• Ovnis, quelques énigmes de plus.

     Mystères des ovnis

    OVNIS, QUELQUES ÉNIGMES DE PLUS

    La NASA est l'agence gouvernementale qui gère la majeure partie du programme spatial civil des États-Unis. Créée le 29 juillet 1958, elle joue aujourd'hui un rôle mondial et incomparable dans le domaine du vol spatial, de l'exploration du Système solaire, des changements climatiques, et de la recherche spatiale. Elle a été conçue pour gérer les projets de l'astronautique, et détient aujourd'hui un budget de 17,8 milliards de dollars. Au cours des nombreux voyages dans l'espace, certains astronautes ont vu des Objets non Identifiés. Qu'elles étaient ces objets ?

    Le fruit de l'imagination d'astronautes fatigués, ou bien de réelles preuves d'une vie extérieure ? Un objet volant non identifié, appelé ovni, indique un phénomène aérien observé ou enregistré par différents types de capteurs sans avoir pu l'identifier. Le thème des ovnis et des extraterrestres constitue un phénomène culturel international depuis les années 1950. Depuis cette date, beaucoup de missions se sont déroulées dans l'espace et les chercheurs sont aujourd'hui convaincus qu'il y a de la vie ailleurs. L'Univers abrite plus de 300 milles Milliards d'étoiles et quelques centaines de milliards de galaxies de masse significative. Avec autant de planètes il est peu probable que nous soyons seuls dans l'espace. Nombreux sont les scientifiques qui partagent cette opinion. Mais alors, à quoi ressemblerait un extraterrestre ?

    Ceci reste un mystère. Aucune forme de vie n'a encore été observée.

    Ovni de la Mission de 1965

    OVNIS, quelques énigmes de plus

     Cependant, les indices que présentent les témoignages de cette vidéo sont surprenants :

    - John Glenn aperçut en 1962 d'étranges lumières autour de sa capsule ressemblant à des Lucioles - Les astronautes de la mission Gemini 4 ont remarqué une forme étrange non identifié le lendemain de leur sortie dans l'espace - En 1966 un objet lumineux changeant rapidement de forme a été repéré à proximité de Gemini 11 - Armstrong a vu lors de son voyage vers la Lune d'étranges objets clignotants - 1973, les pilotes de la Mission Skylab ont distingué au loin une lumière rouge clignotante - Durant la Mission STS-48 de 1991 l'appareil photo capture l'image d'un objet se déplaçant rapidement de gauche à droite en dégageant une forte lumière - En 1996 aux abords de la navette Columbia une nuée d'objet volant apparurent - La caméra de la Mission STS-114 de 2006 enregistre un objet triangulaire non identifié lors du lancement du réservoir de la fusée.

    Toutes ces observations restent inexpliquées, et ne représentent qu'une infime partie de tous les phénomènes non identifiés et inconnus répertoriés depuis le début de la création de la NASA et des missions spatiales. Plusieurs enquêtes ont été menées dans différents pays, mais aucune ne peut affirmer avec certitudes ce que représentent ces OVNIS. Trouver une espèce intelligente bouleverserai notre futur. Comment des extraterrestres se rendrait-il sur Terre ? Certaine forme de vie ont peut-être plus de moyens techniques pour se déplacer. Dans les années 60 le nombre d'observation d'OVNIS s'est amplifiée avec l'augmentation du nombre de missions spatiales.

    Ovni de 1966 - Gémini 11

    Objet évalué à plusieurs centaines de mètres

    OVNIS, quelques énigmes de plus

    Depuis la fin des années 1990, on observe une démystification du phénomène ovni. Depuis la découverte de nombreuses exoplanètes, l'hypothèse selon laquelle nous ne serions pas seuls dans l'univers est de plus en plus répandue. Pourra-t-on un jour rencontrer des êtres venus d'ailleurs? C'est ce à quoi de nombreux spécialistes tentent de répondre. Malgré bon nombre de recherches effectuées, nous n'avons aujourd'hui aucune réponse aux questions que soulèvent ces observations.

    La polémique autour des ovnis dure depuis plus de 50 ans. Pour certains, les déclarations relatives à ce phénomène signifie que la Terre est couramment visitée par des extraterrestre. Pour d'autres, le phénomène ovni se résume principalement à une série de confusions et d'interprétations erronées.

    Et vous, qu'en pensez-vous ? 

    Mission Skylab 3 - 1973

    Objet évalué à plusieurs centaines de mètres

     OVNIS, quelques énigmes de plus

    Mission STS 48

    Un objet non-identifié ciblé par un laser

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    Objets lumineux qui volent autour de l'amarre de STS 75 -  Année 1998

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    Mission STS 115 - Année 2010

    OVNIS, quelques énigmes de plus

    Le Projet Transfert, une possible explication de la présence de certains "Ovnis" sur terre.

    Le « Projet Transfert » est, selon moi, l'une des plausibles explications du phénomène ovni. Il ne s'agit là bien entendu que de ma théorie personnelle et elle ne saurait engager que moi et non les participants du réseau de La Centrale Ufologique. L'idée du « projet transfert » m'est venue, en rencontrant et en consultant des témoins et témoignages de ce que l'on appel des abductions. Je me suis en effet demandé ce que nous, les humains, ferions ou plutôt allons faire, lorsque nous allons découvrir une autre planète. Mais avant cela je me suis demandé ce qui pourrait nous pousser à explorer l'espace. Après tout, pourquoi dépenser autant d'argent pour aller dans l'espace, chercher des exoplanètes ?

    Ces fameuses exoplanètes ce ne sont pas des planètes potentiellement habitées mais plutôt des planètes similaires à notre bonne vieille Terre. Cela signifie que ce que nous cherchons actuellement ce ne sont pas d'autres formes de vie, mais plutôt d'autres planètes qui pourraient accueillir la vie et, plus précisément, qui pourraient contenir tous les éléments susceptibles de pouvoir nous accueillir. En effet notre planète, dépend entièrement du bon vouloir de notre étoile, le soleil. Puisque n'étant qu'une étoile parmi tant d'autres, nous savons d'ores et déjà que cette étoile qui nous est cher finira un jour par disparaître, emportant avec elle toutes les planètes du système que nous appelons système solaire.

    Dans ce cas comment pourrions-nous sauver notre espèce humaine ?

    Il me paraît évident pour ne pas dire impossible, que nous ne pourrons jamais construire de vaisseaux ou d'engins spatiaux suffisamment grands pour pouvoir emporter l'intégralité de l'espèce humaine, végétale et animale dans l'espace, dans l'espoir de trouver une planète habitable. D'autant que connaissant l'esprit de l'humain, il est à prévoir que dans pareil cas, il souhaite réaliser une sélection.

    Cette sélection, nous la vivons déjà au quotidien, de par le pouvoir financier dont certains jouissent au détriment du reste de l'humanité. Si nous souhaitons réellement sauver notre humanité vouée à l'extinction à cause de la disparition de notre soleil, la seule possibilité qui nous est offerte, est de transporter nos gènes. Il me semble dangereux pour ces derniers, d'être envoyés dans des capsules par le biais d'une simple fusée. Il me paraît également évident, que nous ne pouvons pas demander à nos meilleurs scientifiques de voyager dans l'espace, accompagnés de ses capsules d'adn. Alors comment pouvons-nous nous y prendre un ?

    Nous avons peut-être la réponse dans ce que nous connaissons au sein de l'ufologie, je veux parler decertains détails décrits par les témoins et victimes d’abductions.Arrêtons nous un instant sur la description de ce que l'on appel un « petit gris », souvent décrit commeétant présents lors de ces agressions que d'aucuns qualifient de simples contacts.

    Ovnis, quelques énigmes de plus

    Je dois avouer que le physique de ces êtres, m'a toujours beaucoup intéressé de par sa simplicité et surtout, parce qu'il semble correspondre peut-être un peu trop au physique attendue d'un extra-terrestre. En effet, pour la « masse », un extraterrestre est nécessairement plus intelligent que nous et, pour matérialiser cet état, nous allons donc le dessiner en lui attribuant une tête plus grosse que la nôtre.Bien entendu nous savons aujourd'hui que la taille de la tête ou du cerveau est sans rapport avec l'intelligence mais nous parlons ici, de la vue générale représentatives des attentes de la masse.

    Puisque cet extraterrestre nous est d’une intelligence supérieure, il n'a plus besoin d'utiliser une force physique, donc, nous allons lui dessiner un corps petit et de préférence mince. En effet, sur terre, nous considérons qu'une personne svelte est en bonne santé, au contraire d'une personne en surcharge pondérale.Pour matérialiser un peu plus cette intelligence supposée supérieure à l'homme, nous n'allons pas lui dessiner des yeux ordinaires, car il se doit d'avoir une vision de la vie en règle générale, bien plus « large». Donc, ils seront tous noirs, grands et légèrement inclinés, ceci pour souligner le côté étrange de cet être. N'oublions pas qu'il s'agit là, d'un extra-terrestre. Nous le doterons, donc, d'une couleur de peau n'existant pas sur terre. Dans les années 50, il était vert mais finalement, la couleur grise semble plus appropriée à une réalité acceptable. Nous allons également lui attribuer une bouche, puisque nous savons que tout être vivant a besoin de se nourrir. En l'occurrence, n'oublions pas que cet être est censé être plus intelligent, donc, certainement de façon inconsciente, nous n'allons lui donner la faculté de se servir de sa bouche que pour ingurgiter de la nourriture, donc une légère fente en guise de bouche lui suffira bien. En effet, puisque nous considérons que nous n'utilisons qu'une petite partie de notre cerveau, il est à prévoir que cet être doté d'une intelligence incroyablement supérieure à l'homme, utilise un autre mode de communication que la parole, pourquoi pas ce que nous appelons « la télépathie ».

    Nous avons donc là, la description d'un extra-terrestre « attendu » et correspondant à la majeure partie des cas dit d'abductions. Si l'on considère que des êtres venus d'ailleurs nous visitent depuis des milliers d'années, nous pouvons alors imaginer qu'ils ont largement eu le temps de sonder nos attentes, nos craintes et nos espoirs. En l'an 2000, nous savons créer des robots à l'apparence humaine, nous savons également créer des clones et nous étudions la possibilité de rendre nos robots capables d'une grande autonomie. De là à imaginer que d'ici quelques décennies nous allons pouvoir créer des robots totalement autonomes il n'y a qu'un pas.Donc, il me semble plus que probable, que des espèces dites extra-terrestres, observant nos moindres faits et gestes depuis des millénaires, ont largement eu le temps de créer de toute pièce, ce que nous appelons des « petits gris » et que je me permets donc d'identifier comme étant des robots organique. Cela peut paraître exagéré, mais revenons maintenant à l'une des possibilités que nous avons, pour permettre à notre humanité de subsister après l'extinction de notre étoile, le soleil. Nous savons qu'il existe des milliards d'étoiles dans notre galaxie. À l'heure actuelle, nous avons découvert près de 340 exoplanètes, dans notre galaxie. Nous, la population, ne savons pas pour autant si la vie dans la forme que nous connaissons actuellement, existe sur ces exoplanètes. Pour essayer de le savoir, nous envoyons des sondes, ou analysons les images transmises par le biais de nos télescopes.

    Envisageons un instant, que l'une de ces exoplanètes puisse détenir toutes les caractéristiques correspondant à nos besoins vitaux. N'oublions pas que notre étoile est en passe de s'éteindre et qu'il nous est impératif de trouver une autre planète au plus vite, sans quoi s'en est fini de la biodiversité dont nous jouissons sur terre. Grâce aux exoplanètes, nous avons la possibilité de vérifier plusieurs théories concernant notre évolution. Bien entendu, je pars du principe que nous découvrons plusieurs exoplanètes habitables.

    Source,  Sanchez Ghislain : scribd

    L'OVNI DE KECKSBURGH en 1965, un autre Roswell ?

    L’incident de Kecksburg le 9 décembre 1965, vers 16h30, plusieurs centaines de témoins répartis sur 3 états américains (Michigan, Ohio et Pennsylvanie) ainsi qu’au Canada aperçurent une boule de feu suivie d’une traînée de vapeur traverser le ciel sur un axe nord-ouest/sud-est.

    Plusieurs pilotes, en vol au moment des faits, aperçurent également le phénomène et parlèrent d’onde de choc ressentie à proximité de l’objet. L’hypothèse du météore semble la plus probable aux yeux des scientifiques.
     
    Cependant, dans la même soirée, un objet fait un atterrissage en catastrophe dans un bois près de Kecksburg (Pennsylvanie). Un Ovni se crash dans la forêt, il y a des centaines de témoins, l’armée américaine boucle la zone et  récupère l’engin. Un dossier bien connu de l’ufologie exposé dans ce documentaire avec une reconstitution, des témoignages contradictoires.

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    Source : area51blog

     

    La NASA a officiellement accepté de revenir sur des archives concernant un incident OVNI de 1965 en Pennsylvannie, à la demande de la cours fédérale. Le gouvernement américain a refusé d’ouvrir ses dossiers à propos d’un objet s’étant écrasé dans les bois de Kecksburg à 40 miles de Pittsburgh.

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    La circulation avait été bloquée autour de la zone afin d’éviter la venue de curieux, ce sous décision militaire. Les explications de l’Air Force à l’époque se résumaient à ceci : Une ou des météorites.
     
    "Les unités n’ont rien pu retrouver" rapporte un memo officiel relatant les recherches du 9 Décembre 1965. Plusieurs employés de la NASA avaient alors rapporté n’avoir rien détecté non plus.
     
    Des témoins occulaires, en revanche ont fait état du passage d’un semi-remorque noir chargé d’un objet massif en forme de gland de la taille d’un bus Wolkswagen. Une reproduction basée sur les descriptions de l’époque est exposé derrière le Kecksburg Volunteer Fire Departement.

    Source : archive.ufofu  

         

    LE CAS DE BARDENAS REALES EN 1975

    Situé au sud-est de la Navarre, le désert des Bardenas Reales, vaste zone de 42 000 ha entre Tudela et Carcastillo, offre des paysages uniques en Europe, caractérisés par une végétation particulière ainsi que par des formations rocheuses impressionnantes dues à l'érosion, phénomène ici récurrent.

    Le Castil de tierra en est la manifestation la plus emblématique. Sans oublier les massifs du Rallon et de la Pisquerra, qui donnent véritablement au randonneur qui les parcourt l'impression d'évoluer dans les paysages mythiques de l'Ouest américain comme Monument Valley.
     
    En 1999 naît le parc naturel des Bardenas Reales de Navarre, réponse à l'attraction touristique quelque peu incontrôlée depuis le début des années 1990. L'UNESCO l'inscrit comme Réserve de biosphère en 2000.
     
    Les Bardenas abritent depuis 1951 une base de l'armée de l'air espagnole, dont l'implantation en cette zone naturelle exceptionnelle a très vite suscité l'opposition des populations locales qui manifestent fréquemment contre la poursuite des activités militaires.

    Source : wikipedia

      Quelques énigmes de plus

    Les Monegros (province de Saragosse) et les Bardenas Reales figurent parmi les régions espagnoles qui recueillent le plus grand nombre d’observations d’ OVNIs .
     
    Les observations les plus réputées sont celles des 02 et 05 janvier 1975 :
     
    1975, Ovni dans les Bardenas.
     
    Tout a commencé dans la nuit du 02 janvier 1975 dans le polygone de tir des Bardenas Reales, en Navarre (Espagne).
     
     22h55 : Un soldat de garde à l’extérieur de la tour principale voit au loin une lumière rouge intense qui se déplace très légèrement. Puis, pendant quelques minutes, une forte lumière illumine toute la zone militaire. De façon inattendue, cette lumière commence à se déplacer vers la tour. L’alerte est donnée chez les militaires, quelque chose s’approche de la zone réglementée.
     
    De quoi peut-il s’agir ?

    Peut-être des manœuvres aériennes, un effet d’optique ou un objet inconnu ? Les soldats de gardes, nerveux et affolés, prennent la décision d’appeler leur caporal ainsi que trois autres militaires. Ils sont tous très surpris, la source de lumière leur est inconnue (...) 

    L'affaire a été déclassifiée en juillet 1994 et rendue officiellement publique dans un document très controversé intitulé "el documento 0023 ".

    Source : area51blog

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    L'affaire du Thresher et du Scorpion (1963 et 1968)

    Au milieu du XXe siècle, dans les années 60, deux des plus puissants sous-marins nucléaires américains, l’USS Thresher et l’USS Scorpion, ont disparu dans les profondeurs noires et glaciales de l’Océan Atlantique; tous les deux dans des conditions mystérieuses, bien plus mystérieuses que la Marine américaine a bien voulu le dire…

     Si leurs épaves ont bien été retrouvées par la suite, nulle trace des hommes d’équipage n’a pu être repérée. Les 129 hommes du Thresher et les 99 hommes du Scorpion se sont littéralement volatilisés…!

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     L'USS Thresher le 9 avril 1963

    Rapports des commission d’enquêtes
     
    Avant d’aller plus loin, voyons ce que nous disent les commissions d’enquête de la Marine américaine et quelles sont leurs conclusions « officielles » sur la disparition des ces deux submersibles. Dernier-né des sous-marins nucléaires américains, premier d’une nouvelle classe d’engins super silencieux capables de plonger plus profondément que les autres, le Thresher, inauguré et lancé à Portsmouth, était le nec plus ultra des sous marins de l’époque. C’était un véritable « Requin-tueur » qui allait donner aux Etats-Unis un énorme avantage militaire face à leurs ennemis soviétiques. On était alors en pleine « Guerre froide » et ce sous-marin était une pièce majeure sur l’échiquier politique mondial sur lequel s’opposaient les USA et  l’URSS. Il était équipé du premier système de contrôle de feu informatisé à bord d’un sous-marin et d’un sonar d’une incroyable portée. Il était doté de missiles inter sous-marins, ce qui était une nouveauté à l’époque.
     
    Le Thresher prit la mer le 9 avril 1963 avec un équipage de 129 hommes. Le matin du 10 avril, à l’aube, le commandant donna l’ordre de plonger. Les ballasts furent remplis et le submersible s’enfonça dans les eaux profondes de l’Atlantique Nord près de Corsair Canyon au large de Boston. Il s’agissait alors de tester la résistance du bâtiment, et le commandant fit plonger son sous-marin le plus profond possible Le Thresher n’était pas seul, il était en communication radio avec l’USS Skylark, un navire équipé pour le sauvetage en mer, mais pas pour celui d’un sous-marin nucléaire en plongé. Ce bâtiment se trouvait sur la zone de manœuvre du Thresher et pouvait lui porter secours, mais seulement si celui-ci faisait surface.

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    Uss Scorpion, 21 mai 1968
     
    Tout se passait bien jusqu’à ce que, tout à coup, le commandant du Thresher envoie au Skylark, à 9 h 13 exactement, le message suivant: «Thresher annonce: faisons face à difficultés mineures. Angle ascendant positif. Tentons de chasser. Vous tiendrons informés.».
     De toute évidence, le sous-marin avait quelques problèmes, des avaries de peu d’importance qui ne le mettaient pas en danger.(...)

    Source : investigationsoanisetoceanographiee 

    L'USS Scorpion (SSN-589) est un sous-marin nucléaire d'attaque américain, de la classe Skipjack construit au chantier naval Electric Boat de Groton mis en service en 1960 qui a coulé le 22 mai 1968 dans l'Atlantique Nord dans des circonstances qui ne sont aujourd'hui pas complètement éclaircies. On pense qu'une torpille aurait pu exploser dans le sous-marin, l'hypothèse de l'implosion a aussi été étudiée. L'ensemble de l'équipage de 99 hommes a péri dans l'accident. L'épave qui a été retrouvée au bout de 5 mois de recherches se trouve à une profondeur de 3 300 mètres non loin de l'archipel des Açores.   

    Zone de naufrage du Scorpion Les recherches se sont basées sur l'analyse des sons captés sous la mer par les installations sonar SOSUS de la marine américaine et d'installations civiles similaires aux îles Canaries. Le Dr John Craven travaillant pour l’US Navy et la DIA a été un des acteurs principaux de cette recherche, avec le Dr Gordon Hamilton travaillant pour l’Office of Naval Research qui possédait un centre de recherches aux Canaries. Une fois la zone localisée à quelques kilomètres, avec l'aide de mathématiciens qui précisèrent de façon statistique la localisation de l'épave, l'USS Mizar fut dépêché sur les lieux et trouva le Scorpion le 29 octobre 1968, 5 mois après le drame à l'aide de barges submersibles trainées par le Mizar et équipées de caméras. L'USS Trieste (DSV-1) sera ensuite utilisé en 1969 pour prendre des photos1 et déterminer la cause de l'accident.

     Cet accident fait suite à la perte du sous-marin USS Thresher (SSN-593) en 1963. Une expédition secrète, mise en place par l’US Navy en 1986, sous couvert de la recherche de l'épave du Titanic, fut menée, dirigée entre autres par l'océanographe Robert Duane Ballard, avec pour mission de localiser les épaves du Scorpion et de l'USS Thresher. Des photos en couleurs ont permis aux ingénieurs d'avoir une meilleure vision de l'état de l'épave et on a pu conclure d'après l'état des coques que ces deux naufrages n'avaient pas pu être le fait d'attaques sous-marines soviétiques.

      Dans chacun des cas (USS Thresher et USS Scorpion), à la suite d'une des multiples causes possibles, une importante voie d'eau serait survenue mettant rapidement en panne les circuits électriques commandant la purge des ballasts et/ou la propulsion nucléaire, avant même que l'équipage ait pu émettre un message d'alerte. Les submersibles, en s'enfonçant inexorablement, auraient alors dépassé leur profondeur maximale de résistance à la pression (entre 600 et 700 m), ce qui a eu pour effet l'implosion de leur épaisse coque en deux ou trois segments et une multitude de débris le long d'une trajectoire de plusieurs kilomètres de long, les débris les plus légers ayant été emportés encore plus loin par les courants. Les réacteurs ont été retrouvés intacts. Si les marins ont eu le temps durant ces longues minutes de descente de se savoir condamnés, leur mort fut néanmoins instantanée lors de l'implosion de leur submersible à une telle profondeur. Source : wikipedia

    Le cratère Patomski

    Quelques énigmes de plus

    L’éruption d’un volcan, la chute d’un météorite ou le crash d’un vaisseau spatial extraterrestre ? Les scientifiques russes comptent mettre un point final aux discussions sur l’origine d’un des endroits les plus mystérieux de la planète, le cratère Patomsky en Sibérie orientale. La neuvième expédition se rendra au printemps 2013 vers cet objet géologique dans la région d’Irkoutsk.  

    Le cratère Patomsky domine la taïga comme une pyramide égyptienne. Les chasseurs locaux l’ont baptisé « Nid de l’aigle de feu ». Sa structure a un diamètre de 180 m et une hauteur de 40 m. Le directeur de l’Institut de l’écorce terrestre Dmitri Gladkotchoud estime que le mont a été nommé « cratère » par erreur :   « Lorsqu’on parle d’un cratère, on suppose une cavité. Dans ce cas-là, il s’agit plus tôt d’un cône, c’est-à-dire qu’il il existe une forme positive du relief. Ensuite, le cratère apparaît généralement suite à la chute de corps célestes ».

      Huit expéditions ont essayé d’établir l’origine du « Nid de l’aigle de feu », mais aucune version, dont celle de la chute d’un météorite ou le crash d’un OVNI n’a été confirmée.

    "La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"

    Source : area51blog

     

     Le cratère Patomsky (russe : Патомский кратер, anglais : Patom crater, Patomsky crater) est une structure en forme de cratère dans les Highlands de Patomsky, dans le district de Bodaybinsky, oblast d'Irkoutsk, en Sibérie. La structure a été découvert en 1949 par le géologue Vladimir Kolpakov.
     
    La structure a un diamètre de 180 m et une hauteur de 40 m. Des expéditions scientifiques ont eu lieu en 2006, 2008 et 2010. Les études dendrologiques indiquent un âge de 480 ans ou moins. La masse de roches déplacée est estimée à environ 1 million de tonnes.
     
    Les résultats mettent en évidence un volcan qui pourrait être causé par la vapeur et le dégagements instantanés de gaz. En particulier, il pourrait, selon les résultats de la cinquième expédition, s'agir de cryovolcanisme du petit âge glaciaire.

    Source : wikipedia

     Il s'agit d'une structure géologique unique sur la Terre, situé dans un lointain secteur montagneux recouvert par des broussailles denses de la Sibérie Oritentale. Le nom de cette structure géologique est Patomsky Cratère, qui a été découvert lors de levés géologiques de routine en 1949 par le géologue russe VV Kolpakov. Patomsky cratère est situé à environ 200 km au nord-est du lac Baïkal. Lac qui est dans la partie orientale de la région  d'Irkoutsk. Depuis sa découverte, trois expéditions géologiques en 2005 - 2008  ont été envoyées à la découverte de la nature du cratère. Comme seul un hélicoptère est le transport possible pour cette expédition, les équipements  géophysiques ont été très limités.

    La quatrième expédition menée en août 2010 a emmené 7 ensembles d'équipement AMT (électromagnétique), assez pour fournir en temps bref un profil AMT, qui traverse le cratère Patomsky dans la direction orthogonale à la structure des roches du Protérozoïque qui contiennent le cratère. Des tests d'inversion 2-D des courbes de TE et TM aussi bien que les données du materiau ont été faits. Les données AMT montrent qu'un corps à l'intérieur du Cratère possède une haute résistivité à plusieurs centaines de mètres de profondeur. Ce corps s'est encastré dans les roches hôtes métamorphes du Protérozoïque. Le matériel et les réels  vecteurs d'induction de données ont été très utiles pour déterminer la structure 3-D compliquée de la zone...
    Source : earthdoc

       

    Rencontres sous-marines

    Rencontres de militaires soviétiques avec des extranéens et des OVNI sous-marins. Ceci est un exemple de ce que l’on peut trouver dans des rapports officiels et on ne peut plus sérieux de témoins responsables et sous autorités compétentes.

    Le chercheur Paul Stonehill écrit qu’il existe de nombreux rapports soviétiques concernant des rencontres avec des objets étranges sous la mer. Durant l’été de 1982, Mark Shteynberg et le lieutenant-colonel Gennady Zverev dirigeant les entraînements périodiques des plongeurs de reconnaissance (hommes-grenouilles) des régions militaires du Turkestan et de Centre Asie. Les entraînements avaient lieux au lac Issyk-Kul, un lac profond dans la région des Ala-Taou Transiliens [NDT : 42°30'N par 77°30'E, près de la frontière chinoise]. Le général-major V. Demyanko, commandant le Service des Plongeurs Militaires des Forces du Génie du Ministère de la Défense, rendit à des officiers une visite impromptue. Il venait les informer d’un événement extraordinaire qui s’était produit en Sibérie.

    Des hommes-grenouilles avaient été confrontés à des nageurs sous-marins semblables à des hommes mais de grande taille (environ 3 mètres de haut) ! Ces nageurs, malgré l’eau glacée, étaient vêtus de combinaisons collantes argentées. Par 50 mètres de fond, ces êtres ne portaient pas d’appareils respiratoires, mais des casques sphériques masquant leurs têtes. Alertés par ces rencontres, le commandant militaire local décida de capturer une de ces créatures. Dans cette intention, un groupe spécial de plongeurs poursuivit un des étranges nageurs. Lorsqu’ils tentèrent de la coiffer avec un filet, le groupe entier fut projeté par une force puissante hors des eaux profondes vers la surface.(..)

    Peu de temps plus tard, les militaires du Turkménistan reçurent un ordre du commandant en chef des Forces Terrestres. Il s’agissait d’une analyse détaillée des événements du lac Baïkal. Les documents contenaient des rapports des Forces du Génie, énumérant les apparitions de créatures sous-marines dans de nombreux lacs, de disques géants et de sphères rentrant et sortant des lacs, de lumières puissantes provenantdes fonds, etc. Les documents étaient classés très secrets et avaient pour objet « d’éviter les rencontres inutiles ». Mark Shteynberg était en service près du lac Sarez, dans les monts Pamir. Ce lac a une profondeur d’environ un kilomètre et demi. Des radars sophistiqués ont suivi les satellites US SDI depuis cette région. Ces radars repéraient régulièrement des objets discoïdes qui plongeaient et disparaissaient dans le lac Sarez, puis refaisaient surface et décollaient.
     
    Les dossiers du Centre Russe de Recherches Ufologiques contiennent des rapports similaires émanant d’officiers de marine et d’agents de renseignements. L’information la plus intéressante sera publiée dans le nouveau livre des co-auteurs Paul Stonehill & Philip Mantle. Les dossiers secrets de la marine soviétique contiennent énormément d’informations précieuses sur des observations d’OVNIs ; les chercheurs soviétiques étaient extrêmement consciencieux. M. Krapiva assista à des conférences données par des sous-mariniers soviétiques , ceux-ci firent état de repérage au sonar d’objets sous-marins se déplaçant à très haute vitesse. Les techniciens en hydroacoustique « entendaient » d’étrange « cibles » à grande profondeur. Leurs sous-marins étaient en fait suivis par d’autres « sous-marins ».

    Les poursuivants modifiaient à volonté leurs vitesses et celles-ci étaient de très loin supérieures à tout ce que pouvait atteindre n’importe quel autre vaisseau au monde. Le lieutenant-colonel Oleg Sokolov informa ses étudiants que, dans les années 1960, tandis qu’il était en service comme navigateur à bord de son sous-marin, il avait observé, par son périscope, un objet étrange sortir de l’eau et décoller. Le professeur Korsakov de l’Université d’Odessa, rapporta que, dans les années 1950, des officiers soviétiques de la base navale de Sevastopol avaient observé et photographié, en mer Noire, un OVNI qui s’élevait de derrière un croiseur de bataille.(...)

    Source : investigationsoanisetoceanographiee

     

      LA ZONA DEL SILENCIO (zone du silence) au Mexique

    OVNIS, quelques énigmes de plus

    La Zone du Silence, en espagnol :  la Zona del Silencio, est une zone désertique située au nord du Mexique au Bolsón de Mapimí, plus précisément au tripoint des États de Chihuahua, Durango et Coahuila. Elle a été remarquée la première fois dans les années 1930 par Francisco Sarabia, un pilote mexicain qui a prétendu que sa radio avait mystérieusement cessé de fonctionner lorsqu'il l'avait survolée. Par la suite, d'autres personnes auraient signalé une disparition des signaux radio et des « pannes de boussole » lors de la visite du secteur, qui attirerait de plus les météorites et susciterait divers problèmes mentaux chez les visiteurs. Cette zone se situe sur la même parallèle que le Triangles Des Bermudes et que les grandes pyramides de Gizeh.

    Des aberrations magnétiques rendent les communications radios impossibles dans certaines parties du secteur, ce qui est officiellement connu sous le terme Vertice de Trino :  l'endroit où les frontières des trois états mexicains de Durango, Chihuahua et Coahuila se rejoignent entre le 36° et le 38° parallèle. Afin de décourager tout bavardage paranormal, les scientifiques mettent souvent l'accent sur les fascinantes anomalies biologiques découvertes par les chercheurs à cet endroit  : d'étranges reptiles et une végétation unique à la région, région qui se trouvait submergée il y a très longtemps, comme le prouvent les fossiles marins que l'on peut trouver éparpillés sur les lieux.

    Il est intéressant de noter que certains sites web officiels n'hésitent pas à mentionner la légende surnaturelle qui s'est formée autour de la Zone du Silence, telle que la croyance qu'une région avec les mêmes caractéristiques doit exister quelque part, de l'autre côté du monde, perdue en Asie centrale, un endroit où les « énergies terrestres » se concentrent. La pleine conscience de la Zone du Silence en tant qu'anomalie a vu le jour au début des années 1970. Le professeur et journaliste mexicain Santiago García, habitant à Torreón dans l'état de Coahuila, décida de se rendre dans cet endroit bizarre pas loin de chez lui (à environ 95 km) et de rédiger un des premiers articles disponibles pour le lecteur profane.

    Source : homme-et-espace

     

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