• La zone 51

    Mystères humains

    La zone 51 

    La zone 51 

    (photo : gizmodo

    La zone 51 est une aire géographique du Nevada aux États-Unis aussi appelée Dreamland, Watertown, The Ranch, Paradise Ranch, The Farm, The Box, Groom Lake, Neverland ou encore The Directorate for Development Plans Area où se trouve une base militaire secrète testant entre autres des appareils expérimentaux.

       

     

    Le milieu ufologique la reprend fréquemment à son compte pour élaborer diverses théories conspirationnistes suggérant des relations secrètes entre l'armée américaine et des extraterrestres. Elle est principalement connue sous son appellation anglaise Area 51.La zone 51 est un rectangle d'approximativement 155 km² dans le comté de Lincoln au Nevada, à environ 100 miles ou 160 km au nord-ouest de Las Vegas. Elle fait partie du vaste (12 140 km²) territoire de l'USAF de Nellis (Nellis Air Force Range ou NAFR). La zone 51 est formée principalement de la vallée Emigrant Valley, bordée par les chaînes de montagnes Groom et Papoose, au nord et au sud, respectivement; et des collines Jumbled Hills, à l'est. Entre les deux chaînes se trouve le lac Groom (37°16′05″N 115°47′58″O / 37.26806, -115.79944), un lit de lac asséché d'environ 5 km de diamètre. Du côté sud-ouest du lac (37°14′0″N 115°49′0″O / 37.23333, -115.81667), il y a un aéroport militaire avec des pistes d'atterrissage bétonnées, dont une, désaffectée, se poursuit sur le lit du lac, et quatre pistes en terre battue sur le lac lui-même.

     

    La zone 51 a cinq pistes opérationnelles. La principale étant la 14L/32R, une piste au revêtement de béton d'une longueur de 3 650 m par 60 m de largeur avec une zone de débordement de 300 m à chaque extrémité. La seconde piste, la 12/30, qui sert aussi de voie de circulation est d'une longueur de 1 650 m par 45 m de largeur. La piste désaffectée a près de 10 km de longueur (six miles). Sa surface est bétonnée sur près de 3 800 m, asphaltée sur 3 400 m, et 1 600 m et 800 m d'asphalte en piteux état aux extrémités nord et sud, respectivement. On y retrouve au moins trois groupes d'indicateurs distincts, laissant croire que la piste n'a jamais été utilisée sur toute sa longueur à la fois. À l'heure actuelle, seule une portion de 2 000 m est identifiée, formant la piste 14R/32L. Les pistes en terre battue sur le lit du lac sont par paire et ont une longueur atteignant 3 400 m. Elles servaient lors de forts vents contraires.

    A l'ouest des pistes se trouvent de nombreux hangars pouvant accueillir des avions de diverses tailles, des ateliers, le terminal des avions JANET, des dortoirs pouvant héberger plus de 1 000 personnes, un gymnase avec piscine, une cafétéria, divers bâtiments administratifs et même un terrain de baseball. A l'extrémité sud de la base, il y a une carrière permettant de fabriquer sur place le béton nécessaire à la réfection des pistes et la construction de nouveaux bâtiments. Plus au sud encore, se trouvent des bunkers où sont entreposés les armements. A l'extrémité nord de la base, sur les rives du lac asséché, se trouve une panoplie d'antennes radar de divers modèles. Un peu au nord-ouest du terrain de baseball, se trouvent les tranchées, maintenant remblayées, où jadis on brûlait les déchets.

    La zone 51 partage sa bordure ouest avec la zone Yucca Flats du site d'essais du Nevada (NTS), l'endroit où le Département de l'Énergie des États-Unis a effectué une bonne partie de ses essais nucléaires. Le dépôt de déchets nucléaires de Yucca Mountain est à environ 65 km au sud-ouest du lac Groom.

    La zone est reliée au réseau routier du NTS, avec des routes pavées vers le village de Mercury et les Yucca Flats du côté nord-ouest. Sur la rive nord-est du lac, la Groom Lake Road, une route de terre en bon état, serpente à travers les collines Jumbled Hills. Groom Lake Road est l'ancien chemin qui conduisait aux mines dans la chaîne Groom. Elle a été améliorée depuis la fermeture des mines. Son cours tortueux passe par une guérite, mais le périmètre de sécurité entourant la base s'étend un kilomètre plus loin vers l'est. Après la limite du périmètre restreint, marqué par plusieurs panneaux d'avertissement qui indiquent que « toute photographie est interdite » et que « l'usage de force pouvant entraîner la mort est permis », Groom Lake Road descend vers la vallée Tikaboo, en passant devant l'entrée de plusieurs petits ranchs avant de rejoindre la route 375, baptisée Extraterrestrial Highway (autoroute des extra-terrestres), au sud du village de Rachel.

    Les opérations à Groom Lake

    La base militaire de Groom Lake n'est pas une base conventionnelle et des escadrilles de première ligne n'y sont habituellement pas déployées. Elle semble plutôt être utilisée pendant le développement et les essais de nouveaux appareils. Lorsque ces appareils sont acceptés par l'USAF, l'exploitation de ce type d'appareil est généralement transférée à une base militaire conventionnelle. Groom Lake serait la résidence permanente d'un petit nombre d'appareils d'origine soviétique obtenus par divers moyens qui sont supposés être étudiés et utilisés pour l'entraînement des pilotes américains.

    Des satellites soviétiques ont photographié la zone 51 durant la guerre froide, mais ces images ne permettent que des conclusions modestes à propos de la base. Des images plus récentes obtenues par des satellites commerciaux démontrent que la base a grossi, mais ne montrent rien d'exceptionnel. 

    (source : wikipedia)

     BOB LAZAR ET LA ZONE 51 

    Nouvelles de  2019 sur Bob Lazar


    Bob Lazar a déclenché une frénésie au sujet des extraterrestres en 1989 après avoir prétendu avoir fait partie d'une équipe de tests d'ovnis dans une base top secrète de l'armée de l'air américaine au Nevada. Avec l'aide du journaliste George Knapp, il a raconté son histoire au monde entier, affirmant avoir travaillé dans un lieu-dit S-4. Lazar a révélé comment l'installation auxiliaire située au sud de la zone 51 était responsable de l'ingénierie inverse de la technologie extraterrestre - et son objectif était d'extraire un élément appelé élément 115.

    Au fil des ans, le scientifique a reçu une reconnaissance mondiale pour ses affirmations, mais cela a entraîné de vives critiques.

    Beaucoup ont estimé que le manque de preuves pour étayer son récit, ainsi que des références manquantes dans son éducation ont entaché son témoignage.

    Jusqu'à maintenant.

    Avec l’aide du cinéaste Jeremy Corbell, Lazar a pu raconter son histoire à nouveau - avec l’avantage d’une preuve éclatante pour étayer ses affirmations.
    Corbell, 41 ans, a réussi à trouver une photo d'un autre programme très secret dirigé par le gouvernement américain à proximité du Nellis Air Force Range.

    Les images des scanners utilisés pour pénétrer à l'intérieur du bâtiment correspondent presque parfaitement à la description de Lazar.

    "Je n'ai jamais pensé en revoir un," a reconnu Lazar après avoir numérisé la photo.

    «J'ai essayé d'expliquer cela aux gens si souvent et ils ne m'ont jamais cru.

    "Voilà - c'était un scanner biométrique utilisé pour entrer en S-F et mesuré la longueur des os dans votre main."
    Hier marquait la première mondiale du film "Bob Lazar: Area 51 & Flying Soucers".

    Le documentaire complet est rapidement devenu le numéro un dans les charts iTunes.

    "Mon film vous donne une compréhension du vrai Bob Lazar, ce qui rendra plus difficile le rejet de ses revendications", a révélé Corbell.

    «Plus vous rencontrez Bob Lazar, plus vous devez faire face à la possibilité inconfortable qu'il vous dise la vérité.

    "Vous regardez les preuves, vous regardez mon film et vous décidez vous-même." Traduction de l'article

     

    Juin 2019 - Autre nouvelle concernant la rétro-ingénierie : Interface cerveau humain-machine ! 

    La US MILITARY Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) se penche sur une technologie télépathique que certains redoutent qu’elle sera capable de contrôler à distance des machines de guerre avec des esprits militaires.

    La DARPA est le département militaire américain responsable du développement de technologies de pointe destinées à être utilisées en première ligne. Dotée d’un budget annuel de plusieurs milliards de dollars et comptant parmi les plus grands cerveaux du monde, la DARPA est responsable de certaines des technologies les plus passionnantes qui existent dans le monde entier. Et le laboratoire de recherche top secret a développé une interface cerveau/esprit-machine capable de permettre aux soldats de contrôler par télépathie des “systèmes de cyberdéfense active” et des “essaims de véhicules aériens sans pilote”.

    Le professeur Jacob Robinson de l’Université Rice, coordinateur de l’équipe de recherche de la DARPA, a expliqué comment le projet prévoit de “puiser dans le cerveau”.

    Il a dit : “Nous pouvons déjà accéder à des informations très riches grâce à la chirurgie.”

    “C’est important parce qu’il y a une latence de communication qui, lorsque nous essayons d’interagir avec le monde.”

    “Il y a un délai entre ma pensée et le mouvement des muscles nécessaires à l’interface avec le monde extérieur.”

    “L’idée est donc que si nous pouvons communiquer mentalement avec le monde extérieur sans avoir à bouger le petit doigt, nous pourrions communiquer très rapidement avec tous nos dispositifs externes.”

    La DARPA propose de créer un casque portatif permettant d’envoyer un signal à un appareil externe tel qu’un drone ou un ordinateur et de recevoir un signal dans le cerveau en un dixième de seconde.

    Le professeur Robinson a dit : “Nous savons que les signaux générés par les cellules de notre cerveau ont une vitesse d’environ 100 bits/seconde, donc chaque seconde il y a 100 signaux envoyés par des cellules individuelles.”

    “Nous ne pensons pas tant à la vitesse qu’à la distance qu’elle parcourt, mais plutôt à la quantité d’informations transférées dans un laps de temps donné.”

    “Si je voulais taper un message, je pourrais peut-être communiquer avec mes doigts à 100 mots par seconde.”

    “Mais avec mes pensées, je pourrais être capable de communiquer 10 fois plus vite.”

    La DARPA a fixé une date limite ambitieuse pour commencer à tester la technologie sur des humains, une fois que la FDA aura donné son accord.

    Le coordinateur de l’équipe a expliqué : “Si tout se passe comme prévu, la technologie sera utilisée chez l’homme dans quatre ans.”

    “Après les essais, on peut imaginer que des produits de consommation seront mis au point, avec une transition traditionnelle, et que le temps de développement pourrait varier entre 10 et 20 ans.”

    Et les applications de cette technologie de pointe ne se limiteront pas au contrôle des drones et des ordinateurs par des militaires.
    Les applications comprennent également les thérapies pour les personnes qui ont perdu la capacité de recevoir de l’information sensorielle ou de communiquer.

    Le professeur Robinson a expliqué : “Nous pensons également que cette technologie pourrait être utilisée dans le secteur commercial et dans l’armée – peut-être même à des fins récréatives, car elle permet une communication beaucoup plus rapide avec votre ordinateur.”

    Et l’ingénieur est pleinement conscient qu’il développe des technologies qui présentent un potentiel important d’utilisation abusive.

    Il a dit : “Cette préoccupation est encore plus grande lorsque nous pensons aux technologies qui vont interagir avec notre cerveau, que nous tenons si étroitement liés à notre identité même.”

    “Et il y a d’autres préoccupations lorsque de telles technologies sont mises au point par le gouvernement américain, car il y a toujours un risque d’utilisation à mauvais escient de ces technologies.”

    “Il y aura, par exemple, des préoccupations au sujet de la protection de la vie privée, de l’utilisation des données et de l’autonomie.”

    “Ainsi, pour la technologie neuronale en particulier, il existe un ensemble de lignes directrices que la communauté est en train d’élaborer, appelées normes neuronales-éthiques.”

    “Et au fur et à mesure que nous développons cette technologie, nous sommes en contact constant avec les éthiciens pour savoir comment empêcher une mauvaise utilisation de cette technologie.”

    Source: Express.co.uk, le 6 juin 2019 - Source :  arcturius

    * * * 

     A la fin des années 80, Bob Lazar, qui se présente comme un scientifique ayant travaillé pour des laboratoires secrets du gouvernement US, a "révélé" que les autorités américaines détenaient des technologies extraterrestres. 25 ans plus tard, un témoin viendrait enfin confirmer une partie de ses assertions...

    Bob Lazar est l’un des prétendus lanceurs d’alerte les plus connus du milieu ufologique. Cet homme de 56 ans, qui se présente comme un ingénieur et scientifique de haut niveau, assure avoir travaillé dans le « Secteur 4 », un centre ultra-secret situé à Groom Lake, un lac asséché situé à quelques kilomètres de la légendaire Zone 51. Là, il aurait assisté à des travaux de rétro-ingénierie menés sur des engins extraterrestres récupérés par les autorités américaines. Mais aucun élément concret n’est venu étayer ses révélations et nul n’est parvenu à retrouver une trace de sa présence au California Institute of Technology et au MIT où il assure avoir obtenu ses diplômes. Ce à quoi Bob Lazar a répondu que le gouvernement avait effacé son nom des archives de ces universités prestigieuses... Mais pour la première fois depuis ses révélations fracassantes en 1989, un élément nouveau apporte un début de crédibilité aux récits de Bob Lazar.

    Toutefois, aucun ancien collègue ne s’était manifesté pour valider les déclarations de Bob Lazar. Mais, Jeremy Corbell, un enquêteur indépendant, dit avoir retrouvé un témoin, le Dr. Robert Krangle, physicien et contractant externe à Los Alamos, qui se souvient fort bien du lanceur d’alerte. Jeremy Corbell a déniché ce témoin providentiel en lançant un « bot », un logiciel automatique programmé pour repérer une série de mots clés de façon bien plus précise que ne peut le faire un moteur de recherche classique. C’est ainsi qu’il a découvert une conversation dans un groupe Facebook où Robert Krangle discutait de Bob Lazar. Après l’avoir contacté, il a accepté de confirmer publiquement la présence de Bob Lazar à Los Alamos.« C’était un physicien comme moi: ça se voyait tout de suite à toute la rangée de stylos de couleur qui dépassaient de sa chemise… » plaisante-t-il avant de préciser qu’il participait aux réunions de sécurité « où l’on nous administre le briefing habituel exigeant que l’on ne dise rien à l’extérieur de ce que l’on allait voir ou faire à Fort Alamos. » Comme Robert Krangle était un contractant extérieur, il ne peut préciser quelles étaient les attributions précises de Bob Lazar dans le laboratoire : « Mais lui, il savait très bien ce que je faisais » ajoute-t-il.

    Le teaser du documentaire de Jeremy Corbell où Robert Krangle évoque ses rencontres avec Bob Lazar

    Krangle n’est pas le moins du monde étonné que personne ne se soit levé pour donner crédit à ses assertions: « C’est la mentalité qui prévaut dans ce genre de milieu. Il a brisé la loi du silence et ses ex-collègues le considèrent comme un traître ». Quant à Robert Krangle, qui travaille toujours de temps à autre avec le laboratoire de Los Alamos, il affirme ne pas craindre de parler car ses revenus ne dépendent plus prioritairement de ce laboratoire national. Il ne reste plus qu’à vérifier l’authenticité du CV de Robert Krangle, qui aurait obtenu un diplôme du MIT et déposé plus de 50 brevets de haute technologie en 40 ans de carrière…

    Source :  PM


     Voir aussi :  

    Disclosure project 

    Extraordinaire Disclosure project 2001 

    SIRIUS le film du Projet Révélation

    Ces ovnis que la Nasa veut nous cacher 

    Roswell, le secret d'état

    Des O.V.N.I.S. aux V.S.A.I.(Vaisseaux  Spaciaux A Identifier)

    Les ovnis et le nucléaire

    Articles nouveaux sur les ovnis


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