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Crânes de forme inconnue
Crânes de forme inconnue
Le crâne de l'enfant des étoiles "Starchild"
L'analyse de l'ADN du crâne démontre que le crâne n'est pas d'origine humaine ni d'origine terrestre.
Le crâne contient des fibres de carbone hautement résistantes.
Source : eso-news
Voir à 25mn 40 , l'analyse du crâne du Starchild !
Une étrange momie et des crânes mystérieux
Assez fréquemment d’étranges squelettes et momies sont mis au jour dans le monde. C’est le cas pour cette momie exposée au Museum d’Histoire Naturelle d’Uberaba au Brésil.
Les crânes déformés, et notamment allongés, restent un mystère quant à leur signification symbolique.
(source de la photos : Le blog de l'étrange)
Description de la momie d’Uberaba
Les administrateurs du Musée ne connaissent pas la provenance de cette momie. Cette dernière dormait depuis longtemps dans les caves du musée.
Ils pensent que le squelette aurait été ramené d’Egypte.
Comme vous pouvez le voir sur les photos, le squelette présente une tête particulièrement difforme.
Le crâne fait environ deux fois le volume d’un crâne humain normal. Il est d’ailleurs totalement disproportionné par rapport au reste du corps.
De plus, les pieds possèdent six doigts.
Face au peu d’éléments dont nous disposons, nous ne pouvons faire que des hypothèses sur « l’identité » de cet être.
Hypothèses sur la momie
Bien sûr, face à ce squelette plutôt déconcertant, certains ont immédiatement pensé à un extraterrestre.
Personnellement, je pencherais plutôt pour un cas d’enfant atteint d’hydrocéphalie.
Cette pathologie se caractérise par un épanchement de liquide céphalo-rachidien dans les ventricules cérébraux (ce sont des cavités situées dans le cerveau), qui se dilatent. La pression intra-crânienne augmente, ce qui fait que les sutures encore membraneuses s'élargissent, entraînant un retard et un trouble de l'ossification.
Le fait que des squelettes, présentant ce type de malformation, aient été découverts dans le monde entier plaide en faveur d’une maladie du type de l’hydrocéphalie.
Cette terrible maladie est toujours d’actualité et des enfants, de nos jours, naissent avec ce genre de malformation. L'hydrocéphalie touche environ 1 à 4 enfants sur 1000.
Des crânes en forme de cône
Là encore, à travers le monde entier, les archéologues retrouvent assez fréquemment des crânes en forme d’œufs.
Vous pouvez en voir certains, retrouvés dans le Caucase, au musée d’études régionales de Piatigorsk.
Ces crânes, du moins pour la plupart, ont été déformés volontairement. Des cordes ou des tissus étaient noués autour de la tête des enfants dès leur plus jeune âge.
Les déformations crâniennes artificielles sont bien connues des scientifiques. Divers procédés ont été mis au point : planchettes, liens ou encore des berceaux.
Le point le plus étrange dans ce dossier n’est pas tant la déformation des crânes mais plutôt que cette mode se soit propagée sur l’ensemble de la planète.
Doit-on considérer toutes ces pratiques similaires comme une simple coïncidence ? Doit-on y voir un mimétisme, la volonté de vouloir ressembler à un modèle considéré comme étant d’essence supérieure ?
Et si oui, ce modèle n’est-il que pure abstraction ou s’identifie t-il à un être auquel l’homme souhaitait ressembler ?
Autant de questions qui restent à ce jour sans réponse.
(photos de Robert Connolly)
Les crânes de Robert Connolly
Des crânes plutôt étranges ont été rapportés par Robert Connolly lors de différentes expéditions en Amérique du Sud et au Mexique.
Il a publié les photographies sur un CD-Rom intitulé « The search for ancient wisdom » en 1995.
Ces photos ont également été diffusées sur le site de CompuServe.
Je ne m’aventurais pas à faire la moindre hypothèse dans la mesure où les données recueillies sur ces crânes sont très incomplètes.
Aucune datation précise n’a par exemple été fournie. De plus, à ma connaissance, aucune étude vraiment sérieuse n’a été entreprise par d’autres scientifiques, à part bien sûr Robert Connolly.
De ce fait, je me contenterais de vous présenter une synthèse des théories du découvreur des crânes.
D’après Robert Connolly, il y a quatre groupes différents auxquels il a donné des noms :
La tête en forme de cône
La citrouille découpée comme un visage
le type "J" et "M"
D’après lui, la tête en forme de cône ne se rapporte pas à un cas de tête bandée artificiellement. En effet, la capacité cérébrale de ces crânes serait différente de celle d’un homme normal. Tous les crânes appartiendraient donc à des espèces différentes de celle du genre Homo.
Le type « J » présente des orbites oculaires environ 15% plus grandes que celle d’un homme normal.
La voûte crânienne est énorme. R.Connolly estime que la capacité cérébrale se situait entre 2600 et 3200 cm3.
Notre capacité cérébrale est actuellement de 1100 cm3.
Là encore, l’âge de ce crâne n’est pas connu et aucun autre spécimen du même type ne semble avoir été retrouvé.
Cela ne plaide pas en faveur d’une espèce spécifique mais plutôt d’une déformation propre à un individu.
Le type « M » est lui un crâne incomplet qui présente une voûte crânienne particulièrement grande.
Les deux lobes globuleux sont également totalement disproportionnés.
R.Connolly dénonce la théorie des déformations ou des cas pathologiques.
Cependant, en l’absence de plus de précisions et d’autres découvertes, il est difficile d’adhérer pleinement à sa théorie d’espèces distinctes et totalement différentes de celles du genre Homo.
Source : Dinosoria
Crâne découvert dans un ancien cimetière près de Paracas au Pérou
Source : hiddenincatours
Ci-dessous le crâne d'un être estimé avoir trois mois lors de son décès
Statuette Equateur - Jama Coaque
V.Battaglia (11.12.2005)
Découverte de crânes étranges à Onavas, Mexique (2012)
Des archéologues américano-mexicains ont découvert dans un cimetière précolombien dans le Sonora des crânes montrant une forme étrangement allongée. Des crânes dignes du film Alien de Ridley Scott. Ceci fournit la première preuve de l'extension de certaines pratiques rituelles au nord du Mexique.
C'est près de la petite agglomération d'Onavas, dans le sud du Sonora au nord du Mexique, que des archéologues de l'Arizona State University et de l'Institut national mexicain d'anthropologie et d'histoire (INAH) ont fait leur découverte : un cimetière comptant 25 tombes et datant, selon l'analyse d'échantillons, de l'an 943 après J.-C. Mais là n'est pas le inattendu. Parmi les défunts, ornés de bracelets, anneaux nasaux ou boucles d'oreilles, les chercheurs ont trouvé 5 crânes portant des mutilations dentaires et 13 montrant une forme inhabituelle. Ces défunts ont en fait subi une déformation intentionnelle de leur crâne qui lui ont donné une forme particulièrement allongée, conduisant à un aspect tout sauf humain.
Source : maxisciences
Des crânes retrouvés en Adyguée (RUSSIE)
Deux crânes étranges, retrouvés en Adyguée, font débat entre les scientifiques et les ufologues. Cette découverte a suscité d'autant plus d'intérêt que ces crânes intéressaient particulièrement les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ces crânes étranges sans mâchoire, os frontal ni cou mais avec un orifice pour la colonne vertébrale font penser aux extraterrestres de la Guerre des étoiles. Les deux ont été découverts dans une grotte à côté d'un coffre allemand qui appartenait, à en juger par l'emblème dont il était orné, à une organisation du IIIe Reich appelée Ahnenerbe — « héritage ancestral ». Cette organisation avait été créée dans les années 1930-1940 en Allemagne pour étudier les traditions, l'histoire et l'héritage de la « race allemande ». Son activité se focalisait sur les preuves archéologiques, historiques et même occultes qui auraient pu prouver que la race aryenne était une race d'élus. Elle était dirigée directement par Heinrich Himmler.
Selon certaines informations, pendant la Seconde Guerre mondiale les nazis cherchaient secrètement dans les montagnes du Nord-Caucase des traces d'anciens peuples, y compris des dolmens — des édifices d'inhumation et de culte constitués de monolithes. Les « scientifiques » de l'Ahnenerbe cherchaient les lieux de campement des tribus qui auraient pu avoir des racines communes avec les aryens — des traces des civilisations de Sumériens et de Hattis, ainsi que des « lieux de force » — des zones présentant des phénomènes paranormaux, avec une énergie inhabituelle. Cela concernait également les endroits où étaient construits les dolmens et où se situaient des grottes.Igor Ogaï, président du bureau régional de la Société géographique de Russie, a communiqué avec des chercheurs russes en leur montrant la photo des crânes mais n'a pas reçu de réponse claire. Il a noté que les os extérieurs avaient une origine extraterrestre.
Cependant, d'après les archéologues russes, ces crânes n'ont rien à voir avec des aliens: ils pensent qu'il s'agit de crânes de mouton amenés sur le rivage et fortement déformés par l'eau et le gravier, que les nazis ont pris pour les restes d'un être extraterrestre.Source : sputniknews
Doigt « géant » momifié de 38 cm découvert en Egypte !
Le photographe Gregory Spörri est un entrepreneur de 56 ans propriétaire de discothèques à Bâle en Suisse. Il est passionné par l’Egypte ancienne. En 1988, le dernier jour de ses vacances en Egypte, se présentant comme un enquêteur privé, il est entré en contact avec un vieil homme d’une dynastie de voleur de tombes. La rencontre a eu lieu dans une ferme à Bir Hooker, à environ 100 kilomètres au nord-est du Caire. Contre 300 $ Spörri pourrait jeter un oeil au trésor invendable de la famille de pilleurs de tombes.
Enveloppé dans de vieux chiffons, se trouvaient des os et de la peau en cuir. Spörri a déclaré à BILD.de : « C’était un paquet oblong, qui sentait le moisi. J’ai été absolument sidéré quand j’ai vu la relique brun foncé. » Il a été autorisé à le prendre en main et à le prendre en photo. « Le doigt plié était fendu et recouvert de moisissures séchées. Il était étonnamment léger, peut-être quelques centaines de grammes. Mon cœur battait à tout rompre. C’était incroyable. La taille d’un corps correspondant aurait dû être d’environ sept/neuf mètres de haut… . »
Ci-dessus, un billet égyptien de 20 Livres a été mis à côté pour obtenir une comparaison de taille. Il mesure 15 cm x 7 cm.
Le pilleur de tombes ont également montré au Suisse un certificat d’authenticité et une radio prise aux rayons X. Les deux sont des années 60. « Les pilleurs de tombes imploraient tous Allah. Mais le doigt n’était pas à vendre . Il semblait être beaucoup trop important pour lui et sa famille. »
Aujourd’hui Spörri regrette d’avoir seulement pris des photos. Pendant des années il a présenté les photos à des scientifiques qui ne se sont pas intéressés au doigt, qui devrait être impossible. La relique ne rentre pas dans leurs théories , « le découvreur a dit à BILD.de. qu’il ne voulait pas se moquer des experts, le reste a été de l’histoire . En 2009, il retourna à la recherche des anciens Arabes et de la relique. Mais les traces de Bir Hooker avaient fait long feu …
Spörri a travaillé intensivement avec la relique, lu les mythes au sujet des géants, fut également amené clandestinement dans les pyramides de Gizeh , parmi lesquels se trouvent d’énormes sarcophages inachevés, beaucoup trop grands pour des personnes .
Les géants étaient-ils en Egypte ? L’ historien romain Flavius Josèph a rapporté en 79 après J.C. à propos de ces êtres dans son Histoire de la Guerre des Juifs, « Il y avait des géants. Beaucoup plus grand et de forme différente que les gens normaux . Terribles à regarder. Qui n’a pas vu de ses propres yeux ne peut pas croire qu’ils ont été si énormes. »Source : lechemindeleveil.
« Et il arriva, quand les hommes commencèrent à se multiplier sur la terre et qu’ils eurent des filles, 2 les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent pour femmes celles qu’ils choisirent parmi elles. » genèse 6: 1-6
« Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. L’Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur coeur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. »Livre des Nombres 13: 30-33 : « Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit: Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs! Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent: Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous. Et ils décrièrent devant les enfants d’Israël le pays qu’ils avaient exploré. Ils dirent: Le pays que nous avons parcouru, pour l’explorer, est un pays qui dévore ses habitants; tous ceux que nous y avons vus sont des hommes d’une haute taille; et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants: nous étions à leurs yeux comme des sauterelles. »
D'autres crânes de forme allongée
Musée de Kislovodsk, Russie
Budapest
Qu’en est-il de véritables traces de grands crânes en Egypte?
(extrait du texte d'Antoine Gigal)
Je comprend parfaitement que ce qui est dans l’article des scientifiques et publié dans la fameuse revue médicale: «Lancet», est intéressant car, cela montre d’une certaine façon, un lien génétique dans le squelette de SeNakht avec de possibles ancêtres géants («véritables»). Mais alors pourquoi ne pas étudier les crânes trouvés par Emery et où sont-ils aujourd’hui?
Le professeur Walter B. Emery (1903-1971), un excellent archéologue avec 45 ans d’expérience de fouilles en Egypte et auteur du fameux livre sur: “L’Egypte Archaïque”, a trouvé dans certaines tombes les restes de personnes qui vivaient dans les temps pré-dynastiques au nord de la Haute Égypte. Les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont de taille anormale et sont dolichocéphaliques, c’est-à-dire que le crâne vu de dessus est ovale et est environ 25% plus long que large. Certains crânes ne montrent aucun signe des sutures habituelles. Les squelettes sont supérieurs à la moyenne de la zone et surtout le cadre squelettique est plus large et plus lourd. Il n’a pas hésité à les identifier avec les «disciples d’Horus ou Shemsu-Hor» et a constaté qu’au cours de leur vie, ils remplissaient un rôle sacerdotal important. En ce qui concerne les crânes à tête longue, il semble que ce ne soit pas une lignée préhistorique d’évolution, mais plutôt une lignée provenant d’un cycle de civilisation avant le déluge.
Ces crânes élargis ont déjà été trouvés dans plusieurs régions du monde. Le Dr J. Von Tschudi et Mariano E. Rivero au Pérou ont identifié trois races dolichocéphaliques pré-inca, les Chinchas, les Aymaras et Huancas. Ils ont également constaté que si les Chinchas avaient une crâne allongée, c’était parce qu’ils avaient bandé les crânes de leurs enfants afin de ressembler aux deux autres groupes qui ne bandèrent pas leur crâne. Ils ont réussi à déterminer que le groupe original avec les caractéristiques naturelles les plus marquées était le Chinchas. Ils ont précédé le premier Inca, Manco Capac, et ont probablement influencé à la fois les Incas et les Mayas dans les temps postérieurs. Les chercheurs A.H. Verrill et Posnansky soulignent que la plus ancienne ville pré-incas au Pérou, Tiahuanaco, date du même temps que l’Égypte pré-dynastique et les crânes agrandis de cette période se trouvent dans le musée de Tihuanaco.
Il est donc affirmé qu’il existait une fois une race antédiluvienne qui a été trouvée ici et là, partout dans le monde, une race qui avait un crâne conique naturellement allongé, comme l’ont affirmé certains chercheurs, dont le Dr Johann Jacob Tschudi, qui possédait un fossile de ce temps, un fœtus de 7 mois avec un crâne dolicocéphalique toujours dans le ventre de sa mère momifiée par le temps. Ce qui implique donc, la réalité tangible de l’existence de crâne allongés “naturels” sans avoir été allongés une fois nés.
Tout cela est loin d’être «politiquement correct» parce que ces faits mettent en cause, l’histoire de l’évolution et les croyances basées sur la Bible. C’ est donc un processus très lent pour que les gens absorbent ces faits nouveaux mais fascinants. Pour citer un exemple, les crânes dolicocéphaliques ont été retirés de la vue publique dans le musée de La Valette à Malte, sans aucun doute pour éviter de nuire aux sensibilités religieuses de certaines personnes. En effet, environ 700 de ces crânes ont été trouvés à Malte dans l’hypogée de Hal Saflieni et les tombeaux des temples mégalithiques de Taxien et Ggantja. Ce fut le Dr Anton Mifsud et le Dr Charles Savona Ventura qui ont analysé les crânes et sont arrivés à la même conclusion qu’au Pérou, identifiant trois groupes différents, certains d’origine complètement “naturelle“ et d’autres qui avaient été bandés.Et voici un lien encore plus étroit avec l‘Egypte : L’ancien nom de Malte est Melita, du Latin Mel, «le miel». Le symbole de Malte est une abeille avec ses rayons hexagonaux. N’oublions pas que le symbole du pharaon en Egypte est aussi l’abeille («bit») qui lui confère l’un de ses titres. Le miel était réservé au Pharaon et aux principaux prêtres, et Mel ou Mer était l’un des noms donnés aux pyramides en Egypte. En outre, le culte du soleil a prévalu à Malte comme en Egypte, et la caste dolichocéphale a disparue en même temps, dans les deux pays.
Dans mes recherches, j’ai constaté qu’il y avait très probablement une migration de ces personnes aux crânes allongés d’Egypte vers Malte, et des traces d’elles se trouvent dans la civilisation crétoise. Quoi qu’il en soit, cette caste qui semble avoir été consacrée à la prêtrise et à l’enseignement, et qui se tenait plus ou moins séparée des autres, avait un point commun partout : la construction de monuments mégalithiques. Ils formaient une caste sacerdotale dominante partout où ils se trouvaient. Ces gens pourraient-ils vraiment être les descendants d’une race antédiluvienne? Peut-être, mais nous n’avons pas encore assez d’éléments et cela mérite d’être beaucoup plus sérieusement étudié notamment si on analysait sérieusement les résultats d’anciennes fouilles de grands archéologues comme Emery dont l’éthique était indiscutable. Il ne reste que la volonté de trouver la vérité sans subir d’obstacles… Source : gigalinsights
Qu’en est-il de véritables traces de géants et de crânes dolichocéphales en Égypte?
(extrait du texte d'Antoine Gigal)
Je comprend parfaitement que ce qui est dans l’article des scientifiques et publié dans la fameuse revue médicale: «Lancet», est intéressant car, cela montre d’une certaine façon, un lien génétique dans le squelette de SeNakht avec de possibles ancêtres géants («véritables»). Mais alors pourquoi ne pas étudier les crânes trouvés par Emery et où sont-ils aujourd’hui?
Le professeur Walter B. Emery (1903-1971), un excellent archéologue avec 45 ans d’expérience de fouilles en Egypte et auteur du fameux livre sur: “L’Egypte Archaïque”, a trouvé dans certaines tombes les restes de personnes qui vivaient dans les temps pré-dynastiques au nord de la Haute Égypte. Les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont de taille anormale et sont dolichocéphaliques, c’est-à-dire que le crâne vu de dessus est ovale et est environ 25% plus long que large. Certains crânes ne montrent aucun signe des sutures habituelles. Les squelettes sont supérieurs à la moyenne de la zone et surtout le cadre squelettique est plus large et plus lourd. Il n’a pas hésité à les identifier avec les «disciples d’Horus ou Shemsu-Hor» et a constaté qu’au cours de leur vie, ils remplissaient un rôle sacerdotal important. En ce qui concerne les crânes à tête longue, il semble que ce ne soit pas une lignée préhistorique d’évolution, mais plutôt une lignée provenant d’un cycle de civilisation avant le déluge.
Ces crânes élargis ont déjà été trouvés dans plusieurs régions du monde. Le Dr J. Von Tschudi et Mariano E. Rivero au Pérou ont identifié trois races dolichocéphaliques pré-inca, les Chinchas, les Aymaras et Huancas. Ils ont également constaté que si les Chinchas avaient une crâne allongée, c’était parce qu’ils avaient bandé les crânes de leurs enfants afin de ressembler aux deux autres groupes qui ne bandèrent pas leur crâne. Ils ont réussi à déterminer que le groupe original avec les caractéristiques naturelles les plus marquées était le Chinchas. Ils ont précédé le premier Inca, Manco Capac, et ont probablement influencé à la fois les Incas et les Mayas dans les temps postérieurs. Les chercheurs A.H. Verrill et Posnansky soulignent que la plus ancienne ville pré-incas au Pérou, Tiahuanaco, date du même temps que l’Égypte pré-dynastique et les crânes agrandis de cette période se trouvent dans le musée de Tihuanaco.
Il est donc affirmé qu’il existait une fois une race antédiluvienne qui a été trouvée ici et là, partout dans le monde, une race qui avait un crâne conique naturellement allongé, comme l’ont affirmé certains chercheurs, dont le Dr Johann Jacob Tschudi, qui possédait un fossile de ce temps, un fœtus de 7 mois avec un crâne dolicocéphalique toujours dans le ventre de sa mère momifiée par le temps. Ce qui implique donc, la réalité tangible de l’existence de crâne allongés “naturels” sans avoir été allongés une fois nés.
Tout cela est loin d’être «politiquement correct» parce que ces faits mettent en cause, l’histoire de l’évolution et les croyances basées sur la Bible. C’ est donc un processus très lent pour que les gens absorbent ces faits nouveaux mais fascinants. Pour citer un exemple, les crânes dolicocéphaliques ont été retirés de la vue publique dans le musée de La Valette à Malte, sans aucun doute pour éviter de nuire aux sensibilités religieuses de certaines personnes. En effet, environ 700 de ces crânes ont été trouvés à Malte dans l’hypogée de Hal Saflieni et les tombeaux des temples mégalithiques de Taxien et Ggantja. Ce fut le Dr Anton Mifsud et le Dr Charles Savona Ventura qui ont analysé les crânes et sont arrivés à la même conclusion qu’au Pérou, identifiant trois groupes différents, certains d’origine complètement “naturelle“ et d’autres qui avaient été bandés.
Et voici un lien encore plus étroit avec l‘Égypte : L’ancien nom de Malte est Melita, du Latin Mel, «le miel». Le symbole de Malte est une abeille avec ses rayons hexagonaux. N’oublions pas que le symbole du pharaon en Égypte est aussi l’abeille («bit») qui lui confère l’un de ses titres. Le miel était réservé au Pharaon et aux principaux prêtres, et Mel ou Mer était l’un des noms donnés aux pyramides en Egypte. En outre, le culte du soleil a prévalu à Malte comme en Égypte, et la caste dolichocéphale a disparue en même temps, dans les deux pays.
Dans mes recherches, j’ai constaté qu’il y avait très probablement une migration de ces personnes aux crânes allongés d’Egypte vers Malte, et des traces d’elles se trouvent dans la civilisation crétoise. Quoi qu’il en soit, cette caste qui semble avoir été consacrée à la prêtrise et à l’enseignement, et qui se tenait plus ou moins séparée des autres, avait un point commun partout : la construction de monuments mégalithiques. Ils formaient une caste sacerdotale dominante partout où ils se trouvaient. Ces gens pourraient-ils vraiment être les descendants d’une race antédiluvienne? Peut-être, mais nous n’avons pas encore assez d’éléments et cela mérite d’être beaucoup plus sérieusement étudié notamment si on analysait sérieusement les résultats d’anciennes fouilles de grands archéologues comme Emery dont l’éthique était indiscutable. Il ne reste que la volonté de trouver la vérité sans subir d’obstacles… Source : gigalinsights
Différentes espèces humaines ont peuplé la Terre avant de disparaître.
Et certaines ont même imprimé leur trace dans notre génome sans que nous en ayons encore retrouvé les fossiles.
Il y a quelques dizaines de milliers d'années, la Terre était encore peuplée de plusieurs lignées humaines. L'humanité était buissonnante avec des groupes d'individus éparpillés. Différentes espèces* se sont même mélangées entre elles, donnant parfois lieu à des hybridations plus ou moins durables. Nous partageons ainsi une partie de notre patrimoine génétique (à hauteur de 2%) avec l'homme de Néandertal qui peuplait encore l'Europe il y a plus de 40.000 ans. Home sapiens, mais aussi Néandertal, se sont parfois mélangés plus à l'est avec une autre espèce, Dénisova , qui peuplait l'Asie sensiblement à la même époque. Cette espèce n'est identifiée que par quelques fragments et son aspect général nous est encore inconnu.
Si nos gènes gardent les traces de l'époque où nous cohabitions avec ces deux cousins, ils peuvent aussi livrer d'autres secrets. Les analyses génétiques permettent de révéler l'existence d'espèces totalement inconnues qui ont laissé des traces durables dans notre génome. Des fantômes qui hantent notre ADN mais dont nous n'avons encore identifié aucun reste fossile.
«On suppose que d'autres lignées humaines ont pu cohabiter avec nos ancêtres en Afrique notamment», raconte Céline Bon, paléogénéticienne au Musée de l'Homme. «Mais le climat africain ne permet pas une conservation optimale de l'ADN ancien. Nous ne pouvons pas donc nous ne pouvons pas faire de comparaisons directes comme c'est le cas en Eurasie avec Néandertal et Dénisova.»
En séquençant les génomes des populations contemporaines, les chercheurs arrivent toutefois à trouver la trace d'ADN ancien «piégée» dans notre génome. L'espèce humaine, telle qu'elle existe aujourd'hui, est en effet l'une des plus homogènes que l'on connaisse sur le plan génétique. Il est ainsi (relativement) facile d'identifier les traces d'introgression dans notre génome. Autrement dit de déceler les bribes d'ADN qui proviennent d'espèces humaines aujourd'hui disparues avec lesquelles nos ancêtres se sont accouplées.
«On a découvert au moins deux événements de métissages avec des espèces inconnues, l'une chez des populations ouest-africaines, l'autre chez les Pygmées,» continue la chercheuse. «Les espèces sont là, on ne sait pas encore à quoi elles ressemblaient, mais elles ont croisé la route des premiers Homo sapiens. C'est même possible que l'on ait découvert des restes leur appartenant, mais qu'on ne les ait pas encore identifiés.»
L'ADN permet de compléter les trous dans le puzzle de notre histoire
D'autres méthodes permettent de penser qu'au moins une autre espèce «fantôme» hante notre ADN et notre passé. La distance génétique qui sépare Sapiens, Dénisova et Néandertal est plus complexe que le schéma dessiné par leurs traces purement archéologiques. En effet, les restes archéologiques et leur datation racontent une histoire des lignées humaine très légèrement différente de celle que racontent les analyses ADN. «Il manque au moins un élément dans nos connaissances,» détaille Céline Bon. «Des simulations permettent d'établir différents scénarios pour expliquer cette légère dissonnance. Dans ce cas , le scénario le plus crédible consiste à rajouter au moins un métissage d'une des trois espèces avec une espèce inconnue.»
L'image est presque nette, mais il manque encore un petit quelque chose en somme. Une petite pièce au milieu du puzzle. Que de prochaines découvertes arriveront peut-être à identifier.
* La définition d'espèce diffère selon que l'on s'en tienne à la génétique ou à la morphologie. Deux espèces ne sont pas censées être interfécondable, or l'analyse ADN montre que la frontière est bien plus floue et complexe. C'est particulièrement vrai pour les anciennes espèces humaines. Source : lefigaro
La dépouille d’une femme noble avec un crâne ovoïde a été découverte par des archéologues russes dans la république d’Ingouchie, dans le Caucase du Nord.
Lors de fouilles réalisées près de la ville russe de Nazran, en Ingouchie, des archéologues de l’Institut d’archéologie du Caucase ont mis au jour le squelette d’une femme qui vivait entre le IVe et le VIe siècle. Le crâne de la femme a une forme très particulière qui ressemble à celle d’un œuf:Cette forme bizarre du crâne et les rangées de dents intactes ont poussé les chercheurs à conclure que la défunte appartenait à la noblesse de la société. Par le passé, des dépouilles avec des crânes allongés ont été découvertes dans les tombes des Alains, Huns ou Samaritains.
Ces déformations de crâne étaient imposées aux nobles pour marquer un rang social élevé. Pour les obtenir, on plaçait des bandages très serrés ou des anneaux sur les têtes d’enfants dès le plus jeune âge. Source : sputniknewsUn tombeau antique d’un bébé avec un crâne volontairement déformé a été retrouvé par des archéologues russes en Crimée. Est-ce qu’il s’agit d’une preuve d’une visite d’extraterrestres sur notre planète ?
Lors des fouilles de la nécropole Kiz-Aul non loin de la ville de Kertch, en Crimée, des chercheurs ont découvert la tombe d'un enfant de 18 mois avec un crâne déformé volontairement datant du IIe siècle après J.-C., d'après l'Archaeology Fund.Une des trouvailles intéressantes dans la nécropole Kiz-Aul est la tombe d'un bébé du IIe siècle après J.-C. Sa singularité consiste dans le fait que selon la tradition barbare le crâne du défunt a été considérablement déformé», précise le message sur le site Web de l'organisation.
L'enfant a été enterré dans un tombeau phréatique, sa tête tournée vers l'est. Les archéologues pensent qu'il s'agit d'un garçon qui n'avait pas plus de 18 mois au moment de sa mort car il avait encore les fontanelles sur le crâne.
«En conséquence, sa tête a subi une déformation presque tout de suite après sa naissance. La déformation des crânes est fréquente chez les Sarmates et représente un signe distinctif», d'après les archéologues.Les premières découvertes de crânes volontairement déformés ont été faites par l'archéologue franco-russe Paul Du Brux en 1826 dans les nécropoles du royaume du Bosphore cimmérien, dans la région de Kertch. La déformation de crâne a été probablement effectuée pour montrer le statut social. Il y avait, notamment, une opinion répandue selon laquelle elle augmentait l'agressivité.
Selon les archéologues, pour les partisans de la théorie des anciens extraterrestres les crânes de ce type représentent une preuve irréfutable d'une visite d'aliens sur notre planète, suite à quoi la tombe a été qualifiée de «tombeau d'extraterrestre».Source : sputniknews
Un crâne allongé appartenant à la culture Wanka a été trouvé sur le site de Hualimarca, dans le district de Pomacancha à Jauja, au Pérou.
Ce crâne a été découvert par l'enseignant Stalin Chanca Padilla et des étudiants en sciences sociales de l'école Carlos Otero Harth , venus dans cette région éloignée pour y suivre des études. Selon l'enseignant, 3 restes du squelette ont été retrouvés dans un Chullpa (tombeau préhispanique) dans la zone du centre archéologique, où étaient enterrés d'autres instruments pré-incas. "Nous avons trouvé 3 crânes d'adultes, 2 sont normaux mais l' un est modifié dans l' allongement mais pas verticalement, en arrière", a-t-il déclaré. Staline Padilla a déclaré au journal Correo que la découverte avait été faite vendredi dernier, le 12 juillet 2019, mais qu'il avait décidé de la publier sur les réseaux sociaux pour alerter les autorités sur ces importants vestiges archéologiques qui sont sortis au grand jour. Source : perufolklorico
VOIR AUSSI :
les-cranes-non-humains-de-paracas
un crâne étrange découvert au Pérou
Les objets fossiles impossibles
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