• Rencontres avec des humanoïdes.

     Mystère des ovnis

    RENCONTRES AVEC DES HUMANOÏDES

    Rencontres avec des humanoïdes

    Une rencontre sur les routes de Bolivie !

    Le conducteur et les passagers boliviens s'enfuient terrorisés lorsqu'ils rencontrent des créatures d'une autre planète situées à la frontière entre la Bolivie et le Chili.

    Rencontres avec des humanoïdes.

    Rencontres avec des humanoïdes.

     Photo originale

    Le mercredi matin, le conducteur et les passagers d'une entreprise de transport international ont eu le choc de leur vie en empruntant l'une des routes les plus inhospitalières de la frontière bolivienne au Chili.

    La nouvelle est rapidement devenue virale avec les photos que les passagers ont pu prendre collectivement, dans des moments de tension et de hurlements causés par ce qu'ils voyaient. Au petit matin, plusieurs personnes sont retournées à l'endroit où elles ont trouvé des traces étranges, qui seraient celles des créatures humanoïdes qu'elles ont vues.Le transporteur ayant observé ce qui semblait être des personnes au milieu du chemin de terre dans cet endroit désertique, pensant qu'elles avaient  besoin d'aide ou de secours, est venu à la lumière de son téléphone portable pour vérifier ce qui était arrivé mais sa surprise fut grande. d'avoir devant lui des créatures totalement étranges, se tenant debout sur leurs deux pieds comme si elles étaient humaines, mais selon le conducteur, elles n'étaient pas de cette planète.

    Rencontres avec des humanoïdes.

    "Je suis descendu parce que j'ai vu la silhouette de plusieurs personnes à une soixantaine de mètres car je pensais que leur véhicule était tombé en panne. J'ai allumé la lumière de mon téléphone portable et j'ai marché pour voir ce qui s'était passé. Quand je les ai éclairées, je me suis presque évanoui à cause de ce que j'ai vu, ils ont éclairé  mon visage avec quelque chose et j'ai fui l'endroit avec mes passagers, comme la lumière de mon téléphone portable ne prend que quelques photos, c'étaient des créatures semblables à nous mais sans cheveux avec des grands yeux qui semblaient cacher quelque chose à cet endroit ", a déclaré le conducteur d'origine bolivienne.
    Après cette rencontre, le chauffeur a été très choqué et a dû être admis dans une clinique du pays voisin. Les autorités militaires chiliennes ont immédiatement procédé à la fermeture de la route sans donner aucune explication. La présence de représentants de la NASA a été également signalée. ils ont à peine entendu parler de l'incident. Source :  elfederalonline et Periódico El Chileno

     Le film "RIVE SUD" - Un film sur les abductions...

    Interview exclusive de Jean Charles Voisin auteur et acteur du film

    L'incident de Kumburgaz - Turquie (2007-2008-2009)

    Entre 2007 et 2009, plusieurs incidents d'OVNI ont eu lieu en Turquie, impliquant 12 témoins oculaires. Beaucoup d'amateurs d'OVNI considèrent les observations en Turquie comme la plus authentique observation extraterrestre jamais vue dans l'histoire de l'humanité. 

     Apparitions d'êtres lumineux.

    Le '' Kumburgaz UFO incident" a duré pendant plusieurs jours et plusieurs nuits entre 2007 et 2009. Sur cette période il a été constaté une augmentation des observations d'Ovnis sur l'ensemble du territoire de la Turquie. Plusieurs Ovnis au-dessus de la mer de Marmara près Istanbul ont été décrits par les témoins locaux comme de formes ovales, ou discoïdes, ou oblongues, et qui planaient, manoeuvraient en émettant parfois comme des feux de plasma de couleur orange ou rouge.

    Apparitions d'êtres lumineux. Apparitions d'êtres lumineux.

    Plusieurs rapports ont été déposés auprès de "Sirius OVNI" et de l'espace de recherche en sciences qui est la principale organisation d 'observation d'Ovnis de la Turquie dirigée par Haktan Akdogan . Pendant cette période, un résident local, Yalcin Yalman, a réalisé une série de vidéos de courte durée très remarquables. Ce qu'il a capturé dans sa caméra reste pour le moment un mystère et d'une grande qualité car il a filmé avec une caméra qui avait un grand diamètre de lentille, un adaptateur capable de zoomer 200 fois, et en fixant celle-ci sur un trépied afin de stabiliser l'image.

     

    VOIR LES DOSSIERS déclassifiés DU FBI  sur les ovnis :

    https://vault.fbi.gov/UFO   et ICI 

     PÉROU  - 1977

    Des Reptiliens TRIDACTYLES AU PÉROU DEPUIS 1977 PAR L’IPRI.

    « Déclassification des documents et des réunions sur les Humanoïdes » -  Un cas qui est arrivé dans le département de Huanuco au Pérou avec la présence de 4 ÊTRES reptiliens tridactyles de MOINS de 1 m - relatant une noyade d’un jeune homme nommé JORGE ALVAREZ

    PAYS: HUANUCO, PÉROU. THÈME: LES HOMMES VERTS ONT SAUVÉ JORGE.

    DATE: 12 JANVIER 1977. SOURCE: HERALD, BUENOS AIRES ARGENTINE / AGENCIA REUTERS

    TRADUCTION ET ENQUÊTE: JOHN BUSTAMANTE.

    JORGE ALVAREZ, 20 ans, étudiant à l’université a déclaré au programme radio appelé « CONTACTS interplanétaires » alors qu’il se dirigeait vers une rivière dans la province de l’est d’ Huanuco, 429 km (260 miles)il est tombé dans une marre d’eau et a commencé à couler. Il a dit: « Malgré mes efforts il n’y avait plus d’espoir quand tout à coup quatre petits hommes apparurent et firent des grands gestes…ils lui lancèrent une branche pour l’amener à la terre ferme. Alvarez s’est reposé et au moment où il a récupéré, ses sauveurs étaient partis.

    Source : Documentos-Desclasificados

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     Pérou -  janvier 1978

    Sujet: Rencontre du troisième type avec humanoïde à Marcahuasi.

    Source: Diario Extra de Lima PÉROU, daté du vendredi 9 janvier 1981.

    Enquêteur: John Bustamante.

    Un autre fait important est la destruction d'un ovni par un avion de la force péruvienne en 1980 ... en attente d'une enquête.
    De même, Don Carlos Paz parle de bases extraterrestres dans diverses régions du PÉROU, comme à Chilca (Lima), Concepcion (Junín), Pomabamba (Ancash), Huanucos et sur le fond marin de loups de l’extérieur (Piura).

    Source :  Documentos-Desclasificados

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     16 août 1982 - PÉROU 

    Le 16 août 1982, une étudiante péruvienne (Gladys Cordoba) a vécu une expérience inhabituelle. Elle était allée à Marcahuasi (qui est un plateau situé à l'est de Lima, à près de 2 heures de là) et avait capturé avec sa caméra un humanoïde de très grande hauteur.
    La jeune femme prenait plusieurs photos de l'endroit pour capturer les différentes formes de roches fantaisistes que son groupe d'amis avait vues. À son arrivée à Lima, elle a sorti les photos et a été choquée de voir que sur  l’une d’elles on  voyait clairement un être humain debout sur un rocher qui n'était pas visible au moment de la prise de vue. 

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    Cliquer sur l'image pour l'agrandir

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    Ce phénomène étant arrivé, elle ne sait pas comment l'expliquer. Pour commencer, le rocher se trouvait à 200 mètres de l'endroit où elle se trouvait et le rocher lui-même mesure 60 mètres de haut. Ces données permettent de déduire que le personnage pris par son appareil photo mesure au moins trois mètres de haut, plus la couleur bleu vert de la combinaison. La couleur verdâtre de la tête  et  bleu vert du vêtement ne ressemblent pas à ce que quelqu'un pourrait utiliser dans un endroit comme Marcahuasi.

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     Des livres indispensables sur le sujet ovnis 

    Non reconnu - Steven Greer

    Révélations Steven Greer

    OVNIs-généraux-pilotes-officiels-parlent - Leslie Kean 

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    Une autre caractéristique du personnage photographié qui a déchaîné les controverses cette année-là à Lima était les membres plus longs de cet être. L'un des bras est levé en signe de salutation ou peut-être en direction du ciel.

    C'est le magazine OIGA Limeña qui a obtenu le scoop et a enquêté sur les négatifs et a constaté qu'ils n'étaient pas falsifiés ou altérés, produit dont la couverture a été publiée le 16 août 1982 en tant que première mondiale. 

    Selon certains ufologues, des êtres géants de ce type ont souvent été vus à Marcahuasi, ce qui leur fait penser qu'ils pourraient avoir un abri ou une base à proximité. Il convient également de noter que de nombreux objets volants non identifiés ont encore été observés sur le plateau de Marcahuasi, raison pour laquelle il est toujours visité par de nombreux chercheurs du paranormal.

    Source : extraterrestre   

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    Ovnis : sommes-nous seuls ? 

     

    25 décembre 2010 - Marcahuasi - Pérou

    Rencontres avec des humanoïdes

     Voir aussi  : sculptures-de-marcahuasi

     Eisenhower et ses rencontres avec des E.Ts...

    Timothy Good, un ancien consultant du gouvernement américain, a déclaré lors du talk-show satirique Opinionated diffusé sur la chaîne britannique BBC2, qu'Eisenhower, président des États-Unis de 1953 à 1961, aurait rencontré des extraterrestres à trois reprises, rapporte le Mail Online :

    «La première réunion est censée avoir eu lieu avec des aliens qui étaient «nordiques» en apparence, mais l'accord a finalement été «signé» avec une race appelée 'les aliens gris'.»

    Avec beaucoup de sérieux, il explique que ces «rencontres secrètes» auraient eu lieu en 1954 en compagnie d'agents du FBI et de nombreux autres témoins, sur la base militaire d'Holloman Air Force au Nouveau-Mexique selon le Huffington Post, après qu'un contact ait été établit par le biais de «messages télépathiques» précise le Daily Express.

    Ce n'est pas le premier à porter ce genre d'affirmations délirantes puisqu'une vidéo d'un homme qui aurait une preuve de ces échanges entre Eisenhower et les aliens circule sur le net depuis 2010, rappelle le Huffington Post:

    «Un retraité du New Hampshire, Henry McElroy Jr., a filmé une annonce vidéo intrigante dans laquelle il a révélé avoir vu un document d'information secret destiné à Eisenhower. Ce document, selon McElroy, contenait l'information que les aliens étaient en Amérique et que Eisenhower pouvait les rencontrer.»

    Le site RTL Belgique relate de manière totalement naturelle, la façon dont ce seraient déroulés ces rendez-vous:

    «De curieux engins se seraient posés à proximité de l'Air Force One, l'avion présidentiel. Le président serait monté à bord de ces engins pour 'discuter', toujours selon des témoins aujourd'hui introuvables, de l'opportunité de révéler au monde l'existence de vies ailleurs que sur notre planète. Différentes sources semblent vouloir confirmer cette histoire rocambolesque au possible.»

    Selon Timothy Good, Winston Churchill, Premier ministre du Royaume-Uni de 1951 à 1955, aurait même dit avoir «discuté avec Eisenhower de la meilleure façon d'effectuer des observations d'OVNI» rapporte le Mail Online.

    La Maison Blanche est régulièrement impliquée dans des affaires interstellaires, et est même obligée de démentir officiellement certaines informations conspirationnistes. En début d'année, Barack Obama était soupçonné de s'être rendu sur Mars dans sa jeunesse et l'an dernier, c'est la Maison Blanche elle-même qui était soupçonnée de cacher des extraterrestres comme nous le rapportions:

    «Lundi 7 novembre 2011, elle avait assuré n’avoir «aucune preuve de l'existence de vie en dehors de notre planète, ni ne possède de quelconque information sur des contacts qui auraient été pris par des extraterrestres avec des humains» en réponse à deux pétitions qui ont recueilli ensemble 17.000 signatures, demandant au gouvernement de divulguer les preuves de l'existence d'extraterrestres.» Source : slate

    Eisenhower a rencontré des représentants d’une race extraterrestre à la base aérienne d’Edwards.

    Le président Eisenhower est connu pour ses prophéties désastreuses et son rôle dans la Seconde Guerre mondiale. Il aurait également été le dernier président à exercer un contrôle total sur les relations entre les États-Unis et une race extraterrestre qu’il aurait rencontrée pour la première fois en 1954 dans le but de conclure un traité. Selon le Dr Michael Salla, Eisenhower a rencontré des représentants de la race extraterrestre à la base aérienne d’Edwards. Les extraterrestres, considérés comme appartenant à la race nordique, l’ont encouragé à renoncer au programme d’armement nucléaire du pays en échange d’une technologie de pointe – une offre à laquelle Eisenhower a refusé de se conformer.

    Maintenant, l’arrière-petite-fille du président, Laura Eisenhower, dit que les paroles de son célèbre ancêtre sont beaucoup plus nombreuses que ce que l’on aurait pu imaginer auparavant.

    En grandissant, son arrière-petite-fille Laura Magdalene Eisenhower a entendu ces histoires, mais elle ne les a pas complètement crues jusqu’à ce qu’elle commence à lire des documents historiques qui semblaient indiquer qu’elles étaient vraies. Convaincue qu’il y avait quelque chose de plus derrière tout ça elle a commencé à enquêter sur la DARPA – une branche très secrète de l’armée américaine qui a été mise au point sous la présidence de son illustre ancêtre.

    Source :  /lesavoirperdu

     

    Le cas de Hyères  (Var) - 14 ocotbre 1954

    Rencontres avec des humanoïdes.

    M. REPELLINI ET OTTAVIANI INTERROGES 

    "Oui, nous avons bien vu un engin inconnu posé entre Toulon et Hyères" affirment les deux Toulonnais

    qui toutefois refusent de signer leur déposition pour "éviter les tracasseries"

    LA S.N.E.C.M.A. REVELE L'EXISTENCE D'UN
    APPAREIL FRANCAIS BAPTISE "COLEOP-
    TERE" QUI DECOLLE A LA VERTICALE

    MM. PIERRE REPELLINI ET OTTAVIONI QUI ONT VU JEUDI SOIR A
    18 h. 40 SUR LE CHEMIN LONG ENTRE HYERES ET TOULON
    UN ENGIN AERONAUTIQUE INCONNU ONT EU HIER UNE
    JOURNEE CHARGEE.

    Policiers et journalistes les ont en effet harcelés, leur demandant croquis et précisions sur cette "soucoupe volante" et son occupant rencontrés par hasard.

    Après avoir été interrogés le matin et l'après midi par les services de la Sécurité de l'Air et les Renseignements Généraux, MM. Repellini et Ottaviani sont restés sur leurs positions et n'ont fait que répéter les déclarations qu'ils ont faites hier en exclusivité à notre journal.

    "Oui, nous avons bien vu en engin mystérieux!"

    Oui, Repellini a parlé avec le passager de cet engin. C'était un homme comme nous et non pas un Martien. Il a parlé et nous avons même remarqué qu'il avait l'accent "pointu." [Note 1.]

    Des croquis que l'on voudrait secrets?"

    Pour vérifier leurs dires, les deux témoins ont fourni aux Renseignements Généraux un plan détaillé de l'engin. Ce plan a été dessiné par M. Ottaviani qui, officier mécanicien, affirme avoir pu remarquer les caractéristiques de l'appareil.

    "C'était, nous ont dit MM. Repellini et Ottaviani, un engin circulaire posé sur deux béquilles. Il semble bien qu'il se soit soulevé de terre par une poussée de bas en haut. Arrivé à une cinquantaine de mètres de hauteur, la partie extrême de l'engin s'est mise à tourner, lâchant une vapeur orangée. En quelques instants, l'appareil avait disparu, filant à une allure vertigineuse en direction de Hyères.

    . Abasourdis, les deux motocyclistes, M. Repellini, restaurateur, et M. Ottaviani, officier mécanicien de la marine marchande, s'approchèrent de l'engin qui avait la forme d'un disque renflé sur le dessus avec deux béquilles posées à terre. Il était doté de deux ailettes en forme d'oreille sur les côtés.

    Un homme (les deux motocyclistes eurent l'impression qu'il y en avait un autre dans l'appareil), mesurant 1 m. 60 environ vêtu d'une combinaison gris-blanc faite avec un tissu étrange, sans doute à base d'amiante ou de paille de verre, regardait venir les deux Toulonnais. (...)

    M. Repellini l'interrogea:

    - Vous êtes Martien?

    L'homme répondit, en montrant l'appareil:

    - Non, je suis Français.

    L'inconnu questionna à son tour:

    - Où suis-je?

    M. Repellini répondit:

    - En Provence. Voulez-vous aller à la base du Palyvestre?

    Et le restaurateur pointait son doigt en direction d'Hyères. Mais l'individu ne semblait pas satisfait. M. Repellini poursuivit:

    - Vous êtes, ici, entre Toulon et Hyères.

    A ces mots, le mystérieux individu hocha la tête et se dirigea vers l'appareil en passant par le hublot de forme triangulaire.

    Aussitôt l'engin, qui n'avait pas cessé de vibrer, se mit à vibrer plus fort. Les deux Toulonnais perçurent nettement un bruit de vapeur comme avant l'arrêt d'une locomotive et l'appareil s'éleva du sol lentement, pesamment, à la verticale, comme aspiré. Cela rappelait le vol d'une bécasse.

    Parvenu à 50 mètres de hauteur, le disque stoppa un instant, puis reprit à toute vitesse son vol en direction d'Hyères en laissant échapper des lueurs orangées et en faisant un bruit comme celui du jet d'un percolateur.

    M. Ottaviani a eu le temps prenant la discussion entre le mystérieux individu et M. Repellini, de prendre de l'engin un croquis de profil et en élévation. Ces croquis ont été montrés hier aux journalistes devant qui il a maintenu ses déclarations, ainsi que devant les services de la sécurité navale et de la police...

    Source et suite..:  ufologie

     

     L'enlèvement de  Carl Higdon - 1974 - Wyoming USA

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    Le 25 octobre 1974, un ouvrier de l'industrie pétrolière, Carl Higdon, 41 ans, a pris un jour de congé et est allé chasser l'élan dans le secteur nord du Parc National de Medecine Bowl, près de Rawlings, dans le Wyoming aux USA. Il a garé sa camionnette dans une clairière, et a bientôt repéré un groupe de cinq élans, il a donc levé son fusil, a visé soigneusement et tiré vers le plus grand, un beau mâle. 

    A ce moment, l'anormal commence. 

    Quand la balle a quitté le fusil, il n'a pu entendre aucune détonation. Tous les bruits avaient disparu, aucuns craquements, aucuns oiseaux, aucuns bruits d'insecte n'a plus pu être entendu. Higdon a vu la balle sortir du fusil, lentement, puis se déplacer dans l'air, toujours très lentement. Elle a flotté lentement puis est tombée à terre à environ cinquante pieds de distance de lui. Higdon ramassé la balle et en la regardant de près, il a remarqué que la partie en plomb avait disparue, il restait seulement l'enveloppe de cuivre, déformée ou fondue. Il l'a mise dans sa poche et a fait quelques pas, alors que le secteur était toujours complètement silencieux. 

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    Il a eu une sensation bizarre dans tout son corps. Il a entendu que quelqu'un s'approchait de lui de sa gauche, et il a pensé que ce pourrait être un autre chasseur. Il s'est tourné et a vu une entité humanoïde de plus de six pieds de haut (1m90) se tenant là. L'entité a portait une combinaison noire avec une large ceinture, sur laquelle il y avait une étoile à six pointes et un emblème jaune. L'entité avait des sortes de cheveux raides et en pointe, se dressant droits sur sa tête jaunâtre, qui était complétée par deux sortes de pointes ou d'antennes de 20 centimètres au front, de petits yeux, aucuns sourcils, pas de menton, pas de cou. Il avait des jambes cintrées, de longs bras, et une sorte de tige à la place de l'une de ses mains. et pas de main du tout à l'extrémité de l'autre bras qui s'arrêtait simplement au poignet. (Celui-ci disait se nommer Ausso).

    L'être le regardait. 

    Il s'est alors approché de Higdon et lui a demandé en anglais: 

    "Comment ça va?" 

    "Ca va," répondit Higdon. 

    "Avez-vous faim?" a dit l'être qui a alors d'une façon ou d'une autre fait apparaître et flotter une petite boîte vers Higdon, qui l'ouvre, y découvre des pilules, en avale une et met la boîte dans sa poche. Des chercheurs se sont plus tard demandés si peut-être l'entité estimait que Higdon ne serait pas à la chasse à moins qu'il ait eu besoin de nourriture.  L'être a alors demandé: "voulez-vous venir avec nous?" Il montrait un objet cubique quelques mètres plus loin, dont la hauteur était d'environ deux mètres. Higdon n'a pas eu le loisir de répondre, l'entité dirigea son bras vers Higdon, qui s'est senti paralysé et s'est retrouvé à bord d'une certaine pièce, beaucoup plus grande que ce qui pouvait avoir été prévu en regardant l'objet cubique. A l'intérieur, il a vu cinq élans qui semblaient congelés dans un compartiment près de lui. Un autre humanoïde met une sorte de casque équipé de câbles sur la tête de Higdon, et "le cube décolle."  Ils lui apprirent que "notre planète est situé à 163,000 miles-lumière de la Terre." Higdon avait compris sur le moment qu'il y avait quelque chose d'absurde dans cette idée de "miles-lumières" et parla de cette singularité à la police plus tard. Il était sûr qu'il se rappelait correctement de ce que les êtres ont parlé de "miles-lumière." 

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    Il lui a été montré alors probablement la planète dont ces étrangers proviennent, à l'aide de quelque chose capable de former des images à partit du casque qui lui avait été placé sur la tête. Il a vu un grand bâtiment, qu'il a comparé au fameux gratte ciel en forme d'aiguille à Seattle, et un type de lumière solaire qui était très intense et l'a fait pleurer de par cette intensité. Les entités lui ont indiqué que notre soleil fait la même chose à leurs yeux. 

    La prochaine chose dont Higdon s'est rappelée est d'être de nouveau dans le parc, à peu près deux heures et demie s'étant écoulé depuis sa rencontre de l'entité. Il avait froid, il était désorienté et presque en pleine crise de nerf. Sa camionnette n'était pas où il l'avait laissé; il l'a retrouvée à environ trois miles de distance, coincée dans un trou plein de boue. Il était en fait tellement choqué qu'il est entré dans la camionnette sans même se rendre compte que c'était la sienne. Comment l'aurait-il pu? Le camion n'était pas là où il l'a laissé. Il a entendu des voix dans le camion venant de la CB allumée. Il a alors envoyé un appel à l'aide par la CB que le shérif a reçu à minuit. Une battue par les policiers a permis de trouver Higdon dans la camionnette dans la boue au milieu d'un ravin profond. L'endroit était si boueux que la police a eu les plus grandes difficultés pour atteindre la camionnette à pied. Plus tard, ils ont dû employer des planches en bois pour arriver à sortir le véhicule de cet endroit. Ils étaient tous totalement stupéfaits car ils ne pouvaient pas comprendre comment la camionnette avait été placée là, au milieu d'un véritable lac de boue. C'était ces policiers qui avaient alerté la presse locale ce qui a mis les ufologues au courant de cette affaire. 

    A ce moment, Higdon était dans un état de panique et proche de l'épuisement nerveux, criant, "ils ont pris mon élan!" Ils l'ont emmené à l'hôpital et des examens ont été effectués; curieusement, ses analyses de sang ont montré un très riche approvisionnement en vitamines - ces granules de nourriture devaient avoir été nutritifs.  Une recherche postérieure a trouvé que l'épouse de Higdon et deux autres avaient vu une lumière clignotante rouge-vert-blanche se déplacer dans les deux sens à travers ce secteur.

    Le cas a été étudié très en profondeur. Une grande partie des premières recherches a été menée par le Dr Leo Sprinkle, professeur de psychologie à l'université du Wyoming, qui fait cette étude pour l'APRO et le MUFON. Rick Kenyon et Robert Nantkes également, enquêteurs sur le terrain membres du MUFON, et Frank Bourke, du National Star, ont participé aux interviews et aux recherches. Et les policiers ont été également impliqués. 

    Preuves matérielles :

    Un expert de la police a examiné de très près la balle que Higdon avait prise et avait toujours eu en poche. Il a écrit: "il semble qu'elle a été retournée de l'intérieur vers l'extérieur par quelque être surhumain!" La balle a été également examinée par un consultant en la matière de métallurgie de l'APRO, qui a été tout aussi embarrassé. Il n'a pas pu trouver d'explication pour les changements de la forme de la balle. Précédemment, Higdon souffrait d'un cas persistant et douloureux de calculs rénaux et d'un problème de poumon qui était une suite d'une tuberculose qu'il avait eue il y a des années. Ces deux affectations ont été guéries après sa rencontre. Ceci est certainement le genre de preuves que l'on ne peut pas falsifier. La position de la voiture au milieu d'un secteur boueux non accessible en voiture est naturellement une troisième preuve solide de ce que le cas n'est pas un canular et peut avoir objectivement s'être produit comme Higdon l'a dit. 

    Régression hypnotique:

    Je pense que je dois préciser que j'ai plus que de vagues doutes sur la validité de ce que la régression hypnotique met à jour. Je crois qu'il n'y a aucune certitude que les événements que cette technique met à jour soient vrais et qu'ils peuvent être totalement imaginatifs ou des événements terriblement modifiés une fois soumis à cette technique. Beaucoup de chercheurs, en particulier ceux qui soutiennent "l'hypothèse socio-psychologique" (quoi que ceci puisse vraiment signifier) ont parfois ignoré la différence potentielle de nature entre les souvenirs conscients et les souvenirs qui ont été mis à jour après des séances de régression hypnotiques quand ils proposent leurs interprétations ou spéculent sur de tels cas et particulièrement. quand ils en tirent ce qu'ils pensent être des enseignements généraux concernant le phénomène OVNI.

    Dans le cas de Higdon, on doit clairement dire qu'il s'est rappelé tous les événements ci-dessus sans la moindre aide de la régression hypnotique. Par contre, quelle qu'en soit la validité, ce qui suit maintenant a fait surface suite aux séances d'hypnose. 

    Quand le Dr Leo Sprinkle a employé la régression hypnotique sur Higdon, il a découvert plus d'éléments au sujet de son expérience. Higdon pouvait se rappeler que d'autres êtres humains étaient présents dans l'habitation des extraterrestres sur leur planète et ils agissaient comme s'ils appartenaient à ces lieux. Il a dit que les extraterrestres étaient venus sur Terre pour chasser et pêcher, pour la nourriture. 

    Higdon pense qu'il aurait été utilisé pour une certaine sorte d'expérience médicale impliquant la reproduction humaine mais l'extraterrestre lui a dit qu'il ne répondait pas à certains critères pour cela. Curieusement et par coïncidence, Higdon avait subi une vasectomie quelques années avant cet enlèvement et était donc inutile pour tout "programme de manipulation des cellules reproductrices" que ses ravisseurs ont semblé poursuivre. 

    La régression hypnotique mais aussi des tests psychologiques ont été effectués encore quelques années après, en septembre 1978, par deux spécialistes: le Dr Greenberg, conseiller scientifique pour la police de Los Angeles (LAPD), et le Dr Sidney Walter, qui, entre autres fonctions, était un conseiller à la FDA et un expert au Département Fédéral des Affaires Sociales. Tous deux l'ont trouvé sincère. Sa réaction pendant l'hypnose quand il se rappelle avoir été exposé à une lumière très brillante a été qualifiée d'une indication "qu'il a été vraiment exposé à cette forte lumière." 

    Des tests ont été également effectués à l'aide d'un appareil PSE (Psychological Stress Evaluator), qui est une forme plus sophistiquée de détecteur de mensonge, après quoi l'expert a conclu "je suis forcé d'admettre que quelque chose tout à fait fantastique s'est produite dans la vie de cet homme: l'essai le prouve au-delà du doute." Source :  ufologie 

     

    Les "Apuniens" d'Amérique du Sud

    Les Apuniens (ou tout simplement Apus) sont une ancienne race d’êtres originaires d’une lointaine constellation. Leurs ancêtres avaient jadis visité la Terre et s’étaient installés il y a des milliers d’années dans plusieurs régions qui se situent aujourd’hui au Pérou, au Chili, au Mexique, et aussi en Chine. Ce sont eux qui sont à l’origine des géoglyphes de Nazca et des ruines comme celles de Cuzco et du Machu Picchu. Leurs OVNI ont la forme de soucoupes classiques mais aussi parfois d’étranges engins équipés d’ailes repliables. Leur nom vient de leur planète d’origine : "Apu". Mais ils ont également habité jadis une autre planète appelée "Itibi-Ra" et qui appartient probablement au système d’Andromède.

    Leurs ancêtres ne sont restés sur la Terre que durant une très courte période de quelques dizaines d’années. Ils furent ensuite contraints de repartir en raison d'une maladie respiratoire qu’ils avaient contractée sur notre planète et qui était provoquée par le manque d'oxygène dans notre atmosphère. À une époque plus récente, leurs descendants, ayant réussi à surmonter ces contraintes environnementales, sont revenus sur la Terre pour y étudier les vestiges de leurs colonies ancestrales, et sans doute aussi pour d’autres raisons qui demeurent pour le moment partiellement mystérieuses. Certains se trouvent actuellement parmi nous, au même titre que les Vénusiens de la Terre Creuse dont il a déjà été question dans d’autres articles.

    Personne ne peut dire avec certitude depuis combien de temps ils sont de retour ici : selon certains, depuis quelques dizaines d’années, mais selon d’autres sources : depuis déjà plusieurs milliers d’années. Ils vivent dans un lieu secret quelque part dans les hautes montagnes du Pérou. Mais contrairement à la plupart des extraterrestres visitant la Terre, ils ont tendance à se montrer plus facilement aux humains et même à se manifester au grand jour pour guérir des malades. Cette proximité avec la population est bien sûr très relative, mais elle est réelle. Il leur arrive également de secourir des animaux en danger. Au Pérou, "Apu" est un mot qui signifie "Dieu" ou plus exactement "Divinité de la Montagne". Les Indiens du Pérou pensent que leur colonie actuelle se trouve sous les hautes montagnes de Hua-Marcu.

    Un couple de célèbres ufologues américains de l'Arizona, Jerry et Kathy Wills, qui visitent fréquemment le Pérou, ont  réussi il y a quelques années à rentrer en contact avec des Apuniens au cours d’une expédition sur le Plateau de Marca Wasi près de la ville de San Pedro de Costa. Les Apuniens les ont emmenés à bord d’un vaisseau et leur ont montré certains vestiges de leur ancienne civilisation qui n’ont pas encore été découverts. L’hypothèse de Jerry Wills est qu’ils viennent de la constellation des Pléiades et qu’ils ont une base au Pérou, sous la Terre. Plusieurs groupes de touristes ayant visité l'Île du Soleil sur le lac Titicaca déclarent également avoir rencontré des Apuniens, et les Indiens Quechua de cette région ont, semble-t-il, des contacts réguliers avec eux.

    Il existe un chaman du nom de Cucho qui affirme être en mesure d’amener les étrangers jusqu’à l’entrée d’une grotte où ils pourront rencontrer des Apuniens. S’ils sont malades et expriment clairement leur volonté d’être guéris, les Apuniens peuvent les y aider. Ils peuvent même transmettre à certaines personnes une forme d’immortalité, comme cela s’est, semble-t-il, produit avec une européenne du nom d’Ivanka, qui, selon Cucho, vivrait avec eux depuis plus d’un siècle et aurait conservé l’apparence d’une jeune-femme d’une vingtaine d’années.

    L’écrivain Anton Ponce de Leon Paiva, qui est connu au Pérou pour y avoir créé un grand centre d’accueil, où sont logés, nourris et soignés les vieillards indigents et les enfants abandonnés de la région, est également entré en contact avec les Apuniens au milieu des années 1970. Il a ensuite fondé un nouveau centre appelé "Samana Wasi" où il dispense un enseignement basé sur leur sagesse. Des Apuniens ont aussi été aperçus près de la montagne du Machu Pichu, ainsi qu’au Mexique, à Huajutla et Chiatipan, dans l'État d'Hidalgo. Dans tous les cas, lorsqu’ils se présentent, ils semblent venir de l’intérieur de la Terre.

    De nombreux ufologues considèrent la présence des Apuniens au Pérou comme un mythe. Les témoignages pourtant se multiplient depuis quelques années. Le premier scientifique à avoir confirmé leur existence et leur présence dans les montagnes du Pérou est un ingénieur péruvien d’origine yougoslave nommé Vlado Kapetanovic, mais plus connu sous son pseudonyme de Vitco Novi. 

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    Victo Novi (Vlado)

    Né en 1918, c’est aujourd’hui un homme âgé mais qui n’a rien perdu de sa vivacité d’esprit. Son contact est chaleureux et il s’est toujours montré d’une extrême gentillesse envers tous ceux qui l’ont rencontré. Il affirme avoir eu, depuis le milieu de l’année 1960, des centaines d’heures d’entretiens avec des Apuniens.

    Voici une partie de l'interview au cours de laquelle il raconte comment se sont déroulés ses premiers contacts. 

    Question : Qui sont-ils, Vlado?

    Victo Novi : Ce sont des personnes qui vivent sur une planète qu'ils appellent Apu, qui ne fait pas partie de notre galaxie et qui est distante de la Terre de plusieurs millions d'années-lumière.

    Question : À quoi ressemblent-ils ?

    Victo Novi : Ils nous ressemblent, mais ils sont physiquement mieux proportionnés. Ils décident eux-mêmes de la taille qu’ils souhaitent avoir ; certains mesurent plus de deux mètres et d’autres moins d’un mètre cinquante.

    Question : Quand vos contacts ont-ils commencé ?

    Victo Novi : C’était en 1960 ; je travaillais à la centrale hydroélectrique de Huallanca à Ancash, au Pérou en tant que technicien responsable de la production d’électricité. Une nuit, alors que j’étais de garde – c’était le 10 mars – l’éclairage s'est éteint sans raison apparente. Je suis sorti pour mettre en route le groupe électrogène. Mais à l’extérieur il y avait une lumière telle qu’on se serait cru en plein jour. Elle provenait d'une sorte de soucoupe posée sur l’étroite bande de terre qui séparait les deux rivières alimentant la centrale. Quiroz, le responsable de la sécurité m’a demandé de ne pas m’approcher. « Il faut les laisser faire, m’a-t-il dit ; ce sont des êtres qui font beaucoup de bien dans les villages : ils guérissent les gens, font pleuvoir et viennent en aide aux plus démunis. »

    J’étais persuadé qu’ils faisaient partie de l'armée, car pour atteindre l’endroit où ils se trouvaient, il était nécessaire de franchir un enchevêtrement de lignes et de câbles électriques sous très haute tension. Je demandai néanmoins à Quiroz qui ils étaient et d'où ils venaient. À ma grande surprise, il me répondit : « Ce sont nos amis de la planète Apu. » Pensant qu'il était ivre, je lui ai ordonné de me laisser passer, et je me suis avancé à leur rencontre.

    En m’approchant, j'ai découvert que le lumière venait d'un objet ovoïde, semblable à une grosse lentille, qui ne reposait pas directement sur la terre ferme mais semblait suspendu dans le vide à quelques centimètres du sol. Malgré son intensité, la lumière n’éblouissait pas. Elle était agréable et presque apaisante. En arrivant à proximité de l’objet, j'ai vu deux personnes qui avaient l’apparence d’êtres humains de race blanche. Ils étaient jeunes et souriants et portaient d’étranges tenues. Ils m'ont alors salué dans ma langue originelle : le serbe, ce qui m’a surpris mais pas convaincu de leur origine extraterrestre, car, après tout, de nombreux hommes et femmes sont capables de s’exprimer dans une autre langue que leur langue maternelle.

    Je leur ai demandé pourquoi ils avaient provoqué une panne électrique dans la centrale, et c’est leur réponse qui m’a stupéfié. Ils m’ont simplement dit : « Mon ami, nous sommes venus ici depuis l'espace, et quand nous passons par cette galaxie, nous visitons la Terre, fraternellement.Nous ne sommes pas venus sur la Terre pour nuire à quiconque, mais pour aider nos frères terrestres, car nous ne vivons que pour aider les autres ! » Pendant qu’ils me parlaient, j'ai observé leur machine et j'ai vu qu'elle reposait sur trois énormes faisceaux de lumière. Puis ils sont remontés à bord par une sorte d’escalier qui rejoignait la partie supérieure. L’escalier s’est ensuite rétracté en même temps que les faisceaux de lumière. Leur engin s’est alors silencieusement élevé à la verticale et a disparu de ma vue en une fraction de seconde.

    Je suis resté immobile durant de longues minutes, comme frappé de stupeur, et puis j’ai fait demi-tour vers la centrale. À l’entrée, j’ai recroisé Quiroz. 

    « Écoutez, Quiroz, lui ai-je demandé, s'il vous plaît, pouvez-vous m’expliquer ? Qui a atterri là ? Que sont-ils venus faire ici ? Pensez-vous qu’ils puissent nous attirer des ennuis ? » 

    - « Non, ne craignez rien, m’a-t-il répondu, ils viennent d'un autre monde très lointain et ce sont des gens très bons. Ils se rendent souvent sur les hauteurs où les bergers amènent leurs troupeaux. Ils viennent pour les aider. » 

    Les explications de Quiroz n’ont fait qu’ajouter à ma confusion. J’essayais de me persuader que nous avions tous les deux été victimes d’hallucinations, et que des chercheurs travaillant pour l’armée nous avaient sans doute hypnotisés pour nous utiliser comme des cobayes. Mais au fond de moi, je savais bien qu’il y avait une autre explication…

    Question : Comment s’est déroulé votre deuxième contact ?

    Victo Novi : C’était un mois plus tard, le 12 Avril 1960. Le jour venait de se lever. Le ciel était dégagé et le Soleil commençait à illuminer l’horizon. Les hauts sommets des montagnes d'Ancash, pour la plupart inconnus et inexplorés par l'homme, reflétaient ses doux rayons sur les cimes immaculées. Ce délicieux début de matinée annonçait une journée tout à fait appropriée pour ma randonnée hebdomadaire à travers les coteaux environnants. Je décidai de me rendre chez un jeune-homme nommé Adrian Perez, qui appartenait à l’équipe d’entretien de la centrale et qui connaissait toutes les routes de montagne. Et je lui proposai de m’accompagner.

    Il accepta et nous nous mîmes aussitôt en route. Nous avions marché presque toute la matinée, lorsque nous atteignîmes un plateau isolé, situé à plus de 4.000 mètres d’altitude. Les roches et les rochers abondent dans ce lieu, si bien que nous étions obligés de zigzaguer pour pouvoir laisser des empreintes de notre passage et être en mesure de revenir par le même itinéraire sans se perdre. Soudain Adrian s’immobilisa et me désigna de la main une petite zone de plat sans rochers distante d’environ trois cents mètres et sur laquelle reposait un engin identique à celui que j'avais vu le mois précédent à Huallanca en face de la centrale hydroélectrique.

    La soucoupe était entourée par un troupeau de chèvres et quelques moutons. Et sur le côté il y avait une petite clairière avec plusieurs personnes : hommes femmes et enfants. C’étaient des bergers avec leurs familles. Je me demandai comment ils réussissaient à survivre dans un endroit aussi isolé tout près des neiges éternelles. Perez m’indiqua qu’il s’agissait d’un endroit particulier, parce que des disques volants pilotés par des extraterrestres avaient l’habitude de s’y rendre régulièrement. Il ajouta que c’étaient de bonnes personnes qui avaient bien souvent aidé les bergers.

    J’ai comparé les explications de Perez avec celles que m’avait données Quiroz le mois précédent et j’en ai déduit que les gens de cette région devaient être bien naïfs pour en arriver à gober de telles fadaises. Pour moi, les choses étaient simples : ils étaient à leur insu complices des agissements de militaires qui s’entraînaient sur eux à mettre au point un nouveau programme d’hypnose collective. J’acceptai cependant la proposition de Perez de les rejoindre.

    Quelques minutes plus tard nous sommes arrivés à leur hauteur où ils avaient construit une petite cabane. Il y avait quatre hommes assis devant un feu, avec trois femmes et quatre enfants. À côté d’eux se tenaient les deux personnages étranges que j'avais rencontrés trois semaines auparavant à côté de la centrale hydroélectrique. Les étrangers sourirent en nous voyant, mais les bergers semblaient dérangés par notre présence. L'un d’eux se leva pour venir à notre rencontre et nous demanda sur un ton un peu cassant ce que nous venions faire en cet endroit reculé. Je lui ai dit que nous chassions le puma. Mais j’ai senti qu’il ne me croyait pas. L'un des deux extraterrestres nous salua alors de la main en nous souriant et nous fit signe de nous asseoir à côté des bergers, ce qui sembla calmer celui qui s’était montré agressif. Nous nous sommes donc assis là, face au feu. 

    L’attitude menaçante du berger qui m'avait posé la question et le regard suspicieux de ses compagnons confirmèrent mes pensées antérieures : d'une certaine façon, les habitants de la région étaient de mèche avec ces étrangers, et pour cette raison ils craignaient que des intrus découvrent une sorte de complot ou de conspiration à laquelle ils devaient certainement être mêlés.

    Comme il faisait encore jour, j'eus le temps de bien observer les deux "étrangers" : ils étaient grands, sveltes et plutôt beaux. Rien ne permettait a priori de les distinguer de n’importe quel être humain vivant sur notre planète, si ce n’est que l’on aurait pu croire qu’ils appartenaient à une race provenant du mélange de l’ensemble de toutes les races actuellement présentes sur la Terre. La forme de leurs visages ressemblait à celle des Arabes, leurs yeux étaient bleus mais légèrement bridés comme ceux de la race mongole, leur nez et leur bouche ressemblaient à ceux des pays nordiques; leur barbe et leur chevelure leur donnaient le type hindou, la musculature de leur corps évoquait celle des Africains, et la couleur de leur peau était d'un rose très pâle, comme celle des races d’origine celtique.

    Celui des deux extraterrestres qui nous avait souhaité la bienvenue sourit de nouveau. Par son sourire, je compris qu’il avait lu dans mes pensées mais que mes réticences à leur égard ne lui causaient aucune peine. Comme la fois précédente, il prit la parole dans ma langue maternelle et me dit : « Nous savons que vous n’acceptez pas d’envisager la possibilité que nous venions d’une autre planète. Ce comportement envers nous est naturel, car vos cellules sont programmées pour nous rejeter. Mais nous vous serions reconnaissants de rester quelques minutes avec nous et de bien observer ce que nous souhaiterions vous montrer. Vous n’avez aucune raison d’avoir peur, puisque vous êtes armé, alors que nous ne le sommes pas. »

    Pendant qu’il me parlait, j’observai que sa tenue était une combinaison qui comportait une sorte de cagoule fine et presque transparente enserrant le visage, ainsi que deux renflements qui faisaient office de chaussures au niveau des pieds. La taille, les chevilles et les poignets de la combinaison  étaient équipées de petites poches sans ouvertures. Une plastron brillant recouvrait la poitrine. Il comportait 15 boutons disposés suivant  3 lignes de 5 boutons chacune.

    Il ajouta : « Ces tenues nous permettent de nous déplacer dans l’espace sans utiliser de vaisseau. Je vais vous montrer. »

    Il s’est alors levé ; puis il a effleuré du doigt deux des boutons qui ornaient son plastron. Sa combinaison s’est alors mise à gonfler à l’emplacement des poches, et il s’est instantanément envolé à la verticale ! Il a fait un petit tour dans les airs, et parcouru plusieurs centaines de mètres comme un oiseau, puis il est revenu !

    J’étais complètement abasourdi. J’essayai de m’auto-persuader que j’avais moi aussi été hypnotisé, mais je savais au fond de moi que ce que je venais de voir était bien réel. « Comment faites-vous ? » lui ai-je alors demandé. Il sourit et me répondit : « Ces petites poches que j'ai aux poignets, aux chevilles et autour de ma ceinture sont chargées d’ions positifs. Dès que le système est enclenché, nous pouvons moduler le champ gravitationnel à notre convenance. Cela nous permet d’atteindre exactement la vitesse souhaitée et nous donne la possibilité de voler en nous déplaçant à l’horizontale, à la verticale ou en zig-zag. Sur Apu, la planète dont nous sommes originaires, nous nous déplaçons depuis des millions d’années grâce à ce procédé. » 

    Il se tut un moment, puis ajouta : « Apu est située à la périphérie de la Voie Lactée. Nous sommes les protecteurs de la vie des habitants de cette galaxie. Nous voyageons à travers l’espace pour aider les êtres que nous rencontrons. Nous ne sommes pas ici pour tenter de vous impressionner. Nous voulons simplement vous apprendre à nous connaître. » 

    Il continua sa narration, et me parla d'une gigantesque explosion qui se serait jadis produite sur Apu, de la formation des galaxies, des problèmes de la Terre et des autres planètes, ainsi que de beaucoup d'autres choses qui m’étaient totalement inconnues et que, même aujourd’hui, je continue à être incapable d’expliquer rationnellement.

    Il commençait à être tard. Nous avions déjà passé plusieurs heures à cet endroit. Il était temps pour nous de prendre congé. Au moment où je disais au revoir aux bergers. L’un des deux extraterrestres s’approcha de moi, me prit la main en me regardant droit dans les yeux, puis il prononça à haute voix et avec une sorte de ferveur mystique la phrase : "Tout pour les autres". Puis l’autre s’approcha à son tour et il fit exactement la même chose, dans un élan de joie et d’enthousiasme qui semblait tellement puissant et spontané que j’avais du mal à m’en expliquer l’origine. Puis j’ai appelé Perez qui discutait encore avec l’un des bergers, et nous avons commencé à rebrousser chemin vers notre village.

    Évidemment, sur le chemin du retour, j’ai posé toutes  sortes de questions à Perez sur ce qu’il savait de ces étranges visiteurs et je lui ai demandé s’il pensait qu’il s’agissait vraiment d’extraterrestres, ce que je ne pouvais me résoudre à admettre malgré ce qui venait de se passer.

    « Seigneur, me déclara-t-il au bout d’un moment, comment pouvez-vous être à ce point aveugle ?!!! Comment expliquez-vous qu’autant de personnes les aient rencontrés et en soient toutes arrivées à la même conclusion, à savoir qu’il s’agit bel et bien d’extraterrestres. Il est très fréquent dans cette région d’avoir des contacts avec des êtres venus d'autres mondes. Certains volent comme ceux que vous venez de voir. D’autres ont des soucoupes ovoïdes comme celle que vous aviez vue lors de votre premier contact. Parfois aussi, certains se déplacent à l’intérieur de machines plus petites semblables à des avions avec des ailes repliables. Les Indiens les surnomment "los vientos" (les vents), parce qu’ils viennent et disparaissent comme le vent, sans que l’on s’en aperçoive. »

     

    008

    Représentations des "vientos" exécutées au siècle passé par des bergers Quechuas

     - « Vous dites qu’ils sont plus petits que les avions que nous utilisons communément pour le transport des passagers ? »

    - « En effet, ils sont bien plus petits et certains ont des ailes très étranges. Ils les sortent ou les rétractent comme ils veulent, comme certains oiseaux. D'autres sont comme des papillons. Il y en a même qui ressemblent à des feuilles de trèfle. Ils sont extraordinairement rapides, ils apparaissent et disparaissent sans que l'on voit quand ni que l’on sache comment. Au début, les étrangers ont la même réaction que vous, ils pensent que ce sont des prototypes de l’armée, mais quand ils les voient déplier ou replier leurs ailes, et leurs occupants commencer à voler comme des oiseaux, à soigner les malades et à les guérir de maladies incurables, ou à faire pleuvoir d'un ciel sans nuages, alors ils commencent comme moi à penser que ce sont des anges du Ciel. Et lorsqu’ils se présentent comme des êtres venus d'une planète lointaine, nommée Apu, ils les croient ! Ce qui est sûr en tout cas, c'est que ce sont des êtres bons, qui aident chaque fois qu’ils le peuvent et qui n’ont jamais causé de tort à quiconque. Quant à expliquer pourquoi ils sont venus sur la Terre, et ce qu’ils sont venus y chercher, je ne suis pas capable de le faire. » 

    - «  Et vous, Perez, vous les aviez déjà vus auparavant ? »

    - «  Oui, bien sûr et la dernière fois remonte à moins d’un mois. Mais les gens d’ici n’aiment pas beaucoup en parler. Ils craignent que les autorités ne prennent conscience de leur présence et que l'armée ne cherche à les détruire ou à les faire partir. Et les paysans tiennent vraiment à ce que cela ne se produise jamais ! »

    Nous sommes finalement rentrés chez nous juste avant qu’il ne fasse complètement nuit. Perturbé par cette expérience, j'ai décidé de me reposer et, pendant quelques semaines, d’oublier mon penchant pour la randonnée et l'exploration des sommets.

     - Question : Comment s’est déroulée votre troisième expérience ?


    Victo Novi :  Au fur et à mesure que le temps passait, chaque matin mon désir de reprendre mon sport préféré me harcelait de plus en plus. J’ai tenu un mois, puis j'ai décidé de retourner vers les cimes enneigées des Andes. Je m’étais simplement fixé comme objectif d’éviter les endroits proches de ceux où j’avais rencontré les extraterrestres auparavant. 

    Perez était en voyage, mais un autre collègue de travail, un jeune nommé Quispe m'a dit qu'il connaissait bien la région et m’a demandé la permission de m'accompagner. J'ai accepté son offre et nous avons convenu de partir ensemble pour une grande randonnée le dimanche suivant.

    Le 15 mai de la même année, je suis donc parti avec lui. j'ai tout de suite remarqué que mon nouveau compagnon marchait sur les rochers et escaladait les pentes abruptes avec facilité et agilité. J'ai senti qu’avec lui je pourrais explorer en une journée beaucoup plus de sites que je ne l'avais fait auparavant avec Perez, et cela me plaisait. Cependant, au bout de plusieurs heures de marche, je commençais à sentir une certaine lourdeur dans mes jambes et je lui ai proposé de faire une petite pose.

    Alors qu’il était assis à côté de moi et que nous étions en train de contempler au loin la splendeur immaculée des neiges éternelles, il se retourna brusquement vers moi et tout en me regardant droit dans les yeux, il me dit : « Nous sommes dans un endroit où l’on rencontre parfois des personnes étranges qui disent qu’elles viennent d'un monde lointain. »

    - « Oui. Je sais déjà, Quispe, rétorqué-je,  ils disent qu'ils sont des habitants d'une planète qu'ils appellent Apu, et ils voyagent à travers l’espace dans d’étranges engins qui peuvent prendre la forme d’avions, de soucoupes, d’oiseaux, de poires, de cigares et bien d'autres encore. »

    - « Mais comment savez-vous tout cela, Vlado ? Qui vous l’a dit? » s’étonna-t-il.

    - « Personne ne me l'a dit, Quispe, je les ai vus ! »

    - « C’est vrai ? » s'écria-t-il, « Quelle chance vous avez ! » Et il se leva, l’air vraiment surpris et heureux. Puis il ajouta : « Si chacun remplaçait le mot méfiance par le mot confiance et le mot guerre par le mot fraternité, le monde entier pourrait les voir ! »

    Nous avons ensuite repris notre marche, et peu de temps après, nous nous sommes retrouvés en bordure d’un pâturage où il y avait des vaches, des moutons, des chèvres et aussi quelques chevaux. De l’autre côté de la prairie se trouvait une cabane de rondins avec un  toit en paille. Il s’en échappait une fumée blanche, et devant, il y avait plusieurs personnes assises près d’un feu.

    « On dirait qu’on nous attend pour déjeuner ! » dis-je à Quispe sur le ton de la plaisanterie.

    Deux chiens nous ont alors aperçus et sont venus à notre rencontre en aboyant. L’un des bergers s’est alors levé pour les faire taire et nous a fait signe de les rejoindre. Nous les avons salués et Quispe a commencé à discuter avec eux en quechua. Moi, je suis resté silencieux, me contentant d’observer, car aucun ne comprenait l’espagnol.

    Au bout d’un moment, de la cabane ont surgi une femme et un gamin qui étaient tous les deux en pleurs. Quizpe demanda à cette dame pourquoi elle pleurait et elle lui expliqua qu’une semaine auparavant l’un de ses garçons avait glissé sur un rocher. Il s’était fracturé le bras droit et plusieurs côtes et son état semblait peu à peu empirer. Nous sommes rentrés dans la hutte pour voir son petit garçon. Il avait environ dix ans et se trouvait allongé sur un tas de foin dans un état pitoyable. Il avait les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Sa langue et ses lèvres étaient démesurément gonflées ; son visage tuméfié avait pris une couleur bleue violacée. Tout semblait indiquer qu’il était déjà rongé par une gangrène avancée. J’ai pris le poignet de l’enfant pour sentir son pouls, ce qui a confirmé mes craintes.

    Nous avons alors demandé à sa mère la permission de l’emmener avec nous jusqu’à la ville de Caraz pour qu’il puisse y être hospitalisé. Elle a catégoriquement rejeté notre proposition, alléguant que « les dieux allaient bientôt venir et guérir son enfant. » Je m’attendais à voir ces gens entamer une danse ou un rituel pour invoquer les esprits quand, soudain, un petit engin ailé est descendu du ciel verticalement sans aucun bruit, avant de s’immobiliser juste à côté du feu, à quelques centimètres au-dessus du sol.

    Tous ceux qui étaient assis autour du feu se sont alors levés et une femme jeune et belle est sortie de l’étrange engin et nous a salués en souriant. Elle portait la même combinaison que celle des deux extraterrestres que j’avais rencontrés lors de mes deux premiers contacts. Elle est venue jusqu’à nous sans marcher sur l'herbe, en se déplaçant à quelques centimètres au-dessus du sol ! J’ai appris, mais plus tard, qu’elle évitait de piétiner l’herbe et les plantes de manière à préserver leurs cellules.

    Elle est alors entrée dans la cabane ; puis elle a pris le petit garçon dans ses bras et elle l’a emmené à l’intérieur de son appareil tout en continuant à glisser au-dessus du sol, malgré le poids de l’enfant qu’elle portait. Tout le monde autour de moi s’est alors agenouillé. Moi, j’étais tellement médusé que je suis resté debout jusqu'à ce que mon compagnon me demande de me mettre à genoux moi aussi.

    Au bout d’un moment, la femme est réapparue, en tenant toujours l’enfant dans ses bras. Il avait retrouvé des couleurs, son visage n’était plus gonflé et il semblait en bonne santé. Je me suis approché de lui et j’ai examiné son bras : il n’y avait plus aucune trace de fracture ! Il était souriant et ne tarda pas à demander à sa mère quelque chose à manger. 

    Pendant que j’observais l’enfant, qui semblait à présent parfaitement remis et gai comme un pinson, j’entendis l’étrange "infirmière de l’espace" en train de plaisanter avec les paysans. Ils conversaient en quechua. Or non seulement je comprenais parfaitement tout ce qu’ils disaient, mais j’avais l’impression de les entendre s’exprimer dans ma langue maternelle !

    Je rejoignis alors précipitamment  Quispe pour le questionner à ce sujet.

    « Vous entendez ce qu'ils disent ? » lui demandai-je.

    - « Oui, je les entends. » répondit-il.

    - « Et vous comprenez ce qu’ils disent ? »

    - « Oui, je comprends très bien. »

    - « Mais dans quelle langue parlent-ils ? » 

    - « Ils parlent dans leur propre langue et aussi dans toutes les autres en même temps. »

    - « Mais comment est-ce possible, Quispe? » 

    - « Je ne sais pas, Vlado. Je sais seulement qu'une fois ils nous ont dit qu’ils pouvaient influencer par la pensée le mouvement de certains électrons du cerveau. Ceux qui sont présents accèdent alors à la compréhension de toutes les langues, simultanément. »

    J’en étais complètement médusé. Amusée par ma stupéfaction, la mystérieuse étrangère s’approcha de moi en souriant et se présenta sous le nom d’Ivanka. Puis elle s’adressa à l’ensemble des personnes présentes et nous demanda de nous relever. « Nous ne sommes pas venus sur la Terre pour être remerciés, payés ni adorés, nous a-t-elle dit. Nous sommes ici pour nous consacrer à notre seule et unique mission : tout faire pour aider les autres. »

    Je lui ai alors demandé : « Mais qu’avez-vous fait à ce garçon ? »

    Elle a répondu : « Je lui ai retiré ses cellules malades, je les ai ré-harmonisées, puis je les ai réintégrées dans son corps. Toutes ses cellules sont maintenant saines et il est guéri. »

    - « Mais qui êtes-vous donc, Ivanka, pour être ainsi capable d’accomplir de tels prodiges ? »

    - « Je ne suis qu’une Terrienne comme vous et je suis également devenue une Apunienne ; j’ai en effet vécu sur Apu durant 100 de vos années ; mais je suis d’abord une citoyenne de l'Univers, et donc la sœur de tous les êtres qui habitent cet Univers. La première mission des Apuniens est de protéger la vie et d'aider tous les êtres à pouvoir continuer à vivre, quel que soit le lieu où ils se trouvent. Nous n’avons ni préférences, ni favoris, et nous n’avantageons jamais certains êtres au détriment d’autres. Notre Amour, notre compassion et nos connaissances sont destinés à tous ceux qui en ont besoin et qui sont prêts à ouvrir leur cœur, parce que nous sommes une partie de tout ce qui existe dans l'Univers et que nous sommes Un avec lui. Il n’y a rien de prodigieux à ce que je viens d’accomplir. Les miracles n’existent que dans l’esprit de ceux qui vivent coupés de l’Unité. 

    De même, la durée de vie des Terriens pourrait être aussi longue que celle des Apuniens. Il vous suffirait d’accepter de vous organiser d'une manière positive fraternellement, sans argent, sans guerres et sans injustice, et de former une seule famille terrestre, au sein de la Grande Famille Universelle. »

    Elle semblait quelque peu amusée par ma perplexité et ajouta : «  Je vais vous montrer ce que la conscience de l’Unité permet de réaliser... » Puis, joignant le geste à la parole, elle traça dans l’air un signe incompréhensible de la main. À l’instant même, sept moutons du troupeau se retrouvèrent brusquement métamorphosés sous mes yeux en vases fleuris ! Je crus que nous étions retrouvés confrontés à une séance d'hypnose collective, comme lors de mon contact précédent.

    Elle semblait lire dans mes pensées et déclara que l’un des problèmes des Terriens était d’avoir du mal à accepter ce qui dépasse leur entendement. Elle fit alors un nouveau geste de la main, et cette fois, les vases se transformèrent en sept colombes ! Des chiens se mirent immédiatement à courir après les colombes pour essayer de les attraper, et je pensai : « Pauvres chiens ; ils ont été hypnotisés comme moi. »

    Elle fit encore un nouveau signe et les sept moutons réapparurent aussitôt ! Puis, visiblement amusée et satisfaite de l’effet produit sur nous par son petit "tour de prestidigitation" elle nous invita à l’accompagner à l’intérieur de son engin volant.

    Cette fois, elle ne flottait plus au-dessus de l'herbe. Elle marchait comme nous, mais je constatai que ses pieds ne laissaient aucune empreinte sur le sol. Elle semblait concentrée sur sa marche, comme si la vie de chaque brin d’herbe dépendait de l’attention qu’elle mettait à ne pas l’écraser. Quand nous sommes arrivés à proximité de l’appareil, j'ai vu qu’il se tenait en suspension dans l'air à environ 70 centimètres au-dessus du sol. J'ai alors intuitivement compris que cette absence de contact direct avec la Terre n’avait également d’autre but que de ne pas risquer d’endommager les petites fleurs des champs qui commençaient à éclore à cet endroit.

    J'ai alors commencé à observer l’engin. Par la forme de ses ailes, il ressemblait à un avion, mais sa carlingue était bien plus courte. « Les ailes sont repliables et il peut dépasser la vitesse d’un million de kilomètres à la minute. » commenta Ivanka, tout en nous invitant à la suivre à l’intérieur de l’habitacle.

    À l’intérieur, il y avait un autre occupant auquel Ivanka nous présenta. Il nous salua d’un geste chaleureux et nous proposa de nous asseoir face un écran de verre qui semblait incrusté dans l’une des parois de l’habitacle. Et bientôt l’écran commença à s’animer.

    Les scènes de ma vie ont commencé à se déployer et j’ai revu tout ce que j’avais vécu depuis ma naissance, mais dans une dimension étrange, comme si la nature, les gens, les arbres et les animaux existaient réellement. Je pouvais tout voir dans les moindres détails. Il me semblait que je serais capable de toucher tout ce que je regardais si j’en avais envie. J'ai vu ma naissance, mon enfance et ma jeunesse, puis, dans le détail un grand nombre de scènes intimes de ma vie que personne ne pouvait avoir filmées et que je pensais être le seul à connaître.

    J’ai aussi vu d’autres scènes auxquelles je n’avais pas directement participé mais qui me touchaient profondément. La plupart avaient eu lieu au cours de la seconde guerre mondiale. J'ai revu un grand nombre de mes amis disparus, les lieux et les manières dont ils étaient morts. J’ai assisté à l’exil de mes parents en Amérique du sud. Et à un moment, je me suis vu moi-même au côté de Quispe, des bergers et de cette femme extraordinaire. Toutes les pensées négatives que j’avais eues au sujet de ces êtres ont défilé devant moi, associées à différentes images, jusqu’au moment où les moutons, les vases et les colombes s’étaient transformés sous nos yeux. 

    Puis on m’a montré la naissance et la vie de Jésus et aussi la vie des Apuniens à l’époque où ils s’étaient installés dans la région du lac Titicaca. Je les ai vus introduire dans cette région des embryons d’animaux originaires de leur planète. C'est pourquoi il y a une faune étrange sur le lac, comme ces grenouilles géantes qui ont été récemment découvertes et étudiées par une équipe de scientifiques français.

    Puis Ivanka m’a lancé un regard éclairé par une immense compassion et elle m’a dit: « Comme on se sent heureux chaque fois que l’on peut faire du bien aux autres et aider à soulager leur souffrance ! » C’est alors j'ai commencé à réaliser que ces étrangers étaient bien loin de ce que j’avais supposé qu’ils puissent être. Si ces êtres avait été des Terriens et qu’ils aient eu connaissance, comme eux, de ma méfiance à leur égard et des hypothèses absurdes que j’avais échafaudées à leur sujet, ils auraient certainement été offensés par ce flot de négativité dont j’étais en réalité l’unique responsable.

    Or non seulement cela ne semblait pas les choquer. Mais au contraire, ma réaction avait provoqué chez eux un vif amusement, comme si à la place de ma méfiance je leur avais apporté un bouquet de fleurs. Selon eux, j’avais simplement essayé de découvrir la vérité les concernant, et cela semblait provoquer leur admiration.

    J’en suis venu à la conclusion qu’aucun Terrien n’aurait réagi de manière aussi noble, et que cette sublime attitude ne pouvait être que l’apanage d’êtres extraordinairement évolués, entièrement guidés par le concept le plus élevé de l’Amour : l’Amour de tout ce qui est et de tout ce qui vit, l’Amour Universel.

    Et pour la première fois j'ai accepté l’idée que ces visiteurs soient réellement originaires d'une planète éloignée où  il n'y a ni égoïsme, ni peur, ni agressivité, ni mensonge, et intérieurement, je leur ai demandé pardon. 

    Question : Quel est le principal message des Apuniens, Vlado ?

    Victo Novi : Ils ne connaissent ni la haine ni la guerre, et ils savent convertir la négativité en une énergie positive. Ce sont des amis de tous les êtres qui peuplent l'Univers. Ils aiment même les plus cruels et les plus égoïstes, et si quelqu'un leur veut du mal, ils sont capables de transformer ses pensées négatives en pensées d’Amour. C’est pourquoi leur devise est : « Tout pour les autres. » C’est la plus magnifique de toutes les devises !

    Question : Avez-vous encore des contacts avec eux ?

    Victo Novi : J'ai des contacts de temps en temps. Et n’importe qui peut en avoir. Il suffit de s’apaiser intérieurement et de demander leur venue. En fait nous en croisons tous les jours, car ils sont capables de prendre n’importe quelle forme et d’apparaître sous les traits de n’importe quel être. Il peuvent prendre l’apparence d’Européens, de Blancs, de Noirs, d’Asiatiques et se préoccupent uniquement de revêtir l’aspect extérieur le mieux adapté à leur mission d’entraide.

     Extraits d’une interview de Victo Novi
    Présentation et transcription : Olivier de Rouvroy - Août 2012 - Source :  erenouvelle

        

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