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Antoine Gigal et l'Égypte Ancienne.
ANTOINE GIGAL et l’Égypte Ancienne
Site internet d'Antoine et son nouveau blog : gigalinsights
Antoine Gigal est un auteur français, chercheuse et exploratrice, fondatrice de « Giza for Humanity », ainsi que de l’organisation « International Women Explorers » (IWE). Les 20 dernières années, elle a vécu principalement en Égypte où elle a exploré les sites archéologiques les plus reculés dont beaucoup ne sont pas encore ouverts au public. Avec l'œil d'une chercheuse scrupuleuse Antoine nous apporte un accès sans précédent à une information rare et inédite sur la compréhension de la très ancienne Égypte et les civilisations antiques.
Elle est l'auteur des «Chroniques des secrets de Giza» et de nombreuses séries d'articles novateurs sur des aspects non encore révélés des civilisations égyptienne et mégalithiques publiés dans divers magazines en anglais, français, italien et néerlandais. Elle a donné de nombreuses conférences en plusieurs langues depuis 2002 à travers le monde (Afrique du Sud, France, UK, Italie, etc). Elle apparaît également dans les séries documentaires TV d’History Channel en 2011 (Ancient Builders, Lost worlds, Ancient Aliens, Secret code:Saison 3) et dans des émissions de radio: Voice America, Goldring radio, Hillary Raimo show, Sovereignmind radio, Redice Radio, Otherworld Radio etc... Elle a organisé les Conférences de GH à Paris, en France, avec des intervenants internationaux en 2009 «Certains anciens mystères», en 2010 «Technologie antique et pyramides» et en 2011 «La Physique des Anciens Egyptiens et la Physique moderne». Elle a découvert 23 pyramides en Sicile (qui n’étaient pas encore cataloguées) et le complexe entourant les pyramides de l'île Maurice.
Antoine Gigal en Égypte.Lien Utube d'Antoine Gigal
Elle passa ses premières années en Afrique et en Amérique du Sud, et voyagea partout dans le monde ce qui lui permit d’explorer différentes cultures et civilisations à un âge précoce. Elle passa sept ans à l'université de la Sorbonne à Paris III et à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (fondé par Champollion), d’où elle sort diplômée en langues chinoise, japonaise et civilisations. Elle étudia également le sanskrit, latin et grec ancien, et a acquis une réputation pour traduire les textes anciens. Elle suivit parallèlement la filière d’archéologie de l'Université de Tolbiac, à Paris. Elle parle couramment l'anglais, l’Arabe égyptien, l’espagnol et l’italien .
Elle encadre aussi personnellement pour le public plusieurs voyages d'étude approfondie en Egypte chaque année. Elle partage aujourd’hui son temps entre Paris et le Caire.
Source : gigalresearch
Et un LIEN très intéressant sur la Grande Pyramide !
Antoine Gigal vous entraine dans la chambre souterraine la plus mystérieuse de pharaon à Saqqara. Vous visitez avec elle cette incroyable chambre profonde aux faïences bleus qui nous parle de résurrection, de reconnexion avec le divin ....
Lien Utube d'Antoine Gigal
Qu’en est-il de véritables traces de géants, dans les faits, en Égypte?
(extrait du texte d'Antoine Gigal)
"Je comprend parfaitement que ce qui est dans l’article des scientifiques et publié dans la fameuse revue médicale: «Lancet», est intéressant car, cela montre d’une certaine façon, un lien génétique dans le squelette de SeNakht avec de possibles ancêtres géants («véritables»). Mais alors pourquoi ne pas étudier les crânes trouvés par Emery et où sont-ils aujourd’hui?
Le professeur Walter B. Emery (1903-1971), un excellent archéologue avec 45 ans d’expérience de fouilles en Egypte et auteur du fameux livre sur: “L’Égypte Archaïque”, a trouvé dans certaines tombes les restes de personnes qui vivaient dans les temps pré-dynastiques au nord de la Haute Égypte. Les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont de taille anormale et sont dolichocéphaliques, c’est-à-dire que le crâne vu de dessus est ovale et est environ 25% plus long que large. Certains crânes ne montrent aucun signe des sutures habituelles. Les squelettes sont supérieurs à la moyenne de la zone et surtout le cadre squelettique est plus large et plus lourd. Il n’a pas hésité à les identifier avec les «disciples d’Horus ou Shemsu-Hor» et a constaté qu’au cours de leur vie, ils remplissaient un rôle sacerdotal important. En ce qui concerne les crânes à tête longue, il semble que ce ne soit pas une lignée préhistorique d’évolution, mais plutôt une lignée provenant d’un cycle de civilisation avant le déluge.
Ces crânes élargis ont déjà été trouvés dans plusieurs régions du monde. Le Dr J. Von Tschudi et Mariano E. Rivero au Pérou ont identifié trois races dolichocéphaliques pré-inca, les Chinchas, les Aymaras et Huancas. Ils ont également constaté que si les Chinchas avaient une crâne allongée, c’était parce qu’ils avaient bandé les crânes de leurs enfants afin de ressembler aux deux autres groupes qui ne bandèrent pas leur crâne. Ils ont réussi à déterminer que le groupe original avec les caractéristiques naturelles les plus marquées était le Chinchas. Ils ont précédé le premier Inca, Manco Capac, et ont probablement influencé à la fois les Incas et les Mayas dans les temps postérieurs. Les chercheurs A.H. Verrill et Posnansky soulignent que la plus ancienne ville pré-incas au Pérou, Tiahuanaco, date du même temps que l’Égypte pré-dynastique et les crânes agrandis de cette période se trouvent dans le musée de Tihuanaco.
Il est donc affirmé qu’il existait une fois une race antédiluvienne qui a été trouvée ici et là, partout dans le monde, une race qui avait un crâne conique naturellement allongé, comme l’ont affirmé certains chercheurs, dont le Dr Johann Jacob Tschudi, qui possédait un fossile de ce temps, un fœtus de 7 mois avec un crâne dolicocéphalique toujours dans le ventre de sa mère momifiée par le temps. Ce qui implique donc, la réalité tangible de l’existence de crâne allongés “naturels” sans avoir été allongés une fois nés.
Tout cela est loin d’être «politiquement correct» parce que ces faits mettent en cause, l’histoire de l’évolution et les croyances basées sur la Bible. C’ est donc un processus très lent pour que les gens absorbent ces faits nouveaux mais fascinants. Pour citer un exemple, les crânes dolicocéphaliques ont été retirés de la vue publique dans le musée de La Valette à Malte, sans aucun doute pour éviter de nuire aux sensibilités religieuses de certaines personnes. En effet, environ 700 de ces crânes ont été trouvés à Malte dans l’hypogée de Hal Saflieni et les tombeaux des temples mégalithiques de Taxien et Ggantja. Ce fut le Dr Anton Mifsud et le Dr Charles Savona Ventura qui ont analysé les crânes et sont arrivés à la même conclusion qu’au Pérou, identifiant trois groupes différents, certains d’origine complètement “naturelle“ et d’autres qui avaient été bandés.Et voici un lien encore plus étroit avec l‘Égypte : L’ancien nom de Malte est Melita, du Latin Mel, «le miel». Le symbole de Malte est une abeille avec ses rayons hexagonaux. N’oublions pas que le symbole du pharaon en Égypte est aussi l’abeille («bit») qui lui confère l’un de ses titres. Le miel était réservé au Pharaon et aux principaux prêtres, et Mel ou Mer était l’un des noms donnés aux pyramides en Égypte. En outre, le culte du soleil a prévalu à Malte comme en Égypte, et la caste dolichocéphale a disparue en même temps, dans les deux pays.
Dans mes recherches, j’ai constaté qu’il y avait très probablement une migration de ces personnes aux crânes allongés d’Egypte vers Malte, et des traces d’elles se trouvent dans la civilisation crétoise. Quoi qu’il en soit, cette caste qui semble avoir été consacrée à la prêtrise et à l’enseignement, et qui se tenait plus ou moins séparée des autres, avait un point commun partout : la construction de monuments mégalithiques. Ils formaient une caste sacerdotale dominante partout où ils se trouvaient. Ces gens pourraient-ils vraiment être les descendants d’une race antédiluvienne? Peut-être, mais nous n’avons pas encore assez d’éléments et cela mérite d’être beaucoup plus sérieusement étudié notamment si on analysait sérieusement les résultats d’anciennes fouilles de grands archéologues comme Emery dont l’éthique était indiscutable. Il ne reste que la volonté de trouver la vérité sans subir d’obstacles…"
Source : gigalinsights
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