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Un trou en Antarctique
Un trou en Antarctique
Une découverte en Antarctique pourrait changer le monde : des structures artificielles trouvées sous 3 km de glace.
Des nouvelles dérangeantes ont fait l’objet d’une fuite à partir du continent géant en bas du Monde. Les chercheurs russes postés près de l’énorme Lac Géant sous glaciaire Vostok au pôle Sud ont signalé des anomalies et des incidents étranges au cours des dernières années qui semblent parfois aux frontières de la folie rampante.
En avril 2001, un des grands secrets du monde a été révélé : une ancienne structure ou un appareil qui se trouvait enfermé des kilomètres glace dure sur l’Antarctique a été détecté par un satellite espion itinérant. L’armée américaine s’est immédiatement employée à annuler les rapports et cela a été consciencieusement respecté par les médias d’information traditionnels.
Malgré le blackout des informations, des rapports ont encore fait surface selon lesquels un projet de fouilles secrètes avait commencé dans la foulée de la découverte. Certains pays européens ont formellement protesté contre la fouille par l’armée américaine.
«Si c’est quelque chose que l’armée américaine a construit là-bas, alors qu’ils violent le Traité International sur l’Antarctique « , a déclaré un assistant de Nicole Fontaine, au moment où elle était présidente française du Parlement Européen.
“Si non, c’est quelque chose vieux d’au moins 12,000 ans, ce qui est la durée depuis laquelle la glace recouvre l’Antarctique. Cela en ferait la plus ancienne construction faite par l’Homme sur la planète. Le Pentagone doit tenir compte des appels du Congrès et publier ce qu’il cache.
Source : area51
L'Antarctique
L'Antarctique (prononcé /ɑ̃.taʁk.tik/ Écouter, ou aussi /ɑ̃.taʁ.tik/) est le continent le plus méridional de la Terre. Situé autour du pôle Sud, il est entouré de l'océan Austral (ou océan Antarctique) et bordé par les mers de Ross et de Weddell.
Avec une superficie de 14 millions de kilomètres carrés, l'Antarctique est plus petit que l'Asie, l'Afrique ou l'Amérique ; seules l'Europe et l'Océanie sont plus petites que lui. Quelque 98 % de sa surface sont recouverts d'une couche de glace d'une épaisseur moyenne d'1,6 km. C'est pourquoi la morphologie du sous-sol antarctique reste encore peu connue voire inconnue, alors que petit à petit se dévoile la présence de lacs subglaciaires et de chaînes de montagnes subglaciaires comme celle de Gamburtsev.
L'Antarctique est le continent le plus froid, le plus sec et le plus venteux. C'est également, de tous les continents celui qui a l'altitude moyenne la plus élevée. Puisqu'il n'y tombe que peu de précipitations, excepté sur ses parties côtières où elles sont de l'ordre de 200 mm par an, l'intérieur du continent constitue techniquement le plus grand désert du monde. Il n'y a pas d'habitat humain permanent et l'Antarctique n'a jamais connu de population indigène. Seuls des plantes et des animaux adaptés au froid, au manque de lumière et à l'aridité y survivent, comme des manchots, des phoques, des poissons, des crustacés, des mousses, des lichens et de nombreux types d'algues.
Le nom « Antarctique » vient du grec ἀνταρκτικός (antarktikós), qui signifie « opposé à l'Arctique ». Bien que des mythes et des spéculations concernant une Terra Australis (« Terre Australe ») remontent à l'Antiquité, le continent ne sera aperçu pour la première fois qu'en 1820 par l'expédition russe de Mikhaïl Lazarev et Fabian Gottlieb von Bellingshausen. Cependant le continent suscita peu d'intérêt jusqu'à la fin du XIXe siècle, principalement en raison de son environnement hostile, de son manque supposé de ressources naturelles et de son isolement géographique.
Source : wikipedia
L'antarctique sans glace
Des glaciologues ont modélisé avec précision l'Antarctique et ainsi révélé ce que serait ce continent du pôle sud, sans les kilomètres de glace qui le recouvrent...
Pour comprendre comment la glace réagit aux changements de température et de hauteur des océans, des chercheurs du British Antarctic Survey ont modélisé le continent Antarctique. Pour ce faire, ils ont utilisé des données sur l'épaisseur de la calotte Antarctique et la topographie du continent, collectées grâce au satellite Nasa ICESat et au programme Operation IceBridge.
Ce nouveau modèle leur a permis de tester différent scénarios, mais aussi de découvrir à quoi ressemblerait l'Antarctique, si toute la glace qui le recouvre fondait. Dans la vidéo en images de synthèse (et en anglais) qu'ils ont produite, on voit la glace disparaitre pour laisser place au relief de l'Antarctique, ressemblant à une grande étendue désertique.
Source : cieletespace
Un éco-système étonnant !
Des biologistes ont découvert l'existence d'une faune étonnamment complexe, vivant dans une obscurité perpétuelle à 740 mètres sous les glaces de l’Antarctique. Fait surprenant, cet écosystème comprend des poissons.
C'est une découverte pour le moins surprenante qui vient d'être réalisée par des biologistes marins de Northern Illinois (États-Unis). Et pour cause, puisque ces scientifiques ont mis au jour l'existence d'une faune étonnamment riche et complexe, vivant dans le froid et l'obscurité perpétuelle à 740 mètres de profondeur sous la barrière de Ross, cette épaisse couche de glace qui recouvre de façon permanente la moitié sud de la mer de Ross, en Antarctique.
Pour réaliser cette découverte, ces scientifiques ont creusé un trou dans la barrière de Ross, dans lequel ils ont fait descendre un robot télécommandé muni d'une caméra et d'une source de lumière, baptisé Deep SCINI (Submersible Capable of under Ice Navigation and Imaging).
A 740 mètres de profondeur, les chercheurs ont accédé à une nappe d'eau profonde de 10 mètres à peine, coincée entre la couche de la glace de 740 mètres d'épaisseur située au-dessus de la nappe, et un fond rocheux s'étendant en-dessous. Un lieu si isolé et hostile que les chercheurs s'attendaient à n'y trouver qu'une vie de type microbienne...
Mais en lieu et place de cette vie microbienne, c'est un écosystème beaucoup plus complexe que les auteurs de ces travaux ont découvert dans cette nappe d'eau : "Je suis surpris", a indiqué Ross Powell, co-auteur de ces travaux, à la revue Scientific American. "J'ai travaillé dans cette région durant toute ma carrière [NDLR : Ross Powell a 63 ans]. Vous finissez par voir ces endroits comme des lieux désolés, n'abritant que très peu de nourriture, ne pouvant héberger que très peu de vie".
Première surprise : la présence d'une trentaine de poissons, appartenant à plusieurs espèces inconnues. Pourquoi est-ce une surprise ? Parce que l'eau y est à -2°C, et que nulle lumière n'y entre. Soit des conditions de vie si extrêmes qu'il est difficilement imaginable d'y trouver des communautés de micro-organismes suffisamment denses pour nourrir des organismes aussi larges et complexes que ceux de poissons.
Et d'ailleurs, les chercheurs ont pu constater que cette nappe d'eau ne contenait effectivement que très peu de micro-organismes, au vu de la grande clarté de l'eau. Sans compter que les sédiments présents sur le fond rocheux étaient accompagnés de quartz, un minéral qui représente une valeur nutritionnelle très faible pour les microbes.
Par conséquent, quelle peut bien être la source de nourriture de ces poissons ? Cet écosystème est probablement alimenté par l'énergie chimique venant de l'intérieur de la Terre, plutôt que de la lumière du soleil. Bactéries et autres microbes pourraient se nourrir de particules minérales situées sur le dessous de la couche de glace, ou apportées par des rivières subglaciaires. Les microbes situés en bas de cette chaîne alimentaire pourraient aussi se nourrir de méthane, dégagé par les anciens sédiments marins situés plusieurs centaines de mètres sous la fine nappe d'eau.
Maintenant, à quoi ressemblent ces poissons ? L'espèce la plus grande en taille regroupe des poissons longs d'une vingtaine de centimètres et dont le corps est étrangement translucide (voir photo ci-dessus), laissant apparaître les organes internes (taches rouges) de l'animal. Quant aux deux autres espèces détectées, il s'agit de poissons plus petits, les uns de couleur noire, et les autres de couleur orange.
Source : journaldelascience
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