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La génodique
LA GENODIQUE
Une nouvelle science de la Nature : la musique du Vivant
Chacun sait que la musique agit sur l’humeur des humains et de certains animaux.
Depuis les années 60, de nombreux chercheurs ont observé des effets de certaines musiques sur la croissance de plantes. Joël Sternheimer, Docteur en physique théorique et musicien, a non seulement trouvé comment expliquer ces effets, mais aussi les reproduire systématiquement et avec une plus grande intensité, de manière scientifique. Ses recherches, depuis plus de 40 ans, ont prédit et indirectement mis en évidence que: Les différents niveaux d’organisation de la matière (inerte ou vivante) sont reliés par des « ondes d’échelle » qui en assurent la cohérence.
Lors du processus de synthèse des protéines, les acides aminés émettent des séquences de signaux quantiques qui constituent une mélodie spécifique de chaque protéine. Par les ondes d’échelle, les transpositions de ces mélodies dans la gamme audible peuvent influer sur le taux de synthèse des protéines.
La physique quantique a montré que les particules élémentaires qui composent les atomes, les molécules ou bien les assemblages moléculaires peuvent présenter deux aspects : corpusculaire et ondulatoire. A toute quantité de matière peut être associée une onde quantique dont la fréquence peut être calculée.
A partir de ces concepts, la génodique permet de caractériser des ondes particulières, naturellement associées au processus de synthèse des protéines. Celles-ci sont de grosses molécules, synthétisées dans les organismes à partir d'informations provenant de gènes du génome. Les protéines sont un constituant majeur du vivant : elles ont un rôle actif dans pratiquement tous ses processus.
Source : .genodics.com/
Un livre intéressant sur les plantes
La génodique et les viticulteurs !
La musique adoucit les mœurs… et les plantes ! La vigne n’y échappe pas. Certaines maladies de la vigne peuvent désormais être réduites de 80% grâce à la musique. C’est le cas sur une parcelle de Cabernet Sauvignon au Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves. Une innovation qui garde en ligne de mire la production de vins d’exceptions.
L'association de la musique et de l'agriculture est une tradition de longue date. La pratique des chants agraires, millénaires, sur les cinq continents, en témoigne. Qu'ils viennent de Chine, d’Amérique du sud ou bien de Corse, ces chants traditionnels nous rappellent la capacité des hommes à dialoguer avec la nature.Chacun sait que la musique agit sur l’humeur des humains et de certains animaux. Je peux d’ailleurs témoigner que la musique jouée par Nicolas Dautricourt, soliste à la renommée internationale, à qui j’ai prêté mon Stradivarius baptisé « Château Fombrauge », peut m’apaiser. C’est également pour cela que je mets toujours un fond sonore dans mon bureau de Mozart ou de Bach.
Depuis les années 60, de nombreux chercheurs ont observé des effets de certaines musiques sur la croissance de plantes. Plus récemment, des chercheurs de plusieurs pays ont remarqué que des plantes réagissaient à certaines musiques. Des vignerons et des maraîchers ont aussi commencé à diffuser des musiques classiques pour améliorer leurs productions.Joël Sternheimer, Docteur en physique théorique et musicien, a proposé une explication de ces effets, permettant de les produire avec une précision moléculaire, depuis les plantes sensibles à leur environnement sonore jusqu'aux humains qui, par une écoute attentive, peuvent en reconnaître l'adéquation pour eux-mêmes.
Les maladies du bois sont coûteuses pour les vignerons et très dommageables pour la pérennité du patrimoine viticole. Les parasites responsables de ces maladies provoquent à plus ou moins long terme la mort du cep et peuvent nécessiter un renouvellement des plants pouvant atteindre, certaines années, jusqu’à 10 % d’une parcelle. Depuis environ une dizaine d’années on constate une progression inquiétante de ces maladies. Le vignoble français regroupe trois principales maladies du bois : l’eutypiose, l’ESCA et le BDA.
C’est pourquoi, avec nos équipes à la vigne nous avons voulu trouver des moyens alternatifs et innovants pour lutter contre ces maladies qui peuvent toucher mes Grands Crus Classés à Bordeaux. Ainsi j’ai décidé de faire appel à la société Genodics qui a développé une technique novatrice : la « génodique » ou le traitement des maladies de la vigne par la musique.Depuis 2008, Genodics propose une approche novatrice et non invasive dans les domaines de la viticulture mais aussi du maraîchage et de l'élevage. Elle développe des applications du "procédé génodique", découvert et breveté par le physicien Joël Sternheimer et qui permet de prévenir et de traiter des maladies, et d'aider à la croissance et au développement, notamment dans des conditions de stress, dans le respect des organismes et de leur environnement.
La génodique permet des approches globales d’organismes vivants, par l’intermédiaire des « ondes d’échelle » qui relient les différents niveaux de structuration du vivant. Des mélodies de protéines, dénommées « protéodies », peuvent ainsi être diffusées dans les vignes pour réguler le taux de synthèse de protéines spécifiques, au niveau cellulaire.
Pour une vigne affectée par l’ESCA ou le BDA, il est possible :
- de ralentir la croissance des champignons, par la réduction du taux de synthèse d’une de leurs protéines, - de renforcer le processus de défense naturelle de la vigne, à savoir la production de polyphénols et notamment du resvératrol, par l’augmentation du taux de synthèse d’une protéine clé de cette chaîne métabolique.
Au Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves, nous traitons une parcelle de vigne datant de 1940, car les vignes les plus anciennes sont les plus fragiles et sont déjà bien exposées à l’ESCA.
Ce procédé nous a permis d’obtenir des résultats significatifs. En 2014, sur les parcelles de Carbernet Sauvignon du Château Pape Clément, traitées avec Génodics, la baisse moyenne de la mortalité par l'ESCA a été de 80 %, par rapport à leur moyenne de mortalité des 3 années précédant l'installation.
En 2012, le nombre de pieds de vignes morts ou en fin de vie s’élevait à 992 sur cette parcelle de 20.000m². En 2013, nous avions réussi à faire baisser ce chiffre à 536 en partie par la replantation des pieds disparus. Depuis la mise en place du dispositif début 2014, nous avons ramené ce chiffre à 108 pieds sur 19040 pieds en totalité. Cette baisse de 80% au Château Pape Clément est une vraie réussite du dispositif.Ainsi grâce à ce procédé nous pouvons prétendre à la pérennité de notre vignoble. La poursuite de l’excellence qui passe par toutes les techniques appliquées sur nos terroirs reste pour nous une priorité.
Source : bernard-magrez
Reportage de France TV info
Depuis quelques années, la musique est utilisée par les viticulteurs pour lutter contre l'esca, des champignons qui attaquent la vigne. Une mélodie particulière est diffusée au coeur des vignobles chez une douzaine de professionels à Vouvray (Indre-et-Loire).La mélodie est diffusée deux fois par jour par des haut-parleurs au coeur des vignes. Ce n'est ni du rock, ni de la musique classique, mais de la musique organique, également baptisée "protéodie". Elle permet de lutter contre l'esca, une maladie qui se déclare au début de l'été. Les champignons pénètrent le bois, s'attaquent aux vaisseaux de sève et les bouchent.
Les vibrations du son stimulent les protéines de la vigne
Basée sur les travaux de Jöel Sternheimer, un physicien français, cette technique permet de stimuler ou inhiber les protéines qui vont aider la plante à mieux résister à l'esca. La diffusion du son va, en fonction de ses vibrations, stimuler les protéines de la plante attaquée, tout en annihilant les protéines de l'agresseur. Il est ainsi possible d'entretenir un dialogue entre l'espèce végétale qui attaque et celle qui est attaquée.
la mortalité a baissé de 40 %
Depuis quatre ans, Jean-Bernard Berthomé, chef de culture au domaine Huet à Vouvray (Indre-et-Loire) utilise la musique pour protéger ses vignes. Dès la deuxième année, on a constaté quelque chose, confie-t-il. La partie non protégée par la musique était plus atteinte par la maladie que la partie protégée. Après quatre ans de pratique, la mortalité a baissé de 40 % dans la parcelle où l'on diffuse de la musique.Source : france3-regions.
A) Qu’est ce qu’une protéodie ?
Lors de la synthèse des protéines, l'interaction codon-anticodon qui s'effectue dans le ribosome vérifiant la complémentarité des bases de l'ARNm et de l'ARNt donne lieu à l’émission d’ondes d’échelle. Ces ondes sont émises au moment où ces acides aminés, transportés par les ARN de transfert, s'assemblent pour former des protéines. Les signaux seraient des ondes appelées "ondes d'échelle ", c'est-à-dire qu'elles relient entre elles des échelles différentes - ici l'échelle de chaque acide aminé à l'échelle de la protéine en formation. Par le calcul, Joël Sternheimer a établi la fréquence de ces ondes d’échelle correspondant aux 20 acides aminés utilisés par le corps humain, ce qui lui a fourni 10 fréquences distinctes.
On peut rendre ces fréquences audibles en les transposant en notes de musique. Nous obtenons donc pour une protéine, qui est une suite d'acides aminés, une succession de notes. En fonction de la complexité de la composition des protéines, qui peuvent regrouper aussi bien une dizaine d'acides aminés que des centaines, nous obtenons une véritable mélodie, une partition variant donc d'une dizaine à plusieurs centaines de notes.
Sternheimer a constaté que lorsqu’on joue l’enchaînement dans le domaine audible des fréquences des acides aminés d’une protéine, on observe une augmentation de la synthèse de cette protéine. La séquence des sons spécifiques à la synthèse ou à l’inhibition d’une protéine est appelée Protéodie. Pour inhiber une protéine, c'est-à-dire freiner sa fabrication, il suffit d'avoir la mélodie "symétriquement opposée". Très schématiquement, si la mélodie qui stimule est dans les "graves ", celle qui inhibera sera dans les "aiguës ".
Chaque acide aminé possédant son équivalent en note stimulante et en note inhibitrice, on disposera de deux décodages, deux mélodies pour chaque protéine. La validité de son travail dans ce domaine a été reconnue par un jugement de la chambre de recours de l'Office Européen des brevets en date du 8 mars 2004.
(source : bcgstpe/)
La recherche en Génodique et ses applications :
L’utilisation des protéodies à usage humain est un processus mis en place par des scientifiques, et est encore en phase de recherche et développement. L’influence des protéodies sur la vie cellulaire a été prouvée scientifiquement - un jugement de la Chambre de Recours de l’Office Européen des Brevets a reconnu ‘la relation causale’ entre la diffusion d’une protéodie et l’action spécifique sur la synthèse de la protéine correspondante comme ‘établie et démontrée sans ambiguïté.
La génodique est ainsi un vaste terrain de recherche, et des applications pratiques ont été réalisées ou sont en cours de développement :
* Culture de plants de tomate en milieu aride en Afrique
* Amélioration des qualités gustatives et de conservation (tomates, melons, avocats)
* Résorption d’infections virales (mosaïque, PVX) sur des cultures potagères
* Résorption d’une maladie parasitaire de la vigne (esca)
* Activation de la fermentation des pâtons dans la fabrication du pain et régulation de l’acidité
* Stimulation de la photosynthèse d’algues bleues, avec fixation de gaz à effet de serre (CO2)
* Action stimulatrice sur la luminescence bactérienne (in vitro)
* Modulation spécifique du taux d’interleukine 2 dans des cellules leucémiques en culture in vitro
* Applications vétérinaires (chiens, chats), élevage bovin (production de lait), élevage du ver à soie
* Thérapie par écoute de protéodies en hôpital à Tokyo (université Joshi-Idaï, Shinjuku)
* Prédiction des fonctions de protéines par comparaison de leurs séquences génodiques
* Analyse génodique des sources moléculaires de l’inspiration musicale,
donnant en retour des indications sémantiques pour le décodage des protéines correspondantes. La recherche menée par l’équipe de génodiciens en France se centre en particulier sur le résultat des écoutes de protéodies :
* Recherche des protéines susceptibles d’être en jeu dans une situation donnée.
Outils de recherche : publications et banques de données accessibles sur Internet.
* Sélection de la (ou des) protéine(s), et relevé de sa composition (enchaînement des acides aminés).
* Traduction des acides aminés en notes
* Analyse (incluant l’usage des codons de l’ADN) pour trouver timbres, rythmes et tempo justes
* Prédiction des effets secondaires possibles par recherche d’homologies avec les séquences issues
de bases de données
* Décodage proprement dit à l’aide d’un clavier muni d’une touche « one key play »
* Copie sur un support audio
* Documentation de la protéodie
Actuellement, environ 1200 protéodies ont été décodées en 20 ans par Joël Sternheimer, correspondant à la stimulation ou l’inhibition de protéines. Au vu de la connaissance que l’on a aujourd’hui, le génome humain contient quelque 25 000 gènes, soit plus encore de protéines, sans compter les virus, les bactéries, l’ensemble des règnes animal et végétal, avec lesquels un dialogue s’établit ainsi... Le travail se poursuit donc vers le développement de nouveaux décodages, ainsi que la documentation des effets des protéodies (effets bénéfiques, ressentis du corps, statistiques et fréquences d’affinités sur la population, …).
Source : baumier
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