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Une tête de loup de plus de 40 centimètres retrouvée en Sibérie !
Une gigantesque tête de loup vieille de 32.000 ans, avec un cerveau et les dents intacts, a été découverte en Sibérie, a annoncé l'Académie des sciences locale dans un communiqué. La tête recouverte de fourrure ressemblant à celle d'un mammouth a été découverte durant l'été 2018 dans les glaces éternelles, au bord d'une rivière en Iakoutie (Sibérie orientale) par un habitant, selon le communiqué publié dans la nuit du 13 au 14 juin 2019.
Remise à l'Académie des sciences de Iakoutie, la découverte a été étudiée par des paléontologues russes et japonais qui ont établi qu'il s'agissait d'une tête de loup du Pléistocène (Canis dirus) âgée de 32.000 ans. Au moment de sa mort, l'animal avait entre 2 et 4 ans. La taille de sa tête, longue de 41,5 centimètres, correspond à la moitié du corps d'un loup contemporain dont la longueur se situe entre 66 et 86 centimètres, précise le communiqué. "Cela a permis de conclure que le loup du Pléistocène était gigantesque", ajoute-t-il. Cette tête contient "un cerveau intact, et toutes ses dents sont préservées", souligne le communiqué, se félicitant d'une découverte "sensationnelle". Les tissus et la fourrure sont également intacts, selon la même source."C'est la première fois qu'on découvre les restes d'un loup du Pléistocène avec des tissus préservés", assure Albert Protopopov de l'Académie des sciences de Iakoutie, cité dans le communiqué. "Nous allons le comparer avec les loups contemporains pour comprendre comment il a évolué et reconstruire son apparence", ajoute-t-il.
Obtenir de l'ADN de bonne qualité pour séquencer le génome L'examen de l'ADN du canidé sera effectué en coopération avec des chercheurs du Muséum d'Histoire naturelle de Suède, selon la même source. Contacté par Sciences et Avenir, le Professeur Love Dalén confirme : "J'étais sur le terrain en Sibérie lorsque nos collègues russes l'ont découvert et nous avons recueilli des échantillons sur le terrain. Ce spécimen fait en réalité partie d'une étude plus vaste". "Nous voulons comprendre la relation évolutive entre la lignée éteinte du loup du Pléistocène et les loups modernes. Car le crâne du loup appartient probablement à la lignée des loups des steppes du Pléistocène, et nous espérons maintenant obtenir de l'ADN de suffisamment bonne qualité pour séquencer son génome", poursuit le chercheur. "Nous souhaitons vraiment savoir quand et pourquoi ces animaux ont disparu et d'où viennent les loups modernes qui les ont remplacé il y a entre 20.000 et 30.000 ans", conclut Dave Stanton, autre chercheur du Muséum suédois d'Histoire naturelle, contacté par Sciences et Avenir.
Vingt statuettes précolombiennes découvertes au Pérou
Vingt statues en bois vieilles de 800 ans ont été découvertes dans la cité antique de Chan Chan, le plus grand site précolombien d’Amérique, ont annoncé lundi 22 octobre des archéologues et la ministre péruvienne de la culture, Patricia Balbuena. « C’est une découverte importante en raison de son ancienneté et de la qualité de la décoration », s’est félicitée cette dernière.
Ces statuettes de 70 cm, toutes en bon état de conservation sauf une, ont été mises au jour dans l’ancienne capitale de l’empire Chimu, situé près de la ville moderne de Trujillo, à 570 km au nord de Lima. Elles étaient alignées dans des niches creusées dans le mur d’un couloir décoré de bas-reliefs de terre, dans un édifice datant d’un millier d’années. Le couloir où elles ont été repérées n’a, lui, été découvert qu’en juin dans le Grand Chimu, un des dix palais fortifiés de la ville, visitée chaque année par des milliers de touristes du monde entier.
« Soleil resplendissant »
Les statues, découvertes en septembre, sont noires avec un masque de couleur beige. Elles « seraient les plus vieilles sculptures connues à ce jour à Chan Chan », a précisé l’archéologue Arturo Paredes, qui dirige les fouilles.
L’empire Chimu a connu son apogée entre 900 et 1450 sur la côte nord du Pérou. A l’époque, Chan Chan, qui signifie « soleil resplendissant », comptait 30 000 habitants. La cité comptait alors dix citadelles, ou palais fortifiés, dans son centre de 6 km2. Au total, la ville s’étendait sur 20 km2. La cité de Chan Chan a été inscrite au Patrimoine de l’humanité en 1986 par l’Unesco. Plus de 500 personnes, dont 50 archéologues, travaillent sur le site dans divers projets de recherches.
Au cœur de l’énorme citadelle d’une ancienne culture péruvienne, des archéologues ont découvert un couloir contenant 19 mystérieuses statues en bois noir. Certaines de ces statues portent des masques d’argile, et sont nichées dans des alcôves spéciales qui tapissent les murs. Ces dernières ont été découvertes dans les ruines de la grande capitale culturelle de Chimú (Chan Chan), qui dévoile encore ses secrets. Selon les archéologues qui les ont découvertes, ces statues ont environ 800 ans et pourraient avoir été un symbole de « gardien ». « Dans le passage récemment découvert dans la citadelle de Chan Chan, 19 idoles en bois recouvertes de masques en argile ont été retrouvées », a annoncé Patricia Balbuena, ministre de la Culture, au Pérou, lors d’une conférence de presse.
Chacune des statues mesure environ 70 centimètres de haut et représente un personnage anthropomorphique différent. Les masques des statues sont en argile beige et portent chacun un sceptre avec un objet circulaire sur le dos, pouvant représenter un bouclier.
Le passage de 33 mètres, bordé par ces étranges statuettes, conduisait probablement à une cour de cérémonie dans le complexe Utzh An. « Nous supposons qu’il s’agit de gardiens », a déclaré l’archéologue Henry Gayoso Rullier, au journal péruvien El Comercio. « Elles pourraient dater de 1100 à 1300 (apr. J.-C.), et nous parlerions alors des sculptures les plus anciennes connues sur ce site », a-t-il ajouté. En plus des statues, les murs extérieurs du passage ont été décorés d’une fresque spectaculaire, réalisée en relief de boue. Le mur est dominé par des motifs de vagues, des paysages représentant des filets de pêche et des rouleaux. De plus, l’impressionnante murale contient également des représentations d’un « animal lunaire » félin, symbole important des cultures précolombiennes côtières.
Chan Chan, qui a été inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1986, était la plus grande ville d’Amérique précolombienne et la plus grande ville en adobe du monde, avec plus de 10’000 bâtiments. Cette dernière a prospéré de 900 à 1470 (EC) environ, lorsqu’elle a été défaite et incorporée à l’empire Inca. À partir de ce moment-là, la ville a commencé à tomber dans le déclin, jusqu’à ce qu’elle soit totalement en ruine.
Les travaux d’excavation et de restauration de la ville ont commencé en juin 2017 et devraient durer jusqu’en mai 2020.
Dans une région proche de celle où la Chine a recours à des activités nucléaires et militaires, l’image, publiée par Google Earth, suscite quelques questionnements. Des triangles, des rectangles, des cercles, et d’autres formes géométriques, dessinés par de grands traits blancs ou noirs, parfois longs de plus d’un kilomètre, tracés au sol. C’est ce que montrent deux images, prises dans le désert de Gobi au nord de la Chine par Google Earth. Des formes qui rappellent celles des géoglyphes de Nazca au Pérou, qui alimentent toutes les rumeurs les plus folles, jusqu'à la piste extraterrestre. Et qui posent quelques questions.
Ces représentations semblent clairement ne pas être le résultat d’un phénomène naturel. Notamment un rectangle fermé, contenant des traits s’entrecroisant, ou un grand cercle constitué de plusieurs cercles plus petits en son intérieur.
Alors qu’elles se trouvent à plus de 100 kilomètres de la route la plus proche, et qu’il n’y a sur les photos aucun signe d’une activité environnante… La base de Ding Xin, où la Chine poursuit son programme aérien secret, se trouve à 650 kilomètres de ces étranges formes. Mais il y a plus proche encore, à quelque 160 kilomètres, la base de Jiuquan où la Chine développe son programme spatial.
Néanmoins pour les experts, il pourrait simplement s’agir de cibles pour s’entraîner au tir de missiles. Une hypothèse notamment crédible pour les traits formant un cercle. Un expert américain compare d’ailleurs les formes géométriques à "Area 51" , une zone secrète du Nevada où l’armée américaine effectue divers tests. Et qui abriterait des restes extra-terrestres, notamment ceux de Roswell, selon quelques théories conspirationnistes…
La Grande Pyramide de Giseh concentre de l'énergie électromagnétique
dans ses chambres...
Une nouvelle analyse montre que la pyramide concentre l'énergie électromagnétique dans les chambres
• Cela comprend deux chambres à l'intérieur et une troisième inachevée sous la base • Les scientifiques affirment qu'une percée pourrait conduire à des conceptions de nanoparticules plus efficaces
Les propriétés électromagnétiques remarquables de la grande pyramide de Gizeh pourraient bientôt inspirer la conception de nanoparticules pour des capteurs et des cellules solaires très efficaces.
Les scientifiques ont découvert que la célèbre pyramide concentre l’énergie électrique et magnétique dans ses chambres internes et au-dessous de sa base, créant ainsi des poches d’énergie supérieure.
Si cet effet de concentration peut être recréé à une échelle nanométrique, cela pourrait mener à une vague de nouveaux capteurs et cellules solaires plus efficaces, affirment les chercheurs.
Alors que la pyramide de 481 pieds construite il y a des milliers d’années pour le pharaon Khufu a longtemps attiré les intrigues pour ses prétendues qualités mythiques, l’étude fait partie d’un corpus croissant de recherches qui tentent enfin de faire la lumière sur ses propriétés physiques.
«Les pyramides égyptiennes ont toujours attiré une grande attention», explique le Dr Andrey Evlyukhin, superviseur scientifique et coordinateur de la recherche.
"En tant que scientifiques, nous nous sommes intéressés à eux aussi, alors nous avons décidé de regarder la Grande Pyramide comme une particule qui dissipe les ondes radio de manière résonante."
L'équipe de recherche internationale s'est penchée sur la relation entre la forme de la grande pyramide de Gizeh et sa capacité à concentrer l'énergie électromagnétique.
Pour ce faire, l'équipe dirigée par l'Université ITMO de Saint-Pétersbourg, en Russie, a créé un modèle de la pyramide, l'une des sept merveilles du monde antique, pour mesurer avec précision sa réponse électromagnétique.
Le 20 juillet 2018 , l'obscurité apparut dans le ciel de Sibérie pendant 3 heures !
(peu de médias en ont parlé...que s'est-il passé exactement ?)
Pour la république russe de Yakoutie (également appelée Sakha) - une partie de la Sibérie qui abrite les villes les plus froides du monde - le mois de juillet est un répit bienvenu après les sept mois d’hiver d’octobre à avril. C'est un moment rare de l'année où les habitants peuvent sortir sans risquer que leurs lunettes ne se figent au visage, à un moment où le soleil miséricordieux peut rester dans le ciel plus de 20 heures par jour au lieu de moins de 2 heures.
Imaginez la confusion et la déception, alors, lorsque les habitants d’au moins deux districts de Yakoutie sont sortis vendredi après-midi (20 juillet 2018) ont vu le soleil complètement effacé pendant 3 heures. Selon le site d'information régional de Yakoutie, les quartiers Eveno-Bytantaysky et Zhigansky de la Yakoutie sont inexplicablement plongés dans 3 heures de mystérieuse obscurité entre 11 heures et 14 heures. heure locale le vendredi. Les photos fournies par les habitants désorientés montrent un peu plus que les ombres noires des arbres et des bâtiments, projetées contre une brume de ciel rougeâtre. Ajoutant à l'atmosphère inquiétante, l'air semblait être épais avec une brume sale de poussière noire.
"Il était impossible d'être dans la rue", ont déclaré des témoins de cet événement bizarre au site d'informations Sakha Daily. D’autres habitants ont rapporté qu’il faisait soudainement noir chez eux, que le mystérieux smog transformait des tonneaux d’eau en barils de boue et que les lacs voisins émergeaient de l’éclipse recouverte d’une couche de pollution noire et sale.
Alors, qu'est-ce qui était derrière cette mystérieuse éclipse sale ? Alors qu'un local a imputé l'incident au "diable, il y a un coupable plus probable: les multiples incendies de forêt qui brûlent autour de la Yakoutie et ailleurs en Sibérie, a rapporté The Siberian Times.
Les villes russes ont été plongées dans l'obscurité totale pendant plusieurs heures la semaine dernière, provoquant des rumeurs d'un test d'armes secret au Kremlin, d'ovnis ou même du travail du diable.
Le mystère entoure l’apparition soudaine du nuage noir massif qui a transformé le jour et la nuit en une zone plus grande que les îles britanniques. Et il y a des allégations que le phénomène terrifiant pourrait avoir été causé par la poussière d'une frappe de météorite ou le test d'une arme apocalyptique.
D'autres explications pour les habitants mystifiés sont un OVNI, une éclipse non déclarée, le "travail du diable" ou la fumée des incendies non identifiés.
Les responsables de la défense et de la météorologie de Moscou n’ont pas commenté le nuage qui a touché trois vastes districts principalement arctiques de la région de Yakoutie.
Il n’y a pas eu de rapports de météorites, d’éclipses ou d’essais d’armes - et encore moins d’observations de vaisseaux spatiaux extraterrestres. Un habitant de Eveno-Bytantaisky a déclaré: "Des messages circulent à propos d'un flash léger enregistré par les satellites américains, suivi d'une augmentation du niveau radioactif et d'une activité inhabituelle de l'armée.
"On ne nous dira jamais que c'était vrai ou faux."
Certains ont prétendu que cela pourrait être un "nouveau type d'arme" testé par l'armée russe.
Une autre source a déclaré: "Cela ne peut être expliqué que par un OVNI."
Les résidents ont indiqué que l'obscurité commençait vers 11h30 et durait presque trois heures vendredi.
Le nuage est descendu sur Eveno-Bytantaisky, Zhigansky et Verkhoyansky, mais aucun de ces districts n'a été touché par des feux de forêt qui font rage dans d'autres localités sibériennes.
Les régions sont si loin au nord qu’à cette époque de l’année, elles ont pratiquement 24 heures de lumière - mais comme l’a dit un habitant, "la journée s’est soudainement transformée en nuit noire".
Un autre a déclaré: "Je ne pouvais pas voir une chose sans allumer les lumières."
"Nous avons pris des torches pour marcher dehors, mais en réalité personne ne voulait être dans la rue car le sentiment était comme si quelque chose de lourd dans les airs pressait sur votre poitrine."
Des rapports ont parlé d’une épaisse couche de poussière après l’obscurité, mais certains fonctionnaires ont nié cette situation, en exprimant des doutes quant à la cause de la pollution par les incendies.
Le Ministère de la Culture de Bolivie a présenté une enquête qui a permis de connaître la surface totale de la zone civico-cérémoniale. Ainsi, un carré et deux plates-formes de ce qui est considéré comme une pyramide ont été détectés.
Les anthropologues ont découvert ce qui semble être une citadelle souterraine à l'extérieur du centre cérémoniel pré-inca de Tiahuanaco, un site du patrimoine mondial, avec une superficie si grande que ses fouilles prendront au moins 50 ans, a rapporté samedi le ministère bolivien de la Culture.
"Avec les nouvelles données obtenues avec l'aide de la technologie, composée de caméras de précision qui ont pris des photos de l'air et des rayons infrarouges, il a été trouvé une citadelle préhispanique en dehors du périmètre archéologique, où il a été détecté une plate-forme souterraine de ce qui est considéré comme une pyramide ", a déclaré un communiqué cité par l'agence AFP.
Les résultats finaux, qui ont permis de connaître la surface totale de la zone civique-cérémoniale, ont indiqué que le site archéologique couvre quelque 758 hectares.
Plus qu'un centre cérémoniel
La découverte a eu lieu dans le cadre des travaux de conservation et de conservation de Tiahuanaco menés dans la zone avec la coopération du Japon et de l'Unesco.
« Les sondages d'excavation seront dans la région sud-ouest et au nord, dans le but de confirmer ou infirmerles données », a déclaré Julio Condori, directeur général du Centre d'archéologie, d'anthropologie et de l'administration de Recherche, à Tiwanaku (CITT) cité par le ministère .
Si elle est confirmée, la découverte archéologique obligera à repenser la conception selon laquelle Tiahuanaco n'était qu'un centre cérémoniel pour considérer que c'était aussi une ville préhispanique.
Tiahuanaco Culture
La culture Tiwanaku, avec sa capitale du même nom, est apparue sur les rives du lac Titicaca péruvien-bolivien en l'an 1,580 av. et a disparu vers 1200 AD On soupçonne que les effets climatiques et les pestes ont décimé la civilisation.
On suppose qu'elle abritait l'une des plus anciennes cultures d'Amérique du Sud, ancêtre même des Aymaras et des Quechua. (Informations de EFE et AFP)
Un autochtone isolé sur le territoire de Tanaru, dans la forêt amazonienne dans l’ouest du Brésil, a été filmé par une association de préservation et de défense de l’environnement. La vidéo été diffusée par l’association le 18 juillet dernier.
Cet individu âgé d’une cinquantaine d’année déjà identifié mais filmé à une seule reprise jusque-là. Il vit seul dans la forêt depuis au moins vingt-deux ans. Sa tribu fut massacrée par des fermiers lors d’un épisode de déforestation.
Dans cette région beaucoup de fermiers avaient pour habitude de payer des hommes armés pour tuer les indiens isolés. Depuis il s’organise seul dans la jungle, et assure sa protection contre de potentielles menaces extérieures. Actuellement 113 tribus isolées vivraient dans la forêt amazonienne brésilienne, leur volonté de ne pas communiquer avec le monde extérieur et les autres tribus est le fruit de nombreuses expériences meurtrières et de la dégradation constante de leur environnement naturel.
Le ministère des Antiquités égyptien à révélé une fabuleuse découverte le 1er juillet. Un immense sarcophage en pierre noire a été découvert à Alexandrie. Les archéologues l’ont retrouvé au fond d’une tombe ptolémaïque de cinq mètres de profondeur, et ses proportions sont impressionnantes.Le sarcophage de granit noir est haut de 185 cm, pour 265 cm de long et 165 cm de large. Il s’agirait du plus grand artefact de la sorte jamais découvert à Alexandrie, et il serait vieux de 2 000 ans. D’après l’analyse du Dr. Ayman Ashmawy, directeur des recherches, il n’a pas été ouvert depuis qu’il a été scellé, et l’identité de son ou ses occupants demeure un total mystère…
Le seul indice le concernant est ce visage d’albâtre, que les scientifiques égyptiens ont retrouvé enterré aux côtés de l’immense sarcophage. À priori, c’était quelqu’un d’important
Au Pérou, un site précolombien révèle des peintures millénaires
Au Pérou, Chan Chan, gigantesque cité d'adobe datant de l'ère précolombienne, n'a pas fini de révéler ses secrets: de grandes peintures murales, vieilles d'un millénaire, viennent d'y être mises au jour. Capitale de la civilisation Chimu, qui a connu son apogée entre l'an 900 et 1450, Chan Chan ("soleil resplendissant" dans la langue de son peuple) comptait dix palais en terre cuite sur une surface de 20 kilomètres carrés et 30.000 habitants.
Aujourd'hui il n'en reste que 14 kilomètres carrés et ses constructions sont menacées par les intempéries, l'installation d'agriculteurs sur son site ou encore les pillages récurrents.
Et pourtant, "Chan Chan est incroyable, sous chaque monticule de terre il y a une nouvelle découverte qui nous surprend", a souligné récemment la ministre péruvienne de la Culture, Patricia Balbuena, en se rendant sur place pour observer de près la dernière trouvaille: un couloir recouvert de hauts reliefs jusque-là enterré.
Ce couloir se trouvait à Utzh An, aussi appelé Grand Chimu, l'un des dix palais de la cité de Chan Chan, située à près de 600 kilomètres au nord de Lima.
"La récente découverte nous prouve l'ampleur de notre patrimoine culturel et à quel point il nous reste encore beaucoup à trouver dans cette citadelle de terre", a salué la ministre.
Les peintures montrent notamment des damiers et des vagues en relief.
"Animal lunaire"
L'accès au couloir est lui orné de représentations de l'"animal lunaire", symbole mythique de plusieurs cultures précolombiennes du Pérou, explique l'archéologue Henry Gayoso, responsable de la restauration des murs du palais Utzh An.
"Le couloir a été découvert il y a deux semaines. Il a une largeur d'environ six mètres et s'étend sur 50 mètres. Nous avons déterré la moitié, 25 mètres, et on doit encore descendre d'1,50 mètre pour arriver au plancher", précise-t-il.
"Une fois (ce travail) terminé, nous saurons sa signification, même si nous croyons que c'était le couloir de passage d'un personnage principal" de la civilisation Chimu.
Sur le site travaillent actuellement 500 personnes, dont 50 archéologues, réparties en cinq projets de fouilles, indique le chef de l'Unité de recherche et préservation de Chan Chan, Arturo Paredes.
Jusqu'à présent, les équipes ont trouvé des peintures murales, des escaliers, des passages, des statues en bois de guerriers de 40 centimètres de hauteur, portant sur le visage un masque d'argile blanche.
Les chercheurs ont également déterré des vases, des métiers à tisser et une grande quantité de "spondylus", ensembles de frises avec des figures de langoustes, algues, bateaux de pêcheurs et hommes en train de nager.
Sacrifices d'enfants
Moins connue que les Incas qui la renverseront ensuite, la civilisation Chimu se dévoile peu à peu au fur et à mesure des fouilles des archéologues.
En avril, National Geographic a ainsi révélé la découverte, près d'une falaise donnant sur l'océan Pacifique où vivait les Chimus, des restes de plus de 140 enfants, soit les "preuves du plus grand sacrifice collectif d'enfants d'Amérique, et probablement de l'histoire mondiale".
Les sacrifices humains étaient destinés à plaire à leurs dieux et souvent réalisés dans des huacas ("sanctuaires", en langue quechua), dont une, la huaca Toledo, peut désormais se visiter à Chan Chan.
"On pense que c'était un lieu de cérémonie pour les habitants", indique l'archéologue Jorge Meneses Bartra, responsable de la huaca Toledo, datant des années 1350 et en forme de pyramide tronquée (sans pointe), sur plus de 20 mètres de hauteur.
Chan Chan a été classée au Patrimoine de l'humanité par l'Unesco en 1986, mais aussi dans la liste du Patrimoine de l'humanité en danger: attaquée par les pluies, érodée par l'eau de la mer toute proche, la cité souffre aussi d'invasions par des agriculteurs et éleveurs.
Il y a 20 ans, le gouvernement a commencé à déloger les habitants installés sur le site, mais certains continuent d'y vivre, se prévalant même de titres de propriété.
La police péruvienne effectue désormais des rondes, de jour comme de nuit, pour protéger Chan Chan, et les autorités préparent un plan pour expulser de l'antique cité les derniers occupants.
Le site mégalithique de Rego Grande: le Stonehenge d'Amazonie
En tant que contremaître d'un éleveur de bétail dans les limites de l'Amazonie brésilienne, Lailson Camelo da Silva arrachait des arbres pour transformer la forêt tropicale en pâturage lorsqu'il trébucha sur un étrange arrangement de blocs de granite imposants. Après avoir mené des analyses au radiocarbone et effectué des mesures pendant le solstice d'hiver, des spécialistes en archéoastronomie ont déterminé qu'une culture indigène avait disposé les mégalithes pour en faire un observatoire astronomique il y a environ 1000 ans, soit 5 siècles avant le début de la conquête des Amériques par les européens.
Ces découvertes, ainsi que d'autres trouvailles archéologiques au Brésil ces dernières années (tels que des sculptures en terre géantes, des restes d'enceintes fortifiées et même des réseaux routiers complexes), mettent fin aux vues antérieures des archéologues qui soutenaient que l'Amazonie avait été relativement peu touchée par les hommes, à l'exception de petites tribus nomades. Au contraire, certains spécialistes affirment maintenant que la plus grande forêt tropicale du monde était beaucoup moins «édénique» que précédemment imaginée, et que l'Amazonie abritait une population de près de 10 millions de personnes avant que les colonisateurs européens ne soient à l'origine d'épidémies et de massacres à grande échelle Dans ce qui est aujourd'hui l'état peu peuplé d'Amapá dans le nord du Brésil, les pierres du soleil trouvées par Da Silva près d'une rivière appelée "Rego Grande" apportent des indices sur la façon dont les populations indigènes en Amazonie étaient bien plus avancées que ne l’estimaient les archéologues au 20ème siècle.
"Nous commençons à rassembler les pièces du puzzle de l'histoire humaine du Bassin de l'Amazonie, et ce que nous avons trouvé à Amapá est absolument fascinant" rapporte Mariana Cabral, archéologue à l'Université Fédérale de Minas Gerais, qui avec son mari, João Saldanha, aussi archéologue, ont étudié le site de Rego Grande au cours de la dernière décennie.
A la fin du 19ième siècle, le zoologue suisse Emilio Goeldi avait déjà localisé des mégalithes, de grandes pierres monumentales, lors d'une expédition à travers la frontière brésilienne avec le français Guiana. D'autres érudits, dont l'archéologue pionnier américain Betty Meggers, sont aussi venus sur de tels sites, mais ils estimaient que l'Amazonie était inhospitalière pour des implantations humaines complexes. (...)
Pour le moment, Rego Grande, que les habitants locaux appellent le Stonehenge amazonien, reste énigmatique.
Les chercheurs essayent encore de déterminer comment Rego Grande s'inscrit dans l'évolution de l'histoire humaine de l'Amazonie
Des représentants du peuple indigène Palikur, vivant en Amapá et en Guyane française, ont récemment déclaré que leurs ancêtres avaient fréquenté Rego Grande. Mais, les archéologues font preuve de prudence sur l'établissement de tels liens, en soulignant combien peuvent changer les sociétés humaines sur une durée de mille ans.
Ms Cabral, qui a passé des années à étudier Rego Grande, rapporte que les preuves de grandes implantations restent insaisissables, contrairement à d'autres sites en Amazonie comme Kuhikugu, aux sources de la rivière Xingu: les chercheurs ont pu faire un parallèle avec les légendes entourant la cité perdue mythique de Z, qui a longtemps attirée aventuriers et explorateurs.
En attendant, John McKim Malville, physicien solaire à l'Université du Colorado qui écrit beaucoup sur l'archéoastronomie, a mis l'accent sur la façon dont le champ évolue depuis la concentration exclusive sur les fonctions astronomiques jusqu'à des interprétations plus holistiques, en incluant les cérémonies et rituels des anciennes cultures.
En ce sens, le site de Calçoene (où se situe Rego Grande), offre un aperçu séduisant sur le passé secret de l'Amazonie.
"Les pierres de Rego Grande sont assez extraordinaires et leurs irrégularités peuvent avoir leur propre signification, différente des autres sites mégalithiques autour du monde." ajoute Malville estimant possible que Rego Grande reflète l'importance dans les cultures amazoniennes de l'animisme, l'attribution d'une âme à des entités dans la nature et même à des objets inanimés.
"Nous ne pouvons cependant que spéculer sur ce qui signifie ces pierres", conclu-t-il.
En Amazonie, les arbres sont capables de faire tomber la pluie
Aussi fou que cela puisse paraître, dans la plus grande forêt du monde, les chutes de pluies ne sont pas seulement la conséquence de la météo mais aussi de la « volonté » des arbres.
Des chercheurs américains ont en effet observé que, de septembre à décembre, alors que le climat n’est pas propice à la pluie, les arbres relâchent davantage d’humidité (par évapotranspiration) afin de provoquer les pluies nécessaires à leur croissance.
Confirmé par l’imagerie satellite, ce phénomène spectaculaire a été révélé par les scientifiques en été 2017.
La Chine construit la première ville-forêt du monde
Associant de très près les arbres et les logements, cette ville unique au monde devrait consommer plus de CO2 qu’elle n’en produit.Stefano Boeri, l’architecte à l’origine de ce projet fou, n’en est pas à son coup d’essai : il a déjà construit d’immenses tours végétales à Milan. Mais, cette fois, c’est pharaonique.Sa ville forêt, qui s’étendra sur 175ha, accueillera 30 000 habitants, 40 000 arbres et un million de plantes ! « Une fois construite, la nouvelle ville pourra absorber environ 10 000 tonnes de CO2 et 57 tonnes de polluants par an, tout en produisant presque 900 tonnes d’oxygène. »
Au Kénya, les excréments remplacent le charbon et épargnent la forêt
Au Kenya comme dans beaucoup d’autres pays, le bois et le charbon de bois restent très utilisés pour la cuisson des repas et le chauffage (le gaz étant très cher et, l’électricité, quasi inexistante). Résultat : des forêts qui disparaissent à toute vitesse. Du coup, une entreprise a eu cette idée géniale : transformer le excréments (une matière première peu couteuse, renouvelable et facilement accessible), en combustible.
Depuis, un camion fait régulièrement le tour de la ville pour récolter les excréments et les conduire dans une usine qui les transforme en charbon nouvelle génération. Et ça marche ! Témoignage d’une utilisatrice :
« C’est vraiment bien, regardez comme ça cuit ! Les boules se consument plus lentement que le charbon, et on peut cuisiner plus dans un temps plus court… »
Située dans la région autonome de Qiannan Buyi et Miao, la province chinoise de Guizhou, Chan Da Ya, (l’expression en mandarin se traduit par «falaise qui pond des œufs») la montagne a complètement stupéfait les géologues depuis des décennies. La formation rocheuse gravement érodée a une surface irrégulière parsemée de dizaines de pierres rondes et ovales de différentes tailles. Au fur et à mesure que les éléments continuent à éroder à la falaise, les «œufs» deviennent encore plus exposés et finissent par tomber de leurs prises naturelles. Selon les habitants du village voisin de Gulu, Chan Da Ya met 30 ans pour faire tomber ses étranges œufs en pierre.Le phénomène de Chan Da Ya est considéré comme unique, de sorte que les géologues qui espèrent proposer une explication ont dû se rendre dans la région montagneuse éloignée pour l’étudier de première main. Leurs tests ont montré que, bien que la plupart de Mount Gandeng est composée de sédiments plus durs, cette section particulière est principalement constituée de roches calcaires, qui sont facilement érodées. Les œufs sont faits de roches beaucoup plus dures, de sorte que la différence de temps nécessaire pour que les éléments traversent les différents types de roches explique le phénomène de ponte. Cependant, personne n’a encore pu expliquer comment une section calcaire qui a été formée pendant la période cambrienne peut encore être là environ 500 millions d’années plus tard, ou pourquoi les œufs de pierre sont tous ronds ou ovales.
Les gens de Gulu ont connu la falaise qui pond des œufs depuis des générations, et beaucoup d’entre eux la visitent fréquemment pour toucher les «œufs dieu» afin d’attirer la chance. Les données de 2005 montrent que presque toutes les 125 familles de Gulu ont possédé au moins un de ces œufs mystérieux dans leur maison comme un porte-bonheur, ainsi que plusieurs autres dans le cadre de la collection du village. Cependant, ces dernières années, Chan Da Ya est devenu une destination touristique très populaire et la plupart des œufs ont été vendus à but lucratif. Il n’y a actuellement que 70 œufs dans Gulu, et les nouveaux prêts à tomber de la falaise sont souvent volés par des chasseurs de trésor. Les médias chinois rapportent que si Chan Da Ya est la plus grande falaise qui pond des œufs sur le mont Gandeng et présente la plus forte concentration d’œufs de pierre, ce n’est certainement pas la seule. Les photos prises dans la même zone montrent que les œufs sortent d’autres sections des montagnes. Source : anguillesousroche.
Au cours d'un forage minier en Sibérie, un étonnant artéfact préhistorique sans doute vieux de 10 000 ans a été découvert. Les rumeurs les plus folles circulent sur son origine et sa destination. En Sibérie, des mineurs ont exhumé une roue de pierre d’1,2 mètre de diamètre et d’un poids de 90 kilos. L’artéfact a été découvert dans le bassin de Kuznetski dans le sud-ouest sibérien où se trouvent les plus vastes mines de charbon du monde. L’aspect de cette roue, assez finement travaillée, n’a pas permis pour l’instant d’en déterminer la fonction, qu'elle soit utilitaire ou religieuse.
Cette trouvaille archéologique est intrigante à plus d’un titre mais le plus surprenant est la profondeur à laquelle elle a été retrouvée, à côté d’une autre disque de pierre brisé lors du forage. Les deux objets étaient enfouis à plus de quarante mètres sous terre ! Soit quinze mètres en dessous des couches où la compagnie minière découvre parfois des ossements de mammouth vieux de 5000 ans. L’âge de ces artéfacts serait donc approximativement de 10000 ans. «Je n’ai jamais vu une chose pareille qui manifestement fabriquée de la main de l’homme. Mais, ici, au milieu de nulle part c’est vraiment un mystère…» explique le mineur russe Boris Glazkov.
Des archéologues britanniques ont découvert dans le désert saoudien un incroyable fragment fossile du squelette d’un Homo sapiens. Cet os de doigt d’un peu plus de trois centimètres s’est révélé vieux d’environ 88.000 ans. Un âge inattendu pour un Homme moderne, que l’on pensait sorti d’Afrique il y a seulement 60.000 ans. Des scientifiques britanniques viennent de mettre le doigt sur une découverte archéologique majeure. Comme le révèle leur publication parue dans la revue Nature Ecology and Evolution, ces chercheurs de l’Université d’Oxford ont en effet découvert en Arabie Saoudite les ossements fossilisés du doigt d’un Homo sapiens vieux de 88.000 ans.
Cet âge s’avère plutôt inattendu pour un Homme moderne, dont la sortie d’Afrique, sa région d’origine, semblait jusqu’à présent remonter à environ 60.000 ans. Une théorie bouleversée depuis peu par plusieurs autres découvertes archéologiques, et que la mise au jour de ce doigt fossile ne fait qu’ébranler un peu plus. "Notre espèce se serait dispersée hors d’Afrique beaucoup plus tôt que ce que l’on pensait auparavant", confirme le co-auteur de l’étude Huw Groucutt, de l’Université d’Oxford, au Royaume-Uni.Selon le scientifique, les ossements retrouvés dans le désert de Néfoud, un erg au Nord de la Péninsule arabique, appartiendraient sans conteste à un Homo sapiens, qui pourrait avoir vécu dans cette région il y a 85.000 à 90.000 ans. Retrouvé en 2016 sur le site archéologique d’Al Wusta, ce fossile d’un peu plus de trois centimètres a été découvert parmi de nombreux outils en pierre et d’autres os fossiles, y compris ceux d’hippopotames.
Il s’agirait dans ce cas précis, selon les chercheurs, de l’os médian d’un majeur. La plus ancienne trace de la présence d’Homo sapiens hors d’Afrique Pour parvenir à déterminer son âge avec précision, les scientifiques ont mis en œuvre une technique de datation particulière, la datation radiométrique, basée sur la mesure du rapport des isotopes radioactifs naturellement présents dans les fossiles. Résultat, les quelque 88.000 ans de cet os font de lui le plus ancien fossile d’Homme moderne jamais retrouvé hors du continent africain. "Cela va dans le sens d’un modèle non pas d’une seule dispersion rapide en dehors d’Afrique il y a 60.000 ans, mais d’un scénario de migration bien plus complexe. Et cette découverte, en compagnie des autres effectuées ces quelques dernières années, suggère que Homo sapiens a déménagé hors d’Afrique de nombreuses fois et à de multiples occasions durant les 100 derniers milliers d’années environ", explique Michael Petraglia, anthropologue à l’Institut Max Planck, en Allemagne. L’âge du fossile n’est d’ailleurs pas la seule caractéristique remarquable de ce trésor archéologique.
Selon le spécialiste allemand, la zone au sein de laquelle il a été retrouvé prouve également qu’à cette époque, les populations d’Hommes modernes se déplaçaient non pas le long des littoraux, mais plutôt à l’intérieur des terres. Des questions encore en suspens Les spécialistes font néanmoins encore face à une énigme majeure : celle de l’histoire des aïeux de cet Homo sapiens de la péninsule arabique. "La grande question désormais est de savoir ce qu’il est advenu des ancêtres de la population à laquelle l’humain d’Al Wusta appartenait", explique Huw Groucutt, qui ne dispose pour l’instant que de peu d’informations à ce sujet. "Nous savons que peu après leur vivant, les pluies ont manqué et la zone s’est asséchée. Cette population s’est-elle éteinte ? A-t-elle survécu plus au sud en Arabie, où même aujourd’hui il existe des zones montagneuses avec des précipitations plutôt élevées et des régions côtières qui reçoivent des pluies de mousson ? Ou l’assèchement de l’environnement signifie-t-il que certaines de ces personnes ont été "poussées" plus loin en Eurasie, dans le cadre d’une colonisation mondiale ?" Autant d’interrogations auxquelles les chercheurs tenteront de répondre dans les années à venir. Nos ancêtres Homo sapiens semblent encore bien loin d’avoir livré tous leurs secrets.
Le yéti, ou abominable homme des neiges, existerait bien. Il est présenté en ce moment au Musée du cirque et de l'illusion.
« Son corps est conservé et exposé dans un grand congélateur en verre, dans la glace. Il mesure 2,63 m et pèse 210 kg. Retrouvé en 1962 au Népal Des photos, des gravures et une bande sonore réalisée par Jean-Louis Franck, le commentateur de l'émission Ushuaïa, raconte sa découverte par deux sherpas.
Retrouvé congelé dans le glacier de Outzau au Népal en 1962, il a séjourné en Chine, puis en Allemagne de l'Est ou il a été ramené par un cirque, avant d'arriver en France, à la foire du trône.
C'est une chance inouïe que Rémy Demantes, le propriétaire du Musée, l'ait découvert. »
Légende ou réalité, tel est le texte que l'on peut lire à l'entrée du Musée du cirque et de l'illusion, au sujet de cette nouvelle attraction.
La civilisation Egyptienne aurait au minimum 15 000 ans !
Information de Antoine Gigal (page FBook) : La plus ancienne ville du monde découverte en Egypte!
Des découvertes archéologiques majeures en Égypte, sont en train de révolutionner toutes les datations jusqu’alors admises concernant les anciennes civilisations. Aux dires des égyptologues, la culture égyptienne aurait commencé il y a 5000 ans environ avant notre ère. Mais voilà que dernièrement, le Directeur général du département de la préhistoire égyptienne, vient de donner un grand coup de pied dans la fourmilière des certitudes. Ses découvertes lui permettent d’affirmer que la civilisation égyptienne aurait au moins 150.000 ans !
Une histoire aux sources de l’Hermétisme
Il n’est pas question ici de préhistoire, mais bien d’Histoire. L’information serait passée inaperçue si ce n’était grâce à la perspicacité d’Antoine Gigal auteure exploratrice en Égypte, qui a écouté l’interview télévisée du docteur Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, et qui a eu la bonne idée d’en faire une vidéo. L’ayant visionnée, mes amis de Tistrya m’en ont fait part aussitôt, tant la découverte vient bousculer toutes les idées reçues en matière de datation.(...)
Ce sont donc les découvertes de Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, qui viennent aujourd’hui jeter un pavé dans la marre. Ses recherches lui ont permis aujourd’hui de prendre la parole, au risque de recevoir l’anathème de ses collèges égyptologues. En effet il vient de démontrer que la civilisation égyptienne n’a pas 5000 ans environ, comme le prétendent les historiens officiels, mais bien 15 000 ans. Et de 15 000 à 500 000 ans pour des traces de civilisations.
Avec son collègue Mustapha Reis, ils révisent peu à peu toutes les datations proposées par les Occidentaux, et s’aperçoivent que ceux-ci ont une volonté farouche de ramener toujours la chronologie à des dates plus récentes. Dans le centre sud du Sinaï se trouvent neuf complexes d’habitation qu’on appelle Nawamis.
Le Dr Saad dit, que non loin de là, il a trouvé un site identique dont la datation avoisine les 15 000 ans. Ce serait donc la plus vieille cité du monde. Mais d’après l’éminent chercheur il y aurait également 306 autres sites qui remonteraient à 500 000 ans sur lesquels on a retrouvé des traces de civilisations.
Ils ont également découvert sur ces habitations, des traces de peintures identiques à celles qu’utilisèrent les pharaons des milliers d’années plus tard. Plus extraordinaire encore, ils ont remarqué que ces peuples croyaient aux mêmes dieux que les égyptiens de l’époque dynastique. Ces dieux seraient donc issus d’une antiquité beaucoup plus ancienne que celle présentée dans nos manuels d’Histoire. Ces découvertes archéologiques majeures remettent donc toute la datation en question, et c’est ce que les Dr Saad et Reis s’appliquent à remettre en ordre. Certains scientifiques commencent à sortir des sentiers battus. Tant mieux, car ces découvertes confortent ce que dit l’Histoire antédiluvienne de la planète, précieusement conservée par les Gardiens invisibles de la grande Tradition.
Le Dr Khaled Saad a déclaré ce matin (22-02-2018) dans un journal égyptien que la civilisation égyptienne n'a plus 7000 ans mais 15000 ans et avec "des traces de civilisations "de 500 000 ans. Une ville a été découverte dans le sud Sinaï et les datations actuelles sont toutes à revoir...
C'est une pièce exceptionnelle que peuvent découvrir les visiteurs du Royal Tyrrell Museum à Drumheller en Alberta au Canada, le fossile d'un dinosaure vieux de 110 millions d'années. Il s'agit d'un nodosaure, une espèce d'herbivore cuirassé de la famille des ankylosaures que les scientifiques étudient depuis sa découverte en 2011. Ils révéleront le nom exact de cette nouvelle espèce dès que la publication de leurs recherches dans une revue scientifique spécialisée aura eu lieu, explique Le Figaro .
Ce qui rend la découverte exceptionnelle, c'est son état de conservation, comme si l'animal avait été momifié. Le dinosaure serait mort noyé ou à proximité d'une rivière avant d'être emporté jusqu'à la mer. Une fois là-bas, il a coulé dans une « zone de sédiments très meubles », écrit le quotidien. Son corps recouvert de sable a donc été protégé de l'appétit des créatures marines et entièrement fossilisé. Il n'a ensuite été découvert qu'en 2011, à la faveur des travaux de recherches d'un mineur dans un gisement de sables bitumineux. Après six ans de travail, les paléontologues ont finalement dévoilé le nodosaure.
Le dossier du mois : L’énigme des momies à trois doigts découvertes au Pérou
Le dossier du mois : L’énigme des momies à trois doigts découvertes au Pérou. Comment ne pas parler des momies de Nazca et de Thierry Jamin dans ce premier numéro ? Nous pensons que malgré la polémique et le risque de fraude qui plane encore sur ce dossier, il est potentiellement de nature à changer la face du monde, ou en tout cas la manière dont nous le percevons.
Une autre momie de petite taille appelée "Luisa" est examinée par l'Université d'ICA, elle a aussi un implant pectoral et des "oeufs" comme la momie Josefina....à quoi pouvait bien servir cet "implant" ? (Crédit photos Face Book) - Voir aussi cette PAGE
Luisa et Josefina
La suite de cette découverte après la conférence à LIMA au Congrès de la République le 19 novembre 2018.
Tous les résultats en détails sur le site de ALIEN PROJECT
Résumé des caractéristiques générales du Reptile Humanoïde
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne Taille : environ 60 cm taille adulte.
Les spécimens étudiés présentent la même morphologie, excepté le nombre de côtes et Josefina qui présente des œufs en gestation.
Photos : Victoria, Alberto, Josefina
Datation C14 :de 791 ans ± 30 ans (années 1200 ap JC) Corps harmonique dans toutes les parties. • Structures à physionomie de compatibilité. • Intégration anatomique de forme anthropomorphique. • Intégrité structurelle compatible et continue. • un spécimen biologique fonctionnel dans son anatomie et physionomie de forme naturelle • crâne d'une seule pièce. • avec des cavités pour organes spécifiques Corps conservés dans la Terre de Diatomée (corps desséchés) avec peau apparente et porosité, couleur grise, avec des protubérances. Peau kératinisée (squamule) Ces corps possèdent leurs organes internes Présence d’articulations
LES MAINS ET LES PIEDS :
Main tridactyle : La main est formée d'un os carpien et de trois doigts comprenant 3 phalanges, terminés par des griffes plates. Pas d’os du métacarpe, pas de paume à la main.
Cette caractéristique tridactyle (3 doigts) de la main en pronation qui ne peut pas fonctionner en supination est une caractéristique des théropodes (dinosaures éteints). L'ongle occupe 90 % de la longueur de la phalange distale (alors qu'elle n'est que de 45-50 % pour l'humain). Corrélation anatomique - connexions d'interférence - structure carpienne - un seul os à l’avant bras - articulations carpiennes - articulations inter-phalangiennes - cartilage inter-articulaire phalangien - structure osseuse creuse - circuit vasculaire – articulations harmoniques - articulations (cartilage articulaire) - structure tendineuse palmaire.
Pied tridactyle : Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges terminées par des griffes plates.
L'épiphyse inférieure de l'os de la jambe est rétrécie dans sa partie médiane et sert de plante du pied à côté d'un os creux, on note l'absence d'os propre au pied. La morphologie du pied de ce spécimen rappelle celle de l'oiseau appelé Casuariidae (Casoar).
Le pied est formé d'un seul os avec une cavité en son centre (Dr. G Dmitriy Vladislàvovich)
LA TÊTE :
Crâne : Tête macrocéphale allongée en arrière de forme ovoïdale plus grosse à l’avant et se terminant presque en pointe à l’arrière, complétée par trois arêtes ou crêtes au-dessus de la tête. Taille de la tête : Il y a une relation entre la longueur de la tête comparée au corps appelée "canon" pour les espèces de caractéristique reptilienne, dans le cas des reptiles humanoïdes, le canon est de 8,2/8,3 têtes. Le condyle occipital est prononcé. Pas de poils - Pas de septum nasal - Pas d’oreille - Cou possiblement rétractile
Le crâne du reptile humanoïde dans son périmètre de la base est plus grand que celui de nombreuses espèces de mammifères.
La région buccale est composée de deux plaques osseuses articulées en charnières, il existe des trous de sortie des nerfs oculaires, le bassin orbital n’est pas profond. Il a des sutures crâniennes Les plus grandes lignes de suture se trouvent à l'arrière, et dans la partie avant uniquement sur la zone après le viscérocrâne. À la base du crâne, nous identifions deux sutures situés entre le foramen magnum et l’atlas situé derrière. Crane à morphologie unique (Yeux, nez) - La cavité nasale est très petite, c’est une cavité de 3mm de profondeur. (Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich). On observe une paire de condyles occipitaux prononcés (Jose Rios)
Physionomie anthropomorphique : Cavité nasale et orale fonctionnelles - Grandes cavités orbitales avec champ de vision supérieur à 180 degrés - Fosses nasales - Pas de pavillon auriculaire - Cavité buccale sans dent plus petite en taille - Structures de la cavité orale avec fonction de charnière - Fonction de déglutition - Voie digestive d’avant en arrière vers le corps vertébral - Base du crâne avec support central - Cou et corps vertébraux cervicaux - Disques intervertébraux larges - Voie de déglutition entre les espaces.
Support central du crâne : Paquet vasculaire et nerveux visible avec des voies différentes - Corrélation entre les orifices crâniens avec entrée et sortie neurovasculaires. Base de crâne : orifices de trajet digestif - Corps vertébral de support avec condyles (atlas) Orifices de paquets neurovasculaires - Orifice de foramen magnum - Os creux - Cavité crânienne avec contenu - cavité buccale avec trajet
Pneumatisation : Pneumatisation de l'occipital Cela permet un crâne léger, car le cerveau est gros (tête macrocéphale).
Le crâne du spécimen de tridactyle est pneumatisé car il comporte des trous et des espaces vides dans l'os et est composé de feuilles très minces qui en allègent le poids, ce qui favorise un cerveau énorme par rapport à sa petite taille de 60 cm. de cet être.
Ouvertures : Le crâne a des trous qui permettent l’entrée et la sortie des enveloppes vasculaires et des faisceaux nerveux, ce qui rend une anatomie fonctionnelle impossible à reproduire artificiellement.
On en dénombre 3 situées dans la partie postérieure de l'orbite oculaire, au quart de la partie antérieure du crâne, dans la région temporale, scientifiquement parlant, cela ne correspond à aucune identification connue. Dans divers groupes d'animaux, cette caractéristique est présente, mais avec seulement jusqu'à deux ouvertures. Il n'y a pas de système de mastication.
Bulle tympanique : "Au sujet de la partie interne de ces crânes, nous pouvons identifier ce qui pourrait être une possible bulle tympanique. Elle en présente une paire sur les côtés du crâne qui se situe dans le quart de la région antérieure et adjacente à la zone du viscérocrâne." (Dr. Jose de la Cruz Rios Lopez) (La densité est telle qu'au début sur les scanners nous avions pensé à des implants temporaux.)
Cerveau : Il est réduit de 15% par rapport à sa taille originale. Il est située dans l'occipital, en raison de la position couchée du corps.
Foramen Magnum de forme rectangulaire de 1 cm de largeur, alors que les espèces terrestres l'ont circulaire ou quasi-circulaire. Sa localisation est située dans la deuxième fosse crânienne, c’est-à-dire au centre de la base du crâne et non sur le plancher arrière comme chez l’Homo Sapiens ou le gorille.
Ouverture buccale : C'est une ouverture de 15 mm de longueur, sans lèvres, sans dents ni muscles pour la mastication. L’être se nourrit par aspiration de liquides.
Orifice alimentaire : Derrière l'ouverture buccale se trouve dans la partie inférieure, une structure semblable à un palais dur possédant un très petit orifice où la nourriture est avalée. Il s’alimente par des liquides - Pas de dentitions - Mais un système évolué de déglutition La déglutition passe par un canal derrière la colonne vertébrale
LE CORPS :
Reproduction : Pas de glande mammaire - Sexe gonochorique (mâle et femelle) Dimorphisme sexuel - le mâle présente des membres légèrement plus longs et le tronc légèrement plus petit que la femelle et la partie centrale de la clavicule est protubérante chez le mâle. Ouverture cloacale transversale entre les jambes pour les mâles et les femelles. Reproduction qui semble être est de type ovipare. (L'embryon commence son développement après la ponte).
On note la présence de 3 œufs de taille variable (27, 34 et 25 mm) et dont la forme est symétrique, caractéristique des reptiles. Ainsi qu’un quatrième œufs en formation. À l'intérieur, des conglomérats sont observés dans un état de calcification, possiblement des embryons.. Le système reproducteur clairement identifié est constitué d'un cloaque, d'un vagin et d'un col de l'utérus. Dans les corps vertébraux, il existe une séparation ou une angulation qui est une réponse physiologique au processus de gestation. Quelque chose qui se produit naturellement dans un processus de gestation. Le corps change et adapte sa structure pour recevoir ce processus de gestation et il est clair que les corps vertébraux changent de position et élargissent l'espace intervertébral. Il existe une relation harmonieuse et fonctionnelle dans ce processus de gestation.
Furcula : L'union des clavicules s'appelle la furcula, cette caractéristique est présente dans ces spécimens.
Les théropodes (dinosaures disparus) et leurs descendants ont cette structure similaire, où les deux clavicules sont fusionnées pour former un seul os. Un os comme l'omoplate forme la cage thoracique avec une clavicule soudée (furcula ou fourchette) Certains spécimens ont la furcula proéminente et d’autres pas. Cela indique peut-être une différence de sexe, mais cela n’est pas certain car cette espèce est inconnue.
Paquet neuro-vasculaire : Entre les vertèbres de la région scapulaire, 3 paquets neuro-vasculaires sont intercalés, l'un d'eux sortant derrière la vertèbre cervicale, puis s’entrelacent entre la 3e et la 4e vertèbre.
Tandis que deux d'entre eux à l'avant sont insérés dans le canal médullaire de la même région scapulaire. Les corps vertébraux, au lieu d'être situés dans la partie postérieure, sont situés dans la partie médiane de l'organisme.
Os creux : Les os ont une cavité creuse, ce qui donne une structure légère en même temps qu’une grande résistance. Cette caractéristique anatomique est la même que celle des théropodes (dinosaures éteints) et des oiseaux, leurs descendants.
Les os creux du squelette sont une caractéristique impossible à trouver chez aucun mammifère connu. Les vertèbres sont également creuses et ne correspondent à aucune caractéristique d'un mammifère terrestre vivant. C’est la même chose avec les mains, les pieds, les ligaments, les caractéristiques spécifiques du crâne (pneumatisation, etc.).
Vertèbres creuses : Les vertèbres sont creuses, tout comme les os de ces spécimens. Un exemple similaire est trouvé avec le Mamenquisaurus (dinosaure), qui avait les vertèbres creuses dans le cou.
Colonne vertébrale : Elle se compose de 31 vertèbres :
1 atlas, 4 cervicales, 7 scapulaires, 14 côtes, 3 pelviennes et 2 sacrées. Les individus analysés ont 11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes (sauf Albert qui a 8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes) - les côtes sont circulaires et creuses.
Ces spécimens ont un nombre de paires de côtes différent :
JOSEFINA et VICTORIA : 11 paires de côtes dont 2 flottantes LA FAMILLIA : 10 paires de côtes dont 2 flottantes ALBERTO : 8 paires de côtes dont 2 flottantes
On note au moins 5 types différents de vertèbres.
Les os du bassin sont soutenus par les deux dernières vertèbres qui forment le sacrum. Démarche plantigrade bipède
Au sujet des côtes du reptile humanoïde, on peut identifier deux types :
1 - l'une en forme d'anneau, complètement fermé, et dont les côtes sont de forme rectangulaire, dans toute la région du tronc. 2 - de forme ouverte et flottantes localisées dans la zone abdominale. Les vertèbres dorsales sont présentes sur tous les spécimens examinés.
Pneumatisation thoracique - côtes horizontales et creuses - corrélation anatomique harmonique de l’amplitude gestationnelle. Corps vertébraux centraux, colonne vertébrale positionnée au centre du corps (non pas à l’arrière du tronc comme chez l’humain), et grand espace dans l'apophyse supérieure - La Clavicule continue sans attache au sternum - Large espace thoracique avec 3 structures organiques - Thorax avec des structures de paquets vasculaires et digestifs retro et intra vertébraux - Graisse dorsale (platisma) musculaire - Côtes horizontales et espaces complets - Disques intervertébraux. Cavité thoracique avec paquet vasculaire - côtes horizontales - Articulation de la hanche (os ilium) - Corrélation de l'union avec le membre inférieur - Surface articulaire à la tête du fémur - Sac de Mesentery pour le confinement abdominal - articulation du coude .
Pneumatisation vertébrale ( Crédit : J. de la Cruz Rios)
Sacrum : Il y a une structure à la fin de la colonne vertébrale formée par deux vertèbres sacrées, qui, par le biais du processus épineux, se joint derrière chaque os indépendant qui forme la hanche ou le pelvis.
On sait que les Herrerasauridae (dinosaures saurischiens) n’avaient que deux vertèbres sacrées.
Système squelettique : La structure osseuse est parfaitement articulée.
Il a un os large comme un omoplate, joint à 7 vertèbres qui forment la cage thoracique. Les clavicules sont fusionnées pour former la furcula. Il n'y a qu'un os à l’avant-bras, pareil pour la jambe. 3 doigts, 3 phalanges aux mains avec des griffes plates et 3 phalanges aux pieds.
Un os pour l’avant-bras et pareil pour la jambe. Pas de rotule, pas de genou, pas de radius ni cubitus, ni tibia ni péroné. Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire. Pas d’os carpien mais un os en forme de demi-lune au poignet, qui fait office d’articulation pour la flexion et l’extension entre l’avant-bras et les doigts.
Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire, sans structure pelvienne comme chez l'homme. Les côtes ont une forme horizontale, elles sont creuses et complètes, c'est-à-dire qu'elles ne s'unissent pas au sternum, si ce n'est qu'elles vont d'un côté à l'autre.
LES OS SONT CREUX (Voir page 6 les planches sur Josefina)
La peau : Biologie de type reptilienne identique sur tous les spécimens de 60 cm environ, ainsi que sur Maria.
Photos : Peau de Victoria
A gauche : peau de Maria la grande momie de 1m70 - (voir pages précédentes) - A droite : peau de Victoria
Conclusion
"CETTE ESPÈCE N'APPARTIENT PAS À LA FAMILLE DES HOMINIDÉS, À L'ORDRE DES PRIMATES NI À LA FAMILLE DES MAMMIFÈRES, SES CARACTÉRISTIQUES SONT CELLES D'UN REPTILE À FORME HUMAINE "
Les êtres de la Nazca de trois doigts de 60 cm., Pourraient être un descendant évolutif des théropodes (dinosaures éteints il y a environ 65 millions d'années). Jusqu'à présent, certains individus sont compatibles avec ce groupe :
FÚRCULA - Peau kératinisée - MAIN EN PRONATION - TRIDACTYLE (TROIS DOIGTS) - ŒUFS - Traits reptiliens - OS CREUX ET PNEUMATISATIONS (José de la Cruz Rios)
CONCLUSION (pour Josefina) :
1.- Les études des images ont permis d’identifier des structures osseuses qui ont une relation anatomique harmonieuse et fonctionnelle entre elles, ce qui permet de déterminer une mobilité de type organique dans le spécimen analysé.
2.- Grâce à l’étude des images, il a été possible d'identifier des structures similaires dans leur physionomie et les organes ainsi que leurs composants, qui ont une similitude avec les trajets vasculaires, le tube digestif, le système reproducteur, mais qui ont des particularités qui les différencient de ce qui a été décrit et connu dans l'anatomie humaine et ressemble à d'autres espèces qui à leur tour sont différentes entre elles.
3.- En étudiant les images et leur reconstruction en trois dimensions, on a pu identifier que l’anatomie osseuse ainsi que les structures ovoïdes (4 œufs) (pour l’individu Josefina) et l’anatomie légère (peau, graisse, muscles, organes, vaisseaux sang, cavité buccale, tube digestif, système reproducteur, oviducte) et les structures articulaires (muscles, tendons, ligaments et cartilages) ont une relation directe entre leur position et leurs trajet, ce qui démontre leur authenticité et leur fonctionnalité organique qui est unique et non répétitive entre individus. Ceci indique la viabilité et la faisabilité d'être une entité d'une nouvelle espèce ou bien encore inconnue avec une origine évolutive biologique unique et différente de ce qui est décrit ou connu dans l'espèce humaine ou dans tout autre espèce.
4.- Les résultats de l’ADN confirment qu’il n’a aucune relation directe avec aucun organisme de type animal connu ou décrit à ce jour. Une correspondance entre 30 % et 33 % d’ADN avec l’homo sapiens. Donc différent à 70 %. Cette distinction et différenciation de 70 % fait que cette espèce est unique, inestimable et non reproductible, et qu’elle mérite une étude et une analyse scientifique plus poussée.
5.- Les résultats du carbone 14 (C14) ont une période de datation approximative impliquant une origine taxonomique distincte de ce qui est connu ou décrit dans les espèces terrestres déjà étudiées et référencées par la science.
Datations
Résultats Adn et C14 (Maria, Victoria, Mains seules, cerveau seul)
D’après les analyses des scientifiques :
Dr Jose de la Cruz Rios Lopez ( Biologiste - Secrétariat de la Santé - Campeche - Recherches en microbiologie - Mexique) Dr Jose de Jesus Zalce Benitez (Mexique) Docteur Expert en Médecine Légale – médecin légiste et anthropologue légiste de l'Institut des sciences médico-légales du Mexique (INACIF) Chef de médecine légale du Secrétariat de la Marine et des Forces Armées du Mexique. Diplômé de l’École Nationale d’Anthropologie et d’Histoire (Sipaz). Dr Raymundo Salas Alfaro (Spécialiste en Radiologie et scanners - Pérou) Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich et Dr Korotkov (Université de St-Petersburg, Russie) Dr Clara Martinez - Biochimiste expérimentale - Enseignante chez DIP – Université de Genève Salvador Angel Romero Martinez - Bio Informaticien, Lab Abraxas (Mexique)
Nouvelles analyses : message sur Fbook de Jois Mantilla, le 14-04-2019
Nous venons de recevoir une autre étude et rapport CONCLUANT concernant l' ADN de "Victoria", un des êtres tridactyles de 60 cm. trouvé à Nazca. Je peux seulement dire qu'après une analyse stricte, il est de nouveau confirmé qu'il s'agit d'une nouvelle espèce qui jusqu'à présent n'avait pas été signalée par la science !. Il s'agit d'une étude QUANTITATIVE, numérique, mathématique et IRRÉFUTABLE réalisée dans des super-ordinateurs et des logiciels de pointe en génétique. CE NE SONT PAS DES OPINIONS, C'EST DE LA SCIENCE. Lien : dna-tridactilos/taxonom
ADN : 69 % INCLASSABLE - 8 % homo-sapiens
Reconstitution du possible aspect des Reptiles Humanoïdes
CHEZ LES OISEAUX, LE TIBIA ET LE PÉRONÉ tendent à fusionner et l'on pense que dans le futur cela pourrait devenir un seul os. comme on peut l'observer sur les êtres à trois doigts de Nazca. Lorsque nous examinons les membres postérieurs de tous les oiseaux, c’est-à-dire les pattes, et leur partie supérieure, nous trouvons le fémur qui est ancré à la hanche et, en bas, où nous nous attendons à trouver un tibia et un péroné indépendants, ils apparaissent dans un os semi-fixé l'un à l'autre, conférant à cet os une morphologie intermédiaire, ce qui donne à penser que, dans le futur, et après un bon nombre d'années d’évolution, il deviendra un os unique, simplifiant ainsi l’anatomie des pattes des oiseaux.
Deux autres têtes momifiées dans la diatomite avec les mêmes caractéristique
Type : Humanoïde – Espèce : Reptilienne Pas de cheveux ni de poils Grands yeux en amande Pas de pavillon auriculaire ni de conduit auditif. Mais une oreille moyenne et interne (cochlée) Pas de dents - Ouverture occipitale située au milieu de la base du crâne (Foramen magnum)
Analyse de VICTORIA (voir les détails de sa peau plus haut)
Type : Humanoïde Espèce : Reptilienne Genre : Possiblement mâle Taille : 56,00 cm Datation : entre 800 et 1100 ans (entre 919 et 1219 env. ap JC) Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges Doigts terminés par des griffes aplaties - mains en position de pronation Présence d’articulations 11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes Corps très bien conservé, avec peau apparente et porosité, couleur brune Cou possiblement rétractile
Trouvée en position assise et sans tête, les membres inférieurs et supérieurs à demi pliés. Pas de poils - Pas de cloison nasale - Pas d’oreille Pas de glande mammaire Pas de rotule, ni de genou - Pas de radius, ni de cubitus, ni d'os carpien Pas de tibia ni de péroné Locomotion plantigrade bipède (Pour plus de détails, voir la fiche générale sur les « Reptiles humanoïdes »)
Analyse de MARIA
Taille : 1,68 M Espèce : JAMIN PALPANENSIS Genre : femelle - Maria est une femelle car elle n'a pas de chromosome Y (masculin) - son ADN est "XX". Age probable : entre 40 et 45 ans Période de vie : 1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C. Trouvée en position fœtale, conservée dans de la Diatomite (terre de Diatomée). Son âge est estimé entre 40 et 45 ans à cause des sutures fusionnées et du mauvais état de sa dentition, de sa lésion cavitaire pulmonaire, et de l’écrasement vertébral de la septième vertèbre dorsale, en conséquence de quoi la mort serait une mort "naturelle".
On peut dire que Maria est de sexe féminin grâce aux mamelons détectés et à son bassin gynécoïde.. La capacité crânienne est de 19% supérieure à celle de l'humain, et la présence de trois doigts aux mains et aux pieds avec cinq phalanges
Corps très bien conservé, avec peau apparente de couleur grise Absence de cheveux et de poils - Absence de pavillon auriculaire - Grands yeux, petit nez Mains et pieds de 3 doigts - La main fait 20 cm de long - Doigts et orteils avec 5 phalanges Des empreintes digitales linéaires, horizontales - Présence d'articulations - Toutes les grandes articulations, comme celle des épaules, des coudes, des chevilles, sont intactes, complètement intactes - Sutures soudées - Mauvais état dentaire Les organes de cette "momie" se trouvent à l'intérieur du corps ainsi que le cerveau. Apparemment le corps a été momifié en utilisant des infusions et / ou des huiles à base de plantes, le corps a été recouvert d'un matériau à teneur en silice (Terre de Diatomée).
Description
Les mains : Articulation radio-carpienne et 5 phalanges, lesquelles possèdent toujours leurs capsules entre chaque intra-articulaire. Articulation radio-carpienne avec les 8 os qui forment le carpe. Nous avons sur la main droite le scaphoïde, le semi-lunaire, le pyramidale, le pisiforme nous allons le voir après et sur la seconde file il y a le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l'os crochu (os hamatum). Nous pouvons voir que sur les deux dernières phalanges du doigt inférieur qu’il y a une séparation. Ce n'est pas qu'il y ait eu une manipulation, cette partie a été brisée, le doigt a été cassé. La main gauche n'a pas souffert, nous voyons les capsules articulaires intactes et la corrélation entre chaque joint articulaire sont parfaites. La main gauche fait 20 cm.. La main droite 20,127 cm
Main droite
Main gauche
Coussinets et empreintes digitales horizontales
Les pieds : 5 phalanges aussi aux pieds. Longueur des pieds : le gauche : 22,773 cm et le droit : 22,055cm. La plante du pied fait 7 cm On voit le tibia, le péroné, l'astragale, le calcanéum, le cuboïde, et les os du métatarse. Mais le calcanéum au niveau du talon est très particulier, le tendon d'Achille est intégré dans l'os astragale, alors que chez l'humain le tendon est fixé sur le calcanéum. Pas de voûte plantaire. Os calcanéum sans tubulure. Les trois dernières phalanges des pieds sont très spéciales. Elles sont de petite taille et de forme irrégulière. La dernière phalange comporte un coussinet arrondi de 1,2 cm de longueur, avec des empreintes digitales droites et non circulaires comme chez l'humain. La dernière phalange est recourbée à 90°. Empreintes digitales aux mains et aux pieds. On voit une séparation de 9 mm entre les doigts des mains et des pieds de Maria, cela peut lui permettre un mouvement de pronation (vers l'intérieur) avec le doigt central (comme avec notre pouce). Il lui manque la phalange du doigt central du pied gauche. Il a aussi été cassé. Les phalanges distales sont adaptées de manière évolutive en étant positionnées à angle droit à 90 ° vers le bas, avec des "patins" aux extrémités d'environ 1,2 cm. de diamètre, ils servent de support et d'amortissement aux longs doigts pour le processus de la marche bipède, évitant ainsi le taraudage des doigts au sol, ils présentent des rainures et / ou empreintes digitales horizontales. La différence entre les pieds de l'Homo Sapiens et ceux de la momie Maria ne réside pas seulement dans la présence des trois orteils, mais aussi dans la longueur de ses phalanges ainsi que du calcanéum qui chez Maria est très gros et ne dispose pas de l’apophyse du calcanéum.
Comparaison de la morphologie du pieds d'un Humain et de celui de Maria
Capacité crânienne :
1650 cm3, alors que chez l'humain c'est de 1400 cm3 - soit 19 % plus grande que l'humain - Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales. Restes de l’encéphale encore à l’intérieur de la cavité crânienne. Le degré de conservation est tel que si nous mettons du côté droit une image, nous voyons qu'au centre il y a une division qui s'appelle la faux du cerveau (falx cerebri), qui est une partie de la dure-mère. La dure-mère est une membrane très fine qui sépare le lobe gauche du lobe droit, et à la moitié elle sépare l'encéphale du cervelet. Elle est parfaitement conservée.
La tête : Les globes oculaires très grands mais en les mesurant nous voyons que c’est une orbite tout à fait normale. Elle mesure 41mm, ce qui est normal. Les dents sont en mauvais état mais toujours là. La troisième molaire indique qu'il s'agit d’un individu âgé. Déplacement de la mandibule vers l'avant. C'est une subluxation de l'articulation temporo-mandibulaire droite, qui s'est déplacée de plus ou moins 9 mm, ceci par effet de la gravité, ce qui signifie que cette luxation est post-mortem. La normalité serait qu'elle s'imbrique bien dans la cavité de l'os temporal.
Colonne vertébrale :
12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
Mais la colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain. Fracture au niveau de D7 (une fracture par écrasement avec une réaction sclérotique, ce qui indique qu'après cette fracture Maria a continué à vivre), et hernie discale L3/L4 et L4/L5 se référant aux vertèbres lombaires. C'est ce qu'on appelle une discopathie ou douleur discale. Lésion pulmonaire cavitaire Bassin ginécoïde - Traces de possibles mamelons et d’une cicatrice ombilicale. Elle a un larynx, une trachée, un cœur et le diaphragme. Les articulations des épaules, des genoux et des hanches, elles n'ont pas été manipulées. On compte 7 vertèbres cervicales, 12 dorsales. 5 lombaires et 4 ou 5 formant le sacrum coccyx qui ne sont pas représentées à cause de la détérioration des os.
Dans la cavité abdomino-pelvienne la seule chose qui subsiste sont des restes momifiés d'intestins et les fameux coprolithes. Les coprolithes sont des excréments desséchés, pétrifiés. En faisant un examen de ces coprolithes nous pourrions savoir de quoi s'alimentait Maria.
Partie intestinale de Maria, intestins et coprolithes
Le système reproducteur est manquant, peut-être à cause de sa position assise qui aurait détérioré cette partie, ou bien comme l'a suggéré le Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich, un animal aurait pu l'arracher post-mortem (traces de blessures causées par de longues griffes dans le bas du dos – voir photo ci-dessous).
Possibles mamelons
Les os : la densité a été mesurée en unités "Scan field" (ou Hounsfield ) pour voir que toutes les structures étudiées correspondent bien à des os, qui sont plus ou moins entre 1200 et 1400 unités Scan field .
Os creux comme les autres entités de 60 cm
Peau de Maria : La peau de Maria a les mêmes caractéristiques que celle de Victoria et des autres entités de 60 cm, de couleur grise avec des protubérances, de type reptilien.
PIEDS DE MARIA PIEDS D'UN HUMAIN
Datation C14
1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C.
Analyses ADN
Biotecmol - Homo Sapiens - 33,6% PhD SK / Biotecmol - Homo Sapiens - 33,68% Bactéries et autres génomes – 18,42% - Non classifié - 47,90% Recherche réalisée en juillet 2018 sur NCBI sur la base des fichiers Fastq fournis par Biotecmol.
Université de St Petersbourg Homo Sapiens – 23,8% Non classifié – 76,2%
Conclusions
Plusieurs tests au Carbone 14 ont donné à Maria un âge de 1750 ans (+ - 30 ans) – soit 269 ap J.C.
Tous les scientifiques ont confirmé qu'ils n'avaient pu déceler aucun indice de fraude et qu'il s'agissait bien d'une entité biologique ayant vécu. Si une manipulation (ou fraude) avait eu lieu il aurait fallu qu'elle ait été pratiquée il y a plus de 1750 ans et même ainsi ils auraient dû trouver des "marques" de ces "opérations" sur les Scanners qui révèlent le moindre minuscule détail de suture, même si c'était fait avec un produit chimique ou en microchirurgie.
Les professionnels qui ont examiné le corps de "Maria" ont recensé plusieurs anomalies par rapport au corps humain :
1- Les mains et les pieds sont tridactyles, ils possèdent trois doigts à chaque main et trois "orteils" à chaque pied. 2- de plus les doigts des mains possèdent cinq phalanges, à l'instar de l'humain qui n'en a que trois et deux au pouce. 3- Les mains sont plus larges que les nôtres et leurs os sont beaucoup plus robustes. Absence d'os métacarpien, paume formée uniquement par des carpes. Les mains font 20 cm de longueur.
4- Les ongles de "Maria" couvrent près de 90% de la dernière phalange alors que chez l'humain l'ongle ne couvre qu’environ 50% de la phalange. Les doigts possèdent des empreintes digitales.
5- La dernière phalange des "orteils" des pieds est recourbée à 90° vers le bas et c'est sur cet appui et celui du talon que reposait le bipède. Absence de métatarse. Longueurs : plante du pied = 7cm ; phalanges = 6cm, 5cm, 3cm, 1cm et 1cm. Longueur des orteils = 16 cm. Longueur totale du pied (plante et orteils) = 23cm.
6- Ces extrémités recourbées des "orteils" possèdent des "coussinets" (diamètre 1,5cm) avec des empreintes digitales différentes des nôtres, elles sont en lignes presque horizontales (très légèrement courbées) et non pas en spirale.
7- Le crâne de "Maria" est plus allongé que le nôtre et ne présente aucune marque d'une élongation provoquée (comme lorsque, appliqué sur des enfants, dans certaines traditions pré-Incas à l'aide de planchettes et de ruban pour les plaquer et permettre ainsi à la boite crânienne de se développer vers le haut) car cette pratique laisserait inévitablement des marques sur le crâne ou tout au moins une planification de certaines parties, alors que chez "Maria" son crâne présente une parfaite harmonie dans sa courbure.
8- Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales.
9- La colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain.
10- Elle présente 12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
11- La peau qui apparaît au niveau du coude ne présente pas les caractéristiques de celle d'un humain.
12- Absence de cheveux et de poils.
13- Absence de pavillon auriculaire mais présence du canal auditif avec oreille moyenne et cochlée.
14- Présence de tétons, mais on ne voit pas l’ombilic.
15- Orbites oculaires de 5cm. Nez très fin, plus petit que chez l'humain. Grosses lèvres, plus grosses que chez l'humain. Taille de la face 31 cm.
ANALYSE d'ALBERT
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne Genre : Mâle Taille : 60,50 cm Anatomie identique aux autres individus de 60 cm environ (voir description du Reptile Humanoïde) Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges Présence d’articulations 8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes Spécimen en croissance Possiblement atteint d’une maladie osseuse Présence d’un implant métallique biocompatible, insérée à la hanche droite (Greffe autologue d’après les radios du Dr Salas Alfaro) Cou possiblement rétractile
La base de la tête du Reptile humanoïde, le long de sa partie centrale est droite avec une réduction vers la région occipitale, il possède un foramen magnum de forme rectangulaire, légèrement en arrière du centre. Il est possible d'observer une structure qui correspond à la cochlée et à l'oreille moyenne, situé dans le tiers antérieur, que l'on peut apprécier dans toutes les têtes des spécimens analysés.
Peau d’Alberto
L'implant de la hanche
La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d’argent. La composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec les compositions-type répertoriées pour des objets d’époque précolombienne conçus à partir d’un alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que l’objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d’alliage cuivre-argent par battage à froid, technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d’époque précolombienne.
Concernant la biocompatibilité d’un implant conçu à partir d’un tel alliage, compte-tenu de l’activité chimique du cuivre et de l’argent selon le contexte (pH, …), les conséquences histologiques sur un organisme vivant seraient incertaines et requiert l’avis d’un spécialiste. Source : the-alien-project.com LC-Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf- Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation Novembre 2018
Les examens pratiqués sur les momies ont été effectués ou/et étudiés par :
Dr. Raymundo Salas Alfaro; Dr. Edson Salazar; Dr. Julio Espero Torres; Dr. David Hermosa Gongo; Dr. Ramiro Hermoza Rosell et le Dr. Renan Ramirez Vargas; médecins, chirurgiens et radiologues de Cusco au Pérou; Dr Jose de Jesus Zalce Benitez, expert en Médecine légale, Diplômé de l'École Nationale d'Anthropologie et d'Histoire (Sipaz), Chef du Département de Médecine légale de la Marine Nationale Mexicaine; et Jose de la Cruz Rios, Biologiste au Secrétariat de la Santé de Campeche au Mexique; Dr. M.K Jesse, médecin radiologue à l'Université Colorado Hospital aux USA; Natalia Zaloznaja, Chef de l'Imagerie Médicale à l'Institut Médical MIBS; ainsi que le Dr. Konstantin Korotkov, Professeur à l'Université de Saint Pétersbourg, Président de l'Union Internationale de Médecine et de Bioelectrographie appliquée, tous deux résidents de Russie.
LES IMPLANTS retrouvés sur les momies
SYNTHÈSE DE L'ANALYSE DES RAPPORTS INGEMMET par Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation Novembre 2018
Composition concordant avec un objet d’époque précolombienne Présence d’oxydation et d’altération prouvant son ancienneté.
L’échantillon analysé est composé à 85 % de cuivre Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne. Avec présence d'oxydation et d'altération attestant son ancienneté. Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits de l'implant pectoral de Josephina, parmi lesquels trois sont prélevés pour les analyses effectuées, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. En complément, une cartographie en EDS des éléments carbone, oxygène, silicium, soufre, chlore, calcium et cuivre est réalisée sur un des trois fragments. Cet échantillon est composé en majorité de cuivre métallique (85% massique en moyenne pour les zones les plus pures), dont l'altération partielle est observée à travers la formation de produit d'oxydation comme la cuprite ou la ténorite, ou de minéraux d'altération comme l'atacamite ou la brochantite. Ce cuivre contient par ailleurs des impuretés (fer, soufre, ...), qui pourraient être caractéristiques du minerai dont a été extrait le cuivre utilisé pour la conception de l'implant. Ces impuretés pourraient également donner des indications quant au mode d'extraction employé, notamment à travers la présence de soufre (extraction possible à partir de sulfures type chalcocite). Les concentrations de soufre et de chlore caractéristiques des produits d'altération observés tels que l'atacamite pourraient indiquer une altération ayant opérée dans un lieu à l'atmosphère riche en chlore et/ou en soufre, tels qu'un environnement côtier ou volcanique, ou dans un environnement pollué (usine, gaz d'échappement). On observe également pour cet échantillon une signature chimique minérale (carbonate, silicates, sels), qui peut être la conséquence d'un apport exogène (gangue qui enveloppe l'implant) ou de cristallisations in situ à la faveur de certaines conditions. Dans le contexte d'étude, cet échantillon est tout à fait concordant en termes de composition chimique (cuivre dont la pureté – perfectible - est tout à fait compatible avec les méthodes de raffinage connues et accessibles à l'époque) avec un objet d'époque précolombienne. Par ailleurs, les produits d'oxydation et d'altération observés mettent en jeu des processus lents et contribuent ainsi à corroborer l'ancienneté de l'objet dont est extrait l'échantillon, sous réserve que celui-ci n'ait été exposé à un environnement très agressif (pollution atmosphérique). La signature minérale observée irait également dans ce sens, en cas de cristallisation in situ (processus lent). Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
2 - Implant métallique annulaire d'une main tridactyle .
16% de chrome 5% de carbone 78 % de fer Ne correspond pas à un objet d'époque précolombienne : civilisations ne maîtrisant pas l'extraction et le travail du fer.
Cet échantillon est un fragment extrait d'un implant annulaire prélevé sur la main tridactyle remise par Paul Ronceros à l'institut INKARI-CUSCO, effectués avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire est également réalisée sur une zone de ce fragment.
Cet échantillon est composé d'un alliage fer-carbone (moyenne 78% de fer pour 5% de carbone) riche en chrome (moyenne 16%), cependant l'analyse EDS ne permet pas de trancher entre un acier (inoxydable) ou une fonte (blanche). On note que si cet alliage ne contient pas de nickel dans sa composition intrinsèque, on le détecte par contre très localement sur une des zones d'analyse dans une concentration presque pure (moyenne 85%), ce qui indiquerait l'existence d'une couche de passivation au nickel pour cet échantillon (hypothèse à considérer en dehors d'un possible apport exogène, avec la pollution par les outils ayant servi à l'extraction, par exemple). Nous aurions donc pour cet échantillon un acier ou une fonte, peut-être recouvert en surface d'une couche de nickel, plausiblement déposé par galvanoplastie (bain chimique ou électrolytique). On observe également une signature chimique minérale pour cet échantillon, qui est probablement d'origine exogène (gangue minérale).
Dans le contexte d'étude (en dehors des considérations de compositions élémentaires : acier ou fonte, galvanoplastie au nickel, etc.), le plus gros "problème" que pose cet échantillon est qu'il n'existe pas à ce jour parmi les objets manufacturés d'époque précolombienne répertoriés, d'objets constitués d'alliage à base de fer. La principale raison est purement technique : les civilisations de cette époque ne maîtrisaient pas les techniques requises pour l'extraction et le travail du fer. L'unique alternative pour expliquer cette "anomalie" dans l'hypothèse d'un objet élaboré par une civilisation précolombienne serait la conception de l'objet source dont est extrait l'échantillon à partir de fer natif d'origine météoritique (observé dans d'autres civilisations antiques), de composition chimique équivalente.
60% d'or 30% d'argent 10% de cuivre Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne. Alliage connu sous le nom de tumbaga.
Cet échantillon est composé majoritairement d'un alliage or-argent (et dans une moindre mesure, cuivre), dans une proportion moyenne d'environ 60% d'or pour 30% d'argent (environ 10% de cuivre), hors hypothèse sur éventuelle technique de manufacture de l'objet source (voir ci-après). On observe la présence d'autres éléments comme notamment le fer présent sous forme d'inclusion si on se réfère à la cartographie élémentaire, ce qui pourrait être une indication quant à la source de l'alliage utilisé pour la fabrication de l'objet dont est extrait l'échantillon 04 : il pourrait s'agir d'un alliage or-argent natif, ce qui est compatible avec la minéralogie péruvienne. Il est par ailleurs possible qu'une technique de finition type « dorure par appauvrissement » ait été appliquée à l'objet, auquel cas les valeurs des concentrations massiques mesurées ne seraient que représentatives de la proche surface de l'échantillon et l'alliage probablement proportionnellement plus riche en cuivre (type tumbaga). On retrouve ici également une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), conséquence soit d'un apport exogène (gangue minérale qui enveloppe l'échantillon), ou de cristallisations in situ (processus lents à la faveur de certaines conditions qui témoignerait de l'ancienneté de l'objet source).
Dans le contexte d'étude, cet alliage or-argent est tout à fait concordant en termes de composition avec les alliages utilisés à l'époque précolombienne. La présence d'impuretés tel que le fer en inclusion va également dans ce sens, plausible indicateur de l'utilisation d'un alliage or-argent natif pour la conception de l'objet, en l'absence de procédés complètement maîtrisés par les métallurgiste précolombien pour l'élaboration de ce type d'alliage. Il est également plausible qu'une finition type "dorure par appauvrissement" ait été appliqué à l'objet source de l'échantillon, dont l'alliage serait alors un alliage or-argent-cuivre caractéristique de nombreux objets d'époque précolombienne et significativement plus riche en cuivre en proportion massique, le tumbaga. Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits d'un implant (en forme de disque) d'une des mains tridactyles. Trois fragments sont prélevés de cet échantillon pour les analyses. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
4 - Implant métallique de la hanche d'Alberto
50% d'argent 25% de cuivre Concordant avec les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne.
Cet échantillon est un fragment extrait de l'implant de la hanche droite d'Alberto, qui a la géométrie d'un disque si l'on se réfère aux photographies, radiographies et scanners disponibles effectués, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire (chlore, cuivre, argent) est également présentée en introduction.
Cet échantillon est constitué d'un alliage cuivre-argent, dans un rapport de proportion massique allant d'environ 10% de cuivre pour 90% d'argent à 10% d'argent pour 80% de cuivre, selon la zone analysée. La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d'argent. Ces disparités sont conditionnées par plusieurs facteurs, dont les principaux sont la composition de l'alliage utilisé pour la fabrication de la pièce (rapport cuivre/argent qui va favoriser certaines microstructures), la méthode de manufacture utilisée (coulage, battage à froid, finition de la pièce, etc.) conjointement à l'orientation de l'échantillon lors des analyses (conditionnée elle aussi par son extraction de l'objet source). On retrouve encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), qui pourrait par ailleurs être aussi d'origine organique du fait des éléments mis en jeu, notamment avec le phosphore qui entre dans la composition des os. Dans le contexte d'étude, la composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne conçus à partir d'un alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que l'objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d'alliage cuivre-argent par battage à froid, technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d'époque précolombienne. Concernant la biocompatibilité d'un implant conçu à partir d'un tel alliage, compte-tenu de l'activité chimique du cuivre et de l'argent selon le contexte (pH, ...), les conséquences histologiques sur un organisme vivant seraient incertaines et requiert l'avis d'un spécialiste. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
Note: L'implant n'est pas bio-compatible avec l'humain, mais rappelons-nous que nous avons à faire à une autre espèce que l'Homo sapiens, cela demande donc des examens plus approfondis avant de tirer des conclusions.
5 - Objet métallique sous forme de croix
73% d'or
18% de cuivre 7% d'argent Alliage caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, le tumbaga.
Cet échantillon se compose de deux fragments extraits d'un objet métallique en forme de croix.Cet échantillon présente la composition chimique d'un alliage or-cuivre (avec un peu d'argent, de 5 à 7% massique en moyenne), appelé tumbaga. Le rapport de concentration massique moyen or/cuivre varie d'environ 8% de cuivre pour 85% d'or à 26% de cuivre pour 65% d'or, selon les zones analysées. Les analyses montrent encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates), possiblement induites par une pollution exogène. Discussion des résultats dans le contexte d'étude Dans le contexte d'étude, l'alliage or-cuivre(-argent) qui compose cet échantillon est caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, il porte le nom de tumbaga. De nombreux objets élaborés à partir de cet alliage ont été répertoriés. Il est par ailleurs intéressant de noter que les disparités de mesure de concentration seraient la conséquence d'une technique de finition d'objets élaborés en tumbaga, la dorure par appauvrissement, technique régulièrement mise en œuvre par les métallurgistes de l'époque précolombienne afin d'embellir les objets conçus. L'hypothèse de l'application de cette technique sur cet objet est en outre corroborée par la texture de surface poreuse des zones non altérées, texture poreuse observable sur l'image MEB réalisée en contraste topographique. Cet échantillon présente donc de nombreux indices qui attestent d'une plausible origine antique. Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
6 – Roche
Roche sédimentaire de type grès. Présence possible de diatomées. Concordant avec la géologie du Pérou.
Remarques complémentaires
En ce qui concerne l'ensemble des échantillons métalliques, on peut souligner qu'aucune trace d'arsenic (As) n'est mesurée, d'après les microanalyses chimiques en EDS. Ceci peut être un indicateur important quant à l'origine des objets dans le contexte d'étude (époque précolombienne) : l'arsenic, utilisé pour la première fois par la culture Moche, était parfois adjoint en tant que durcisseur dans les alliages, on le retrouvera de ce fait dans plusieurs objets d'époque précolombienne. On note aussi que cet élément peut être présent ou absent des minerais sources servant à l'élaboration des alliages utilisés, ce qui peut être un lien quant aux lieux d'origines des minerais servant à concevoir les alliages (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú), conjointement à la culture ayant conçu les objets, outre les méthodes d'extraction des minerais et de fabrication mises en œuvre. La même observation peut être faite pour l'élément étain Sn, pour lequel aucune trace n'a été détectée au cours des microanalyses élémentaires des différents échantillons métalliques. Ce métal, utilisé pour la fabrication du bronze (alliage cuivre-étain), n'a été utilisé significativement par les civilisations précolombiennes qu'à partir de la fin de la culture Moche/début de la culture Inca (soit il y a environ 1400 ans), sur la base des analyses de compositions chimiques disponibles et effectuées sur plusieurs objets répertoriés datant de ces époques (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú). L'étain dans les alliages antérieurs à cette période n'est présent qu'à titre d'impureté (en source des minerais utilisés). Cet indicateur, l'absence d'étain dans les différents échantillons métalliques analysés, peut être un indicateur fort quant à la période de fabrication des objets sources correspondants dans le contexte d'étude (civilisations précolombiennes). Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
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PAGE 1 : Les début de l'affaire, premières photos des momies.
"La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"
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L'exploration de la grotte pourrait apporter un éclairage nouveau sur l'antique civilisation Maya [Capture Youtube]
En connectant deux réseaux de cavernes connus des chercheurs, une équipe de plongeurs a découvert ce qui serait la plus vaste grotte sous-marine de la planète.
Une équipe de chercheurs du Gran Acuifero Maya (GAM), un projet consacré à l'étude et à la préservation des eaux souterraines de la péninsule du Yucatán (sud-est du Mexique), a pu identifier cette cavité, qui s'étale sur près de 347 km de galeries et de cavernes, après des mois d'exploration d'un labyrinthe de canaux sous-marins, selon un communiqué relayé par Reuters.
Un chercheur polonais tente de déchiffrer un texte unique de l'île de Pâques 25 artéfacts avec des inscriptions rongo-rongo ont été conservés jusqu'à notre époque. Le rongo-rongo est un système de signes que l'on ne trouve que sur l'Île de Pâques; aucun autre peuple polynésien n'a inventé l'écriture.
"Il y a de nombreux indices qui laissent penser que l'Île de Pâques est l'un de ces rares endroits dans le monde où l'écriture a été inventée indépendamment d'autres systèmes de notations. La raison pour laquelle elle été créé dans un lieu aussi isolé reste un mystère" rapport le Dr Rafal Wieczorek de la faculté de chimie à l'Université de Varsovie. Déchiffrer les signes est d'autant plus difficile que seulement quelques personnes dans le monde y travaillent, et pas à temps plein. En effet, pour tous les intervenants, il s'agit d'un projet parallèle.
"Afin de faire avancer les choses, il est nécessaire de mettre en place une équipe de recherche qui se concentrerait uniquement dessus" estime le Dr Wieczorek. Spécialiste en astrobiologie, il a rejoint il y a quelques années le groupe international qui cherche à déchiffre le rongo-rongo. Il admet qu'il consacre de plus en plus de temps à cette passion; il est d'ailleurs l'auteur de plusieurs articles sur le rongo-rongo publiés dans des revues scientifiques.
Malgré de nombreux points d'interrogation, les chercheurs qui se sont penchés sur la mystérieuse écriture ont établi plusieurs faits.
Tout d'abord, on sait que le rongo-rongo était utilisé par l'aristocratie vivant sur l'île, ce n'était pas une écriture utilisée dans la vie quotidienne.
Ensuite, les phrases se lisent dans le système inverse du boustrophédon (le boustrophédon désigne une écriture dont le sens de lecture change alternativement d'une ligne sur l'autre): le support devait être tourné pendant la lecture.
Comment cela a-t-il pu être déterminé alors que l'écriture n'a pas encore été déchiffrée ?
"Les séquences de caractères se répètent sur plusieurs tablettes. Dans certains cas, ils vont à la ligne de texte suivante, et dans d'autres, ils continuent sur une ligne." explique le chercheur.
Il y a plusieurs indications montrant que le rongo-rongo peut être lu de manière similaire aux hiéroglyphes égyptiens. Dans ce système, l'écriture est basée sur des logogrammes (des signes représentant ce qu'ils décrivent ou des mots métaphoriquement liés), des phonogrammes (caractère écrit qui est la transcription arbitraire d'un son) et des déterminants (symboles qui clarifient la signification du mot précédent écrit phonétiquement).Contrairement aux hiéroglyphes égyptiens, où il y en a à peu près 1000, le rongo-rongo en comprend beaucoup moins. Les chercheurs estiment leur nombre à tout juste 600.
Parmi eux, il y a des signes dépeignant des personnages humains avec des bras démesurément longs dans diverses poses, mais aussi des animaux, tels que des oiseaux, des poissons, des requins, des souris et des rats.
Il y a aussi un grand groupe d'environ 200 caractères simples qui sont difficiles à identifier. Ils ressemblent à des outils ou des armes.
Il reste cependant encore beaucoup de points d'interrogation.
Le séquençage du génome d'un fossile humain d'il y a 11 500 ans
Il est mort âgé de six semaines il y a 11 500 ans, mais il a beaucoup à dire. L'analyse de l'ADN du fossile d'un bébé trouvé en Alaska a permis de préciser comment les premiers humains sont arrivés sur le continent américain, selon une étude publiée mercredi.
Les restes de la petite fille ont été découverts en 2013 au parc archéologique Upward Sun River en Alaska. Le bébé a été baptisé Xach'itee'aanenh t'eede gaay, ou "le petit de l'aube", par la communauté indigène locale. Pour les scientifiques, c'est USR1, en référence à l'endroit où il a été trouvé.
Elle avait été enterrée à côté d'une jeune fille encore plus jeune, qui a également été étudiée par l'équipe scientifique composée de chercheurs des universités de Copenhague, Cambridge et Alaska.
Une grande partie de la communauté scientifique s'accorde à estimer que les premiers humains qui ont marché sur le sol du continent américain appartenaient à des groupes venus d'Asie à la fin de la dernière période glaciaire (Pléistocène supérieur).
À ce moment de la glaciation, le niveau des océans avait chuté et un pont terrestre correspondant au détroit de Béring actuel permettait de passer de la Sibérie à l'Alaska.
Mais il y a encore beaucoup de questions sur la date d'arrivée de ces populations et sur la façon dont elles ont occupé le continent américain.
L'équipe de chercheurs, dont le travail a été publié dans la revue Nature, a réussi à séquencer le génome complet du bébé USR1.
Ils ne pouvaient cependant pas séquencer celui du nouveau-né en raison du manque d'échantillons d'ADN. Mais les analyses génétiques ont permis de montrer que les deux filles étaient apparentées et étaient probablement les premières.
Le "petit de l'aube" a donné une grande surprise aux enquêteurs: son patrimoine génétique ne correspond pas aux deux branches connues des premiers Amérindiens (appelés du "nord" et du "sud").
Les scientifiques ont découvert qu'il appartenait à un groupe jusqu'alors inconnu, qu'ils ont appelé "vieux Beringuians".
"Nous ne savions pas que cette population existait", explique Ben Potter, professeur d'anthropologie à l'Université de l'Alaska à Fairbanks.
D'autres analyses nous ont permis de fournir "le premier test génétique direct selon lequel les ancêtres des Amérindiens proviennent tous de la même population arrivée par un seul mouvement migratoire" durant l'ère glaciaire, selon l'étude.
Cette vague de migration aurait pu avoir lieu il y a plus de 20 mille ans, a indiqué l'université de Cambridge dans un communiqué.
Grâce à des analyses ADN, des scientifiques découvrent qu’un changement fondamental a eu lieu en Europe il y a près de 15 000 ans – les chasseurs-cueilleurs qui peuplaient le continent ont en effet été remplacés par un groupe ethnique qui venait d’une autre région du globe. Cette découverte pourrait ainsi dévoiler un chapitre encore méconnu de l’histoire de l’humanité.
Des scientifiques appartenant à l’institut Max Planck, en Allemagne, ont mené une recherche approfondie sur l’ADN issu d’ossements et de dents ayant appartenu à des individus qui vivaient en Europe entre le Pléistocène supérieur et l’Holocène inférieur, soit une durée qui s’étale sur près de 30 000 ans. Les chercheurs ont ainsi travaillé sur les génomes de près de 35 chasseurs-cueilleurs ayant vécu en France, en Belgique, en Italie, en Allemagne, en Roumanie et en République tchèque.
La comparaison des échantillons d’ADN prélevés sur les restes de ces différents individus indique d’ailleurs clairement qu’ils partageaient tous un patrimoine génétique commun. Cependant, les caractéristiques génétiques dont ils disposent sont absentes de l’ADN des Européens modernes… L’haplogroupe M auquel ils appartiennent n’est en effet plus représenté aujourd’hui parmi les populations qui occupent le Vieux Continent !
Johannes Krause, qui travaille au sein du célèbre institut, a déclaré : « Nous avons mis au jour un chapitre complètement inconnu de l’histoire de l’humanité : un changement majeur dans la population européenne à la fin de la dernière période glaciaire. »
Auparavant, les scientifiques pensaient que les populations non africaines s’étaient dispersées progressivement à travers la planète au cours de l’histoire. Néanmoins, la découverte des chercheurs de l’institut Max Planck – grâce aux analyses ADN poussées ayant été menées sur plusieurs ossements – remet complètement en question cette théorie. Elle suggère que toutes les populations non africaines se seraient en fait rapidement disséminées, sur un laps de temps très court et à partir d’un seul et même groupe, il y a environ 50 000 ans.
Les scientifiques estiment également que ces éléments les mettent sur la piste d’une découverte encore plus importante : il y a environ 14 500 ans, après la fin de la dernière période glaciaire, le groupe ethnique qui peuplait alors l’Europe connut une modification majeure et particulièrement brutale.(...)
Des chercheurs révèlent l’existence d’une nouvelle espèce de dinosaure qui vivait dans la région de la Mongolie. De la même famille que les vélociraptors, les données physiologiques de l’animal interpellent les scientifiques. Un animal tellement extraordinaire que les experts pensaient au début qu’il s’agissait d’un faux.
Des pattes de vélociraptor, un cou de cygne et des ailes de pingouin : des chercheurs révèlent l’existence d’une nouvelle espèce de raptors « très très bizarre », aussi à l’aise sur terre que dans l’eau, une première pour un dinosaure.
« Il faut imaginer un mélange entre un vélociraptor, une autruche et un cygne avec un museau de crocodile et des ailes de pingouin », décrit Paul Tafforeau, paléontologue au Synchrotron européen de Grenoble (ESRF), coauteur de l’étude. « Il fait un peu extraterrestre », ajoute le chercheur.
Le surprenant petit prédateur, nommé « Halszka » pour Halszkaraptor escuilliei, vivait en Mongolie au Crétacé, il y a environ 72 millions d’années, selon une étude publiée mercredi dans Nature.
« Halszka » appartient à la famille des droméosaures, dont il partage la lignée avec le Vélociraptor, le prédateur effrayant des films Jurassic Park. Il en a la queue, mais dans une version plus courte, et les pattes arrière. « Des pattes de bipède capables de courir », précise le chercheur.
Il en a aussi hérité la fameuse « griffe tueuse », une griffe de la patte arrière très développée qui permet à tous les droméosaures d’égorger leurs proies.
Un animal aussi à l’aise sur l’eau que dans l’eau
Plus étrange : ce petit dinosaure d’un mètre vingt environ possédait aussi certaines caractéristiques de prédateurs aquatiques : des dents et un museau de crocodile et un très long cou ressemblant à celui du cygne.
Selon les chercheurs, l’animal, en embuscade, le repliait en S puis le projetait très rapidement, bouche ouverte, au passage des poissons. Source : .ouest-france
En Egypte, une gigantesque cavité de plus de 30 mètres de long a été détectée et confirmée de manière irréfutable au cœur de la pyramide de Kheops par la mission ScanPyramids. Une découverte publiée ce 2 novembre 2017 dans la revue Nature.C'est la plus grande découverte réalisée dans Kheops depuis le Moyen Age !", s'exclame Mehdi Tayoubi. Et nous sommes loin d'un effet d'annonce. Dans un article publié par la revue Nature ce jeudi 2 novembre 2017, la mission internationale ScanPyramids, dont il est le co-directeur, annonce en effet la détection d'une gigantesque cavité au cœur de la pyramide de Kheops. Située juste au–dessus de la grande galerie, entre 60 et 70 mètres de hauteur, elle affiche une section et une taille comparables à cette majestueuse structure architecturale, avec 30 mètres de long minimum.
ScanPyramids a été lancée en 2015 par l'Institut HIP et l'Université du Caire. Son objectif : sonder de manière non destructive les grands monuments funéraires de la 4e dynastie. Ceci notamment grâce à une technologie de pointe, la muographie, qui permet de " radiographier " les monuments à l'aide de particules cosmiques. Cette approche a déjà abouti à deux découvertes en 2016. Une cavité d'environ 9 m2 située sur l'arête nord-est de la pyramide, repérée par des télescopes déployés à l'extérieur par le CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives). Et une autre, située derrière les chevrons monumentaux visibles sur la face Nord de la pyramide, " photographiée " depuis l'intérieur par des films enduits d'une émulsion chimique mis au point par l'équipe du professeur Morishima de l'université de Nagoya (Japon).
Ces résultats encourageants ont convaincu ScanPyramids de déployer plus largement ses dispositifs. Et c'est à nouveau grâce aux plaques à émulsion des Japonais qu'a été visualisé l'énorme vide baptisé ScanPyramids Big Void (SP-BV). Les plaques ont été positionnées dans la chambre dite de la Reine, à la fois sur le sol et dans une niche au fond de la pièce, de manière à " observer " sous deux angles le massif de pierres au-dessus d'elles. Exposés aux muons durant plusieurs campagnes successives de 49 à 74 jours, les films ont ensuite été développés et analysés à l'université de Nagoya. Est alors apparue sur les écrans des scientifiques une image stupéfiante : une ligne matérialisant un excès de muons quasiment identique à celle qui signale la grande galerie. Nous avions déjà aperçu ce vide lors de tests menés courant 2016, confie Mehdi Tayoubi. Mais il semblait tellement énorme que nous voulions le vérifier grâce à d'avantage de données". Le résultat a dépassé leurs attentes ! Les plaques japonaises ont “vu” SP-BV avec un taux de certitude supérieur à 5 sigma. Autrement dit, la probabilité que les observations soient dues au hasard est de 1 sur 3,5 millions. Ce qui correspond au standard des découvertes en physique des particules. découvertes en physique des particules.
L'équipe, pourtant, veut aller plus loin. Un deuxième dispositif est mis en œuvre : le scintillateur à muons du KEK (High Energy Accelerator Research Organization), équivalent japonais du CEA, positionné dans la chambre dite de la Reine durant plus de 200 jours. Nouvelle confirmation à 5 sigma ! Mais les points de vue d'observation à l'intérieur de la pyramide sont trop limités pour réaliser une triangulation précise. "C'est alors que nous avons fait un pari, raconte Mehdi Tayoubi. Le CEA disposait toujours de 2 télescopes sur le terrain, déployés en direction des arêtes. Il leur restait seulement deux mois d'autonomie en gaz. Nous nous sommes dit que si le vide que nous avions observé était si important qu'il le semblait, ils pourraient le voir depuis l'extérieur."
La découverte de dents âgées de 9,7 millions d'années a laissé les archéologues allemands pantois, car elles semblent appartenir à une espèce qui est apparue sur notre planète plusieurs millions d'années plus tard.
Un groupe d'archéologues allemands a découvert dans l'ancien lit du Rhin des dents âgées de 9,7 millions d'années. Elles appartiendraient à un australopithecus afarensis, dont la dépouille n'avait jamais été découverte auparavant en Europe, annonce la Deutsche Welle.
Le chef du groupe d'archéologues, Herbert Lutz, a déclaré que la découverte avait été faite il y a un an, mais que les chercheurs ne pouvaient l'annoncer qu'après avoir obtenu une confirmation de l'âge. Ce sont les restes d'une espèce disparue d'équidé retrouvés près des dents en question qui ont aidé les chercheurs à déterminer leur âge.
Des Vikings musulmans? Découverte stupéfiante d’archéologues suédois
Les chercheurs soulignent qu'auparavant, aucuns restes de cette espèce d'Hominidé n'avaient été retrouvés en Europe et en Asie. L'australopithecus afansis le plus connu est Lucy, dont les restes ont été découverts en Ethiopie. Lucy est cadette de 4 millions d'ans de cette nouvelle découverte.
«Il s'agit d'un énorme succès, mais aussi d'une grande énigme», a déclaré Lutz au sujet de cette nouvelle. Selon lui, après avoir été étudiées, les dents seront remises au musée d'histoire naturelle de la ville de Mainz.