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Incroyables Coïncidences
Incroyables Coïncidences
Laura Buxton
Tout a commencé le 14 juin 2001, dans la banlieue de Manchester. "Nous fêtions les 50 ans de mariage de mes grands-parents. Mon grand-père m'a donné un ballon gonflé à l'hélium, j'ai écrit mon nom et mon adresse dessus, et je l'ai laissé s'envoler dans l'espoir que quelqu'un le trouve", Laura Buxton (blonde). Au fil des jours et au gré du vent, le ballon parcourt le ciel d'Angleterre. De son côté la petite Laura ne se fait pas d'illusions. "J'étais persuadé que je n'aurais jamais de nouvelles, que le ballon s'évanouirait dans la nature, alors j'ai vite oublié", Laura Buxton (blonde). Pourtant à plus de 250 km de là, dans la campagne londonienne, une petite fille découvre un ballon tombé dans son jardin. "J'ai regardé sur le ballon. Il y avait un petit mot qui disait : si vous trouvez ce ballon, contacter Laura Buxton.
Mais Laura Buxton, c'était moi ! Je me suis dit, qu'est-ce que c'est que cette histoire", Laura Buxton (brune).Le ciel réserve parfois bien des surprises. Ces deux jeunes femmes habitent à 275 km l'une de l'autre. Elles n'avaient a priori rien en commun, ni aucune chance de se rencontrer un jour. Pourtant, il y a 10 ans, le destin leur a fait un très beau cadeau.
En effet, aussi incroyable que cela puisse paraître, le ballon atterrit chez une autre petite fille qui s'appelle aussi Laura Buxton. "Il y avait une chance sur 1 million pour que cela arrive. Peut-être moins encore. Il fallait que je rencontre cette Laura, que je lui parle, je voulais juste la voir pour vérifier que tout était bien réel", Laura Buxton (brune). Aussitôt, la jeune fille prend sa plume et écrit à l'autre Laura. "Quelques jours plus tard, j'ai reçu une lettre d'une Laura Buxton. Elle avait le même nom et le même prénom que le mien. C'était improbable, je n'arrivais pas à y croire. Il y avait tellement peu de chances pour qu'une telle chose se produise. Le fait que mon ballon tombe chez une autre Laura Buxton était juste impossible", Laura Buxton (blonde). Tout comme l'autre Laura, elle a du mal à réaliser ce qui arrive.
Avec l'aide de leurs parents, les deux Laura se donnent rendez-vous et elles ne sont pas au bout de leurs surprises. "La première fois que l'on s'est vu, j'ai eu un choc, car nous étions habillées de la même façon", Laura Buxton (brune). Et ce n'était que le début d'une incroyable série de coïncidences.
La première Laura Buxton a 10 ans, elle mesure 1 m 34, elle a un labrador noir, un lapin blanc et un cochon d'Inde marron. L'autre Laura a aussi 10 ans, mesure 1 m 34, a un labrador noir, a un lapin blanc et un cochon d'Inde marron. Avec autant de similitudes, il n'en fallait pas davantage pour qu'une belle amitié naisse entre les deux Laura. "Notre amitié a été immédiate. On s'entendait tellement bien", Laura Buxton (blonde). "On s'est beaucoup vu la première année. Et malgré les distances, on essaie de se voir le plus possible", Laura Buxton (brune). Une amitié sincère, un joli signe du destin que les deux jeunes femmes essayent encore aujourd'hui de s'expliquer. "Je ne crois pas que ce soit une question de chance. Il y a forcément un sens à tout cela, on était faite pour se rencontrer", Laura Buxton (blonde). "C'est une amitié ordinaire, mais qui a commencé de façon extraordinaire. On va avoir une belle histoire racontée à nos petits-enfants quand nous serons vieilles", Laura Buxton (brune).
Simple hasard ou formidable destinée, peu importe. À 20 ans, Laura et Laura ne sont peut-être pas au bout de leurs surprises...
Deux frères se retrouvent
35 ans plus tard en travaillant ensemble !
Changer de travail peut donner de drôles et belles surprises. Et parfois bien au-delà d'une carrière professionnelle. L'exemple de Gary et Randy en est révélateur. Ces deux frères orphelins, séparés à la naissance et élevés dans deux familles d'adoption différentes, se sont retrouvés complètement par hasard sur leur lieu de travail... 35 ans après avoir été séparés.
Employé depuis sept ans comme déménageur de lit, Gary Nisbet est rejoint en juillet dernier par un nouveau collègue, Randy Joubert. Étrange : cette nouvelle recrue lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Les deux hommes ont donc de quoi sympathiser très vite, mais cette proximité physique surprend leur entourage. Au point que les tournées chez les particuliers se transforment parfois en véritables interrogatoires. "Les clients nous demandaient de plus en plus souvent si nous étions frères", confie Randy. "C'est à ce moment là que la question m'a traversée l'esprit".
Intrigué, il se met à enquêter auprès des institutions officielles de l'Etat du Maine et obtient le nom de ses parents biologiques. Au cours d'une discussion entre deux livraisons, les deux déménageurs découvrent finalement leur véritable lien. Pendant 35 ans, ils ont vécu tout près l'un de l'autre sans jamais le savoir avant de se retrouver à travailler ensemble dans le même camion de déménagement !
C'est le Bangor Daily News, une publication locale du Maine, aux Etats-Unis, qui a raconté ces belles retrouvailles. Un article qui a en plus permis aux deux frères de retrouver dans la foulée une demi-sœur du côté paternel.
Source : linternaute
Une très belle histoire….de jumeaux
Dans l’Église il y a des cas de frères jumeaux qui ont été ordonnés prêtres ensemble, et aussi des cas d’enfants qui allaient être avortés mais qui sont nés et qui sont arrivés à être des prêtres ou des évêques qui ont aidé beaucoup de personnes.
Les jeunes Felipe et Paulo, aujourd’hui âgés de 28 ans, cumulent les deux choses: êtres des jumeaux prêtres qui ont survécu à la culture de l’avortement
Quand au Chili l’avortement était légal -- En effet, au Chili, leur pays, l’avortement dit « thérapeutique » a été légal pendant 58 ans, jusqu’à ce qu’en 1989 tout avortement soit interdit. Cela n’a pas rendu pire la santé des femmes : au contraire, la santé maternelle du Chili est la meilleure du continent américain, juste après celle du Canada. Et comme dans les pays voisins, il n’y a pratiquement pas d’avortement légal, les chiffres ne cachent quasiment pas de Chiliennes qui iraient à l’étranger pour avorter.
« Ils ont dit à maman d’avorter car le bébé venait mal, avec trois jambes et quatre bras…mais elle n’a pas voulu, elle a choisi la vie bien qu’en ce temps-là, elle aurait pu (ne pas le faire), puisqu’elle était supposée être dans une situation de risque » dit Paulo.
Le fait est que la maman a été récompensée de son pari pro-vie, ce n’est pas un enfant sain, mais deux, identiques, qui sont nés avec 17 mn de différence.
Cela ne signifie pas que tout soit merveilleux dans la vie, qu’il n’y a jamais de lutte. Quand ils eurent 14 ans, la famille s’est brisée. Mais cela a rapproché les garçons de Dieu et d’une vie de service dans l’Église. « Mes parents se séparèrent et cela nous a beaucoup marqués tous les deux. Comme notre village était petit, la seule chose qu’il y avait c’était l’église, et nous y sommes arrivés à cause des choses de la vie », racontent-ils.
À 18 ans, ils ont décidé d’entrer au Séminaire, bien que cela ait été quelque chose qu’ils avaient décidé chacun de leur côté, sans se consulter entre eux. « Ce fut quelque chose d’étrange, parce que je n’ai pas voulu en parler pour ne pas influence mon frère. Mais quand est arrivé le moment d’avoir à décider ce que nous allions faire de nos vies, nous avons tous les deux décider d’entrer au séminaire », expliquent-ils
Au séminaire on leur donna des surnoms amusant ; « les photocopies », les «tangananica-tangananá » (ndt en référence à des personnages animés, deux surmulots - les « guarenes », qui portent ces noms et chantent dans des émissions pour enfants très connues). Ils ont suivi huit ans de formation dont deux de philosophie, une d’expérience pastorale, une de pratique et quatre de théologie au Grand Séminaire « San Rafael ».
« C’était très beau. Lors de la messe nous avons eu les mains ointes avec une huile spéciale [1], qui a fait de nous des prêtres de l’Église Catholique. La cérémonie a été spectaculaire. L’église était pleine de gens qui nous avait accompagnés à différentes étapes du processus, depuis notre entrée au séminaire », explique Paulo.
« On se sent désormais dans la plénitude. On peut se projeter comme prêtre pour une longue période dans la paroisse où nous avons été affectés » affirme Felipe.
Après huit ans d’études et de deux de formations au Séminaire “San Rafael”, ils ont été ordonnés prêtres en avril 2012, à la cathédrale de Valparaiso, par l’évêque Gonzalo Duarte. Les deux jumeaux ont été affectés dans des paroisses différentes : le père Paulo à Achupallas et le Père Felipe à Puchuncaví (un peu au nord de Valparaiso et à moins d’une cinquantaine de km l’une de l’autre).
Blagues de jumeaux --- Comme ont l’habitude de faire les jumeaux, ils continuent à s’amuser avec leurs blagues: « Les gens nous confondent et je me fais souvent passer pour mon frère. Le plus drôle c’est de voir la réaction des personnes. C’est un défaut des jumeaux, un "plus" dont nous ne pouvons nous passer », admet le père Paulo.
Il se souvient : « quand nous étions gamins, on racontait que nous avions des dons psychiques, moi je disais quelque chose à l’oreille de quelqu’un et mon frère devait deviner. Le truc c’est que je disais quelque chose qu’il avait dans la main. Les gens en devenaient fou et pensaient que nous avions cette capacité, ce qui n’a jamais été le cas ».
Mais celui qui fera très attention pourra les distinguer : « Felipe est le plus grand, mais dans la paroisse, ils disent que j’ai la voix plus forte », affirme le père Paulo. En outre l’un est gaucher et l’autre droitier. Source : benoit-et-moi
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