• Ovnis, des rapports solides.

    Mystères des ovnis 

    OVNIS : DES RAPPORTS SOLIDES (Pilotes, radars et astronautes...)

    L'émergence d'un nouveau paradigme

    Ovnis : des rapports solides

    L'ancien pilote de ligne d'O'Bama raconte sa rencontre avec un ovni

    Une fois n’est pas coutume, un grand quotidien américain, le New York Daily News, ouvre ses colonnes à un pilote de ligne qui relate sa rencontre avec un objet volant non identifié.  Et par n’importe-quel pilote: avec 28 ans d’expérience, dont 14 comme capitaine, Andrew Danziger est un professionnel respecté qui a notamment piloté l’avion de Barack Obama pendant sa campagne présidentielle en 2008. Il est exceptionnel qu’un pilote encore en activité, bien que proche de la retraite, évoque publiquement une observation d’OVNI.
    D’emblée l’ancien commandant de bord américain Andrew Danziger annonce la couleur: «Les gens adorent poser des questions aux pilotes. Mais celle qui revient le plus souvent est: «Croyez-vous aux OVNIs?». En ce qui me concerne, la réponse est ‘Oui’.»


    Andrew Danziger a croisé son objet volant non-identifié le 10 avril 1989, à 20 heures, alors qu’il n’était encore que jeune copilote, au cours d’un vol intérieur entre Kansas City et Waterloo, dans l’Iowa. «C’était une soirée magnifique. La lune était pleine et la visibilité parfaite» précise-t-il.

    C’est à 350 kilomètres de Waterloo, à une altitude d’environ 4500 mètres, que s’est déroulée la rencontre : «Il y avait des nuages fins tout autour de nous éclairés par la pleine lune qui brillait à notre gauche, du côté du commandant de bord. (…) Il y avait aussi un disque blanc que l’on pouvait clairement distinguer à travers les nuages, juste à notre droite.».

    "Cela ressemblait à la lune mais l’objet était à droite et la lune à gauche"

    Andrew Danziger a signalé la présence du disque au commandant de bord. ce dernier lui a confirmé qu’il l’observait depuis que l’avion s’était stabilisée à son altitude de croisière.  «Cela ressemblait à la lune mais l’objet était à droite et la lune à gauche» poursuit -il. «Nous avons scruté sol pour tenter d’apercevoir des éclairages publicitaires particulièrement puissants mais nous n’avons rien vu.»

    A ce stade de son récit, il y a toutefois une explication rationnelle qui n’est pas évoquée par Andrew Danziger. Sa description correspond à un parasélène, le reflet de la lune sur des nuages faisant office de miroir. Il est parfois à l’origine d’observations erronées d’OVNI. Toutefois, il ne se produit qu’à haute altitude avec des nuages de type cirrus ou cirrostratus chargés de cristaux de glace qui composent la surface réfléchissante. Or, l’avion était à moins de 4500 mètres d’altitude au début de l’observation.

    Mais ce qui va achever de convaincre Andrew Danziger qu’il n’a pas affaire à un phénomène ordinaire est une vision qui a «marqué sa mémoire au fer rouge»: «A environ 60 kilomètres de l’aéroport de Waterloo, nous avons amorcé notre descente. Depuis 20 ou 30 minutes, le disque blanc était toujours dans notre champ visuel. Pris par les préparatifs de l’atterrissage, nous l’avons perdu de vue pendant une minute. Mais quand je l’ai regardé de nouveau, j’ai crié au commandant de bord: «Bordel de M… !».

    La sphère rouge énorme et brillante suivait une trajectoire parallèle à la nôtre

    Il a immédiatement tourné son regard dans la direction que je lui indiquais : au-dessus  des nuages, à l’endroit où se trouvait le disque, il y avait maintenant une boule rouge géante. Elle était grande et brillante, pas assez pour illuminer la cabine mais très lumineuse quand même. Nous sommes restés sans rien dire, stupéfiés. Nous avons eu peur de la percuter mais très vite nous sous sommes rendus compte que la boule géante suivait une trajectoire parallèle à la nôtre, à la même vitesse que l’avion. Pendant que nous descendions lentement sous les 4000 mètres, la sphère brillante a aussi commencé à descendre. Elle est passée derrière les nuages comme un coucher de soleil. Au bout de 30 secondes, des centaines de flashs ont illuminé l’intérieur de la masse nuageuse.

    Puis, alors que les flashs se faisaient de plus plus lumineux, la section du nuage où avait pénétré la sphère a commencé à se distendre comme du ‘Silly Putty’ (NDR: ou Mastic Idiot, pâte à modeler visqueuse et élastique). Les deux parties du nuage se sont écartées lentement tandis que le milieu devenait de plus en plus fin. Enfin, le ‘fil’ qui reliait les deux sections du nuage s’est rompu et, d’un coup, tout à disparu. Il n’y avait plus rien: plus de disque brillant, plus de flashs lumineux, plus aucun des nuages fins qui nous accompagnaient depuis 40 minutes. Plus rien ! Dans le ciel sans nuage, il n’y avait plus que la lune à notre gauche.»

    Cette soudaine disparition des nuages est l’un des éléments les plus troublants du récit d’ Andrew Danziger: comment ont-ils pu s’évaporer en un instant ainsi que le laisse entendre le pilote ?  Y’a-t-il eu une brève perte de conscience pendant l’avion quittait la zone nuageuse ?

    Médusés, les pilotes se sont ensuite concertés pour décider de rapporter ou non leur observation. Andrew Danziger a contacté la tour de contrôle de Kansas City en demandant sans autre précision  s’ils avaient repéré quelque chose sur le radar: «Non rien, à part vous». «Pas dans l’immédiat mais il y a quelques minutes, à 2 heures, par rapport à notre position ?» a indiqué le copilote. La tour de contrôle a confirmé sa première réponse: «Non, c’est une nuit tranquille. On surveille tout le secteur entre Kansas City et Waterloo sur nos écrans de contrôle et vous êtes seul depuis une heure.»
    Cette absence de corroboration par le radar n'est pas un cas isolé. Les relations entre les OVNIs et les radars sont pour le moins complexes. Tous les cas de figure ont été répertoriés: l'objet est vu mais il n'est pas repéré par les radars; le radar signale un objet mais les témoins oculaires ne voient rien à l'endroit où il devrait se trouver; le radar indique une position mais l'OVNI est visible en un autre endroit; enfin il arrive que les données radars et les observations visuelles coïncident.

    Les question d’Andrew Danziger ont été reçues 5 sur 5 par le contrôleur aérien: quelques instants plus tard, la tour de contrôle reprend contact et demande : «Vous voulez signaler un OVNI ?». Après un court instant de réflexion, les pilotes acceptent.

    Dans la dernière partie de son récit, Andrew Danziger détaille la procédure que le pilote et le copilote ont suivi pour rapporter leur observation: «On m’a dit d’appeler National UFO Reporting Center.  A cette époque, je ne savais même pas qu’un tel centre existait qui recueille les appels des pilotes et des contrôleurs aériens. L’homme au bout du fil nous a interrogé séparément, Bruce, le commandant de bord et moi. Quand nous avons eu achevé de lui faire notre récit, la personne à l’autre bout du fil nous a dit que nous n’entendrions plus jamais parler de lui et que nous n’obtiendrions aucun retour d’information complémentaire. C’était notre premier et dernier contact avec lui.»

    "Pratiquement tous les pilotes croient aux OVNIS"

    Là encore, la description de cette procédure soulève quelques interrogations. Contrairement à ce que l’on pourrait croire en lisant le récit d’ Andrew Danziger, le National UFO Reporting Center n’est pas un organisme officiel ou lié au gouvernement américain. Il n’existe d’ailleurs pas d’instances de ce type aux Etats-Unis contrairement à la France qui dispose du Geipan, le Groupe d'études et d'information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés, dépendant du Centre national d'études spatiales (CNES), lui même affilié au Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et au ministère de la Défense. De plus, le NUFORC, fondé en 1974, n’est absolument pas spécialisé dans la collecte des témoignages des pilotes ou de professionnels du secteur aérien.
    Il propose une «hotline» qui enregistre 24 h/24 les observations d’OVNIS en provenance de tout le territoire des Etats-Unis, sans exclusive. La phrase aux accents très «Men in Black» qui conclut l’entretien («La personne à l’autre bout du fil nous a dit que nous n’entendrions plus jamais parler de lui et que nous n’obtiendrions aucun retour d’information complémentaire») est donc assez incongrue. Ou plutôt assez assez logique puisque le National UFO Reporting Center se consacre surtout à un travail de compilation des témoignages à des fins statistiques. Ses ressources financières et humaines limitées ne lui permettent d’enquêter que sur un très faible pourcentage des cas qui lui sont soumis. Le rapport d’Andrew Danziger et de son commandant de bord est donc un signalement a minima, sans trace écrite officielle, qui, selon toute vraisemblance, a été rejoindre les archives du NUFORC sans autre forme de procès…

    D’ailleurs, Andrew Danziger souligne par la suite que la compagnie aérienne pour laquelle il travaillait à l’époque n’avait pas de «ligne de conduite officielle concernant les OVNIs et n’en a toujours pas aujourd’hui».

    Andrew Danziger achève son récit par un regard rétrospectif sur cet incident qui l’a profondément marqué mais qu’il n’avait jamais évoqué publiquement. «C’était il y a 25 ans. Aujourd’hui, je suis plus vieux, plus sage et arrivé presque au terme de ma carrière. Au cours des dernières années, le sujet OVNI s’est parfois s’est imposé de cockpit. Et beaucoup plus qu’une poignée de pilotes m’ont confié leur propre histoire d’OVNI.» Et Andrew Danziger conclut: «Je n’exagère pas en disant que  pratiquement tous les pilotes croient aux OVNIS.»

    Comme il l'explique lui-même, Andrew Danziger est loin d'être le seul pilote à avoir observé un OVNI...

    Source : parismatch

     Le 30 décembre 2012, les pilotes de deux avions, un Boeing 777 et un Airbus 319 ont rapporté à quelques minutes d’intervalle la même observation : des objets volants en forme de disque d’apparence métallique survolaient la zone d’East Grinstead, West Sussex, non loin de l’aéroport de Gatwick où les deux appareils s’apprêtaient à atterrir.

    Selon le rapport d’UK Airprox, l’organisme en charge de la sécurité aérienne, c’est le pilote du Boeing 777 qui a le premier signalé les objets à 8 heures 53 du matin. Les deux ‘soucoupes’ sont restées visibles pendant 7 minutes à une distance très rapprochée, parfois moins de 30 mètres d’après les pilotes cités par le Sun. Ce qui a permis aux témoins d’en fournir une description assez précise : Les ‘soucoupes’ semblaient «construites par la main de l’homme… On aurait dit des jouets d’enfant».

    Mais il y a mieux : ce récit, déjà exceptionnel puisqu’il émane de pilotes professionnels expérimentés, est confirmé par les radars de la tour de contrôle de l’aéroport de Gatwick. Mais contrairement au personnel navigant qui n’a vu que deux objets, le radar en a repéré six qui ont brutalement disparu des écrans au bout de quelques minutes.

    L’incident a été répertorié en catégorie D, c’est à dire «sans explication» selon le classement établi par l’UK Airprox. Pour Nick Pope, ancien responsable du «bureau OVNI» au ministère de la Défense britannique, il s’agit d’une «observation de premier ordre». Les enquêteurs ont envisagé l’hypothèse de ballons météos ou de cerfs-volants mais ces explications n’ont pas été retenues.

    Source : .parismatch.

     

     Par Philippe Solal, agrégé de philosophie Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse

    I. Un contexte scientifique nouveau

    Quand on utilise les mots « changement de paradigme » dans le domaine de la philosophie des sciences, il s’agit là de l’usage d’une expression très puissante. Le terme de paradigme (qui tire son origine du grec ancien paradeïgma signifiant « modèle » ou « exemple ») permet de désigner aujourd’hui un moment majeur dans la manière dont on se représente le monde. Dans le cas des sciences dures, comme la physique, parler de « nouveau paradigme » c’est annoncer l’émergence de nouveaux systèmes de représentations et, corrélativement, c’est instaurer une nouvelle manière de traiter les objets que l’on veut étudier.

    Ainsi quand Michel Foucault parle de « changement de paradigme », dans la science du XVIe siècle, il décrit la nouvelle manière dont la science (celle de Galilée) considère la nature, à travers une nouvelle relation entre les mots et les choses. La nature est désormais considérée comme un « livre », le vrai livre de Dieu (en lieu et place de la Bible), et il nous faut décoder son langage. Cet effort conduira à la mathématisation de la physique, date de naissance de la science telle que nous la pratiquons aujourd’hui, puisque pour Galilée, le langage de Dieu, exprimé dans les formes naturelles, est de type mathématique. De la même manière, lorsque Edgar Morin, au XXe siècle, annonce l’émergence d’un nouveau paradigme scientifique, celui de la complexité, dans le tome 4 de La Méthode : Les Idées, il écrit: « Nous en sommes au préliminaire dans la constitution d'un paradigme de complexité […] Il s'agit non pas de la tâche individuelle d'un penseur, mais de l'œuvre historique d'une convergence de pensées ».

    Le paradigme nouveau n’annonce donc pas seulement l’avènement d’une modification dans les méthodes et les objets de la science. Il constitue, plus profondément, une nouvelle manière de concevoir la structure intime de la réalité : une réalité cryptée chez Galilée (cryptage qu’il s’agit de déchiffrer) ou une réalité dans laquelle toutes les parties sont en interdépendance et en interaction chez Morin.

    Pourquoi avoir rappelé le sens de ce terme, dans ce préambule finalement très didactique ? Parce qu’il parait manifeste qu’un nouveau paradigme est en train d’émerger dans le domaine des sciences dures, et spécifiquement en biologie et en physique, émergence dont le trait commun concerne le primat accordé à l’information. « L’objet sur lequel je travaille, c’est l’information » déclarait en substance le biologiste et généticien Pierre-Henri Gouyon, dans une conférence donnée début 2014 à Toulouse. Il est vrai qu’en matière d’informations, en particulier dans le travail de séquençage des gènes, les généticiens savent de quoi ils parlent et ils ont de quoi faire. Mais que la physique s’invite au débat sur le statut de l’information parait a priori plus étonnant. Et pourtant, c’est dans ce domaine que les transformations conceptuelles nous paraissent les plus radicales et les plus significatives. On y trouve cette « convergence de pensées » qu’évoquait Edgar Morin et qui est le signe premier qu’un véritable changement de paradigme est en train de s’opérer.

    Tout commence peut-être avec les problèmes posés par l’expérience de pensée imaginée par le physicien anglais James Clerk Maxwell en 1871 et connue sous le nom du « démon de Maxwell ». Sans entrer dans des descriptions trop techniques, il nous suffit de dire ici que Maxwell propose une expérience de pensée qui entraine, au niveau des échanges thermiques (par exemple entre un gaz chaud et un gaz froid) la violation de la seconde loi de la thermodynamique, laquelle stipule que toute transformation réelle s'effectue avec création d'entropie. Par exemple, si on laisse ouverte la porte d'un réfrigérateur éteint, la température du réfrigérateur et de la pièce vont s'équilibrer, et cela de manière irréversible sans apport d'énergie. Or, l'expérience du démon de Maxwell propose un processus permettant de revenir à un état de température inégal, sans dépenser d'énergie, et en diminuant l'entropie, ce qui est en principe impossible selon la seconde loi de la thermodynamique. Tout se passe comme si un « petit démon » était capable de sélectionner l’information au niveau des échanges thermiques, c’est-à-dire de « choisir », à l’intérieur de deux compartiments renfermant chacun un gaz de température différente, quelle molécule laisser passer par une ouverture (en fonction de sa vitesse d’agitation) et quelle autre repousser, pour diminuer l’entropie. (...)

    Source : feairplane
     

    7 mars 1977 - M. Giraud, pilote de Mirage IV

     DES CAS EVIDENTS

    Le déroulement de cet incident a été reconstitué à partir des échanges radiophoniques entre le pilote et le contrôleur qui, selon la procédure en vigueur dans tous les centres de contrôle, sont systématiquement enregistrés et conservés pendant un certain temps. L’incident s’est produit le 7 mars 1977 vers 21 h locales, dans le travers de Dijon, alors que le Mirage IV est de retour, pilote automatique branché, vers Luxeuil après une mission de nuit. A l’altitude de 9 600 m, évoluant à la vitesse de "Mach 0,9", les conditions de vol sont très bonnes. Le pilote (P), Hervé Giraud, et son navigateur (N) observent à "3 heures" (code horaire) de leur avion une lueur très brillante, à la même altitude, venant à cap collision vers eux et se rapprochant très vite. Nous la désignerons "assaillant" (Al) dans la suite de l’exposé.

    P interroge la station radar militaire de Contrexéville, qui les contrôle, pour demander s’ils ont un contact radar sur l’avion venant vers eux. En effet, P et N pensent que c’est un intercepteur de défense aérienne qui, comme cela se pratique couramment, cherche à intercepter leur avion pour ensuite l’identifier au moyen de son phare d’identification. Le contrôleur radar (C), qui n’a aucun contact radar correspondant sur son scope, répond par la négative et demande aux pilotes de vérifier leur oxygène. Cette demande de la part du contrôleur est une procédure de secours classique ; elle montre bien que celui-ci est si surpris par la question de l’équipage qu’il pense à un ennui d’oxygène susceptible de générer une "hallucination" . "L’assaillant Al" maintenant son cap vers le Mirage IV, P entame un virage à droite vers AI, virage qu’il est obligé de serrer de plus en plus (3 à 4 g) pour essayer de garder le contact visuel sur AI et l’empêcher de se placer secteur arrière. Malgré cette manœuvre, AI s’installe derrière le Mirage IV à une distance estimée de 1 500 m ; à ce moment P renverse son virage pour retrouver un contact visuel sur Al, il voit la lueur s’éloigner très rapidement à " 11 heures" ; il reprend ’. le cap sur Luxeuil.

    Mais 45 secondes après sa reprise de cap vers Luxeuil, se sentant "observé", selon ses propres termes, P dit à N, tu vas voir, cela va revenir. Et effectivement, une lueur identique, que nous appellerons A2, apparaît à "3 heures". P engage alors un virage très serré (6,5 g) pour dégager son appareil de ce qu’il considère désormais comme une menace réelle. La lueur suit l’évolution du Mirage IV pour se placer secteur arrière a une distance estimée de 2 000 m ; P renverse, comme précédemment, et voit à nouveau la lueur disparaître dans les mêmes conditions. C n’a toujours pas de contact radar sur 1"’assaillant A2". P et N poursuivent leur vol et rejoignent normalement la base de Luxeuil.

    Source : area51blog 

    Ovnis : des rapports solides 

    Astronaute GORDON COOPER (1927-2004) 

    Il fut l’un des sept astronautes du groupe baptisé "The Original Seven" constitué dans le cadre du programme Mercury. Il affirmera à plusieurs reprises avoir pu observer des OVNIs au cours de différentes missions. Cooper a raconté plusieurs fois une observation, filmée par l’équipe qu’il dirigeait, alors qu’ils réalisaient des tests sur la base d’Edwards en 1958. Le film a été saisi par les autorités et expédié à Washington.
     En 1978, il avait adressé une déclaration solennelle au Secrétaire Général des Nations unies : 
    "Je crois que ces vaisseaux extra-terrestres et leurs équipages qui visitent la Terre à partir d’autres planètes sont d’une manière évidente un peu plus avancés technologiquement que nous.

    Je pense que nous avons besoin d’un programme coordonné de très haut niveau pour collecter et analyser scientifiquement les données de l’ensemble de la planète sur les différents types de rencontre, afin de déterminer comment interagir au mieux avec nos visiteurs d’une manière amicale.

    Nous devrions tout d’abord leur montrer que nous avons appris à résoudre nos problèmes de façon pacifique plutôt que par la guerre, avant d’être acceptés en tant que membres à part entière de la communauté universelle. 

    Cette admission offrirait à notre monde de fantastiques possibilités de progrès dans tous les domaines. Il semble évident que l’ONU est habilité à traiter ce sujet de façon appropriée et rapide.

    Pendant des années, j’ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes.

    Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux États-Unis, nos radars repèrent des objets de formes et de nature inconnues.

    Et il y a des milliers de rapports de témoins et des quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ?

    Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent d’horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : Nous devons éviter la panique à tout prix." 

    "J’ai eu l’occasion pendant deux jours en 1951 d’observer plusieurs fois ces engins volant en formation au-dessus de l’Europe; ils n’avaient pas tous la même taille. Ils se trouvaient à une altitude que nos propres avions de combat ne pouvaient atteindre."

    Source : ovnis-usa 

    3 mars 1976  à 23 h - Claude BOSC (Colonel)

    DES CAS EVIDENTS

      Ce soir-là , en tant qu'élève pilote de chasse à l'école de Tours, j'effectue un vol solo avec plusieurs collègues dans le cadre d'un exercice de navigation de nuit. J'ai décollé seul à bord d'un Lockheed T-33SF, un avion à réaction de construction américaine utilisé pour l'entraînement, pour effectuer un circuit aérien reliant Rennes, Poitiers et Tours. Vers 23 h, alors que je survole la région de Poitiers à 7000 m d'altitude, dans la nuit noire, au travers de mon collimateur, je vois monter verticalement du sol ce qui ressemble à une fusée de couleur verte. D'un seul coup, elle se stabilise à l'altitude de l'avion et en 3 s fonce sur moi "plein viseur" à une vitesse absolument fulgurante. La collision semble inévitable. Je me souviens avoir instinctivement croisé mes bras en avant pour me protéger.

    Et là , je vois distinctement passer une boule lumineuse verte de 1 à 2 m de diamètre à hauteur de ma verrière en plexiglas et à environ 30 cm sur l'aile droite... Cette boule est suivie d'une traînée lumineuse du même vert vif, comparable à une queue de comète avec à l'intérieur une partie centrale blanche, d'une lumière aussi aveuglante que du magnésium, et au milieu ce qui m'a paru être un éclair de couleur rouge. Je revois encore toute la cabine à l'intérieur. Tout était devenu fluo ! Ensuite, elle a disparu aussitôt et je ne l'ai plus vue. Je me souviens avoir demandé à la station radar qui surveillait mon vol si elle avait repéré quelque chose. Les contrôleurs m'ont dit que non.

     A 1 h De retour à la salle de débriefing, (...) j'apprends qu'un sergent-pilote qui me précédait à bord d'un autre T-33 a vu de loin le départ de cet objet. Notre commandant déclara l'incident clos. Il ne donna lieu à aucun rapport écrit.

    Source : ovni-france

    "Nous avons déjà les moyens de voyager parmi les étoiles, mais ces technologies sont verrouillées dans des projets classifiés, et seule une action divine pourrait faire qu'elles soient utilisées au bénéfice de l'humanité.... Tout ce que que vous pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. Nous avons ce qu'il faut pour ramener E.T. à la maison". Ben Rich, ancien patron de la branche "Recherches Avancées" de Lockheed, lors d'une conférence à l'UCLA le 23 mars 1993, deux ans avant sa mort.

    28 janvier 1994 - Jean Charles DUBOC (Commandant de Bord à Air France)


     Le vendredi 28 janvier 1994 les 24 passagers de l'Airbus A320-111 piloté par le commandant Jean-Charles Duboc s'envolent de de Nice en destination de Londres. Jean-Charles Duboc (P), commandant de bord du vol Air France AF 3532, assurant la liaison Nice-Londres le 28 janvier 1994, est assisté de Valérie Chauffour, copilote (CP). A 13 h 14, alors qu'ils sont en vol de croisière à l'altitude de 1 1 900 m, aux environs de Coulommiers en Seine-et-Marne, par d'excellentes conditions météorologiques, le chef steward, alors présent dans le poste de pilotage, signale un phénomène lui paraissant être un ballon météorologique. Son observation est aussitôt confirmée par le copilote. P, qui le voit à son tour, pense tout d'abord qu'il s'agit d'un avion en virage à 45' d'inclinaison. Très rapidement cependant, tous les trois s'accordent pour constater que ce qu'ils voient ne ressemble à rien de ce qu'ils connaissent.

     Excellente visibilité et la présence d'altocumulus permettent à P d'estimer que le phénomène est à l'altitude de 10 500 m et à une distance d'environ 50 km. Compte tenu de son diamètre apparent, ils en déduisent que l'engin est de grande taille. Ils sont frappés par les changements de forme de l'engin qui leur apparait tout d'abord sous l'aspect d'une cloche de couleur brune, avant de se transformer en lentille de couleur brun-marron, puis de disparaître sur la gauche de l'appareil d'une façon quasi instantanée, comme s'il était devenu subitement invisible. P rend compte au centre de contrôle de la navigation aérienne de Reims qui n'a aucune information sur une quelconque présence de mobile aérien dans le voisinage. Cependant, en application de la procédure existante, Reims informe le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny de l'observation faite par l'équipage et demande à P d'appliquer dès l'atterrissage la procédure "Airmiss". Le CODA a effectivement enregistré au même moment une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile correspondant en lieu et en heure au phénomène observé.

     Cette piste radar, qui a été enregistrée pendant 50 secondes, croise bien la trajectoire du vol AF 3532 et ne correspond à aucun plan de vol déposé. Il faut noter que le phénomène disparaît au même instant à la vue de l'équipage et des scopes radar. Les investigations menées par le CODA permettent à la fois d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires et par conséquence de ramener à 250 m de long la taille approximative de l'engin. Il est à noter que le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord, qui traite 3 000 mouvements par jour, n'a instruit que trois cas, dont celui du vol AF 3532, dans les sept dernières années.

    Source : archives-lepost.huffingtonpost

    Des livres intéressants sur ce sujet : 

    OVNI 60 ans de désinformation-François-Parmentier

    Ovnis et Conscience Nouveau paradigme de la Physique

    AZTEC 1948 Crash d'ovni au Nouveau-Mexique

    Ovnis, orbes, phénomène mondial Ovnis, orbes, phénomène mondial Ovnis, orbes, phénomène mondial

        
     

    13-14 août 1956 - Lakenheath (Royaume-Uni)

     Dans la nuit du 13 au 14 Août 1956, les opérateurs de radar de deux bases militaires de l'Est de l'Angleterre ont à plusieurs reprises détecté des objets définis et multiples d'une très grande rapidité et ayant une capacité de changer rapidement de vitesse et de direction. Deux jets d'interception ont été envoyés à leur poursuite, et ont pu voir et détecter une brève série de leurs manoeuvres. Selon des rapports officiels de l'Armée de l'Air des États-Unis, les observations n'ont pas pu être expliqués par une défaut de fonctionnement de radar ou par un phénomène météorologique inhabituel.  Cela a commencé à 21:30 quand un aviateur, le 2ème classe John Vaccare de l'Armée de l'Air des États-Unis à la base de la RAF à Bentwaters, a dépisté un OVNI sur son radar de contrôle de l'approche du sol (type AN/MPN-11A), lequel OVNI a parcouru de 65 à 80 kilomètres en 30 secondes, ce qui indiquait que sa vitesse était de 7.500 à 9.500 kilomètres à l'heure.Quelques minutes plus tard Vaccare a rapporté au Sergent L. Whenry qu'il détectait un groupe de 12 à 15 cibles non identifiées de 13 kilomètres au Sud-Ouest de Bentwaters à 65 kilomètres au Nord-Est, qui ont semblé converger pour former un objet très grand, selon la taille du blip sur l'écran du radar, ou il apparaissait plusieurs fois plus grand qu'un B-36, lequel est plus grand bombardier opérationnel dans l'histoire, avec son envergure de 70 m. Ce grand écho unique s'est immobilisé deux fois pendant plusieurs minutes tout en étant détecté, puis il vola hors de la portée du radar.

    A 22:00, une cible non identifiée unique a été détectée depuis Bentwaters pendant qu'elle couvrait 90 kilomètres en juste 16 secondes, ce qui établi sa vitesse à plus de 19.000 kilomètres à l'heure.

    Puis, à 10:55 P.M., le radar GCA de Bentwaters a détecté une cible non identifiée sur le même parcours Est-ouest que le précédent, à une vitesse apparente de "3.200 à 6.400 km/h." Quelqu'un dans la tour de commande de Bentwaters a rapporté son observation visuelle: "une lumière brillante passant au-dessus du terrain d'Est en Ouest à environ 1.200 mètres." A peu près au même moment, le pilote d'un avion de transport de troupes bimoteur C-47 au-dessus de Bentwaters déclare: "une lumière brillante à filée en dessous de la trajectoire de mon avion d'Est en Ouest à une vitesse fantastique." Chacun des trois rapports coïncide.

    Peu après, les radars de Bentwaters et de la RAF à Lakenheath ont rapporté un objet stationnaire à 30-40 kilomètres au Sud-Ouest de la base de Lakenheath. Elle a soudainement commencé à se diriger vers le Nord à 400 à 600 km/h, mais "il n'y avait aucune préparation vers cette vitesse - il est passé de l'immobilité à cette vitesse instantanément et s'est ensuite arrêté instantanément." Il a effectué plusieurs changements brusques de son cap sans sembler ralentir pour ses virages.  

    Vers 21:30, la RAF a envoyé un jet de Havilland Venom, depuis la base RAF de Waterbeach. Selon le rapport OVNI de l'Armée de l'Air des États-Unis: "Le pilote a signalé qu'il avait une lumière blanche brillante en vue et allait l'étudier. A 20 kilomètres à l'Ouest il a rapporté la perte de la cible et de la vision de la lumière blanche. Le radar de Lakenheath l'a dirigé vers 16 kilomètres à l'Est de Lakenheath et le pilote a rapporté que la cible était sur son radar et "verrouillée." Le pilote alors rapporté qu'il a perdu la cible sur son radar." 

    "Lakenheath GCA signale que comme le Venom a dépassé la cible sur son radar, elle a entamé une poursuite de l'avion à réaction. Le radar a demandé au pilote de confirmer cette chasse. Le pilote l'a confirmée et a annoncé qu'il essayerait de virer pour se replacer derrière la cible. Le pilote l'a tenté mais n'est pas parvenu à repasser derrière la cible et a demandé de l'assistance." 

    "Un Venom additionnel fut dépêché de la base de la RAF. Le premier pilote original indiqué: "C'est la cible la plus nette que j'ai jamais vue sur mon radar."

    Source : forum-ovni-ufologie 

    Les cas de l'Hudson RIver

    Contacts extraterrestres dans la Vallée de l’Hudson

    Généralement on considère que la vague d’ovnis qui s’est déroulée dans la Vallée de l’Hudson dans les années 80 n’avait produit que des rapports décrivant de grands objets qui avaient été vus dans le ciel à plus ou moins grande distance des témoins. Cette vague aurait donc pu se résumer à une série de « Rencontres Rapprochées du 1er Type », ou « RR1 », c’est-à-dire à des observations dans lesquelles le, ou les témoins, voient un ovni, quel qu’il soit, à moins de 150 mètres (Système de classification selon Hynek). Mais le chercheur Philip J. Imbrogno, qui était sur place à l’époque et qui avait directement enquêté sur les observations au moment où elles se sont produites, fourni d’autres types de rapports qui décrivent des contacts rapprochés avec des entités qui semblent venir d’un autre monde. Le travail de Philip J. Imbrogno montre que nous sommes en présence de « Rencontres Rapprochées du 3ème Type », ou « RR3 » (Système de classification selon Hynek), dans lesquelles les témoins voient un ovni et ses occupants, ou seulement les occupants d’un ovni sans ce dernier.

     Nous reproduisons, ci-dessous, un texte de Philip J. Imbrogno (une traduction imparfaite. DR) qui décrit la complexité et la haute étrangeté des observations de la Vallée de l’Hudson : « Les êtres humains sont-ils maintenant en contact avec une intelligence extraterrestre inconnue ?
    Les enquêteurs s’occupants d’ovnis à travers tout le pays rapportent que le nombre de cas de contacts a augmenté de plus de 200% dans les cinq dernières années ! Mon sentiment est qu’il pourrait y avoir quelque chose de très concret dans ces phénomènes de contact et que nous devrions tous adopter une attitude beaucoup plus sérieuse à ce sujet ».

    « Pendant mes recherches dans la partie nord-est des Etats-Unis, j’ai trouvé un bon nombre de personnes qui ont eu et continuent d’avoir des rencontres ovnis. La plupart de ces témoins ont commencé par une observation ordinaire et maintenant, après de nombreuses expériences en rapport avec des ovnis, ils se sentent en contact avec l’intelligence qui est responsable du phénomène ovni. Rien que dans la région de Vallée de l’Hudson, il y a eu plus de 7.000 rapports d’ovnis au cours des sept dernières années. A ma surprise, beaucoup de personnes dans ce secteur ont estimé qu’elles ont eu un contact avec une intelligence non-humaine issue d’un autre monde. D’abord, j’ai trouvé ces affaires étranges et dérangeantes puisque dans la plupart des cas, ce type de rapport est monté en épingle par les médias qui essayent de les discréditer en ridiculisant le témoin. Inutile de dire que ceci est dommageable pour l’ufologie en général. Pendant la partie précédente de mes recherches sur les phénomènes de la Vallée de l’Hudson, j’ai fait de mon mieux pour maintenir ces cas loin des regards du public.

    La priorité était de montrer que quelque chose d’étrange était arrivé dans le ciel de cette région et que les ovnis que des milliers de personnes avaient vu n’était pas quelque chose de conventionnel, comme « des avions en formation » par exemple. Tandis que le temps passait, les cas de contacts dans le secteur ont commencé à augmenter. J’ai su alors que certains de ces cas devaient faire l’objet d’un examen plus approfondi. En réponse à cet état de fait, une conférence sur les ovnis a été organisée par Peter Gersten et moi-même. La conférence a eu lieu en septembre 1987, et le thème était l’exploration de la possibilité qu’une intelligence non-humaine soit en contact avec des habitants de la région. Les conférenciers étaient Whitley Strieber, Budd Hopkins, John Keel, Ellen Crystall et moimême. Après douze heures, environ 900 personnes y avaient assisté, et plus de 200 d’entre elles avaient complété des questionnaires en déclarant qu’elles pensaient avoir été en contact avec une intelligence extraterrestre. Le nombre réel m’a vraiment étonné, et nous avions vu seulement la partie émergée de l’iceberg. A partir de ces 200 rapports, une recherche préliminaire a montré que 120 d’entre eux pourraient être incertains, donc seulement 90 ont été choisis pour l’étude.

    Source : ovnis-direct.com

     

     

    Cas radar visuel - Le 17 juillet 1957 - Avion RB 47 aux USA. 

     Le 17.07.1957, un Boeing Stratojet RB-47 de l'US Air Force est suivi pendant près de 1300 km par une grande lumière brillante et observée par l'équipage, détectée par des radars au sol et captée par le radar embarqué ainsi que par divers équipements de contre-mesure électronique de l'appareil.L'avion de reconnaissance de l'US Air Force, équipé d'appareils de contre-mesures électroniques et manoeuvré par six officiers, a été suivi par un objet volant non identifié sur bien plus de 1100 km, et pendant plus d'une heure, alors qu'il volait du Mississippi, à travers la Louisiane puis le Texas et jusqu'en Oklahoma. L'objet, une lumière intense, a été vu visuellement et à plusieurs reprises par l'équipage dans le cockpit, suivie par radar au sol, et détecté sur les équipements de contre-mesures électronique à bord du RB-47. Particulièrement intéressant dans ce cas-ci, il y a le fait des multiples exemples d'apparitions et de disparitions simultanées de l'objet sur chacun des trois de ces canaux d'observation physiquement distincts, et la rapidité de ses manoeuvres clairement au-delà des possibilités de tout avion.

     Résumé des évènements
    Un RB-47H avec  des équipements électroniques embarqués et sophistiqués de contre-mesures, y compris trois stations d'intelligence électronique (ELINT), au-dessus du Golfe du Mexique. 

    Composition de l'équipage :
    Major Lewis D. Chase, pilote, de Spokane, WA
    Capitaine James H. McCoid, copilote, d'Offutt AFB
    Capitaine Thomas H. Hanley, navigateur, de la base de Vandenberg AFB
    John J. Provenzano, guetteur n°1, de Wichita, Kansas
    Capitaine Frank B. McClure, guetteur n°2, d'Offutt AFB
    Capitaine Walter A. Tuchschner, guetteur n°3, de Topeka, Kansas
     
    Ces six hommes effectuaient une mission de formation et d'essais dans un avion de reconnaissance électronique de contre-mesures de RB-47H. Le RB-47, bien qu'au départ développé comme bombardier, a été également intensivement employé comme avion de reconnaissance. L'un d'eux a dailleurs été abattu par l'Union soviétique au cours d'une mission en 1960.

    Cette mission particulière a commencé à Forbes AFB, Topeka, dans le Kansas comme un entraînement comprenant des exercices d'artillerie au-dessus de la région du Golfe du Texas, des exercices de navigation au large du Golfe, et des exercices de contre-mesure électroniques prévus lors du voyage retour à travers le centre-sud des Etats-Unis. Les participants devaient bientôt partir pour l'Allemagne pour y servir. Il convient de noter que l'équipement de contre-mesure électronique ne constituaient pas des radars. Il n'émettait pas un signal dont on reprend l'écho généré par un objet. Il détectait plutôt les signaux électromagnétiques qui sont réellement émis par un objet lui-même. Le but étant de détecter et de localiser les installations radar ennemies. Sur cet avion, le guetteur n°1 s'occupait d'un radiogoniomètre avec des antennes à chaque extrémité des ailes (saumons d'aile), et le guetteur n°2 s'occupait d'un radiogoniomètre avec l'antenne sur l'arrière inférieur de l'avion. Le guetteur n°3 n'a pas été impliqué dans les événements du 17 juillet, sa gamme de fréquences ne comprenant pas les fréquences impliquées.
    Le premier contact avec l'OVNI a eu lieu à 04:00 du matin CST (heure du centre-sud des USA). Les deux premières parties de la mission avaient été accomplies, et l'avion était juste en train de quitter l'espace aérien au-dessus du Golfe du Mexique près de Gulfport, Mississippi, quand Frank McClure a détecté, sur le moniteur de la contre-mesure électronique n°2,  un signal venant de l'arrière droit de l'avion. Le signal était d'un type généralement réservé aux installations des radars au sol. Il était de 2800 mégahertz, une fréquence courante pour les radars de recherche de bande S. McClure a d'abord pensé que son écran devait être mal aligné de 180° et qu'il était en train de détecter le signal radar d'une station au sol en Louisiane, qui était en réalité à l'avant gauche de l'avion. Pendant qu'il l'observait, le signal s'est déplacé sur l'écran, comme si l'écran était mal orienté de 180°. Cependant, après que ce signal se soit déplacé sur l'écran du côté droit de l'avion, McClure a été stupéfait de le voir  croiser la trajectoire du RB-47 et commencer à redescendre de l'écran comme s'il passait cette fois du côté gauche de l'avion. En d'autres termes, l'objet qui émettait ce signal a volé en cercle autour du RB-47, qui volait à approximativement 800 km/h. Même si la portée était à 180° en dehors de l'alignement, la source du signal se déplaçait toujours tout autour de l'avion, ce qu'évidemment aucun radar au sol ne pourrait faire. McClure n'a rien dit ni rien fait à ce moment là, ne mentionnant pas le signal aux autres membres d'équipage. Le signal s'est éteint pendant qu'ils volaient vers le nord. 

    Le RB-47 a fait un virage vers l'ouest comme prévu, au-dessus de Jackson, dans le Mississippi et l'équipage se préparait à commencer une série d'opérations simulées de contre-mesure électronique contre les unités de radar au sol de l'Armée de l'Air, quand soudainement le pilote, Lewis Chase, a vu une lumière arrivant de la gauche, approximativement à la même altitude que le RB-47. D'abord il a pensé que c'était un autre avion, mais ce n'était  qu'une simple lumière blanche, se rapprochant rapidement. Il a laissé le commandement pour se préparer aux manoeuvres évasives, mais la lumière a filé en travers de la trajectoire de l'avion , passant de la gauche vers la droite tellement rapidement que les pilotes n'ont eu aucune réaction. Elle s'est alors éteinte en un point à l'avant droit de l'avion. Ce que Chase et le copilote James McCoid ont observé. A ce moment-là, il était approximativement 04:10 du matin CST, ils étaient approximativement au-dessus de Winnsboro, en Louisiane.

    Les pilotes ont indiqué aux autres membres de l'équipage ce qu'ils avaient vu, et McClure la commencé à parler du signal qu'il avait observé précédement. A 04:30 du matin, McClure a réglé son écran pour détecter des signaux proches des 3000 mégahertz, et il a détecté un signal fort  à la derniere position où Chase avait observé la lumière par rapport aux RB-47. Lui et Provenzano ont vérifié le bon réglage du moniteur n°2 en le calibrant sur les installations connues de radar au sol et ont constaté qu'il fonctionnait parfaitement. À 04:30 du matin, Provenzano a réglé son propre moniteur, le n°1, pour capter ce qui se passait autour des 3000 mégahertz, et a constaté que son équipement détectait lui aussi un signal au même endroit. Plus significatif encore, lui et McClure ont constaté que le signal restait à la même position, et qu'il suivait le RB-47,  volant à une même vitesse constante de 800 km/h environ. Ce qui signifiait que ce n'était pas un signal-radar provenant du sol.
     
    A ce moment le RB-47 survolait la région de Duncanville, au Texas. A 04:39, Chase a repéré une lumière énorme à l'avant droit de l'avion, à environ 1500 mètres en-dessous de leur propre altitude, qui était de 10500 mètres. Le temps était parfaitement clair. A 04:40, McClure a rapporté deux signaux, à 40° et à 70°. Chase et McCoid ont rapporté avoir  observé des lumières rouges à ces endroits. Chase est entré en contact avec la station "Utah" à Duncanville, au Texas et a demandé la permission d'abandonner son plan de vol et de poursuivre les lumières, permission qui lui a été accordée. A 04:48 AM, la station radar "Utah" a demandé la position des signaux que McClure recevait, et ils ont immédiatement confirmé que leur radar avait lui aussi détecté les objets au même endroit. 

    Pendant que le RB-47 essayait de le poursuivre, l'objet a semblé s'arrêter soudainement. Chase  a pu voir qu'ils gagnaient du terrain par rapport à lui, et lorsqu'ils l'ont dépassé. A 04:52 il s'est éteint, et a simultanément disparu de l'écran de McClure et du radar au sol ! Chase a alors engagé l'avion dans un virage à gauche, et l'objet a soudainement réapparu à 04:52, et ce simultanément sur l'écran de McClure et sur le radar au sol ! Ils ont commencé à se rapprocher jusqu'à moins de 8 km de l'objet, quand ce dernier a soudainement "chuté" à 4600 mètres d'altitude et s'est alors à nouveau éteint, disparaissant encore des écrans de l'avion et du radar au sol. A 04:55, Chase a transmis par radio à la station "Utah" qu'ils devaient abandonner la poursuite et reprendre le plan de vol prévu à cause de leur faible niveau de carburant. A 04:57 McClure a encore détecté le signal, et Chase a eu encore un contact visuel à 04:58. Pendant qu'ils se dirigeaient vers l'Oklahoma, McClure a continué à recevoir un signal, venant maintenant de l'arrière de l'avion, jusqu'à ce qu'il s'évanouisse finalement alors qu'ils s'approchaient d'Oklahoma City. Le directeur du renseignement du 55ème escadron de reconnaissance stratégique, a indiqué dans son rapport qu'il ne faisait "...aucun doute que le D/F électronique a coïncidé exactement avec des observations visuelles simultanées par le commandant de l'avion à plusieurs reprises, ce fait indiquant clairement que l'objet était la source du signal."

    Source : scienceetovnis 

    Téhéran - 18-19 septembre 1976

     Observation de Téhéran le 19 septembre 1976

    L’un des incidents parmi les mieux documentés s’est produit dans le ciel de Téhéran, en Iran, la nuit du 18 au 19 septembre 1976 quand un ovni a été observé dans l’espace aérien interdit au-dessus de la capitale.
    La Force Aérienne Impériale Iranienne a successivement envoyé deux chasseurs à réaction McDonnell F-4 Phantom II:

     Lorsque les pilotes se sont, chacun leur tour, rapprochés de l’objectif, leurs systèmes d’armement et de communication ont soudain cessé de fonctionner.

    Le général de corps d’armée Azarbarzin, commandant en chef adjoint des opérations de la Force Aérienne Impériale Iranienne, a confirmé (dossier FUFOR du 4 janvier 1977) le puissant effet électromagnétique subi par les deux F-4 :

    << [...] Ils ont perdu l’usage de presque tous les systèmes d’avionique [...], les jets ne pouvaient pas tirer leurs missiles [...] Nous n’avons jamais disposé et ne disposons pas de la technologie utilisée par l’OVNI [...] qui couvrait une très large bande et pouvait en même temps brouiller différentes bandes, différentes fréquences. >>

    Le général Nader Yousefi, commandant en chef des opérations et numéro trois de la Force Aérienne Impériale Iranienne, a autorisé la mission d’interception et a lui-même été l’un des témoins oculaires :

    << J’ai posé mon téléphone [en ligne avec la tour de contrôle] pour sortir et voir cet objet [...] Il se trouvait à environ 12 miles [...], nous avons perdu la communication avec les pilotes, et je n’entendais plus rien [...] l’ovni s’est dirigé vers eux. Ils ont essayé de l’abattre, mais ils ne pouvaient pas envoyer leurs missiles. >>

    Les sources iraniennes et les documents déclassifiés des services de renseignement américains permettent de reconstituer la chronologie des événements.

    Avant minuit le 18 septembre, Hossain Perouzi responsable de la tour de contrôle de l’aéroport de Mehrabad reçoit plusieurs appels signalant qu’un objet inconnu vole à 1000 pieds (300 m) dans la zone nord de Téhéran. Muni d’une paire de jumelles, il observe l’ovni.

    Le 19 septembre à 0h30, Perouzi appelle le poste de commandement de la force aérienne pour signaler l’ovni. Le général Yousefi autorise le décollage d’un jet F-4 Phantom de la base aérienne de Shahrokhi.

    Cette première mission est résumée dans un mémorandum du bureau américain DAO – Defense Attached Office – à Téhéran [Lieutnant-Colonel Olin Moly, USAF, Memorandum for Record, "UFO Sighting", Sept. 23, 1976] :

    << Le F-4 a décollé à 1h30 [...] pour se rendre 45 miles (75 km) au nord de Téhéran. Du fait de son éclat, l’objet était facilement visible à 70 miles (110 km) de distance. Lorsque le F-4 s’en est approché à 29 miles (46 km), il a perdu le contrôle de ses instruments de bord et les communications (UHF et Intercom) ont été coupées. Il a décroché pour repartir vers Shahrokhi. Quand le F-4 s’est éloigné de l’objet et n’a apparemment plus représenté une menace pour l’objet, les communications et les instruments de bord se sont remis à fonctionner. >>

    A 1h40, le général Yousefi autorise le décollage d’un autre chasseur F-4 qui établit rapidement un contact radar avec l’ovni.
    Le mémorandum du bureau américain DAO décrit les événements de cette seconde mission :

    << La taille de l’écho radar était comparable à celle d’un ravitailleur Boeing 707. La taille visuelle était difficile à discerner à cause de son éclat très brillant. La lumière qu’il émettait était celle d’éclairs stroboscopiques formant un motif rectangulaire de couleur alternativement bleue, verte, rouge et orange.
    L’objet et le F-4 envoyé à sa poursuite ont continué en direction du sud de Téhéran lorsqu’un autre objet brillamment éclairé – qui faisait à peu près la moitié de la taille apparente de la Lune, selon l’estimation du pilote – est sorti du premier objet. Le second objet a foncé droit vers le F-4 à une vitesse très rapide. Le pilote a voulu tirer un missile AIM-9, mais à cet instant le panneau de contrôle de ses armes s’est éteint et toutes les communications ont été coupées (UHT et interphone). Le pilote a alors entamé un virage et un piqué en "g négatif" pour s’éloigner. >>

    Tout l’appareillage du F-4 est alors revenu à la normale.

    Le petit objet a rejoint le premier, mais un second a surgi et s’est dirigé vers le sol.
    Au sol, le général Yousefi a assisté à son atterrissage :

    << Il est descendu et s’est posé sur le sol. Il y a eu ensuite un échange de signaux lumineux entre le vaisseau en l’air et ce petit objet posé. >>

    Un ovni suit alors le F-4 en approche de la piste d’atterrissage et un avion de ligne civil subit lui aussi une défaillance de son système de communication.

    Un rapport paru en 1978 dans une publication américaine classée confidentielle, MIJI Quarterly [Captain Henry Shields, USAFE, "Now You See It, Now You Don’t", United States Air Force Security Service, MIJI Quaterly, October, 1978] reprend les faits relatés dans le message original DAO, mais, avant, débute par une remarque intéressante :

    << Chaque pilote peut s’attendre à rencontrer au moins une fois dans sa carrière des phénomènes étranges et inhabituels qui ne seront jamais expliqués correctement ou entièrement par la logique ou par un complément d’enquête. L’article suivant relate un épisode de ce genre tel qu’il a été rapporté par les équipages de deux F-4 Phantom de la Force Aérienne Impériale Iranienne en septembre 1976. Aucune explication ou information supplémentaire n’a été fournie pour ces étranges événements. Le dossier sera classé et probablement oublié, mais c’est une histoire intéressante et troublante. >>

    Les témoignages récents des généraux de l’armée de l’air iranienne Nader Yousefi et Mahmoud Sabahat, aujourd’hui à la retraite et en exil aux Etats-Unis, révèlent que le général John Secord, alors chef de la mission de l’US Air Force en Iran, a participé à une réunion avec de hauts responsables iraniens ainsi que les pilotes et les contrôleurs du trafic aérien mêlés à l’incident.

    Une évaluation de la DIA (Defense Intelligence Agency) résume les faits saillants de l’incident [Defense Information Report Evaluation, DIA, October 12, 1976] :

    << Un cas remarquable qui satisfait à tous les critères nécessaires pour une étude valable du phénomène OVNI :

    a) L’objet a été vu par de nombreux témoins en des endroits différents (Shemiram, Mehrabad et le lac asséché) et avec des points d’observation différents (en vol et au sol)

    b) La crédibilité de nombreux témoins était très haute : un général de l’armée de l’air, des équipages qualifiés et des opérateurs radar expérimentés

    c) Les observations visuelles ont été confirmées par radar

    d) Des effets électromagnétiques ont été rapportés par les équipages de trois appareils différents, deux militaires et un de transport civil

    e) Il y a eu des effets physiologiques sur les membres de l’équipage du deuxième F-4 avec perte de vision due à l’éclat brillant de l’objet

    f) Les OVNI ont fait montre d’une manoeuvrabilité hors du commun >>

    L’OVNI s’est littéralement joué des deux intercepteurs, tout en neutralisant le système de tir, avec une capacité d’anticipation digne d’un contrôle intelligent
    Ce cas a montré l’impuissance des pilotes à réaliser une mission d’interception.

    Source : ovnispace

    Roumanie -  mars 1989

     Un article de Ken Pfeifer -Traduction Era pour Area51blog

     Aéroport militaire roumain Mars 1989

     A l'aéroport militaire Mihai Kogalniceanu, au nord de Constanta, plusieurs pilotes d'avions de combat supersoniques du groupe 57 de l'armée de l'air ont été témoins d'un phénomène aérospatial non identifié.

      L'incident s'est probablement déroulé durant la seconde moitié du mois de mars 1989 (Dans les souvenirs des témoins il y a des divergences concernant les dates). Entre 15 et 21 heures, l'unité, constituée de 18-20 pilotes, effectuait des exercices de tir en deux parties : vol  diurne et vol nocturne. "«À un moment , on a annoncé que les manoeuvres étaient stoppées, bien que les conditions météorologiques étaient excellentes et que la visibilité était très bonne ", a déclaré un témoin.

     ers 21h20, on débarrassa les pilotes de leur équipement. Certains d'entre eux , y compris le commandant et le colonel Platon Streja , inspecteur de vol pour le commandement de la Force aérienne à Bucarest , délégué pour assister et participer à des vols cette semaine-là , étaient dans la "cellule d'alarme ", une chambre située dans un bâtiment, à planifier le  prochain vol , prévu dans les deux jours . Les autres pilotes discutaient sur ​​un banc à l'extérieur de ce bâtiment. Les techniciens préparaient les avions pour le stationnement de nuit. Le ciel était " clair comme du verre ", et la visibilité était parfaite.

     Le Colonel (à la retraite ) Aurélien Dobre se souvient : Je parlais avec quelques camarades pilotes devant la «cellule» . J'étais en face du terminal de décollage. A un moment, j'ai vu beaucoup de lumières, apparaissant effectivement au-dessus des arbres . Je suis immédiatement entré dans la «cellule» pour avertir ceux qui étaient à l'intérieur. Lorsque je suis sorti les lumières étaient déjà au dessus de nous." Le colonel (retraité) Paul Otelea, commandant du deuxième groupe, qui pilotait alors un MIG-23, dit : " A un moment notre collègue Aurelian Dobre est entré,  nous appelant : "sortez vite ! " Nous y sommes tous allés ; nous avons regardé dans le ciel et avons vus des formations en triangle voler  à égale distance les uns des autres, baignés de blanc argenté mat léger,  solide mais sans diffuser de lumière  autour . [ ... ]

     Ils se sont déplacés du sud au nord . J'estimais leur altitude à un angle d'environ 20-25 degrés et environ 7.000 mètres de haut. Lorsqu'ils sont passés au dessus de  lui ,  le bruit qu'il a entendu «  était comparable à celui des oiseaux qui survolent la forêt la nuit". Je le connais, car depuis l'enfance, je me promène dans les bois " . «Depuis  le premier instant où je les ai vus jusqu'à ce qu'ils disparaissent , plusieurs dizaines de secondes se sont écoulées, puis les lumières se sont estompées en direction de l'Ukraine " . Il ajoute que l'absence de «bang sonique "(onde de choc) est un grand mystère. Le colonel ( en retraite) Dan Aioanei , qui à l'époque était aux commandes d'un MIG - 29 , dit: . " De Medgidia , une formation de 7 , 8 ou 9 objets flottants approchait . Ils ressemblaient à des tubes de néon , plusieurs kilomètres de long chacun, et étaient donc positionnés les uns par rapport aux autres de manière à former un "V". De loin, les tubes semblent avoir un diamètre de 15-20 cm , dans la réalité ils faisaient 2-3 mètres. La vitesse de vol devait être au moins supersonique . Ils volaient très haut , à une altitude minimum de 3000 m , mais pouvant peut être atteindre plus de 10.000 mètres. Même pour nous, habitués au ciel, c'était difficile à évaluer , parce que les points de référence , à savoir les nuages ​​, étaient absents. En tant que pilotes , nous connaissons la forme , la texture , la dynamique des nuages ​​, en fonction de l'altitude à laquelle ils se trouvent . La formation n'a laissé aucune trace , pas de lumière , pas de piste . Les «tubes» ont disparu de l'horizon , quelque part à l'est de Tulcea .

     En 1989 , le Groupe 57 de l'Armée de l'Air , aujourd'hui dissous , a été classé parmi les plus élevés en Europe en termes de professionnalisme des pilotes et des fonds de dotation de l'unité . Les aviateurs qui ont assisté à l'incident ont été à la fois qualifiés et formés pour distinguer un avion, un hélicoptère , un ballon, un vol d'oiseaux , ou un satellite qu'il soit.

    Source : area51blog

     Russie - 21 mars 1990

    Un groupe d'ufologue russe a réussi à récupérer ce film de l'armée de l'air soviétique. Celui-ci a été rendu accessible par le ministère de la défense soviétique juste avant l'arrivée au pouvoir de Boris Eltsine. Vous allez découvrir en premier lieu une vue d'un chasseur prise depuis un MIg 23 qui aurait décollé en urgence pour intercepter deux objets volants non identifiés. Une autre vidéo vous montrera une nouvelle scène qui a quant à elle était prise depuis un F16 américain en train de prendre en chasse deux objets volants. Un troisième et dernier extrait de film qui a été pris depuis le cockpit d'un Mig 21. Le mig ainsi que deux autres appareils ont dû décoller en urgence suite à une apparition sur les radars d'un objet volant non identifié se déplaçant à une très grande vitesse. Tel qu'indiqué à la fin de la vidéo, ce film a pu être rendu accessible lorsque les militaires soviétiques n'ont pas réussis à identifier l'objet.

    Source : ovnidunet

     

    Le général d'aviation Igor MALTSEV qui avait fait la synthèse de plus de 100 observations visuelles collectées par des commandants d'unité déclara :

    "Je ne suis pas un spécialiste des ovnis et donc je ne peux que relier entre elles, les données et exprimer ma propre hypothèse. Selon les données rassemblées par ces témoins, l'Ovni était un disque de 100 à 200 mètres de diamètre. Deux lumières clignotaient sur ses côtés (...).

    De plus l'objet tournait autour de son axe et effectuait une évolution en forme de S à la fois dans les plans vertical et horizontal.

    Ensuite l'Ovni restait stationnaire au-dessus du sol, puis volait à une vitesse deux à trois fois supérieure à celle des avions de combat moderne. (...).

    Les objets volaient à des altitude allant de 100 à 7000 m. Le mouvement des Ovnis n'était accompagné par aucune espèce de bruit et se caractérisait par une stupéfiante manoeuvrabilité.

    Les ovnis paraissaient totalement dépourvus d'inertie. en d'autres termes, ils avaient d'une ou d'une autre maîtrisé la gravité.

    A l'heure actuelle, des machines terrestres ne pourraient guère présenter de telles caractéristiques.

    Source :  Rapport COMETA, p. 46., J'ai Lu. 

        

    San Carlos de Bariloche - Argentine - 31 JUILLET 1995 

     31 juillet 1995 : un Ovni empêche perturbe l'atterrissage d'un avion de ligne sur l'aéroport de San Carlos de Bariloche (situé à 1800 Km au sud-ouest de Buenos Aires).

    Il est 20h15 lorsqu'un Boeing 737 des lignes régulières Aerolinas Argentinas, avec 102 personnes à bord, se trouve en approche de l'aéroport de San-Carlos-de-Bariloche (Argentine).

    A environ 70 km de l'aéroport, alors qu'il s'apprète à s'aligner sur l'axe de la piste, le commandant Jorge Polanco est ébloui par une très forte lumière qui semble pulser et qui se déplace à grande vitesse au-dessus de la Cordillère des Andes. Le pilote effectue une manoeuvre d'évitement désespérée en virant sur l'aile gauche, pour reprendre de l'altitude puis se remettre dans l'axe de la piste.

    Pendant toute cette manoeuvre, l'Ovni se place sur la gauche de l'appareil et vole en parallèle à environ 100m de distance. "Il s'approche à 2000 km/h" dit le mécanicien Jorge Allende qui ajoute : "sa vitesse et ses mouvements sont impossibles à décrire".

    L'objet, qui a fortement perturbé l'instrumentation aéroportuaire, a été observé par un équipage militaire de la gendarmerie, à bord d'un hélicoptère survolant les parages. Il a ensuite disparu à très grande vitesse dès l'atterrissage de l'avion, sans avoir été détecté par les radars.

    Presque tous les passagers du Vol 674 auraient vu le phénomène. Toutefois, la compagnie a refusé de divulguer la liste de leur nom.

    "Le pilote de l'avion a du faire une manœuvre désespérée pour ne pas entrer en collision avec un objet volant non identifié (Ovni)", ont affirmé plusieurs membres des forces aériennes militaires argentines.

    Des témoignages qui sont confirmés par le Major Jorge Oviedo qui lui aussi "a vu un Ovni" et selon lequel "au même moment, une coupure de courant s'est produite dans toute la ville et les appareils de mesure de l'aéroport sont devenus fous". Plusieurs habitants ont eux aussi déclaré avoir aperçu l'Ovni, juste avant la coupure de courant.

    "Quand nous nous trouvions à 15 minutes de vol de Bariloche, la Tour de contrôle nous a autorisé normalement à entamer nos manœuvres d'approche aux instruments et je suis descendu de 12000 à 3000 pieds", explique le pilote Jorge Polanco.

    "Au moment où j'entamais la dernière descente, j'ai soudain vu en face de l'avion une lumière blanche qui venait directement sur nous à toute vitesse, avant de s'arrêter d'un coup à une centaine de mètres. Quand j'ai repris les manœuvres, l'objet a fait un tour bizarre pour accompagner notre virage de descente et rester en parallèle à une centaine de mètres", explique-t-il.

    "Mon avion fonctionnait normalement mais, au bout d'un moment, la soucoupe, de la taille d'un avion de ligne, a changé de couleur, deux lumières vertes apparaissant aux extrémités avec une orange dans le centre qui s'allumait par intermittence", poursuit le pilote.

    "Au moment où j’amorçais ma dernière approche, les lumières de la piste et de l'aéroport se sont éteintes d'un coup. J'ai dû remonter à 3000 pieds, en faisant une "manœuvre de fuite", toujours accompagné par l'Ovni qui, lui, est remonté à une vitesse surnaturelle. Je n'en croyais pas mes yeux et j'étais très préoccupé, comme mes deux équipiers", ajoute encore Polanco, selon lequel cet Ovni "ne se déplaçait pas selon les lois physiques et naturelles connues".

    "Quand la lumière est revenue au sol et que j'ai recommencé ma descente, l'Ovni a alors disparu à grande vitesse en direction du Cerro Otto" (une montagne de la région), conclu le pilote.

    Le plus étonnant dans cette histoire, est que les témoins rapportent une coupure de courant dans toute la ville, au moment de la rencontre avec l’Ovni. Ce qui a été confirmé par un officier, qui a aussi vu l’Ovni. Il précise même que les appareils de mesure sont devenus complètement fous. L’Ovni a alors disparu soudainement

    Jorge Polanco avoue d’ailleurs être resté cinq minutes bouche bée après l’atterrissage.

      Source : scienceetovnis

     

    Tananarive - Madagascar - 16 août 1954 

    OVNIS : DES RAPPORTS MILITAIRES

    Signalons que cette observations est l'une des plus énigmatiques qu'elle demeure inexpliquée et enfin qu'elle généra un changement de position de l'état Français par rapport au phénomène OVNI.

    Elle présente la caractéristique d'avoir été constatée par des centaines de témoins et ce au-dessus d'une ville déjà assez peuplée à l'époque.

    Descriptif : Le 16 août 1954, vers 17h, une boule de lumière verte est observée semblant tomber du ciel avant de disparaitre vers une colline. Les témoins pensent que la boule verte est en fait une météorite qui va percuter le sol et qu'ils vont en percevoir le choc.

    Mais une minute plus tard, la boule de lumière réapparaît, elle survole les hauteurs d'Antananarivo, avant de passer au dessus de l'avenue de la Libération (l'une des grandes artères de la ville) devant des centaines de témoins. Elle est considérée se situer entre 50 et 100 mètres du sol. Elle n'émet aucun bruit. Elle se révèle présenter la forme d'une sorte de ballon de rugby métallique précédé d'une lentille verte nettement détachée avec des flammèches s'échappant à l'arrière. Certains témoins diront, par ailleurs, avoir vu un objet métallique suivre cette boule.

    L'apparition de cet OVNI se caractérisa par des pannes d'électricité dans les zones survolées mais aussi par le fait que les animaux domestiques semblaient paniqués a son passage.

    Après cela, l'engin s'éloigna.

    Il fut vu quelques minutes plus tard à 150 km au Nord, où il provoqua une panique dans un troupeau de bétail. Sa vitesse fut alors estimée à 3000 km/h.

    Parmi les témoins, figurait Monsieur Edmond Campagnac, directeur technique d'Air France à Antananarivo et pilote. Il estimera la taille de cette boule à 40 mètres de diamètre et sa vitesse à environ 400 km/h.

    Certains à l'époque envisagèrent l'hypothèse d'un engin soviétique secret ce qui fut cependant vite rejetée. L'hypothèse sociopsychologique (hystérie collective) n'est pas recevable du fait des centaines de témoins et de deux localisations différentes de la même observation.

    Aucune autre explication rationnelle n'a pu être avancée depuis et l'affaire en est restée au même point.

    Il faut souligner que c'est cet événement qui motiva Charles de Gaulle à envisager, quelques années plus tard, la création d'un organisme officiel français d'étude des OVNI (projet qui ne fut réalisé qu'en 1977 avec la création du GEPAN).

    Cette observation est citée en exemple dans le Rapport COMETA.

    Source : parlons-ovni

     
    Les États-Unis et le Canada ont signé en 1960 une entente qui prévoyait l'instauration d'un système commun de rapports sur les ovnis, le Cirvis/Merint.

    Ce système visait à diffuser "une alerte" destinée à la défense de l'Amérique du Nord et à préparer des rapports pour le renseignement en temps de paix. Des affiches invitaient les gens à signaler "sur-le-champ" tout objet, venu des airs ou de l'eau, d'apparence hostile, non identifié ou dont les manœuvres semblent suspectes. Un plan vigipirate classique et citoyen...

    Ovnis : des rapports solides

    Que dit l'affiche ?

    PROCÉDURE DE SIGNALEMENT CIRVIS-MERINT

    1- Identification de votre message
    (a)  les rapports établis à partir de sources aériennes et terrestres seront identifiés en mettant le mot CIRVIS en premier dans le texte.
    (b) Les rapports établis à partir de sources maritimes seront identifiés en mettant le mot MERINT en premier dans le texte.

    2- Que rapporter ?
    Signalez immédiatement tous les objets aériens ou flottants qui semblent HOSTILES, sont NON IDENTIFIES ou suspects.

    Ovnis : des rapports solides

    - Sous-marins en surface ou partiellement immergés
    - Navires de guerre positivement identifiés, ni canadiens ni américains. Tous bateaux suspects.
    - Aéronefs / traînées qui semblent dirigés contre le Canada ou les États-Unis, leurs territoires ou biens.
    - Missiles guidés
    - OVNIS ou OANIS

    3- Destinataires :
    N'importe quel établissement militaire,
    Postes de Police Montée Canadienne,
    Département des Transports et de la Pêche,
    Hudson's Bay Company Northern Radio-Equiped Store ou
    le plus proche poste télégraphique canadien (ou par téléphone si nécessaire).
    utilisez la manière la plus rapide pour le signalement.

    4- Envoyez ce type de message
    (a) Commencez votre message avec le mot "CIRVIS" ou "MERINT" selon le cas
    (b) Identifiez-vous (ou le témoin)
    (c) Décrivez brièvement l'objet observé
    (d) Indiquez où et quand les objets ont été observés
    (e) Si les objets sont aériens, estimez l'altitude par "bas", "moyen", "haut".
    (f) Donnez la direction du parcours des objets observés
    (g) Donnez une estimation de la vitesse des objets observés
    (h) Toute autre information importante

    5- Envoyez immédiatement
    Ne retardez pas votre rapport en raison d'informations incomplètes.
    NOTE
    En utilisant les mots CIRVIS ou MERINT, l'appel est sans frais.

    Source : Bibliothèque et archives Canada

    Source site : ovni66

     

    France - 9 décembre 1979 - Observation de J.P. Fartek, pilote 

    OVNIS : DES RAPPORTS MILITAIRES 

     9 décembre 1979, 9H. Janine FARTEK, comme tous les matins, prépare le petit déjeuner. Jean Pierre FARTEK, pilote de Mirage III à la base de Dijon se prépare dans la salle de bain. Son épouse l’interpelle : « Viens voir. Je vois une chose bizarre près des arbres… » Jean Pierre FARTEK observe depuis la fenêtre de la cuisine une structure gris bleuté, sans hublots, évoquant « deux assiettes accolées » en position stationnaire à 1 ou 2 mètres du sol. Le fond d’arbres sur lequel se détache l’objet permet au pilote d’évaluer la distance à laquelle se situe l’engin, 225/250 mètres et qu’il fait une quinzaine de mètres de longueur et 2 à 3 mètres de large. La « soucoupe », comme la nomment ces témoins, est animée d’un mouvement d’oscillations, comme un hélicoptère en recherche de stationnaire. Jean Pierre FARTEK songe à photographier l’objet, mais craignant le voir disparaitre, choisit de ne pas bouger.

    Effectivement, au bout d’une minute, il bascule de 2 à 3 degré vers l’avant comme le ferait un hélico prenant de la vitesse. Sa forte accélération-quasiment instantanée, notent les témoins, leur fait craindre qu’il ne s’écrase contre une colline proche. La translation que le pilote évalue d’une durée de 3 secondes jusqu’aux 450 mètres de l’obstacle permet d’estimer sa vitesse : 540 kms à l’heure ! Les époux FARTEK qui se rendent quelques minutes plus tard sur le lieu de survol, ne constatent aucune trace, aucun résidu de combustion, ne détectent aucune odeur. « Le tout s’est déroulé dans un silence total ! » préciseront ces témoins auxquels je rends visite le 21 juin 2011.

    L’observation illustre l’impasse que constitue ce type d’événements sur lequel les sociétés, les organismes d’état, se refusent de statuer. Ce cas, d’autres et la vingtaine d’experts qui interviennent, vont constituer l’ossature de l’enquête que je consacre au déni de la science sur le sujet. Jean Pierre FARTEK, pilote instructeur comptabilise 13800 heures de vol, militaires et civiles. Il a instruit, entre autres, les pilotes-spationautes Patrick BAUDRY, Jean Pierre HAIGNERAIE, Michel TOGNINI. Riche d’un passé professionnel qui lui a valu de participer à l’opération KOLVESI, de créer l’école de chasse de Meknès au Maroc, de vivre les situations aéronautiques les plus diverses, le pilote affiche une certitude sereine sur la matérialité de l’objet. Comme il me le confirme, et il s’en étonne, aucun service officiel, à part la Gendarmerie, ne l’entendra ni lui ni son épouse. A l’époque, ils ont reçu un questionnaire du GEPAN auquel, faute de temps, le pilote ne répond pas, assuré que celui-ci prendra contact avec eux en temps utile.

    Le GEPAN ne donnera pas suite à l’enquête. Le double témoignage deviendra l’un des argumentaires du Rapport COMETA et, lors de sa sortie dans le public, sera adressé en personne, au Président de la République Jacques CHIRAC et à son Premier Ministre Lionel JOSPIN. Ce dernier prendra soin de le lire ainsi qu’en aura la confirmation Le Général LETTY , signataire de ce travail. Cette étude, dans laquelle interviennent d’anciens auditeurs de l’IHEDN – Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale – , tentera d’alerter les pouvoirs publics sur la nécessité d’ « Envisager toutes les hypothèses », ainsi qu’il titre son avant-propos sur le phénomène OVNI, et dont l’observation qui précède confirme que l’énigme recouvre une réalité quantifiable.
     Jean Pierre FARTEK se refuse à entrer dans les débats sur la nature, ou encore l’origine de la structure entraperçue durant plus de 90 secondes. Sans contact avec le monde ufologique, hormis quelques réponses polies aux sollicitations d’enquêteurs, de journalistes, il se contente d’interpeller la communauté scientifique et l’interroge sur le silence dans lequel elle se cantonne ici. L’observation du 9 décembre 1979 du capitaine FARTEK et de son épouse, officiellement, n’a pas d’existence aéronautique, pas plus que de valeur scientifique. Incompréhension pour un pilote témoin dont le professionnalisme, l’expérience de plus de 40 années, ont toujours été pris en considération. Le silence des responsables scientifiques, des autorités sur l’anomalie OVNI est pour lui une faute grave, voire dangereuse. C’est ce que tenta de rendre sensible à la nation le rapport COMETA.
     Ici se trouve renforcée l’hypothèse que des machines volantes non humaines interfèrent, subrepticement, dans le vécu de la 3ème planète de l’étoile soleil. L’histoire pourrait signifier que les Visiteurs pour s’imposer, n’ont nullement besoin de la furie dévastatrice des géants métalliques de «TRANSFORMER », ni même de la haine gélatineuse des Aliens d’  » INDEPENDANCE DAY », que leur discrétion, leur furtivité leur assurent une immersion sans faille dans notre environnement et que leurs intentions, leurs objectifs nous seront à jamais insaisissables.
     En cela, nous ne sommes guère mieux pourvus que les peuples souterrains qui s’affairent sous nos pieds. Dans les labyrinthes de l’Empire, nul élément, nulle perturbation ne vient déstabiliser les travailleuses s’affairant au développement, à la sécurité de la fourmilière. Elles ne sauraient concevoir que quelques mètres plus haut, une intelligence, poursuit des objectifs aux conséquences parfois néfastes pour la survie de la colonie. En auraient-elles conscience, qu’elles ne sauraient l’interpréter, comprendre la nature des signes reçus! L’homme possède, lui, le pouvoir, d’analyser, de décrypter les informations que lui donne à voir l’Univers proche et lointain, avec toutefois les limitations dont le phénomène OVNI illustre les contradictions dans lesquelles il se débat. Question en suspend : « Saura-t-il se donner un jour les moyens d’accéder à cette connaissance ? » 

    Source - Site de Patrick Baudry, Astronaute : patrick-baudry 

     RUSSIE - 28-29 JUILLET 1989 - Dans une base de missiles 

     L’article suivant est paru dans la Komsomoslskaia Pravda, et sur leur site web en http://www.kp.ru/daily/22966/1452/ le 4 Février 2003.

     La Komsomolskaia Pravda avait été le journal officiel des Jeunesses Communistes de l’URSS et a gardé un ton dépourvu de badinage après la dissolution de l’URSS et la formation de la République Russe.La "Komsomslkaia" a réussi à prendre connaissance du contenu du fameux "paquet bleu foncé du KGB," où se trouvent les comptes rendus sensationnels des visites de la Terre par des objets volants non identifiés.La plupart des documents de ce "Blue Book" voient ici pour la première fois le jour dans la "Komsomolskaia Pravda."

     Le disque énigmatique avec sa demi-sphère "photographiait" les stocks de missiles:

     Cet incident a eu lieu le 28 juillet 1989 dans la Deuxième Région militaire (c’est à dire, à 45 et 30 kilomètres à l’ouest et à l’est de la ville de Kapustin Jar dans la région d’Astrakhan). De nombreuses parties des documents sont censurées à l’encre noire, mais il reste les logos de la sécurité opérationnelle: un de ceux-ci – le "centre de transfert," le deuxième – la "base de liquidation" (selon toute la probabilité, les parties de tête des fusées balistiques avec une charge nucléaire.)

     Dans le rapport opérationnel du KGB:

     "Je rapporte que dans la période commençant à 22 heures 10 minutes le 28 juillet 1989 et avant 1 heure 30 minutes le 29 juillet 1989 les militaires (ici et à partir de maintenant nous mettrons [...] là où dans l’original le texte est censuré) MO URSS v/ch [...], Kapustin Jar dans la région d’Astrakhan a été observée par des objets volants non identifiés. Les militaires du centre de transfert ont observé en même temps trois objets à une distance de 3 – 5 km. Les militaires de la station de liquidation, qui se trouve de PDRTS à une distance de près de 15 km, ont vu l’OVNI dès 23 heures 30 minutes jusqu’à 1 heure 30 minutes à une distance de quelques km et jusqu’à 300 mètres."

     Les dépositions des témoins coïncident. L’OVNI avait l’aspect d’un disque d’un diamètre de 4 – 5 mètres avec un dôme sur le dessus. Il brillait vivement, bougeait très brusquement, mais sans bruit, parfois en tombant et en restant au-dessus du sol à la hauteur de 20 – 60 mètres. Par le commandement [...] Était provoqué de la partie de armée [...] un avion de chasse, mais on ne réussit pas à examiner en détail l’OVNI, puisque celui-là ne laissait pas l’avion l’approcher à une distance proche, s’éloignant de lui."

    D’autres rapports de militaires voyant ces OVNIS suivent dans "le paquet bleu."

     "Moi, enseigne Voloshin Valery Nikolaévitch, rapporte que à 23:20 le 28 Juillet, alors que j’assirais le remplacement de l’employé du service de liaison, j’ai reçu l’information sur ce que au-dessus de V/CH [...] Pendant plus d’une heure l’objet incompréhensible que le capitaine Chernikov a appelé "l’assiette volante" était stationnaire. Environ à 23.30 avec le soldat D.N. Tishchaevym je suis allé sur la première section de la tour de l’antenne, à 6 mètres au-dessus de la terre. De la partie [...] Un certain objet volait de notre côté. Tishchaev a confirmé qu’il le voyait.

     "On voyait distinctement le signal scintillant puissant rappelant un flash d’appareil photo dans le ciel nocturne. L’objet a volé au-dessus de l’entrepôt auxiliaire (à environ 5 km du lieu de l’observation) et s’est dirigé vers les stocks de l’armement des fusées (à environ 300 mètres du lieu de l’observation). Étant venu vers les stocks d’armement, l’objet a plané au-dessus de ceux-ci, puis est tombé jusqu’à une hauteur d’environ 20 mètres. Les éclats qu’il émettait étaient apériodiques, comme si il était en train de prendre des photos. On voyait sa silhouette dans le ciel de nuit, et tout son corps émettait une faible lumière verte – semblable à la luminescence du phosphore dans l’obscurité."

     L’objet avait l’apparence d’un disque avec un dôme sur sa partie supérieure. Le diamètre du disque était environ 4 – 5 mètres. Après que l’objet soit tombé au-dessus des stocks d’armes, de cet endroit, d’où partait le flash, un rayon de lumière vive éclairait le sol, parcourant un cercle, ayant arraché le bord d’une des constructions. J’observais deux – trois spires du rayon, qui était distinctement vu sur le fond du ciel et partait de l’objet, cependant je n’ai pas remarqué de tache lumineuse sur les constructions et au sol." 

    Le rayon bougeait quelques secondes, ensuite a disparu, et l’objet, en continuant scintiller, s’est écarté vers vers un secteur habité. Après cela il a plané au-dessus au-dessus d’une ferme auxiliaire, traversant la base par zh/d, et une usine de béton. Ensuite l’objet est rerevenu de nouveau vers les stocks d’armes et a plané au-dessus de ceux-ci à une hauteur d’environ 60 – 70 mètres. A 01:30 il a volé au loin. Il a été caché à notre vue à Ahtubinska. Les déplacements de l’objet étaient non uniformes: parfois rapide latéralement ou verticalement, parfois harmonieusement avec des sautes."

    Source : area51blog 

     VALENSOLE - FRANCE - 1er juillet 1965 - Rencontre rapprochée  

    OVNIS : DES RAPPORTS  SOLIDES 

    Sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence), Maurice MASSE, (41 ans, cultivateur de lavande, vivant avec sa femme et ses 2 enfants) travaille quotidiennement avec son père dans leur champ depuis une semaine et remarquent, chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.

     Le Jeudi 1er Juillet 1965 vers 05:00, le témoin quitte son domicile. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A  à 05:45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), il entend un bruit « comme un sifflement qui remplissait toute la campagne ». De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensant à un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.

     Le témoin s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à « une énorme araignée » :
    « Je me trouvais le  vers 05:30 du matin, comme j'en ai l'habitude, dans mon champ de lavande un peu au Nord de Valensole près de la route d'Oraison. Je n'avais pas encore mis en marche mon tracteur, arrêté derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut environ). J'allais le faire et j'allumais une cigarette quand j'entendis un sifflement dont je ne localisais pas l'origine.  »

    Le témoin contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac. Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend : 

    « Je sortis alors derrière le clapier qui me dissimulait et vis à 90 m de moi environ un engin de forme bizarre qui s'était posé dans mon champ. J'avais d'abord pensé à un hélicoptère, mais je me suis rendu compte que ce ne pouvait en être un. J'avais trop l'habitude de ces machines de l'armée qui, en difficulté ou non, atterrissent souvent sur mon champ ou à côté. Je ne manque pas, chaque fois, d'aller m'entretenir avec les pilotes lesquels, bien souvent, sont des chasseurs comme moi. Mais cet engin ressemblant à un gros ballon de rugby, gros comme une Dauphine, surmonté d'une coupole, reposant sur 6 béquilles, qu'est-ce que ça pouvait être ? Peut-être, pensais-je, un engin expérimental ?  » 

    L'objet n'est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis :« Je m'avance néanmoins d'un pas tranquille, rien dans les mains, à travers les jeunes plants de lavande qui couvrent mon champ. Et j'aperçois tout près de l'engin 2 petits êtres ayant apparence humaine, penchés sur un pied de lavande.  » Un lui tourne le dos, l'autre lui fait face.

     « Sans trop d'inquiétude, je m'approche avec l'intention d'entrer en contact avec eux. J'arrive ainsi à 5 ou 6 m des étranges visiteurs, mais ceux-ci m'aperçoivent, se redressent et l'un d'eux braque aussitôt sur moi une sorte de tube, ou de "pistolet". Je suis alors instantanément figé sur place au point de ne pouvoir faire un seul mouvement. 
      
    « Lorsque je suis arrivé à 7 m d'eux, celui qui était tourné dans ma direction m'a alors aperçu. Il a dû faire un signe à l'autre, tous 2 se sont redressés, celui qui avait le dos tourné a fait volte-face et a pointé un tube dans ma direction qu'il prit dans un étui sur son côté droit; à ce moment-là, j'ai été totalement immobilisé. Je ne ressentais rien, je n'étais pas engourdi ni contracté mais je ne pouvais pas faire un seul geste. J'ai très bien distingué que celui qui m'avait paralysé remettait de la main droite, dans l'étui qu'il portait à gauche, ce fameux tube.

     « Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques mn à discuter en me regardant la plupart du temps. J'ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j'entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n'avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n'étaient pas méchants, tout au contraire.

     «  Au bout de 4 à 5 mn, ils retournèrent, avec une agilité surprenante, dans leur appareil en s'aidant de la main droite, puis de la main gauche. Une fois montés à bord, une porte à glissière se referma d'une façon qui m'a semblé automatique, de bas en haut, de la même manière qu'une porte de meuble.

     «  Je les ai distingués derrière le dôme, j'ai entendu un bruit sourd qui a duré 2 à 3 secondes, tandis que leur appareil se soulevait de 10 cm à 1 m. Le tube qui se trouvait sous l'appareil est sorti de terre et les 6 pieds se sont mis à tourner. Il n'y a eu ni fumée, ni poussière soulevée par cet engin. Les 6 pattes tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre.

     «  Tandis que les visiteurs me faisaient face, l'appareil est parti en arrière, dans la direction opposée à leur orientation. Il s'est élevé en oblique plus vite qu'un avion à réaction. Je l'ai suivi pendant 15 à 30 m, puis il a disparu subitement de ma vue, pire qu'un éclair.

     «  Je suis resté immobilisé encore 15 minutes, puis j'ai remué mes mains, puis tout le corps et les membres. Je suis alors parti vers mon tracteur.

     «  J'ai allumé une cigarette et j'ai continué mon travail jusqu' à 07:30 à à 08:00. Monté sur mon engin, j'ai biné ma vigne qui n'est pas celle que j'ai traversé lors de mon approche puis je suis rentré chez moi  vers 09:00.  »

     C'est en mettant au courant de son aventure M. Moisson, patron du Café des Sports que la gendarmerie a eu vent de la nouvelle.

     Il racontera ensuite avoir vu également de petits êtres (1 m environ) dont la morphologie générale est proche de la nôtre mais qui sont manifestement étrangers à notre planète. En s'approchant d'eux, il note leur tête anormalement grosse par rapport au corps (3 fois celle d'un humain), chauve, peau blanche, longues oreilles, pommettes saillantes et charnues, avec une petite bouche circulaire. Ils portent des costumes gris-vert d'une seule pièce. Jusqu'alors penchés sur un buisson de lavande, ils semblent enfin remarquer sa présence lorsqu'il est à 8 m d'eux, et l'un d'eux braque alors vers le témoin un petit tube qui le paralyse, mais apparemment sans lui faire perdre conscience. Il se souvient qu'il y a eu alors une sorte de communication télépathique avec ces êtres, dont il garde une impression de bienveillance. Les 2 êtres retournent ensuite à leur engin, y pénètrent par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommence et l'engin plane brièvement tandis que ses pieds commencent à tourner, puis il file vers l'ouest à vive allure.

     Le témoin ne recouvre sa capacité de mouvement que 15 mn plus tard. A ce moment, il va immédiatement examiner l'endroit où l'ovni s'est posé et remarque diverses marques au sol, ainsi qu'un trou central d'environ 30 cm de profondeur là où il avait stationné le pylône central de l'engin. La terre tout autour est détrempée. Plus tard, dans la journée, il note qu'elle s'est rapidement durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment.

    Source : rr0.org/scienc 

    CUSSAC (Cantal) - France-29 août 1967

      La rencontre de Cussac est le nom donné à une rencontre rapprochée qu'auraient eu deux jeunes frère et sœur avec un OVNI et ses occupants en août 1967 à Cussac (département du Cantal). Le récit de leur témoignage fut recueilli par la gendarmerie.
    L'événement se déroule le matin du 29 août 1967, au village de Cussac, qui compte alors 282 habitants dans 70 maisons. Les citoyens sont dépourvus des services de télévision et de radio et ne reçoivent qu'un seul journal local. La commune est située sur un plateau, à 1045 m d'altitude. Ce matin-là, il fait beau (ciel clair) mais un peu frais (12 à 16 °C) avec une légère brise soufflant de l'ouest. Dans 2 vallées, à 10 km de Cussac, il y a du brouillard matinal.

     François (13 ans 1/2) et sa sœur Anne-Marie (9 ans), accompagnés de leur chien Médor sont partis depuis 8h00 conduire une dizaine de vaches à environ 800 mètres à l'ouest du village de Cussac, au lieu dit « Les Tuiles », dans un pré situé en bordure de la départementale 57 (reliant Les Ternes à Pont-Farin 

    Tout en surveillant le troupeau, ils jouent aux cartes assis derrière un muret de pierres sèches, adossé à la départementale (pour bénéficier au mieux du soleil matinal). Ainsi, ils peuvent mieux surveiller les bêtes. Cependant, vers 10h30, ils sont contraints de cesser leur partie car les vaches s'apprêtent à franchir un muret qui les sépare d'une pâture dans laquelle se trouve une trentaine de vaches appartenant à un voisin.

     François se lève alors pour appeler son chien afin qu'il fasse revenir les bêtes. Ce faisant, il aperçoit de l'autre côté de la route (derrière une haie) à environ 80 m de lui, 4 petits êtres, qu'il pense d'abord être des enfants. Il escalade alors quelques pierres pour mieux les distinguer. Il les trouve étranges : Ils sont d'un noir « soyeux », sans distinction de vêtements ou de visage.

     Leur taille varie entre 1 m et 1,20 m, deux étant plus petits que les autres. Leurs bras sont longs et fins et leurs jambes courtes et fines. Leur tête semble avoir des proportions normales mais le crâne et le menton semblent plus accentués et tous semblent porter une « barbe ».

    François et Anne-Marie distinguent derrière eux, à moitié cachée par la haie, une sphère extrêmement brillante, de 4 à 5 m de diamètre (Anne-Marie sous-estimera cette distance à 2 à 2,50 m comme toutes les distances qu'elle évaluait). Cette sphère est pénible à regarder, tant elle étincelle. Aucune ouverture ou porte n'est visible.

     François dit : « Oh, il y a des enfants noirs ! » Sans se retourner, sa sœur répond : « Tu les appelles ? ». Mais lui répond : "Regarde, regarde" Puis il monte sur le muret contigu pour mieux voir « les enfants noirs ». Sa sœur se lève et observe à son tour. Un des « enfants noirs » est baissé et semble s'affairer à terre. Deux autres sont vus de profil. Le 4e, un peu plus grand, tient un objet rectangulaire reflétant le Soleil situé derrière les témoins (que François compare à un miroir) et agite ses mains semblant faire des signes à ses compagnons : les petits êtres semblent prendre conscience d'être observés. 

    Le 1er s'envole à la verticale et plonge, la tête la première, dans la partie haute de la sphère. Le 2e le suit de la même manière et le 3e, après s'être relevé, fait de même. Le 4e (le plus grand) s'élève mais, avant de plonger dans l'appareil, redescend pour ramasser quelque chose (son « miroir » estime François). 

    La sphère commence dès lors à s'élever selon une trajectoire hélicoïdale (4 à 6 tours dans le sens horaire vu de dessous, de rayon croissant sur 10/50/100 m, à raison de 1 tour/s environ) et les vaches commencent à beugler.

     Le 4e être s'envole de nouveau et rattrape la sphère au moment où elle a déjà atteint 15 m de hauteur environ. Les enfants distinguent sur ce dernier comme des « pieds palmés » alors qu'il est en l'air. Anne-Marie lui remarquera aussi un « nez pointu ». 

    La sphère décrit encore quelques cercles, s'élevant toujours, tandis que l'intensité lumineuse qu'elle irradie s'accroît fortement. Puis, le bruit qui accompagnait le décollage de la sphère disparaît et celle-ci s'éloigne très vite en direction du nord-ouest. 

    En même temps, une odeur de soufre (le soufre n'ayant pas d'odeur, peut-être plutôt SO2 ou ozone) se répand et vient jusqu'aux enfants (le léger vent d'ouest correspond à la configuration objet → enfants). 

    Les vaches se mettent à beugler et à s'agiter. 25 vaches situées dans un pré voisin, à environ 300 m de là, beuglent aussi et viennent se rassembler près de celles de François et d'Anne-Marie. Le chien Médor aboie après l'objet et semble vouloir le suivre. Les enfants ne voient pas l'objet disparaître, car ils sont obligés de s'occuper des vaches, très agitées. 

    L'observation aura duré 30 secondes. Les enfants se dépêchent de ramener les vaches à la ferme, 30 min (2 h ?) avant l'heure prévue. Dix minutes après l'observation, un agriculteur les voit sur la route en train de rentrer avec les vaches, manifestement en pleurs et en état de choc. Il constate aussi l'agitation des vaches. 

    François (qui a les yeux fragiles) larmoie pendant le quart d'heure qui suivra l'apparition, et le matin au réveil, pendant plusieurs jours de suite. Sa sœur (qui ne porte pas de lunettes), ne ressentira rien. Elle sera la seule à parler de 3 ou 4 béquilles droites aperçues alors que la sphère se trouvait encore au sol. 

    Le maire de Cussac, qui est aussi le père des enfants, voit arriver le chien Médor, puis ses enfants choqués (ordre d'arrivée qu'il décrira comme inhabituel). 

    Il décide d'appeler les gendarmes de Saint-Flour, à 19 km de là. Le maire les connaît bien, ce sont eux qui s'occupent des accidents de la route, et de bien d'autres problèmes, comme lui-même le fait pour ses administrés.

     Les gendarmes arrivent à 16 h. Ils constatent l'odeur et une trace d'herbe légèrement jaunie, de 4 à 5 mètres, derrière la haie (le contraste s'affaiblit peu à peu dès le 1er jour). Ils recueillent les témoignages, et informent leur hiérarchie par radio. Cependant on ne retrouvera nulle trace du rapport. 

    Anne Marie n'arrive pas à dormir les deux jours qui suivent. Les enfants resteront choqués près d'une semaine.

    Source : wikipedia 

      

    TRANS-EN-PROVENCE -France - 8 janvier 1981 

    OVNIS : DES RAPPORTS  SOLIDES  OVNIS : DES RAPPORTS  SOLIDES 

    Le 8 janvier 1981, vers 17h, un habitant de Trans-en-Provence, Renato Nicolaï, maçon retraité d'une cinquantaine d'années, bricole dans son jardin. D'après son témoignage, il voit alors un engin atterrir, avec un léger sifflement mais sans flammes.

    Renato Nicolaï déclare par la suite :
    « L'engin avait la forme de deux assiettes renversées l'une contre l'autre. Il avait la couleur du plomb et possédait une nervure tout autour de sa circonférence. Sous l'appareil, j'ai vu, au moment où il se soulevait, deux genres de pièces rondes qui pouvaient être des réacteurs ou des pieds. Il y avait aussi deux autres cercles qui ressemblaient à des trappes. Les deux réacteurs ou pieds dépassaient légèrement sur 20 cm en dessous de l'appareil. Il mesurait environ 1,80 m de haut pour 2,50 m de diamètre. Peu après, l'objet décolla, pour disparaître bientôt au loin 1."
    Alerté, un voisin gendarme arrive bientôt sur les lieux. Sa première réaction est de dire que l'empreinte laissée par l'« appareil » ressemble à un ripage de pneu. Il prélève sur les lieux de la luzerne ainsi que de la terre, pour l'envoyer au GEPAN. 

     Des analyses ont été réalisées sur les plantes et les traces laissées à l'endroit présumé de l'atterrissage.

     Les traces au sol  

    La brigade de gendarmerie, appelée sur les lieux, a procédé à l'examen des traces. Dans son rapport, elle écrit, à propos des traces laissées au sol :

     « Nous constatons la présence de deux cercles concentriques l'un de 2,20 m de diamètre, l'autre de 2,40 m. [...] deux parties diamétralement opposées de 0,8 m environ [...] et qui présentent des stries noires semblables à des traces de ripage. » 

    Le rapport de la gendarmerie précise en outre qu'une description différente et erronée a été faite par un enquêteur de XYZ (le rapport ne précise pas de quel groupement ou association il s'agit) prétendant que « toute trace de végétation a disparu » ; ce qui est inexact, selon les termes du rapport. 

    Le GEPAN constate quant à lui que le sol a été tassé par un poids lourd, qu'il a subi un échauffement thermique inférieur à 600 °C et qu'un dépôt d'oxyde de fer y a été laissé.
    Analyses biochimiques des échantillons  

     Les résultats de l'analyse

    Les échantillons provenant de la périphérie, c'est-à-dire situés à une distance d'un mètre cinquante du centre de la trace, montrent un affaiblissement général des teneurs pigmentaires4.
    Les jeunes feuilles subissent la perte la plus importante au niveau du \beta-carotène (- 57 %) et de la violaxanthine (- 80 %). 

    Les déclarations du professeur Bounias

    Michel Bounias, scientifique de l'INRA et expert en toxicologie végétale, auquel les analyses de luzernes ont été confiées émet l'hypothèse que la dépigmentation aurait pu être provoquée par une exposition à des radiations de micro-ondes. Selon lui, les luzernes sauvages ont subi des dégradations anormales, ayant provoqué un affaiblissement du processus de photosynthèse :
    « Les concentrations des composants de l'appareil photosynthétique sont (...) très affaiblies au voisinage de la trace. Le glucose y est fortement augmenté, tandis que les acides aminés libres sont (...), pour la plupart, anormalement peu concentrés. Quelque chose s'est bien posé ici. » 

    L'ensemble des constatations du professeur Michel Bounias l'amènent à la conclusion suivante :
    « Ce qui s'est passé, à Trans-en-Provence, a laissé des traces qui confirment les indications fournies par le témoin et tendent à orienter les conclusions dans le sens de l'objectivité du phénomène observé. » 

    Plus tard, Michel Bounias déclare même : « Je suis sûr qu'il y a eu des perturbations biochimiques anormales (...) Je ne vois pas quoi d'autre que ce qui a été décrit par M. Nicolaï aurait pu produire ces effets-là »

     Source : wikipedia

      

    TRINIDAD - Brésil - 21 février 1958  

    OVNIS : DES RAPPORTS  SOLIDES OVNIS : DES RAPPORTS  SOLIDES

     LE CAS DE TRINDAD 1958 DANS LA PRESSE:

    L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Correio da Manha, Brésil, le 21 Février 1958.
    La Marine de Guerre a photographié un disque volant au-dessus de Trinidad
    Les photographies que nous imprimons aujourd'hui dans un but de reportage ont été collectées à bord du navire-école "Amiral Saldanda" 

    Le 16 janvier, la Marine de Guerre brésilienne a photographié un disque volant sur l'île de Trinidade. Dans un effort de journalisme le Correio da Manhã imprime ici certaines des photos moissonnées à cette occasion, à bord du navire-école "Amiral Saldanda," qui était en service là bas pour la direction de l'hydrographie de la Marine, en coopération avec les travaux de l'Année Géophysique Internationale. Ce sont les premières photographies d'un disque volant qui apparaissent avec le sceau officiel. Les photographies ont été prises par le caméraman Almiro Baraúna, qui était sous contrat avec la Marine Militaire. Dans toutes les copies, le disque est vu clairement, alors qu'il est au-dessus de Trindade, s'étant élevé à une vitesse incroyable et ayant effectué des manoeuvres pendant quelques minutes.

    Les officiers et les marins ont distingué le disque à l'oeil nu, et ont pu vérifier l'existence de deux protubérances sur lui, l'une sur la partie supérieure et l'autre sur la partie inférieure. Quant aux calculs, qui ont été faits en utilisant la distance entre le bateau et l'île, la séquence des différentes photographies et le déplacement du disque par rapport aux rocs, on a conclu que sa vitesse serait au moins de vingt mille à quarante mille kilomètres par heure. A cette vitesse, n'importe quel engin fabriqué avec des matériaux connus chez nous jusqu'ici souffrirait de combustion immédiate ä cause des frottements avec l'air, ce qui n'est pas arrivé à l'objet photographié. Il est étrange de noter que la Marine a gardé le secret absolu sur le cas; exactement à ce moment, ils semblent avoir faire voeu de conserver le silence, en refusant d'énoncer n'importe quoi officiellement et en refusant même de confirmer les photos et les témoignages de l'équipage de l'"Amiral Saldanda."

    Source :  ovni 

    Quelques déclarations importantes

      "Ces disques utilisent un mode de propulsion différent des nôtres. Il n'y a pas d'autre explication. Les soucoupes volantes viennent d'un autre monde"

    Louis Bréguet, constructeur d'avions 

    "Mes recherches ont montré qu'il existe des preuves convaincantes que la plupart de ces OVNIs surpassent de loin la technologie terrestre. Je suis forcé de conclure qu'il y a de forte chance que la Terre soit visitée par des véhicules très avancés sous contrôle intelligent"

    Dr. Richard F. Haines, directeur de recherche à la NASA à Ames Research Center et au Research Institute for Advanced Computer Science où il travailla pour l'ISS (déclaration faite en 1998) 

     "De nombreux astronomes professionnels sont convaincus que ces soucoupes sont des machines interplanétaires"

    Dr. Frank Halstead du Darling Observatory, Minnesota (déclaration faite en 1957) 

     "Le phénomène OVNI mériterait une étude internationale pilotée par l'ONU. Trop de gens crédibles ont rapporté des observations qui défient la raison et l'entendement"

     Kofi Annan, 7ème secrétaire général des Nations-Unies (déclaration faite sur CNN le 27 mars 2007) 

     "Les observations d'OVNIs sont si communes que les militaires n'ont plus de souci à se faire…quand un OVNI apparaît, ils l'ignorent. Ces cibles non conventionnels sont ignorées car, apparemment, les militaires sont uniquement intéressés aux cibles russes, des cibles ennemies. Des choses qui planent dans le ciel et qui accélèrent d'un coup à 7000 kilomètres à l'heure ne nous intéressent pas car cela ne peut pas être les Russes. Ces OVNIs ont été repérés sur radar au sol et en l'air et ont été photographiés"

    Lee Katchen, Physicien de la NASA, dans une déclaration faite le 7 juin 1960 au cours de laquelle il affirma qu'après avoir examiné plus de 7000 rapports d'observations, il conclutê à l'origine extraterrestre des OVNIS 

    "Je n'ai absolument aucune idée d'où viennent exactement les OVNIs et comment ils fonctionnent, mais après dix ans de recherche, je sais qu'ils proviennent d'un endroit hors de l'atmosphère"

    Dr. James E. McDonald, professeur de physique, Université d'Arizona (déclaration faite en 1967) 

    "D'abord, la tentation était de dire que tout cela était un non sens, une série d'illusions optiques. Mais il y a eu tellement de rapports d'observateurs responsables que l'on ne peut pas ignorer. Cela semble difficile de croire que tous ces rapports sont causés par des illusions optiques".

    Dr. J. C. MacKenzie, Président du Canadian Atomic Energy Control Board et ancien Président du National Research Council (déclaration faite en 1952

    "Les rectangles lumineux que j'ai vus ont maintenu exactement les mêmes positions relatives, ce qui tendait à donner l'idée que le phénomène était solide"

    Clyde Tombaugh, Astronome, qui découvrit Pluton, dans une lettre datant du 10 septembre 1957 relatant son observation d'un OVNI de 1949 au Nouveau-Mexique, USA 

    "Je pense qu'il s'agissait d'un engin extraterrestre. Quand les renseignements militaires ont déclassifié les documents concernant mon observation, j'ai remarqué que les données relatives aux enregistrements radars avaient disparu. Pourtant le Lieutenant-Colonel Abreu m'a affirmé que le radar avait enregistré ces trois OVNIs…Les hautes sphères nieront ce qu'ils ne peuvent pas expliquer ou contrôler. Et bien sûr, pour eux, il s'agit de Vénus"

    Juan Lorenzo Torres, pilote de l'armée de l'air espagnole et pilote de ligne et directeur de l'académie d'aviation. Le 4 novembre 1968 à 18h23, il pilote une Caravelle 6-R au-dessus de Sagunto, quand il observe, en compagnie du personnel de vol, trois OVNIs lumineux (CNN, 26 juin 2000) 

    "Nous avons des piles de rapports sur les soucoupes volantes. Il faut prendre ce sujet au sérieux si l'on considère que nous avons perdu des hommes et des avions lors des tentatives d'interception"

    Général Benjamin 

    "Ma thèse est que les soucoupes volantes proviennent d'autres mondes, extérieurs à notre système solaire. Je pense que des intelligences extraterrestres surveillent la Terre, et nous ont visité depuis des millénaires"

    Dr. Hermann Oberth, spécialiste des fusées, maître de Werner von Braun (American Weekly, 24 octobre 1954) 

    "Il est absolument faux de dire que les OVNI n'ont jamais été vus par des personnes scientifiquement formées. Certains des meilleurs et des plus cohérents rapports proviennent de tels témoins"

    Dr. Allen Hynek, astronome, directeur du département astronomie à la Northwestern University, conseiller scientifique de l'ATIC de l'USAF 

    "Que la construction de ces machines prouve l'existence d'une technologie scientifique, immensément supérieure à la nôtre, ne fait pas le moindre doute. Les autorités, qui sont en possession d'informations importantes, ne devraient pas hésiter à éclairer le public aussi vite et aussi complètement que possible et devraient, avant tout, cesser ces simagrées ridicules de mystères et de vagues allusions. Il est évident que l'on devrait dire la vérité au public, parce que celle-ci apparaîtra tout de même au grand jour. Il est difficile d'imaginer un plus grand choc que celui de la Bombe H, pourtant tout le monde est au courant et personne ne s'est évanoui"

    Carl Gustav Jung in "Flying Saucer Review" 

    "Car si nous persistons à refuser de reconnaître l'existence de ces objets non identifiés, non finirons un beau jour, par les prendre pour des missiles guidés d'un ennemi, et il nous arrivera le pire" "Que d'étranges choses aient été vues est désormais indiscutable…Le nombre de gens réfléchis, intelligents, cultivés, en pleine possession de leurs moyens, qui ont "vu quelque chose" et l'ont décrit croît chaque jour"

    Général Lionel Max Chassin, général en chef des forces aériennes françaises et coordinateur de la défense aérienne des forces alliées en Europe central auprès de l'OTAN 

    "Les soucoupes volantes ont une origine extraterrestre. Ni les Américains ni les Russes ne sont capables de construire des machines de ce genre"

    Pierre Closterman, pilote de chasse, escadrille "Normandie-Niémen", auteur de "Le Grand Cirque" 

    "Le phénomène OVNI existe vraiment, et il doit être traité sérieusement"

    Président Mikhaïl Gorbachev, (déclaration dans "Jeunesse soviétique", le 4 mai 1990) 

     L'évidence qu'il existe des objets aperçus dans notre atmosphère, et même sur la Terre, qui ne peuvent être ni du fait de l'homme ni d'aucune force ou effet physique connu de nos scientifiques, me semble irrécusable…Bon nombre de témoignages se sont vus confirmés par des personnes qui me paraissent dignes de foi. Il est frappant de constater que beaucoup d'entre elles sont, de par leur profession, rompues à l'observation : tels des officiers de police, des pilotes de ligne ou des pilotes militaires"

    Lord Hill-Norton, Amiral et Chef d'état major britannique de 1971 à 1973 (avant-propos de Above Top Secret de Timothy Good) 

    "Bien sûr que les OVNIs existent - et ils sont interplanétaires. Les preuves accumulées sur l'existence des OVNIs sont gigantesques et j'accepte leur existence" (déclaration faite en 1954)

    Lord Dowding, Général et commandant en chef de la RAF pendant la bataille d'Angleterre 

    "Je crois que ces véhicules extraterrestres et leurs équipages viennent d'autres planètes qui, à l'évidence, sont un peu plus avancées technologiquement que nous" "J'ai eu l'occasion en 1951 d'observer deux jours durant, à plusieurs reprises, le passage de nombreux OVNIs, de tailles variées, qui volaient en formation de combat, généralement d'est en ouest, au-dessus de l'Europe. Ils volaient alors à une plus haute altitude que celle que nous pouvions atteindre avec nos bombardiers de l'époque"

    Gordon Cooper, Colonel de l'USAF et astronaute (extrait d'une lettre datant du 9 novembre 1978 adressée à l'Ambassadeur Griffith) 

    "Dans notre obsession, avec les antagonismes du moment, nous oublions souvent les liens unissant tous les membres de l'humanité. Peut-être avons-nous besoin de quelque menace universelle extérieure afin que nous puissions mettre ces liens en lumière. J'ai parfois pensé à quel point les différences de ce monde s'évanouiraient rapidement si nous avions à faire face à une menace étrangère à la Terre. Encore que, je pose la question : cette force étrangère n'est-elle pas déjà parmi nous ?"

    Président Ronald Reagan, au cours d'un discours durant la 42ème Assemblée Générale des Nations Unies du 21 septembre 1987 

    "L'affaire est le sujet le plus hautement classifié au sein du gouvernement des Etats-Unis, à un niveau plus élevé que la bombe H. Les soucoupes volantes existent. L'affaire entière est considérée par les autorités des Etats-Unis comme étant d'une immense importance"

    Wilbert B. Smith, ingénieur et responsable de la division technique des télécommunications du Ministère des Transports du Canada (extrait d'un mémorandum rédigé le 21 novembre 1950 et adressé au Ministre concerné) (mémorandum initialement classifié "Top Secret") 

    "Le phénomène signalé est quelque chose de réel et non relevant de l'illusion ou de la fiction. Ce sont des objets ayant la forme approximative d'un disque, et de dimensions telles qu'ils peuvent apparaître comme étant aussi grands qu'un appareil aérien de conception humaine"

    Nathan F. Twining, Général et chef de l'Air Material Command (extrait d'une note écrite le 23 septembre 1947 à l'attention du Général Georges F. Schulgen du Pentagone) 

    "C'est clair que les OVNIs existent"

    Salvador Teran, Ministre des Transports espagnol (déclaration faite suite à l'observation de deux globes oranges au-dessus d'Ibiza par l'équipage d'un avion de ligne, le 11 novembre 1979. Plusieurs Mirages furent lancés à la poursuite des OVNIs tandis que les enregistrements radars de la tour de contrôle de Barcelone et de l'armée montrent que les OVNIs chutèrent d'une altitude de 12'000 pieds en 30 secondes. L'interception ne fut pas concluante)

    Source -   site de Fabrice BONVIN : extraterrestres

     

     

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