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     Sciences de l'univers 

    LA CLÉ SCIENTIFIQUE

    DES MANIFESTATIONS SURNATURELLES 

    Les phosphènes sont les taches de couleurs changeantes que l’on perçoit après la courte fixation d’une source lumineuse.

    On éveille ainsi une énergie permettant le développement de la mémoire et l’accès à de nombreux phénomènes psychiques.

    La troisième phase du phosphène, la “lueur diffuse” est une énergie qui émane du cerveau. Elle est photographiable

    et permet de percevoir les objets physiques en pleine obscurité.

    Elle est à l’origine des phénomènes de voyance, des rêves prémonitoires, des visions et des apparitions,

    et de toutes les manifestations surnaturelles, telles celles qui sont par exemple survenues lors des Prodiges solaires de Lourdes,

    Fatima et Kerezinen, à l’origine desquels se trouvent toujours des enfants.

    Les phosphènes sont très transmissibles par télépathie. Lorsqu’un groupe ou une foule fait des phosphènes, ceux-ci s’emballent

     et provoquent la “Danse du soleil”, d’où l’obscurcissement apparent du soleil, les balancements, tremblements,

    rotations et sensations de sa chute, qui ne sont que les rythmes du co-phosphène solaire amplifiés par l’importance du groupe.

    On obtient les mêmes phénomènes en utilisant une lampe.

    De plus, cette énergie émise par le cerveau s’accumule dans le lieu où l’on utilise régulièrement les phosphènes,

    ainsi que dans “l’aura” des personnes qui pratiquent. Ces sels phosphéniques,

    c’est-à-dire l’énergie produite par le mélange d’une pensée au phosphène, constituent ce que les Anciens appelaient les “égrégores”,

    qui sont à l’origine de tous les lieux saints et de tous les lieux sacrés, car ils permettent d’accéder aux plans subtils, aux mondes invisibles.

    À qui ces phénomènes et ces événements peuvent-ils profiter ?

    des éléments que personne jusqu’alors n’avait analysés.

    Le lecteur sera très surpris de découvrir qu’il peut, lui aussi, produire ces “miracles”,

    ainsi que bien d’autres phénomènes dont on parle peu habituellement.

    egregores

    Nouvelles sciences : 

    D’après des expériences très probantes de cultures de légumes, en leur faisant écouter de la musique spécifique, il existerait une « musique des protéines », la « protéodie », basée sur les recherches du physicien Joël Sternheimer sur les fréquences sonores. Cette nouvelle science se nomme « la génodique ». (Voir un article du Magazine New Scientist de 1994) 

    Les acides aminés émettraient  des séquences de signaux quantiques lors de la synthèse des protéines. Chaque protéine aurait sa « musique » spécifique. Il faudrait donc composer une mélodie unique à chaque plante, afin que chaque note corresponde à un acide aminé de la protéine sur laquelle on veut intervenir. 

    Les légumes exposés 5 mn par jour à cette musique unique, auraient leur hormone de croissance stimulée (l’auxine), et pousseraient donc bien mieux et plus vite, ceci dans un contexte de culture Bio, bien sûr. Affaire à suivre… ! 

    Si l’on réfléchit bien, et que l’on accepte le fait que tout est énergie, donc vibrations électro magnétiques, donc fréquences, donc …musique, cette « découverte » (ou plutôt re-découverte car les peuples anciens connaissaient bien les pouvoirs du son) sera peut-être une nouvelle façon de cultiver dans les décennies à venir… 

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    Le four "Score"

    Un nouveau type de fourneau est à l’étude sous le nom de Score (Stove for Cooking, Refrigeration, and Electricity), dans le but de fournir de l’électricité et du froid tout en évitant les fumées dans l’air. Ce type d’invention est à priori destiné aux pays « en voie de développement », mais son utilité pourrait aussi se révéler pour tous les autres. Le principe en est thermoacoustique.

    L’onde acoustique (le son) ainsi générée peut reproduire les mêmes effets que la thermodynamie pour les moteurs actuels, et engendre les mêmes effets dynamiques. Elle agit de la même façon que le ferait le courant électrique. C’est le son ou « onde acoustique » qui transporte l’énergie ainsi générée, sans véhiculer de matière, son déplacement allant dans la  même direction que l’onde. Son coût serait très raisonnable, et sa réalisation définitive est  en cours. 

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