin présente quatre personnages : une “ bergère ” et trois hommes. Elle est en retrait, elle semble pensive et regarde l'inscription d'une manière plutôt distraite. Deux des hommes s'intéressent de près à l'inscription et celui qui possède un bâton en forme de crosse et qui est barbu pose son doigt sur les lettres comme pour mieux les lire en les nettoyant. Le troisième homme est assis à même le sol, il semble triste, il est couronné de laurier et remplit une cruche à une source qui jaillit près de la tombe. Cette dernière, à peine visible, est de style baroque, et surmontée d'un crâne.

    Pas le moindre animal, autour de ces bergers, ni moutons, ni chien. Pourtant quand il le juge nécessaire Nicolas peint des moutons et même des troupeaux entiers (paysage avec les funérailles de Phocion.etc..)

    Si ce n'était le titre rien ne nous permettrait de dire qu'il s'agit là de bergers, à l'exception d'un détail : le bâton en forme de crosse, apanage du pasteur.
    Si nous plaçons, à côté, la deuxième version, nous voyons le même nombre de personnages, la femme est toujours en retrait, pensive mais évoque une pensée intérieure encore plus profonde que dans la première version. Appuyé sur la tombe, un personnage couronné de laurier semble toujours aussi triste, mais plus de source. De même que dans la première version, le barbu semble nettoyer l'inscription avec son doigt, mais il s'est mis à genoux pour mieux faire, son bâton n'a plus de crosse. Enfin le dernier homme s'intéresse, lui aussi à l'inscription, mais paraît prendre à partie la femme à ce sujet. Toujours pas le moindre animal à l'horizon.

    L'impression que nous donne cette description est que Poussin peint exactement deux fois les mêmes personnages, ils sont bien typés et chacun possède bien son rôle. A une différence près qu'ils ne sont plus de dos, ils deviennent plus présents et plus affirmés. Dans la première version, l'inscription nous avait apparu, comme le centre d'intérêt, ici elle disparaît devant la présence des personnages et, grande différence avec la version de Chatsworth, devant la tombe et le paysage. La tombe n'est plus baroque mais de style “ Italien ” à pans coupés ; sa position dans le tableau n'est plus secondaire mais centrale. Quant au paysage, inexistant dans la première version, il devient ici essentiel. Il faut savoir qu'au XVIIe siècle, on peint en atelier, le peintre fait des croquis sur le terrain mais ne peint pratiquement jamais devant un paysage. Quant à la scène elle même elle a pu très bien ne jamais avoir lieu.

    Nicolas a dû organiser dans son atelier des séances de pose pour chaque modèle les autres n'étant pas nécessairement présents. En effet le travail d'un seul personnage représente souvent plusieurs jours de pose et de nombreux dessins. Le peintre reconstitue toute sa scène de pure imagination en se basant sur ses croquis. Parfois il réunit tous les éléments pour avoir une vue d'ensemble mais assez rarement. Il en est de même pour le paysage, constitué de différentes esquisses rassemblées en un même lieu. C'est-à-dire, de morceaux de paysage précis, recomposés ensemble pour réaliser un paysage mythique, idéal. C'est ainsi que dans l'oeuvre de Poussin on voit souvent le château Saint Ange placé en rase campagne, alors que celui-ci se trouve en plein coeur de Rome.
    En parlant de cette deuxième version Bellori, biographe de Poussin (1672), précise que ce dernier “ en devait l'idée au cardinal Rospigliosi ”. Or Poussin avait déjà travaillé sur cette idée dix ans auparavant. Si donc, Le futur Clément IX a bien suggéré quelque chose à Poussin, ce n'est pas cette idée que Poussin avait déjà eue, ce serait plutôt de placer ses “ bergers ” dans un “ certain paysage ”.

    Cardou

     Blanchefort

    Rennes

    Cardou

     Blanchefort

    Rennes

    Tableau de Poussin                                                                  Photo actuelle                 

    En retraitant ce tableau, Nicolas Poussin passe donc de l'évocation vague de la phrase “ET IN ARCADIA EGO” à une situation bien plus définie où cette sentence a toujours sa place mais sur une tombe précise dans un paysage précis entourée de personnages aux caractéristiques uniques. Si le titre ne portait encore le mot “ bergers ” plus rien ici ne nous indiquerait la fonction de ces personnages.

    C'est certainement très volontairement que Nicolas n'a pas peint de moutons dans ces tableaux.

    Que sont donc ces bergers ?

    Ils gardent, certes, mais pas des moutons, ils gardent une tombe !

    En effet, on a toujours suivi l'idée que les “ bergers ” venaient de découvrir une tombe, mais en fait Nicolas Poussin peint les “ gardiens ” d'une tombe. Ils ne viennent pas de la découvrir ; mais ils la protègent et surveillent l'inscription et la bergère réfléchit sur les problèmes posés par le poids de ce gardiennage. Ce ne sont pas d'ailleurs des personnages ordinaires, le maître des Andelys nous en fait prendre conscience en les couronnant tous de laurier. La couronne de laurier étant chez les grecs, donc au pays de l’Arcadie, le symbole que l'on remettait aux personnes ayant rendu un service important à la patrie. Dans d'autres oeuvres, il couronne ainsi les poètes (L'inspiration du poète) les héros et les dieux (Acis et Galatée, Mars et Vénus) Il y a donc peu de chance que Poussin ait voulu nous montrer ici des bergers ordinaires sans moutons à garder, et qui méditent sur la mort parce qu'ils viennent de découvrir une tombe fut elle porteuse d'une sentence. Non, le service qu'ils rendent, c'est bien de garder une tombe, mais une sépulture mystérieuse qui est au centre du tableau dans la deuxième version, et qui n'est définie que par la phrase “ Et in Arcadia ego ”. Qui nous dit qu’"il" est en Arcadie ?

    Pourquoi une phrase sans verbe ?

    On a tout dit sur le sens de cette phrase.
    C'est la mort qui parle et qui nous dit, même en Arcadie, au pays de la félicité, je suis présente, pourquoi pas ! Mais il y a une ambiguïté sous jacente : si l’Arcadie est bien une image du paradis, ce dernier ne serait-il pas lieu de félicité absolue ?
    C'est le mort qui parle et qui dit au passant

    “Maintenant je suis au paradis “.

    A l'appui de cette hypothèse, il faut préciser qu'en latin, le "ego" à la fin d'une phrase laisse penser qu'il s'agit bien du mort qui parle car il fait un retour sur lui-même. Mais alors pourquoi pas de verbe dans cette phrase ? Pourquoi une construction grammaticale fragile alors qu'il était si simple d'ajouter “sum : je suis ”.
    Il y a à cela une raison. Cette phrase est codée et le code ne permet pas d'ajouter d'autres lettres qui seraient inexploitables. Dans la deuxième version, le berger de droite semble demander :

    que doit -on faire pour comprendre ?

    C'est l'attitude de la “ bergère ” qui guide la nôtre : il faut réfléchir, se concentrer sur cette expression pour en tirer la quintessence.
    Par une lettre à l'évêché, Antoine Bigou, curé de Rennes le château en 1789, demande l'autorisation de mettre à l'abri une dalle scellée dans une tombe au lieu dit “ Les Pontils" . Cette opération fut exécutée par un dénommé Guillaume Tiffou en novembre 1789. Cette dalle devait porter une inscription bien intéressante pour qu'elle nécessite tant d'efforts, mais la révolution était en marche, il fallait protéger les choses léguées par le passé.
    Il y avait donc à cet endroit un tombeau, qui ne ressemblait peut-être pas exactement à celui de Poussin, et il est possible que lorsqu'il a été refait, soit la famille Galibert, soit la famille Lawrence aient copié le tombeau du tableau de Poussin (encore faudrait-il savoir pourquoi et sur les conseils de qui ?). Toujours est-il que c'est bien d'un tombeau placé là que nous parle Poussin. Il y a de fortes chances que la dalle retirée là, Antoine Bigou en ait fait la fameuse pierre de la fausse tombe de la marquise d’Hautpoul, morte quelque huit ans plus tôt. Sur cette pierre, il y avait bien écrit “ Et in Arcadia ego ”, mais avec des lettres grecques . Comme Poussin n'est jamais venu dans le Rasès, du moins certainement pas, avant de faire ces deux tableaux, il n'a pas su que la sentence était écrite en lettres grecques. Ceux qui lui avaient demandé de faire ce travail ont peut-être volontairement ou non omis ce détail.
    Détail, qui n'en est peut-être pas un. Cette phrase qui est déjà dans un latin tronqué la voilà maintenant écrite en lettres grecques. Pour quelle raison sinon pour nous donner la clef. De plus, elle était écrite verticalement en deux colonnes comme sur le dessin suivant : 

     

    Mettons à part deux groupes de deux lettres précédées d'une petite croix. Souvent le nom de personnages sacrés ou des saints est, dans la tradition chrétienne, précédé d'une croix. Ici en effet PX est le monogramme du Christ ou Chrisme. Et cela ne peut être lu, que si on écrit ces lettres avec des lettres grecques ; quant à D I, on peut supposer qu'il s'agit du mot DEI, un génitif qui signifie “ de dieu ”. Procédons avec le reste comme on fait une anagramme, glissons un E entre le D et le I. Avec les lettres qui restent on ne peut faire qu'un seul mot latin le mot “ negatio ” et il nous reste deux A. La phrase devient alors “ Christ negatio dei AA” soit “ Christ négation de dieu AA“. C'est-à-dire que la phrase, que nous montre Poussin dans son tableau, porte en elle-même la clef de son décodage.
    Félibien, biographe et ami de Poussin écrit à ce sujet : “ Par cette inscription, on a voulu marquer que celui qui est dans cette sépulture a vécu en Arcadie, et que la mort se rencontre parmi les plus grandes félicités.” Il s'agit donc d'un mort qui aurait vécu en Arcadie, mais l’Arcadie n'est elle pas le pays d'Arques, et par félicité ne doit-on pas entendre bonheur au sens de la durée comme, dans l'expression , "il a vécu un grand bonheur ”. Car, à ce moment-là, la phrase prend tout son sens, il n'est pas sur terre de bonheur assez grand qui ne se termine par la mort. En répondant à la question, quel personnage à la destinée fabuleuse est venu connaître la mort et la sépulture en Arcadie ? Un personnage dont cette phrase codée nous affirme l'humanité. Le lecteur comprendra d'une manière évidente de qui est la sépulture cachée, gardée par d’héroïques “ bergers “. C'est lui qui nous dit “ Maintenant je suis en Arcadie". Pour Poussin, ce tombeau est symbolique, mais représente-t-il à ses yeux, un autre tombeau, bien réel celui-ci et caché aux yeux de tous?

         

    Poussin a l'habitude de cacher dans ses tableaux des symboles, qu'il dessine grâce aux lignes de constructions. Ainsi dans le triomphe de Vénus qu'il peint pour Richelieu il cache un symbole d'origine Hébraïque, le triangle contenant un oeil et des rayons ainsi que trois cercles. Nous avons découvert dans plusieurs tableaux de Poussin ce même phénomène, il s'appuie sur les lignes dites de force pour cacher des symboles ésotériques 

    Dans les "bergers d'Arcadie, Nicolas Poussin, comme il a l'habitude de le faire, construit son tableau autour de deux A, Comme d'autres peintres l'avaient déjà fait suivant les commandes de L'AA. Tout autre système de construction, en particulier un pentagramme, dont toute une partie serait en dehors du tableau, relève de spéculations les plus antaisistes. 

     

    Personne ne peut dire s'il s'agit de la vérité ou d'une hérésie volontairement tenue secrète qui se serait assez répandue au XVIIe siècle pour atteindre le coeur même de l'église et par là, Nicolas Poussin. Les deux lettres AA, peuvent elles nous mener vers une identité de ces "bergers"? C'est possible mais c'est une autre histoire.
    Nous avons reconstitué uniquement avec des photos locales et la tombe des Pontils, le paysage des "Bergers d'Arcadie"; l'impression de "déjà vu" est saisissante. 

    ARCADIE

    ARCADIE

      Tombeau d'Arques aux Pontils 

    L'histoire universelle
    Tableau attribué à Nicolas Poussin

    ARCADIE

    Il s'agit d'un tableau découvert au salon des antiquaires à Toulouse, le 3 novembre 1975, de dimension 74.5 X 99 cm.
    Il se présentait alors dans un cadre doré du début du XIX ème siècle sur lequel était porté gravé sur une plaque en cuivre,
    le nom de Nicolas Poussin. 

    Décryptage du tableau
    Notre paysage du tableau est une juxtaposition de Rome et de Rennes le Château, d'après monsieur Tiers.
    Le tableau comprend plus de 80 symboles.
    Exemple : l'arbre de droite sur le tableau
    Il y a été peint les branches en forme de bois de Rennes - ( le bois de Rennes le Château ) etc... 


    Bois de Renne

     Nicolas Poussin vient de nous faire comprendre qu'il a un message à nous délivrer, mais il ne peut le dire tout haut.

    Il le cache donc aux yeux du profane et laisse au chercheur perspicace le soin de pénétrer dans le monde de l'invisible. 

    Synthèse du texte de monsieur Robert tiers 

    Nous vous conseillons vivement de vous procurer l'ouvrage  : Le testament de Nicolas Poussin de Robert tiers
    afin de vous faire une idée de la manière de décrypter les tableaux de Poussin. 

    Rahim, intervenant du forum est un spécialiste
    de décryptage des tableaux de Poussin.
    Vous pouvez toujours lui poser des questions sur le forum.

    (source :  Renne le Chateau)

     

    D'étranges hypothèses dans le tableau de Léonard de Vinci

    La Dernière Cène

    La Cène, peint par Léonard de Vinci en 1498.

    Un des chefs-d'oeuvre de Vinci, cette fresque fut commandée par Ludovic le More pour le réfectoire de l'église Sainte-Marie-des-Grâces (Santa Maria delle Grazie) à Milan. Cette peinture murale de 4,60m x 8,85m exécutée entre 1495 et 1497 à la détrempe sur un fond de plâtre sec commença très vite à se détériorer.

    Officiellement, Léonard de Vinci a figé l'instant où Jésus révèle aux apôtres réunis autour de la table que l'un d'entre eux s'apprête à le trahir.
    La cène (du latin cena qui signifie repas du soir) est le dernier repas de Jésus avec ses apôtres, au Cénacle à Jérusalem pour célébrer la Pâque. C'est au cours de ce repas que Jésus a institué l'eucharistie. La commémoration de ce repas est appelée "Sainte Cène" par les protestants, "messe" par les catholiques et "Saint Sacrifice" par les orthodoxes.  

    Léonard de Vinci compose magistralement ce tableau au moyen d'une figure de base : le carré. Ce choix impose un message de sérénité ... sans commune mesure avec le drame censé se préparer.

    La Cène décryptée 

    La perspective centrée sur le visage du Christ attire le regard et donne cette impression de rayonnement intense sans utiliser l'artifice d'une auréole ou d'un éclairage fallacieux. Le point de fuite des lignes du tableau se situe dans l'oeil droit de Jésus.

    Si on applique la loi du nombre d'or (PHI: 1,618) à la largeur du tableau, c'est à dire: largeur / 1,618 et que l'on trace une ligne verticale à l'emplacement indiqué par ce calcul on s'apperçoit que l'apotre féminin est en plein sur le tracé.

    Il y a trois fenêtres parce que dans l'architecture romaine et grecque trois représentaient la Trinité.

    Au niveau composition, remarquons que les 12 personnages autour de Jésus forment 4 groupes de 3.

    Léonard de Vinci s'est également représenté dans l'avant-dernier personnage qui discute à droite pour nous indiquer un message à découvrir dans son oeuvre. 

    L'hypothèse faisant de Marie-Madeleine l'épouse de Jésus, ou du moins sa disciple la plus importante –plus importante que Pierre– se perd dans la nuit des temps.
    Mais elle a gagné de nouveaux adeptes depuis la découverte, en 1945, près de Nag Hammadi, en Égypte, de 46 documents remontant au IIe siècle.
    Parmi eux, des fragments de récits dont l'existence n'était connue jusque-là que d'une poignée d'universitaires et d'experts bibliques: Évangile de Pierre, Évangile de Philippe… et Évangile de Marie.

    En réalité, avec l'autre Marie, mère de Jésus, Marie-Madeleine est la femme la plus présente du Nouveau Testament. Elle est le premier témoin de la résurrection de Jésus ce qui, déjà, lui donne une importance considérable. Il y a consensus parmi les théologiens pour la décrire comme l’une des disciples du Christ et quelques historiens de l'art ont prétendu que c'est elle qu'on peut voir à ses côtés, dans le tableau de Leonard De Vinci, La Dernière Cène.

    Le personnage à droite de Jésus (Marie-Madeleine) a toute l'apparence d'une femme : mains, traits fins, grâce, poitrine, collier d'or.

    e personnage à droite de Jésus (Marie-Madeleine) a toute l'apparence d'une femme :
    mains, traits fins, grâce, poitrine, collier d'or. 

    On reconnaît Marie-Madeleine par sa physionomie et aussi parce qu'elle croise les doigts. Madeleine est souvent représentée ainsi, les doigts entrelacés. Mais pourquoi a-t-elle ce visage incliné ?

    Enfin, diverses légendes lui donnent une vie après le départ de Jésus, soit à Ephèse, soit dans le Sud de la France, où elle serait demeurée dans une grotte, plus de 30 ans (il existe un culte à son sujet dans la petite ville de Rennes-le-Château).

    Marie-Madeleine 

    Sur cette esquisse des apôtres de "La Cène", Léonard de Vinci entretient le doute car il ne mentionne pas le nom de ce personnage efféminé.

    Esquisse des apôtres de La Cène 

    Pas de calice ou de coupe de vin devant Jésus sur la table de la Cène, pour ce sacrement du pain et du vin. Les pains également ne sont pas "rompus".

    Pourquoi n'y a t-il pas de calice dans ce tableau ?

    Car "La Cène" ne représente pas ce que l'on pense au premier abord.

    Pas de calice ou de coupe de vin devant Jésus sur la table de la Cène, pour ce sacrement du pain et du vin. Les pains également ne sont pas 

    L'ensemble des corps de Jésus (robe rouge, manteau bleu) et Marie-Madeleine (robe bleue, manteau rouge), complémentaires, dessine un grand "M".

    Observons attentivement les vêtements (bleus) coordonnés avec ceux de Jésus !
    Les bras tendus du troisième apôtre à droite juste à côté de l'auto portait de Léonard de Vinci ne retiennent-il pas votre attention ?

    Le rouge est la couleur de la Connaissance ésotérique des Sages. Dans les lames des Tarots, l'Hermite, la Papesse et l'Impératrice portent une robe rouge sous une cape ou un manteau bleu.
    L'arcane 11 - La Force - qui ouvre de ses deux mains la gueule du lion, porte cape rouge sur robe bleue. Cette femme représente Marie-Madeleine, la continuité de la lignée royale davidique, le Lion de Judée, la colonne Boaz du Temple de Salomon.

    Quant au Graal, il est figuré par le grand V en forme de calice (coupe, vase) entre les corps de Marie-Madeleine et de Jésus. Ce Calice (utérus) symbolise Vénus, le Féminin sacré, la Déesse. A l'opposé le chevron en forme de A est appelé Lame (phallus) et symbolise Mars, l'agression et la virilité (grade des insignes militaires). L'ensemble des deux principes maculin et féminin (la Lame et le Calice) forme le sceau de Salomon composé de deux triangles inversés en forme d'étoile. On retouve la Lame et le Calice dans le jeu du Tarot. 

    A noter la présence d'une main surnuméraire, armée d'un poignard, à hauteur de la table derrière le personnage du premier plan qui se retourne pour regarder Marie-Madeleine.

    La main surnuméraire, armée d'un poignard sur le tableau de Vinci La Cène

    Les mystérieux tableaux codés  

    On remarque tout d'abord que cet énigmatique poignard n'est relié à aucun des 12 apôtres figurant à côté du Christ. Alors s'agit-il pour autant d'un personnage surnuméraire ?
    Le poignard évoque-t-il la décollation de Jean-Baptiste (ainsi que pourrait le faire penser le doigt levé vers le ciel d'un des apôtres) ?
    Une menace pesant sur Marie-Madeleine ?
    Ou la mort d'un apôtre lors de ce banquet de conciliation ?

    Ou alors ne suggèrerait-il pas de découper des éléments du tableau afin de les faire glisser et coïncider après translation ?

    Mais plus étonnant encore ce visage surnuméraire incliné à droite du couteau et juste sous la barbe de l'apôtre au premier plan !

    Prenons "La dernière Cène", inversons-la et superposons le calque ainsi obtenu sur l'oeuvre originale :

    Devant le Christ en bénédiction -tout vêtu de rouge- apparaît un calice bleu, plus étonnant sur la gauche du tableau surgit alors un Templier.

    Continuons de faire glisser la calque vers la droite. Devant l'avant dernier personnage de droite qui est le portrait de Léonardo une coupe du Graal faît alors son apparition.
    I Misteri Del Secondo Cenacolo 

    Mais êtes-vous prêt à découvrir par translation latérale (le couteau) des personnages le secret de "La Cène" peinte par Léonard de Vinci ?

    L'orientation des regards s'accorde bien ... à cette présentation de l'enfant (de 3/4 dos).

    Translation latérale des personnages sur le tableau de Vinci La Cène

    Analyse du découpage opéré sur la Cène 

    Jésus aurait présenté son fils aux apôtres lors de la Dernière Cène ; il prononcera ces mots : "Celui-ci est mon corps, celui-ci est mon sang" . 

    L'Eglise identifia le "disciple que Jésus aimait" à Jean et s'efforça d'occulter la présence de Marie-Madeleine, lors du dernier repas.

    Mais la tradition iconographique perdura car on ne put éliminer toutes ces représentations. Certaines échappèrent donc à la destruction et servirent encore de modèles aux artistes futurs.

    Il fallut alors expliquer pourquoi Jean était représenté sous les traits d'une femme et on justifia cette particularité par l'invraisemblable virginité du disciple.

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    La Cène de Juan de Joanes (avec Marie-Madeleine) 

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    La Cène - edit. pontificaux 

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    Eglise de Foix 


      

    De mystérieux symboles dans les yeux de Mona Lisa ?

    De minuscules chiffres et lettres pourraient figurer dans les yeux de la Joconde et pourraient révéler son identité assure un «historien» italien.

    ARCADIE

    ARCADIE

    La lettre P ? et une forme de X ou de I ?

    Mais Pascal Cotte, directeur de recherche scientifique à Lumière Technologie, affirme au Figaro que l’hypothèse de la présence de lettres dans les yeux de la Joconde est «fantaisiste», et pourrait plutôt venir des craquelures sur le tableau, qui«avec beaucoup d’imagination pourraient faire penser à des lettres». D’autant que Silvano Vincenti n’est pas un expert scientifique mais un écrivain-détective passionné par les mystères de la Joconde, ajoute-il.

    Mais même si l’hypothèse est «fantaisiste», il n’est pas impossible que des lettres cachées existent: «Il est possible qu’un traitement de l’image fasse ressortir quelque chose que l’on ne voit pas à l’œil nu». L’identité de Mona Lisa excitent toujours les historiens: portrait de Lisa Gherardini, la femme d’un marchand florentin, ou encore autoportrait de l’artiste habillé en femme.

    Le controversé détective Silvano Vincenti a encore fait beaucoup parler de lui en envisageant d’exhumer le corps de Léonard de Vinci - enterré dans la chapelle du château d’Amboise en France - afin de résoudre cette énigme, en comparant la taille du crâne de l'artiste à celle du tableau. Sans aller jusque là, il a promis de faire part de toutes ses conclusions au plus tard dans un mois. (source : liberation)

    Le secret de la toile mystérieuse de Léonard de Vinci pourrait avoir été percé. De minuscules chiffres et lettres ont été découverts dans les yeux de la Joconde.

    Ce chef-d'oeuvre de Léonard de Vinci pose une multitude de  questions depuis sa création. Aujourd'hui, encore ils sont des milliers à se rendre au Louvre pour tenter de découvrir ce que cache Mona Lisa.

    Symboles cachés
    Aujourd'hui, une nouvelle vient d'être annoncée concernant cette toile. Des membres du Comité italien pour le patrimoine culturel viennent d'indiquer que les lettres et des chiffres apparaissent dans les yeux de Mona Lisa. "A l'oeil nu, on ne peut pas percevoir ces symboles mais avec une loupe, ils sont indéniables", explique Silvano Vinceti, le président de la commission.

    Dans l'oeil droit de la Joconde, les lettres L et V sont visibles. Une référence probable au peintre avec ses initiales. Dans l'oeil gauche, les symboles seraient cependant encore moins visibles. Il semble que les lettres C et E ou B, et le nombre 72 ou bien la lettre L et un 2 apparaissent," affirme Vinceti. "C'est très difficile à déchiffrer".



    Da Vinci Code
    L'auteur Dan Brown avait déjà abordé ce mystère dans son ouvrage "Da Vinci Code". Toutefois, la réalité n'a pas encore dépassé la fiction, selon les experts. "Nous ne sommes qu'au tout début de cette étude", explique Vinceti. "Il y a une tentative claire de rendre des symboles aussi  méconnaissables que possible. Toute l'oeuvre de l'artiste repose sur des symboles et des messages cachés. C'est sûrement le cas pour la Joconde, un tableau auquel il attachait énormément d'importance et qu'il a emmené partout avec lui à la fin de sa vie".

    Mona Lisa Da Vinci
    Quant à l'identité de la Joconde, il se pourrait qu'en réalité, il s'agisse d'un auto-portrait de Léonard de Vinci. Le comité d'experts a donc pris contact avec la France pour demander que le corps de Léonard  De Vinci, enterré dans la chapelle du château d'Amboise, soit exhumé. Le but est de comparer la forme du crâne de l'artiste avec celui du célèbre portrait. (CB) (source : 7sur7)

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