• La machine à voyager dans le temps

    Sciences de l'univers 

    LA MACHINE A VOYAGER DANS LE TEMPS

    Il est difficile de rester raisonnable quand on s’attaque au mystère du Temps.

    Quelqu’un a dit : le Temps c’est Dieu, car il est infini, éternel, inconnaissable et tout-puissant.

    Les dimensions, les notions, tout ce qui est matériel et tout ce qui ne l’est pas, tout peut disparaitre, sauf le Temps qui défie le néant lui-même. Le Temps bleu ou noir, indestructible et patient, tissé de silence et d’inaccessibilité, indomptable.

    La machine à voyager dans le temps

    Dans le domaine scientifique, le Temps est une inconnue qu’on interprète et accommode avec toujours, en fin de compte, une erreur inévitable.

    Nous ne savons absolument pas en quelle année nous vivons, 19XX-19YY-19ZZ  sont des approximations appuyées sur une incertitude majeur : la date de naissance du Christ.

    Le Voyage dans le Temps appartient à certaines nécessités mythiques comme l’amour, le rêve, le désir de voler dans l’espace, de gouverner le monde, de punir les méchants et de récompenser les bons.

    De tous ces vieux désirs, il est le plus tenace et le mieux ancré car dans tout les temps, passés, présents et futurs, il n’y eut, il n’est et il ne sera jamais un homme n’aspirant à un retour sur la chaine de vie.

    Redevenir jeune, revenir seulement une heure, une minute en arrière, miracle auquel s’accroche le malheureux qui tombe dans un précipice, qui voit bondir sur lui l’auto meurtrière ou s’écrouler, frappé à mort, l’ami qu’il aurait pu sauver.

    Le Voyage dans le Temps est possible, mais, et c’est là ce qui prouve son caractère absolument exceptionnel, il est possible pratiquement et impossible en théorie.

    Par le cinéma, par le disque, par la pensée, par le rêve.

    L’homme peut, sinon se projeter dans le futur, du moins se retrouver ou cheminer dans le passé. Ce ne sont là que des évasions spirituelles ou sensorielles auxquelles notre corps ne  participe pas. 

     

     Le rêve seul offre l’illusion du voyage réel, avec sensations physiques parfaitement imitées (et souvent parfaitement réelles) : la rose émet son parfum, le coup de canon est assourdissant, le café est amer ou délicieux, la femme que l’on admire est adorablement belle, la volupté que l’on ressent est matériellement vraie.

    Notre subconscient connait donc un mécanisme scientifique pour se déplacer dans le Temps alors que la science expérimentale, à l’état de veille, ne connait qu’un autre mécanisme, loin d’être aussi dynamique.

    Mais le mécanisme du subconscient, le Voyage dans le temps du rêve, ne peut être accompli sur commande, il est fortuit. Il n’est aussi illusion et ne ressuscite la vérité du Passé que par des fantasmes et des apparences. Dans le rêve, tout est faux, arbitraire, mesures de distances, temps, opacité, pesanteur, sens logique.

    Trois vérités seulement sont absolues : le rire, les larmes, la jouissance, et c’est pourquoi le rêve est malgré tout imparfait et que la nécessité du Voyage dans le temps à l’état de veille a toujours hanté les hommes.

    Parcourir la chaine du Temps présente pour le moment de grandes impossibilités techniques et aussi des impossibilités théoriques dont même les auteurs de science-fiction n’ont pu venir à bout.

    La science cependant résoudra ce problème peut-être l’a-t-elle résolu autrefois puisque déjà la contraction du temps par la vitesse permet d’échafauder des hypothèses de moins en moins invraisemblables.

    Le voyage dans le Temps n’est pas lié seulement à la curiosité des hommes, il se rattache à la conquête spatiale.

    L’étoile la plus proche de la Terre, Alpha du Centaure, est en effet à 4, 5 années-lumière, ce qui, à la vitesse de 36000 km/heure représente déjà un voyage de 130000 ans (2600 ans à 1800000 km/heure). Soit une impossibilité pratique.

    Pourtant, il semble que les astronautes des OVNI, aient trouvé la solution du problème, soit en contractant le temps, soit en contractant l’espace.

    Actuellement, aucune donnée scientifique ne permet d’imaginer une telle hypothèse, mais nous avons la prémonition, la certitude même que le temps et l’espace du voyage seront un jour vaincus et que les hommes sauront aller en une fraction de seconde jusqu’aux lointaines frontières du Cosmos. Peut-être par une opération mathématique, peut-être par désintégration, réintégration et transmission de la personnalité à la vitesse de la pensée, qui est infiniment plus grande que celle de la lumière, c’est-à-dire à la vitesse zéro. 

    L’INGENIEUR EMILE DROUET 

    En attendant cette lointaine échéance un seul essai sérieux a été tenté par un français, l’ingénieur astronome Emile Drouet.

    Pendant des années à dater de 1946 nous avons participé avec une chimiste, Melle Lucile Berthelot (parente de Marcelin Berthelot), et un lieutenant de l’armée de l’air, aux travaux d’Emile Drouet.

    Un tableau synoptique accroché au mur de notre studio nous rappelait les premières bases de départ :

               Vitesse Zéro = éternité

             300000 + x = passé

          Zéro—x = futur

    Très vite, le problème de 300000 + x s’était changé en absurdité apparente.

    Imaginons un canon braqué sur notre poitrine. On introduit dans le canon un obus qui va être (c’est toujours l’hypothèse) propulsé à la vitesse de plus de 300000 km/seconde. Que va-t-il se passer ? Allons-nous être transpercé, volatilisé désintégré ?

    Non, Dépassant la vitesse de la lumière, l’obus va retourner dans le passé, c’est-à-dire qu’il va retourner dans la main du servant, dans l’obusier, dans l’arsenal, dans l’usine, dans la mine. Il ne sortira jamais de la volée (le tube) et nous serons sains et sauf.

    Mais comment concevoir ce départ de l’obus à 300000 km/seconde ?

    En « réalité théorique », les choses ne se passent pas ainsi, mais de toute façon il était techniquement impossible, de 1946 à 1951, d’imaginer un solide atteignant ou dépassant la vitesse de la lumière. Et plus impossible encore si l’on peut dire d’aller à la vitesse zéro et plus lentement que le zéro à l’heure. (Ne jamais oublier que la vitesse zéro existe pas dans l’univers).

    Voici comment Emile Drouet établit d’abord son projet et ensuite une maquette.

    En bref, la Terre tourne sur elle-même et autour du Soleil. L’ensemble tourne en spirale dans le Cosmos à destination de l’Amas d’Hercule où notre galaxie ira s’abimer dans x  millions ou milliards d’années.

    En synthétisant à l’extrême, la Terre s’achemine de la Nébuleuse originelle à l’amas d’Hercule.

    Le temps, bien entendu, est immuable (Pour Dieu éternel tous les temps sont présents. On ne saurait admettre l’Eternité si on lui fixe un commencement et une fin, un Passé et un Futur) et c’est nous qui passons, nous, le globe, les montagnes, les océans, les cités, les maisons, les hommes, comme si, sur une chaine vibratoire, une succession d’images naissaient et mourraient sans relâche. Cette chaine vibratoire, infinie, parait couler comme un paysage vu d’un train alors que seul le voyageur, en réalité se déplace.

    Sur le trajet Nébuleuse-Amas d’Hercule, autrement dit Ponex-Apex, la Terre se situe par exemple au chiffre de l’année 1000 pour le siècle de la Grande Peur, 1789 pour la révolution, 1914 pour la Grande Guerre. 

    Admettons que nous entreprenions de voyager dans le passé jusqu’à l’an mille. Que va-t-il se passer ? Nous devons quitter notre XXI° siècle à bord d’une fusée spatiale très rapide, perpendiculairement au plan de l’écliptique en direction du Ponex jusqu’au point théorique où se trouverait la Terre de l’an mille.

    Mais nous ne la verrons point. En effet, nous sommes accordés sur une longueur d’onde-temps en perpétuelle croissance et nous ne percevons que les êtres et les objets accordés à cette longueur d’onde.

    Par exemple, l’homme H = 29 – I – 19XY – 23 h 52’ 24’’ 18/100+  ne peut s’intégrer que dans l’univers-temps de même valeur.

    Et il change d’univers continuellement à un certain rythme inconnu de périodes-seconde (1/15 pour la perception rétinienne) qui le fait mourir x fois par seconde et ressusciter autant de fois.

    Cela s’appelle vieillir.

    Donc, nous sommes dans la Ponex, aux portes de l’an mille dont il faut accrocher la longueur d’onde-temps. Un second vaisseau spatial qui a suivi le nôtre possède à bord un radar à modulation de fréquence qui nous met en accord avec cette longueur d’onde-temps de l’an mille (ou avec une harmonique). Immédiatement nous quittons notre XXI° siècle, nous le perdons de vue et nous apercevons le royaume français du roi Robert le Pieux où notre fusée, qui a subi la même transformation que nous, peut se poser.

    Voilà le premier stade du Voyage dans le Temps, expliqué de façon quelque peu romanesque, car les dossiers de l’ingénieur Drouet ne s’adressent pas à un large publie :

      L’appareil est libéré, sur place, de la pesanteur par une double rotation engendrant l’accélération centrifuge composée de l’effet de Coriolis, laquelle est perpendiculaire aux axes horizontaux d’une batterie de gyroscopes disposés à l’intérieur. Il faut, mais il suffit que cette force centrifuge soit égale à la pesanteur = I G.

      Condition réalisable par application de la formule :                                        

                                     Je  =  m(2  xr   sin   a  Vr) 2          

                                     

                                               

    dans laquelle Jc est l’accélération composée, m, la masse des corps soit P= 0’1 tandis que 2 xr exprime la vitesse angulaire de rotation du corps, d’où l’on déduit…

    Ce court extrait n’est que la préfiguration la plus sommaire d’un exposé qui recouvre 200  pages de papier quadrillé. 

    Ce voyage dans le Passé était un voyage sans retour. Le projet définitif prévoyait un Tore astronautique, ancêtre et père des OVNI, déjà réalisé en maquette en 1946, comme en témoignent plusieurs journaux (Dont Jeudi-Magazine, n° 19, du 10-10- 1946).

    Ce tore, propulsé de l’équateur par la force centrifuge de la Terre, était un engin parfaitement réalisable, infiniment plus rationnel, plus « intelligent », plus scientifique que les satellites.

    A bord du Tore d’Emile Drouet, se trouvait le radar à modulation de fréquence qui faisait corps avec l’engin et s’accordait avec lui, permettant des raids vers l’Apex ou le Ponex sans nécessité de revenir à la base.

    La seul base fixe, obligatoire, figée dans le Temps et dans le Cosmos était l’énergie du vide comme dans l’agravitation qui existait aussi bien en l’an 1000 qu’en l’an -250000.

    Nous vous ferons grâce des détails techniques, qui furent étudiés par James Forrestal, pour un projet de satellite terrestre américain, et par le Centre de Recherches Scientifiques de Meudon.

    On réalisera l’importance de la découverte de l’ingénieur Drouet en sachant que son Tore astronautique de 200 mètres de diamètre (là se trouvait peut-être l’écueil, encore que la résistance des matériaux eût été sévèrement calculée), ce Tore donc, pourvu de gyroscopes, tournait sur le un lac équatorial et était propulsé par la force centrifuge terrestre à la vitesse  initiale de 108000 km/heure sans accélération.

    Ces 108000 km/heure sont exactement la vitesse de la rotation de la Terre autour du soleil. Nous nous en accommodons fort bien.

    Ainsi se trouvait résolu, théoriquement, le problème du Voyage dans le temps.

    Le milliardaire Williamson, roi du diamant, fut contacté pour la réalisation du projet Drouet. Son coût, en 1946, était de 2 milliards de franc et, il faut bien le reconnaitre, avec des risques immenses d’échec qui effrayèrent M. Williamson. Une telle entreprise ne pouvait être envisagée qu’à l’échelle d’une grande nation.

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    LA VICTOIRE DE WATERLOO 

    La maquette du Tore Astronautique ne connut qu’une heure de gloire : sur le plan d’eau d’une sablière à Vigneux-sur-Seine, à l’intention des photographes. A vrai dire, cette solution du Voyage dans le Temps laissait subsister de nombreux points obscurs.

    Revenons à notre hypothèse : les Voyageurs du Temps vont sur la Terre de 1815, à Waterloo, guident Grouchy vers le champ de bataille, déroutent Blûcher et donnent la victoire à Napoléon. Allons plus loin : nos Voyageur vont en l’an 1769 et assassinent Bonaparte enfant ; Napoléon n’existera jamais !

    Comment concilier l’inconciliable, ce qui fut avec ce qui ne fut pas ? Napoléon victorieux alors qu’il fut battu ?

    L’ingénieur Drouet ne voulait pas entendre parler de cette évidence absurde, et se cantonnait dans son rôle d’ingénieur astronome.

    Vous me parlez philosophe, disait-il, et je ne suis pas un philosophe !

    Si bien que pour demeurer dans la logique et pousser jusqu’au bout l’expérience, nous dûmes échafauder une théorie fascinante : les harmoniques de la chaine vibratoire de vie.

    L’histoire des hommes, la vie des hommes se déroulerait sur une chaine vibratoire de vie ou chaine principale.

    Sur cette chaine pour prendre le cas de Napoléon, nous trouvons le coup d’Etat du 18 Brumaire Bonaparte 1 er Consul couronné empereur la victoire d’Austerlitz l’abdication de 1814  Waterloo en 1815 la mort à Sainte-Hélène en 1821.

    Rappelons-nous les anciens postes de radio ceux de 1927 si peu sélectifs que l’on prenait une émission à la fois sur la longueur d’onde 522 mètres, et sur toutes les harmoniques de 522 : soit 696 mètres 870 mètres 1044 mètres, etc. On pouvait, en se branchant sur 1044 mètres, entendre en même temps un poème sur 1044 mètres, de la musique espagnole sur 870 mètres et une chanteuse d’Opéra sur 522 mètres.

    Cependant, à puissance égale d’émission, c’est le poème qui dominait les autres perceptions, musique et chant ne formant en somme qu’un fond sonore.

    Or, c’est ce qui se produit avec une vibration : Elles ont toutes des harmoniques et la Chaine de Vie a des harmoniques où Napoléon nait, gagne des batailles, en perd d’autres et meurt à Sainte-Hélène.

    Que les Voyageurs se déplacent dans le Temps, et ils atterriront mathématiquement sur un des harmoniques, lesquels sont en nombre infini. Sur cet harmonique, tout s’est passé comme sur la chaine principale, mais en pointillé si l’on peut, dire ou encore de manière révocable, car il ne s’agit en fait que d’une induction. Si l’on fait passer un courant propre à cet harmonique, c’est ce courant qui l’emportera.

    Sur l’harmonique n° 1, les Voyageurs du Temps pourront donc faire gagner Napoléon à Waterloo et, en 1821, il sera le Maitre du Monde.

    Sur une harmonique n°2, Bonaparte manquera son coup d’Etat, sera condamné à mort, gracié, envoyé en exil.

    Sur un harmonique n° 3, il échouera encore le 18 Brumaire, prendra la fuite et finira sa vie dans un monastère.

    Sur une harmonique n°4, les Voyageurs ont apporté un virus grippal avec eux et Bonaparte meurt à 8 ans. Napoléon n’existera jamais.

    Voilà peut-être résolu un problème qui arrête tous les théoriciens : retourner dans le Temps, modifier le déroulement de l’Histoire et pourtant conserver la vérité historique vécue.

    Là encore, les dossiers de l’ingénieur Drouet et nos propres notes n’empruntent pas exactement tant s’en faut  au vocabulaire de cet article.

    Il était question de vérité absolue, de vérités relatives et de vérités en projection.

    Admettons, écrivait l’ingénieur astronome, la simultanéité des contraires et le principe des harmoniques de la Chaine de Vie, perceptibles dans l’astral sur l’écran d’un radar à modulation de fréquence…

     Le Voyageur dans le Temps Passé et Futur selon le projet Emile Drouet, se composait d’une première partie techniquement réalisable (ou qui sera dans un proche avenir) : le voyage vers le ponex et vers l’apex avec le Tore astronautique. D’une seconde parie incertaine : l’accord avec le radar à modulation de fréquence. D’une troisième partie hypothétique : la théorie des harmoniques.

    D’aucuns jugeront que ce voyage dans le Temps relève uniquement de la science-fiction. C’est partiellement vrai, pourtant le Tore astronautique d’Emile Drouet nous paraît plus scientifiquement valable que les fusées dans l’espace ou tous satellites.

    C’est un principe analogue qui, un jour, détrônera le système boulet du canon et alors peut-être songera-t-on à étudier et à mettre au point un accordeur d’ondes-temps.

    Et si déjà des Voyageurs du Temps étaient parmi nous ? S’ils se cachaient à l’intérieur du mont Shasta ?

    Il est curieux de signaler, ne fût-ce que pour les archives des temps à venir, que des théoriciens avancent cette hypothèse : 

    On peut admettre que dans plusieurs siècles, voire même dans plusieurs millénaires, le Voyage dans le Temps sera une réalité et une possibilité pratique. 

    Or, si par exemple, en l’an 5000 des hommes peuvent remonter le Passé ou parcourir le Futur, il devient vraisemblable de penser qu’ils ont eu le désir ou la curiosité de s’intégrer à notre époque.

    Les OVNI sont peut-être le mode de locomotion de ces pirates du Temps ?

    Nos savants, les magnats du capitalisme, du marxisme et de toute puissance sociale ou politique, sont peut-être des Voyageurs du Temps. Ils agiraient soit dans de buts lucratifs, soit comme conducteurs éclairés. Comme le savoir.

    Semblables à Moïse, à Gerbert, à Jechiélé, à tous les grands initiés de l’histoire (qui étaient peut-être des hommes des années 5000 ? 10000 ? ou 1000000 après J.C.) ils tiendraient secret leur caractère, leur nature, leurs connaissances supérieurs en biologie et en physique transcendante, connaissances leur permettant d’usurper par induction psychique (en habitant l’intellect conscient ou le subconscient) la personnalité de Nixon et de Mao, ou de Chirac. 

    A l’insu, bien entendu Voyage dans le Temps, des êtres dont ils violent le « moi » et dirigent l’action. De toute façon, induction ou incarnation, leur identité physique serait indécelable. Le Voyage dans le Temps, réalité de demain, nous donne la certitude que les voyageurs du futur sont parmi nous.

    S’identifiant à la Conquête du Cosmos, le Voyage dans le Temps, aussi longtemps qu’il ne sera pas résolu, constituera la Mur de la Défense que des forces supérieures semblent  avoir édifié entre l’homme et les connaissances sacrilèges. Mais l’homme n’a peur de rien, pas même de son destin tragique, et même s’il doit perdre une seconde fois sa part de Paradis, il forcera la porte interdite. 

    Sources : Les grands Secrets de Chantelain -   Recherches de Robert Charroux - Courton le bas le 15 mai 2009 

                                                                         Claude BURKEL  (Vous pouvez retrouver ce texte sur la taverne del'étrange

     

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