• Quand la musique devient géométrie.

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    QUAND LA MUSIQUE DEVIENT GÉOMÉTRIE

    (Science de la cymatique)

      Grâce au CYMASCOPE

    Avec un cymascope, le son produit par 12 touches du piano devient visible !

     Un artiste plasticien de Nouvelle-Zélande, Monsieur Shannon Novak…. a rendu possible le fait de voir le son de 12 touches d’un piano grâce à un cymascope.  

    A savoir : Le cymascope permettrait d’analyser la structure sonore d’un faisceau d’ultrasons émis par un dauphin. Le résultat est alors représenté sous la forme d’un graphique : le cymaglyphe.

    “J’ai toujours été fasciné par la traduction de ce qui est invisible en quelque chose de visible. En particulier, la représentation du son à travers la couleur et la forme géométrique. Or la technologie de la cymatique est une méthode de représentation unique qui favorise l’éducation des individus à ce qu’il y a un lien entre le son, la couleur et la forme géométrique ” a dit l’artiste.

    Source : neotrouve  

    Voici les formes géométriques produites par un piano : 

        La musique devient géométrie

    Vous pouvez essayer en cliquant sur ce lien : cymascope.com 

     Une vidéo étonnante de la création d'une forme  par le son !

      

    La voix humaine :

     

     

    La Cymatique

    Selon Edgard Cayce, « Le cosmos a été formé sur la base de lois qui se sont exprimées à travers la musique, l’arithmétique et la géométrie.Elles créent l’harmonie, l’ordre et l’équilibre. »  La cymatique (ou la kymatique) est l’étude des schémas des ondes de vibration.

    L’un des pionniers en cette matière a été Margaret Wattes-Hughes qui, en 1891, a capté sur film des dessins géométriques précis alors qu’elle chantait des notes soutenues dans un appareil contenant de la poudre de lycopode. Mais c’est seulement 76 ans plus tard que le savant suisse Hans Jenny publia la première de ses études extrêmement précises sur la transmission du son par l’intermédiaire de supports physiques, sous forme, cette fois, de fréquences électroniques contrôlées.  Le son agit sur la matière physique et possède la propriété de générer des motifs géométriques.

    Il s’agit de l’expérience des figures de Ernest F. F. Chladni. En 1960, le médecin et peintre suisse Hans Jenny poursuit les travaux de Chladni en les étendant à différents supports, notamment à des surfaces liquides. Jenny put ainsi faire apparaître des phénomènes tout aussi fascinants et encore plus complexes. Il mettait en vibration des liquides en y projetant des fréquences et des sons et obtenait ainsi des formes fantastiques matérialisées par les vagues créées en surface. Jenny décrivit ce phénomène dans plusieurs revues et lui donna le nom de « kymatique », dérivé du mot grec signifiant « onde » ( Jenny 1967/1972 ).  Les images sonores obtenues dans l’eau par Chladni ou le procédé « kymatique » sont également des exemples de « géométries impossibles ».(...)

    Source et suite : neotrouve

    La géométrie dans  la Nature

     Géométrie du son dans l'Eau :

    Avec un bol tibétain et de l'eau :

    Une goutte de mercure :

      Histoire de la Cymatique

    En 1632, Galilée est le premier à étudier le comportement des corps en vibrations, avant Robert Hooke en 1680, qui observe alors le comportement des nœuds associés aux vibrations.   C’est en 1787, qu’Ernst Chladni donne réellement naissance à ce domaine en réalisant un travail considérable. De nos jours, les figures obtenues par la vibration de différents supports sont d’ailleurs appelées « images de Chladni ».   Il établit une expérience simple afin de les retrouver : faire entrer en vibration une plaque métallique à l’aide d’une source sonore tout en disposant du sable sur celle-ci. Le principe est également très simple : le sable se déplace, grâce à la déformation du support provoquée par les ondes sonores, jusqu’à atteindre une « ligne nodale », c’est-à-dire une ligne dans laquelle il n’y a pas de vibration. En 1808, Chladni fait part de cette découverte à Napoléon, qui promet un kilo d’or à celui qui trouverait l’explication du phénomène. C’est Marie-Sophie Germain (1776–1831), mathématicienne française, qui remporta ce prix.   Le nom « cymatique » est seulement apparu avec le scientifique Hans Jenny (1904-1972). (...)

    Source et suite ICI : son-en-images 

    Avec du sable sur une plaque de "Chladni"

     

    Voir aussi cette page :

    La cymatique

      Quand le son fait de la lumière!

     

      

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