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Les ovnis de l'Arctique
LES OVNIS DE L'ARCTIQUE
De nouvelles photos de la Marine des États-Unis d’une rencontre rapprochée avec un énorme OVNI/OSNI ont été publiées en ligne.
L’affaire a été soumise au Black Vault par le chercheur/enquêteur Alex Mistretta, qui les a obtenues à partir de sources anonymes en Europe. Une histoire très intéressante est liée à ces photos.
En mars 1971, le USS Trepang, un sous-marin nucléaire d’attaque de classe sturgeon, effectuait une mission militaire et scientifique de routine au bord de l’océan Arctique.
Le lieu exact de l’observation est inconnu, mais la position du sous-marin était quelque part entre l’Islande et l’île Jan Mayen dans l’Atlantique.
L’objet non-identifié a pour la première fois été repéré par le périscope d’un officier du nom de John Kilika et les photos ont été prises par un officier anonyme. La qualité des photos est remarquablement bonne, ce qui n’est pas monnaie courante dans la sphère ufologique.La source de Mistretta a déclaré qu’il y avait quelques annotations sur les photos: « Photographie officielle. Ne pas publier. CT. » et « Unauthorized Disclosure Subject. Security Certificate SSN 674. Criminal Sanction. »
Source : nouvelordremondial
Alex Mistretta, un enquêteur et auteur sur le paranormal, a enquêté sur ces images, après leur première apparition dans le magazine français « Top Secret » numéro 79, disponible depuis le site www.topsecret.fr, et que nous vous incitons à acquérir pour plus de précisions sur ces supposés faits.Mistretta a affirmé que, selon ses sources, les images avaient été prises depuis le sous-marin américain qui se trouvait sur un trajet reliant l'Islande à l’ile norvégienne de Jan Mayen, située dans l'océan Atlantique, avec à son bord l’amiral Dean Reynolds.Selon une archive navale américaine, l'USS Trepang se trouvait bien dans la région à l'époque sachant que le contre-amiral, Dean Reynolds, a dirigé le bâtiment d’Août 1970 à Décembre 1973.
Le fait que ces images aient été si facilement mises à disposition du public pose certaines questions de crédibilité selon certains enquêteursSource : ovnis-direct
Des informations inédites !
OVNIs-généraux-pilotes-officiels-parlent - Leslie Kean
Et en Antarctique ...?
Un passionné de phénomènes paranormaux prétend avoir identifié - sur une photo prise au-dessus de l'Antarctique - la trace du crash d'un OVNI. Le cas échéant, il s'agirait d'un appareil gigantesque.
Comme bon de nombre de ceux qui croient en l'existence d'OVNI d'origine extraterrestre, un Russe nommé Valentin Degterev passe de longues heures à scruter les images de Google Map et Google Earth pour tenter d'y détecter des phénomènes paranormaux à différents niveaux de zoom.
Or sur l'une des images satellites rassemblées par le célèbre site et prise au-dessus du continent Antarctique, apparaît un relief très étrange qui tranche nettement avec un environnement étale et immaculé. La photo a été isolée en 2012 mais n'a été diffusée que récemment. Mais on peut encore observer le phénomène en saisissant les coordonnées 80°34'08.4"S 30°05'19.3"W dans Google Map.
De forme oblongue, large de 20 mètres et longue de 70, cette fente serait, selon Valentin Degterev, la trace du crash d'une soucoupe volante qui aurait percuté le sol glacé par la tranche. Dès lors, il serait possible de penser que la carcasse de l'appareil pourrait reposer en-dessous.Tout porte cependant à croire que cet "impact" est en fait une crevasse issue d'un mouvement naturel des glaces. Sa dimension gigantesque ne désempare pas les spécialistes interrogés par le Daily Mail, selon lesquels cette caractéristique n'a rien d'exceptionnel dans ces régions.
Source : directmatin
Vaisseaux en Antarctique
Un mécanicien de bord, sergent retraité de la marine américaine qui m’a demandé de l’appeler seulement «Brian». Il a vécu des expériences de la plus haute étrangeté alors qu’il participait à des opérations de fret et de sauvetage en Antarctique durant la période de 1983 à 1997, incluant plusieurs observations de disques volants argentés étincelants au dessus des montagnes Transantarctiques. Lui et son équipage ont vu aussi un grand trou dans la glace à environ cinq à dix miles seulement du pôle Sud géographique (cercle rose sur la carte) qui était censé être une zone d’exclusion aérienne. Mais lors d’une situation d’évacuation sanitaire d’urgence, ils sont entrés dans la zone d’exclusion aérienne et ont vu ce qu’ils n’ étaient pas censés voir: l’entrée présumée d’une base de recherche scientifique humaine et extraterrestre créée sous la glace.
Puis, dans un camp près de la Terre Marie Byrd, une douzaine de scientifiques disparurent pendant deux semaines et quand ils reparurent, l’équipage de vol de Brian reçut l’assignation d’aller les récupérer. Brian dit qu’ils ne voulaient pas parler et que «leurs visages étaient effrayés». Brian et son équipage reçurent à plusieurs reprises l’ordre de ne pas parler et on leur dit sévèrement qu’ils n’avaient pas vu ce qu’ils avaient vu. Mais on ne lui a jamais demandé de signer une déclaration de non-divulgation officielle. Alors maintenant qu’il est à la retraite, il a décidé de partager ce qu’il a vu et vécu parce qu’il sait que des êtres qui ne sont pas humains travaillent sur cette planète.J’étais mécanicien à bord d’un Lockheed LC-130 de la marine américaine. J’ai pris ma retraite après 20 années de service en 1997. Pendant longtemps j’ai eu envie de vous écrire à propos de mon expérience sur le continent antarctique avec des véhicules volants dont on m’a dit de ne pas parler. J’ai servi une partie de mes 20 années dans la marine dans un escadron appelé Escadron de Développement Antarctique Six aussi connu comme VXE-6. J’ai servi dans cet escadron de 1983 jusqu’à ce que je prenne ma retraire en mars 1997. Étant mécanicien de bord avec plus de 4000 heures de vol à ce titre, j’ai vu des choses que la plupart des des gens n’ont même pas imaginé sur le continent de l’Antarctique.
La terre là-bas semble plus extraterrestre que terrienne. Nos déploiements sur cette terre ont commencé à la fin Septembre et se sont terminés à la fin de Février de chaque année jusqu’à ce que l’escadron soit dissout en 1999. Cette période de l’année est propice aux expériences scientifiques en raison des températures plus clémentes et des journées de 24 heures de lumière du jour. Pendant mon séjour dans l’escadron je me suis envolé vers presque toutes les parties du continent de l’antarctique, y compris le pôle Sud plus de 300 fois. La station Mc Murdo, qui est à 3,5 heures de vol de la station du pôle Sud a été le point névralgique de l’escadron lors de nos déploiements annuels. Entre ces deux stations se trouve une chaîne de montagnes appelée TransAntarctique et avec ce que nous appelions Temps clair sévère, de McMurdo au Pôle Sud, les Transantarctiques sont visibles depuis les altitudes où l’avion a volé entre 25 000 à 35 000 pieds (entre 7620 mètres et 10.668 mètres) . Lors de plusieurs vols vers et à partir du Pôle Sud, notre équipage a observé des véhicules aériens virevoltant autour de la cime des TransAntarctiques presque exactement au même endroit à chaque fois où nous volions et les visualisions.
Ceci est très inhabituel pour le trafic aérien là-bas parce que les seuls avions qui survolaient le continent étaient ceux de notre escadron. Chaque aéronef savait où se trouvaient les autres à cause du suivi des horaires de vol. Une autre question unique avec la station du pôle Sud est que notre avion n’était pas autorisé à survoler une zone désignée à 5 miles de la station. On nous a déclaré que c’était en raison d’un camp d’échantillonnage de l’air dans cette région. Cela n’avait aucun sens pour aucun de nous dans l’équipage parce qu’en deux occasions nous avions du survoler cette zone. Une fois en raison d’une évacuation médicale du camp australien appelé Camp Davis. Il était sur le côté opposé du continent et nous avons dû faire le plein à Pôle Sud et le trajet direct vers Camp Davis passait juste au-dessus de la station d’échantillonnage de l’air. La seule chose que nous avons vu en survolant ce camp était un très grand trou qui entrait dans la glace. Vous auriez pu faire voler un de nos LC130 dans cette chose.
Source : investigationsoanisetoceanographiee
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