• Des médiums extralucides

    Surnaturel et fantastique

    Des médiums extralucides

    Il existe parmi nous des êtres exceptionnels dont les pouvoirs vont bien au-delà de ceux du commun des mortels. Certains ont décidé de mettre ses pouvoirs au service de la justice.

    DES MEDIUMS QUI VOIENT TOUT 

    Un cas exceptionnel !

    A 45 kilomètres au nord de Milan se trouve une région au paysage mythique et envoûtant où s’étend à perte de vue le majestueux lac de Côme. Le 1er décembre 2002 se coin de nature aux apparences si sereine va devenir le théâtre d’un évènement tragique. Chiara Bariffi est portée disparue et la seule chance de la retrouver est de faire appel à une médium.
    Chiara Bariffi, une jeune femme de 32 ans disparaît mystérieusement. Après trois longues années de recherche le corps reste introuvable et la police décide alors de ne pas donner suite à l’affaire et de la classer.
    C’est alors qu’un journaliste d’un journal local d’Italie, connaissant l’avancement de l’affaire, propose à la police de rencontrer un médium, qui, elle, pourra leur donner quelques informations.
    L’appel à la médium
    Ils prirent contact avec Maria Rosa Busi, une habitante de la région. Cette infirmière de 55 ans se dit détenir des pouvoirs extralucides. Elle rencontra la mère de Chiara Bariffi qui lui donna une photo de sa fille et dès le premier regard la médium lui annonça que sa fille ne vit plus.

    A partir de là l’affaire s’accélère. La médium se sent irrésistiblement attirée par le lac. Maria Rosa Busi commence alors à faire le tour du lac de Côme et arrive à un endroit, connu pour être d’une grande dangerosité. Ce lieu est d’autant connu pour son pique qui fait plus de 150 mètres de profondeur et lui dit que sa fille est à cet emplacement.
    La police n’y croit pas et refuse toute collaboration avec la médium. Mais la famille, elle, décide de lui faire confiance et débourse les moyens nécessaires. Une équipe de plongeurs professionnels entre en scène.
    Le 11 septembre, après plusieurs jours de recherche, une caméra sous-marine filme une voiture à 120 mètres de profondeur, il s’agit bien de la voiture de Chiara Bariffi.
    La voiture se trouvait exactement à l’endroit où la medium avait dit. Un commissaire de police, troublé par les précisons exactes de l’information, dis qu’il y avait une chance sur un million pour que les révélations soient exactes.
    Alors très surpris des révélations du médium, la police décide de ré-ouvrir l’enquête, les policiers remontent alors la voiture dans laquelle ils trouveront le corps de Chiara Bariffi. (source : documystere

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    D'autres cas troublants

    Les journaux americains et anglais se font régulièrement l’echo de personnes disparues retrouvées avec l’aide de voyants ou de médiums. 

    Des médiums conduisent la police au meurtrier d’une lycéenne

    Source : News.scotman.com, janvier 2005

    En Allemagne, un garagiste ayant violé et tué une jeune lycéenne a été arrêté après que la mère de la victime se soit  tournée vers des "psychic detectives" (médiums détectives) pour obtenir de l’aide.

    La police ne trouvait pas de piste lui permettant de découvrir le meurtrier de Susanne Erbe, 16 ans. Ce dernier a cependant été capturé après que la mère de Susanne, Sigrid, se soit mise en relation avec des mediums prétendant lui avoir permis de communiquer avec l’esprit de sa fille décédée.

    Mme Erbe, 45 ans, expliqua auprès de la cour de Mannheim (Allemagne), qu’elle était a priori sceptique envers la séance prévue par les mediums. Mais elle poursuivit : "Lors de cette séance, Susanne m’a dit que son meurtrier était un homme d’origine croate âgé d’une vingtaine d’années. Les médiums ont même été capables de savoir où le chercher. Ils ont affirmé qu’ils pourrait être trouvé dans un garage de Mannheim."

    Mme Erbe a ensuite demandé à la police de suivre cette piste. Les inspecteurs étaient stupéfaits quand ils ont été confrontés à Mario Glavic, 24 ans, un Croate travaillant comme carrossier dans un garage de Mannheim, qui a avoué le crime.

    Glavic avait attaqué l’adolescente quand elle revenait chez elle tard dans la nuit du 19 juin 2003.

    Rolf Konrad, procureur, a déclaré : "Susanne a été choisie simplement parce qu’elle était au mauvais endroit au mauvais moment. Elle revenait chez elle à Neuhermsheim (Mannheim) et eut la malchance de croiser son tueur. Il l’a menacée avec un pistolet et l’a forcée à aller dans les buissons où il l’a violée. Quand elle a commencé à hurler, il a attrapé une pierre, lui a cogné la tête et s’en est allé. Son corps à moitié déshabillé a été trouvé le jour suivant par un camionneur. Les services d’urgence ont seulement été capables de confirmer la mort de l’adolescente comme étant le résultat de ses blessures à la tête."

    Jusqu’à l’arrestation de Glavic en juin dernier, 12 mois après le meurtre, la police a déclaré n’avoir aucune piste, bien que 6500 hommes aient été interrogés et que des tests de salive pour les comparaisons d’ADN aient été effectués. Mme Erbe a donc décidé d’essayer une approche moins conventionnelle en contactant des "mediums détectives".

    Assis sur le banc des accusés, Glavic, après s’être couvert le visage avec ses mains, a admis avoir violé et tué l’adolescente. Il a déclaré s’être saoûlé, avoir pris de la cocaïne et avoir regardé des films pornographiques avant de s’en prendre à elle. Il voulait du sexe mais n’avait pas de petit amie ou assez d’argent pour aller dans une maison close. "Alors j’ai décidé de violer la prochaine femme qui passerait par là" a-t-il déclaré à la cour.

    "C’est tombé sur Suzanne. Elle a commencé à hurler, alors je lui ai cogné la tête avec une pierre. Je voulais seulement la faire taire. Je ne voulais pas la tuer. Je le jure, je ne voulais pas" a-t-il déclaré.

    Stephen Kling, de la défense, a déclaré que son client était calme et réservé et n’était pas violent habituellement. Il regrettait amèrement ce qui c’était passé. Il a plaidé pour une peine de 15 ans pour homicide. Mais le juge l’a déclaré coupable de meurtre et de viol avec conséquences mortelles et l’a comdamné à la prison à vie. Le juge a déclaré que Glavic n’avait pas eu une pensée pour la vie de la jeune fille et qu’il avait "seulement voulu rendre la victime silencieuse". 

    Des médiums aident la police de Nelson à retrouver le corps d’un randonneur

    Source : CBS News, Janvier 2005

    NELSON, BC. - La police de Nelson, B.C., a trouvé le corps d’une jeune femme ayant disparu au mois de mars dernier, après avoir demandé de l’aide à un medium de la région de l’orienter dans la bonne direction. La victime, Kimberley Anne Sarjeant avait été vue la dernière fois seule sur un sentier de randonnée près de Nelson.

    La police a déclaré avoir utilisé tous les outils à sa disposition pour essayer de la retrouver : chiens, hélicoptères, détecteurs thermiques infrarouges, etc.. Aucune des techniques standard ne semblant fonctionner, le sergent Steve Bank a fait appel à un medium de la région pour obtenir de l’aide.

    La police avait déjà cherché le long des lignes de chemin de fer abandonnées où la jeune femme de 23 ans avait été vue pour la dernière fois.

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    Mais le medium Norm Pratt a conduit la police loin de ce chemin à environ un kilomètre dans la forêt située à proximité. La police trouva ainsi les habits de Sarjeant et son corps a été découvert dans la même zone.

    "Sans l’aide du medium, je pense que je serais encore en train de chercher cette personne," a déclaré Banks vendredi.

    La police n’a pas dévoilé la cause du décès, mais Bank a déclaré qu'il ne s’agissait pas d’un meurtre.

    Une jeune fille retrouvée aux Etat-Unis grâce aux intuitions d’un proche

    Source : Seattle Time

    Une adolescente de la ville de Redmond, aux Etats-Unis, disparue pendant 8 jours, a été retrouvée vivante au fond d’un ravin boisé par une femme membre de son église qui a déclarée avoir eu une vision la conduisant à elle.

    Laura Hatch, 17 ans, a été retrouvée sur la banquette arrière de sa voiture accidentée, à peu près à 150 pieds au-dessous de la Northeast Union Hill Road à Redmond. Elle avait été vue pour la dernière fois le 2 octobre. Sa famille et ses amis avaient tenté de la retrouver sans succès depuis ce jour.

    La jeune fille a été prise en charge au Harborview Medical Center et a été traitée pour une grave déshydratation et des lésions multiples.

    "Nous avions peur de ne pas arriver à la retrouver, nous n’allions pas la récupérer" a déclaré Amy Hatch, la soeur de la jeune fille, à la chaîne King-TV. "Ceci est la meilleure chose qui pouvait arriver car il y avait un million de scénarios catastrophiques qui auraient pu se produirent."

    Depuis le commencement, la police pensait que Hatch avait fugé parce qu’il n’y avait pas de raisons de suspecter un meurtre comme étant à l’origine de sa disparition. "Il n’y avait pas de recherche" a déclaré le porte parole du chérif, ajoutant que Hatch avait été vu pour la dernière fois à une fête. "Nous pensions qu’elle correspondait plus à une fugueuse".

    Ses parents, Jean et Todd Hatch, avaient engagé un détective privé et avaient mis en place une recherche impliquant 200 volontaires, incluant la zone près de laquelle la voiture a ensuite été retrouvée. Depuis sa disparition, des amis avaient suggéré que Laura Hatch aurait pu avoir été préoccupée ou énervée par quelque chose, mais Amy Hatch affirmait que sa soeur ne montrait pas de tels signes.

    La nuit précédent la découverte de la jeune fille, des proches de la famille s’étaient réunis à l’église Creekside Covenant et avaient chanté une messe de célébration. Une membre de l’église, Sha Nohr, dont une fille est une amie de Laura Hatch, a eu une vision l’ayant conduit à l’adolescente perdue.

    Nohr a dit que sa fille, désespérée à propos de son amie disparue, lui a montré une photo de Hatch le samedi et lui a demandé ce qu’elle pouvait faire pour la retrouver. Nohr lui a dit que tout ce qu’elle pouvait faire était de prier. Cependant, la nuit suivante, Nohr, a déclaré qu’elle avait eu plusieurs rêves d’une zone boisée. Dans ses rêves, dit-elle, elle entendait le message "Continue, continue".

    Nohr dit s’être réveillé le lendemain en ressentant une urgence de rechercher Hatch. Elle demanda à sa fille de venir avec elle. Elles sont allées en voiture vers la zone de Union Hill et se sont arrêté. Nohr est sortie mais elle a eu le sentiment que "ça n’était pas là".

    Elles ont ensuite continué plus loin et se sont arrêtées de nouveau aux environs de la route Northeast Union Hill Road. Pendant tout ce temps, Nohr a affirmé avoir prié. "J’ai juste pensé, laisse la nous parler". Nohr a dit qu’elle avait alors ressenti quelque chose l’attirer vers un talus abrupt. Sa fille attendait sur la route tandis que Nohr se précipitait au-dessus d’une barrière de béton et se frayait un chemin en descendant sur plus de 100 pieds à travers la végétation. Nohr dit qu’elle n’a rien vu au premier abord. Elle était sur le point de partir, pensant qu’elle s’était trompée, quand à travers les arbres, elle a vu ce qui ressemblait à une voiture.

    C’était la voiture de Hatch, tellement froissée que ça ressemblait à "de l’art moderne", a déclaré Randy Phillips, le pasteur de famille. Nohr a appelé sa fille pour l’aider. Sa fille a stoppé un motard qui passait parce qu’elle ne connaissait pas le nom de la route où elles étaient. L’homme est descendu pour aider Nohr à se rapprocher de Hatch, qui était sur la banquette arrière. "Je lui ai dit que les gens la cherchaient et l’aimaient" se rappelle Nohr. Et elle a dit "Je pense que je dois être en retard pour le couvre-feu".

    Pendant que les équipes d’urgence étaient en route, Nohr a utilisé son téléphone cellulaire pour appeler le père de Hatch, Todd Hatch. Les amis et parents ont pensé qu’il s’agisssait là d’un dénouement miraculeux et ont passé plusieurs heures à la Cathédrale Washington à Redmond pour remercier le seigneur.

    La congrégation avait réalisé plusieurs prières de veille la semaine passée pour Hatch. Alors que les jours passaient, ils n’avaient jamais perdu espoir, dit Anji Smith, une autre membre de l’église. "Les gens ont continué à croire" dit-elle. "Et ça a marché".

    (source : paranormal-info.com)

        

    Des pouvoirs incroyables

    Il existe parmi nous des êtres exceptionnels dont les pouvoirs vont bien au-delà de ceux des mortels, et certains ont décidé de mettre ces pouvoirs au service de la justice. C’est le cas de Nancy Myer, sa profession, médium détective.

    Nancy Myer a depuis travaillé sur 700 affaires criminelles et en a résolu 90%, un chiffre très troublant. Par son taux de réussite, cette femme devient donc le pire cauchemar des criminels.

    En 1983, le film Dead Zone sort dans nos salles obscures. Tiré d’un roman de Stephen King, Dead Zone nous raconte l’histoire d’un homme, qu’après un accident en voiture, se découvre d’incroyables pouvoirs psychiques. Dead Zone n’est qu’une fiction, pourtant parmi nous il existe des êtres doués eux aussi de tels pouvoirs.

    Nancy Myer, un taux de réussite avoisinant les 90%

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    Les Visions de Nancy Myer

    Il existe parmi nous des êtres exceptionnels dont les pouvoirs vont bien au-delà de ceux du commun des mortels. Certains ont décidé de mettre ses pouvoirs au service de la justice. C'est le cas de cette femme, sa profession, médium détective. "J'ai travaillé sur environ 750 affaires criminelles, et j'ai aidé en réseau d'environ 90 %". Cette femme est devenue au fil du temps, le pire cauchemar des criminels.

    1983, c'est l'année de la sortie de "Dead Zone", ce film adapté d'un roman de Stephen King, nous raconte l'histoire d'un homme qui après un accident de voiture, se découvre d'incroyables pouvoirs psychiques. Ce film est une fiction et pourtant parmi nous, il existe des êtres doués eux aussi de tels pouvoirs. Nous sommes quelque part en Pennsylvanie. Au pied de ces collines se trouve une bourgade américaine comme tant d'autres. Cette femme s'appelle Nancy Myer. Officiellement, elle enseigne l'espagnol et semble bien sous tout rapport. Mais elle exerce aussi une tout autre activité, elle est ce qu'on appelle médium détective. "J'ai le don de télépathie qui me permet de lire dans les pensées.

    J'ai aussi des pouvoirs grâce auxquels je peux percevoir les choses telles qu'elles se sont déroulées, mais aussi de prédire l'avenir", Nancy Myer. Grâce à ce pouvoir, Nancy Myer est capable de prouesses étonnantes. "Cette affaire est intéressante. C'est une affaire où des dames agées se faisaient violer. Le criminel opérait toujours de la même manière en s'introduisant de nuit par la fenêtre. Lorsque j'ai travaillé sur l'affaire et que je donnais des indications au dessinateur qui faisait le portrait-robot, je lui demandais de mettre la casquette.

    D'habitude, il n'aime pas que l'on mette des accessoires comme les chapeaux sur le portrait-robot, mais là, j'ai insisté, car je savais que le criminel ne se séparait jamais de sa casquette. Regardez cette photo prise le jour de son arrestation. Lorsqu'elle est parue dans le journal, je suis allée voir le portraitiste et je lui ai dit : tu vois qu'il fallait mettre la casquette", Nancy Myer.
    Nancy possède ses facultés de médium depuis sa naissance. Mais c'est seulement à l'âge de 28 ans qu'elle va vraiment réaliser qu'elle est différente des autres. Très vite dans la région, la notoriété de Nancy et de ses pouvoirs devient importante. Au point qu'un jour, un officier de police vient lui demander de l'aide. "Je ne pensais pas que mes dons pouvaient être suffisamment précis pour être exploités dans des affaires criminelles.

    Je pensais que tout cela n'était pas réaliste. Mais ce policier a insisté, il m'a harcelé au téléphone tous les jours pendant neuf semaines. C'est là que je me suis dit OK, je vais y aller, il verra bien que ça ne marche pas. Il m'a mis sur trois affaires différentes, et sur ces trois affaires, deux ont été résolues grâce à mon intervention. Et je me souviens que l'officier de police m'a dit, je pense qu'à l'avenir je ne vais plus vous lâcher", Nancy Myer. Désormais, tous les services de police de la région viennent solliciter Nancy.

    Même si parfois au départ, certains se montrent sceptiques quant à ses méthodes de travail. "Généralement, je leur demande de ne rien me dire sur leur enquête. Je demande juste le nom des victimes, la date à laquelle on a retrouvé le corps, et quand on a vu la personne vivante pour la dernière fois. Je demande des photos des victimes avant leur mort ainsi que des cartes de la région où le meurtre a eu lieu. Dans la plupart des cas, je ne me rends pas sur le lieu du crime, je leur demande de m'envoyer une photo du meurtre, puis je les appelle en leur communiquant mes impressions. Je tape un rapport dans lequel je reporte toutes les impressions et visions que j'ai pu ressentir. Avec cette méthode, j'obtiens d'excellents résultats", Nancy Myer.

    Ces méthodes sont sans doute peu conventionnelles, mais elles fonctionnent. En plus de 35 ans de carrière, Nancy à aider à résoudre plus de 90 % des affaires criminelles sur lesquelles elle a travaillé. Malgré ce bilan très positif, aujourd'hui, la profession de médium détective n'est pas officiellement reconnue. Mais pour les services de police, lorsqu'une enquête piétine, le dernier recours a toujours un seul et unique non : Nancy Myer.

     (source : dossiers.secrets



    Oui, police et justice font (parfois) appel à des « médiums » ! 

    Écrit par Nicolas Vivant

    Les radiesthésistes et autre voyant(e)s se vantent parfois des excellentes relations qu'ils entretiennent avec la police, la gendarmerie ou la justice. Ils racontent volontiers des affaires dans lesquelles ils/elles ont été mis(es) à contribution par les forces de l'ordre, notamment dans le cadre de recherches de personnes disparues. Ce fut, semble-t-il, le cas pour les tragiques faits divers concernant la disparition récente de deux enfants, Mathias et Madison. Mais c'est ainsi qu'a commencé la discussion sur notre liste :

    On nous fait passer ce message, précédé d'un commentaire qui dit simplement : « Tel quel ! » :

    mon père qui est expert judiciaire (ancien architecte) est chargé d'un problème d'humidité dans un immeuble. Extrait du texte rédigé par le Juge : "décrire le réseau d'eau pluviales et éventuellement de tout autre réseau susceptible de s'écouler sous le bâtiment D de la copropriété ; entendre éventuellement à cette fin, en qualité de sachant, Madame XY, sourcière." Superbe non ? prochaine étape, un médium pour trouver les assassins.

    Mais la prochaine étape est franchie depuis longtemps. Les échanges commencent :

    ED : Justement, on entend parfois dire que les forces de police font appel à des mediums. Aussi, je lance la question à ceux qui peuvent éventuellement y répondre : qu'en est-il réellement ? Est-ce une légende ?

    CR : Bonsoir. Un radiesthésiste pour aider la police : Jacques Aymar (bon, ça date un peu puisque les évènements eurent lieu en 1692 !) : originaire du Dauphiné, il a aidé la police à retrouver un des assassins d'un marchand de vin de Lyon et sa femme soit disant à l'aide de sa baguette divinatoire. Quelques temps plus tard, on a appris que les voisins des victimes qui ont mis Aymar sur le « coup » avaient vu les assassins. L'un portait un signe distinctif : il était bossu. Même en ces temps reculés les bossus n'etaient pas légion. Ce « détail » aurait sans aucun doute beaucoup influé sur le comportement de la baguette pendant l'exploration du radiesthésiste. En effet sur les 3 assassins, seul le bossu put être identifié par J. Aymar alors qu'il venait juste d'être arrêté pour un menu larcin. Le pauvre hère âgé de 19 ans avoua et fut rompu vif sur la place des Terreaux. Les 2 autres courent toujours, quoi que...
    L'évènement est décrit avec beaucoup de détails dans le tome 2 de « Histoire du merveilleux dans les temps modernes » de Louis Figuier (1860) de même que la suite des aventures de J. Aymar devenu ainsi célèbre, en particulier un certains nombre d'expériences réalisées entre autre par l'académie des sciences. Il y a aussi un long passage sur l'épopée des époux de Beausoleil qui ne manque pas d'intérêt. Si ça vous intéresse, vous trouverez le texte intégral en ligne sur gallica.
    Sinon, j'ai plutôt entendu dire dans des reportages TV que les forces de police auraient tendance à mettre en garde les personnes ayant subit une quelconque agression, contre d'éventuels mediums qui les contacteraient en prétendant qu'ils peuvent les aider.

    NV : Nous avons pu vérifier, lors de notre visite chez Crozier, qu'il avait effectivement été mis à contribution par la gendarmerie et au moins une fois sur réquisition d'un juge d'instruction (nous avons une copie du document). De l'aveu même de Jean-Louis Crozier, c'est très dépendant de la gendarmerie en question (il semble avoir pas mal travaillé avec celle de St Marcellin) et surtout de son encadrement. Quand le gradé qui « croit » en la radiesthésie quitte les lieux, l'activité du radiesthésiste disparait avec lui. Ceci dit, il n'est pas facile d'évaluer le nombre des interventions directement liées à une requête d'un organisme d'état. Crozier n'a jamais fait le total, mais il estime que « facilement » la moitié ses interventions sont de ce type. Cf. l'extrait de la vidéo (inédite) tournée par l'OZ lors de notre rencontre et où je lui avais justement posé la question.

    Des médiums extralucides

    YL : Jean Louis Crozier, le radiesthésiste ardèchois, collabore régulièrement avec police ou justice. Si ces services publics font appel à lui c'est qu'ils ont la conviction que "ça peut marcher". Et j'écris "conviction" pas "preuve". Chapitre « Psy et police » dans "La fonction Psy" de Remy Chauvin (Robert Laffont, 1991).

    DB : Le distinguo est d'importance. De la même manière, certains personnels hospitaliers ont la conviction qu'il y a plus d'accouchements les nuits de pleine lune ce que l'analyse des données contredit.

    EG : Hier, dans un « C dans l'air » sur les deux récents assassinats de Mathias et Madison, on pouvait assister à des battues en partie dirigées par un radiesthésiste. Il n'y avait pas de précision sur l'avis des forces de l'ordre là-dessus.

    Pour plus d'information sur la radiesthésie, son histoire et ceux qu'on peut en dire, lire l'excellent travail d'Emmanuel Riguet sur le site de l'OZ.

    (source : zetetique)

     Le cas de Sharon Neill

     Sharon Neill, aveugle de naissance, est aujourd’hui l’une des médiums les plus célèbres d’Angleterre. Née prématurée de 12 semaines, en juillet 1965 et pesant seulement 957 grammes, elle a survécu miraculeusement grâce aux efforts acharnés des médecins. L’oxygène que Sharon reçut massivement à cet époque eut malheureusement des conséquences dramatiques : ses nerfs optiques furent brûlés la laissant ainsi définitivement aveugle. Ses dons de voyance apparurent dès son plus jeune âge : à 5 ans elle entendait, effrayée,  des gens parler dans sa chambre,  à l’adolescence, elle était capable d’identifier les circonstances de l’enlèvement et du meurtre d’une jeune fille. Sharon Neill a la capacité d’entrer en contact avec des êtres décédés et de donner des détails d’une extrême précision alors qu’elle est incapable de voir ou d’interpréter la réaction de ses interlocuteurs. Les témoignages se multiplient partout à travers le monde et les révélations de Sharon Neill se vérifient.

    (source : histoires-paranormales

    Coral Polge artiste psychique, elle réalise des portraits de personnes décédées sans les connaître

    Coral POLGE « artiste médium » britannique décédée le 29 avril 2001 avait le don de dessiner les personnes décédées, qu’elle ne connaissaient pas avant, rien que par le contact avec un de leur proche encore vivant et elle faisait cela, sans jamais avoir pris aucun cours de dessin. Coral Polge a travaillé sans relâche à travers le globe pour promouvoir le merveilleux message de la survie de l’âme après la mort, et son excellent livre Living Images contient des exemples surprenants de son travail. Voici ce qu’elle expliquait elle-même de son don :

    « En fait, je ne « vois » pas les personnes que je dessine, je ne les « entends » pas, et honnêtement, je ne sais pas vraiment comment j’arrive à les dessiner. Je les ressens, tout simplement. Il y a aussi quelque chose qui ressemble à ce qu’on appelle le « contrôle automatique », comme si quelqu’un guidait ma main et m’aidait à dessiner. » 

    « C’est comme si la personne que je dessine – avec ses caractéristiques physiques et sa personnalité devenaient une partie de moi-même, et j’essaie de traduire davantage ce que je ressens que ce que je vois. Parfois, quand je commence un portait, je ne sais même pas si la personne va être une femme ou un homme. »
    Elle aurait ainsi réalisé plus de 60 000 portraits. Il semblerait qu’elle percevait les personnes qu’elle dessinait à travers le contact avec leurs proches. (source : neotrouve)

    Voir également l'article :  Coral Polge

    VOIR AUSSI  : LE RADAR HUMAIN 

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