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Nassim Haramein
NASSIM HARAMEIN
"LA THEORIE DE L'UNIFICATION"
Le Big Bang...un Univers Fractal !
Génie de la nouvelle physique - Notre Terre et son histoire cachée
" Pour être un bon scientifique il faut utiliser ton coeur parce que c'est là que l'information passe en premier."
"Tout ce qui est considéré comme spirituel ou métaphysique est en général la physique que nous ne comprenons pas encore." – Nassim Haramein
NASSIM parle de ses rencontres avec les Galactiques pour la seule fois :
https://eveilhomme.com/2019/11/15/exclusif-le-celebre-physicien-nassim-haramein-revele-avoir-pilote-un-engin-extraterrestre-des-lage-de-8-ans/
Univers connecté : entretien avec Nassim Haramein
La conscience est-elle au cœur de l’Univers ? Pour Nassim Haramein, la matière serait le résultat d’un échange d’information constant entre les particules
élémentaires et un univers connecté. Cet échange d’information, qui ne serait pas aléatoire, serait une forme de conscience.
Les recherches de Nassim Haramein intriguent un nombre grandissant de scientifiques. Un autodidacte inspiré peut-il faire bouger les lignes ? Né à Genève
en 1962, Nassim Haramein passe plus de 30 ans à étudier intensément les mathématiques et la physique, « jusqu’à 20h par jour », raconte-t-il. Libre des
conditionnements académiques, capable d’élaborer les démonstrations adéquates, il pose un regard décalé sur la science. Et ce qu’il présente au bout du
compte n’est rien de moins qu’une théorie du champ unifié, une théorie qui fait se rejoindre la relativité d’Einstein et la mécanique quantique. Autant
dire, le Graal recherché par les physiciens.Contestée, cette proposition – initialement élaborée en collaboration avec la physicienne Elizabeth Rauscher et relayée dans certaines revues
scientifiques à comité de lecture -, fait tout de même parler d’elle. Car en réintroduisant la géométrie à l’échelle de l’infiniment petit, Nassim
Haramein décrit une structure de la réalité dont l’élégance rejoint certaines indications données par d’anciennes civilisations et dont les équations ont
permis de faire des prédictions confirmées par le prestigieux Paul Scherrer Institute en Suisse. Et bien sûr, cette « Haramein-Rauscher Metric », ainsi
que la description de la masse holographique et de la gravite quantique telles qu’exposées dans les dernières publications d’Haramein, ne sont pas sans
conséquences. Elle nous permettrait d’aller vers la maitrise de la force gravitationnelle et de radicalement révolutionner nos technologies. Surtout, elle
placerait la conscience comme condition implicite de l’univers interconnecté qu’elle décrit. C’est sur l’application de ce vertige scientifique et
philosophique que le chercheur passionné continue de travailler, à la Resonance Science Fondation qu’il a créée à Hawaï.
Pouvez-vous nous résumer ce que dit votre théorie ?Elle dit tout d’abord que l’espace n’est pas vide, qu’il a une structure électromagnétique à l’échelle de Planck, à la plus petite échelle qui soit. Pour
le dire autrement, l’espace est pixelisé ou plutôt « voxelisé », puisqu’il ne s’agit pas d’une surface en deux dimensions mais d’un volume. Et ce que j’ai
découvert c’est que quand ces petits voxels s’organisent, ils se mettent à tourner - en physique on dit qu’ils ont un « spin » - et à former des vortex.
C’est un peu comme dans les océans, l’eau forme plein de petits vortex. Donc j’ai découvert que quand les voxels sont organisés, dû à leur spin dans une
région d’espace-temps, et qu’il y a un échange entre l’intérieur et l’extérieur du système spécifique qu’ils ont formé, ça devient quelque chose comme une
particule élémentaire - un proton, un électron etc. Et j’ai vu que ces structures se comportent comme des trous noirs. Ça veut dire qu’un proton, par
exemple, apparait quand les petits voxels de la structure de l’espace-temps se mettent à tourner en vortex, tout en étant intriqués au reste de l’univers.
Au final, c’est précisément cet échange d’information entre l’intérieur et l’extérieur de cette structure et le champ électromagnétique de l’univers qui
forme la masse du proton, ce qu’on appelle la matière.
La matière n’existerait pas comme une chose, sa masse serait un processus dynamique qui naitrait de l’information échangée entre la structure en vortex et
le reste du champ ?Oui, c’est l’échange d’information qui créé la masse de la matière. Et l’idée que le champ électromagnétique de l’univers se comporte comme un fluide est
une analogie déjà présente dans les théories standards. Donc imaginons une baignoire remplie d’eau, quand nous tirons le bouchon, l’eau forme un
tourbillon. Et s’il y a un objet, comme un canard en caoutchouc qui flotte à proximité, il se met à orbiter comme s’il y avait un champ gravitationnel.
C’est là que ça devient intéressant. Car Einstein a décrit la force gravitationnelle comme une courbure de l’espace-temps. C’est comme s’il avait décrit
la surface de l’eau qui descend vers le siphon avec le canard dessus. Cependant, il n’a pas dit de quoi était fait l’espace-temps. Moi je ne regarde pas
que la surface, je vois que ce qui créé la courbure de la surface, c’est en fait un vortex dans l’épaisseur de l’espace-temps. Donc ce sont les voxels de
l’espace-temps, qui en tournant dans une région, créent la masse et la gravité que nous observons. Et comme certaines hypothèses dans la physique
quantique disent que chaque pixel/voxel est équivalant à un bit d’information, j’ai pu calculer l’information à l’intérieur du volume du proton. Ce que
j’ai trouvé, qui est incroyable, c’est que l’information contenue dans le volume d’un proton, équivaut à la masse de l’univers - à la masse de tous les
autres protons dans l’univers.
Comment la somme d’information d’un proton peut-elle être équivalente à la masse de l’univers ?C’est holographique. On peut, par exemple, mettre l’information d’un orchestre symphonique de 500 musiciens sur un tout petit espace de disque, où les
bits d’information sont imprimés sur une structure magnétique. Donc l’orchestre n’est pas sur le disque, mais toute l’information musicale qu’il a créée y
est. C’est un peu pareil avec le proton, l’information de l’univers y est imprimée. La différence c’est que là, le disque est constamment en interaction
avec le champ et que la symphonie s’écrit continuellement, à chaque seconde de Planck. C’est une structure holographique dynamique que j’appelle la «
masse holographique ». Cela permet du coup, en faisant des calculs au niveau d’un proton, d’avoir des informations sur l’univers. Et j’ai notamment fait
une prédiction dans ma publication « Quantum Gravity and the holographic mass » sur la taille du proton, qui contredisait les mesures faites jusqu’alors,
mais qui a été confirmée en 2013 par une équipe de l’Institut Paul Sherrer. Donc tout cela dit que la matière c’est un échange dynamique d’information,
que chaque proton est intriqué avec tous les autres protons dans l’univers, et donc que nous vivons dans un univers connecté.
Qu’en est-il du champ unifié, de votre réunification entre la théorie de la relativité et de la mécanique quantique ?Le calcul qui me donne la masse du proton, peut être appliqué pour calculer la masse d’un trou noir au niveau cosmologique. C’est donc une équation qui
est équivalente aux équations du champ gravitationnel d’Einstein qui elles aussi, nous donnent la masse des trous noirs dans l’espace. Sauf que je trouve
le même résultat avec… une théorie quantique, et que quand j’applique cette théorie aux objets quantiques, je trouve une solution… gravitationnelle. Donc
je relis les théories de la gravité à la théorie quantique, en modifiant les deux. Car au passage, j’élimine notamment la force forte dont nous n’avons
plus besoin puisqu’elle s’explique par la gravitation. Et de plus en plus de physiciens arrivent aux conclusions qu’effectivement les structures
subatomiques agissent comme des trous noirs et exercent une force de gravité. C’est donc une troisième théorie qui amène à décrire les mécaniques de la
masse et de la gravité, aux niveaux cosmologique et quantique, et qui dit que tout cela c’est le résultat de l’information qui s’échange dans un univers
intriqué. Et il faut vraiment souligner cet aspect fondamental, car cet échange d’information, qui n’est pas aléatoire, c’est de la conscience.
Vous rejoignez donc Einstein lorsqu’il dit que l’univers ne joue pas aux dés ?Tout à fait. Je le rejoins déjà parce qu’Einstein avait géométrisé la structure de l’espace au niveau cosmologique et annoncé qu’un jour, nous trouverions
cette géométrie au niveau quantique avec une solution algébrique. Bien que cette piste ait été abandonnée par les physiciens, je montre que cette
géométrie existe bien à l’échelle de Planck. Et oui, je pense que Dieu ne joue pas aux dés avec l’univers. L’information n’est pas aléatoire, elle est
connectée. Nous avons rassemblé tellement d’arguments et notamment fait des calculs de probabilités qui montrent que l’univers ne peut être aléatoire.
L’univers sait ce qu’il fait parce qu’il échange de l’information. Car au final, c’est quoi la conscience ? C’est un processus de connaissance de soi, une
capacité de faire un retour sur soi-même. C’est donc un processus de boucle rétroactive de l’information. Et mes découvertes montrent que la matière nait
fondamentalement de ce mouvement rétroactif de l’information. A partir de là, l’univers interconnecté et conscient, fabrique de la complexité et
finalement l’humanité. Donc la conscience n’est pas quelque chose qui émerge, ce n’est pas un épiphénomène du cerveau. C’est quelque chose qui est présent
à tous les niveaux de la réalité et qui fait que la réalité devient de plus en plus complexe.
En plus des conséquences philosophiques, assez vertigineuses, de votre travail, il y a aussi des conséquences technologiques.C’est très prometteur. Nous savons qu’il y a beaucoup d’énergie présente dans l’atome, que nous avons appris à casser pour faire de la radioactivité. Mais
là, nous découvrons que nous pouvons créer un champ de résonnance avec l’énergie du vide pour pouvoir accéder à ce réservoir incommensurable. Si nous
comprenons que la courbure de l’espace-temps décrite par Einstein c’est un effet secondaire de la rotation en vortex de la structure de l’espace-temps,
nous pouvons créer un couplage avec cet espace-temps et apprendre à contrôler les champs gravitationnels. C’est ce que j’ai commencé à faire dans mon
laboratoire. A partir de là, nous pouvons faire des vaisseaux qui lévitent parce qu’ils créent un champ opposé et qui peuvent voyager dans l’espace à de
très grandes vitesses. Ce n’est pas si fou que ça que de penser que nous allons voyager loin dans l’espace. Imaginez montrer votre téléphone portable à
quelqu’un du XVIIIe siècle, en appelant une personne à Pékin et en le voyant parler sur votre écran. Que sera devenu votre téléphone dans quelques
milliers d’années ? Nous pourrions même un jour changer de planète. Source : .inrees.com
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CONFERENCE DE NASSIM HARAMEIN organisée par La Télé de Lilou à Paris le 23 avril 2016 - La Solution de masse holographique et la Source de la Conscience
Un résumé ci-dessous
La vidéo en entier
Biographie de Nassim Haramein
Nassim Haramein est né à Genève, en Suisse en 1962. Dès l’age de 9 ans, Nassim élaborait les bases pour l’unification de la matière et de l’énergie, qu’il a appelé "l’univers Holofractographique". Nassim a passé la majeure partie de sa vie à rechercher une géométrie fondamentale de l’hyper-espace.
(source : partageyiking-jean-loup)
Les DVD "Black WHole" et "Raise the equation" sont disponibles
en français sur : www.bioenergiecenter.com/
NASSIM HARAMEIN EN 2003 à La Rogue.
Durée : 4 heures
Traduction : Cassiopée - Sous-titrage : JihonIslava
Si vous n'êtes pas encore familier avec le travail passionnant de Nassim Haramein, préparez-vous pour une odyssée exaltante dans l'hyperespace et au-delà. Haramein, qui a passé sa vie à la recherche des domaines de la physique de la théorie quantique des équations relativistes et de la cosmologie, vous mènera le long d'une discussion fascinante axés sur la compréhension laïc de la nature fondamentale de l'univers et de la création qui comprend des trous noirs, les forces de gravitation, les dimensions , et la structure même de l'espace lui-même - qui font tous parties intégrantes de la Théorie du Champ Unifié.
La Théorie Haramein est actuellement en processus d'examen par les pairs pour publication dans des revues de physique, mais la présentation ne se termine pas avec l'introduction de sa théorie seulement, mais comprend l'examen de la voie qu'il a fallu pour arriver à son point de vue, qui tisse entre les textes et les monuments des civilisations anciennes, la biologie, la chimie et le rôle primordial de la conscience - ce qui donnerait plus de crédibilité encore à la science derrière la théorie.
Sa théorie
- Les trous noirs répondent à une distribution fractale : ils sont répartis depuis l’infiniment petit jusqu’à l’univers lui-même, qui n’est qu’un trou noir. Les galaxies et les étoiles contiennent un trou noir en leur centre
- La matière noire n’existe pas (rejoignant dans cette idée Jean-Pierre Petit qui l’avait également annoncé dans le cadre de sa théorie sur les univers gémellaires) : c’est une commodité inventée par la communauté par déficience d’explication. Les 95% de matière manquante de l’Univers s’expliquent par l’incomplétude des équations d’Einstein, qui ne prennent pas en compte la torsion de l’espace-temps.
- Il n’y a pas 4 interactions fondamentales, mais 2. Les interactions nucléaires fortes et faibles n’existent pas, et n’ont été inventés que pour convenir de la non-prise en compte de la distribution fratale des trous noirs, qui suffit à assurer les cohésions que devaient prendre en charge les interactions nucléaires
- La gravitation est non seulement compatible avec la mécanique quantique (ce sur quoi la science s’est toujours cassé les dents), mais elle en est la continuité.
- Le vide a une structure, et l’énergie du vide (dont l’équivent-masse du volume d’un proton est exactement celui de la masse de l’univers) assure la cohésion de l’Univers.
- L’énergie noire n’existe pas, l’accélération de l’expansion trouve son pendant dans l’effondrement du vide sur lui-même, conformément à la loi fondamentale de la physique "Action-Réaction".
- La structure du vide se réduit à un modèle de 64 tétraédres construits en symétrie inversée. Ce modèle nous a été laissé par d’anciennes civilisations datant d’au moins 10.000 ans et se retrouve sous forme de symboles sur toute la planète (Egypte, Chine, Amérique centrale)
Source : agoravox.tv/tribune-libre
Nassim Haramein, directeur de recherche à l'Institut de Physique Unifié d'Hawaï, a écrit un article intitulé "Gravité quantique et masse holographique", qui a été validée et publié dans le journal Physical Review and Research International. Cet article discute de la théorie d'Haramein sur "l'univers connecté", qui offre par des formules algèbriques et des équations géométriques une nouvelle vision alternative de la gravité.
Le travail d'Haramein montre que tout dans l'univers est connecté, de l'échelle la plus grande à la plus petite, grâce à une compréhension unifiée de la gravité. Il démontre que c'est l'espace qui définit la matière et non la matière qui définit l'espace.
"Rappelez-vous que la matière est faite de 99,9 % d'espace", dit Haramein. "La théorie du champ quantique expose que la structure même de l'espace-temps, à un niveau extrêmement petit, vibre avec une énorme intensité. Si nous pouvions extraire un infime pourcentage de toute l'énergie contenue au sein des vibrations se trouvant dans l'espace de l'un de vos doigts, cela représenterait assez d'énergie pour alimenter les besoins mondiaux pendant des centaines d'années. Cette nouvelle découverte a le potentiel d'ouvrir un accès à l'exploitation de cette énergie comme jamais auparavant, ce qui révolutionnerait la vie telle que nous la connaissons aujourd'hui".
La base de la recherche d'Haramein est une prédiction audacieuse sur le rayon de charge du proton, qui a été récemment vérifiée par une expérience. Moins d'un mois après l'envoi par Haramein de son article à la Bibliothèque du Congrès, l'Institut Paul Scherrer de Suisse a publié une nouvelle mesure sur la taille du proton, confirmant la prévision d'Haramein.
"Les protons sont les blocs de construction initiaux de notre univers – ils sont au centre de tout atome et donc sont partout et en tout", a dit Chris Almida, directeur exécutif de la Fondation Projet Résonance, organisation parente de l'Institut d'Haramein. "Il est primordial de comprendre précisément la structure du proton avant même de commencer à comprendre 'l'univers connecté'. La prédiction d'Haramein s'est confirmée et est parfaitement exacte (dans la marge d'erreur de toute expérience), alors que la théorie du modèle standard est largement périmée". Almida poursuit, "Si la théorie de Nassim est correcte, l'idée de résoudre certains des problèmes les plus répandus de l'humanité pourrait être à notre portée".
L'approche d'Haramein pourrait potentiellement déverrouiller de nouvelles découvertes dans les domaines de l'énergie, du transport et même du voyage dans l'espace.
Source : wikistrike
Nassim et les anciennes civilisations
et les mystères du soleil
Nous sommes faits d'étoiles....
LA FLEUR DE VIE !
"Tout dans l'univers émerge d'une structure organisationnelle unifiée sous-jacente et donne naissance à l'organisation fractale scalaire de tous les systèmes vivants.
Nous voyons dans les images ci-dessous comment la structure des neurones dans le cerveau ressemble étonnamment à la structure des villes modernes que nous construisons. Des amas de structures galactiques se sont organisés de la même façon dans la formation dans l'univers précoce..." Nassim Haramein
Le système musical connu sous le nom de cercle des cinquièmes forme des géométries spécifiques. Toute matière est une vibration dans la structure de l'espace-temps et l'étude de la structure de l'espace est appelée géométrie, donc la musique et la matière elle-même sont la géométrie en mouvement.
L'Espace-temps ne se courbe pas comme Albert Einstein l'a décrit d'abord. Nassim Haramein a ajouté le couple et la force de coriolis aux équations de champ d'Einstein décrivant comment le champ gravitationnel d'un trou noir tourne vers la singularité comme l'eau qui descend dans le drain, pas seulement en courbe d'une seule direction formant une structure en entonnoir, plutôt, en se courbant vers la zone de calme entre les deux. En face des directions polaires, formant une structure d'équilibre dynamique LE TORE.
Source : Resonance Project Facebook
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