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Les jardins elfiques de Heligan.
LES JARDINS ELFIQUES DE HELIGAN
(Mevagissey- Cornouailles- Grande-Bretagne)
Site Internet : heligan
Les jardins perdus de Heligan (du cornique Lowarth Helygen qui signifie « jardin de saules »), près de Mevagissey en Cornouailles, font partie des plus célèbres jardins botaniques britanniques. Le style des jardins est typique du dix-neuvième siècle.
Les jardins furent créés par des membres de la famille Tremayne sur une période qui s'étend du milieu du dix-huitième siècle au début du vingtième siècle et font toujours partie de la propriété de la famille. Les jardins ont été négligés après la Première Guerre mondiale et restaurés dans les années 1990, restauration qui fut l'objet de programmes télévisés et de livres.
Les jardins présentent une collection de rhododendrons et camélias anciens, une série de lacs alimentés par des béliers hydrauliques de plus d'une centaine d'années, des jardins d'agrément et potagers, un jardin italien, et une zone sauvage pleine de fougères appelée « la jungle ». Les jardins abritent aussi le seul châssis à ananas restant en Europe, chauffé par du fumier.
Les jardins perdus de Heligan entourent la maison Heligan et ses jardins privés. Ils se situent à 2,4 km au nord-est du village de Mevagissey. Les jardins sont à 9,7 km de la ville et de la gare de St Austell et se situent principalement dans la paroisse civile de St Ewe, même si certaines parties des jardins, à l'est, se trouvent sur la paroisse de Megavissey.
La partie nord des jardins, qui comprend les principaux jardins ornementaux et potagers, est légèrement plus haute que la maison et descend doucement jusqu'à elle. Les zones des jardins à l'ouest, sud et est de la maison descendent brusquement vers une série de vallées qui débouchent finalement sur la mer à Mevagissey. Ces zones sont plus sauvages et comprennent « la jungle » et « la vallée perdue ». La propriété Heligan fut acquise par les Tremayne au seizième siècle, et on doit la maison et les jardins (encore) privés qui la bordent aux premiers membres de la famille3.
Cependant les jardins suivants qui sont à présent ouverts au public furent largement dus aux efforts de quatre propriétaires successifs de Heligan. Ce furent : Henry Hawkins Tremayne John Hearle Tremayne, fils de Henry Hawkins Tremayne John Tremayne, fils de John Hearle Tremayne John Claude Lewis Tremayne, fils de John Tremayne et plus connu sous le nom de « Jack ».
Deux plans du domaine, datés entre 1777 et peu avant 1810, montrent les modifications apportées à la propriété Heligan au temps d'Henry Hawkins. Le premier plan montre un domaine principalement constitué de parcs, avec le site des jardins du Nord alors occupés par un champs. Le deuxième plan montre le développement de ceintures protectrices d'arbres autour des jardins et la structure des jardins du Nord, du jardin aux melons et du « jardin de fleurs » est déjà repérable.
Les descendants d'Henry Hawkins ont chacun fait d'importantes contributions au développement des jardins, dont les plantations ornementales le long de la « grande allée », la « jungle », les rhododendrons, Flora's Green, et la création du « jardin italien ». Avant la première Guerre Mondiale, le jardin nécessitait l'emploi de 22 jardiniers pour l'entretenir, mais la guerre a conduit 16 d'entre eux à la mort et en 1916 seuls 8 jardiniers prenaient soin du jardin. Dans les années 1920, l'amour de Jack Tremayne pour l'Italie, qui lui avait auparavant inspiré le « jardin italien », le conduisit à s'y installer définitivement et à louer Heligan. La maison fut louée pendant la majeure partie du vingtième siècle, utilisée par l'armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale, puis transformée en appartements et vendue, sans les jardins, dans les années 1970. Dans ce contexte, les jardins firent négligés.
Après la mort sans descendance de Jack Tremayne, le domaine Heligan passa sous propriété d'un trust au profit de plusieurs membres de la famille Tremayne. L'un d'eux, John Willis, vivait dans les environs et fit découvrir les jardins au producteur de disques Tim Smit. Lui et un groupe d'amis enthousiastes entreprirent de redonner au jardin son ancienne gloire et le louèrent à la famille Tremayne.
La restauration a été le sujet d'une série de six émissions de télévision sur Channel 4 en 1996 et a revitalisé l'économie locale autour de Heligan.
Source : wikipedia
Les Jardins de Heligan
Heligan, siège de la famille Tremayne pendant plus de 400 ans, est l’un des domaines les plus mystérieux d’Angleterre. À la fin du 19ème dix-neuvième siècle, ses 400 hectares étaient à leur apogée. Mais, quelques années plus tard seulement, un manteau vert de ronces et de lierres recouvrait cette 'Belle au Bois Dormant'. Après des décennies de négligence, l’ouragan dévastateur de 1990 aurait dû faire oublier ce site à tout jamais.
Au lieu de cela, les événements ont concouru à nous amener ici et l’histoire de leur ce déclin s’est emparée de notre imagination. La découverte d’une salle minuscule, enterrée sous les débris de maçonnerie dans le coin d’un des jardins murés, recelait le secret de leur disparition. Gravé au crayon sur un des murs de calcaire, on pouvait encore lire un épigraphe à peine visi ble 'Ne venez pas ici pour dormir ou vous assoupir', ainsi que les noms de ceux qui avaient travaillé là et une date : août 1914. Nous avons été animé alors par un désir intense de faire renaître toute la gloire de ces jardins et de raconter, pour la première fois, les contes, non des lords et ladies, mais de ces gens ordinaires qui avaient rendu leur grandeur à ces jardins, avant de partir pour la Grande Guerre.
Aujourd’hui, nous avons formé une équipe dévouée, avec sa une vision propre pour cette seconde décennievision pour ce nouveau millénaire. L’aménagement des jardins que nous avons mis en oeuvre a été primé et jouit d’une reconnaissance internationale. Cependant, notre droit de propriété s’agrandit aujourd’hui de 80 hectares, ce qui nous laisse encore beaucoup de travail à accomplir. Notre objectif est que ’Heligan reste un exemple de vie et de fonctionnement des meilleures pratiques du passé, tout en offrant au public la possibilité de venir découvrir nos activités. Nous visons également à apporter une contribution précieuse aux débats actuels sur l’avenir de nostre régions rurales et de nostre campagnes.
Source : heligan
Un jardin extraordinaire !
C’est un lieu très particulier situé à proximité du village de Mevagissey en Cornouailles, à l’extrémité de la péninsule sud-ouest de l’Angleterre (à ne pas confondre avec la Cornouaille au singulier, qui se trouve de l’autre côté de la Manche en Bretagne occidentale).
C’est un lieu un peu mystérieux qui est la propriété de la famille Tremayne depuis plus de 400 ans. Ce lieu fut abandonné depuis près de 80 ans (après le première Guerre Mondiale) avant d’être redécouvert en 1990 par Tim Smit et John Willis (un descendant de la famille Tremayne) puis restauré l’année suivante. C’est aujourd’hui assurément l’un des plus beaux jardins de Cornouailles. Il s’agit des Jardins d’Heligan, également appelés Jardins perdus d’Heligan.
S’il vous prend l’envie de visiter les Cornouailles, ne ratez pas l’occasion de visiter cet invraisemblable assemblage naturel de jardins, de sous-bois, de cours d’eau, de potagers, où trônent ici et là des sculptures naturelles que je rattacherais à une forme de symbolisme.
Il en ressort une atmosphère féérique assez indescriptible, une sorte de jungle luxuriante exotique et symbolique. Les anglais nous ont habitué depuis longtemps à l’exotisme. Si vous allez aux Jardins perdus d’Heligan vous serez servi !
Source : orgone-design
Les Cornouailles
Les Cornouailles ou la Cornouailles (en cornique: Kernow pron.: [ˈkɛrnɔw], en anglais : Cornwall pron.: [ˈkɔrnwɔːl] ou [ˈkɔrnwəl]) est un comté d'Angleterre et une nation celtique situé à l'extrémité sud-ouest du pays.
Sa capitale est Truro. Limité à l'est par le fleuve Tamar, il a une superficie de 3 564 km² et une population de 513 527 habitants. Il ne doit pas être confondu avec la Cornouaille, qui se trouve en Bretagne continentale. Il est parfois connu sous le nom de plateau de Cornwall ou de péninsule de Cornwall.
Le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique (à ne pas confondre avec le gentilé de la Cornouaille bretonne qui est cornouaillais ‑e). Le nom Cornwall vient du peuple celte des Cornovii qui habitait la région avant sa conquête au VIIe siècle par les Angles et les Saxons. La population parlait alors une langue brittonique devenue plus tard le cornique. Le breton y est étroitement apparenté. De nombreux noms de lieux présentent d'ailleurs des analogies avec ceux que l'on trouve dans la partie bretonnante de la Bretagne continentale ; de nombreux saints médiévaux sont communs aux deux régions.
Selon la légende rapportée par Geoffroy de Monmouth dans son Historia regum Britanniae, la Cornouailles tirerait son nom de Corineus, guerrier troyen de l'armée de Brutus de Bretagne, ce qui est évidemment invraisemblable. Peu urbanisé, le comté ne compte pas de grande ville et est faiblement industrialisé. L'essentiel des revenus est tiré du tourisme et de l'agriculture. La ville de Truro est la capitale administrative et ecclésiastique. (St Austell est la plus grande ville, avec 30 000 habitants mais Camborne et Redruth forment ensemble une agglomération urbaine plus grande). L'exploitation des mines d'étain et de cuivre était importante au dix-neuvième siècle, mais a fini vers 1990: la dernière mine en activité était South Crofty.
C'est une grande région maritime avec de nombreux ports de pêche (Newlyn, Falmouth, Fowey, Looe et Penzance). La pêche à la sardine fut particulièrement importante pendant des siècles.
Le climat doux et la beauté des côtes rocheuses et des paysages vallonnés attirent une population de retraités venant de toute la Grande-Bretagne. La péninsule de Cornouailles, au long littoral accidenté, charme par son isolement et son aspect sauvage. Le sentier côtier de Cornouailles (430 km), très sinueux, serpente au-dessus de falaises abruptes et de criques dentelées. Le chemin est clairement balisé et, à l'intérieur des terres, de nombreux sentiers font office de raccourcis.
Les Sorlingues (Enesow Syllan/Scilly Islands) faisaient autrefois partie du comté administratif de Cornouailles, mais forment une unité administrative séparée (depuis avril 2009). L'archipel fait cependant toujours partie du « comté cérémonial » de Cornouailles.
Source : wikipedia
LES ETRES DE LA NATURE
PAR AIGLE BLEU
Certains êtres ne sont pas matériels – physiques –, mais sont pourtant réels. La mythologie de tous les peuples parle de lutins et de fées. Nous retrouvons dans leur folklore des gnomes, des salamandres, des ondines et des sylphes, soit ces êtres qui habitent les éléments de la terre, du feu, de l'eau et de l'air. Il existe aussi le «Petit Peuple», de petites gens qui sont vêtues comme l’étaient les Amérindiens avant l’arrivée des Européens et qui se retrouvent en deux races différentes: celle qui mesure quelques centimètres de haut et celle qui atteint trente à quarante centimètres.
Les Premières Nations savent encore communiquer avec ces peuples subtils ainsi qu'avec les esprits de la nature. La particularité de toutes ces créatures consiste en ceci qu'elles ne sont pas formées de matière. Elles sont éthériques, constituées de lumière, de sorte qu'elles ne se montrent à l'homme que lorsqu'elles le veulent. Actuellement, peu d'humains ont le respect suffisant et la patience nécessaire pour communiquer avec ceux qui habitent notre chère planète. Ces êtres sont d'ailleurs très importants pour l'équilibre des écosystèmes, exécutant toutes sortes de tâches pour assister les plantes et les animaux. La présence de machines et de technologies les fait cependant disparaître.
L'expérience de la communauté de Findhorn est très significative à cet égard. Un groupe de personnes qui avait décidé de vivre dans une région aride d'Écosse y a développé des jardins magnifiques, parce que les membres de la communauté savaient communiquer avec la nature. Cette communauté a fait époque dans le Nouvel-Âge. Elle est d’ailleurs toujours très active, même si ses fondateurs ont fait leur chemin vers d'autres lieux. Leur histoire parle de la découverte du pouvoir de communication avec les esprits de la nature. Elle raconte comment trois adultes, une femme et un couple, en écoutant les informations reçues en méditation et en communion avec les esprits de la nature ont été capables de faire pousser des jardins qui n'auraient jamais dû produire de fruits. Ces jardins nés dans un sol sablonneux et un climat aride et froid leur ont permis de vivre en pourvoyant largement à leurs besoins.
Il existe énormément d'exemples de personnes capables de communiquer avec les esprits de la nature et qui en tirent un grand bénéfice. La mythologie est toujours fondée sur la réalité. Le folklore européen propose, par exemple, la légende d'un cordonnier en difficulté et de lutins effectuant le travail pour lui. Je connais quelques Aînés des Premières Nations qui vont demander de l'aide pour certaines tâches au Petit Peuple, et les tâches se font lorsque personne ne regarde.
Prenons encore l'exemple de créatures considérées comme mythiques, mais dont de nombreux peuples parlent et qui, dans notre expérience, sont très réelles. Nous retrouvons dans l'Himalaya, les montagnes Rocheuses et dans d'autres régions de la Terre, des êtres qu'on appelle Sasquash au Canada et Yéti en Himalaya, alors qu’en Europe, on mentionne l’existence de l'abominable Homme des neiges. Ainsi, mes Aînés ont rencontré les Yétis et m'ont dit qu'ils sont intelligents et télépathes, et qu'ils vivent au sein de la nature dans les régions montagneuses. La réaction des humains actuellement consiste à vouloir les tuer ou les capturer – ce qui ne s’avère pas très respectueux. En conséquence, les Yétis ont appris à fuir et, depuis quelques décennies, se sont retirés sous terre où se trouvent maintenant leurs lieux de résidence et leurs communautés. Ils ont également la capacité de voyager dans d'autres dimensions, comme les cristaux et les dragons; c’est pourquoi très peu de gens les ont vus et personne ne les a jamais mis en cage. Mais ceux qui ont un respect immense pour la Terre et qui sont en parfaite harmonie avec la nature ont parfois rencontré les Yétis. Notamment, l'une de mes Aînées cherokees avait été sollicitée pour apporter son aide – qu’elle avait fournie avec joie – lors de l'accouchement d'une femme de ce peuple à la demande de son homme. Car la pollution rend de plus en plus difficile leur reproduction. Voilà un exemple de relation avec une conscience différente de la nôtre, qui apporte une grande richesse de relations et une profonde compréhension du monde dans lequel nous vivons
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