• Le fameux astéroïde interstellaire 'Oumuamua.

     Un objet spatial en forme de cigare et repéré l'année dernière dans notre système solaire pourrait être un vaisseau extraterrestre venu étudier la Terre. Cette hypothèse, qui semble tout droit sortie d'un film de science-fiction est pourtant bien sérieuse, puisqu'elle émane d'astronomes de l'Université d'Harvard.

    Surnommé «Oumuamua», ce qui dans la langue hawaiienne signifie «un messager venu d'un passé lointain», avait été repéré pour la première fois en octobre 2017 par le téléscope Pan-STARRS 1, basé à Hawaii.

    Depuis les scientifiques se sont échinés à déterminer la vraie nature de cet objet mystérieux, ne ressemblant à rien de ce que l'on connaissait jusqu'à présent. Mais ils se sont peu à peu rendus à l'évidence : il ne s'agit ni d'une comète, ni d'un astéroïde, mais d'un nouveau type «d'objet interstellaire».

    Dans un article publié cette semaine, et rapporté par CNN, les chercheurs du Harvard Smithsonian for Astrophysics estiment ainsi que l'objet, 10 fois plus long que large, de couleur rouge et noir et se déplaçant à 315 431 km/h, pourrait être «d'origine artificielle». «Oumuama pourrait être la première sonde opérationnelle envoyée intentionnellement vers la Terre par une civilisation extra-terrestre», écrivent les chercheurs dans l'article.

    Ces derniers estiment aussi que l'Oumuamua pourrait être une «voile solaire» comparable à celle fabriquées sur notre Terre, et qui permettent aux vaisseaux spaciaux de se déplacer grâce à la radiation émise par les étoiles. Les chercheurs pensent que le fait que l'objet de déplace à haute vitesse et sur une trajectoire inhabituelle pourrait signifier qu'il n'est plus en service.

    «Oumuamua est le premier objet jamais vu dans notre système solaire que l'on sait provenir d'autre part», écrivent également les scientifiques.  Source : cnews.

     

     Découvert en 2017 au moment de son passage près de la Terre, l'objet volant intrigue les scientifiques, qui peinent à le qualifier. Des chercheurs de l'université Harvard, aux Etats-Unis, émettent désormais l'hypothèse selon laquelle il pourrait s'agir d'une sonde extraterrestre, envoyée pour surveiller la Terre.Et si des extraterrestres nous observaient? L'idée n'est peut-être pas si farfelue, si l'on en croit des scientifiques du centre d’astrophysique de Harvard, aux Etats-Unis. En octobre 2017, ces chercheurs ont découvert dans l'espace un objet oblong, surnommé Oumuamua, qui s'est trouvé l'année dernière dans le voisinage de la Terre, mais sans parvenir à en déterminer l’origine.

    Considéré tantôt comme une comète, tantôt comme un astéroïde, Oumuamua sème le doute parmi les chercheurs. Toutefois, le 1er novembre, une nouvelle hypothèse a émergé: une étude, rapportée par CNN, suggère que l’objet non identifié pourrait être un vaisseau spatial extraterrestre envoyé pour étudier notre Planète bleue.

    Civilisation extraterrestre

    "Oumuamua est peut-être une sonde pleinement opérationnelle, envoyée intentionnellement dans les environs de la Terre par une civilisation extraterrestre", écrivent Shmuel Bialy et Abraham Loeb, les scientifiques à l’origine de l’étude. Dix fois plus long que large et se déplaçant à plus de 190.000 km/h, l’objet serait donc extérieur à notre système solaire.

    Les scientifiques fondent leur théorie sur l’étrange vitesse d’Oumuamua et sa trajectoire erratique. Ils rappellent d’ailleurs que l’objet a traversé notre système pour finalement disparaître des radars en janvier 2018.

    Un objet venu d'ailleurs

    Sur la base de leurs observations, les scientifiques avancent que Oumuamua serait "une voile légère" conçue par des extraterrestres et permettant aux vaisseaux spatiaux de se déplacer grâce à la radiation émise par les étoiles. "Des voiles légères de dimensions similaires ont été conçues et construites par notre propre civilisation", soulignent-ils, comme pour appuyer la vraisemblance de leur hypothèse.

    Si son origine précise n’est encore qu’une supputation, Oumuamua reste "le premier objet jamais vu dans notre système solaire que l'on sait provenir d'autre part", expliquent les scientifiques. Source : .bfmtv.  
         

    La mesure précise de sa trajectoire indique un mouvement anormal qui ne s'explique que par un très léger dégazage... du type de celui d'une comète, même si aucune queue n'est visible.
    Lorsqu'il a été repéré le 19 octobre 2017 par le télescope Pan-Starrs 1, installé sur l'observatoire du Haleakala, à Hawaï, l'objet désormais mondialement célèbre sous le nom de Oumuamua a d'abord été classé comme une comète, en l'occurrence C/2017 U1. D'autres télescopes sont rapidement entrés dans la danse dans les semaines qui ont suivi pour préciser ses paramètres orbitaux, sa composition et sa forme, comme le télescope Canada-France-Hawaï (CFHT), le VLT de l'ESO et le télescope Gemini South au Chili. Ils ont révélé plusieurs caractéristiques intrigantes, comme une forme très allongée et surtout l'excentricité orbitale la plus élevée jamais observée pour un petit corps céleste : 1,20. Une telle excentricité indique une orbite hyperbolique et une vitesse élevée, qui ne sont pas compatibles avec un objet appartenant au Système solaire. Passant plus près du Soleil que la Terre, C/2017 U1 aurait dû dégazer, produisant une queue et une chevelure cométaire.

    Ce ne fut pas le cas, ce qui conduisit la majorité des astronomes à penser que C/2017 U1 était en fait un astéroïde et surtout un astéroïde d'origine interstellaire. Sa forme allongée, vraiment atypique, évoquait irrésistiblement le fameux roman de hard science-fiction d'Arthur Clarke : Rendez-vous avec Rama. Bien que l'hypothèse soit très improbable, il ne coûtait pas grand-chose de tenter d'étudier d'éventuelles émissions de messages radio dans la cadre du programme Seti, au cas où "Oumuamua" aurait été une sonde extraterrestre. Les résultats ont été négatifs comme on le sait. Les chercheurs ont continué d'étudier l'objet d'abord renommé A/2017 U1 puis finalement 1I/2017 U1 pour indiquer qu'il était le premier astéroïde interstellaire d'origine incontestable. Il a aussi été baptisé et finalement plus affectueusement `Oumuamua, qui se prononce « oh-mou-ah-mou-ah », ce qui signifie « scout » en hawaïen. Les travaux théoriques ont également cherché à rendre compte de l'étrange forme allongée de 1I/2017 U1, de son origine probable et ont tenté d'évaluer à quelle fréquence le Système solaire était visité par de tels objets interstellaires.

    Source : .futura-sciences

     

     

    La suite ....

    L’astrophysicien Avi Loeb explique dans une interview au journal israélien Al Haaretz pourquoi il est estime que l’étrange astéroïde Oumuamua pourrait être un vaisseau d’origine extraterrestre.

    «Je me moque de ce que pensent les gens» : Avi Loeb, directeur du département d’astronomie de l’université de Harvard n’a pas la langue dans sa poche. Ni les idées : dans un article publié par «The Astrophysical Journal Letters», revue de référence de la discipline, Avi Loeb émet l’hypothèse que l’astéroïde Oumuamua, premier objet observé dans notre Système solaire sans en être originaire, pourrait avoir été fabriqué par une civilisation extraterrestre.
    Dans une grande interview accordée au journal israélien Al Haaretz, l’astrophysicien, nommé par le magazine Time parmi les 25 personnes les plus influentes des études spatiales, persiste et signe : «J’ai écrit en partie cet article en me fondant sur des discussions que j’ai eues avec des collègues que je respecte d’un point de vue scientifique. Ces personnalités de haut niveau disent elles-mêmes que cet objet présente des caractéristiques très particulières. Mais ils n’osent pas en faire état publiquement. Je ne comprends pas cette attitude.»
    Déplorant l’autocensure des scientifiques qui craignent de mettre en péril leur réputation et leur poste, Avi Loeb préfère tenter un pari presque pascalien : «Il se peut que je commette un suicide professionnel si je me trompe. Ça me laissera plus de temps pour faire de la science. Mais, si j’ai raison, c’est l’une des plus grandes découvertes de l’histoire de l’humanité.Et les arguments qu’avance l’astrophysicien à l’appui de son hypothèse pèsent lourd : «Au départ, tout le monde s’est dit ‘’OK, c’est une comète’’. Mais les comètes sont faites de glace qui s’évapore à mesure qu’elles approchent du soleil. Or Oumuamua ne laissait derrière lui aucune trainée de poussière ou de gaz. Il devait donc s’agir d’un astéroïde, un simple morceau de roche. Mais l’objet a été en rotation sur son axe pendant huit heures. Et, durant ce laps de temps, sa luminosité s’est modifiée selon un facteur 10 alors que les changements de luminosité des astéroïdes ne dépassent pas un facteur 3. Cela signifie que sa longueur est dix fois supérieure à son épaisseur.» «Cette géométrie extrême, poursuit Avi Loeb, ne peut se traduire que de deux façons : soit, l’objet a la forme d’un cigare, soit il est plat comme une crêpe». (...) 

    Source :  parismatch.

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  • Le 9 juin 2018 - OVNI au-dessus des lignes de Nasca !

    Pampa de Socos en Nasca (Ica-Perú) au coucher du soleil...

    (Rafal Mercado de la Asociación Peruana de Ufología (APU))

    Source : larepublica.pe

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  •  Au Pérou, un site précolombien révèle des peintures millénaires 


     
    Au Pérou, Chan Chan, gigantesque cité d'adobe datant de l'ère précolombienne, n'a pas fini de révéler ses secrets: de grandes peintures murales, vieilles d'un millénaire, viennent d'y être mises au jour.
    Capitale de la civilisation Chimu, qui a connu son apogée entre l'an 900 et 1450, Chan Chan ("soleil resplendissant" dans la langue de son peuple) comptait dix palais en terre cuite sur une surface de 20 kilomètres carrés et 30.000 habitants.

    Aujourd'hui il n'en reste que 14 kilomètres carrés et ses constructions sont menacées par les intempéries, l'installation d'agriculteurs sur son site ou encore les pillages récurrents.

    Et pourtant, "Chan Chan est incroyable, sous chaque monticule de terre il y a une nouvelle découverte qui nous surprend", a souligné récemment la ministre péruvienne de la Culture, Patricia Balbuena, en se rendant sur place pour observer de près la dernière trouvaille: un couloir recouvert de hauts reliefs jusque-là enterré.

    Ce couloir se trouvait à Utzh An, aussi appelé Grand Chimu, l'un des dix palais de la cité de Chan Chan, située à près de 600 kilomètres au nord de Lima.

    "La récente découverte nous prouve l'ampleur de notre patrimoine culturel et à quel point il nous reste encore beaucoup à trouver dans cette citadelle de terre", a salué la ministre.

    Les peintures montrent notamment des damiers et des vagues en relief.

    "Animal lunaire"

    L'accès au couloir est lui orné de représentations de l'"animal lunaire", symbole mythique de plusieurs cultures précolombiennes du Pérou, explique l'archéologue Henry Gayoso, responsable de la restauration des murs du palais Utzh An.

    "Le couloir a été découvert il y a deux semaines. Il a une largeur d'environ six mètres et s'étend sur 50 mètres. Nous avons déterré la moitié, 25 mètres, et on doit encore descendre d'1,50 mètre pour arriver au plancher", précise-t-il.

    "Une fois (ce travail) terminé, nous saurons sa signification, même si nous croyons que c'était le couloir de passage d'un personnage principal" de la civilisation Chimu.

    Sur le site travaillent actuellement 500 personnes, dont 50 archéologues, réparties en cinq projets de fouilles, indique le chef de l'Unité de recherche et préservation de Chan Chan, Arturo Paredes.

    Jusqu'à présent, les équipes ont trouvé des peintures murales, des escaliers, des passages, des statues en bois de guerriers de 40 centimètres de hauteur, portant sur le visage un masque d'argile blanche.

    Les chercheurs ont également déterré des vases, des métiers à tisser et une grande quantité de "spondylus", ensembles de frises avec des figures de langoustes, algues, bateaux de pêcheurs et hommes en train de nager.

    Sacrifices d'enfants

    Moins connue que les Incas qui la renverseront ensuite, la civilisation Chimu se dévoile peu à peu au fur et à mesure des fouilles des archéologues.

    En avril, National Geographic a ainsi révélé la découverte, près d'une falaise donnant sur l'océan Pacifique où vivait les Chimus, des restes de plus de 140 enfants, soit les "preuves du plus grand sacrifice collectif d'enfants d'Amérique, et probablement de l'histoire mondiale".

    Les sacrifices humains étaient destinés à plaire à leurs dieux et souvent réalisés dans des huacas ("sanctuaires", en langue quechua), dont une, la huaca Toledo, peut désormais se visiter à Chan Chan.

    "On pense que c'était un lieu de cérémonie pour les habitants", indique l'archéologue Jorge Meneses Bartra, responsable de la huaca Toledo, datant des années 1350 et en forme de pyramide tronquée (sans pointe), sur plus de 20 mètres de hauteur.

    Chan Chan a été classée au Patrimoine de l'humanité par l'Unesco en 1986, mais aussi dans la liste du Patrimoine de l'humanité en danger: attaquée par les pluies, érodée par l'eau de la mer toute proche, la cité souffre aussi d'invasions par des agriculteurs et éleveurs.

    Il y a 20 ans, le gouvernement a commencé à déloger les habitants installés sur le site, mais certains continuent d'y vivre, se prévalant même de titres de propriété.

    La police péruvienne effectue désormais des rondes, de jour comme de nuit, pour protéger Chan Chan, et les autorités préparent un plan pour expulser de l'antique cité les derniers occupants.

    Source : lepoint.

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  • APPEL POUR L'OCEAN  :  VOIR ICI

     

    Cet Appel a été initié par Catherine Chabaud, navigatrice engagée, vice-présidente de l’association Innovations bleues, Françoise Gaill, directeur de recherche émérite au CNRS, océanographe, Jean-Louis Fillon, délégué général de l’Institut Français de la Mer, Rachel Moreau responsable du Programme O2ceans, le poumon bleu et Eudes Riblier, président de l’Institut Français de la Mer. La classe IMOCA, l’Institut Océanographique Paul Ricard, la Plateforme Océan-Climat, l’association Longitude 181 soutiennent également l’Appel.

     Alors que les Etats-Unis se sont retirés de l’Accord de Paris sur le climat et que débutent aux Nations Unies des négociations sur la protection et l’exploitation de la Haute mer, de nouvelles initiatives sont nécessaires pour préserver l’Océan afin qu’il soit source de richesse, d’échanges et de vie, et non d’affrontements, d’asphyxie et de mort, contribuant ainsi à l’apaisement des relations internationales.

    L’Océan est le régulateur fragile du climat. C’est lui qui permet la mondialisation des échanges et qui nourrit de nombreuses populations. Ses eaux et la vie qu’elles portent ne connaissent pas de frontières : il exige une gouvernance multilatérale active et engagée pour éviter qu’il soit la source de fractures majeures entre les nations.

    À la suite des réflexions menées au Conseil économique, social et environnemental et par l’Institut Français de la mer, les initiateurs de l’Appel estiment indispensable que l’Océan soit considéré comme ‘’la chose de tous’’ et non pas ‘’la chose de personne’’ ou celle de quelques-uns, un bien inaliénable de l’Humanité dont chacun est responsable : le bien commun de l’Humanité.

    Cette approche ne remet pas en cause le Droit de la mer et les principes de liberté, de souveraineté et de partage. Mais elle place la responsabilité au dessus de ces principes. Ainsi, la liberté des mers doit-elle être encadrée, afin que les prélèvements y soient partout organisés et coordonnés durablement, ou que les droits souverains accordés aux Etats riverains aient pour contrepartie des efforts de connaissance, de préservation et, si nécessaire de réparation du milieu marin.
     La communauté mondiale commence à comprendre les enjeux de l’Océan, comme elle l’a fait hier pour ceux du climat : le temps de cette nouvelle vision est venu, le temps d’une responsabilité partagée et assumée de l’Océan.

    Acteurs de la société civile, convaincus de l’importance de ces principes, nous avons décidé de lancer un appel pour l’Océan, bien commun de l’Humanité et invitons toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté à le porter avec nous. 

    L’Océan est Un, global et continu.

    Le grand courant qui le parcourt, tantôt en surface où il se réchauffe, tantôt en profondeur où il se refroidit, unit tous ses espaces. En mille ans, une goutte d’eau fait le tour du monde.

    L’Océan est un trésor pour l’Humanité.

    Grâce à sa dynamique et à ses échanges avec l’air, il séquestre le carbone, fournit la moitié de l’oxygène de l’atmosphère et régule le climat. La richesse de sa biodiversité, le foisonnement de la vie qu’il abrite, nous nourrissent et protègent nos côtes. Chaque jour davantage, nous bénéficions de son énergie, de ses matériaux, des médicaments que nous y découvrons. Depuis toujours, il relie les humains et permet la quasi-totalité des échanges de marchandises. Il nous émerveille et nous fait rêver.

    L’Océan, avenir de l’Humanité, est menacé.

    Nous le saturons de déchets, de plastiques, d’eaux polluées et de gaz carbonique. Aujourd’hui, nous pillons ses poissons et détruisons ses habitats. Demain, ferons-nous de même avec ses ressources génétiques et minérales ? Objet de toutes les convoitises et de compétitions effrénées, l’Océan sera-t-il, la cause et le théâtre de prochains conflits armés ?

    L’Océan est la responsabilité de tous.

    Les accords internationaux de la deuxième moitié du XXème siècle ont défini un cadre nécessaire et longtemps considéré comme suffisant pour la bonne gestion de l’Océan. Mais il est urgent d’aller plus loin et de construire ensemble une nouvelle approche, qui place la responsabilité collective au-dessus des principes de liberté et d’appropriation.

    L’Océan est le Bien commun de l’Humanité.

    L’Accord de Paris sur le climat, dans son préambule, encourage tous les États à veiller à l’intégrité de l’Océan en tant qu’écosystème en vue de la protection de sa vaste biodiversité. Alors que les Nations unies s’apprêtent à compléter le statut de la « Haute mer » en vue de mieux la protéger et d’utiliser durablement ses ressources,

    Nous, signataires du présent Appel, considérons que l’intégralité de l’Océan est menacée et demandons instamment que tous les espaces marins, côtiers comme hauturiers, soient considérés comme le bien commun de l’Humanité.

    Source : oceanascommon

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  • Regardez ces images passées en direct sur la chaine FOX6 News Milwaukee le 27 février 2018, elles montrent plein de vaisseaux dans le ciel.

    L'explication officielle de la chaine... un vol de mouettes .... en pleine nuit et fluorescentes ?!!!

    Source : stopmensonges.

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  • La carte de l'Univers en 3D.

    Présentée récemment à Cambridge (Massachussetts) lors de la 218e séance de la Société américaine d'astronomie, la carte en 3D de l’Univers la plus complète jamais réalisée prend en compte des parties du cosmos difficiles à représenter.

    Dévoilant le cosmos sur une distance de 380 millions d'années-lumière,  2MASS Redshift Survey (ou 2MRS), la carte en 3D de l’Univers 'local' la plus complète jamais créée, a exigé 10 ans de travail. Elle s’approche bien plus que les précédentes réalisations du plan galactique des galaxies - une région généralement masquée par la poussière.

    La lumière d'une galaxie est soumise, à cause de l'expansion de l'univers, au phénomène appelé 'décalage vers le rouge' (redshift, en anglais), qui l’étire vers les grandes longueurs d’onde. Plus la galaxie est lointaine, plus important est ce décalage. C’est en le mesurant que les astrophysiciens ont pu établir les distances relatives des objets célestes figurant sur leur carte, y introduisant ainsi la vitale troisième dimension.
    La présentation a également permis aux scientifiques de rendre hommage à feu John Huchra, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, inspirateur de cette technologie.

    Source : maxisciences

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  • La carte du peuplement de l'Amérique... !

    Dans les années qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale, un sentiment isolationniste s’est emparé des États-Unis. Certains Américains craignaient en effet que les immigrants ne constituent une menace à l’unité de leur pays. En 1940, une carte géographique est venue tordre le cou à cette vague d’intolérance.

    Intitulée « America – A Nation of One People From Many Countries » (en français, L’Amérique – Une nation au peuple originaire de nombreux pays), cette carte a été publiée il y a 78 ans par le Conseil Contre l’Intolérance en Amérique


    Emma Bourne illustre la diversité ethnique et religieuse unique en Amérique en effaçant les frontières des États et en présentant la nation comme unie. De longs rubans rouges se faufilent à travers le paysage afin de montrer les différentes communautés d’immigrés et où ils se sont installés, des Japonais à l’Ouest aux Italiens à l’Est.En bas à gauche, un encart répertorie des Américains célèbres de la littérature, la science, l’industrie et des arts associés à leurs origines ethniques, y compris George Gershwin ou Albert Einstein, devenu citoyen américain l’année où la carte a été publiée. À l’époque, la carte servait d’affiche éducative en accord avec l’argument du Conseil Contre l’Intolérance selon lequel les préjugés risquaient de miner l’unité nationale en temps de guerre.

     "À l’exception des Amérindiens, tous les Américains et leurs ancêtres sont originaires d’autres pays. Cette carte montre où ils vivent, ce qu’ils font et quelle est leur religion. »

    Source : positivr.

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  • Le site mégalithique de Rego Grande: le Stonehenge d'Amazonie


    En tant que contremaître d'un éleveur de bétail dans les limites de l'Amazonie brésilienne, Lailson Camelo da Silva arrachait des arbres pour transformer la forêt tropicale en pâturage lorsqu'il trébucha sur un étrange arrangement de blocs de granite imposants. Après avoir mené des analyses au radiocarbone et effectué des mesures pendant le solstice d'hiver, des spécialistes en archéoastronomie ont déterminé qu'une culture indigène avait disposé les mégalithes pour en faire un observatoire astronomique il y a environ 1000 ans, soit 5 siècles avant le début de la conquête des Amériques par les européens.

     Ces découvertes, ainsi que d'autres trouvailles archéologiques au Brésil ces dernières années (tels que des sculptures en terre géantes, des restes d'enceintes fortifiées et même des réseaux routiers complexes), mettent fin aux vues antérieures des archéologues qui soutenaient que l'Amazonie avait été relativement peu touchée par les hommes, à l'exception de petites tribus nomades. Au contraire, certains spécialistes affirment maintenant que la plus grande forêt tropicale du monde était beaucoup moins «édénique» que précédemment imaginée, et que l'Amazonie abritait une population de près de 10 millions de personnes avant que les colonisateurs européens ne soient à l'origine d'épidémies et de massacres à grande échelle
    Dans ce qui est aujourd'hui l'état peu peuplé d'Amapá dans le nord du Brésil, les pierres du soleil trouvées par Da Silva près d'une rivière appelée "Rego Grande" apportent des indices sur la façon dont les populations indigènes en Amazonie étaient bien plus avancées que ne l’estimaient les archéologues au 20ème siècle.

     "Nous commençons à rassembler les pièces du puzzle de l'histoire humaine du Bassin de l'Amazonie, et ce que nous avons trouvé à Amapá est absolument fascinant" rapporte Mariana Cabral, archéologue à l'Université Fédérale de Minas Gerais, qui avec son mari, João Saldanha, aussi archéologue, ont étudié le site de Rego Grande au cours de la dernière décennie.

     A la fin du 19ième siècle, le zoologue suisse Emilio Goeldi avait déjà localisé des mégalithes, de grandes pierres monumentales, lors d'une expédition à travers la frontière brésilienne avec le français Guiana. D'autres érudits, dont l'archéologue pionnier américain Betty Meggers, sont aussi venus sur de tels sites, mais ils estimaient que l'Amazonie était inhospitalière pour des implantations humaines complexes.
    (...)

    Pour le moment, Rego Grande, que les habitants locaux appellent le Stonehenge amazonien, reste énigmatique.


     Les chercheurs essayent encore de déterminer comment Rego Grande s'inscrit dans l'évolution de l'histoire humaine de l'Amazonie

     Des représentants du peuple indigène Palikur, vivant en Amapá et en Guyane française, ont récemment déclaré que leurs ancêtres avaient fréquenté Rego Grande. Mais, les archéologues font preuve de prudence sur l'établissement de tels liens, en soulignant combien peuvent changer les sociétés humaines sur une durée de mille ans.

    Ms Cabral, qui a passé des années à étudier Rego Grande, rapporte que les preuves de grandes implantations restent insaisissables, contrairement à d'autres sites en Amazonie comme Kuhikugu, aux sources de la rivière Xingu: les chercheurs ont pu faire un parallèle avec les légendes entourant la cité perdue mythique de Z, qui a longtemps attirée aventuriers et explorateurs.

     En attendant, John McKim Malville, physicien solaire à l'Université du Colorado qui écrit beaucoup sur l'archéoastronomie,  a mis l'accent sur la façon dont le champ évolue depuis la concentration exclusive sur les fonctions astronomiques jusqu'à des interprétations plus holistiques, en incluant les cérémonies et rituels des anciennes cultures.

     En ce sens, le site de Calçoene (où se situe Rego Grande), offre un aperçu séduisant sur le passé secret de l'Amazonie.

     "Les pierres de Rego Grande sont assez extraordinaires et leurs irrégularités peuvent avoir leur propre signification, différente des autres sites mégalithiques autour du monde." ajoute Malville estimant possible que Rego Grande reflète l'importance dans les cultures amazoniennes de l'animisme, l'attribution d'une âme à des entités dans la nature et même à des objets inanimés.

     "Nous ne pouvons cependant que spéculer sur ce qui signifie ces pierres", conclu-t-il.

    Source : decouvertes-archeologiques

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    2018 - Russie

    2018 - Hawaï

    Mai 2018 - Australie

    Margate  (GB) 2014

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  •  L'intrication quantique sur des objets macroscopiques

      Un phénomène étrange par lequel deux objets distants se retrouvent comme liés - par des états quantiques dépendants l'un de l'autre - d'une manière qui défie le sens commun et même la physique classique. Et pour la toute première fois, des scientifiques ont pu obtenir et observer ce phénomène sur des objets macroscopiques. Enfin presque. Des objets dont le diamètre est de l'ordre de 15 micromètres.

    Jusqu'alors, l'intrication quantique n'avait pu être montrée que sur des particules. En 2015, par exemple, des chercheurs du MIT avaient réussi à intriquer, grâce à une impulsion laser, pas moins de 3.000 atomes de rubidium 87. Une broutille face aux milliards de milliards d'atomes que composent les oscillateurs mécaniques du diamètre approximatif d'un cheveu humain, impliqués dans l'expérience qui vient d'être menée par des chercheurs de l'université de Aalto (Finlande).

    Une équipe a en effet réussi à placer ces sortes de peaux de tambours vibrants en aluminium dans un état quantique intriqué. Un état qui a pu être maintenu pendant pas moins d'une demi-heure. « Les corps vibrants interagissent via un circuit hyperfréquence supraconducteur. Les champs électromagnétiques dans le circuit sont utilisés pour absorber toutes les perturbations thermiques et ne laisser derrière que les vibrations quantiques mécaniques », explique Mika Sillanpää. Et le fait de conduire l'expérience à une température juste au-dessus du zéro absolu, aux environs de -273 °C donc, a permis d'éviter toute autre forme de perturbations et d'interférences.

    Source : futura-sciences

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  • LA PORTE DU CIEL et Le Mont Tianmen (Chine)


    La Chine était connue comme la Terre du Divin dans les temps anciens. Cette terre est riche de 5 000 ans de culture et ses paysages naturels sont des plus étonnants.
    Nous présentons ici la deuxième plus grande montagne de la province de Hunan, une montagne située au milieu d’un paysage à couper le souffle, avec un nom qui convient parfaitement à sa place dans la Terre du Divin : le Mont Tianmen, qui signifie littéralement «la montagne de la porte du ciel».Le nom de «la porte du ciel» se réfère à la colossale «porte» à travers le rocher, à environ 1300 mètres d’altitude. L’«escalier vers le ciel» de 999 marches conduit à la Porte du Ciel, et certains Chinois croient que cette ouverture relie le monde séculaire au monde du divin. Cette «porte» est un joyau à visiter absolument.

    Outre la passerelle du rocher sacré, imprégnée de mystère, le Mont Tianmen offre des vues incroyables. La meilleure façon d’apprécier les vues les plus impressionnantes et panoramiques, se fait par le téléphérique.

    Les publications touristiques locales affirment qu’il s’agit du téléphérique le plus long du monde, où les passagers peuvent profiter d’un voyage de 30 minutes jusqu’au sommet de la montagne, qui est à environ 1520 mètres au-dessus du niveau de la mer.
    En plus du Mont Tianmen, la Chine abonde de montagnes plus sacrées les unes que les autres. De l’antiquité à nos jours, les pèlerins bouddhistes et taoïstes ont habité ces lieux sacrés pour échapper au monde matérialiste et purifier leurs esprits.

    Les paysages de montagne représentés dans les œuvres d’art chinoises reste hautement considérés, car les montagnes inspirent aux hommes noblesse de cœur et largesse d’esprit. Confucius disait d’ailleurs : « Les sages prennent plaisir aux rivières et aux lacs, les vertueux aux montagnes ».

    Source : epochtimes.

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  •  Les mystères de la forêt...

     En Amazonie, les arbres sont capables de faire tomber la pluie

    Aussi fou que cela puisse paraître, dans la plus grande forêt du monde, les chutes de pluies ne sont pas seulement la conséquence de la météo mais aussi de la « volonté » des arbres.

    Des chercheurs américains ont en effet observé que, de septembre à décembre, alors que le climat n’est pas propice à la pluie, les arbres relâchent davantage d’humidité (par évapotranspiration) afin de provoquer les pluies nécessaires à leur croissance.

    Confirmé par l’imagerie satellite, ce phénomène spectaculaire a été révélé par les scientifiques en été 2017.

     La Chine construit la première ville-forêt du monde

    Associant de très près les arbres et les logements, cette ville unique au monde devrait consommer plus de CO2 qu’elle n’en produit.Stefano Boeri, l’architecte à l’origine de ce projet fou, n’en est pas à son coup d’essai : il a déjà construit d’immenses tours végétales à Milan. Mais, cette fois, c’est pharaonique.Sa ville forêt, qui s’étendra sur 175ha, accueillera 30 000 habitants, 40 000 arbres et un million de plantes !
    « Une fois construite, la nouvelle ville pourra absorber environ 10 000 tonnes de CO2 et 57 tonnes de polluants par an, tout en produisant presque 900 tonnes d’oxygène. »


    Au Kénya, les excréments remplacent le charbon et épargnent la forêt

    Au Kenya comme dans beaucoup d’autres pays, le bois et le charbon de bois restent très utilisés pour la cuisson des repas et le chauffage (le gaz étant très cher et, l’électricité, quasi inexistante). Résultat : des forêts qui disparaissent à toute vitesse. Du coup, une entreprise a eu cette idée géniale : transformer le excréments (une matière première peu couteuse, renouvelable et facilement accessible), en combustible.

    Depuis, un camion fait régulièrement le tour de la ville pour récolter les excréments et les conduire dans une usine qui les transforme en charbon nouvelle génération. Et ça marche ! Témoignage d’une utilisatrice :


    « C’est vraiment bien, regardez comme ça cuit ! Les boules se consument plus lentement que le charbon, et on peut cuisiner plus dans un temps plus court… »

    Source : positivr.

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  • MEXIQUE 2017 - 2018

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