• Roswell, le secret d'état

    Mystères des ovnis

     L'AFFAIRE DE ROSWELL 

    Roswell, le secret d'état

    Des nouvelles de Roswell  (février 2015)

     Tom Carey, spécialiste de l’affaire Roswell , vient de faire une première conférence de presse afin de donner quelques informations quant à la présentation qui sera faite le 5 mai. L’interview a raconté l’histoire de la découverte des photos ainsi qu’une sorte de making off du futur documentaire avec les différentes diapositives retrouvées, leurs numérisations et aussi une reconstruction de l’apparence de l’Alien à l’aide de moyen numérique.

    Roswell, le secret d'état   Roswell, le secret d'état

    Les images sont malheureusement flouté mais certains ont retravaillé les photos que l’on peut voir afin d’avoir une première idée de l’apparence de la créature qui aurait été découverte en 1947 à Roswell . Pour une fois les images sont en couleur ce qui existait à l’époque et serait plus réaliste pour des images aussi importantes que dans le cas d’une découverte de cadavre.

    On voit une sorte de créature qui semble de petite taille, de couleur plutôt marron si on en croit certains clichés, la tête semble assez grosse de même que l’emplacement des globes oculaires, la bouche à l’air assez petite sans vraiment avoir de lèvre. Le corps et la tête semble totalement dépourvu de système pileux. L’apparence générale fait assez penser à ce que l’on a déjà vu un peu partoutLa reconstruction est assez étrange et fait totalement penser aux clichés que l’on a sur les extraterrestres, l’apparence est limite grotesque et fait plus penser à un jeux vidéo qu’autre chose, rien que de la voir cela pourrait presque discrédité l’histoire. De plus au vu des images retouchées on a l’impression que la créature est totalement différente. Mais c’est plus les photos qui sont intéressantes dans cette affaire que des images de synthèse...

    Roswell, le secret d'état

    Source : dark-ride

     

    Une infirmière en poste à Roswell aurait eu pour mission de parler avec le visiteur 

    Lettres et Notes de Matilda O’Donnell MacElroyet - Transcriptions Officielles de l’U.S. Army Air Force TOP SECRET

    ENTRETIEN AVEC L’ALIEN (E-Book Edition Grand Public) - « ALIEN INTERVIEW »

    [TITRE ORIGINAL] Edité par :Lawrence R. Spencer  - VOIR LE FICHIER PDF DU LIVRE  

    P.36-37

    Je me réfère à l’alien comme à un être « féminin ».En vérité, l’entité n’était sexuée à

    aucun titre, physiologique ou psychologique. « Elle » avait cependant, sans conteste,

    une forte présence et une manière tout à fait féminine. L’entité était néanmoins

    physiologiquement asexuée, et ne possédait pas d’organes reproductifs, internes ou

    externes. Son corps ressemblait plutôt à une « poupée », ou à un « robot ». Il ne

    présentait pas « d’organes » internes, n’étant pas formé de cellules biologiques. Il

    possédait toutefois un « circuit » ou un système nerveux électrique, qui parcourait tout

    le corps. Je ne pouvais comprendre comment il fonctionnait.

    Quant à sa stature et à son apparence, le corps était de petite taille, et très chêtif. Il

    mesurait approximativement un mètre. La tête était démesurément volumineuse, par

    rapport aux bras, aux jambes et au buste, qui étaient minces. À l’extrémité de ses deux

    « mains » et de ses deux « pieds » se trouvaient trois « doigts » qui étaient en quelque

    sorte préhensibles. La tête ne présentait pas d’organes fonctionnels, tels « nez »,

    « bouche » ou « oreilles ». Je réalisai qu’un officier spatial n’a pas l’usage de tels

    organes, l’espace étant dépourvu d’une atmosphère qui pourrait conduire le son. En

    toute logique, le corps n’est pas doté d’organes sensoriels de l’ouïe. N’ayant pas non

    plus à absorber de nourriture, le corps est de même dépourvu de bouche.

    Les yeux étaient étonnamment grands. Je ne pus jamais déterminer précisément le

    degré d’acuité visuelle dont ses yeux étaient capables ; toutefois, je remarquai que sa

    vue devait être remarquablement perçante. Je pense que les pupilles de ses yeux, très

    foncées et opaques, étaient peut-être également capables de distinguer des longueurs

    d’onde ou des particules par-delà le spectre de la lumière visible. Je présume que cela

    pouvait inclure l’étendue entière du spectre électromagnétique, ou plus encore, même

    si je n’en suis pas tout à fait certaine.

    Quand l’entité posait ses yeux sur moi, son regard semblait me traverser, comme si

    elle disposait d’une « vision radiographique ». Je trouvai cela quelque peu

    embarrassant tout d’abord, jusqu’au moment où je réalisai qu’elle n’était pas animée

    d’intentions sexuelles. En fait, je crois qu’à aucun moment la pensée ne la traversa de

    savoir si j’étais mâle ou femelle.

    Il devint tout à fait évident, après une courte période passée avec l’entité, que son

    corps n’avait pas besoin d’oxygène, de nourriture ou d’eau, ni d’aucune source externe

    d’alimentation ou d’énergie. Ainsi que je l’appris par la suite, cette entité fournissait sa

    propre « énergie », qui animait et faisait fonctionner le corps. Cela me parut quelque

    peu féérique au début, mais je m’habituai à l’idée. Il s’agit réellement d’un corps on ne

    peut plus simple. Pour ainsi dire, quelque chose d’insignifiant en comparaison avec

    nos propres corps.

    Airl m’expliqua que le corps n’était pas mécanique, à la manière d’un robot, et qu’il

    n’était pas non plus de nature biologique. Il est animé directement par elle-même, en

    tant qu’entité spirituelle. Techniquement, d’un point de vue médical, je dirais que l’on

    ne devrait même pas parler d’un corps « vivant ». Le corps artificiel [« doll body »]

    n’est pas une forme de vie biologique, formée de cellules, etc.

    La peau, ou surface, était délicate, d’une couleur grise. Le corps était d’une grande

    tolérance aux changements de température, de conditions atmosphériques, et de

    pression. Les membres étaient très frêles, dépourvus de musculature. Il n’y a pas de

    gravité dans l’espace, ce pourquoi nul besoin de force physique. Le corps était utilisé

    presque exclusivement dans le vaisseau, ou dans des environnements de faible gravité,

    38

    ou de gravité nulle. Du fait de la forte gravité sur Terre, le corps ne pouvait se déplacer

    avec facilité, les membres inférieurs n’ayant pas été conçus à cet effet. Cependant, les

    pieds et les mains étaient très flexibles et agiles.

    51

    Le corps

    de l’alien mesurait environ deux fois la taille d’un frêle enfant de cinq ans,

    et paraissait donc minuscule sur la chaise.

    Le corps n’étant pas de nature biologique, il n’avait pas besoin de

    nourriture, d’air ou de chaleur et, semblait-il, l’alien ne dormait pas non

    plus. Il n’y avait pas de paupières, ni de sourcils au-dessus de ses yeux, qui

    par conséquent ne se fermaient jamais. Personne à mon sens n’aurait pu dire

    si elle dormait ou si elle était éveillée, aussi longtemps qu’elle demeurait

    figée sur la chaise. À l’exception des rares occasions où elle mobilisait son

    corps, ou faisait un geste de la main, personne n’aurait pu dire si elle était en

    vie ou non, à moins de capter ses pensées.

    66

    « Airl me fit part des raisons pour lesquelles elle était venue sur Terre, et

    pour lesquelles elle se trouvait dans la zone du 509ème Escadron de

    Bombardiers. Elle avait été envoyée par ses officiers supérieurs pour

    enquêter sur les explosions d’armes nucléaires qui avaient été testées

    au Nouveau-Mexique. Ses supérieurs lui ordonnèrent de recueillir dans

    l’atmosphère des données qui pourraient être utilisées pour déterminer

    le niveau de radiation et les dommages potentiels que cette radiation

    pourrait causer à l’environnement.

    Au cours de sa mission, le vaisseau fut frappé par la foudre, Airl perdit le

    contrôle du vaisseau, lequel s’écrasa.

    Le vaisseau est piloté par des IS-BE qui utilisent des corps artificiels [doll

    bodies] à la façon d’un acteur revêtu d’un masque et d’un costume. Ce

    corps artificiel est une sorte d’outil mécanique au moyen duquel il est

    possible d’opérer dans le monde physique. Airl, de même que tous les

    autres IS-BE de la classe des officiers supérieurs, habitent ces corps

    artificiels quand ils sont en mission dans l’espace. Quand ils ne sont pas

    de service, ils « quittent » le corps et opèrent, pensent, communiquent,

    voyagent et existent sans l’utilisation d’un corps.

    Les corps sont constitués de matériaux synthétiques, qui incluent un

    système nerveux électrique de haute sensibilité, auquel chaque IS-BE

    s’ajuste lui-même ou « se règle » sur une fréquence électronique qui

    coïncide exclusivement avec la longueur d’onde ou la fréquence

    vibratoire spécifique émise par chaque IS-BE. Chaque IS-BE est capable

    de créer une fréquence électrique qui l’identifie, à la façon d’une

    fréquence radio. Cela sert, en partie, comme mode d’identification, de

    façon analogue avec l’empreinte digitale. Le corps artificiel agit comme

    67

    un récepteur radio pour l’IS-BE. Il n’existe pas deux fréquences, ni deux

    corps artificiels, parfaitement identiques.

    Les corps de chacun des IS-BE formant l’équipage sont de même réglés

    et connectés avec le « système nerveux » intégré dans le vaisseau

    spatial. Le vaisseau spatial est constitué de façon très proche à celle

    dont est conçu le corps artificiel. Le vaisseau est ajusté spécifiquement à

    la fréquence de chaque IS-BE membre de l’équipage. De ce fait, le

    vaisseau peut être piloté par les « pensées » ou par l’énergie émise par

    l’IS-BE. Il s’agit en somme d’un système de contrôle très simple et direct.

    Ainsi, on ne trouve pas d’équipements sophistiqués de contrôle ou de

    navigation à bord du vaisseau. Celui-ci fonctionne comme une extension

    de l’IS-BE.

    En frappant le vaisseau, la foudre provoqua un court-circuit qui

    « déconnecta » momentanément le contrôle du vaisseau, et entraîna le

    crash.

    Airl était, et est toujours, un officier, pilote et ingénieur au sein d’une

    force expéditionnaire appartenant à une civilisation galactique désignée

    « Le Domaine ». Cette civilisation contrôle un grand nombre de galaxies,

    étoiles, planètes, satellites et astéroïdes à travers un secteur de l’espace

    qui représente globalement un quart de la totalité de l’univers physique !

    La mission constante de son organisation est de « sécuriser, contrôler et

    étendre le territoire et les ressources du Domaine ».

    Extraits : QUESTION – « Avez-vous des besoins environnementaux

    particuliers, tels que température de l’air, composition

    chimique de l’atmosphère, pression atmosphérique, ou

    élimination des déchets ?

    RÉPONSE –

    NON. JE NE SUIS PAS UN ÊTRE BIOLOGIQUE.

    autre question qui m'a parlé : QUESTION – Si vous n’êtes pas une entité biologique, pourquoi faites vous référence à vous-même comme à un être féminin ?

    RÉPONSE –JE SUIS UN CRÉATEUR. MÈRE. SOURCE. »

    « Airl me fit part des raisons pour lesquelles elle était venue sur Terre, et

    pour lesquelles elle se trouvait dans la zone du 509ème Escadron de

    Bombardiers. Elle avait été envoyée par ses officiers supérieurs pour

    enquêter sur les explosions d’armes nucléaires qui avaient été testées

    au Nouveau-Mexique. Ses supérieurs lui ordonnèrent de recueillir dans

    l’atmosphère des données qui pourraient être utilisées pour déterminer

    le niveau de radiation et les dommages potentiels que cette radiation

    pourrait causer à l’environnement.

    Les corps sont constitués de matériaux synthétiques, qui incluent un

    système nerveux électrique de haute sensibilité, auquel chaque IS-BE

    s’ajuste lui-même ou « se règle » sur une fréquence électronique qui

    coïncide exclusivement avec la longueur d’onde ou la fréquence

    vibratoire spécifique émise par chaque IS-BE. Chaque IS-BE est capable

    de créer une fréquence électrique qui l’identifie, à la façon d’une

    fréquence radio. Cela sert, en partie, comme mode d’identification, de

    façon analogue avec l’empreinte digitale. Le corps artificiel agit comme

    67

    un récepteur radio pour l’IS-BE. Il n’existe pas deux fréquences, ni deux

    corps artificiels, parfaitement identiques.

    Les corps de chacun des IS-BE formant l’équipage sont de même réglés

    et connectés avec le « système nerveux » intégré dans le vaisseau

    spatial. Le vaisseau spatial est constitué de façon très proche à celle

    dont est conçu le corps artificiel. Le vaisseau est ajusté spécifiquement à

    la fréquence de chaque IS-BE membre de l’équipage. De ce fait, le

    vaisseau peut être piloté par les « pensées » ou par l’énergie émise par

    l’IS-BE. Il s’agit en somme d’un système de contrôle très simple et direct.

    Ainsi, on ne trouve pas d’équipements sophistiqués de contrôle ou de

    navigation à bord du vaisseau. Celui-ci fonctionne comme une extension

    de l’IS-BE.

    69 - À l’époque présente, il n’est pas nécessaire d’un point de vue stratégique

    de faire connaître à l’humanité la présence du Corps Expéditionnaire du

    Domaine. En fait, jusqu’à nos jours, cette présence a été occultée le plus

    radicalement, pour des raisons qui seront divulguées ultérieurement.

    La ceinture d’astéroïdes située dans le voisinage immédiat de la Terre

    est de taille très réduite, mais constitue une zone cruciale pour le

    Domaine dans ce secteur de l’espace. Concrètement, plusieurs objets

    de ce système solaire présentent une grande valeur comme « stations

    69

    spatiales » de faible gravité. Les forces du Domaine s’intéressent

    prioritairement aux satellites de faible gravité dans le système solaire. En

    l’occurrence, sont concernées principalement la face cachée de la Lune

    et la ceinture d’astéroïdes, débris d’une planète qui fut détruite il y a

    plusieurs milliards d’années ainsi que, à un moindre degré, Mars et

    Vénus. Il est aisé d’édifier des structures à coupole, synthétisées à partir

    de gypse, ou des bases souterraines dissimulées par des écrans

    électromagnétiques, et ces structures sont affectées à l’accueil des

    forces du Domaine.

    Chaque fois qu’un secteur de l’espace a été acquis par le Domaine, et est

    intégré au territoire sous son contrôle, ce secteur est traité comme la

    « propriété » du Domaine. La station spatiale située à proximité de la

    Terre est importante pour la seule raison qu’elle se trouve le long de

    l’itinéraire d’expansion du Domaine en direction du centre de la Galaxie

    de la Voie Lactée et par-delà. Il va de soi que l’ensemble des territoires du

    Domaine ont connaissance de cela, à l’exception de la population de la

    Terre ».(...) Suite sur le PDF 

     

    L’incident de Roswell est considéré par certains ufologues et une partie des conspirationnistes comme la plus extraordinaire rencontre rapprochée avec des extraterrestres au XXe siècle. Le scénario le plus communément rencontré consiste en l'écrasement d'un engin spatial d'origine extra-terrestre, près de Roswell (Nouveau-Mexique) en juillet 1947. Les partisans de l'hypothèse extraterrestre (H.E.T.) expliquent en effet, une partie des manifestations d'OVNI (que la communauté scientifique classe aujourd'hui dans le cadre plus général de Phénomène aérospatial non identifié ou PAN) par des visites extraterrestres.

    Deux courants de pensées s'affrontent concernant la nature réelle de cet incident : les sceptiques et le gouvernement des États-Unis expliquent l'incident par le crash d'un ballon de recherche top-secret Mogul (voir aussi modèle sociopsychologique du phénomène ovni), tandis que les partisans de la thèse extra-terrestre soutiennent que l'épave retrouvée est celle d'un OVNI extra-terrestre, récupérée et dissimulée par les militaires. L'incident a depuis évolué en phénomène de culture populaire hyper-médiatisé, Roswell devenant l'une des manifestations supposées extra-terrestres les plus célèbres.

            

    Les faits

    Le 3 juillet 1947, Mac Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres, et prévient la base militaire la plus proche. Un jeune militaire du Roswell Army Air Field (RAAF) fait alors un premier communiqué de presse, où il annonce qu'ils ont découvert une soucoupe volante (« flying disc ») écrasée près d'un ranch à Roswell, déclenchant un fort intérêt de la part des médias. L' « observation » originelle du phénomène OVNI, celle de Kenneth Arnold, ayant eu lieu un mois plus tôt et ayant eu un écho important dans la presse, les soucoupes volantes étaient dans l'esprit de tous, y compris des jeunes militaires. Le lendemain, le commandement général de la base publie un rectificatif, annonçant que la soucoupe volante était seulement un ballon-sonde.Une conférence de presse est organisée dans la foulée, exposant aux journalistes des débris provenant de l'objet crashé et confirmant la thèse du ballon. L'affaire tombe alors dans l'oubli pendant une trentaine d'années, même parmi les chercheurs d'OVNI.

    Mais en 1978, le major Jesse Marcel, impliqué dans la récupération des débris de 1947, déclare à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey (responsable de la base) a montrés aux journalistes ne sont pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell. Il fit part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un vaisseau spatial à l'ufologue Stanton T. Friedman. Son histoire circula parmi les amateurs d'OVNI, figurant même dans des revues d'ufologie.En février 1980, le National Enquirer conduisit sa propre interview du major Marcel, attirant l'attention mondialement sur l'incident de Roswell. D'autres témoins et rapports sortirent de l'ombre au fil du temps, ajoutant de nouveaux détails à l'histoire. Par exemple, une grande opération militaire se serait déroulée à l'époque, visant à retrouver des morceaux d'épave, ou encore des aliens, sur pas moins de 11 sites, ou encore des témoignages d'intimidation sur des témoins. En 1989, un entrepreneur de pompes funèbres à la retraite, Glenn Dennis, affirma que des autopsies d'extra-terrestres étaient conduites dans la base de Roswell. En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirme que ce dernier a substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo, qu'il a montrés aux journalistes.

    En réponse à ces nouveaux élements, et après une enquête du Congrès des États-Unis, le Government Accountability Office (organisation de surveillance appartenant au Congrès) demanda à l'Air Force de conduire une enquête interne. Le résultat de cette enquête fut résumé en deux rapports. Le premier, paru en 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme gouvernemental secret appelé Projet Mogul. Le second, paru en 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires impliquant des blessés et des morts, ou encore de la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires tels que l'opération High Dive, menés autour des années 1950. Ce rapport indique néanmoins que le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell continue et précise que tous les documents administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été détruits, et tous les messages radio envoyés par la base d'octobre 1946 à février 1949 ont été détruits. Le bordereau de destruction ne mentionne pas quand, par qui, et sur l'ordre de qui cette destruction a été effectuée. Ces rapports ont été rejetés par les partisans de la théorie extraterrestre, criant à la désinformation, bien qu'un nombre significatif d'ufologues s'accordent alors sur une diminution de la probabilité qu'un vaisseau alien soit en fait impliqué.Le mystère Roswell reste entièrement partagé.

    Preuves matérielles de l'incident

     L'historique suivant reconstruit le déroulement supposé des évènements liés à ce qui s'est passé à Roswell. Il est construit à partir de journaux et de télex de l'époque.

    Débris étranges dans un ranch

    Le 14 juin, le fermier William “Mac” Brazel remarqua des débris bizarres alors qu'il travaillait dans un ranch à une centaine de kilomètres de Roswell. Cette date (« environ 3 semaines avant le 8 juillet ») reste controversée, mais est présente dans plusieurs témoignages de l'époque, en particulier les récits citant Brazel, et dans un télex envoyé quelques heures après la révélation de l'histoire, citant le shérif George Wilcox (le premier prévenu par Brazel). Cependant, le rapport initial de la base de l'armée de l'air de Roswell raconte que la découverte eut lieu « au cours de la semaine précédente », suggérant que Brazel avait découvert les débris au début du mois de juillet.Brazel raconta au Roswell Daily Record que son fils et lui avaient vu "une large zone de débris brillants, bandes de caoutchouc, feuilles d'étain, un papier plutôt dur et des barres". Il préta peu attention à tout cela, mais retourna sur les lieux le 4 juillet avec sa femme, son fils et sa fille pour récupérer des débris. D'autres témoignages rapportent que Brazel aurait collecté de débris plus tôt, les mettant en tas et les cachant sous des broussailles. Le jour suivant, Brazel entendit des témoignages sur les soucoupes volantes, et se demanda si c'était lié avec ce qu'il avait trouvé. Le 7 juillet, Brazel souffla au shérif Wilcox qu'il croyait avoir trouvé une soucoupe volante. Une autre source cite Wilcox disant que Brazel avait signalé l'objet le 6 juillet. Wilcox appela ensuite le major Jesse Marcel de la base de l'armée de l'air de Roswell et un homme en civil vint au ranch chercher les débris que Brazel avait ramassés. « Nous avons passé quelques heures le 7 juillet à chercher des morceaux de l'engin météo », déclara Marcel. « Nous avons trouvé d'autres bouts de caoutchouc et d'aluminium ». Ils essayèrent ensuite de ré-assembler l'objet mais Brazel dit qu'ils n'y étaient pas arrivés. Marcel emmena les débris à la base le lendemain matin. 

    Comme décrit dans l'édition du Roswell Daily Record du 9 juillet 1947

    « Le ballon qui faisait voler l'appareil, si c'est ainsi que cela fonctionnait, devait mesurer 4 mètres de long, déclara Brazel, évaluant la distance par la taille de la pièce où il était assis. Le caoutchouc était gris clair et était éparpillé sur une zone de 200 mètres de diamètre. En rassemblant les débris, les feuilles d'aluminium, le papier, les bandes et les barres formaient un paquet d'un mètre de long et de 20 centimètres d'épaisseur, et le caoutchouc un tas de 50 centimètres de long et de 20 d'épaisseur. En tout, estima-t-il, l'ensemble devait peser environ 2 à 3 kilos. Il n'y avait aucun signe de métal dans la zone qui aurait pu provenir d'un moteur, ni aucune trace de propulseur, bien qu'au moins l'un des ailerons de papier ait été collé sur un bout d'étain. Il n'y avait aucune inscription sur l'instrument, bien qu'il y ait des lettres sur certaines parties. Une longueur considérable de ruban adhésif, et du ruban avec des fleurs imprimées dessus, avaient été utilisés dans la construction. Ni corde, ni fil n'était visible, mais il y avait des oeillets dans le papier qui indiquaient que quelque chose pouvait y avoir été attaché. »

    Un télex envoyé au bureau du FBI de Dallas, citait un major de l'Eighth Air Force le 8 juillet :

    « Le disque est hexagonal et était suspendu à un ballon par un câble, ballon de 6 mètres de diamètre environ. Il a été dit au major Curtan que l'objet trouvé ressemblait à un ballon météo à haute altitude équipé d'un réflecteur radar, mais cette conversation téléphonique entre leur bureau et la base de Wright Field n'a pas confirmé cette affirmation. »

    Informations dans la presse 

    Tôt le mardi 8 juillet, la base de l'armée de l'air de Roswell fit un communiqué de presse qui fut immédiatement relayé par de nombreux journaux :

    « Les nombreuses rumeurs faisant état d'une soucoupe volante sont devenues réalité hier, lorsque le service des renseignements du 509e escadron de l'air force de la base de Roswell a pris possession d'un disque grâce à la coopération d'un rancher et du bureau du shérif du conté de Chaves au Nouveau Mexique. L'objet volant a atterri dans un ranch près de Roswell durant la semaine dernière. Sans téléphone, le rancher a conservé le disque jusqu'à ce qu'il puisse contacter le bureau du shérif, qui informa le major Jesse A. Marcel du 509e escadron de l'air force. Une action fut immédiatement lancée, et le disque fut récupéré au domicile du rancher. Il a été examiné à la base de Roswell, puis transmis à de plus hautes autorités. »

     Le colonel William H. Blanchard, commandant du 509e escadron, contacta le général Roger M. Ramey de l'Air Force à Fort Worth, au Texas, et Ramey ordonna le transport de l'objet à la base aérienne de Fort Worth. L'adjudant Irving Newton confirma l'opinion de Ramey, identifiant l'objet comme un ballon météo et son réflecteur. Un autre bulletin de presse sortit alors, depuis Fort Worth, décrivant l'objet comme un « ballon météo ».

     À Fort Worth, plusieurs photographes de presse purent prendre des photos des débris. Ces débris correspondaient bien à la description d'un ballon et d'un réflecteur. Ramey, le colonel Thomas J. Dubose et Marcel furent pris en photo avec les débris. Brazel, le rancher, interviewé par le Roswell Daily Record, infirma la thèse militaire, déclarant qu'il avait déjà retrouvé des ballons météo et qu'il était sûr que ce qu'il avait trouvé n'était pas un ballon d'observation.L'incident fut rapidement oublié.

     L'émergence de nouveaux témoignages sur les extra-terrestres

     Nouveaux témoignages et livres sur l'ovni de Roswell

     En 1978, Stanton T. Friedman, un ancien physicien nucléaire et auteur, interviewe Jesse Marcel, la seule personne connue pour avoir accompagné les débris de Roswell de leur lieu de découverte jusqu'à Fort Worth. Pendant les quinze années qui suivront, son témoignage ainsi que d'autres ont fait passer le cas Roswell du statut d'incident oublié à peut-être le cas d'OVNI le plus célèbre de tous les temps.

    Au début des années 1990, les chercheurs d'OVNI tels Friedman, William Moore, Karl Pflock, et l'équipe de Kevin Randle et Don Schmitt, ont interviewé plusieurs centaines de personnes qui ont eu, ou qui ont prétendu avoir, un lien avec les évènements de Roswell de 1947. De plus, des centaines de documents ont été obtenues grâce à des demandes dans le cadre de la Freedom of Information Act, et certains viendraIent d'une source interne, comme les documents controversés du Majestic 12.

    Ils conclurent qu'au moins un vaisseau extra-terrestre s'était écrasé du côté de Roswell, que les extra-terrestres, certains peut-être encore en vie, ont été récupérés, et que toutes les informations sur l'incident ont été dissimulées.

    De nombreux livres, articles, documentaires télévisés et même une série télé ont rendu l'incident de 1947 tellement célèbre et de notoriété publique qu'au milieu des années 1990, les sondages, notamment celui publié par CNN/Time en 1997, ont révélé qu'une grande majorité des gens croyaient que les extra-terrestres étaient venus sur Terre et plus précisément qu'ils avaient atterri à Roswell et que le gouvernement avait dissimulé les évènements.

    Apparut un nouveau récit qui était à l’opposé de celui de 1947. Depuis la publication du premier livre sur Roswell en 1980, ce récit a évolué au fil des années avec l’apparition de nouveaux témoins, les témoignages étant facilités par la publicité autour de l’incident. Bien que les sceptiques doutaient fortement de la plausibilité de ces témoignages, il fallut attendre 1994 et la publication du premier rapport de l’Air Force sur l’incident pour qu'un contre-argument solide à la thèse des extra-terrestres soit largement diffusé.

    Numerous scenarios emerged from these authors as to what they felt were the true sequence of events, depending on which witness accounts were embraced or dismissed, and what the documentary evidence suggested. This was especially true in regards to the various claimed crash and recovery sites of alien craft, as various authors had different witnesses and different locations for these events. 

    Néanmoins, l’extrait ci-dessous tiré de UFO Crash at Roswell (1991) de Kevin D. Randle et Donald R. Schmitt est commun à la plupart des témoignages.

    « Un OVNI s’est écrasé au Nord-Ouest de Roswell, Nouveau Mexique, pendant l’été 1947. L’armée est intervenue rapidement et de manière efficace pour récupérer les débris après avoir été informé de leur existence par un employé d’un ranch. Les débris (ne ressemblant à rien de ce que ces hommes hautement qualifiés aient pu déjà voir) ont été expédiés sans délai dans au moins trois installations gouvernementales. Une histoire a été concoctée pour dissimuler la vérité sur les débris et l’agitation. Il a été expliqué qu’un ballon météo, un modèle avec une radiosonde, avait été trouvé et avait temporairement perturbé le 509e escadron. Des agents gouvernementaux ont emporté les notes des journalistes et en ont empêché un de diffuser l’entretien enregistré avec l’employé du ranch. Et dans un sanglot, non dans un éclat, le cas Roswell a rapidement disparu aux yeux du public et à la curiosité de la presse. »

    Ce qui suit sont les récits de la série d’évènements selon quelques uns des livres les plus importants publiés sur le sujet.

       

    The Roswell Incident

     Le premier livre sur le sujet, The Roswell Incident par Charles Berlitz et William L. Moore, fut publié en 1980. A l’époque, les auteurs déclarèrent avoir interviewé plus de quatre-vingt-dix témoins. Bien qu’il ne soit pas mentionné, Stanton Friedman a fait des recherches substantielles pour le livre.Le livre présente le récit de Jesse Marcel qui décrit les débris comme « ne ressemblant à rien de fabriqué sur cette terre ». D’autres récits suggèrent que le matériau récupéré par Marcel était d'une grande solidité et possédait d’autres qualités qu’aucune matière d’origine terrestre ne pouvait avoir, et sûrement pas quelque chose en rapport avec un « ballon météo ». Le livre introduit aussi l’idée que les débris récupéré par Marcel au ranch Foster ont été remplacés par des débris d’un ballon météo (p.33; pp. 67-69) pour soutenir la dissimulation. Marcel a posé avec les vrais débris, puis les pièces ont été échangées et les autres ont posé avec les débris échangés. Les vrais débris récupérés au ranch (qui, selon les auteurs, proviennent d’un OVNI écrasé) n’ont pas pu être examinés par la presse. Sont également décrits les efforts de l’armée pour discréditer et « neutraliser l’hystérie croissante au sujet des soucoupes volantes »(p.42). De plus, sont rapportés plusieurs propos portant sur l’intimidation des témoins, en particulier sur la mise en détention de Mac Brazel, qui signala le premier les débris.

    Le livre évoque également l’histoire de Barney Barnett, décédé quelques années plus tôt. Des amis racontent qu’il a à plusieurs occasions décrit le crash d’une soucoupe volante et la récupération des corps dans la région de Socorro, à peu près à 240 km à l’ouest du ranch Foster. Lui et un groupe d’archéologues qui se trouvait dans la région tombèrent sur un vaisseau extraterrestre et ses occupants en train d’être emportés par des militaires (p.53-62). D’autres récits suggèrent que ces extraterrestres et leur vaisseau furent emmenés à la base d’Edwards Air Force Base (également connue sous le nom de Muroc Army Air Field) en Californie (p.62).

     Une nouvelle chronologie présentant d’importantes différences avec celle suggérée par les premiers témoignages apparaît. La découverte des débris s’est passée au début de juillet, et non à la mi-juin comme dans les propos rapportés de Mac Brazel dans lesquel il indique qu’ils venaient d’un ballon météo. Marcel indiqua que Brazel (décédé des années avant ce récit) lui avait dit avoir trouvé les débris plusieurs jours avant le 7 juillet, le matin où il a entendu « une étrange explosion »." (p.64). Un autre témoignage indiqua qu’un jeune couple avait vu « un gros objet brillant »voler au dessus de la zone le 2 juillet (p.21) (un récit présent dans les rapports d’informations actuels) et l’histoire de Barnett a été datée au 3 juillet (p.53).

    La date exacte à laquelle Marcel et « Cavitt » (Sheridan Cavitt, Marcel ne pouvait retenir son prénom) sont allés voir les débris n’est pas précise. En effet, il dit qu’ils en ont entendu parler le 7 juillet (p.63) mais il semble dire qu’il a été contacté le jour précédent quand il raconte que « le dimanche 6 juillet, Brazel décida qu’il valait mieux aller en ville et raconter ceci à quelqu’un », quelqu’un qui à son tour appela Marcel (p.65). En 1947, Marcel déclara qu’il avait visité le ranch le lundi 7 juillet.

    Marcel raconta être retourné à Roswell le soir du 7 juillet pour découvrir que l’information de la découverte d’une soucoupe volante avait filtrée. Il reçut des visites à son domicile, y compris celle d’un journaliste, mais il ne pouvait confirmer les informations. « Le matin suivant, ces journaux écrits sont sortis, et après ça, tout a dégénéré (p.67). »

    Le livre suggère que l’armée a orchestré la déposition de Brazel pour qu’il dise qu’un objet banal avait atterri sur le ranch, cependant le livre ne dit pas explicitement que l’armée a forcé Brazel à donner à sa découverte une date à la mi-juin ; cette date n’est pas mentionnée dans le livre. « Brazel…a eu beaucoup de difficultés à rapporter aux journalistes ce que l’Air Force l’avait forcé à dire sur la manière dont il a découvert l’épave et sur ce à quoi elle ressemblait… » (p.40).

    Source : paranormalnews

        

     Extrait et résumé du Livre "REVELATIONS TOME 2 " du Dr Steven GREER

    Témoignage du Colonel Philip J. CORSO -  US Army

    p. 237 Tome 2

    Il a travailé 21 ans dans l'armée, en tant qu'officier du renseignement militaire. Il a vu les corps des ET à Roswell en 1947, et un engin qui se déplaçait à 7500 km/h au radar. Il a vu aussi un engin sur une base US. On lui a donné des fragments issus de technologies ET et provenant de divers crashs et il devait « ensemencer » l'industrie avec celles-ci en leur disant qu'elles venaient d'autres pays de la Terre.

    Il dit que l'ET est composé de cellules comme l'humain, mais dans une certaine mesure. Il est en symbiose avec son vaisseau, qui est aussi une structure biologique. Les êtres portent une combinaison, la peau est alignée du point de vue atomique, ainsi que la combinaison. C'est pour repousser les radiations et les effets nocifs, même les radiations cosmiques. Ils ne respirent pas d'air, et ceux qui arrivent dans ce monde portent une espèce de casque. Ils ne parlent pas, et n'ont pas de cordes vocales, il y a quelque chose qui intensifie la transmission de façon à ce qu'ils puissent communiquer. 

    A Roswell en 1947, les corps ont été envoyés à la base de Wright Patterson par camion, il a vu un corps, un être avec une grosse tête et la taille d'un enfant. 

    Il y avait un hôpital à proximité où l'armée payait un laboratoire pour faire les autopsies des ET. Le Colonel a toujours gardé le secret. Le rapport d'autopsie disait que le cerveau était différent, il n'y avait pas de nez, pas de bouche, pas d'oreille, pas de corde vocale, pas de système digestif, pas d'organe sexuel. On a fini par en conclure que c'était un clône humanoïde. 

    Il ne sait pas si le film est vrai ou pas, mais ce qu'il sait (et là le film serait bien truqué, car personne ne pouvait savoir ces détails), l'être n 'avait pas de système lymphatique, il avait deux cerveaux et quatre lobes, et on avait ajouté des circuits intégrés à l'un des cerveau (cela n'était pas dans le film). Il avait 3 paupières, celle de l'extérieur était amovible, il avait une membrane, et ensuite le globe oculaire. (Par rapport au film, s'il a été truqué, ceux qui l'ont réalisé avaient eu accès au rapport confidentiels sur ces détails là). L'ET faisait partie de l'engin et il était en quelque sorte son moyen de propulsion. Lui et les autres occupants étaient « intégrés » au vaisseau, et faisaient partie du système de guidage, car le vaisseau était lui aussi une « entité vivante ». Le ET mourant a changé de couleur, il est passé du bleu au marron avant de mourir.  

    Le Colonel a eu accès à un fil provenant des vêtements des ET. Le revêtement du vaisseau, la combinaison argentée des ET et leur peau étaient faits d'un matériau similaire.

    L'affaire Roswell a été cachée car Eisenhower savait que Staline voulait voler la technologie des vaisseaux ET. Les Allemands ont aussi récupéré des vaisseaux et ont fait des avancées technologiques importantes grâce à ces récupérations. 

    Le Général Trudeau lui a dit un jour que « ça leur a pris cinq ans pour arriver à mettre au point un transistor, et s'ils n'avaient pas eu l'aide de scientifiques et des « gars d'en haut », ça leur aurait pris 250 ans ». 

     

    Témoignage de MR Glen Dennis, entrepreneur de pompes funèbres à Roswell (Tome 2)

    Mr Dennis raconte que lors du crash de Roswell, en juillet 1947, la base militaire lui a commandé des cercueils « d'enfants » (taille 1 m à 1m40) dont ils avaient un besoin urgent. Cela l'a bien intrigué ! Ils lui ont aussi demandé une prépraration pour conserver des corps qui se seraient trouvés depuis plusieurs jours en pleine nature... ! M. Dennis est allé à la base, d'où il a été vite éjecté de force. Des spécialistes mortuaires avaient été appelés de la base de Wright Patterson. M. Dennis connaissait une infirmière qui avait été appelée pour aider à l'idenficitation des corps. Elle lui a raconté qu'au bout d'un moment, les yeux des gens présents commençaient à piquer et leur peau à brûler, ils ont donc emmené les corps des ET dans des housses hermétiques. Les êtres avaient 4 doigts malingres, des longs bras (un peu comme le ET du film de Spielberg), et des grands yeux, pas d'oreilles, deux conduits auditifs, une bouche d'env. 2,5 cm. L'infirmière a été mutée, elle serait rentrer dans un couvent. Et on a vivement conseillé à M. Dennis de ne rien dire de tout cela, qu'il n'était « rien arrivé », etc...

    *** 

     DOCUMENTS DU FBI RENDUS PUBLICS SUR L’AFFAIRE DE ROSWELL (Été 1947)

    7 avril 2011 - Le FBI a publié une nouvelle salle de lecture électronique connue sous le nom de "The Vault" ("la Chapelle") pour donner finalement aux Américains le droit de consulter les documents du gouvernement. Ca vient de commencer avec 25 nouveaux fichiers publiés et contenant plus de 2.000 documents que vous pouvez consulter quand vous le souhaitez. Quelques informations intéressantes ont été trouvées dans ces documents concernant l'activité OVNI. 

    Il semble que parmi les nouveaux dossiers publiés par le gouvernement se trouvent des documents se référant à l'incident de  Roswell. En été 1947, il y aurait eu une récupération d'ovni à Roswell, Nouveau Mexique. Certains on rapporté que des formes de vie extraterrestres auraient été capturées. L'histoire de  Roswell a amené toutes sortes de théories et d'histoire de couverture par le gouvernement. C'est le plus médiatisé de tous les incidents OVNI et est un phénomène de la culture pop. L'armée américaine avait déclaré qu'il s'agissait de débris d'un ballon météorologique et non d'un vaisseau spatial extraterrestre.

    Le document date du 22 mars 1950.  Il émane d'un agent spécial chargé du Bureau départemental du FBI à Washington. Il a envoyé cette note qui concernait les ovnis vus à Roswell au directeur du FBI. Des extraits du document sont indiqués ci-dessous:

    “Un enquêteur de l'armée de l'air a déclaré que trois soit-disant soucoupes volantes ont été récupérées au Nouveau-Mexique. Elles ont été décrites comme de forme circulaire avec un centre surélevé, approximativement de15 mètresde diamètre. Chacune était occupée par trois corps de forme humaine mais  mesurant à peine1 mètre, vêtus de tissu métallique de fine texture.  Chaque corps  était emmailloté de manière similaire  aux combinaisons de sécurité utilisées par les speed flyers et les pilotes d'essai. Selon un informateur , les soucoupes ont été trouvées au Nouveau-Mexique parce que le gouvernement avait un radar haute puissance installé dans cette région et on croit que le radar interfère dans le mécanisme de contrôle des soucoupes. Pas d'autre évaluation n'a été tentée par SA concernant ce qui figure ci-dessus".

    Y avait-il vraiment une couverture du gouvernement ? Peut-être qu'avec la publication de plus de documents dans "The Vault" nos questions trouveront réponse et qu'on répondra à  la bonne vieille question du "Sommes nous seuls ?"

    Ci-dessous une nouvelle note qui provient de la base de donnée du FBI  - The Vault ("La chapelle"), à propos de l'informateur du FBI Guy Hottel qui a juré que des engins spatiaux et des corps ont été récupérés à Roswell au Nouveau-Mexique en 1947.

    (source : Latest Ufo Sightings.net (c) 2011 et area51blog.wordpress.com/ )

     

    Une note de service du FBI PUBLIC prouve que des aliens a bien été trouvé à Roswell

    Le FBI a transféré au réseau un certain nombre de fichiers confidentiels regroupés dans ce qu'on appelle « The Vault » (Le Dôme), plus de 2000 documents numérisés, y compris les observations d'OVNI et des expériences paranormales. Les documents met en évidence une note dans laquelle l'agent Guy Hottel décrit l'affaire de Roswell à J. Edgar Hoover. L'agent dit que « ont été vus trois soucoupes volantes au Nouveau-Mexique », et « ont été décrites comme circulaires avec la partie centrale surélevée, d'environ 50 pieds de diamètre ... Chacune était occupée par trois corps de forme humaine, mais de seulement trois pieds de haut, « les corps étaient  vêtus de vêtements métalliques d'une texture très fine. Chaque corps étaient vêtu d'une manière similaire aux combinaisons portées par les pilotes d'avions à grande vitesse ».

    Le même officier a dit que le rapport de cette affaire, dont le nom est barré dans le document, chercheur des forces armées, a déclaré que les soucoupes volantes ont été trouvées « en raison du fait que le gouvernement a une puissance radar élevée dans la région et on croit que le radar interfère avec les mécanismes de contrôle des engins», ce qui serait une explication possible des raisons pour lesquelles les navires sont entrés en collision à Roswell, Nouveau-Mexique.

    Source:   https://vault.fbi.gov/hottel_guy

    Roswell, le secret d'état

     

    VOIR LES DOSSIERS DU FBI  sur les ovnis : ICI 

       

     

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